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La version originale a été signée par
L'honorable James Moore, C.P. député
Ministre du Patrimoine canadien et des Langues officielles
SECTION II : ANALYSE DE L’ACTIVIT� DE PROGRAMME PAR R�SULTAT STRAT�GIQUE
SECTION III : RENSEIGNEMENTS SUPPL�MENTAIRES
SECTION IV : AUTRES POINTS D’INT�R�T
La deuxi�me ann�e compl�te de fonctionnement a �t� un jalon marquant dans l’existence du Tribunal de la dotation de la fonction publique : il a fallu mettre � l’�preuve les modalit�s, les syst�mes et les politiques mis en place
l’ann�e pr�c�dente pour recevoir et r�soudre les plaintes li�es � la dotation.
L’un des principaux d�fis auxquels le Tribunal a fait face durant l’ann�e a �t� l’accroissement consid�rable de sa charge de travail, le nombre de plaintes ayant pass� de 438 en 2006-2007 � 742 en 2007-2008. Cette augmentation de 69 % souligne l’importance d’un solide syst�me de gestion des cas pour assurer le traitement des plaintes par le Tribunal dans des d�lais raisonnables. � cette fin, des am�liorations d’ordre technique ont �t� apport�es au syst�me pour assurer un meilleur contr�le des dossiers, r�soudre les probl�mes et g�n�rer un plus grand nombre de rapports. L’efficacit� du syst�me de gestion des cas rev�t une importance capitale pour le succ�s des principales fonctions du Tribunal soit l’arbitrage et la m�diation des plaintes en vertu de la Loi sur l’emploi dans la fonction publique (LEFP).
D’embl�e, l’un des principaux objectifs du Tribunal a �t� d’aider les parties � r�gler les plaintes par voie de m�diation ou d’un autre processus informel, plut�t que par la tenue d’une audience. Les avantages de la r�solution informelle des conflits sont bien connus :
Ainsi, le Tribunal offre aux parties plusieurs possibilit�s de r�gler la plainte avant la tenue d’une audience. Outre la m�diation, le Tribunal accorde un d�lai de 25 jours pour que les parties se communiquent les renseignements pertinents et demande aux plaignants de pr�senter leurs all�gations par �crit et aux administrateurs g�n�raux d’y r�pondre par �crit dans les d�lais pr�vus. De plus, le Tribunal organise une conf�rence pr�paratoire pour chaque plainte mise au r�le afin d’en simplifier l’audience. Dans plusieurs cas, la plainte est r�gl�e � l’issue de la conf�rence pr�paratoire.
Les services de m�diation du Tribunal se sont av�r�s tr�s fructueux en 2007-2008. Sur les 119 s�ances de m�diation men�es durant l’ann�e, 96, ou 81 %, se sont sold�es par le retrait de la plainte.
Dans l’ensemble, le pourcentage de plaintes r�gl�es sans une d�cision du Tribunal est pass� de 86 % en 2006-2007 � 95 % en 2007-2008. Outre les 742 plaintes re�ues durant l’ann�e, 255 ont �t� report�es de l’exercice 2006-2007. La plupart de ces plaintes ont �t� soit retir�es � l’une des �tapes de la proc�dure de r�glement des plaintes, soit d�bout�es faute de comp�tence ou du fait qu’elles avaient �t� d�pos�es hors d�lai. Seulement 35 des 995 dossiers ont fait l’objet d’une audience ou d’une instruction sur dossier1 men�e par un membre du Tribunal sur le bien-fond� de la plainte.
C’est gr�ce � ses modes informels de r�solution des conflits que le Tribunal aide � instaurer la confiance entre les gestionnaires et les employ�s, ce qui favorise des relations patronales-syndicales davantage fond�es sur la collaboration. Dans les cas o� une plainte a fait l’objet d’une audience et o� le Tribunal a rendu une d�cision, celui-ci s’est efforc� de mieux faire comprendre la latitude dont jouissent les administrateurs g�n�raux aux termes de la LEFP pour proc�der � des nominations dans la fonction publique f�d�rale.
Le Tribunal a constat� par exemple, dans la d�cision Visca2 et dans d’autres, que les administrateurs g�n�raux ne se pr�valent pas pleinement de la latitude qui leur est conf�r�e et que m�me si certaines pratiques courantes sous le r�gime de l’ancienne LEFP – comme le classement des candidats – ne constituent pas un abus de pouvoir en soi, elles t�moignent d’une certaine h�sitation � �pouser enti�rement l’esprit et l’objet de la nouvelle LEFP et doivent donc �tre d�courag�es. Par ses d�cisions, le Tribunal aide les gestionnaires et les employ�s � mieux comprendre et appliquer les dispositions de la nouvelle Loi.
J’ai donc le plaisir de rendre compte du r�le d�cisif que le Tribunal continue de jouer dans la modernisation de la fonction publique en favorisant et en appuyant un dialogue constructif entre les parties et en �tablissant la direction pour un usage appropri� de la marge de manœuvre conf�r�e par la LEFP.
Guy Gigu�re
Pr�sident et premier dirigeant
1 Une instruction sur dossier consiste en une d�cision rendue par un membre du Tribunal sur la base d’arguments �crits soumis par les parties.
2 Visca c. le Sous-ministre de la Justice et al., [2007] TDFP 0024.
Je soumets, en vue de son d�p�t au Parlement, le Rapport minist�riel sur le rendement de 2007-2008 du Tribunal de la dotation de la fonction publique.
Le pr�sent document a �t� pr�par� conform�ment aux principes de pr�sentation des rapports �nonc�s dans le Guide pour la pr�paration de la Partie III du budget des d�penses 2007-2008 : Rapports sur les plans et les priorit�s et Rapports minist�riels sur le rendement :
Guy Gigu�re
Pr�sident et premier dirigeant
Le Tribunal de la dotation de la fonction publique (� TDFP � ou � Tribunal �) est un tribunal ind�pendant et quasi judiciaire cr�� par la Loi sur la modernisation de la fonction publique (LMFP) dans le cadre des nouveaux instruments de recours relatifs aux plaintes en mati�re de dotation.
Le TDFP a pour mandat d’instruire les plaintes relatives aux nominations internes, aux mises en disponibilit�, � la mise en place de mesures correctives ordonn�es par le Tribunal ou � la r�vocation d’une nomination, et de statuer sur ces plaintes.
Le TDFP peut offrir des services de m�diation � n’importe quelle �tape d’une instruction pour r�gler une plainte.
Lorsqu’il d�cide du bien-fond� d’une plainte relative � une nomination interne ou � une mise en disponibilit�, le Tribunal peut interpr�ter et appliquer la Loi canadienne sur les droits de la personne (LCDP).
Le TDFP a pour mission de contribuer � une fonction publique comp�tente, impartiale et repr�sentative par le traitement impartial et dans les meilleurs d�lais des conflits relatifs aux processus internes de dotation et de mise en disponibilit� du gouvernement du Canada. Cela consiste :
Ressources financi�res (en milliers de dollars) | ||
2007–2008 | ||
D�penses pr�vues | Autorisations totales | D�penses r�elles |
4 960 | 5 119 | 4 304 |
Ressources humaines | ||
2007–2008 | ||
Pr�vues | R�elles | �cart |
35 ETP | 29 ETP | 6 ETP |
Priorit�s du Tribunal de la dotation de la fonction publique | |||
Prioriti�s | �tat | D�penses pr�vues | D�penses r�elles |
1. Instruire les plaintes et statuer sur elles | En cours | 2 270 | 1 705 |
2. Offrir des services de m�diation | En cours | 880 | 667 |
3. Renseigner � fond et aider les clients | En cours | 200 | 166 |
4. Constituer enti�rement des services g�n�raux | En cours | 1 110 | 1 400 |
5. Am�liorer le cadre de gestion | En cours | 500 | 366 |
Ancien r�sultat strat�gique : | Contribuer � une fonction publique comp�tente, impartiale et repr�sentative par le traitement impartial et dans les meilleurs d�lais des conflits relativement aux processus internes de dotation et de mise en disponibilit� du gouvernement du Canada. | |
Nouveau r�sultat strat�gique : | R�solution juste et impartiale des conflits relatifs aux nominations internes et aux mises en disponibilit� au sein du gouvernement du Canada | |
Nouvelle activit� de programme : | Arbitrage et m�diation des plaintes aux termes de la Loi sur l’emploi dans la fonction publique | |
Ancienne activit� de programme : Traitement des plaintes d�pos�es en vertu de la Loi sur l’emploi dans la fonction publique par rapport aux nominations, r�vocations et mises en disponibilit� |
D�penses pr�vues (en milliers de dollars) |
D�penses r�elles (en milliers de dollars) |
4 960 | 4 304 |
La premi�re �tape de la mise en œuvre de la politique sur la structure de gestion, des ressources et des r�sultats (SGRR) obligeait les minist�res et les organismes � concevoir des structures parfaitement explicites de leur architecture des activit�s de programme (AAP) au plus tard le 30 avril 2007. Dans le cadre de l’exercice SGRR, le r�sultat strat�gique et l’unique activit� de programme du Tribunal ont �t� modifi�s pour mieux refl�ter son mandat et d�crire ses principales responsabilit�s avec plus d’exactitude.
Priorit�s minist�rielles par r�sultat strat�gique | ||||
R�sultat strat�gique : R�glement juste et impartial des conflits relatifs aux nominations internes et aux mises en disponibilit� au sein du gouvernement du Canada | ||||
Activit� de programme | R�sultatses compt�s | �tat | D�penses pr�vues (en milliers de dollars) |
D�penses r�elles (en milliers de dollars) |
Arbitrage et m�diation des plaintes en vertu de la Loi sur l’emploi dans la fonction publique | Le Tribunal rend dans les meilleurs d�lais des d�cisions judicieuses et raisonnables | R�alis� | 4 960 | 4 304 |
Utilisation optimale des services de r�solution des plaintes du Tribunal par les parties | R�alis� |
Depuis sa cr�ation, le TDFP doit faire face � deux grands d�fis : l’absence d’un financement permanent et un nombre de dossiers impr�visible. D�s le d�part, les pr�visions estimaient le nombre annuel de plaintes � environ 400. Le TDFP est devenu op�rationnel le 31 d�cembre 2005; dans les trois mois restants de l’exercice 2005-2006, il n’a re�u que 15 plaintes. Au cours de l’exercice 2006-2007, il en a re�u 438; en 2007-2008, le nombre de plaintes re�ues par le TDFP a augment� consid�rablement pour atteindre 742. Si cette tendance persiste, le TDFP pourrait �tre saisi de jusqu’� 1 000 plaintes par an ou m�me plus.
Depuis sa cr�ation, le TDFP a b�n�fici� d’un financement transitoire � m�me le Fonds de la LMFP afin d’�laborer, de mettre en place et d’administrer son programme d’arbitrage et de m�diation. Le TDFP dispose d’un financement jusqu’� la fin de l’exercice 2008-2009. Jusqu’ici, le TDFP s’est employ� � utiliser ses moyens limit�s aussi efficacement que possible vu le caract�re impr�visible du nombre de plaintes re�ues. Toutefois, si le nombre de plaintes dont il est saisi chaque ann�e continue d’augmenter au rythme actuel sans garantie d’un financement permanent suffisant, les dossiers en suspens risquent de s’accumuler, ce qui entra�nera des retards dans la proc�dure de r�glement des plaintes et un certain m�contentement chez les intervenants.
Un financement permanent et suffisant est donc essentiel � l’efficacit� du Tribunal. Sans la garantie d’un tel financement pour 2009-2010 et au-del�, le TDFP, au lieu de se concentrer sur son mandat, sera pr�occup� par les probl�mes de financement et les p�nuries de ressources. En tant que tribunal ind�pendant et quasi judiciaire, le TDFP doit pouvoir compter sur un avenir garanti. Faute de quoi, la valeur et les avantages de la LMFP seront remis en question. Gr�ce � un financement permanent et suffisant, le TDFP pourra se concentrer sur son mandat et la fonction publique pourra progresser en vue d’atteindre ses objectifs de modernisation et continuer � fournir des services de qualit� sup�rieure aux Canadiens.
La LEFP a �t� con�ue pour moderniser la dotation dans la fonction publique en offrant un recours ind�pendant pour les plaintes li�es aux nominations internes et aux mises en disponibilit�, et �galement pour accro�tre l’accessibilit� et l’efficacit� des services de m�diation dans le r�glement des plaintes.
Le Greffier du Conseil priv� a d�crit en ces termes l’importance et les objectifs de la modernisation de la fonction publique dans le Treizi�me rapport annuel adress� au Premier ministre sur la fonction publique du Canada3 :
Avec l’entr�e en vigueur de la nouvelle Loi sur l’emploi dans la fonction publique (LEFP) le 31 d�cembre 2005, la Loi sur la modernisation de la fonction publique (LMFP) a �t� enti�rement mise en œuvre. La modernisation du r�gime des ressources humaines pose un jalon important de la r�forme du secteur public en renfor�ant les principales composantes de la culture de la fonction publique, notamment la responsabilisation, l’�quit� et la transparence. La LMFP offre une plus grande marge de manœuvre aux minist�res et aux organismes pour la gestion des employ�s, et ce, afin que les postes soient combl�s rapidement par les bonnes personnes. Elle favorise la collaboration patronale-syndicale en offrant une base sur laquelle les gestionnaires et les employ�s peuvent �tablir des relations fond�es sur la confiance. Les changements apport�s mettent en lumi�re notre engagement fondamental � l’�gard du m�rite et de l’impartialit� ainsi que l’importance, dans la gestion des ressources humaines, des valeurs intrins�ques � la fonction publique.
3 Treizi�me rapport annuel au Premier ministre sur la fonction publique du Canada pour l’ann�e finissant le 31 mars 2007, Greffier du Conseil priv� et secr�taire du Cabinet.
En ayant pour objectif de rendre des d�cisions transparentes, impartiales, judicieuses et qui int�ressent les administrateurs g�n�raux, les agents de n�gociation et les fonctionnaires en plus d’offrir toute l’aide n�cessaire pour aider les parties � r�gler les plaintes sans audience formelle, le TDFP contribue � la fois � la gestion efficace des ressources humaines dans la fonction publique et � la protection de l’int�grit� du processus de nomination. Ce faisant, le TDFP appuie une fonction publique fond�e sur le m�rite et est en mesure d’offrir des services de qualit� sup�rieure aux Canadiens.
En 2007-2008, soit la deuxi�me ann�e compl�te de fonctionnement du TDFP, le nombre de plaintes dont le Tribunal a �t� saisi a augment� de pr�s de 70 %. Cette hausse de volume, associ�e au report de 255 dossiers de l’ann�e pr�c�dente, a oblig� le Tribunal � effectuer des rajustements dans sa proc�dure de traitement des plaintes pour que celles-ci continuent d’�tre trait�es de la fa�on la plus informelle et rapide possible. Ces rajustements ont consist� � regrouper les dossiers des plaintes, � mettre l’accent sur le r�glement des plaintes par des communications efficaces et � �mettre des lettres de d�cision4 sur les questions de proc�dure, ce qui s’est av�r� fructueux. Pour les 997 dossiers trait�s durant l’ann�e, seulement 35, ou 3,5 %, ont fait l’objet d’une audience ou d’une instruction sur dossier men�e par un membre du Tribunal sur le bien-fond� de la plainte.
En d’autres termes, la grande majorit� des plaintes re�ues durant l’ann�e ont �t� r�gl�es soit par m�diation, ou suite � la production des all�gations et de la r�ponse de l’administrateur g�n�ral, ou suite � la communication de renseignements ou encore par toute autre �tape du processus de r�glement des plaintes. Les r�sultats du programme de m�diation du TDFP ont d�pass� les attentes en ce sens que 80 % de toutes les plaintes adress�es aux services de m�diation du Tribunal en 2007-2008 ont �t� retir�es.
L’exp�rience prouve donc que, m�me si elles sont relativement nouvelles, les activit�s d’arbitrage et de m�diation du TDFP contribuent � la modernisation du r�gime des ressources humaines du gouvernement du Canada en renfor�ant les grands principes de la responsabilisation, de l’�quit� et de la transparence dans le processus de nomination de la fonction publique f�d�rale tout en favorisant des relations patronales-syndicales davantage ax�es sur la collaboration.
4 La lettre de d�cision porte sur une d�cision rendue par le TDFP � l’�gard d’une requ�te ou d’une demande et qui est fond�e sur la jurisprudence existante.
R�sultat strat�gique : R�glement �quitable et impartial des conflits relatifs aux nominations internes et aux mises en disponibilit� au sein du gouvernement du Canada
Activit� de programme : Arbitrage et m�diation des plaintes d�pos�es en vertu de la Loi sur l’emploi dans la fonction publique
Ressources financi�res (en milliers de dollars) | ||
D�penses pr�vues | Autorisations | D�penses r�elles |
4 960 | 5 119 | 4 304 |
Ressources humaines | ||
Pr�vues | R�elles | �cart |
35 ETP | 29 ETP | 6 ETP |
M�me si le Rapport sur les plans et les priorit�s 2007-2008 du Tribunal contenait des indicateurs et des cibles de rendement, ceux-ci �taient plut�t mal d�finis car, au moment d’aller sous presse, le TDFP existait depuis moins de deux ans et se concentrait sur le peaufinage de la proc�dure de traitement des plaintes et la dotation des postes cl�s (agents du greffe et m�diateurs). Il n’en reste pas moins qu’un cadre de gestion du rendement a �t� �labor� et mis en place en 2007 dans le cadre de l’exercice SGRR. Voil� pourquoi les indicateurs et les cibles de rendement d�crits dans le pr�sent rapport diff�rent l�g�rement de ceux indiqu�s dans le Rapport sur les plans et les priorit�s 2007-2008. On trouvera ci-apr�s une explication d�taill�e des changements survenus.
L’un des principaux objectifs du TDFP est de rendre des d�cisions judicieuses par rapport aux plaintes d�pos�es en vertu de la LEFP, c’est-�-dire des d�cisions de qualit� sup�rieure, qui favorisent des recours efficaces et qui puissent r�sister � un examen judiciaire. La qualit� se mesure essentiellement au nombre de contestations judiciaires des d�cisions rendues par le Tribunal devant la Cour f�d�rale et au nombre de celles rejet�es.
Dans le Rapport sur les plans et les priorit�s 2007-2008, le TDFP fait �tat de deux r�sultats assortis de deux indicateurs chacun pour les fonctions d’arbitrage des plaintes du Tribunal :
R�sultats | Indicateurs |
Les d�cisions du TDFP sont judicieuses et bien �tay�es | • Qualit� sup�rieure des d�cisions • Proc�dure �quitable et transparente |
Les plaintes sont trait�es dans les meilleurs d�lais | • Satisfaction des intervenants • Temps �coul� pour le traitement des plaintes |
En recueillant les renseignements utiles pour mesurer l’efficacit� des fonctions d’arbitrage, on a vite compris que ces indicateurs initiaux �taient hautement subjectifs. Par exemple, le niveau de satisfaction des intervenants et l’�quit� et la transparence du processus pouvaient varier consid�rablement selon la partie consult�e. En d’autres termes, les parties � une plainte – soit le plaignant et l’administrateur g�n�ral – pouvaient percevoir le processus de mani�re radicalement diff�rente � l’issue de la d�cision rendue dans leur cas.
Pour ce qui est de mesurer le temps qu’il faut pour rendre une d�cision, on a d�cid� que le point de d�part devait �tre la date de l’audience plut�t que la date du d�p�t d’une plainte. La mesure du temps qui s’�coule entre le d�p�t initial d’une plainte et la publication d’une d�cision n’est pas un indicateur adapt� � cause des nombreux facteurs ind�pendants de la volont� du Tribunal – par exemple, le nombre de demandes l�gitimes de prolongation des �ch�ances et les changements apport�s au calendrier des audiences.
C’est pour ces raisons que le TDFP a r�vis� ses indicateurs et cibles de rendement en ce qui concerne sa fonction d’arbitrage des plaintes de la mani�re suivante :
Les d�cisions du Tribunal sont opportunes, judicieuses et bien �tay�es | |
Indicateur | Cible |
Pourcentage de d�cisions dont les motifs sont rendus dans les deux mois suivant l’audience | 80 % |
Pourcentage des d�cisions du Tribunal confirm�es lors d’un examen judiciaire | 95 % |
On a �galement apport� des changements aux indicateurs et aux cibles de rendement relatifs au programme de m�diation du TDFP. Dans le Rapport sur les plans et les priorit�s 2007-2008, les r�sultats et indicateurs �taient les suivants :
R�sultats | Indicateurs |
R�sultats rapides du mode alternatif de r�glement des conflits (MARC) | • Processus �quitable et transparent • Taux �lev� de participation (50 %) • Taux �lev� de succ�s des parties � la m�diation • Niveau de satisfaction des intervenants |
En adoptant ces indicateurs, on a constat� que le taux de participation � la m�diation n’�tait pas un indicateur adapt� car les parties ne sont pas contraintes de participer � la m�diation. On a donc d�termin� que le pourcentage de plaintes retir�es � l’issue de la m�diation serait un indicateur mieux adapt� pour �valuer l’efficacit� des services de m�diation du TDFP.
Les indicateurs et cibles r�vis�s du programme de m�diation du TDFP sont :
Utilisation optimale du service de r�solution des conflits du Tribunal par les parties | |
Indicateur | Cible |
Pourcentage de m�diations se soldant par le retrait de la plainte | 70 % |
Dans le contexte de l’exercice SGRR, le TDFP a �galement con�u les trois objectifs suivants avec les indicateurs et les cibles qui les accompagnent :
Plaintes trait�es | |
Indicateur | Cible |
Pourcentage de dossiers class�s au bout de 270 jours | 80 % |
Nombre de plaintes trait�es par ann�e | Selon les besoins |
S�ances de m�diation tenues | |
Indicateur | Cible |
Nombre de m�diations tenues par ann�e | 140 |
Cours de formation dispens�s en m�diation | |
Indicateur | Cible |
Nombre de cours de formation en m�diation dispens�s aux intervenants chaque ann�e | 6 |
Le tableau ci-apr�s r�sume les r�sultats obtenus par le TDFP en 2007-2008.
R�sultats escompt�s | Indicateurs et cibles de rendement | R�sultats atteints |
Les d�cisions du Tribunal sont opportunes, judicieuses et bien �tay�es |
Pourcentage de d�cisions dont les motifs sont rendus dans les deux mois suivant l’audience Cible : 80 % |
68 % Bien que la cible de 80 % n’ait pas �t� atteinte, toutes les d�cisions ont �t� rendues au moins dans les six mois suivant l’audience. |
Pourcentage de d�cisions du Tribunal confirm�es lors de l’examen judiciaire Cible : 95 % |
Aucune d�cision de la Cour f�d�rale n’a encore �t� rendue au sujet d’une demande d’examen judiciaire d’une d�cision du Tribunal. | |
Utilisation optimale des services de r�solution des conflits du Tribunal par les parties |
Pourcentage de m�diations qui se sont sold�es par le retrait de la plainte Cible : 70 % |
80 % Sur les 119 s�ances de m�diation tenues, 96 ont abouti au retrait de la plainte. |
Voici une description d�taill�e des r�sultats obtenus par le TDFP en 2007-2008.
Les d�cisions du Tribunal sont opportunes, judicieuses et bien �tay�es | |
Indicateur | Cible |
Pourcentage de d�cisions dont les motifs sont publi�s dans les deux mois suivant l’audience | 80 % |
Le TDFP encourage les parties � une plainte � r�gler la plainte par m�diation ou par un autre recours informel au lieu de passer par une instruction formelle du dossier par le Tribunal. De ce fait, la plupart des plaintes sont r�gl�es avant m�me d’en arriver � l’�tape de l’audience de la proc�dure de traitement des plaintes. Il n’en reste pas moins qu’en 2007-2008, 19 d�cisions ont �t� rendues � l’issue d’une audience ou d’une instruction sur dossier sur le bien-fond� de la plainte – c’est-�-dire au motif d’un abus de pouvoir. Sur ce nombre, 13, ou 68 %, ont �t� rendues dans les deux mois suivant l’audience et 16, ou 84 %, dans les trois mois. Les trois d�cisions restantes ont �t� rendues dans les six mois.
Le l�ger retard dans le rendu des d�cisions apr�s une audience s’explique en partie par l’augmentation impr�vue du nombre de plaintes dont le Tribunal a �t� saisi. Alors qu’il en �tait seulement � sa deuxi�me ann�e compl�te de fonctionnement en 2007-2008, le nombre de plaintes qu’il a re�ues est pass� de 438 � 742, soit une hausse de 69 %. Il n’est donc pas �tonnant que le nombre de d�cisions rendues sur le fond en 2007-2008 s’�l�ve � 19 contre deux pour l’ann�e ant�rieure.
Le temps qu’il faut pour r�diger les motifs d’une d�cision varie selon la complexit� de l’affaire et selon que la d�cision cr�era un pr�c�dent. La grande majorit� des questions abord�es par le Tribunal jusqu’ici n’ont pas de pr�c�dent. Le Tribunal doit donc examiner attentivement les questions soulev�es dans une plainte avant de publier les motifs de sa d�cision afin de s’assurer que ses d�cisions refl�tent l’esprit de la nouvelle l�gislation et cr�ent des pr�c�dents opportuns pour les d�cisions futures.
Il existe un autre facteur expliquant le laps de temps requis pour rendre une d�cision � l’issue d’une audience : c’est le nombre relativement restreint de membres du Tribunal disponibles pour tenir des conf�rences pr�paratoires, pr�sider les audiences et rendre des d�cisions sur les questions pr�liminaires et sur le bien-fond� d’une affaire. En 2007-2008, le Tribunal disposait de cinq membres5 pour traiter un nombre total de 997 plaintes.
� ce jour les ant�c�dents semblent indiquer que par rapport � cet indicateur la cible est un peu ambitieuse. N�anmoins, le TDFP juge qu’il est important de rendre ses d�cisions dans les meilleurs d�lais en raison de l’incidence possible qu’une d�cision du Tribunal peut avoir sur les parties et le milieu de travail concern�s.
C’est pourquoi un certain nombre de mesures ont �t� mises en place durant l’ann�e pour que le TDFP puisse atteindre sa cible de 80 % des d�cisions rendues dans les deux mois suivant l’audience, m�me lorsque le volume de plaintes est beaucoup plus important que pr�vu. Parmi ces mesures, mentionnons : l’�mission de lettres de d�cision pour les questions de proc�dure comme les questions de comp�tence et des d�lais, la jonction d’un plus grand nombre de dossiers en d�but de proc�dure et l’�mission de motifs de d�cisions sur la base d’arguments �crits, dans la mesure du possible.
Les d�cisions du Tribunal sont opportunes, judicieuses et motiv�es | |
Indicateur | Cible |
Pourcentage de d�cisions du Tribunal confirm�es lors de l’examen judiciaire | 95 % |
En 2007-2008, cinq des d�cisions rendues par le Tribunal ont �t� renvoy�es devant la Cour f�d�rale pour faire l’objet d’un examen judiciaire. Au moment d’aller sous presse, ces affaires �taient toujours en instance.
5 Le TDFP compte entre cinq et sept membres permanents nomm�s par le gouverneur en conseil[par. 88(1) de la LEFP].
Utilisation optimale des services de r�solution des conflits du Tribunal par les parties | |
Indicateur | Cible |
Pourcentage de m�diations qui ont abouti au retrait de la plainte | 70 % |
En 2007-2008, 119 s�ances de m�diation ont �t� tenues et, sur ce nombre, 96, ou 80 %, ont abouti au retrait de la plainte. Ainsi, le Tribunal a d�pass� de 10 % sa cible de 70 % des m�diations aboutissant au retrait de la plainte. Le Tribunal attribue son taux de succ�s � son programme de formation con�u pour permettre aux intervenants du TDFP de se familiariser avec le processus afin de participer pleinement � la m�diation et obtenir les meilleurs r�sultats possibles. Le r�le du m�diateur rev�t �galement son importance dans la mesure o� celui-ci aide les parties � discuter avec franchise et transparence de leurs int�r�ts et � trouver des solutions pour r�gler la plainte.
Extrants
Indicateur | Cible |
Pourcentage de dossiers r�gl�s dans les 270 jours | 80 % |
Le TDFP a �t� cr�� en partie pour assurer le traitement informel et dans les meilleurs d�lais des plaintes en mati�re de dotation. C’est la raison pour laquelle la proc�dure de traitement des plaintes du TDFP comporte, outre l’audience proprement dite, des possibilit�s de r�gler les plaintes par voie d’un dialogue constructif. En fixant sa cible sur le d�lai n�cessaire au traitement d’une plainte, le TDFP a tenu compte des limites fix�es par le R�glement du TDFP pour les �tapes du processus – la communication de renseignements (25 jours), la pr�sentation des all�gations du plaignant (10 jours), la r�ponse de l’administrateur g�n�ral (15 jours) et la r�ponse des autres parties (10 jours) – de m�me que d’un d�lai raisonnable pour la tenue d’une s�ance de m�diation, l’organisation d’une audience et l’�mission d’une d�cision.
Compte tenu du fait que les plaintes peuvent passer toutes les �tapes du processus depuis la r�ception d’un dossier jusqu’� son r�glement, le TDFP a �tabli � 270 jours le d�lai raisonnable de traitement d’une plainte. Il importait de classer 80 % de tous les dossiers dans ce d�lai; c’�tait la cible � atteindre. Toutefois, au cours de l’exercice pass�, le Tribunal n’a pas atteint cette cible; sur les 742 plaintes re�ues en 2007-2008, 536, ou 72 %, ont �t� r�gl�es dans les 270 jours.
Cette l�g�re lacune peut �tre attribu�e aux m�mes facteurs qui entrent en jeu au moment de rendre une d�cision apr�s une audience – c’est-�-dire une hausse impr�vue du nombre de plaintes re�ues, le nombre de m�diateurs et de membres disponibles pour proc�der � la m�diation et tenir des audiences et l’�tablissement d’une cible ambitieuse. En outre, le TDFP a re�u de la part des parties � une plainte de nombreuses requ�tes ou demandes attribuables, en partie, � la nouveaut� du Tribunal et � la m�connaissance des proc�dures de traitement des plaintes. Ces demandes portaient sur des questions de comp�tence ou de prolongation d’�ch�ances et, dans tous les cas, elles n�cessitaient une d�cision d’un membre du Tribunal. Afin d’�tablir des pr�c�dents pour les futures questions de cette nature, le TDFP a pris le temps n�cessaire pour �tudier les questions et prendre des d�cisions �quitables et transparentes. Ce faisant, le TDFP n’a pas atteint sa cible de 80 % des dossiers r�gl�s dans les 270 jours en 2007-2008. Par contre, il a effectu� un bon travail pr�paratoire pour un traitement plus efficace des plaintes futures.
Indicateur | Cible |
Nombre de plaintes trait�es : 742 | Selon les besoins |
L’une des difficult�s auxquelles se heurte le TDFP a trait � la pr�vision du volume de plaintes dont le Tribunal sera saisi. �tant donn� que le TDFP n’a aucun contr�le sur le nombre de plaintes qu’il re�oit, il est impossible de fixer une cible concr�te. Il est n�anmoins important de donner une indication de la charge de travail du Tribunal; c’est pour cette raison que la cible refl�te le nombre effectif de plaintes re�ues durant l’ann�e : 742. N�anmoins, il faut signaler qu’en sus des 742 plaintes re�ues en 2007-2008, il y avait 255 reports de l’ann�e pr�c�dente.
Indicateur | Cible |
Nombre de s�ances de m�diation tenues par an : 119 | 140 |
Au TDFP, la m�diation est une �tape facultative du processus de traitement des plaintes – autrement dit, les parties peuvent d�cliner l’offre de m�diation du Tribunal et passer aux �tapes suivantes du processus. Cela explique en partie le fait que le nombre de s�ances de m�diation tenues en 2007-2008 soit inf�rieur aux pr�visions. Parmi les autres facteurs, mentionnons : le laps de temps requis pour la dotation de tous les postes de m�diateur; le temps pass� par les m�diateurs � organiser des t�l�conf�rences s�par�es avec les parties avant la m�diation pour les aider � s’y pr�parer, pour �valuer la possibilit� de r�gler la plainte par voie de m�diation et �viter ainsi les d�placements inutiles; le grand nombre de s�ances de m�diation tenues � l’ext�rieur de la r�gion de la capitale nationale, la n�cessit� pour les m�diateurs du Tribunal de passer du temps � se rendre jusqu’au lieu de la m�diation et la demande de formation en mati�re de m�diation par les intervenants.
Indicateur | Cible |
Nombre de cours de formation en m�diation dispens�s pour les intervenants chaque ann�e : 12 | 6 |
Le nombre de cours dispens�s refl�te la forte demande de formation en m�diation dans le contexte des plaintes d�pos�es en vertu de la nouvelle LEFP. La cible a �t� fix�e � six cours par an pour refl�ter la d�cision du TDFP de concentrer ses efforts davantage sur la m�diation que sur la formation maintenant que la nouvelle LEFP est entr�e en vigueur depuis pr�s de trois ans. On estime que la demande de formation s’est stabilis�e et que six cours par an repr�sentent un nombre suffisant pour faire face � la demande.
Dans son Rapport sur les plans et les priorit�s 2007-2008, le TDFP a �tabli les priorit�s de gestion interne suivantes :
Un comit� interne a �t� cr�� en avril 2007 pour examiner le R�glement du TDFP et formuler des recommandations en vue d’y apporter les amendements jug�s n�cessaires. La version remani�e du comit� a �t� pr�sent�e aux principaux intervenants du Tribunal pour qu’ils formulent leurs observations en septembre 2007. D’autres modifications ont �t� apport�es au R�glement en r�ponse � leurs commentaires. Une version finale a �t� pr�sent�e au minist�re de la Justice le 11 d�cembre 2007; l’examen se poursuit.
Pour fournir des renseignements � jour et faciliter l’acc�s � la proc�dure de traitement des plaintes et aux services du Tribunal, les initiatives suivantes ont �t� prises durant l’ann�e :
Le TDFP organise r�guli�rement des r�unions du personnel qui comportent en g�n�ral une activit� d’apprentissage. Plusieurs politiques de ressources humaines con�ues pour dynamiser les relations patronales-syndicales ont �t� compl�t�es et affich�es sur le site intranet du TDFP pour que les employ�s y aient facilement acc�s. Un Syst�me de gestion informelle des conflits (SGIC) a �t� con�u et adopt� de concert avec le repr�sentant des agents n�gociateurs.
Le Programme d’aide aux employ�s (PAE) est accessible � tous les employ�s du TDFP et l’�quipe de gestion incite tout le monde � s’en pr�valoir. Les conseillers du PAE ont �t� invit�s � des r�unions du personnel l’an dernier pour animer les d�lib�rations sur des sujets d’ordre professionnel comme la gestion du stress, le r�glement des conflits et l’efficacit� des communications.
Le TDFP s’efforce d’aider ses employ�s � concilier leur vie professionnelle et personnelle et � b�tir une �quipe dynamique par la planification d’activit�s collectives et l’am�lioration des communications internes.
� la fin de la p�riode 2007-2008, pratiquement tous les postes du TDFP avaient �t� dot�s. Le Tribunal entame maintenant la phase de d�veloppement d’un personnel dynamique, avec la mise en œuvre de sa politique d’apprentissage qui implique l’�tablissement de plans de perfectionnement pour tous les employ�s. Un projet a �t� amorc� par rapport � l’�laboration de profils de comp�tence pour certains groupes et niveaux, afin d’aider les employ�s et les gestionnaires � d�terminer leurs besoins en apprentissage et en perfectionnement.
R�sultat strat�gique : | ||||
D�penses r�elles 2007-2008 (en milliers de dollars) |
Harmonisation avec le secteur de r�sultats du gouvernement du Canada | |||
Budg�taires | Non budg�taires | Total | ||
Arbitrage et m�diation des plaintes d�pos�es en vertu de la Loi sur l’emploi dans la fonction publique | 4 304 | 4 304 | Affaires gouvernementales |
Ce tableau compare le Budget principal des d�penses, les d�penses pr�vues, les autorisations totales et les d�penses r�elles du plus r�cent exercice termin�. Il fait �tat �galement de chiffres historiques pour les d�penses r�elles.
(en milliers de dollars) | 2005–2006 D�penses r�elles |
2006–2007 D�penses r�elles |
2007–2008 | |||
Budget principal des d�penses | D�penses pr�vues | Autorisations totales | D�penses r�elles | |||
Arbitrage et m�diation des plaintes d�pos�es en vertu de la Loi sur l’emploi dans la fonction publique | 1 950 | 3 245 | 4 960 | 4 960 | 5 119 | 4 304 |
Total | ||||||
Moins : revenus non disponibles | (29) | s/o | (15) | |||
Plus : co�t des services re�us � titre gracieux | 176 | 392 | s/o | 442 | 527 | 527 |
Total des d�penses minist�rielles | 2 126 | 3 608 | 4 960 | 5 402 | 5 646 | 4 816 |
�quivalents temps plein | 10 | 22 | s/o | 35 | s/o | 29 |
Ce tableau explique comment le Parlement attribue les ressources au Tribunal, y compris les cr�dits vot�s et les autorisations l�gislatives.
Poste vot� ou l�gislatif | Cr�dit tronqu� ou libell� r�glementaire | 2007–2008 (en milliers de dollars) |
|||
Budget principal des d�penses | D�penses pr�vues | Autorisations totales | D�penses r�elles | ||
90 | D�penses de programme | 4 451 | 4 451 | 4 717 | 3 902 |
(S) | Contributions aux r�gimes d’avantages sociaux des employ�s | 509 | 509 | 402 | 402 |
Total | 4 960 | 4 960 | 5 119 | 4 304 |
Note : D�penses pr�vues s’entend du montant inclus dans le Rapport sur les plans et priorit�s 2007-2008 du Tribunal et indique les montants planifi�s au d�but de l’ann�e.
Le Tribunal se conforme � la Directive sur les voyages d’affaires du Secr�tariat du Conseil du Tr�sor (SCT), ainsi qu’� ses taux et indemnit�s, de m�me qu’aux Autorisations sp�ciales de voyage du SCT.
Les �tats financiers sont pr�par�s conform�ment aux principes comptables de la comptabilit� d’exercice. Les renseignements suppl�mentaires non v�rifi�s pr�sent�s dans les tableaux financiers du RMR sont pr�par�s selon la comptabilit� de caisse modifi�e afin de concorder avec la comptabilit� bas�e sur les cr�dits vot�s. Le rapprochement entre ces deux m�thodes est pr�sent� � la note 3 des �tats financiers.
La responsabilit� de l’int�grit� et de l’objectivit� des �tats financiers ci-joints pour l’exercice financier termin� le 31 mars 2008 et de toutes les informations figurant dans le pr�sent rapport incombe � la direction du Tribunal. Ces �tats financiers ont �t� pr�par�s par la direction conform�ment aux conventions comptables du Conseil du Tr�sor, qui sont conformes aux principes comptables g�n�ralement reconnus au Canada dans le secteur public, selon les meilleures estimations et le meilleur jugement de la direction et en tenant d�ment compte de leur importance.
La direction est responsable de l’int�grit� et de l’objectivit� des informations pr�sent�es dans les �tats financiers. Pour s’acquitter de ses obligations au chapitre de la comptabilit� et de la pr�sentation des rapports, la direction tient des comptes qui permettent l’enregistrement centralis� des op�rations financi�res du Tribunal. Les informations financi�res soumises pour la pr�paration des Comptes publics du Canada et figurant dans le Rapport minist�riel sur le rendement du Tribunal concordent avec les �tats financiers ci-joints.
La direction poss�de un syst�me de gestion financi�re et de contr�le interne con�u pour fournir une garantie raisonnable que les informations financi�res sont fiables, que les actifs sont prot�g�s et que les op�rations sont conformes � la Loi sur la gestion des finances publiques, qu’elles sont ex�cut�es en conformit� avec les r�glements, qu’elles respectent les autorisations du Parlement et qu’elles sont comptabilis�es de mani�re � rendre compte de l’utilisation des fonds du gouvernement. La direction veille �galement � l’objectivit� et � l’int�grit� des donn�es de ses �tats financiers par la s�lection appropri�e, la formation et le perfectionnement d’employ�s qualifi�s, par une organisation assurant une s�paration appropri�e des responsabilit�s et par des programmes de communication visant � assurer la compr�hension des r�glements, des politiques, des normes et des responsabilit�s de gestion dans l’ensemble du Tribunal.
Les �tats financiers du Tribunal n’ont pas fait l’objet d’une v�rification.
Guy Gigu�re Pr�sident et premier dirigeant |
Jos�e Dubois Agent financier principal |
�tat des r�sultats (non v�rifi�) pour l’exercice termin� le 31 mars 2008 (en dollars) |
|||
2008 | 2007 | ||
CHARGES DE FONCTIONNEMENT | |||
Salaires et avantages sociaux | 3 496 863 | 2 658 069 | |
Services professionnels et sp�ciaux | 438 046 | 387 113 | |
Installations | 339 089 | 249 312 | |
Transports et t�l�communications | 275 801 | 166 552 | |
Locations | 158 377 | 103 360 | |
Acquisition de machinerie et d’�quipements | 107 980 | 57 344 | |
Entretien et r�paration d’�quipements | 88 871 | 12 621 | |
Communications | 56 954 | 29 014 | |
Autres charges d’exploitation | 47 049 | 43 904 | |
Services publics, mat�riaux et fournitures | 32 818 | 40 672 | |
Amortissement des immobilisations corporelles | 8 602 | 6 393 | |
Total des charges | 5 050 450 | 3 754 354 | |
REVENUS | |||
Revenus divers | 15 223 | 29 210 | |
Total des revenus | 15 223 | 29 210 | |
Co�t de fonctionnement net | 5 035 227 | 3 725 144 | |
Les notes compl�mentaires font partie int�grante des �tats financiers. |
�tat de la situation financi�re (non v�rifi�) au 31 mars 2008 (en dollars) |
||||
2008 | 2007 | |||
ACTIFS | ||||
Actifs financiers | ||||
D�biteurs d’autres minist�res et organismes f�d�raux | 128 825 | 229 497 | ||
Avances | 500 | 500 | ||
Total des actifs financiers | 129 325 | 229 997 | ||
Actifs non financiers | ||||
Immobilisations corporelles (note 4) | 17 442 | 21 444 | ||
Total des actifs non financiers | 17 442 | 21 444 | ||
TOTAL | 146 767 | 251 441 | ||
PASSIFS | ||||
Cr�diteurs et charges � payer | ||||
Autres minist�res et organismes f�d�raux | 287 853 | 32 544 | ||
Autres | 287 201 | 238 506 | ||
Indemnit�s de vacances et cong�s compensatoires | 123 225 | 88 443 | ||
Indemnit�s de d�part (note 5) | 544 173 | 363 919 | ||
1 242 452 | 723 412 | |||
AVOIR DU CANADA | (1 095 685) | (471 971) | ||
TOTAL | 146 767 | 251 441 | ||
Passif �ventuel (note 2 (h)) Les notes compl�mentaires font partie int�grante des �tats financiers. |
�tat de l’avoir du Canada (non v�rifi�) pour l’exercice termin� le 31 mars 2008 (en dollars) |
|||
2008 | 2007 | ||
Avoir du Canada, d�but de l’exercice | (471 971) | (412 249) | |
R�sultats d’exploitation nets | (5 035 227) | (3 725 145) | |
Cr�dits de l’exercice utilis�s (note 3) | 4 303 941 | 3 215 894 | |
Variation de la situation nette du Tr�sor (note 3) | (404 676) | 86 438 | |
Revenus non disponibles pour les d�penses | (15 223) | (29 210) | |
Services fournis gratuitement par d’autres minist�res (note 6) | 527 471 | 392 301 | |
Avoir du Canada, fin de l’exercice | (1 095 685) | (471 971) | |
Les notes compl�mentaires font partie int�grante des �tats financiers. |
�tat des flux de tr�sorerie (non v�rifi�) pour l’exercice termin� le 31 mars 2008 (en dollars) |
||||
2008 | 2007 | |||
Activit�s de fonctionnement | ||||
�l�ments sans effet sur l’encaisse inclus dans les r�sultats nets | 5 035 227 | 3 725 144 | ||
Postes hors tr�sorerie : | ||||
Amortissement des immobilisations corporelles | (8 602) | (6 393) | ||
Services fournis gratuitement par d’autres minist�res (note 6) | (527 471) | (392 301) | ||
Variations du bilan : | ||||
Augmentation (diminution) des d�biteurs et avances | (100 672) | 17 382 | ||
Augmentation (diminution) du passif | (519 040) | (86 590) | ||
Encaisse utilis�e par les activit�s de fonctionnement | 3 879 442 | 3 257 242 | ||
Activit�s d’investissement en capital | ||||
Acquisition d’immobilisations corporelles | 4 600 | 15 879 | ||
Encaisse utilis�e par les activit�s d’investissement en capital | 4 600 | 15 879 | ||
Activit�s de financement | ||||
Net � payer par le gouvernement du Canada | (3 884 042) | (3 273 121) | ||
Les notes compl�mentaires font partie int�grante des �tats financiers. |
1. Autorisations et objectifs
2. Sommaire des principales conventions comptables
Les principales conventions comptables sont les suivantes :
a) Cr�dits parlementaires – Le Tribunal est financ� par le biais de cr�dits parlementaires du gouvernement du Canada. Les cr�dits consentis au Tribunal ne correspondent pas aux rapports financiers pr�vus dans les principes comptables g�n�ralement reconnus du Canada. Ainsi, les postes consign�s dans l’�tat des r�sultats et dans l’�tat de la situation financi�re ne sont pas n�cessairement les m�mes que ceux dot�s par les cr�dits parlementaires. La note 3 pr�sente un rapprochement g�n�ral entre les deux m�thodes de rapports financiers.
b) Net � payer par le gouvernement - Le Tribunal fonctionne au moyen du Tr�sor administr� par le receveur g�n�ral du Canada. Toutes les rentr�es de fonds sont d�pos�es au Tr�sor et toutes les sorties de fonds sont pay�es � m�me le Tr�sor. Le net � payer par le gouvernement correspond � la diff�rence entre les rentr�es et les sorties de fonds, y compris les op�rations interminist�rielles.
c) La variation de la situation nette du Tr�sor correspond � la diff�rence entre le net � payer par le gouvernement et les cr�dits utilis�s au cours d’un exercice, � l’exclusion du montant des revenus non disponibles comptabilis�s par le Tribunal. Ce montant provient d’�carts temporaires entre le moment o� une op�ration touche un cr�dit et le moment o� elle est trait�e par le Tr�sor.
d) Produits – Les produits sont comptabilis�s dans l’exercice o� les op�rations ou les faits sous-jacents surviennent.
e) Charges – Les charges sont comptabilis�es selon la m�thode de la comptabilit� d’exercice :
– Les services fournis gratuitement par d’autres minist�res pour les locaux, les cotisations de l’employeur aux r�gimes de soins de sant� et de soins dentaires et les services juridiques sont comptabilis�s � titre de charges de fonctionnement � leur co�t estimatif.
f) Avantages sociaux futurs
(ii) Indemnit�s de d�part : Les employ�s ont droit � des indemnit�s de d�part, pr�vues dans leurs conventions collectives ou les conditions d’emploi. Le co�t de ces indemnit�s s’accumule � mesure que les employ�s effectuent les services n�cessaires pour les gagner. Le co�t des avantages sociaux gagn�s par les employ�s est calcul� � l’aide de l’information provenant des r�sultats du passif d�termin� sur une base actuarielle pour les prestations de d�part pour l’ensemble du gouvernement.
g) Les d�biteurs enregistr�s par le Tribunal sont imputables � d’autres minist�res du gouvernement. Le recouvrement est consid�r� comme certain donc aucune provision n’a �t� �tablie.
h) Passif �ventuel – Dans le cours normal de ses activit�s, le Tribunal pourrait �tre vis� par diverses actions en justice. Certaines obligations �ventuelles peuvent devenir des obligations r�elles, selon que certains �v�nements se r�aliseront ou non. Dans la mesure o� l’�v�nement futur risque fort de se produire ou de ne pas se produire, et que l’on peut �tablir une estimation raisonnable de la perte, un passif estimatif est constat� et une charge enregistr�e dans les �tats financiers consolid�s du gouvernement. Le passif estimatif n’est pas port� aux �tats financiers du Tribunal jusqu’� ce que son montant soit �tabli avec certitude. Au 31 mars 2008, le Tribunal n’avait pas de passif �ventuel.
i) Immobilisations corporelles – toutes les immobilisations corporelles et les am�liorations locatives dont le co�t initial est de 3 000 $ ou plus, sont comptabilis�s � leur co�t d’achat. Les immobilisations corporelles n’incluent pas les biens incorporels, les œuvres d’art, les tr�sors historiques ayant une valeur culturelle, esth�tique ou historique. Les immobilisations corporelles sont amorties selon une m�thode lin�aire sur la dur�e de vie utile estimative de l’immobilisation, comme suit :
Cat�gorie d’�l�ment d’actif | P�riode d’amortissement |
Fournitures et �quipements | 5 ans |
Mat�riel et logiciels informatique | 3 ans |
k) Incertitude de mesure - La pr�paration de ces �tats financiers conform�ment aux conventions comptables du Conseil du Tr�sor du Canada, qui sont conformes aux principes comptables g�n�ralement reconnus au Canada dans le secteur public, exige de la direction qu’elle fasse des estimations et formule des hypoth�ses qui influent sur les montants d�clar�s des actifs, des passifs, des revenus et des charges pr�sent�s dans les �tats financiers. Au moment de la pr�paration des pr�sents �tats financiers, la direction consid�re que les estimations et les hypoth�ses sont raisonnables. Les principaux �l�ments auxquels s’applique l’usage des estimations sont le passif �ventuel, le passif pour les indemnit�s de d�part et la dur�e de vie utile des immobilisations corporelles. Les r�sultats r�els pourraient diff�rer des estimations de mani�re significative. Les estimations de la direction sont examin�es p�riodiquement et � mesure que les rajustements deviennent n�cessaires, ils sont constat�s dans les �tats financiers de l’exercice o� ils sont connus.
3. Cr�dits parlementaires
a) Rapprochement du co�t de fonctionnement net et des cr�dits parlementaires de l’exercice en cours :
(en dollars)
2008 | 2007 | ||
Co�t de fonctionnement net | 5 035 227 | 3 725 144 | |
Rajustements pour les postes ayant une incidence sur le co�t de fonctionnement net, mais qui n’ont pas d’incidence sur les cr�dits : | |||
Ajouter (d�duire) : | |||
Services fournis gratuitement par d’autres minist�res | (527 471) | (392 301) | |
Hausse du passif des prestations de d�part | (180 254) | (131 068) | |
Hausse du passif des indemnit�s de vacances et des cong�s compensatoires | (34 782) | (24 578) | |
Revenu non disponible pour d�penser | 15 223 | 29 210 | |
Amortissement des immobilisations corporelles | (8 602) | (6 393) | |
4 299 341 | 3 200 014 | ||
Rajustements pour les postes sans incidence sur les r�sultats d’exploitation nets, mais ayant une incidence sur les cr�dits : | |||
Ajouter (d�duire) : | |||
Acquisition d’immobilisations corporelles | 4 600 | 15 879 | |
Cr�dits de l’exercice en cours utilis�s | 4 303 941 | 3 215 893 |
b) Cr�dits de l’exercice en cours utilis�s :
(en dollars)
2008 | 2007 | ||
Provenant des comptes publics | |||
Cr�dit 105 – D�penses de fonctionnement | 4 710 000 | ||
Cr�dit 90 – D�penses de fonctionnement | 4 451 000 | ||
Transfert du Conseil du Tr�sor – Cr�dit 15 | 30 000 | ||
Transfert du Conseil du Tr�sor – Cr�dit 22 | 235 500 | ||
Contributions au r�gime d’avantages sociaux des employ�s | 402 257 | 312 782 | |
Ali�nation des biens exc�dentaires de l’�tat | 11 | ||
Moins : | |||
Cr�dits annul�s : Fonctionnement | (814 827) | (1 806 888) | |
Cr�dits de l’exercice en cours utilis�s | 4 303 941 | 3 215 894 |
c) Rapprochement de l’encaisse nette fournie par le gouvernement et des cr�dits de l’exercice en cours utilis�s :
(en dollars)
2008 | 2007 | ||
Encaisse nette fournie par le gouvernement | 3 884 042 | 3 273 122 | |
Revenu non disponible pour d�penser | 15 223 | 29 210 | |
Contre-passation des d�penses li�es � Justice Canada | – | ||
Variation de la situation nette du Tr�sor : | |||
Variation des d�biteurs et des avances | 100 672 | (17 382) | |
Variation des cr�diteurs et des charges � payer | 304 004 | (69 056) | |
404 676 | (86 438) | ||
Cr�dits de l’exercice en cours utilis�s | 4 303 941 | 3 215 894 |
4. Immobilisations corporelles
(en dollars)
Cat�gorie d’immobilisations | Co�t | Amortissement cumul� | 2008 | 2007 | ||||
Solde d’ouverture | Acquisitions | Solde de cl�ture | Solde d’ouverture | Amortissement | Solde de cl�ture | Valeur comptable nette | Valeur comptable nette | |
Mat�riel informatique | 12 828 | 4 600 | 17 428 | 5 146 | 5 426 | 10 572 | 6 856 | 7 682 |
Fournitures et �quipement | 15 879 | – | 15 879 | 2 117 | 3 176 | 5 293 | 10 586 | 13 762 |
Total | 28 707 | 4 600 | 33 307 | 7 263 | 8 602 | 15 865 | 17 442 | 21 444 |
La charge d’amortissement pour l’exercice se terminant le 31 mars 2008 s’�l�ve � 8 602 $ (6 393 $ en 2006-2007)
5. Avantages sociaux des employ�s
Les employ�s comme le Tribunal paient des cotisations couvrant les co�ts du r�gime. En 2007-2008, les charges s’�l�vent � 180 254 $ (131 068 $ en 2006-2007), soit environ 2,1 fois les cotisations des employ�s (2,2 fois en 2006-2007).
La responsabilit� du Tribunal relative au r�gime de retraite se limite aux cotisations vers�es. Les exc�dents ou les d�ficits actuariels sont constat�s dans les �tats financiers du gouvernement du Canada, en sa qualit� de r�pondant du r�gime.
b) Indemnit�s de d�part : Le Tribunal verse des indemnit�s de d�part aux employ�s en fonction de l’admissibilit�, des ann�es de service et du salaire final. Ces indemnit�s ne sont pas capitalis�es d’avance. Les prestations seront pr�lev�es sur les cr�dits futurs. Voici quelles �taient les indemnit�s de d�part au 31 mars :
2008 | 2007 | |
(en dollars) | ||
Obligation au titre des prestations constitu�es, d�but de l’exercice | 363 918 | 232 851* |
Charge pour l’exercice | 180 254 | 131 068 |
Prestations vers�es pendant l’exercice | – | – |
Obligation au titre des prestations constitu�es, fin de l’exercice | 544 172 | 363 919 |
* L’obligation au titre des prestations constitu�es, d�but de l’exercice 2007, a �t� modifi�e en fonction des comptes du Tribunal.
6. Op�rations entre entit�s apparent�es
Services fournis gratuitement : Au cours de l’exercice, le Tribunal re�oit gratuitement des services d’autres minist�res (installations et cotisations de l’employeur au r�gime de soins de sant� et au r�gime de soins dentaires). Ces services gratuits ont �t� constat�s comme suit dans l’�tat des r�sultats du Tribunal :
2008 | 2007 | |
(en dollars) | ||
Installations | 339 089 | 249 312 |
Cotisations de l’employeur au r�gime de soins de sant� et au r�gime de soins dentaires | 188 382 | 142 989 |
Total | 527 471 | 392 301 |
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