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Renseignements supplémentaires (Tableaux)
Le tableau qui suit présente l'ensemble des revenus disponibles par activité de programme et des revenus non disponibles par classement et par source.
Les revenus disponibles proviennent des droits d'utilisation ou du recouvrement du coût des services ministériels. Ces revenus, internes et externes au gouvernement, lui sont pour la plupart externes.
Les revenus disponibles proviennent de différentes sources, dont les instruments médicaux, la dosimétrie, l'évaluation des présentations de drogues, les médicaments vétérinaires, la réglementation de la lutte antiparasitaire, la sécurité des produits, les revenus hospitaliers provenant du paiement des services rendus dans les hôpitaux des Premières nations et des Inuits, que couvrent les régimes provinciaux et territoriaux, et la vente de médicaments et de services de santé aux collectivités des Premières nations.
Les revenus non disponibles sont montrés par source afin d'exprimer les données dans un format utile. Le Ministère n'est pas autorisé à dépenser ces revenus.
Activité de programme | 2008-2009 Revenus réels (en millions de dollars) |
2009-2010 Revenus réels (en millions de dollars) |
2010-2011 (en millions de dollars) | |||
---|---|---|---|---|---|---|
Budget principal des dépenses |
Revenus prévus |
Autorisations totales |
Revenus réels |
|||
Produits de santé | 44.6 | 43.4 | 40.7 | 40.7 | 40.7 | 45.8 |
Aliments et nutrition | 0.0 | 0.0 | 0.0 | 0.0 | 0.0 | 0.0 |
Santé environnementale durable | 6.3 | 6.1 | 1.4 | 1.4 | 1.4 | 6.4 |
Produits de consommation | 0.0 | 0.0 | 0.4 | 0.4 | 0.4 | 0.0 |
Santé en milieu de travail | 9.0 | 9.2 | 14.0 | 14.0 | 14.0 | 9.5 |
Réglementation des pesticides | 7.3 | 7.5 | 7.0 | 7.0 | 7.0 | 9.6 |
Programmes et services liés à la santé des Premières nations et des Inuits | 3.5 | 3.1 | 5.4 | 5.4 | 5.4 | 4.3 |
Services internes | 0.0 | 0.7 | 0.7 | 0.7 | 0.7 | 0.7 |
Total des revenus disponibles | 70.7 | 70.0 | 69.6 | 69.6 | 69.6 | 76.3 |
Activité de programme | 2008-2009 Revenus réels (en millions de dollars) |
2009-2010 Revenus réels (en millions de dollars) |
2010-2011 (en millions de dollars) |
|||
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Revenus prévus |
Revenus réels |
Autorisations totales |
Revenus réels |
|||
Revenus non fiscaux | ||||||
Remboursement des dépenses | 47.8 | 31.2 | 0.0 | 0.0 | 0.0 | 51.9 |
Vente de biens et de services | 3.9 | 6.8 | 0.0 | 0.0 | 0.0 | 5.2 |
Autres droits et frais | 8.4 | 7.8 | 0.0 | 8.9 | 8.9 | 9.2 |
Produits de l'aliénation de biens excédentaires de l'État | 0.4 | 0.5 | 0.0 | 0.0 | 0.0 | 0.2 |
Divers revenus non fiscaux | 0.0 | 0.0 | 0.0 | 0.0 | 0.0 | 0.0 |
Total des revenus non disponibles | 60.5 | 46.3 | 0.0 | 8.9 | 8.9 | 66.5 |
TOTAL DES REVENUS | 131.2 | 116.3 | 69.6 | 78.5 | 78.5 | 142.8 |
(1) Les coûts totaux reflètent les dépenses réelles enregistrées dans une année donnée et ne prennent pas en compte les coûts supplémentaires nécessaires pour régler les arriérés actuels et prévenir toute nouvelle accumulation de demandes en 2010 2011.
Frais d'utilisation : Autorisation de vendre un médicament
Type de frais : Réglementaire (R)
Pouvoir d'établissement des frais : Loi sur la gestion des finances publiques (LGFP)
Date de la plus récente modification : Déc. 1994
Normes de rendement : 120 jours civils pour la mise à jour de la Base de données sur les produits pharmaceutiques à la suite de la notification
Résultats en matière de rendement : 100 % en deçà de 120 jours civils
2010-2011 (en milliers de dollars) |
Années de planification (en milliers de dollars) |
||||
---|---|---|---|---|---|
Revenus prévus | Revenus réels | Coût total | Exercice | Revenus prévus | Coût total estimatif |
7 700 $ | 7 615 $ | 47 205 $ (1) | 2011-2012 | 8 553 $ | 53 095 $ |
2012-2013 | 8 724 $ | 56 760 $ | |||
2013-2014 | 8 899 $ | 57 896 $ |
Autres renseignements :
Frais d'utilisation : Licence d'établissement de produits pharmaceutiques
Type de frais : Réglementaire (R)
Pouvoir d'établissement des frais : Loi sur la gestion des finances publiques (LGFP)
Date de la plus récente modification : Déc. 1997
Normes de rendement : 250 jours civils pour la délivrance/renouvellement de la licence
Résultats en matière de rendement : 97,4 % des licences délivrées/renouvelées en deçà de 250 jours civils
2010-2011 (en milliers de dollars) |
Années de planification (en milliers de dollars) |
||||
---|---|---|---|---|---|
Revenus prévus | Revenus réels | Coût total | Exercice | Revenus prévus | Coût total estimatif |
6 000 $ | 7 875 $ | 20 297 $ (1) | 2011-2012 | 21 901 $ | 26 080 $ |
2012-2013 | 22 339 $ | 26 601 $ | |||
2013-2014 | 22 786 $ | 27 133 $ |
Autres renseignements :
Frais d'utilisation : Évaluation des présentations de drogues (produits pharmaceutiques et biologiques)
Type de frais : Réglementaire (R)
Pouvoir d'établissement des frais : Loi sur la gestion des finances publiques (LGFP)
Date de la plus récente modification : Août 1995
Normes de rendement : Examen 1 (délai moyen en jours civils)
Produits pharmaceutiques
PDN : Priorité NSA = 180
PDN : NSA = 300
PDN : Clin seulement = 300
PDN : Clin/C&F = 300
PDN : Priorité Clin/C&F = 180
PDN : Étiquetage seulement = 60
PDN : Comp/C&F = 180
PADN : C&F/Étiquetage = 180
PADN : Comp/ C&F = 180
SPDN : Clin/C&F = 300
SPDN : Clin seulement = 300
SPDN : Comp/C&F = 180
SPDN : C&F/Étiquetage = 180
SPDN : Rx à VL - Nouvelle indication = 300
SPDN : Rx à VL - Aucune nouvelle indication =180
SPDN : Étiquetage seulement = 60
SPDN-C : Clin seulement =300
SPADN : Clin seulement = 300
SPADN : Comp/C&F = 180
SPADN : C&F/Étiquetage = 180
SPADN : Étiquetage seulement = 60
DDIN avec données = 210
DDIN formule seulement = 180
DDIN-D avec données = 210
DDIN-D formule seulement = 180
Produits biologiques
PDN : Priorité NSA = 180
PDN : NSA = 300
PDN : Clin/C&F = 300
PADN : Comp/C&F =180
SPDN : Priorité clin seulement = 180
SPDN : Clin/C&F = 300
SPDN : Clin seulement = 300
SPDN : Comp/C&F = 180
SPDN : C&F/Étiquetage = 180
SPDN : Étiquetage seulement = 60
SPDN : AC-c Clin seulement = 200
DDIN-B avec données = 210
DDIN-B formule seulement = 180
Résultats en matière de rendement : Examen 1 (délai moyen en jours civils)
Produits pharmaceutiques
PDN : Priorité NSA = 169
PDN : NSA = 310
PDN : Clin seulement = 295
PDN : Clin/C&F = 316
PDN : Priorité Clin/C&F = 180
PDN : Étiquetage seulement = 50
PDN : Comp/ C&F = 325
PADN : C&F /Étiquetage = 307
PADN : Comp/C&F = 385
SPDN : Clin/C&F = 347
SPDN : Clin seulement = 270
SPDN : Comp/C&F = 233
SPDN : C&F/Étiquetage = 235
SPDN : Rx à VL - Nouvelle indication = S.O.
SPDN : Rx à VL - Aucune nouvelle indication = S.O.
SPDN : Étiquetage seulement = 64
SPDN-C : Clin seulement = 277
SPADN : Clin seulement = 343
SPADN : Comp/C&F = 301
SPADN : C&F/Étiquetage = 332
SPADN : Étiquetage seulement = 53
DDIN avec données = 396
DDIN formule seulement = 213
DDIN-D avec données = 147
DDIN-D formule seulement = 111
Produits biologiques
PDN : Priorité NSA = 175
PDN : NSA = 274
PDN : Clin/C&F = 302
PADN : Comp/C&F = S.O
SPDN : Priorité clin seulement = 187
SPDN : Clin/C&F = 291
SPDN : Clin seulement = 257
SPDN : Comp/C&F = 180
SPDN : C&F/Étiquetage = 167
SPDN : Étiquetage seulement = 37
SPDN : AC-c Clin seulement = 250
DDIN-B avec données = 94
DDIN-B formule seulement = 90
2010-2011 (en milliers de dollars) |
Années de planification (en milliers de dollars) |
||||
---|---|---|---|---|---|
Revenus prévus | Revenus réels | Coût total | Exercice | Revenus prévus | Coût total estimatif |
23 000 $ | 22 657 $ | 79 367 $ (1) | 2011-2012 | 40 870 $ | 87 157 $ |
2012-2013 | 50 060 $ | 93 319 $ | |||
2013-2014 | 51 061 $ | 95 185 $ |
Autres renseignements :
Frais d'utilisation : Demande d'homologation de matériels médicaux
Type de frais : Réglementaire (R)
Pouvoir d'établissement des frais : Loi sur la gestion des finances publiques (LGFP)
Date de la plus récente modification : Août 1998
Normes de rendement : Délai d'examen jusqu'à la première décision (jours civils)
Examen 1 (délai moyen en jours civils)
Classe II = 15
Classe II modif. = 15
Classe II Étiquette privée = 15
Classe II modif. Étiquette privée = 15
Classe III = 60
Classe III modif. = 60
Classe IV = 75
Classe IV modif. = 75
Résultats en matière de rendement : Délai moyen d'examen jusqu'à la première décision (jours civils)
Examen 1 (délai moyen en jours civils)
Classe II = 14,7
Classe II modif. = 10,25
Classe II Étiquette privée = 15,95
Classe II modif. Étiquette privée = 13,28
Classe III = 69,64
Classe III modif. = 66,47
Classe IV = 104,84
Classe IV modif. = 61,29
2010-2011 (en milliers de dollars) |
Années de planification (en milliers de dollars) |
||||
---|---|---|---|---|---|
Revenus prévus | Revenus réels | Coût total | Exercice | Revenus prévus | Coût total estimatif |
3 800 $ | 4 025 $ | 11 684 $ (1) | 2011-2012 | 9 425 $ | 14 864 $ |
2012-2013 | 9 613 $ | 16 266 $ | |||
2013-2014 | 9 805 $ | 16 591 $ |
Autres renseignements :
Frais d'utilisation : Autorisation de vente de matériel médical homologué
Type de frais : Réglementaire (R)
Pouvoir d'établissement des frais : Loi sur la gestion des finances publiques (LGFP)
Date de la plus récente modification : Août 1998
Normes de rendement : 20 jours civils de l'échéance pour la réception de l'avis annuel de mise à jour de la Base de données des listes des instruments médicaux homologués en vigueur (MDALL)
Résultats en matière de rendement : 100 % en deçà de 20 jours civils
2010-2011 (en milliers de dollars) |
Années de planification (en milliers de dollars) |
||||
---|---|---|---|---|---|
Revenus prévus | Revenus réels | Coût total | Exercice | Revenus prévus | Coût total estimatif |
1 800 $ | 2 662 $ | 7 378 $ (1) | 2011-2012 | 8 377 $ | 10 927 $ |
2012-2013 | 8 545 $ | 12 408 $ | |||
2013-2014 | 8 715 $ | 12 656 $ |
Autres renseignements :
Frais d'utilisation : Autorisation d'établissement de matériels médicaux
Type de frais : Réglementaire (R)
Pouvoir d'établissement des frais : Loi sur la gestion des finances publiques (LGFP)
Date de la plus récente modification : Janv. 2000
Normes de rendement : 120 jours civils pour la délivrance/renouvellement de la licence
Résultats en matière de rendement : 99,5 % des licences délivrées/
renouvelées en deçà de 120 jours civils
2010-2011 (en milliers de dollars) |
Années de planification (en milliers de dollars) |
||||
---|---|---|---|---|---|
Revenus prévus | Revenus réels | Coût total | Exercice | Revenus prévus | Coût total estimatif |
3 000 $ | 4 115 $ | 6 089 $ (1) | 2011-2012 | 11 992 $ | 13 505 $ |
2012-2013 | 12 232 $ | 13 775 $ | |||
2013-2014 | 12 477 $ | 14 051 $ |
Autres renseignements :
Frais d'utilisation : Évaluation des drogues vétérinaires
Type de frais : Réglementaire (R)
Pouvoir d'établissement des frais : Loi sur la gestion des finances publiques (LGFP)
Date de la plus récente modification : Mars 1996
Normes de rendement : Délai d'examen jusqu'à la première décision (jours civils)
PDN (y compris l'examen des priorités) = 300
PADN = 300
SPDN = 240
SPADN = 240
Admin = 90
DDIN (y compris les modifications apportées aux DIN) = 120
MP = 90
CEE = 60
Étiquettes = 45
Distribution d'une drogue pour traitement d'urgence = 2
Résultats en matière de rendement : Délai moyen d'examen jusqu'à la première décision (jours civils)
PDN (y compris l'examen des priorités) = 290
PADN = 303
SPDN = 261
SPADN = 242
Admin = 121
DDIN (y compris les modifications apportées aux DIN) = 128
MP = 131
CEE = 67
Étiquettes = 55
Distribution d'une drogue pour traitement d'urgence = 1
2010-2011 (en milliers de dollars) |
Années de planification (en milliers de dollars) |
||||
---|---|---|---|---|---|
Revenus prévus | Revenus réels | Coût total | Exercice | Revenus prévus | Coût total estimatif |
650 $ | 719 $ | 9 783 $ (1) | 2011-2012 | 739 $ | 10 057 $ |
2012-2013 | 760 $ | 10 338 $ | |||
2013-2014 | 781 $ | 10 628 $ |
Autres renseignements :
Frais d'utilisation : Droits à acquitter pour le Service d'évaluation des demandes relatives aux produits antiparasitaires
Type de frais : Réglementaire (R)
Pouvoir d'établissement des frais : Loi sur les produits antiparasitaires (LPA)
Date de la plus récente modification : Avril 1997
Normes de rendement : L'objectif est de 90 % pour le traitement dans les délais indiqués des présentations de toutes les catégories.
http://www.pmra-arla.gc.ca/francais/pdf/pro/pro9601-f.pdf
Catégorie A
Norme - 550 jours
Demande de l'utilisateur
Homologation de produits à usage limité (PHULDU) - 365 jours
Catégorie B
Norme/priorité - 365 jours
Catégorie C
Norme - 180 ou 225 jours
Catégorie D
PIPAFE - 32 jours;
UIP - 56 jours;
EPEULDU - 60 jours;
Fiche maîtresse - 21 jours.
Catégorie E
Nouvelle substance active - aliments - 365 jours;
Nouvelle substance active - non-aliments - 165 jours.
Résultats en matière de rendement :
Catégorie A = 82 % dans l'ensemble alors que 100 % des examens conjoints ont été réalisés en utilisant les normes internationales établies.
Catégorie B = 80 % dans l'ensemble pour l'exercice financier.
Catégorie C = 74%
Catégorie D = 87 %
Catégorie E = 31 %
2010-2011 (en milliers de dollars) |
Années de planification (en milliers de dollars) |
||||
---|---|---|---|---|---|
Revenus prévus | Revenus réels | Coût total | Exercice | Revenus prévus | Coût total estimatif |
3 490 $ | 5 073,1 $ | 40 821 $ | 2011-2012 | 3 490 $ | 36 611 $ |
2012-2013 | 3 490 $ | 36 611 $ | |||
2013-2014 | 3 490 $ | 36 611 $ |
Autres renseignements :
Frais d'utilisation : Frais à acquitter pour le droit ou le privilège de fabriquer ou de vendre un produit antiparasitaire au Canada et frais afférents à l'établissement d'une limite maximale de résidus pour un tel produit
Type de frais :
Pouvoir d'établissement des frais : Loi sur la gestion des finances publiques (LGFP)
Date de la plus récente modification : Avril 1997
Normes de rendement : Les frais afférents au droit ou au privilège de fabriquer ou de vendre un produit antiparasitaire au Canada sont facturés intégralement au plus tard le 30 avril de chaque exercice.
Résultats en matière de rendement : 100 % de toutes les factures produites au plus tard le 30 avril 2010.
2010-2011 (en milliers de dollars) |
Années de planification (en milliers de dollars) |
||||
---|---|---|---|---|---|
Revenus prévus | Revenus réels | Coût total | Exercice | Revenus prévus | Coût total estimatif |
4 500 $ | 4 428 $ | 29 318 $ | 2011-2012 | 4 500 $ | 36 611 $ |
2012-2013 | 4 500 $ | 36 611 $ | |||
2013-2014 | 4 500 $ | 36 611 $ |
Autres renseignements :
Frais d'utilisation : Frais imposés de traitement des demandes relevant de la Loi sur l'accès à l'information (LAI)
Type de frais : Autres produits et services (O)
Pouvoir d'établissement des frais : Loi sur l'accès à l'information (LAI)
Date de la plus récente modification : 1992
Normes de rendement : Réponse donnée en deçà de 30 jours après réception de la demande; le délai de réponse peut être prolongé en vertu de l'article 9 de la LAI.
LAI : http://laws-lois.justice.gc.ca/fra/lois/A-1/
Résultats en matière de rendement : Au cours de l'exercice 2010 2011, Santé Canada a traité 1 535 (71 %) des 2 147 demandes actives.
Santé Canada a pu répondre en 30 jours ou moins à 700 (45,6 %) des cas traités. * Pour le reste des cas, le Ministère a répondu à 171 (11,1 %) dans les 31 à 60 jours, à 178 (11,6 %) dans les 61 à 120 jours et à 486 (31,7 %) dans les 121 jours et plus.
*Un avis de prorogation de délai est envoyé à l'auteur de la demande en deçà de 30 jours après réception de la demande.
2010-2011 (en milliers de dollars) |
Années de planification (en milliers de dollars) |
||||
---|---|---|---|---|---|
Revenus prévus | Revenus réels | Coût total | Exercice | Revenus prévus | Coût total estimatif |
10 $ | 15,5 $ | 2 340 $ | 2011-2012 | 10 $ | 1 800 $ |
2011-2012 | 10 $ | 1 800 $ | |||
2013-2014 | 100 $ | 1 800 $ |
Autres renseignements :
Veuillez noter que, selon un avis juridique couramment admis, si l'imposition des frais correspondants ou la modification la plus récente a eu lieu avant le 31 mars 2004 :
2010-2011 (en milliers de dollars) |
Années de planification (en milliers de dollars) |
|||||
---|---|---|---|---|---|---|
Revenus prévus | Revenus réels | Coût total | Exercice | Revenus prévus | Coût total estimatif | |
Sous-total - redevances réglementaires | 53 940 $ | 59 169 $ | 251 942 $ | 2011-2012 | 109 847 $ | 278 590 $ |
2012-2013 | 120 263 $ | 292 372 $ | ||||
2013-2014 | 122 514 $ | 297 045 $ | ||||
Sous-total -autres produits et services | 10 $ | 15,5 $ | 2 340 $ | 2011-2012 | 10 $ | 1 800 $ |
2012-2013 | 10 $ | 1 800 $ | ||||
2013-2014 | 10 $ | 1 800 $ | ||||
Total | 53 950 $ | 59 184,5 $ | 254 282 $ | 2011-2012 | 109 857 $ | 280 390 $ |
2012-2013 | 120 273 $ | 294 172 $ | ||||
2013-2014 | 122 524 $ | 298 845 $ |
B. Date de dernière modification :
C. Autres renseignements :
Sigles
PDN : présentation de drogue nouvelle
SPDN : supplément à une présentation de drogue nouvelle
PADN : présentation abrégée de drogue nouvelle
SPADN : supplément à une présentation abrégée de drogue nouvelle
DDIN : demande de numéro d'identification de médicament
PDNR : présentation de drogue nouvelle de recherche
CEE : certificat d'études expérimentales
MP : modification nécessitant un préavis
NSA : nouvelle substance active
VL : en vente libre
Rx : ordonnance
Clin : clinique
Comp : biologique comparative, clinique ou pharmacodynamique
C&F : chimie et fabrication
AC-c : avis de conformité avec conditions
Frais externes | Norme de service | Résultats en matière de rendement | Consultation des intervenants |
---|---|---|---|
Autorisation de vendre un médicament | 120 jours civils pour la mise à jour de la base de données des produits pharmaceutiques à la suite de la notification | 100 % en deçà de 120 jours civils | En avril 2010, la proposition de Santé Canada visant à actualiser les frais pour les activités réglementaires liées aux médicaments pour usage humain et aux matériels médicaux a été déposée devant le Parlement, comme l'exige la Loi sur les frais d'utilisation. Le Comité sénatorial permanent des affaires sociales, des sciences et
de la technologie a entrepris un examen de la proposition et a recommandé au Sénat de l'approuver sans la modifier. Le 26 mai 2010, le Sénat a adopté le rapport de son Comité, concluant ainsi l'examen parlementaire de la proposition de Santé Canada. Comme les frais d'utilisation sont établis par voie de réglementation, tout changement pour les mettre à jour doit faire l'objet du processus de la Gazette du Canada. La proposition réglementaire a été publiée dans la Partie I de la Gazette du Canada le 13 novembre 2010, pour une période de consultation de 75 jours. Un sommaire des commentaires des intervenants et des réponses de Santé Canada a été publié dans la Partie II de la Gazette du Canada dans le Résumé de l'étude d'impact de la réglementation qui accompagne les règlements. Les règlements contenant les frais d'utilisation actualisés sont entrés en vigueur le 1er avril 2011 et s'appliqueront aux activités réalisées en 2011 2012. La norme de service relative au certificat d'exportation de drogues (produits pharmaceutiques) a été révisée, puis mise en œuvre en janvier 2011. Aucune autre révision de cette norme de service n'est prévue. Les frais d'utilisation ne faisant pas l'objet d'une réglementation et les frais associés au certificat d'exportation de drogues (produits pharmaceutiques) et aux fiches maîtresses de médicaments sont révisés séparément. |
* Certificats d'exportation de drogues (produits pharmaceutiques) | 5 jours ouvrables pour l'émission du certificat 10 jours ouvrables pour l'émission du certificat |
38,30 % en deçà de 5 jours ouvrables (d'avril à décembre) 43 % en deçà de 10 jours ouvrables (de janvier à mars et actuellement) |
|
Licence d'établissement de produits pharmaceutiques | 250 jours civils pour délivrer ou renouveler une licence | 97,40 % en deçà de 250 jours civils | |
* Fiches maîtresses de médicaments | 30 jours civils | 100 % en deçà de 30 jours civils à partir de la réception d'un dossier complet concernant l'enregistrement d'une nouvelle fiche maîtresse de médicament ou le traitement d'une lettre d'accès. | |
Évaluation des présentations de drogue (produits pharmaceutiques et biologiques) | Examen 1 (délai moyen en jours civils) Produits pharmaceutiques PDN : Priorité NSA = 180 PDN : NSA = 300 PDN : Clin seulement = 300 PDN : Clin/C&F = 300 PDN : Priorité Clin/C&F = 180 PDN : Étiquetage seulement = 60 PDN : Comp/C&F = 180 PADN : C&F/Étiquetage = 180 PADN : Comp/ C&F = 180 SPDN : Clin/C&F = 300 SPDN : Clin seulement = 300 SPDN : Comp/C&F = 180 SPDN : C&F/Étiquetage = 180 SPDN : Rx à VL - Nouvelle indication = 300 SPDN : Rx à VL - Aucune nouvelle indication =180 SPDN : Étiquetage seulement = 60 SPDN-C : Clin seulement =300 SPADN : Clin seulement = 300 SPADN : Comp/C&F = 180 SPADN : C&F/Étiquetage = 180 SPADN : Étiquetage seulement = 60 DDIN avec données = 210 DDIN formule seulement = 180 DDIN-D avec données = 210 DDIN-D formule seulement = 180 Produits biologiques PDN : Priorité NSA =180 PDN : NSA = 300 PDN : Clin/C&F = 300 PADN : Comp/ C&F =180 SPDN : Priorité clin seulement = 180 SPDN : Clin/C&F = 300 SPDN : Clin seulement = 300 SPDN : Comp/C&F = 180 SPDN : C&F/Étiquetage = 180 SPDN : Étiquetage seulement = 60 SPDN : AC-c Clin seulement = 200 DDIN-B avec données = 210 DDIN-B formule seulement = 180 |
Examen 1 (délai moyen en jours civils) Produits pharmaceutiques PDN : Priorité NSA = 169 PDN : NSA = 310 PDN : Clin seulement = 295 PDN : Clin/C&F = 316 PDN : Priorité Clin/C&F = 180 PDN : Étiquetage seulement = 50 PDN : Comp/ C&F = 325 PADN : C&F /Étiquetage = 307 PADN : Comp/C&F = 385 SPDN : Clin/C&F = 347 SPDN : Clin seulement = 270 SPDN : Comp/C&F = 233 SPDN : C&F/Étiquetage = 235 SPDN : Rx à VL - Nouvelle indication = S.O. SPDN : Rx à VL - Aucune nouvelle indication = S.O. SPDN : Étiquetage seulement = 64 SPDN-C : Clin seulement = 277 SPADN : Clin seulement = 343 SPADN : Comp/C&F = 301 SPADN : C&F/Étiquetage = 332 SPADN : Étiquetage seulement = 53 DDIN avec données = 396 DDIN formule seulement = 213 DDIN-D avec données = 147 DDIN-D formule seulement = 111 Produits biologiques PDN : Priorité NSA = 175 PDN : NSA = 274 PDN : Clin/C&F = 302 PADN : Comp/ C&F = S.O SPDN : Priorité clin seulement = 187 SPDN : Clin/C&F = 291 SPDN : Clin seulement = 257 SPDN : Comp/C&F = 180 SPDN : C&F/Étiquetage = 167 SPDN : Étiquetage seulement = 37 SPDN : AC-c Clin seulement = 250 DDIN-B avec données = 94 DDIN-B formule seulement = 90 |
|
Demande d'homologation de matériels médicaux | Examen 1 (délai moyen en jours civils) Classe II = 15 Classe II modif. = 15 Classe II Étiquette privée = 15 Classe II modif. Étiquette privée = 15 Classe III = 60 Classe III modif. = 60 Classe IV = 75 Classe IV modif. = 75 |
Examen 1 (délai moyen en jours civils) Classe II = 14,7 Classe II modif. = 10,25 Classe II Étiquette privée = 15,95 Classe II modif. Étiquette privée = 13,28 Classe III = 69,64 Classe III modif. = 66,47 Classe IV = 104,84 Classe IV modif. = 61,29 |
|
Autorisation de vente de matériel médical homologué | 20 jours civils de l'échéance pour la réception de l'avis annuel de mise à jour de la Base de données des listes des instruments médicaux homologués en vigueur (MDALL). | 100 % en deçà de 20 jours civils | |
Licence d'établissement de matériels médicaux | 120 jours civils pour délivrer ou renouveler une licence | 99,50 % des licences délivrées ou renouvelées en deçà de 120 jours | |
Évaluation des drogues vétérinaires | Délai d'examen jusqu'à la première décision (jours civils) PDN (y compris l'examen des priorités) = 300 PADN = 300 SPDN = 240 SPADN = 240 Admin = 90 DDIN (y compris les modifications apportées aux DIN) = 120 MP = 90 CEE = 60 Étiquettes = 45 Distribution d'une drogue pour traitement d'urgence = 2 |
Délai d'examen jusqu'à la première décision (jours civils) PDN (y compris l'examen des priorités) = 290 PADN = 303 SPDN = 261 SPADN = 242 Admin = 121 DDIN (y compris les modifications apportées aux DIN) = 128 MP = 131 CEE = 67 Étiquettes = 55 Distribution d'une drogue pour traitement d'urgence = 1 |
Aucune proposition précise n'a été présentée aux intervenants en ce qui a trait à la révision des normes et des frais associés aux drogues vétérinaires. |
* Structure de produits, de services et de frais des Services nationaux de dosimétrie (P, S&F SND) | Fournir des services opportuns, adaptés et fiables à 95 000 travailleurs de 12 500 groupes : i) Enregistrement et inspection des dosimètres reçus en moins de 48 heures. ii) Signalement des expositions supérieures aux limites réglementaires dans les 24 heures. iii) Les dosimètres quittent les locaux des SND de dix à treize jours ouvrables avant la date d'échange. iv) Retour des messages (téléphone, courriel) dans les 24 heures. v) Information sur le compte mise à jour dans les 48 heures. vi) Dosimètres additionnels demandés expédiés dans les 24 heures. vii) Rapports d'exposition pour le service régulier envoyés dans les dix jours de la réception des dosimètres. |
Des services opportuns, adaptés et fiables ont été fournis à 95 000 travailleurs de 12 500 groupes. Les normes ont été respectées comme suit : i) > 99 % Enregistrement et inspection des dosimètres reçus en moins de 48 heures. ii) 100 % Signalement des expositions supérieures aux limites réglementaires dans les 24 heures. iii) > 99 % Les dosimètres quittent les locaux des SND de dix à treize jours avant la date d'échange. iv) > 95 % Retour des messages dans les 24 heures. 87 % des appels entrants répondus immédiatement. v) > 90 % Information sur le compte mise à jour dans les 48 heures. vi) > 99 % Dosimètres additionnels demandés expédiés dans les 24 heures. vii) 97 % Rapports d'exposition pour le service régulier envoyés dans les dix jours de la réception des dosimètres. |
Depuis le 1er janvier 2011, des dosimètres InLight sont envoyés aux clients, ce qui marque le début du passage à ce nouveau produit de dosimétrie.
Ces interactions ont permis aux SND de mesurer la satisfaction par rapport au niveau de service, et d'avoir un aperçu des besoins du point de vue des nouveaux services et produits. Le nombre total de plaintes s'élevait à 238, comparativement à 183 l'année dernière. Le traitement et la mise à jour des comptes des clients ont été effectués dans les deux jours suivant la communication avec le client. La rétroaction des clients (compliments et critiques) a été traitée selon les besoins. Le personnel a répondu à 92 préoccupations présentées par des clients. Des renseignements supplémentaires sur les services ont été obtenus pendant les communications régulières avec les clients et, au besoin, au moyen de questionnaires sur les départs. Sur une base de plus de 525 000 lectures de dosimètre en 2010 2011, le taux de satisfaction à l'égard des SND est de plus de 99 % selon le ratio de plaintes par rapport aux résultats signalés. |
* Services de certificats de contrôle sanitaire des navires (anciennement les Services de dératisation) |
Santé Canada fournit un service de sept jours dans les ports désignés, et toutes les demandes reçoivent une réponse dans les 48 heures. | 694 enquêtes relatives aux certificats de contrôle sanitaire de navires ont été effectuées en 2010 2011; de ce nombre, 72 % (498/694) ont été effectuées dans des ports désignés. Toutes les demandes ont été traitées dans les 48 heures. |
Aucune modification aux normes de service n'a été apportée en 2010 2011. |
* Programme d'inspection des navires de croisière | Inspections périodiques effectuées un minimum d'une fois par saison de navigation à bord des navires dans les eaux canadiennes. Rapports finaux soumis en deçà de dix jours ouvrables. Réinspection de tous les navires ayant obtenu une note de moins de 85 %. Santé Canada publie les résultats d'inspection du Programme d'inspection des navires de croisière à l'adresse suivante : http://www.hc-sc.gc.ca/hl-vs/travel-voyage/general/ship-navire-fra.php |
73 inspections de navires de croisières ont été effectuées en 2010 2011. Tous les rapports finaux ont été soumis en deçà de dix jours ouvrables. 4 % (3/73) des navires de croisière ont obtenu une note inférieure à 85 %, mais il a été impossible d'inspecter à nouveau deux des trois navires puisqu'ils ont quitté les eaux canadiennes tout de suite après la première inspection. |
Les inspections des navires de croisière sont effectuées selon des procédures et des protocoles qui ont été publiés et communiqués aux clients. Des modifications mineures ont été apportées au guide administratif sur les bateaux de croisière; ces modifications ont été communiquées à l'industrie des croisières touristiques. Les intervenants n'ont soulevé aucun problème. La grille tarifaire n'a fait l'objet d'aucune modification. L'industrie a reçu un rapport sommaire portant sur les activités de Santé Canada en 2010 2011. |
* Inspection de transporteurs publics (p. ex. trains, traversiers, aéroports et lignes aériennes, ports maritimes) |
a) Train de voyageurs - à bord
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a) Train de voyageurs - à bord
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Les inspections des transporteurs publics sont effectuées selon des procédures et des protocoles qui ont été publiés et communiqués aux clients. L'industrie a reçu un rapport sommaire portant sur les activités de Santé Canada en 2010 2011. La version actualisée des lignes directrices en matière d'inspection relatives aux trains de voyageurs, aux traversiers et aux cuisines de l'air a également été transmise aux partenaires dans le domaine des transporteurs communs. Ces lignes directrices ont été élaborées de concert avec les intervenants de l'industrie. |
* Marihuana à des fins médicales Marihuana séchée (5,00 $ /gramme) Semences de cannabis (20 $/paquet de 30 semences) |
Marihuana séchée Santé Canada analyse les lots de marihuana séchée avant de les distribuer aux personnes autorisées. Semences de cannabis Santé Canada analyse les lots de semences de cannabis avant de les distribuer aux personnes autorisées. Temps de traitement À Santé Canada, le temps de traitement des commandes est de 14 jours ouvrables (de la date de réception de la commande à la date d'expédition au bénéficiaire. |
Marihuana séchée Les exigences ont été satisfaites pour l'ensemble des 18 lots distribués. Les résultats du contrôle de la qualité sont affichés sur le site Web de Santé Canada. Nombre de sachets distribués : 12 331. Nombre de sachets retournés : 135. Le taux de retour attribuable à la non-satisfaction à l'égard du produit était de 0,56 %. Semences de cannabis Les exigences ont été satisfaites pour les deux (2) lots distribués pendant l'exercice. Nombre de sachets de semences distribués : 719. Nombre de sachets de semences retournés : 6. Taux de retour pour cette année : 0,01 % (remarque : le taux de retour pour les semences n'est pas nécessairement attribuable à un problème de non-satisfaction). Le temps de traitement était en deçà de la norme de service de 14 jours ouvrables pour l'ensemble des commandes de marihuana séchée (4 610 commandes au total) et de semences de cannabis (467 commandes au total). |
Le personnel de la Division de l'accès médical à la marihuana (DAMM) et de la Division de production de marihuana médicale (DPMM) gère les contacts avec les clients sur une base quotidienne par le truchement du Centre de renseignements du Canada. Pendant l'exercice 2010 2011, le Programme d'accès médical à la marihuana a reçu 24 037 appels. Ces
interactions avec les clients du Programme ont permis à la DAMM et à la DPMM d'évaluer le degré de satisfaction des clients. Ces interactions sont documentées au moyen d'une base de données électronique centralisée. Aucune modification aux normes de service n'a été apportée en 2010 2011. |
* Services d'aide aux employés (SAE ) (Des frais sont facturés par l'entremise d'ententes contractuelles ou officielles entre Santé Canada et d'autres ministères, agences et organismes sous réglementation fédérale.) Les clients sont facturés au moyen d'une pièce de journal (PJ), d'un règlement interministériel (RI), d'une facture, de chèques, etc. Voici les services offerts moyennant des frais :
Aucun client en particulier ou citoyen canadien ne doit payer pour ces services. |
Conformément à l'entente officielle, varie en fonction des exigences et des besoins de l'organisation du client, et de la capacité des SAE d'y répondre. Parmi les normes de service, mentionnons les suivantes :
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Selon les résultats des sondages auprès de la clientèle, des sondages sur la satisfaction des clients, des rapports de Bell Téléphone et des données recueillies auprès de professionnels de la santé mentale affiliés, les SAE respectent toutes les normes de service énoncées dans les ententes contractuelles.
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i) Clients : Les ministères et les organismes gouvernementaux englobent la majorité des clients des SAE et ils sont régulièrement consultés de façon non officielle. Des données sur l'utilisation des services sont transmises à chaque organisme client au moins une fois par année. Des ententes officielles de renouvellement d'accords contractuels ou d'accords de type EI ou PE sont conclues à chaque année ou aux deux ou trois ans. Des sondages officiels sont menés auprès des clients aux deux ans, mais une communication régulière avec les personnes-ressources est assurée afin de veiller à ce que les clients soient satisfaits et d'établir une relation solide avec ceux-ci. ii) Clients : Les SAE sont le plus important fournisseur de programmes d'aide aux employés de la fonction publique. Les SAE ont traité plus de 15 000 cas au cours du dernier exercice financier et ont fourni des services de counseling pendant plus de 45 000 heures. La satisfaction des clients est un des principaux indicateurs de la qualité du service. Pour chaque service offert, les clients sont informés que leurs commentaires concernant la qualité des services sont précieux et appréciés. iii) Entreprises affiliées : Le réseau des SAE compte plus de 750 entreprises affiliées qui s'assurent que les SAE ont la capacité d'offrir des services partout au Canada dans les délais conformes aux normes de l'industrie. Ce réseau dessert le Canada d'un océan à l'autre et il constitue une source irremplaçable de commentaires quant à la prestation des services à l'ensemble de la clientèle. iv) Organismes législatifs / de réglementation : En tant qu'organisme gouvernemental, beaucoup de pratiques et de procédures des SAE concernant la gestion des finances, des ressources humaines et des opérations sont régies par des politiques, des lois et des règlements particuliers. C'est pourquoi les SAE doivent prendre ces règlements en compte et rédiger régulièrement des rapports sur l'utilisation des fonds et le respect des lois importantes comme la Loi sur les langues officielles, la Loi sur la gestion des finances publiques et la Loi sur la protection des renseignements personnels. v) Personnel : Le maintien en poste d'employés compétents et expérimentés est devenu un problème reconnu dans la plupart des services de la fonction publique fédérale. Toutefois, les SAE ont constamment un niveau beaucoup plus élevé d'employés qui demeurent en poste comparativement à l'ensemble du ministère. |
Droits à acquitter pour le Service d'évaluation des demandes relatives aux produits antiparasitaires | L'objectif est de 90 % pour le traitement dans les délais indiqués des présentations de toutes les catégories. http://www.pmra-arla.gc.ca/francais/pdf/pro/pro9601-f.pdf Catégorie A Norme - 550 jours Demande de l'utilisateur Homologation de produits à usage limité (PHULDU) - 365 jours Catégorie B Norme/priorité - 365 jours Catégorie C Norme - 180 ou 225 jours Catégorie D PIPAFE - 32 jours; UIP - 56 jours; EPEULDU - 60 jours; Fiche maîtresse - 21 jours. Catégorie E Nouvelle substance active - aliments - 365 jours; Nouvelle substance active - non-aliments - 165 jours |
Catégorie A = 82 % dans l'ensemble, mais le rendement des examens conjoints à l'échelle internationale était de 100 %. Catégorie B = 80 % dans l'ensemble pour l'exercice financier. Catégorie C = 74 %. Catégorie D = 87 %. Catégorie E = 31 %. |
Des consultations officielles auprès des intervenants sont normalement liées à un examen complet des frais d'utilisation. Au cours de l'exercice financier 2010 2011, il n'y a eu aucune consultation officielle étant donné l'absence d'examen des frais d'utilisation. |
Frais à acquitter pour le droit ou le privilège de fabriquer ou de vendre un produit antiparasitaire au Canada et frais afférents à l'établissement d'une limite maximale de résidus pour un tel produit | L'objectif est que les frais afférents au droit ou au privilège de fabriquer ou de vendre un produit antiparasitaire au Canada soient facturés intégralement au plus tard le 30 avril de chaque exercice. | Respect de l'objectif de rendement | Des consultations officielles auprès des intervenants sont normalement liées à un examen complet des frais d'utilisation. Au cours de l'exercice financier 2010 2011, il n'y a eu aucune consultation officielle étant donné l'absence d'examen des frais d'utilisation. |
Frais imposés pour le traitement des demandes relevant de la Loi sur l'accès à l'information (LAI) Remarque (1) | Réponse donnée en deçà de 30 jours après réception de la demande; le délai de réponse peut être prolongé en vertu de l'article 9 de la LAI. La Loi sur l'accès à l'information donne plus de détails à ce sujet : http://laws-lois.justice.gc.ca/fra/lois/A-1/ |
Au cours de l'exercice 2010 2011, Santé Canada a traité 1 535 (71 %) des 2 147 demandes actives. Santé Canada a pu répondre en 30 jours ou moins à 700 (45,6 %) des cas traités. * Pour le reste des cas, le Ministère a répondu à 171 (11,1 %) dans les 31 à 60 jours, à 178 (11,6 %) dans les 61 à 120 jours et à 486 (31,7 %) dans les 121 jours et
plus. Remarque (1) : Un avis de prorogation de délai est envoyé à l'auteur de la demande en deçà de 30 jours après réception de la demande. |
La norme de service est établie par la Loi sur l'accès à l'information et par le Règlement sur l'accès à l'information. Les intervenants ont été consultés par le ministère de la Justice et le Secrétariat du Conseil du Trésor à l'égard des modifications apportées en 1986 et en 1992. |
Autres renseignements : S.O.
Grand projet de l'État intitulé Système d'information sur la santé et de traitement des demandes de paiement (SISTDP).
Le SISTDP est le principal mécanisme d'exécution pour le paiement des médicaments, de l'équipement et des fournitures médicales et des soins dentaires dans le cadre du Programme des services de santé non assurés (SSNA) de Santé Canada.
Le projet SISTDP a été mis sur pied afin d'instituer un processus d'achat concurrentiel en remplacement de l'ancien marché établi pour le SISTDP, de gérer la mise en œuvre du nouveau marché de services et d'assurer une transition harmonieuse entre l'ancien titulaire et le nouvel entrepreneur.
Clôture du projet : Le grand projet de l'État SISTDP est entré dans la phase de clôture du projet lors de la mise en œuvre du nouveau Système d'information sur la santé et de traitement des demandes de paiement le 1er décembre 2009. Le système demeure entièrement opérationnel en tant que service satisfaisant.
Aperçu : Le SISTDP appuie la prestation de services de santé indispensables à plus de 846 000 clients admissibles des Premières nations et inuits. Express Scripts C Canada a commencé ses opérations en décembre 2009 avec la mise en œuvre du nouveau SISTDP. La transition entre le titulaire responsable du traitement des demandes de paiement précédent et le nouveau responsable a été gérée sans conséquences majeures pour les clients inuits et des Premières nations du programme Services de santé non assurés.
Ministère responsable | Santé Canada |
---|---|
Autorité contractante | Travaux publics et Services gouvernementaux Canada |
Ministères participants | Affaires autochtones et Développement du Nord Canada |
Entrepreneur principal | Express Scripts Canada (ESIC), Mississauga (Ontario) Canada |
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Sous traitants principaux | Pas dans le RPP de 2010-2011 |
Étapes principales | Date |
---|---|
Premières rencontres avec l'entrepreneur, coordination du plan du projet pour la phase de mise en œuvre | Adjudication du marché (du 4 décembre 2007 à janvier 2008) |
Recensement des besoins opérationnels et conception | De février à août 2008 |
Élaboration du SISTDP | De septembre 2008 à avril 2009 |
Essai et approbation du SISTDP | De mai à septembre 2009 |
Documentation, simulations, validation, conversion des données et formation | De septembre à novembre 2009 |
Mise en œuvre du SISTDP (ESIC prend officiellement la relève de la prestation des services en temps réel) | Le 6 décembre 2009 |
Clôture du projet
|
De décembre 2010 à décembre 2011 |
La phase de mise en œuvre du projet SISTDP a été réalisée à temps et en respectant le budget alloué en décembre 2009. Toutes les mesures ont été prises pour assurer une transition harmonieuse aux clients des Services de santé non assurés. Certains ajustements du système, l'amélioration de services et l'embauche de fournisseurs se sont poursuivis après la mise en œuvre du système, toutefois, le nouveau SISTDP gère avec succès le paiement des médicaments, de l'équipement et des fournitures médicales et des soins dentaires pour les clients inuits et des Premières nations.
Le projet est maintenant dans sa phase de clôture et une évaluation est exécutée en ce qui a trait au projet SISTDP et aux leçons apprises. Elle doit se terminer d'ici décembre 2011.
L'échéancier et le budget du projet sont conformes aux autorisations qui ont été accordées par les instances responsables du projet.
Le SISTDP a été mis en œuvre le 6 décembre 2009 et la transition entre les deux marchés de service a été effectuée.
Pour l'exercice 2010-2011, cette initiative sera axée sur le perfectionnement des services ainsi que sur l'évaluation du système et la clôture du projet.
Le modèle des Retombées industrielles régionales (RIR) a été modifié pour que l'accent soit mis sur l'aide à la communauté économique autochtone plutôt que sur une industrie précise ou une région particulière au Canada, d'où l'établissement d'une exigence en matière de retombées pour les Autochtones qui est propre au projet SISTDP.
L'établissement de l'exigence de services pour les Autochtones aux fins du projet SISTDP a été éclairé par les commentaires de l'industrie fournis dans le cadre de deux processus de consultation par voie de demandes d'information, et approuvé par le Conseil du Trésor. En tant qu'entrepreneur principal pour le SISTDP, Express Scripts Canada devra veiller à ce qu'il y ait une exigence obligatoire importante de services pour les Autochtones qui profitera directement ou indirectement aux entreprises ou aux individus autochtones.
Nom du programme de paiements de transfert : Paiements de transfert aux services de santé des Premières nations et des Inuits
Date de mise en œuvre : Avril 2007
Date de clôture : Mars 2012
Description : Accroître la responsabilité et le contrôle des Premières nations et des Inuits à l'égard de leurs programmes et services de santé afin d'améliorer l'état de santé de ces peuples.
Résultats stratégiques : De meilleurs résultats en matière de santé et réduction des inégalités entre l'état de santé des Premières nations et des Inuits et celui des autres Canadiens.
Résultats obtenus : Contrôle et responsabilisation accrus des communautés des Premières nations et des Inuits à l'égard des programmes et des services de santé.
Dépenses réelles 2008-2009 | Dépenses réelles 2009-2010 | Dépenses prévues 2010-2011 | Autorisations totales 2010-2011 |
Dépenses réelles 2010-2011 | Écart(s) | |
---|---|---|---|---|---|---|
Total des subventions | ||||||
Total des contributions | 213,7 | 266,4 | 256,1 | 448,1 | 448,1 | (192,0) |
Total des autres types de paiements de transfert | ||||||
Total des activités de programme | 213,7 | 266,4 | 256,1 | 448,1 | 448,1 | (192,0) |
Commentaires sur les écarts :
* Compte tenu de la nature de ce programme, les dépenses réelles comprennent un total de 191,2 M$ provenant d'autres catégories de contributions, car les Premières nations, dans le cadre de cette autorisation de programme, gèrent des fonds qui avaient auparavant été classés dans d'autres catégories. Cette autorisation permet aux bénéficiaires des Premières nations de gérer des fonds en
vertu d'un seul accord unifié alors qu'ils assument une plus grande responsabilité à l'égard de l'élaboration et de la gestion de leurs propres programmes de santé. À ce titre, des fonds issus d'autres catégories sont dépensés dans le cadre de cette autorisation de contribution. En conséquence, les commentaires pour les catégories touchées par les dépenses en vertu du programme Paiements de
transfert aux services de santé des Premières nations et des Inuits feront référence à ces dépenses.
* Il est aussi prévu que cette catégorie augmentera au fil du temps afin d'appuyer le souhait grandissant des Premières nations et des Inuits d'assumer la gestion des programmes et des services de santé et d'avoir la possibilité de restructurer ces programmes et ces services afin de mieux les adapter aux priorités locales.
Vérification effectuée ou prévue : S.O.
Évaluation réalisée ou prévue : Prévue dans le cadre de l'évaluation des modèles de financement en 2011-2012.
Nom du programme de paiements de transfert : Contributions à la gouvernance en santé et au soutien de l'infrastructure des Premières nations et des Inuits
Date de mise en œuvre : Avril 2005
Date de clôture : Mars 2011
Description :
Le soutien de la gouvernance et de l'infrastructure en santé vise à accroître le contrôle exercé par les Premières nations et les Inuits sur leurs programmes et leurs services de santé. Les activités incluent : la planification et la gestion en santé; la gestion de la recherche, des connaissances et de l'information en santé; la consultation et la liaison en santé; la prestation de
services de santé et le soutien de l'infrastructure du système de santé; l'intégration et l'adaptation des services de santé; la gestion des ressources humaines en santé.
(Voté)
Résultats stratégiques : De meilleurs résultats en matière de santé et réduction des inégalités entre l'état de santé des Premières nations et des Inuits et celui des autres Canadiens.
Résultats obtenus : État de santé amélioré des Premières nations et des Inuits grâce au renforcement de la gouvernance et de l'infrastructure.
Dépenses réelles 2008-2009 | Dépenses réelles 2009-2010 | Dépenses prévues 2010-2011 | Autorisations totales 2010-2011 |
Dépenses réelles 2010-2011 | Écart(s) | |
---|---|---|---|---|---|---|
Total des subventions | ||||||
Total des contributions | 148,6 | 164,2 | 166,8 | 84,3 | 76,9 | 89,9 |
Total des autres types de paiements de transfert | ||||||
Total des activités de programme | 148,6 | 164,2 | 166,8 | 84,3 | 76,9 | 89,9 |
Commentaires sur les écarts :
* Les dépenses prévues sont réduites de 11,8 M$ pour les transferts entre directions générales et les postes des Budgets supplémentaires des dépenses A et C.
* Dans cette catégorie de contribution, 4,6 M$ des dépenses réelles sont rapportées sous « Paiements de transfert aux services de santé des Premières nations et des Inuits » en raison de la volonté des Premières nations et des Inuits d'assumer la gestion de leurs programmes et de leurs services de santé.
* La majeure partie de l'écart restant peut être attribuée aux dépenses réelles rapportées dans la catégorie « Contributions aux programmes communautaires des Premières nations et des Inuits ». Le montant alloué à ce programme de paiements de transfert lors de sa création en 2005 a été surestimé et une harmonisation avec trois autres programmes de paiements de transfert
sera demandée pour les années à venir.
Vérification effectuée ou prévue : S.O.
Évaluation réalisée ou prévue : Évaluation des modèles de financement prévue en 2011-2012.
Nom du programme de paiements de transfert : Contributions aux programmes communautaires des Premières nations et des Inuits
Date de mise en œuvre : Avril 2005
Date de clôture : Mars 2011
Description : Les programmes communautaires contribuent à l'amélioration de la santé maternelle et infantile, à la promotion de la santé mentale, à la prévention et au traitement des dépendances, à la prévention des maladies chroniques et à la promotion de la santé.
(Voté)
Résultats stratégiques : De meilleurs résultats en matière de santé et réduction des inégalités entre l'état de santé des Premières nations et des Inuits et celui des autres Canadiens.
Résultats obtenus : Participation accrue des membres, des familles et des communautés des Premières nations et des Inuits aux programmes et aux services d'aide;
Amélioration du continuum des programmes et des services dans les communautés des Premières nations et des Inuits.
Dépenses réelles 2008-2009 | Dépenses réelles 2009-2010 | Dépenses prévues 2010-2011 | Autorisations totales 2010-2011 |
Dépenses réelles 2010-2011 | Écart(s) | |
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Total des subventions | ||||||
Total des contributions | 285,1 | 265,9 | 170,0 | 180,7 | 180,0 | (10,0) |
Total des autres types de paiements de transfert | ||||||
Total des activités de programme | 285,1 | 265,9 | 170,0 | 180,7 | 180,0 | (10,0) |
Commentaires sur les écarts :
* Les dépenses prévues sont augmentées de 73,5 M$ pour les postes des Budgets supplémentaires des dépenses A, B et C.
* Dans cette catégorie de contribution, 89,0 M$ des dépenses réelles sont rapportées sous « Paiements de transfert aux services de santé des Premières nations et des Inuits » en raison de la volonté des Premières nations et des Inuits d'assumer la gestion de leurs programmes et de leurs services de santé.
* La majeure partie de l'écart restant peut être attribuée aux dépenses réelles rapportées dans la catégorie « Contributions à la gouvernance en santé et au soutien de l'infrastructure des Premières nations et des Inuits ».
Vérification effectuée ou prévue : S.O.
Évaluation réalisée ou prévue : L'évaluation des groupes des programmes Santé mentale et toxicomanie et Prévention des maladies chroniques et des blessures a été réalisée en 2010-2011.
Nom du programme de paiements de transfert : Contributions au Programme des établissements de santé et des immobilisations des Premières nations et des Inuits
Date de mise en œuvre : Avril 2005
Date de clôture : Mars 2011
Description : Le programme procure des fonds aux bénéficiaires admissibles pour la construction, l'acquisition, la location, l'exploitation et l'entretien de postes de soins infirmiers, de centres de santé, de postes sanitaires, de bureaux de santé, de centres de traitement, de résidences pour le personnel et d'immeubles pour le soutien opérationnel.
(Voté)
Résultats stratégiques : De meilleurs résultats en matière de santé et réduction des inégalités entre l'état de santé des Premières nations et des Inuits et celui des autres Canadiens.
Résultats obtenus : Accessibilité accrue aux établissements, au matériel et aux autres biens meubles en santé dans les communautés des Premières nations et des Inuits, de façon à faciliter la prestation des services de santé.
Dépenses réelles 2008-2009 | Dépenses réelles 2009-2010 | Dépenses prévues 2010-2011 | Autorisations totales 2010-2011 |
Dépenses réelles 2010-2011 | Écart(s) | |
---|---|---|---|---|---|---|
Total des subventions | ||||||
Total des contributions | 66,1 | 98,7 | 112,9 | 116,3 | 116,3 | (3,4) |
Total des autres types de paiements de transfert | ||||||
Total des activités de programme | 66,1 | 98,7 | 112,9 | 116,3 | 116,3 | (3,4) |
Commentaires sur les écarts :
* Les dépenses réelles sont 3 % plus élevées que prévu en raison de pressions supplémentaires en matière d'immobilisations.
Vérification effectuée ou prévue : Vérification du Programme des établissements de santé et immobilisations terminée en 2010-2011.
Évaluation réalisée ou prévue : Réalisée en 2010-2011.
Nom du programme de paiements de transfert : Contributions aux services de santé offerts aux Premières nations et aux Inuits
Date de mise en œuvre : Avril 2005
Date de clôture :Mars 2011
Description :
Une gamme limitée de biens et de services liés à la santé qui sont médicalement nécessaires, mais qui ne sont pas fournis par d'autres régimes d'assurance-santé privés ou provinciaux-territoriaux, est offerte aux Indiens inscrits et aux Inuits reconnus. Les services comprennent les médicaments, les soins dentaires, les soins de la vue, les fournitures médicales et le matériel médical, les
services d'intervention en cas de crise en santé mentale à court terme et le transport pour l'obtention de services médicaux qui ne sont pas offerts dans la réserve ni dans la communauté de résidence. (Voté)
Résultats stratégiques : De meilleurs résultats en matière de santé et réduction des inégalités entre l'état de santé des Premières nations et des Inuits et celui des autres Canadiens.
Résultats obtenus : Accès des clients admissibles aux services de santé non assurés.
Dépenses réelles 2008-2009 | Dépenses réelles 2009-2010 | Dépenses prévues 2010-2011 | Autorisations totales 2010-2011 |
Dépenses réelles 2010-2011 | Écart(s) | |
---|---|---|---|---|---|---|
Total des subventions | ||||||
Total des contributions | 150,0 | 166,7 | 168,7 | 168,1 | 168,1 | 0,6 |
Total des autres types de paiements de transfert | ||||||
Total des activités de programme | 150,0 | 166,7 | 168,7 | 168,1 | 168,1 | 0,6 |
Commentaires sur les écarts : S.O.
Vérification effectuée ou prévue : Vérification des services de santé non assurés - Transport pour raison médicale terminée en 2010-2011.
Évaluation réalisée ou prévue : S.O.
Nom du programme de paiements de transfert : Contributions à la protection de la santé des Premières nations et des Inuits
Date de mise en œuvre : Avril 2005
Date de clôture : Mars 2011
Description :
Les programmes sur les maladies transmissibles, l'hygiène du milieu et la recherche favorisent la préparation de la mise en oeuvre de mesures visant à lutter contre les éclosions de maladies évitables, à les gérer et à les maîtriser, et améliorent la gestion et le contrôle des dangers environnementaux.
(Voté)
Résultats stratégiques : De meilleurs résultats en matière de santé et réduction des inégalités entre l'état de santé des Premières nations et des Inuits et celui des autres Canadiens.
Résultats obtenus :
Dépenses réelles 2008-2009 | Dépenses réelles 2009-2010 | Dépenses prévues 2010-2011 | Autorisations totales 2010-2011 |
Dépenses réelles 2010-2011 | Écart(s) | |
---|---|---|---|---|---|---|
Total des subventions | ||||||
Total des contributions | 24,4 | 27,4 | 12,8 | 21,7 | 21,7 | (8,9) |
Total des autres types de paiements de transfert | ||||||
Total des activités de programme | 24,4 | 27,4 | 12,8 | 21,7 | 21,7 | (8,9) |
Commentaires sur les écarts :
* Les dépenses prévues pour les postes du Budget supplémentaire des dépenses A sont augmentées de 5,2 M$.
* Dans cette catégorie de contribution, 6,8 M$ des dépenses réelles sont rapportées sous « Paiements de transfert aux services de santé des Premières nations et des Inuits » en raison de la volonté des Premières nations et des Inuits d'assumer la gestion de leurs programmes et de leurs services de santé.
* Environ 4,0 M$ de l'écart sont dus à la pression accrue concernant le programme de surveillance de l'eau des Premières nations
* Le reste de l'écart (environ 6,0 M$) est attribuable à la pression accrue quant aux autres programmes de protection de la santé.
Vérification effectuée ou prévue : S.O.
Évaluation réalisée ou prévue : L'évaluation des groupes des programmes Contrôle des maladies transmissibles et Santé environnementale et publique et recherche en santé environnementale a été réalisée en 2010-2011.
Nom du programme de paiements de transfert : Contributions aux soins de santé primaires des Premières nations et des Inuits
Date de mise en œuvre : Avril 2005
Date de clôture : Mars 2011
Description : Les services de soins de santé primaires incluent les services d'urgence et de soins de courte durée ainsi que les services communautaires de soins de santé primaires, y compris les activités de promotion de la santé et de prévention des maladies et des blessures. Ces programmes comprennent également les soins à domicile et en milieu communautaire offerts aux
Premières nations et aux Inuits ainsi que la Stratégie de santé buccodentaire.
(Voté)
Résultats stratégiques : De meilleurs résultats en matière de santé et réduction des inégalités entre l'état de santé des Premières nations et des Inuits et celui des autres Canadiens.
Résultats obtenus : Accès amélioré des membres, des familles et des communautés des Premières nations et des Inuits à des programmes et à des services de soins de santé primaires de qualité, bien coordonnés et adaptés sur le plan culturel.
Dépenses réelles 2008-2009 | Dépenses réelles 2009-2010 | Dépenses prévues 2010-2011 | Autorisations totales 2010-2011 |
Dépenses réelles 2010-2011 | Écart(s) | |
---|---|---|---|---|---|---|
Total des subventions | ||||||
Total des contributions | 147,9 | 144,6 | 129,5 | 103,3 | 103,3 | 26,2 |
Total des autres types de paiements de transfert | ||||||
Total des activités de programme | 147,9 | 144,6 | 129,5 | 103,3 | 103,3 | 26,2 |
Commentaires sur les écarts :
* Les dépenses prévues pour les postes du Budget supplémentaire des dépenses A sont augmentées de 6,0 M$.
* Dans cette catégorie de contributions, 51,5 M$ des dépenses réelles sont rapportées sous « Paiements de transfert aux services de santé des Premières nations et des Inuits » en raison de la volonté des Premières nations et des Inuits d'assumer la gestion de leurs programmes et de leurs services de santé.
* La majeure partie de l'écart de 19,3 M$ s'explique par une augmentation constante des coûts associés aux soins infirmiers.
Vérification effectuée ou prévue : Vérification des soins primaires - Services infirmiers terminée en 2010-2011.
Évaluation réalisée ou prévue : Prévue en 2011-2012
Nom du programme de paiements de transfert : Contributions au projet pilote de Bigstone sur les services de santé non assurés (SSNA)
Date de mise en œuvre : Avril 2005
Date de clôture :Mars 2011
Description : Administration et prestation de services de santé, de concert avec la Bigstone Health Commission, auprès des Indiens inscrits et des Inuits reconnus.
(Voté)
Résultats stratégiques : De meilleurs résultats en matière de santé et réduction des inégalités entre l'état de santé des Premières nations et des Inuits et celui des autres Canadiens.
Résultats obtenus : Accès accru des membres, des familles et des communautés des Premières nations et des Inuits à des programmes et à des services de soins de santé primaires de qualité, bien coordonnés et adaptés sur le plan culturel.
Dépenses réelles 2008-2009 | Dépenses réelles 2009-2010 | Dépenses prévues 2010-2011 | Autorisations totales 2010-2011 |
Dépenses réelles 2010-2011 | Écart(s) | |
---|---|---|---|---|---|---|
Total des subventions | ||||||
Total des contributions | 10,0 | 10,4 | 9,1 | 10,9 | 10,9 | (1,8) |
Total des autres types de paiements de transfert | ||||||
Total des activités de programme | 10,0 | 10,4 | 9,1 | 10,9 | 10,9 | (1,8) |
Commentaires sur les écarts :
* L'écart est principalement dû à une augmentation des dépenses liées à la croissance du programme des SSNA.
Vérification effectuée ou prévue : S.O.
Évaluation réalisée ou prévue : S.O.
Nom du programme de paiements de transfert : Contributions à l'Organisation pour l'avancement de la santé des peuples autochtones
Date de mise en œuvre : Avril 2005
Date de clôture : Mars 2011
Description : Soutien offert à l'Organisation pour l'avancement de la santé des peuples autochtones.
(Voté)
Résultats stratégiques : De meilleurs résultats en matière de santé et réduction des inégalités entre l'état de santé des Premières nations et des Inuits et celui des autres Canadiens.
Résultats obtenus : Habilitation continue des peuples autochtones grâce à l'acquisition et à l'échange de connaissances sur leur santé.
Dépenses réelles 2008-2009 | Dépenses réelles 2009-2010 | Dépenses prévues 2010-2011 | Autorisations totales 2010-2011 |
Dépenses réelles 2010-2011 | Écart(s) | |
---|---|---|---|---|---|---|
Total des subventions | ||||||
Total des contributions | 5,0 | 5,0 | 5,0 | 4,4 | 4,4 | 0,6 |
Total des autres types de paiements de transfert | ||||||
Total des activités de programme | 5,0 | 5,0 | 5,0 | 4,4 | 4,4 | 0,6 |
Commentaires sur les écarts :
* Les dépenses réelles sont moins élevées que prévu de 0,6 M$.
Vérification effectuée ou prévue : S.O.
Évaluation réalisée ou prévue : S.O.
Nom du programme de paiements de transfert : Programme de soutien en santé - Résolution des questions relatives aux pensionnats indiens
Date de mise en œuvre : Novembre 2006
Date de clôture : Mars 2013
Description : Le programme vise à favoriser le bien-être mental des anciens élèves des pensionnats indiens, de leur famille et de leur communauté au moyen de ce qui suit :
Résultats stratégiques : De meilleurs résultats en matière de santé et réduction des inégalités entre l'état de santé des Premières nations et des Inuits et celui des autres Canadiens
Résultats obtenus : Offre de services adaptés aux pratiques culturelles et traditionnelles autochtones, améliorant le bien-être émotionnel et mental des anciens élèves des pensionnats indiens.
Les services permettent aux anciens élèves des pensionnats indiens de rapporter les cas de violence sexuelle et physique chez des enfants de façon sécuritaire et efficace.
Dépenses réelles 2008-2009 | Dépenses réelles 2009-2010 | Dépenses prévues 2010-2011 | Autorisations totales 2010-2011 |
Dépenses réelles 2010-2011 | Écart(s) | |
---|---|---|---|---|---|---|
Total des subventions | ||||||
Total des contributions | 18,8 | 24,0 | 5,4 | 33,4 | 33,4 | (28,0) |
Total des autres types de paiements de transfert | ||||||
Total des activités de programme | 18,8 | 24,0 | 5,4 | 33,4 | 33,4 | (28,0) |
Commentaires sur les écarts :
* Les dépenses prévues sont augmentées de 26,9 M$ pour les postes du Budget supplémentaire des dépenses B. Le reste de l'écart est dû à une demande plus forte que prévu qui entraîne une augmentation des coûts pour ce programme.
Vérification effectuée ou prévue : S.O.
Évaluation réalisée ou prévue : S.O
Nom du programme de paiements de transfert : Subvention de l'Initiative de viabilité du système de santé des territoires
Date de mise en œuvre : 1er avril 2010
Date de clôture : 31 mars 2012
Description : Le financement de l'initiative de viabilité du système de santé des territoires (IVSST) est réparti en trois fonds :
Résultat(s) stratégique(s) : Un système de santé adapté aux besoins des Canadiens
Résultats obtenus :
Le but de la prolongation de deux ans du financement de l'IVSST est de permettre aux trois territoires de consolider les progrès réalisés dans le cadre de l'IVSST en vue de réduire la dépendance à l'égard des systèmes de soins de santé de l'extérieur et les déplacements pour raison médicale. Pour les territoires, il s'agit de consolider les projets dont les objectifs ont été atteints et
d'intégrer les projets avec mandat permanent dans les activités principales des territoires.
Dépenses réelles 2008-2009 | Dépenses réelles 2009-2010 | Dépenses prévues 2010-2011 | Autorisations totales 2010-2011 |
Dépenses réelles 2010-2011 | Écart(s) | |
---|---|---|---|---|---|---|
Total des subventions | 0,0 | 0,0 | 30,0 | 30,0 | 30,0 | 0,0 |
Total des contributions | ||||||
Total des autres types de paiements de transfert | ||||||
Total des activités de programme | 0,0 | 0,0 | 30,0 | 30,0 | 30,0 | 0,0 |
Commentaires sur les écarts : Aucun écart. Le programme a été renouvelé pour deux années supplémentaires, soit jusqu'à la fin de l'exercice 2011-2012; le financement octroyé demeure le même (30 millions de dollars en tout par année).
Vérification effectuée ou prévue : S.O. - L'activité de programme est une subvention.
Évaluation réalisée ou prévue : S.O. - Le programme a été renouvelé pour deux années supplémentaires comme il a été mentionné ci-dessus.
Nom du programme de paiements de transfert : Contributions à l'appui de la Stratégie fédérale de lutte contre le tabagisme
Date de mise en œuvre : Le 1er juillet 2007
Date de clôture : Le 31 mars 2012 (les modalités prennent fin le 31 mars 2012)
Description : Le programme de contribution à la Stratégie fédérale de lutte contre le tabagisme (SFLT) vise à contribuer à la réalisation des objectifs de la SFLT en fournissant de l'aide aux provinces, aux organismes non gouvernementaux, aux chercheurs et aux autres intervenants en matière de lutte contre le tabagisme. En 2007, le gouvernement du Canada a annoncé les nouveaux objectifs de la SFLT, jusqu'à l'exercice 2011. Les voici :
Objectif
Réduction de la prévalence moyenne du tabagisme au Canada de 19 % (2005) à 12 % d'ici 2011.
Les nouveaux objectifs sont les suivants :
Résultats stratégiques : Réduction des risques pour la santé et pour l'environnement causés par des substances et des produits réglementés, et milieux de vie et de travail plus sains.
Résultats obtenus :
Avec 104 projets financés depuis 2007, voici quelques-uns des principaux résultats obtenus :
Dépenses réelles 2008-2009 | Dépenses réelles 2009-2010 | Dépenses prévues 2010-2011 | Autorisations totales 2010-2011 |
Dépenses réelles 2010-2011 | Écart(s) | |
---|---|---|---|---|---|---|
Total des subventions | ||||||
Total des contributions | 7,4 | 12,7 | 15,8 | 15,8 | 15,7 | 0,1 |
Total des autres types de paiements de transfert | ||||||
Total des activités de programme | 7,4 | 12,7 | 15,8 | 15,8 | 15,7 | 0,1 |
Commentaires sur les écarts : La différence entre les dépenses prévues et les dépenses réelles est minime et attribuable à l'inutilisation de certaines ressources des projets déterminés.
Vérification effectuée ou prévue : Aucune vérification n'a été faite et aucune n'est prévue dans le cadre de la Stratégie fédérale de lutte contre le tabagisme pour l'instant.
Évaluation réalisée ou prévue : La Stratégie fédérale de lutte contre le tabagisme comprend une évaluation sommative complète comportant des évaluations des processus et des répercussions du programme de financement sous forme de contribution. Le rapport final de l'évaluation du processus devrait être présenté en septembre 2011 et le rapport final de l'évaluation des répercussions est attendu en juillet 2011.
Nom du programme de paiements de transfert : Programme de soutien au financement du traitement de la toxicomanie
Date de mise en œuvre : Octobre 2007 - Groupe des services
Avril 2008 - Groupe des systèmes
Date de clôture : Le 31 mars 2012 (groupe des services)
Le 31 mars 2013 (groupe des systèmes)
Description : En vertu de la Stratégie nationale antidrogue, le Programme de soutien au financement du traitement de la toxicomanie (PSFTT) offre un soutien financier de 111 millions de dollars sur cinq ans aux gouvernements des provinces et des territoires dans le but d'appuyer les services de traitement de la toxicomanie pour les jeunes à risque et de contribuer à améliorer la qualité de ces services. Un financement supplémentaire de 10 millions de dollars sur cinq ans est destiné à appuyer un projet dans le Downtown Eastside de Vancouver.
Résultats stratégiques : Réduction des risques pour la santé et pour l'environnement causés par des substances et des produits réglementés, et milieux de vie et de travail plus sains.
Résultats obtenus :
Dépenses réelles 2008-2009 | Dépenses réelles 2009-2010 | Dépenses prévues 2010-2011 | Autorisations totales 2010-2011 |
Dépenses réelles 2010-2011 | Écart(s) | |
---|---|---|---|---|---|---|
Total des subventions | ||||||
Total des contributions | 1,4 | 5,9 | 29,9 | 29,9 | 16,5 | 13,4 |
Total des autres types de paiements de transfert | ||||||
Total des activités de programme | 1,4 | 5,9 | 29,9 | 29,9 | 16,5 | 13,4 |
Commentaires sur les écarts : On observe un écart de 13,4 millions de dollars entre les dépenses réelles de 16,5 millions de dollars et les autorisations totales/dépenses prévues. De ce montant, 2,2 millions de dollars ont été réaffectés au Programme national de lutte contre l'abus d'alcool et de drogues chez les Autochtones et au Fonds des initiatives communautaires de la Stratégie antidrogue, qui relèvent tous deux de la Stratégie nationale antidrogue. Santé Canada examine des façons de conserver les 10,9 millions de dollars restants pour atteindre les objectifs escomptés du programme.
Selon le Rapport sur les plans et les priorités, les dépenses prévues s'élevaient à 28 millions de dollars. Le montant a été rajusté afin de correspondre au montant exact de 29,9 millions de dollars.
Vérification réalisée ou prévue : Aucune vérification n'a été faite et aucune n'est prévue dans le cadre du PSFTT pour l'instant.
Évaluation réalisée ou prévue : Une importante évaluation du PSFTT a été effectuée en 2010-2011. Cette évaluation portait sur la mise en oeuvre du programme, la mesure dans laquelle le programme répond aux priorités fédérales et les progrès réalisés vers l'atteinte des résultats immédiats.
La Direction de la mesure et de l'évaluation du rendement du Ministère coordonnera une évaluation du PSFTT en 2012.
Nom du programme de paiements de transfert : Fonds des initiatives communautaires de la Stratégie antidrogue (voté)
Date de mise en œuvre : Avril 2004
Date de clôture : Modalités renouvelées le 1er avril 2010
Description : Le Fonds des initiatives communautaires de la Stratégie antidrogue (FICSA) aidera à réduire l'usage de drogues illicites au pays, en particulier chez les groupes vulnérables comme les jeunes, en mettant l'accent sur des initiatives de promotion de la santé et de prévention de la toxicomanie. Le Fonds a pour objectif de faciliter l'établissement de solutions locales, provinciales, territoriales, nationales et communautaires aux problèmes de toxicomanie chez les jeunes ainsi que de sensibiliser le public à l'usage de drogues illicites chez les jeunes. Le Programme est offert par le biais des bureaux régionaux et nationaux de Santé Canada.
Résultats stratégiques : Réduction des risques pour la santé et pour l'environnement causés par des substances et des produits réglementés, et milieux de vie et de travail plus sains.
Résultats obtenus :
En 2010-2011, 35 nouveaux accords de contribution ont été signés.
Le FICSA continue de travailler en étroite collaboration avec les bénéficiaires afin de faciliter l'établissement de rapports sur le rendement, notamment en offrant de la formation en matière d'évaluation (des séances de formation régionales ont été organisées pour la plupart des nouveaux projets en 2010-2011), en élaborant des outils normalisés dans le cadre de l'évaluation par groupe et en élaborant des modèles normalisés pour les rapports trimestriels.
En 2010-2011, le FICSA a collaboré avec le Centre d'excellence du Ministère à la mise en place d'outils de gestion du risque.
En 2010-2011 toujours, la Colombie-Britannique, l'Alberta, le Manitoba, la Saskatchewan et le Québec ont organisé des présentations régionales ou des activités d'échange de connaissances réunissant les responsables des projets financés dans le but de mettre en commun les résultats et les leçons tirées et de nouer des liens.
Dépenses réelles 2008-2009 | Dépenses réelles 2009-2010 | Dépenses prévues 2010-2011 | Autorisations totales 2010-2011 |
Dépenses réelles 2010-2011 | Écart(s) | |
---|---|---|---|---|---|---|
Total des subventions | ||||||
Total des contributions | 4,9 | 9,0 | 12,4 | 12,4 | 12,7 | 0,3 |
Total des autres types de paiements de transfert | ||||||
Total des activités de programme | 4,9 | 9,0 | 12,4 | 12,4 | 12,7 | 0,3 |
Commentaires sur les écarts : L'écart de 0,3 million de dollars entre les dépenses réelles et les autorisations totales/dépenses prévues découle du transfert de ressources du Programme de soutien au financement du traitement de la toxicomanie vers le présent programme, qui est également lié à la Stratégie nationale antidrogue. Les dépenses prévues ont été rajustées en fonction du montant approprié des dépenses prévues en S et C.
Vérification effectuée ou prévue : Aucune vérification n'a été faite et aucune n'est prévue dans le cadre du FICSA pour l'instant.
Évaluation réalisée ou prévue : Aucune évaluation n'a été réalisée en 2010-2011.
Nom du programme de paiements de transfert : Quote-part à l'Organisation panaméricaine de la santé
Date de mise en œuvre : Le 15 avril 2008
Date de clôture : Le 31 mars 2013
Description : Appuyer l'adhésion du Canada à l'Organisation panaméricaine de la santé (OPS).
Résultats stratégiques : Un système de santé accessible et durable qui répond aux besoins de santé de la population canadienne.
Résultats obtenus :
Le Canada obtient des avantages directs et indirects en raison de son adhésion à l'OPS. La participation aux réunions des organes directeurs et aux consultations des experts offre une tribune pour la diffusion à grande échelle des valeurs canadiennes en matière de santé et de prestation de services de santé ainsi que des approches en matière de santé publique. La participation d'experts
canadiens du domaine de la santé permet d'assurer la création et le maintien de liens bilatéraux avec les principaux pays de l'Amérique latine et des Caraïbes.
La directrice de l'OPS publie à chaque année un rapport sur les réalisations de l'Organisation de même que sur la façon dont elle dépense ses ressources afin d'atteindre les objectifs énoncés. Le site Web de l'OPS est accessible à l'adresse suivante : (http://new.paho.org/hq/index.php?option=com_content&task=view&id=42&Itemid=189&lang=fr)
Dépenses réelles 2008-2009 | Dépenses réelles 2009-2010 | Dépenses prévues 2010-2011 | Autorisations totales 2010-2011 |
Dépenses réelles 2010-2011 | Écart(s) | |
---|---|---|---|---|---|---|
Total des subventions | ||||||
Total des contributions | 12,0 | 13,0 | 12,5 | 13,2 | 13,2 | -1,7 |
Total des autres types de paiements de transfert | ||||||
Total des activités de programme | 12,0 | 13,0 | 12,5 | 13,2 | 13,2 | -1,7 |
Commentaires sur les écarts : L'écart dans les dépenses est dû à l'augmentation de la quote-part du Canada à l'OPS et à la fluctuation du taux de change. L'écart a été corrigé au moyen de fonds du budget global du Programme de subventions internationales à la santé, d'où proviennent les paiements à l'OPS.
Vérification effectuée ou prévue : Aucune. Conformément aux modalités du programme, Santé Canada s'en remet aux processus de vérification internes et externes de l'OPS pour surveiller la reddition de comptes.
Évaluation réalisée ou prévue : Aucune.
Nom du programme de paiements de transfert : Subvention à la Société canadienne du sang
Date de mise en œuvre : Avril 2000
Date de clôture : En cours
Description : Soutenir la recherche fondamentale, appliquée et clinique portant sur la sûreté et l'efficacité des réserves de sang par l'entremise de la Société canadienne du sang.
Résultats stratégiques : Accès à des produits de santé et à des aliments sûrs et efficaces et à des renseignements permettant de faire des choix santé.
Résultats obtenus : Amélioration continue de la recherche fondamentale, appliquée et clinique sur la sûreté et l'efficacité des réserves de sang.
Dépenses réelles 2008-2009 | Dépenses réelles 2009-2010 | Dépenses prévues 2010-2011 | Autorisations totales 2010-2011 |
Dépenses réelles 2010-2011 | Écart(s) | |
---|---|---|---|---|---|---|
Total des subventions | 5,0 | 5,0 | 5,0 | 5,0 | 5,0 | 0,0 |
Total des contributions | ||||||
Total des autres types de paiements de transfert | ||||||
Total des activités de programme | 5,0 | 5,0 | 5,0 | 5,0 | 5,0 | 0,0 |
Commentaires sur les écarts : Aucun écart.
Vérification effectuée ou prévue : Aucune.
Évaluation réalisée ou prévue : Aucune.
Nom du programme de paiements de transfert :
Programme de contribution pour les langues officielles en santé
[remplace le Programme de contribution pour améliorer l'accès aux services de santé offerts aux communautés de langue officielle en situation minoritaire, 2003-2004 à 2008-2009]
Date de mise en œuvre : Le 1er avril 2009
Date de clôture : Le 31 mars 2013
Description :
Le Programme de contribution pour les langues officielles en santé vise les objectifs suivants :
Ces objectifs pourront être atteints au moyen de trois composantes de programme qui se renforcent mutuellement :
Résultat stratégique : Un système de santé accessible et durable qui répond aux besoins de santé de la population canadienne.
Résultats obtenus :
Au total, 23 accords de contribution ont été conclus avec des établissements d'enseignement et des organismes communautaires pour la mise en oeuvre de nouvelles activités afin d'atteindre les objectifs du programme.
En 2010-2011, 1 147 nouvelles demandes d'inscription ont été acceptées dans des programmes de formation commandités par les dix établissements postsecondaires et un organisme gouvernemental provincial (Nouveau-Brunswick) dont le financement est coordonné par le Consortium national de formation en santé.
Dans le cadre de ces programmes, 518 étudiants ont obtenu leur diplôme au cours de l'année universitaire prenant fin en mai/juin 2010. Selon un sondage réalisé auprès des diplômés de 2008-2009, dont les résultats ont été publiés en 2010-2011, 86 % des personnes interrogées travaillent comme professionnels de la santé dans des communautés de langue officielle en situation minoritaire.
En 2010-2011, l'Université McGill a coordonné des activités de formation linguistique pour quelque 1 325 professionnels de la santé au Québec afin d'améliorer leur capacité à offrir des services aux communautés anglophones en situation minoritaire.
Environ 70 projets prévus dans des communautés francophones en situation minoritaire de l'extérieur du Québec au cours de 2010-2013. Voici quelques projets lancés en 2010-11 :
Au total, 38 projets prévus dans des communautés anglophones en situation minoritaire du Québec pour 2010-2013. Voici quelques projets lancés en 2010-11 :
De nouveaux projets visant à améliorer la santé des communautés de langue officielle en situation minoritaire et l'accès aux services de santé dans ces communautés ont été mis en oeuvre en 2009-2010. Par exemple, un nouveau site de télésanté en français a été lancé au Manitoba sous les auspices de la Société Santé en français et une initiative pour améliorer l'accès à des services de santé et des services sociaux en anglais a été lancée en Estrie au Québec par l'entremise du Réseau communautaire de santé et de services sociaux.
D'autres renseignements concernant ces projets peuvent être obtenus sur les sites Web des bénéficiaires du programme :
Dépenses réelles 2008-2009 | Dépenses réelles 2009-2010 | Dépenses prévues 2010-2011 | Autorisations totales 2010-2011 |
Dépenses réelles 2010-2011 | Écart(s) | |
---|---|---|---|---|---|---|
Total des subventions | ||||||
Total des contributions | 27,9 | 35,5 | 36,7 | 36,8 | 36,8 | -0,1 |
Total des autres types de paiements de transfert | ||||||
Total des activités de programme | 27,9 | 35,5 | 36,7 | 36,8 | 36,8 | -0,1 |
Commentaires sur les écarts : L'augmentation des dépenses en 2010-2011 est due au transfert d'une somme de 75 000 $ par Patrimoine canadien pour un projet communautaire de recherche sur l'opinion publique dirigé par la Société Santé en français.
Vérification effectuée ou prévue : Aucune. Trois bénéficiaires ont fait l'objet d'une vérification financière (déplacements et frais d'accueil) pour l'exercice 2009-2010. Nous avons reçu les ébauches des rapports vers la fin mai. Nous devons maintenant fournir des commentaires pour mettre au point le rapport. Il reste le suivi à faire, donc le tout n'est pas encore terminé.
Évaluation réalisée ou prévue : Un examen à mi-parcours du programme a été entrepris en 2010-2011. L'examen sera terminé en 2011-2012. L'évaluation sommative du programme sera entreprise en 2011-2012 et prendra fin en 2012-2013.
Nom du programme de paiements de transfert :
Programme de contributions pour les politiques en matière de soins de santé (voté)
Date de mise en œuvre : Le 24 septembre 2002
Date de clôture : En cours
Description :
Le Programme de contributions pour les politiques en matière de soins de santé (PCPSS) offre du financement pour des projets qui répondent aux défis auxquels fait face le système de soins de santé du Canada. Le programme encourage un processus décisionnel stratégique et fondé sur la preuve pour des soins de santé de qualité et fait la promotion de l'innovation grâce à des projets pilotes, à
l'évaluation, à la recherche et à l'élaboration de politiques sur les questions actuelles et nouvelles du système de santé. Le Programme a évolué en réponse aux priorités changeantes du système de soins de santé. Il est actuellement composé de trois éléments : le Fonds d'innovation dans le système de soins de santé, qui comprend le Système canadien de déclaration et de prévention des
incidents médicamenteux, la Stratégie en matière de ressources humaines en santé et l'Initiative relative aux professionnels de la santé diplômés à l'étranger. Deux éléments, à savoir l'Initiative nationale de réduction des temps d'attente (INRTA) et le Fonds pour les projets pilotes liés aux garanties sur les délais d'attente pour les patients (FPPGTA), ont pris fin le 31 mars 2009 et le 31
mars 2010, respectivement.
Le Fonds d'innovation pour le système de soins de santé (FISSS) est conçu pour être souple et couvrir un large éventail de questions liées aux politiques en matière de soins de santé, afin de favoriser l'innovation et de maximiser les avantages pour le système de santé et pour les Canadiens. Le Système canadien de déclaration et de prévention des incidents médicamenteux (SCDPIM) vise à réduire les préjudices entraînés par les incidents médicamenteux évitables par l'entremise d'activités comme la collecte et l'analyse de données normalisées sur les incidents de même que l'élaboration et la diffusion de renseignements sur les meilleures pratiques dans des systèmes d'utilisation sans risques des médicaments.
La Stratégie pancanadienne en matière de ressources humaines en santé (RHS) vise à recruter et à maintenir en poste une main-d'oeuvre stable et optimale en santé. La Stratégie suit quatre orientations stratégiques principales : un plus grand nombre de fournisseurs de soins de santé; l'utilisation efficace des compétences des ressources humaines; la création de milieux de travail sains, favorables et propices à l'apprentissage et une planification et des prévisions plus efficaces. Elle appuie des intervenants clés, notamment les gouvernements provinciaux et territoriaux, les associations professionnelles de la santé, les établissements d'éducation et les organisations de soins de santé non gouvernementales canadiennes, dans leurs efforts pour régler les questions des ressources humaines en santé qui correspondent aux objectifs et aux priorités des intervenants et du gouvernement fédéral. À l'heure actuelle, la répartition des médecins, en particulier dans les régions mal desservies, représente un enjeux prioritaire en matière de ressources humaines en santé pour le gouvernement fédéral et les intervenants.
L'Initiative relative aux professionnels de la santé diplômés à l'étranger (IPSDÉ) est conçue en vue de faciliter l'intégration des professionnels de la santé diplômés à l'étranger (PSDÉ) en réduisant les obstacles à l'exercice de la profession au sein de l'effectif des soins de santé du Canada et en aidant ces professionnels à obtenir un permis. L'objectif final est d'augmenter le nombre de PSDÉ au sein de l'effectif des soins de santé du Canada. Dans le budget du printemps 2005, le gouvernement du Canada s'est engagé à verser 75 M$ en vue d'appuyer l'IPSDÉ au cours des cinq premières années, puis à verser 18 M$ annuellement par la suite. L'IPSDÉ complète le Cadre pancanadien d'évaluation et de reconnaissance des qualifications professionnelles acquises à l'étranger annoncé lors du Forum des ministres du marché du travail en 2009.
Résultats stratégiques : Un système de santé accessible et durable qui répond aux besoins de la population canadienne.
Résultats obtenus :
Le volet de l'innovation dans le système de soins de santé a orienté le financement vers la recherche et les activités de transfert de connaissances pour favoriser l'innovation et la mise en oeuvre de pratiques exemplaires dans les domaines stratégiques importants comme les délais d'attente, le vieillissement et les soins en fin de vie.
Les projets du SCDPIM continuent de contribuer aux changements systémiques pour améliorer l'utilisation sécuritaire des médicaments au Canada. Par exemple, grâce aux analyses des comptes rendus d'incident de praticiens par ISMP Canada, des discussions avec des fabricants de produits pharmaceutiques se sont poursuivies pour documenter l'amélioration de l'étiquetage et de l'emballage. Depuis l'adoption du SCDPIM, les fabricants ont apporté plus de 30 améliorations. En outre, les résultats des projets ont amené Agrément Canada à inclure trois exigences supplémentaires liées à la sécurité des médicaments dans ses pratiques organisationnelles requises (POR) pour 2009 : i) les abréviations dangereuses, les symboles et les désignations de dose, ii) l'entreposage et la disponibilité de l'héparine et iii) l'entreposage et la disponibilité des narcotiques (opioïdes). Jusqu'à maintenant, plus de 50 mesures de protection systémiques recommandées à la suite des leçons tirées de l'analyse d'incidents liés aux médicaments ont été intégrées aux normes d'Agrément Canada.
La Stratégie en matière de ressources humaines en santé (RHS) et l'Initiative relative aux professionnels de la santé diplômés à l'étranger permettent à Santé Canada de conserver un rôle de leader dans les domaines prioritaires des RHS. En voici quelques exemples :
Dépenses réelles 2008-2009 | Dépenses réelles 2009-2010 | Dépenses prévues 2010-2011 | Autorisations totales 2010-2011 |
Dépenses réelles 2010-2011 | Écart(s) | |
---|---|---|---|---|---|---|
Total des subventions | ||||||
Total des contributions | 40,6 | 40,9 | 32,7 | 29,6 | 29,2 | 3,5 |
Total des autres types de paiements de transfert | ||||||
Total des activités de programme | 40,6 | 40,9 | 32,7 | 29,6 | 29,2 | 3,5 |
Commentaires sur les écarts : Les estimations des dépenses prévues ont été touchées par de nombreux facteurs qui sont souvent indépendants de la volonté des bénéficiaires de financement et de Santé Canada, dont les retards et le report des activités. Dans certains cas, les projets sont tout simplement abandonnés. Les contributions sont étroitement surveillées et les excédents éventuels doivent être déterminés le plus tôt possible.
Vérification effectuée ou prévue : En 2008-2009, le programme a entrepris trois vérifications des bénéficiaires; elles ont été terminées en 2009-2010. Deux vérifications des bénéficiaires ont pris fin en 2010-2011 pour des projets choisis en 2009-2010, et trois vérifications des bénéficiaires sont prévues pour 2011-2012. En 2010-2011, le Programme a participé à la vérification horizontale du cadre de contrôle de gestion des programmes de contribution mené par le Bureau de la vérification et de la responsabilisation de Santé Canada.
Évaluation réalisée ou prévue : En mai 2011, le travail a commencé sur l'évaluation sommative du Programme. Il devrait se terminer en décembre 2012.
Nom du programme de paiements de transfert : Subvention désignée à l'Institut canadien pour la sécurité des patients (ICSP)
Date de mise en œuvre : Le 10 décembre 2003
Date de clôture : Le 31 mars 2013
Description :
L'Institut canadien pour la sécurité des patients (ICSP) est un organisme indépendant sans but lucratif qui a pour objectif d'assumer un rôle directeur et de coordination afin de créer une culture propice à la sécurité des patients et à l'amélioration de la qualité dans l'ensemble du système de santé canadien. Il fait la promotion des idées novatrices et pratiques exemplaires, donne des
conseils et sensibilise le public, les patients et les intervenants au sujet des stratégies efficaces visant à améliorer la sécurité des patients.
Cette subvention vise à fournir une aide financière afin d'appuyer les efforts déployés par l'ICSP pour appliquer les dispositions de l'Accord de 2003 des premiers ministres visant à améliorer la qualité des soins de santé, et ce, par le renforcement de la coordination du système et de la collaboration nationale relativement à la sécurité des patients. L'accord de contribution de l'ICSP a été renouvelé en 2008 pour une période de cinq ans débutant le 1er avril 2008 et prenant fin le 31 mars 2013.
Résultats stratégiques : Système de santé accessible et durable qui répond aux besoins de santé de la population canadienne
Résultats obtenus :
Pour continuer de remplir son mandat, l'ICSP se concentre sur ses priorités stratégiques que sont l'amélioration de la sécurité des soins aux patients au Canada par l'apprentissage, l'échange et la mise en oeuvre d'interventions qui permette de réduire les préjudices évitables, l'appui des réseaux et l'augmentation de la capacité grâce à des ressources et des outils fondés sur des données
probantes. Voici des exemples :
Dépenses réelles 2008-2009 | Dépenses réelles 2009-2010 | Dépenses prévues 2010-2011 | Autorisations totales 2010-2011 |
Dépenses réelles 2010-2011 | Écart(s) | |
---|---|---|---|---|---|---|
Total des subventions | 8,0 | 8,0 | 8,0 | 8,0 | 8,0 | 0,0 |
Total des contributions | ||||||
Total des autres types de paiements de transfert | ||||||
Total des activités de programme | 8,0 | 8,0 | 8,0 | 8,0 | 8,0 | 0,0 |
Commentaires sur les écarts :
Vérification réalisée ou prévue : Les documents financiers de l'Institut sont examinés et vérifiés annuellement par des comptables indépendants de l'extérieur.
Évaluation réalisée ou prévue : Conformément à son accord de financement, l'ICSP doit soumettre un rapport d'évaluation final indépendant au ministre au plus tard le 31 mars 2012 et rendre ce rapport public.
Nom du programme de paiements de transfert : Subvention au Partenariat canadien contre le cancer (voté)
Date de mise en œuvre : Le 1er avril 2007
Date de clôture : Le 31 mars 2012
Description :
Le Partenariat canadien contre le cancer (PCC) est responsable de la mise en oeuvre de la Stratégie canadienne de lutte contre le cancer qui a pour objectifs de réduire le nombre de nouveaux cas de cancer dans la population canadienne, d'améliorer la qualité de vie des personnes atteintes et de réduire la probabilité qu'elles en meurent.
Le mandat du Partenariat canadien contre le cancer est de faire preuve de leadership dans la lutte contre le cancer au Canada, grâce à la gestion des connaissances et à la coordination des efforts des provinces et des territoires, les spécialistes en oncologie, les groupes d'intervenants et les organisations autochtones, afin de favoriser le changement et d'améliorer les résultats de santé par rapport à cette maladie. Le Partenariat servira de source pancanadienne pour fournir l'information la plus récente qui soit dans les secteurs prioritaires stratégiques, dont la prévention, le dépistage précoce, les soins centrés sur les patients, les directives, les ressources humaines en santé et les normes. Il appuiera également les principales activités de recherche et facilitera l'élaboration d'un système de surveillance pancanadien.
Résultats stratégiques : Système de santé accessible et durable qui répond aux besoins de santé de la population canadienne
Résultats obtenus : Depuis ses débuts en 2007, le Partenariat canadien contre le cancer :
Dépenses réelles 2008-2009 | Dépenses réelles 2009-2010 | Dépenses prévues 2010-2011 | Autorisations totales 2010-2011 |
Dépenses réelles 2010-2011 | Écart(s) | |
---|---|---|---|---|---|---|
Total des subventions | 58,2 | 57,5 | 55,0 | 55,0 | 55,0 | 0,0 |
Total des contributions | ||||||
Total des autres types de paiements de transfert | ||||||
Total des activités de programme | 58,2 | 57,5 | 55,0 | 55,0 | 55,0 | 0,0 |
Commentaires sur les écarts :
Vérification effectuée ou prévue : Le Bureau de la vérification et de la responsabilisation de Santé Canada doit réaliser une vérification de la subvention au Partenariat canadien contre le cancer au cours de l'exercice financier 2011-2012.
Évaluation réalisée ou prévue : Santé Canada a terminé une évaluation du Partenariat en juillet 2010. Selon les résultats de cette évaluation, le Partenariat est une organisation pertinente qui a réalisé de bons progrès et qui a le soutien et l'engagement des intervenants.
Nom du programme de paiements de transfert : Subvention au Conseil canadien de la santé
Date de mise en œuvre : Le 1er septembre 2004
Date de clôture : Le 31 mars 2015
Description : La création du Conseil canadien de la santé découle de l'Accord de 2003 des premiers ministres sur le renouvellement des soins de santé : il a été chargé d'assurer la surveillance de la mise en oeuvre de l'Accord et de présenter des rapports publics annuels. Dans l'Accord de 2004 sur la santé, les premiers ministres ont élargi le rôle du Conseil afin qu'il produise des rapports sur l'état de santé et les résultats en matière de santé des Canadiens.
Résultats stratégiques : Système de santé accessible et durable qui répond aux besoins de santé de la population canadienne
Résultats obtenus :
Afin de continuer à remplir son mandat, reconfirmé au printemps 2010 par les ministres de la Santé fédéral, provinciaux et territoriaux participants en tant que membres du Conseil, le Conseil a entrepris une vaste gamme de projets et des activités de promotion et a publié des rapports publics connexes. En 2010-2011, le Conseil a notamment :
Dépenses réelles 2008-2009 | Dépenses réelles 2009-2010 | Dépenses prévues 2010-2011 | Autorisations totales 2010-2011 |
Dépenses réelles 2010-2011 | Écart(s) | |
---|---|---|---|---|---|---|
Total des subventions | 6,2 | 4,8 | 10,0 | 10,0 | 6,4 | 3,6 |
Total des contributions | ||||||
Total des autres types de paiements de transfert | ||||||
Total des activités de programme | 6,2 | 4,8 | 10,0 | 10,0 | 6,4 | 3,6 |
Commentaires sur les écarts : Le budget opérationnel annuel du Conseil canadien de la santé peut s'élever jusqu'à 10 M$ par année. Le plan de travail de 2009-2010 du Conseil, approuvé par les membres corporatifs, demandait 6,4 M$. Les versements ont été fait en conséquence.
Vérification effectuée ou prévue : Les documents financiers du Conseil canadien de la santé sont examinés et vérifiés annuellement par des comptables indépendants de l'extérieur. Les états financiers vérifiés peuvent être consultés sur le site Web du Conseil : http://www.healthcouncilcanada.ca
Évaluation réalisée ou prévue : Conformément à l'accord de financement, le Conseil canadien de la santé doit soumettre un cadre d'évaluation final au ministre au plus tard le 31 mars 2013 ainsi qu'un rapport d'évaluation final, au plus tard le 31 mars 2014.
Nom du programme de paiements de transfert : Subvention à l'Agence canadienne des médicaments et des technologies de la santé (voté)
Date de mise en œuvre : Le 1er avril 2008
Date de clôture : Le 31 mars 2013
Description :
L'Agence canadienne des médicaments et des technologies de la santé (ACMTS) est un organisme indépendant sans but lucratif et financé par les gouvernements fédéral, provinciaux et territoriaux, chargée de donner des conseils judicieux et impartiaux ainsi que des renseignements fondés sur des faits au sujet de l'efficacité des médicaments et d'autres technologies de la santé aux décideurs
canadiens en matière de soins de santé. La subvention vise à donner à l'ACMTS de l'aide financière pour soutenir les principaux secteurs d'activités, c'est-à-dire l'Examen commun des médicaments (ECM), l'Évaluation des technologies de la santé (ETS) ainsi que le Service canadien de prescription et d'utilisation optimales des médicaments (SCPUOM). Au cours des exercices financiers 2010-2011 et
2011-2012, l'ACMTS recevra 1 M$ et 2 M$ de plus respectivement en vue de la réalisation d'un projet de deux ans sur les isotopes.
Résultats stratégiques : Système de santé accessible et durable qui répond aux besoins de santé de la population canadienne.
Résultats obtenus :
Des renseignements fondés sur des données probantes à l'appui de la prise de décisions éclairées quant à l'efficacité des médicaments et des technologies de la santé en ce qui a trait aux résultats pour la santé et aux coûts.
Dépenses réelles 2008-2009 | Dépenses réelles 2009-2010 | Dépenses prévues 2010-2011 | Autorisations totales 2010-2011 |
Dépenses réelles 2010-2011 | Écart(s) | |
---|---|---|---|---|---|---|
Total des subventions | 16,9 | 16,9 | 16,9 | 17,9 | 17,9 | -1,0 |
Total des contributions | ||||||
Total des autres types de paiements de transfert | ||||||
Total des activités de programme | 16,9 | 16,9 | 16,9 | 17,9 | 17,9 | -1,0 |
Commentaires sur les écarts : L'ACMTS a reçu une augmentation de financement non récurrente de 3 M$ (1 M$ en 2010-2011; 2 M$ en 2011-20121) pour un projet de durée limitée sur les isotopes, ce qui explique l'écart.
Vérification effectuée ou prévue : Selon le plan de vérification approuvé par le CHD qui sera examiné par le Comité ministériel de vérification (CMV), la vérification de l'ACMTS est prévue pour l'exercice financier 2011-2012.
Évaluation réalisée ou prévue : Une évaluation indépendante des principales activités opérationnelles et du projet sur les isotopes de l'ACMTS est nécessaire dans le cadre de l'accord de financement de 2008-2013 conclu entre Santé Canada et l'ACMTS. L'accord de financement énonce que cette évaluation doit couvrir la période du 1er avril 2007 au 31 mars 2011 et être présentée au ministre au plus tard le 31 octobre 2012. L'évaluation vise à déterminer le rendement de l'ACMTS dans l'atteinte de l'objectif visé par la subvention, notamment l'optimisation des ressources de l'ACMTS.
Nom du programme de paiements de transfert : Subvention désignée à la Commission de la santé mentale du Canada (voté)
Date de mise en œuvre : Le 1er avril 2008
Date de clôture : Le 31 mars 2017
Description :
Aux termes du budget de 2007, le gouvernement du Canada a annoncé l'octroi de fonds pour la mise en place de la Commission de la santé mentale du Canada (CSMC) conçue pour attirer l'attention du pays sur les problèmes liés à la santé mentale et pour travailler à l'amélioration des résultats sociaux liés à la santé des personnes vivant avec une maladie mentale. En vue de remplir son mandat, la
Commission a été chargée des tâches suivantes :
À titre de centre de liaison national en matière de santé mentale et de maladie mentale, la CSMC adoptera une approche ciblée pour traiter de ces enjeux au Canada, favorisera l'amélioration de la coordination et de l'échange de renseignements parmi les intervenants en santé mentale et la communauté de la santé publique et favorisera une meilleure compréhension du public à l'égard de la santé et de la maladie mentale à l'échelle nationale.
Résultats stratégiques : Système de santé accessible et durable qui répond aux besoins de santé de la population canadienne
Résultats obtenus :
La CSMC a fait des progrès considérables depuis ses débuts en 2007 en ce qui a trait à sa capacité à établir des partenariats et à accroître la sensibilisation nationale à l'égard des défis associés à la santé et à la maladie mentale. Au cours de la dernière année, des progrès ont été réalisés sur plusieurs fronts :
Les progrès se poursuivent dans l'initiative de lutte contre la stigmatisation, « Changer les mentalités », lancée en 2009. Cette initiative appuie 49 projets pilotes de lutte contre la stigmatisation qui visent trois groupes : les jeunes, les fournisseurs de soins de santé et les travailleurs. Les projets qui connaissent du succès sont reproduits à l'échelle nationale par l'élaboration de boîtes à outils, par la publication de documents dans des revues scientifiques reconnues, par la tenue de conférences et par l'échange d'information par l'entremise d'un vaste réseau de partenaires.
Le centre d'échange des connaissances a terminé un exercice d'établissement de la portée et une analyse de l'environnement afin de mieux comprendre l'échange et l'application des connaissances dans le domaine de la santé mentale. De plus, la Commission a mis en place l'infrastructure pour un portail en ligne qui donne accès aux travaux de la Commission et qui met en évidence les pratiques exemplaires en matière d'échange de connaissances dans le domaine de la santé mentale. Le lancement doit avoir lieu au cours de l'exercice financier 2011-2012.
Le document cadre de la stratégie nationale sur la santé mentale, intitulé Vers le rétablissement et le bien-être et publié en 2009, continue d'être diffusé. Pendant l'été 2010, des consultations ont eu lieu en vue d'orienter la deuxième phase de l'élaboration de la stratégie. Cela a mené à une révision de l'approche, qui porte maintenant sur les priorités qui auront les plus grandes répercussions et produiront le meilleur rendement possible du capital investi. La version définitive du document stratégique sera publiée au début de 2012.
Dépenses réelles 2008-2009 | Dépenses réelles 2009-2010 | Dépenses prévues 2010-2011 | Autorisations totales 2010-2011 |
Dépenses réelles 2010-2011 | Écart(s) | |
---|---|---|---|---|---|---|
Total des subventions | 7,5 | 12,0 | 15,0 | 15,0 | 15,0 | 0,0 |
Total des contributions | ||||||
Total des autres types de paiements de transfert | ||||||
Total des activités de programme | 7,5 | 12,0 | 15,0 | 15,0 | 15,0 | 0,0 |
Commentaires sur les écarts : S.O.
Vérification réalisée ou prévue : Comme l'énonce l'accord de financement, la CSMC doit engager un vérificateur indépendant pour procéder à une vérification complète de ses états financiers à chaque exercice. Les états financiers de 2010-2011 sont maintenant vérifiés et ont été présentés dans le cadre de la réunion du conseil d'administration du 14 juin 2010 à des fins d'approbation.
Une vérification interne par Santé Canada est prévue pour 2011-2012.
Évaluation réalisée ou prévue :
Comme l'exige l'entente de financement conclue avec Santé Canada, une évaluation indépendante a été réalisée pendant l'exercice 2010-2011. L'évaluation visait à déterminer les progrès réalisés par la CSMC entre juillet 2007 et décembre 2010 dans les domaines suivants : la capacité de réaliser son mandat, l'efficacité des politiques ou des programmes, les effets prévus et imprévus dans
l'ensemble du réseau de la santé mentale et les nouvelles façons d'obtenir les résultats escomptés.
L'évaluation a montré que la Commission a déployé des efforts pour renforcer ses activités de reddition de comptes et ses processus et pratiques de gestion du rendement et a fait des progrès dans la plupart de ses initiatives. Toutefois, l'évaluation a aussi montré que la CSMC doit renforcer ses efforts de sensibilisation et établir un leadership dans la communauté des intervenants, accroître la transparence et l'intégration au sein de la CSMC et faire avancer les initiatives du Centre d'échange des connaissances et des Partenaires pour la santé mentale.
Les progrès sur la mise en oeuvre des recommandations de l'évaluation seront communiqués de diverses façons, notamment les plans d'activités futurs, les rapports annuels et les rapports au conseil d'administration de la CSMC.
Nom du programme de paiements de transfert : Subvention à l'Institut canadien d'information sur la santé (voté)
Date de mise en œuvre : Le 1er avril 1999
Date de clôture : Le 31 mars 2012
Description :
L'Institut canadien d'information sur la santé (ICIS) est un organisme indépendant sans but lucratif appuyé par les gouvernements fédéral, provinciaux et territoriaux qui fournit des données et des analyses essentielles sur le système de santé au Canada et la santé des Canadiens. L'ICIS a été créé en 1991 par les ministres FPT de la Santé dans le but de combler d'importantes lacunes en
matière d'information sur la santé. Les données et les rapports de l'ICIS orientent les politiques de la santé, appuient la prestation efficace des services de santé et accroissent la sensibilisation de la population canadienne aux facteurs qui contribuent à une bonne santé.
Depuis 1999, le gouvernement fédéral finance l'ICIS grâce à une série de subventions et de subventions conditionnelles, connue sous le nom Initiative du Carnet de route. Récemment, le financement de l'ICIS a été consolidé dans l'Initiative d'information sur la santé.
Dans le cadre des initiatives du Carnet de route I, II et II+, l'ICIS a reçu environ 260 millions de dollars depuis 1999. Dans le budget de 2005, le gouvernement a affecté une somme additionnelle de 110 millions de dollars sur cinq ans (de 2005-2006 à 2009-2010) à l'initiative du Carnet de route III. Ces fonds ont permis à l'ICIS de fournir en temps opportun de l'information de qualité en matière de santé, notamment la présentation de données sur divers indicateurs de santé importants et d'autres publications sur la santé, afin d'améliorer la prise de décisions et la responsabilisation dans le secteur de la santé.
Depuis 2007-2008, l'Initiative d'information sur la santé fournit à l'ICIS des subventions qui remplacent le financement versé dans le cadre des initiatives du Carnet de route II, II + et III, et elle accorde aussi des fonds pour des nouvelles initiatives. Ces fonds permettront à l'ICIS de poursuivre son travail dans le cadre des initiatives du Carnet de route et d'améliorer davantage la couverture des systèmes de données sur la santé. Cela permettra aux Canadiens d'obtenir de l'information sur leur système de santé, dont de l'information sur les temps d'attente, et favorisera l'élaboration d'indicateurs comparables de la santé. Grâce à ce financement, l'ICIS sera en mesure de répondre efficacement aux nouvelles priorités. Dans le cadre de cette initiative, jusqu'à 404,49 millions de dollars sur cinq ans (de 2007-2008 à 2011-2012) seront versés à l'ICIS.
Résultats stratégiques : Système de santé accessible et durable qui répond aux besoins de santé de la population canadienne.
Résultats obtenus :
En 2010-2011, l'ICIS a continué à faire des progrès dans la production de données de meilleure qualité et plus nombreuses, d'analyses plus pertinentes et recevables et dans la meilleure compréhension et utilisation, par les clients, des données et des produits de l'ICIS. Voici quelques extraits du Rapport sur le rendement organisationnel 2010-2011.
Données de meilleure qualité et en plus grand nombre
Analyse pertinente et recevable
Au cours de la dernière année, l'ICIS a continué d'augmenter la profondeur et l'étendue des analyses et des rapports dans tous les fonds de données, préparant et diffusant 34 produits analytiques. Ces derniers comprenaient des rapports analytiques spéciaux sur les thèmes en cours (p. ex. accès et qualité des soins, temps d'attentes, continuité des soins) et des études spéciales portant sur
les thèmes prioritaires en matière de services de santé (p. ex. coûts, sécurité des patients). L'ICIS a aussi préparé et diffusé un certain nombre de rapports annuels et divers autres documents analytiques pertinents pour les politiques portant sur les services de santé, les dépenses de santé, les produits pharmaceutiques et les ressources humaines en santé.
Compréhension et utilisation améliorées
En 2011-2011, l'ICIS a répondu à 380 demandes de données, la majorité (91 %) étant réalisées dans les 90 jours suivant leur réception, ce qui est un taux plus élevé que pendant l'exercice précédent. L'ICIS doit se pencher sur l'amélioration de l'accès à ses données et à ses rapports pour ses clients et les intervenants par l'élaboration de meilleurs outils. L'outil de suivi des demandes
de données, un système lancé au début de 2008-2009, contient des renseignements sur toutes les demandes personnalisées de données faites par des clients externes. En 2010-2011, le personnel de l'ICIS a traité 523 demandes personnalisées de données, une augmentation de 29 % par rapport aux 405 demandes de l'année précédente. La grande majorité (79 %) des demandes de données
provenait de tierces parties, les autres 21 % provenant des fournisseurs de données eux-mêmes ou de ministères de la Santé. Le 1er avril 2011, un outil de traitement automatique a remplacé les feuilles de calcul Excel de l'outil servant à faire le suivi des demandes de données à l'ICIS et à en faire rapport. Ce système devrait améliorer le suivi des demandes de
données et les processus administratifs liés à ces demandes.
Couverture médiatique
Cette année, des efforts concertés ont été déployés afin de se concentrer sur la qualité et non la quantité de produits médiatiques. C'est pourquoi, au cours du présent exercice financier, il y a eu 23 produits médiatiques (16 communiqués, 7 avis), par rapport à 28 (17 communiqués, 11 avis) en 2009-2010.
Dépenses réelles 2008-2009 | Dépenses réelles 2009-2010 | Dépenses prévues 2010-2011 | Autorisations totales 2010-2011 |
Dépenses réelles 2010-2011 | Écart(s) | |
---|---|---|---|---|---|---|
Total des subventions | 81,7 | 81,7 | 81,7 | 81,7 | 81,7 | 0,0 |
Total des contributions | ||||||
Total des autres types de paiements de transfert | ||||||
Total des activités de programme | 81,7 | 81,7 | 81,7 | 81,7 | 81,7 | 0,0 |
Commentaires sur les écarts : S.O.
Vérification réalisée ou prévue : Conformément à l'accord de financement entre l'ICIS et Santé Canada, une vérification de gestion de l'Initiative d'information sur la santé (IIS) a été effectuée et transmise à Santé Canada avant le 31 mars 2011. Le rapport présentait un résumé de la méthode utilisée pour planifier et réaliser la vérification de gestion ainsi que des observations et des recommandations pour apporter des améliorations.
Évaluation réalisée ou prévue : Évaluation par une tierce partie réalisée et fournie à Santé Canada en 2010-2011. L'ICIS a entrepris une évaluation indépendante, conformément à ses obligations prévues dans l'accord de financement de l'Initiative d'information sur la santé (IIS) avec Santé Canada. Selon la conclusion globale de l'évaluation, l'ICIS a atteint les objectifs de l'Initiative.
Nom du récipiendaire : Fondation Rick Hansen, l'Homme en mouvement
Date de mise en œuvre : 1er avril 2007
Date de clôture : 31 mars 2012
Total des fonds : 30 M$
Description :
Fondée par Rick Hansen en 1988, la Fondation Rick Hansen, l'Homme en mouvement est un organisme indépendant sans but lucratif qui vise à proposer des solutions pour améliorer la vie des Canadiens souffrant d'une lésion médullaire (LM) et à faire progresser la recherche dans ce domaine.
Le financement sert à la mise en œuvre de la stratégie établie par l'Institut Rick Hansen (IRH) qui vise ce qui suit :
Résultats stratégiques : Un système de santé accessible et durable qui répond aux besoins des Canadiens.
Résumé des résultats obtenus par le récipiendaire :
Voici les grandes réalisations de l'IRH :
2008-2009 Dépenses réelles |
2009-2010 Dépenses réelles |
2010-2011 Dépenses prévues |
2010-2011 Autorisations totales |
2010-2011 Dépenses réelles |
Écart(s) |
---|---|---|---|---|---|
0 $ | 0 $ | 0 $ | 0 $ | 0 $ | 0 $ |
Commentaires sur l'écart : Aucun écart n'a été enregistré pour 2010 2011 (la somme de 30 M$ a été versée au bénéficiaire, dans son intégralité, au moment de la signature de l'accord en 2007).
Résultats importants de l'évaluation du récipiendaire pendant l'exercice visé/plans futurs :
L'IRH a réalisé une évaluation indépendante à mi-parcours afin de mesurer son rendement global quant à l'atteinte des objectifs du plan stratégique, tels qu'ils ont été décrits dans l'accord de financement avec Santé Canada. Cette évaluation, qui a été présentée à Santé Canada le 18 juin 2010, a confirmé le bien-fondé du financement fourni par ce dernier et la nécessité que l'IRH poursuive ses travaux. Dans l'ensemble, d'importants progrès ont été réalisés relativement à la création de l'infrastructure servant à mobiliser les cliniciens et les chercheurs dans le domaine des LM, à créer et à gérer le programme de recherche translationnelle de même qu'à élargir le Registre Rick Hansen sur les lésions médullaires.
L'évaluation et les données recueillies ont permis de cerner certaines difficultés et limites sur le plan méthodologique de même que diverses possibilités, surtout en ce qui a trait à l'amélioration des communications, de la transparence et du processus d'administration des subventions de recherches ainsi qu'à l'établissement de liens avec d'autres organismes de financement (comme les Instituts de recherche en santé du Canada). La Fondation Rick Hansen, l'Homme en mouvement et l'Institut Rick Hansen travaillent de près avec Santé Canada en vue de la mise en œuvre des améliorations décrites dans la réponse de la direction de Santé Canada à l'évaluation à mi-parcours.
Une évaluation sommative du rendement de l'IRH devrait être présentée à Santé Canada le 31 juillet 2012.
Résultats importants de la vérification effectuée par le récipiendaire durant l'exercice visé/plans futurs :
Comme le prévoit l'accord de financement, l'IRH doit faire appel aux services d'un vérificateur indépendant pour effectuer une vérification complète de ses états financiers, et ce, à chaque exercice financier. La vérification annuelle pour l'exercice 2009 2010 ne faisait état d'aucune préoccupation importante. Les états financiers vérifiés de 2010 2011 sont maintenant terminés et ont été présentés à Santé Canada le 29 juillet 2011.
L'IRH est également tenu de faire appel aux services d'un vérificateur indépendant pour effectuer une vérification de gestion. Cette dernière devrait être présentée à Santé Canada d'ici le 31 mars 2012. Elle servira à déterminer la mesure dans laquelle l'IRH a fait preuve d'efficience, d'économie et d'efficacité dans son utilisation des fonds octroyés par Santé Canada.
Nom du récipiendaire : Fondation canadienne de la recherche sur les services de santé (FCRSS)
Date de mise en œuvre : 1996-1997
Date de clôture : s.o.
Total des fonds : 151,5 M$
Description :
1996 - Financement de 66,5 M$ sur cinq ans pour l'établissement de la Fondation.
1999 - Subvention unique de 25 M$ pour appuyer un programme s'étendant sur une période de dix ans pour le développement d'une capacité de recherche sur le recrutement, le maintien en poste, la gestion et le leadership dans le domaine des soins infirmiers, ainsi que sur les enjeux découlant de la restructuration du système de santé (Fonds de recherche en sciences infirmières ou FRSI); et subvention unique de 35 M$ pour soutenir la participation de la FCRSS au réseau des Instituts de recherche en santé du Canada (IRSC).
2003 - Subvention unique de 25 M$ pour l'élaboration d'un programme destiné aux professionnels de la santé et à leurs organismes pour qu'ils acquièrent les compétences qui leur permettront de trouver, d'évaluer, d'interpréter et d'utiliser des données de recherche dans le but de mieux gérer le système de soins de santé au Canada (Formation en utilisation de la recherche pour cadres qui exercent dans la santé ou FORCES), et ce, sur une période de 13 ans.
La FCRSS a pour mission d'améliorer la santé des Canadiens en :
Par son travail, la FCRSS contribue à l'objectif stratégique de Santé Canada d'approfondir les connaissances pour s'attaquer aux priorités en matière de santé et de soins de santé. De façon plus précise, les programmes de la FCRSS favorisent le perfectionnement des ressources humaines en santé; ils fournissent aux gestionnaires du système de santé les outils dont ils ont besoin pour améliorer les soins primaires et de longue durée, et ils appuient la recherche en soins infirmiers, du point de vue du système de santé.
Résultats stratégiques : Un système de santé accessible et durable qui répond aux besoins de la population canadienne.
Résumé des résultats obtenus par le récipiendaire :
Gouvernance efficace pour assurer la qualité et la sécurité des patients
Participation du patient
Accélération du changement fondé sur des données probantes
Formation en utilisation de la recherche pour cadres qui exercent dans la santé (FORCES)
Forum des PDG
Initiatives dans le Nord
Capacité et développement en recherche appliquée et évaluation (CADRE) en sciences de la santé et en soins infirmiers
Soins infirmiers
Financement, innovation et transformation des soins de santé
Planification à l'intention de la population vieillissante
Innovation en matière de soins de santé primaires
Publications et programmes
Prix de mérite et développement des capacités
Des renseignements supplémentaires se trouvent dans le rapport annuel sur le rendement 2010 de la FCRSS présenté à Santé Canada le 30 mai 2010 (accessible en ligne à l'adresse suivante : www.chsrf.ca).
2008-2009 Dépenses réelles |
2009-2010 Dépenses réelles |
2010-2011 Dépenses prévues |
2010-2011 Autorisations totales |
2010-2011 Dépenses réelles |
Écart(s) |
---|---|---|---|---|---|
0 $ | 0 $ | 0 $ | 0 $ | 0 $ | 0 $ |
Commentaires sur l'écart : Des subventions conditionnelles à la FCRSS (voir la liste à la section 5 ci dessus) ont toutes été octroyées avant la période de présentation de rapports de 2010 2011.
Résultats importants de l'évaluation du récipiendaire pendant l'exercice visé/plans futurs :
Résultats importants de la vérification effectuée par le récipiendaire durant l'exercice visé/plans futurs :
Les vérifications financières et des régimes de retraite externes pour 2010 n'ont démontré aucun problème majeur, puisque les vérificateurs ont rapporté des vérifications dépourvues de toute surprise ne faisant mention d'aucun indice de fraude ou de geste illégal.
L'examen des contrôles internes de 2010 examinait les secteurs opérationnels liés aux investissements, à l'assurance et aux fonctions des taxes à la consommation. Les recommandations découlant de cet examen seront mises en application en 2011.
Nom du récipiendaire : Inforoute Santé du Canada (Inforoute)
Date de mise en œuvre : 9 mars 2001
Date de clôture : s.o.
Total des fonds : 2,1 G$*
*Inforoute a reçu 1,2 milliard de dollars en subventions forfaitaires de 2001 à 2004. Les 400 millions de dollars accordés en 2007 étaient assujettis à de nouvelles conditions - ces fonds sont versés à Inforoute au fur et à mesure des besoins. Un financement additionnel de 500 millions de dollars a été annoncé dans le budget de 2009 et confirmé dans le budget de 2010. En mars 2010, Santé
Canada et Inforoute ont signé une entente relative à ce financement. Les fonds seront versés à Inforoute au fur et à mesure des besoins.
Description :
Inforoute Santé du Canada Inc. (Inforoute) est une société sans but lucratif indépendante, créée en 2001 pour accélérer le développement des technologies de l'information et des communications au service de la santé comme le dossier de santé électronique, la télésanté et les systèmes de surveillance de la santé publique sur une base pancanadienne. Les membres de cette société sont les 14 sous-ministres de la Santé fédéral, provinciaux et territoriaux.
Depuis 2001, le gouvernement fédéral s'est engagé à allouer les fonds suivants : 500 millions de dollars en 2001 à l'appui du Plan d'action pour le renouvellement des soins de santé, adopté par les premiers ministres en septembre 2000, afin de renforcer une infostructure pancanadienne de la santé (une attention prioritaire étant accordée au dossier de santé électronique, ou DSE); 600 millions de dollars prévus dans l'Accord de février 2003 des premiers ministres sur la santé, pour accélérer la mise en œuvre des DSE et de la télésanté; 100 millions de dollars dans le cadre du budget de 2004 pour l'établissement d'un système pancanadien de surveillance de la santé; 400 millions de dollars dans le cadre du budget de 2007 pour la poursuite des travaux reliés aux DSE et à la réduction des temps d'attente. Le gouvernement du Canada a par ailleurs annoncé, dans le cadre de son Plan d'action économique et tel qu'il est indiqué dans le budget 2009, un investissement additionnel de 500 millions de dollars dans Inforoute pour assurer la poursuite de la mise en œuvre des DSE, de leur adoption dans les cabinets des médecins et de l'intégration du système DSE dans plusieurs points de service. À la suite d'un processus de concertation, le gouvernement, dans le budget de 2010, a annoncé son intention de poursuivre ce transfert de fonds. En mars 2010, Santé Canada et Inforoute ont signé un accord relatif à ce financement, qui comprend des dispositions relatives à une responsabilisation renforcée.
L'approche d'Inforoute, selon laquelle les gouvernements fédéral, provinciaux et territoriaux participent de façon égale à la modernisation du système d'information sur la santé, réduira sans doute les coûts et augmentera la qualité des soins de santé, et de la sécurité des patients, grâce à la coordination des activités et à la prévention des recoupements.
Résultats stratégiques : Un système de santé accessible et durable qui répond aux besoins de la population canadienne.
Résumé des résultats obtenus par le récipiendaire :
Stratégie d'investissement - Inforoute est un investisseur stratégique dont la formule de financement couvre jusqu'à 100 % des coûts des territoires et 75 % des coûts des provinces au titre de l'élaboration et de la mise en œuvre de projets. Inforoute paie une partie des coûts d'établissement de systèmes et appuie la surveillance des projets, tandis que les partenaires provinciaux et territoriaux sont responsables du développement proprement dit des systèmes, de leur mise en œuvre et de leur financement global, y compris les coûts de fonctionnement permanents. En 2010 2011, Inforoute a approuvé une dépense de 390,5 millions de dollars pour de nouveaux projets (21 projets), portant le montant cumulatif des investissements à 2,007 milliards de dollars (315 projets depuis la création d'Inforoute).
Dossiers de santé électroniques (DSE) - L'objectif d'Inforoute pour les DSE, approuvé par toutes les administrations, est le suivant : « D'ici 2010, toutes les provinces et tous les territoires, et les populations qu'ils servent, profiteront de nouveaux systèmes d'information sur la santé qui contribueront à transformer leurs systèmes de prestation de soins de santé. De plus, d'ici 2010, les dossiers de santé électroniques de 50 % des Canadiens, et de 100 % dès 2016, seront accessibles aux professionnels autorisés qui leur dispensent des soins. » Le premier volet de cet objectif a été atteint; au 31 mars 2011, les principaux éléments des DSE étaient en place pour 50,1 % des Canadiens.
En 2010 2011, Inforoute et les provinces et territoires ont fait d'importants progrès dans le développement des divers éléments du DSE - registres des clients et fournisseurs, systèmes d'information de laboratoire et d'imagerie diagnostique, systèmes d'information sur les médicaments et les résultats cliniques. Par exemple, les résultats suivants ont été atteints en 2010 2011.
Système d'information sur les médicaments (SIM) : Selon les estimations, 30 000 professionnels de la santé utilisent des systèmes d'information sur les médicaments de deuxième génération. Ainsi, en Colombie-Britannique, le SIM de PharmaNet saisit chaque ordonnance traitée par les pharmacies de la province et fournit un service d'alerte aux pharmaciens. En 2010, plus de 60 millions d'ordonnances ont été examinées par le truchement de PharmaNet, permettant la détermination de 32 millions d'interactions médicamenteuses à risque.
Systèmes d'imagerie diagnostique (système d'ID) : Selon les estimations, 43 000 professionnels de la santé avaient recours à la technologie des systèmes d'imagerie diagnostique en mars 2011. Cette technologie a amélioré le délai d'obtention des résultats de tests de 30 40 %; les patients peuvent obtenir leurs résultats et commencer le traitement plus rapidement. Le système d'ID du programme Inforoute est maintenant accessible dans plusieurs provinces.
Télésanté - Inforoute s'efforce de mettre en œuvre des solutions qui facilitent la diffusion d'information et la prestation de services en matière de santé entre les patients et les fournisseurs à distance, en particulier pour les Autochtones, les communautés de langue officielle en situation minoritaire, les collectivités nordiques et éloignées. Des plans stratégiques de télésanté sont en place dans la plupart des administrations.
En 2010, Inforoute a commandé une étude indépendante à l'échelle pancanadienne pour décrire l'utilisation de la télésanté au Canada et les avantages réalisés à ce jour. Le rapport a été publié en mai 2011. Comme l'indique le rapport Avantages et adoption de la télésanté : Lier les patients et les prestateurs dans l'ensemble du Canada, la télésanté a apporté un certain nombre d'avantages aux cliniciens, aux patients et au système de santé. Le rapport souligne que la télésanté :
Dossiers de santé électroniques (DSE) - Grâce au nouveau financement accordé en 2010, Inforoute a affecté des fonds à l'investissement dans des systèmes de DSE pour les pratiques communautaires et les services de consultation externe. Les investissements serviront aux réseaux de soutien des cliniciens par les pairs, aux projets d'innovations et aux solutions de santé des consommateurs.
En 2010-2011, Inforoute a travaillé avec les administrations et les fournisseurs à l'élaboration de guides d'utilisateurs et d'un ensemble de solutions logicielles visant à accélérer l'interopérabilité des DSE, particulièrement avec les systèmes de traitement aux points de service comme les DSE des cabinets de médecins, les systèmes d'information des hôpitaux et les systèmes des pharmacies communautaires.
Solutions de santé grand public - À titre de centre d'intérêt et d'investissement émergent d'Inforoute, ce programme éduquera et habilitera les Canadiens en fournissant un accès électronique à leur dossier médical. Par exemple, Inforoute finance l'initiative MyHealth.Alberta.ca de l'Alberta. Lorsqu'il sera complété, le portail de santé personnelle de l'Alberta, le premier au Canada, offrira aux Albertains un accès sécurisé à leurs renseignements médicaux personnels comme le relevé sur la pression artérielle, les niveaux d'insuline, le poids et l'immunisation. Le portail a été lancé en mai 2011.
Innovation et adoption - Au cours du dernier exercice, Inforoute a lancé de nouveaux programmes d'investissement centrés sur l'accélération de la mesure dans laquelle les cliniciens et les Canadiens obtiennent des résultats tangibles grâce à l'utilisation de la technologie de l'information et des communications. Des investissements sont faits dans les réseaux de soutien des cliniciens par les pairs, dans la formation et dans d'autres initiatives en vue de favoriser l'innovation en matière de télésanté.
2008-2009 Dépenses réelles |
2009-2010 Dépenses réelles |
2010-2011 Dépenses prévues |
2010-2011 Autorisations totales |
2010-2011 Dépenses réelles |
Écart(s) |
---|---|---|---|---|---|
122,9 $ | 64,49 $ | 91,84 $ | 91,84 $ | 91,84 $ | 0 $ |
Commentaires sur l'écart : s.o.
Résultats importants de l'évaluation du récipiendaire pendant l'exercice visé/plans futurs :
En mars 2011, Inforoute a publié une évaluation indépendante de son rendement dans l'atteinte des objectifs, principes et résultats de l'entente de financement de 2003 entre Inforoute et le gouvernement du Canada. Le rapport démontre qu'Inforoute a obtenu ou, du moins, cheminé vers l'obtention des résultats attendus de l'entente de 2003, malgré les défis existants. L'évaluation a permis de conclure que les stratégies appropriées étaient en place pour atteindre les objectifs énoncés dans l'entente de financement, et que les projets étaient gérés de manière économique et donnaient lieu aux résultats attendus.
En mars 2013, Inforoute devrait publier une évaluation indépendante afin d'évaluer le rendement relatif à l'atteinte des objectifs de l'entente de financement de 2010.
Résultats importants de la vérification effectuée par le récipiendaire durant l'exercice visé/plans futurs :
Aucune activité de vérification n'a été entreprise au cours de l'exercice 2010 2011.
En mars 2013, Inforoute devrait publier un rapport de vérification sur l'évaluation indépendante de son rendement (optimisation des ressources) portant sur l'utilisation des fonds en vertu de toutes les ententes de financement.
Nom du récipiendaire : Commission de la santé mentale du Canada (CSMC) - Subvention conditionnelle pour appuyer des projets-pilotes de recherche sur la santé mentale et l'itinérance
Date de mise en œuvre : le 1er avril 2008
Date de clôture : le 31 mars 2013
Total des fonds : 110 M$
Description : Dans le cadre de son budget de 2008, le gouvernement fédéral a annoncé son intention de fournir 110 millions de dollars sur cinq ans (2008-2013) à la CSMC pour appuyer cinq projets-pilotes de recherche sur la santé mentale et l'itinérance. Ces projets se concentreront notamment sur le renforcement des connaissances quant à la façon de faciliter l'accès à un logement adéquat et d'offrir les services de soutien nécessaires, et ils entraîneront l'élaboration de pratiques exemplaires qui appuieront les interventions futures et l'amélioration à long terme de la vie des personnes les plus vulnérables du Canada.
Le projet préconise le principe du « logement d'abord », qui met l'accent sur le rétablissement et le choix du consommateur ou du locataire, et établit un parallèle avec les soins traditionnels. En tout, 2 285 sans-abri vivant avec une maladie mentale prendront part au projet. De ce nombre, 1 325 seront logés et recevront une gamme de services qui les aideront pendant la durée de l'initiative. Les autres participants recevront les services habituellement offerts dans leurs villes. L'objectif consiste à déterminer quels sont les services permettant d'améliorer le sort des sans-abri vivant avec une maladie mentale. Les résultats escomptés sont les suivants :
Résultats stratégiques : Un système de santé accessible et durable qui répond aux besoins de la population canadienne.
Résumé des résultats obtenus par le récipiendaire : Le projet, intitulé Chez Soi/At Home (anglais)/Niapin (cri), a été lancé en novembre 2009 dans les cinq villes participantes, soit Vancouver, Winnipeg, Toronto, Montréal et Moncton. Chaque projet cible un groupe distinct de sans-abri vivant avec la maladie mentale tels que les personnes qui ont une dépendance à l'alcool ou aux drogues, les Canadiens autochtones et les nouveaux arrivants qui ne parlent pas l'anglais. Depuis mai 2011, 95 % des participants prévus ont été inscrits à l'étude et, de ce nombre, 900 ont été logés. Dans l'ensemble, tous les sites atteignent leur objectif de participation. L'initiative est de plus en plus reconnue à l'échelle nationale et internationale et divers intervenants et pays, notamment la France et l'Australie, souhaitent adapter le programme. La Commission travaille en collaboration avec les administrations provinciales et municipales, les chercheurs, les fournisseurs de services locaux et les gens qui possèdent une expérience concrète de la maladie mentale et de l'itinérance.
2008-2009 Dépenses réelles |
2009-2010 Dépenses réelles |
2010-2011 Dépenses prévues |
2010-2011 Autorisations totales |
2010-2011 Dépenses réelles |
Écart(s) |
---|---|---|---|---|---|
110 $ | 0 $ | 0 $ | 0 $ | 0 $ | 0 $ |
Commentaires sur l'écart : s.o.
Résultats importants de l'évaluation du récipiendaire pendant l'exercice visé/plans futurs : Conformément aux modalités de l'entente de financement, la Commission doit procéder à une évaluation indépendante dans un délai de 5 ans et de 180 jours pour mesurer le rendement global de la Commission quant à l'atteinte de l'objectif du financement de la subvention.
L'initiative sur l'itinérance a aussi fait partie de l'évaluation globale du rendement de la Commission qui a été effectuée au cours de l'exercice 2010-2011. L'évaluation visait à déterminer les progrès réalisés par la Commission entre juillet 2007 et décembre 2010 dans les domaines suivants :
L'évaluation a montré que la Commission a déployé des efforts pour renforcer ses activités de reddition de comptes et ses processus et pratiques de gestion du rendement, et a fait des progrès dans la plupart de ses initiatives, dont le projet sur l'itinérance. Les résultats découlent d'un examen des documents du projet, d'une enquête en ligne, de groupes de discussion et d'une série d'entrevues avec les principaux répondants.
Résultats importants de la vérification effectuée par le récipiendaire durant l'exercice visé/plans futurs : Comme il est indiqué dans l'entente de financement, la Commission doit engager un vérificateur indépendant pour procéder à une vérification complète de ses états financiers pour chaque exercice. Les états financiers de 2010-2011 sont maintenant vérifiés et ont été présentés dans le cadre de la réunion du conseil d'administration du 14 juin 2011 à des fins d'approbation.
Le projet sur l'itinérance devrait faire partie de la vérification interne par Santé Canada prévue pour 2011-2012.
Nom de l'initiative horizontale : Plan de gestion des produits chimiques
Nom des ministères responsables : Santé Canada et Environnement Canada
Activité de programme du ministère responsable : Santé environnementale durable et gestion des substances et des déchets
Date de mise en œuvre : 2007-2008
Date de clôture : 2010-2011
Total des fonds fédéraux affectés (de la mise en œuvre à la clôture) : 299,2 M$
Description de l'initiative horizontale (y compris l'accord de financement) :
Le Plan de gestion des produits chimiques (PGPC) fait partie du plan environnemental global du gouvernement et il est géré conjointement par Santé Canada et Environnement Canada (EC). Les activités exposées dans ce plan tirent parti de la position de chef de file mondial du Canada dans la saine gestion des substances et des produits chimiques, et portent sur des mesures opportunes à l'égard des principales menaces pour la santé et l'environnement. Le plan comprend notamment l'évaluation des risques, la gestion des risques, le contrôle et la surveillance ainsi que la recherche sur des produits chimiques qui peuvent être nuisibles à la santé humaine et à l'environnement.
Le PGPC génère également, par des mesures réalistes et applicables, un niveau de responsabilité accru pour l'industrie. En outre, il stimule l'innovation et augmente la compétitivité canadienne dans un marché international où de plus en plus d'attention est portée à l'innocuité des substances chimiques et à la sécurité des produits.
Santé Canada et Environnement Canada gèrent ensemble le financement du PGPC et s'assurent que le Plan cadre bien avec les priorités en matière de santé humaine et d'environnement.
En 2010-2011, les secteurs de programme énumérés ci-après ont été touchés par les activités du PGPC.
À Santé Canada
À Environnement Canada
Pour obtenir de plus amples renseignements, visitez le portail des substances chimiques du gouvernement du Canada à l'adresse suivante : http://www.chemicalsubstanceschimiques.gc.ca
Résultats partagés :
Parmi les résultats de haut niveau liés à la gestion du PGPC, mentionnons les suivants :
Structures de gouvernance :
Santé Canada partage la responsabilité du PGPC avec Environnement Canada. Le PGPC est composé de cinq éléments interreliés qui doivent être planifiés, exécutés et évalués selon un cadre intégré, géré conjointement par Santé Canada et par Environnement Canada.
La gouvernance est assurée par un comité conjoint de sous-ministres adjoints de Santé Canada et d'Environnement Canada et par le Comité exécutif interministériel de gestion des produits chimiques (CEGPC). Ces comités ont été mis sur pied en vue de maximiser la coordination des efforts tout en réduisant la répétition inutile d'activités au sein des deux ministères.
Le comité des SMA sur le PGPC offre une fonction d'orientation stratégique, de coordination et de remise en question pour la mise en œuvre globale du PGPC ainsi que le suivi des résultats de ses activités et de l'utilisation des ressources. Le comité sert de forum de haut niveau pour la formulation de recommandations sur la gestion des produits chimiques qui seront présentées aux sous-ministres.
Le CEGPC est le principal comité de gestion à l'échelon des directeurs généraux qui contribue à l'élaboration d'orientations stratégiques communes entre EC et Santé Canada. Il constitue également un organe officiel pour les consultations et les coopérations en vue d'assurer des actions concertées opportunes dans la mise en œuvre intégrée des activités du PGPC. Les rapports du CEGPC au Comité des SMA contiennent des recommandations sur la mise en œuvre de programmes, sur les résultats et sur l'utilisation des ressources.
Points saillants du rendement :
Partenaires fédéraux | Activités de programme (AP) des partenaires fédéraux | Titre des programmes des partenaires fédéraux | Affectation totale (de la de date de mise en œuvre à la date de clôture) | 2010-2011 (en millions de dollars) | |||
---|---|---|---|---|---|---|---|
Dépenses prévues 2010-2011 |
Dépenses réelles 2010-2011 |
Résultats prévus 2010-2011 |
Résultats obtenus 2010-2011 |
||||
Santé Canada | Hygiène de l'environnement durable | Évaluation des risques | 9,9 | 3,5 | 3,5 |
|
Un élément clé du PGPC est de prendre des mesures immédiates à l'égard des 200 substances chimiques présentant la priorité la plus élevée qui ont été relevées dans le cadre du programme Défi. Ce programme mettait l'industrie et les intervenants au défi de fournir des renseignements sur les substances chimiques et les pratiques de gestion sécuritaires pour 196 des substances
commercialisées présentant la priorité la plus élevée. Le gouvernement du Canada a depuis publié des renseignements sur toutes les substances du Défi, indiquant lesquelles pouvaient présenter un risque pour la santé humaine ou l'environnement. Il a aussi obtenu de l'industrie l'information nécessaire en vertu de l'article 71 sur toutes les substances, publié une ébauche ou un
rapport définitif d'évaluation préalable des risques pour 192 des 196 substances du Défi et pris des mesures de gestion des risques à l'égard de 45 substances susceptibles de présenter un risque pour la santé ou l'environnement. La majorité des évaluations des risques prévues dans le cadre du PGPC à des fins de publication au cours de l'exercice 2010-2011 sont terminées. Ces évaluations comprenaient la diffusion des rapports définitifs d'évaluation préalable pour les substances des lots 8 à 10 ainsi que les ébauches des rapports d'évaluation pour les substances des lots 10 à 12, y compris d'autres substances des lots 1 (CHPD), 6 et 8. Au total, les ébauches des rapports d'évaluation préalable de 47 substances (ou groupes de substances) et les rapports d'évaluation définitifs de 43 substances (ou groupes de substances) ont été publiés. Plusieurs rapports concernant des substances non liées au Défi ont également été publiés dans la Gazette du Canada, Partie I (rapport définitif d'évaluation préalable de l'éthylèneglycol et rapport final sur l'état des connaissances scientifiques sur le décaBDE; ébauche des rapports d'évaluation préalable de la quinoléine, de l'acide perfluorooctano [APFO], des acides perfluorocarboxyliques [APFC] et de l'hexabromocyclododécane [HBCD]). Un rapport d'évaluation de suivi sur l'aniline a également été publié en 2010-2011. En 2010-2011, trois ébauches de rapport d'évaluation préalable portant sur environ 70 substances pétrolières désignées comme étant restreintes aux raffineries de pétrole et aux usines de valorisation ont été publiées dans la Partie I de la Gazette du Canada. Des stratégies et des méthodes pour évaluer les substances restantes (ou les groupes de substances) du secteur pétrolier sont présentement élaborées. Dans le cadre du Défi, des approches de gestion des risques ont été publiées pour neuf substances des lots 8 à 10 considérées néfastes pour la santé humaine ou l'environnement (la publication des approches relatives aux lots 11 et 12 est prévue en 2011-2012), et la portée de la gestion des risques a été définie pour 13 substances des lots 8 à 11 proposées en vue de se conformer à au moins un des critères de l'article 64 de la Loi canadienne sur la protection de l'environnement (LCPE, 1999). (La portée des substances du lot 12 a été définie en partie.) Les outils de gestion des risques proposés pour les lots 1 et 2 ont été mis au point et publiés aux fins de commentaires, selon l'échéancier prévu. Au total, 34 outils de gestion des risques ont été utilisés en 2010-2011 pour des substances du Défi PGPC. Cette année, les mesures prises ou proposées à l'égard de substances désignées comme étant néfastes pour la santé humaine ou l'environnement dans le cadre du Défi comprenaient un nouvel ajout de substances à la Liste critique de Santé Canada (16 substances du PGPC des lots 3 à 9 ont été ajoutées à la Liste critique de Santé Canada en mars 2011; jusqu'à maintenant, 25 substances des lots 1 à 9 du PGPC ont été ajoutées à cette liste), des activités de surveillance alimentaire ciblées relativement à des substances préoccupantes dont la principale source d'exposition est les aliments ainsi que des propositions d'ajout de certains additifs alimentaires à la liste du Règlement sur les aliments et drogues, ou de leur retrait de cette liste. De même, 16 outils proposés en vertu de la LCPE 1999 pour des substances considérées néfastes pour la santé humaine ou l'environnement dans les lots 1 à 3 ont été publiés dans la Gazette du Canada, Partie I, y compris des propositions d'avis de prévention de la pollution à l'égard de quatre substances [bisphénol A, isoprène, siloxanes (D4) et TDI]. En ce qui concerne les substances pour lesquelles une exposition récente ne présente pas de risques, mais qui, en raison d'une nouvelle activité ou utilisation, peut être néfaste pour la santé humaine ou l'environnement, les dispositions relatives à une nouvelle activité (NAc) de la LCPE 1999 prévoient la collecte d'information et l'évaluation avant le début de cette nouvelle activité ou utilisation. Des NAc ont été soit proposées soit mises en œuvre pour 55 substances du Défi qui ne respectaient pas l'article 64 de la LCPE 1999 ou qui n'étaient pas vendues au pays. Environ 26 NAc ont également été proposées ou mises en œuvre pour des substances du Défi qui répondaient à au moins un des critères de l'article 64 de la LCPE 1999. Le gouvernement du Canada a continué de solliciter des conseils et des commentaires auprès du Conseil consultatif des intervenants du PGPC (les membres proviennent notamment d'organisations non gouvernementales et de l'industrie). En mai 2010, Santé Canada et EC ont présidé une réunion en personne où les membres du Conseil ont pu se prononcer sur les activités liées au PGPC. Les conseils et commentaires du Conseil consultatif des intervenants du PGPC et d'autres intervenants ont également été sollicités lors d'un atelier tenu en novembre 2010 en vue de déterminer les prochaines substances à évaluer dans le cadre du PGPC. Les programmes de surveillance environnementale ont été intégrés et renforcés en fonction du PGPC afin d'offrir un programme véritablement national, capable de faire respecter les engagements actuels du gouvernement en matière de surveillance et d'être sensible aux nouvelles substances chimiques préoccupantes. La surveillance environnementale et la surveillance des substances chimiques présentes dans l'air, les aliments, l'eau, les sédiments, les poissons et les oiseaux ainsi que dans les eaux usées et les rejets des décharges sont coordonnées par un groupe de travail dirigé par EC (dont des membres représentent Santé Canada). L'Initiative de suivi et de surveillance mise en œuvre par Santé Canada dans le cadre du PGPC finance des projets pluriannuels visant à approfondir les connaissances relatives aux priorités suivantes : programmes nationaux de biosurveillance, études de biosurveillance axées sur les populations ciblées, recherche à l'appui de la biosurveillance et surveillance environnementale ciblée. Dix-neuf projets pluriannuels ont été financés dans le cadre de cette initiative, dont dix en 2010-2011. Parmi ces projets, mentionnons les suivants :
L'Enquête canadienne sur les mesures de la santé (ECMS) est une enquête nationale que mène Statistique Canada, en collaboration avec Santé Canada et l'Agence de la santé publique du Canada, en vue de recueillir auprès des Canadiens des renseignements sur leur santé. Santé Canada s'occupe de la composante de biosurveillance de l'enquête qui consiste à prélever des échantillons
de sang et d'urine afin d'obtenir des données nationales représentatives de l'exposition aux substances chimiques de l'environnement. En 2010-2011, Santé Canada a publié le Rapport sur la biosurveillance humaine des substances chimiques de l'environnement au Canada qui donne des résultats complets de la biosurveillance des substances chimiques mesurées dans le cadre du cycle 1. À
l'exception du plomb, ces résultats fournissent les toutes premières données de biosurveillance nationales représentatives sur l'ensemble des substances chimiques mesurées. Le deuxième cycle de l'Enquête (2009-2011) est actuellement en cours et vise des enfants âgés de trois à cinq ans. Il comprend aussi une composante sur l'air intérieur. La collecte des données se fait dans 18
sites répartis dans tout le Canada. La planification des cycles 3 et 4 de l'enquête a elle aussi débuté.
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Gestion des risques | 50,1 | 16,1 | 12,8 | ||||
Recherche | 26,6 | 6,8 | 5,0 | ||||
Suivi et surveillance | 34,0 | 13,8 | 13,7 | ||||
Gestion de programme | 5,4 | 1,4 | 1,3 | ||||
Produits de consommation | Évaluation des risques | 12,6 | 5,4 | 4,2 | |||
Réglementation des pesticides | Évaluation des risques | 9,9 | 3,3 | 3,3 | |||
Gestion des risques | 3,6 | 4,7 | 4,7 | ||||
Produits de santé | Évaluation des risques | 3,3 | 1,5 | 1,5 | |||
Gestion des risques | 12,5 | 4,3 | 3,5 | ||||
Recherche | 2,5 | 1,4 | 1,4 | ||||
Suivi et surveillance | 1,1 | 0,6 | 0,6 | ||||
Gestion de programme | 0,1 | 0.1 | |||||
Aliments et nutrition | Évaluation des risques | 3,8 | 1,4 | 2,1 | |||
Gestion des risques | 6,2 | 2,1 | 0,5 | ||||
Recherche | 1,2 | 0,4 | 2,1 | ||||
Suivi et surveillance | 2,0 | ||||||
Environnement Canada | Gestion des produits chimiques | Évaluation des risques | 13,1 | 4,8 | 4,8 |
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Gestion des risques | 64,9 | 24,4 | 18,6 | ||||
Recherche | 2,1 | 0 | 0,0 | ||||
Suivi et surveillance | 26,4 | 7,8 | 7,8 | ||||
Total |
Commentaires sur l'écart :
Résultats atteints par les partenaires non fédéraux (le cas échéant) : S.O.
Personne-ressource :
Suzanne Leppinen, directrice
Gestion des programmes horizontaux et internationaux
Direction de la sécurité des milieux
Direction générale, santé environnementale et sécurité des consommateurs
Santé Canada
Téléphone : 613-941-8071
suzanne.leppinen@hc-sc.gc.ca
Stewart Lindale, directeur
Affaires législatives et réglementaires
Direction générale de l'intendance environnementale
Environnement Canada
Téléphone : 819-934-2358
Steward.Lindale@ec.gc.ca
Nom de l'initiative horizontale : Mise en œuvre d'un plan d'action pour la protection de la santé humaine contre les contaminants de l'environnement
Nom des ministères responsables : Santé Canada
Activité de programme du ministère responsable : 3.1 Hygiène de l'environnement durable
Date de mise en œuvre : 2008-2009
Date de clôture : 2012-2013
Total des fonds fédéraux affectés (de la mise en œuvre à la clôture) : 84,6 M$
Description de l'initiative horizontale (y compris l'accord de financement) :
Des études récentes révèlent que les Canadiens sont préoccupés par les contaminants de l'environnement. Il faut veiller à ce que les Canadiens disposent de renseignements fiables sur l'impact des produits chimiques sur l'environnement et sur les mesures qu'ils doivent prendre en conséquence.
Le gouvernement a déjà pris des mesures à l'égard des contaminants de l'environnement par le truchement du Plan de gestion des produits chimiques et du Programme de l'air pur, qui portent sur les substances qui présentent des risques connus pour la santé humaine et l'environnement. L'industrie et les intervenants appuient ces initiatives, mais ils continuent d'affirmer que les décisions
doivent être fondées sur des données scientifiques. Cela exige des mécanismes, notamment des mécanismes de contrôle, de surveillance et de recherche, afin de veiller à ce que l'efficacité des interventions visant les risques potentiels connus puisse être évaluée et à ce que les nouveaux risques puissent être détectés.
Le plan d'action pour protéger la santé humaine des contaminants de l'environnement vise à protéger davantage les Canadiens contre les contaminants environnementaux, tout en accroissant la base de connaissances touchant les niveaux de contaminants et les effets possibles sur la santé, en particulier
Une somme de 13,1 millions de dollars a été affectée à Santé Canada, pour la période de 2008-2009 à 2012-2013, pour la rédaction d'un guide sur la santé de l'environnement destiné aux Canadiens, ainsi que d'un guide adapté aux besoins des communautés des Premières nations et des Inuits. Le guide vise à sensibiliser les Canadiens aux risques que posent les contaminants nuisibles de l'environnement pour leur santé, de même qu'aux mesures directes qu'ils peuvent prendre pour réduire ces risques et améliorer leur santé.
Pour la même période, Statistique Canada a reçu 54,5 M$ pour mener l'Enquête canadienne sur les mesures de la santé (ECMS), et Santé Canada, 5,6 M$, pour réaliser l'Initiative de biosurveillance des Premières nations (IBPN). L'ECMS sert à recueillir des renseignements auprès des Canadiens sur leur état de santé général et leur mode de vie et comporte le prélèvement d'échantillons de sang et d'urine, notamment à des fins d'analyses à la recherche de contaminants de l'environnement. L'ECMS ne fournit pas de données sur les Premières nations vivant dans les réserves et les Inuits. C'est l'IBPN qui ciblera ces communautés.
Une somme de 5,9 millions de dollars a été affectée à l'Agence de la santé publique du Canada, pour la période de 2008-2009 à 2012-2013, afin d'améliorer la surveillance des anomalies congénitales.
Une somme de 5,5 millions de dollars a été affectée à l'Agence de la santé publique du Canada pour la période de 2008-2009 à 2012-2013 pour la surveillance des troubles du développement.Résultats partagés :
Structures de gouvernance :
Toutes les initiatives du plan d'action prennent appui sur les structures de gouvernance et de gestion déjà établies pour les programmes gouvernementaux permanents, notamment le Programme de statistiques sur la santé de la population canadienne, le Plan de gestion des produits chimiques, l'initiative en matière de vie saine et de prévention des maladies chroniques de l'Agence de la santé publique du Canada, de même que les volets de systèmes de surveillance nationaux élaborés par l'Agence de la santé publique du Canada de concert avec les intervenants.
Chacun des programmes de Santé Canada, de l'Agence de la santé publique du Canada et de Statistique Canada sera entièrement responsable de la gestion des initiatives qu'il dirige dans le cadre du plan d'action. Les consultations et la participation des intervenants seront régies par les structures consultatives et les comités interministériels déjà établis.
Une structure de gouvernance tripartite de Santé Canada, de l'Agence de la santé publique du Canada et de Statistique Canada sera utilisée pour surveiller la mise en œuvre de l'Enquête canadienne sur les mesures de la santé (ECMS). L'ECMS s'appuiera sur la structure de gouvernance actuelle du Programme de statistiques sur la santé de la population canadienne, qui compte des cadres supérieurs des trois organismes fédéraux.Points saillants du rendement :
Partenaires fédéraux | Activités de programme (AP) des partenaires fédéraux | Titre des programmes des partenaires fédéraux | Affectation totale (de la de date de mise en œuvre à la date de clôture) | 2010-211 (en million de dollars) | |||
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Dépenses prévues | Dépenses réelles | Résultats prévus | Résultats obtenus | ||||
Santé Canada | Hygiène de l'environnement durable | Guide sur la santé environnementale destiné aux Canadiens | 13,1 | DGSESC : 0,385 M$ DGSPNI :0,7 M$ DGAPCC :1,6 M$ |
DGSESC : 0, 271M$ DGSPNI : 0,392 M$ DGAPCC :1,075 M$ |
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DGSESC/DGAPCC Poursuite de la campagne de marketing sur la santé environnementale/Distribution des guides sur la santé environnementale. Lors de la campagne de marketing sur la santé environnementale de 2010-2011, l'information a été communiquée en ligne principalement, car des études récentes révèlent que c'est ainsi que les Canadiens préfèrent recevoir l'information touchant à l'environnement.
En 2010-2011, l'information communiquée dans le cadre de la campagne de marketing sur la santé environnementale des Premières nations et des Inuits l'a été directement aux communautés et en ligne, car des études récentes révèlent que c'est ainsi que les membres des Premières nations et les Inuits préfèrent recevoir l'information touchant à l'environnement.
DGSPNI/DGAPCC
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Programmes et services liés à la santé des Premières nations et des Inuits | Initiative de biosurveillance des Premières nations | 5,6 | DGSPNI : 1,17 M$ | DGSPNI : 1,126 M$ |
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Agence de la santé publique du Canada | Surveillance et évaluation de la santé de la population | Surveillance accrue des anomalies congénitales | 5,9 | 1,2 | 0,950 |
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Surveillance des troubles du développement | 5,5 | 1,4 | 0,183 |
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Statistique Canada | Statistiques sociales | Enquête canadienne sur les mesures de la santé | 54,5 | 14 | 13,532 |
La couverture médiatique liée à la publication des données du cycle 1 de l'ECMS (y compris les tableaux, les feuilles d'information et les articles de recherche) sera surveillée. On surveillera également l'accès au site Web et les demandes de renseignements. Les fichiers de microdonnées de l'ECMS seront mis à la disposition des centres de données de recherche de Statistique
Canada situés dans les universités canadiennes. |
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Total | 84,6 | 20,455 | 16,403 |
Commentaires sur l'écart :
Santé Canada
DGSESC/DGAPCC : Les dépenses ont été réduites par l'adoption d'autres approches de prestation, des gains d'efficience et le recours aux partenariats.
DGSPNI/DGAPCC : Les guides à l'intention des jeunes Inuits et des Premières nations ainsi que les guides sur les activités au printemps et à l'été destinés aux Premières nations ont été reportés, de sorte que les fonds prévus pour leur impression et leur distribution n'ont pas été dépensés pendant l'année financière. Les retards dans la dotation ont aussi contribué aux écarts.
ASPC : Le travail de démarrage a pris plus de temps que prévu. En 2010-2011, l'Agence de la santé publique du Canada a créé une nouvelle unité chargée de concevoir et d'administrer un réseau de surveillance et un comité consultatif devant assurer la supervision de ce réseau. L'unité a commencé à préparer le terrain et a réalisé des progrès vers l'établissement du réseau qui favorisera la surveillance des troubles du développement (surtout des TED) au pays.Résultats atteints par les partenaires non fédéraux (le cas échéant) :
Santé Canada : Partenariats dans le cadre de l'Initiative de biosurveillance des Premières nations
Remarque : Puisqu'il s'agit d'un partenariat Santé Canada-Assemblée des Premières nations, de nombreux résultats sont le fruit d'une collaboration entre les deux parties.
Personne-ressource :
Suzanne Leppinen
Directrice, Bureau des politiques sur les produits chimiques
Direction des milieux sains, Direction générale de la santé environnementale et de la sécurité des consommateurs, Santé Canada
613-941-8071
Suzanne.Leppinen @hc-sc.gc.ca
Nom de l'initiative horizontale : Développement de la petite enfance (DPE), Stratégie de développement des jeunes enfants des Premières nations et des autres Autochtones.
Nom des ministères responsables : Santé Canada.
Activité de programme du ministère responsable : Programmes et services liés à la santé des Premières nations et des Inuits.
Date de mise en œuvre :
Volet DPE : octobre 2002.
Volet Apprentissage et garde des jeunes enfants (AGJE) : décembre 2004.
Date de clôture :
Volet DPE : en cours.
Volet AGJE : en cours.
Total des fonds fédéraux affectés (de la mise en œuvre à la clôture) :
DPE : 320 M$ de 2002-2003 à 2006-2007 (60 M$ en 2002-2003 et 65 M$ par la suite). Années subséquentes : 65 M$ par année.
AGJE : 45 M$ de 2005-2006 à 2007-2008 (14,5 M$ en 2005-2006, 15,3 M$ en 2006-2007 et 15,2 M$ en 2007-2008). Années subséquentes : 14 M$ par année.
Description de l'initiative horizontale (y compris l'accord de financement) :
La Stratégie de développement des jeunes enfants des Premières nations et des autres Autochtones a été annoncée le 31 octobre 2002. La stratégie prévoit un montant de 320 millions de dollars sur cinq ans en vue d'améliorer et d'élargir les programmes et services de DPE en cours destinés aux enfants autochtones, d'améliorer la capacité et les réseaux de DPE, de lancer de nouvelles initiatives de recherche en vue de mieux apprécier les progrès réalisés par les enfants autochtones et de travailler à la mise en place d'une approche à « guichet unique » afin d'assurer une meilleure intégration et coordination des programmes fédéraux de DPE à l'intention des Autochtones. En décembre 2004, comme première étape à la mise en place d'un « guichet unique », le Cabinet a approuvé un financement supplémentaire de 45 millions de dollars sur trois ans (à compter de 2005-2006) et de 14 millions de dollars pour les années subséquentes pour améliorer l'intégration et la coordination de deux programmes de DPE (Programme d'aide préscolaire aux Autochtones dans les réserves [PAPAR] et Initiative de services de garde d'enfants pour les Premières nations et les Inuits [ISGPNI]). Ces fonds seront utilisés pour faciliter l'accès aux programmes d'apprentissage et de garde des jeunes enfants destinés aux Premières nations qui vivent dans les réserves et pour améliorer l'intégration et la coordination des deux programmes au moyen d'une planification et d'une formation commune et d'un regroupement de services. La stratégie comprend également les programmes de garde des enfants financés par Affaires indiennes et du Nord Canada (AINC) en Alberta et en Ontario.
Résultats partagés :
La Stratégie fédérale de DPE vient compléter l'accord de septembre 2000 des premiers ministres fédéral, provinciaux et territoriaux (FPT) en matière de DPE. Elle prévoit combler les écarts entre les chances d'épanouissement des enfants autochtones et celles des enfants non autochtones en améliorant les possibilités de développement des jeunes enfants autochtones (de 0 à 6 ans) et de leur famille. Le financement approuvé pour l'AGJE complète le financement accordé aux provinces et aux territoires en vertu du Cadre multilatéral pour l'apprentissage et la garde des jeunes enfants (mars 2003) en vue de faciliter l'accès aux programmes et aux services d'AGJE.
Structures de gouvernance :
Points saillants du rendement :
Partenaires fédéraux | Activités de programme (AP) des partenaires fédéraux | Titre des programmes des partenaires fédéraux | Affectation totale (de la de date de mise en œuvre à la date de clôture) | 2010-2011 (en millions de dollars) | |||
---|---|---|---|---|---|---|---|
Dépenses prévues 2010-2011 |
Dépenses réelles 2010-2011 |
Résultats prévus 2010-2011 |
Résultats obtenus 2010-2011 |
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Santé Canada | Programmes et services liés à la santé des Premières nations et des Inuits | Programme d'aide préscolaire aux Autochtones dans les réserves (PAPAR) |
DPE :
Dépenses engagées en 2002. |
21,519 |
27,374 $ |
Expansion et amélioration du programme. |
Le programme PAPAR a été mis en œuvre dans 15 autres collectivités des Premières nations en Colombie-Britannique. |
AGJE :
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7,500 $ |
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Ensemble des troubles causés par l'alcoolisation fœtale - Volet Premières nations et Inuits (ETCAF) |
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15,000 $ | 12,862 $ | Expansion et amélioration du programme |
L'intégration des programmes qui favorisent la santé maternelle et infantile a été renforcée dans les collectivités des Premières nations et des Inuits, ce qui a donné lieu à une meilleure coordination et collaboration entre les programmes. |
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Renforcement de la capacité (Stratégie fédérale de 2002) |
Dépenses engagées en 2002. |
1,015 $ | 0,915 $ |
Capacité accrue |
Dans le cadre du volet sur le renforcement de la capacité de la Stratégie fédérale de 2002, Santé Canada a alloué des fonds à des organismes nationaux autochtones pour renforcer la capacité et l'expertise en ce qui a trait au développement de la petite enfance. En 2010-2011, des fonds ont été alloués à l'Assemblée des Premières nations (APN), à Inuit Tapiriit Kanatami (ITK), à l'Association des femmes autochtones du Canada (AFAC) et au Ralliement national des Métis (RNM). En outre, AINC fournit un financement à Pauktuutit Inuit Women of Canada. En 2010-2011, le financement a permis à ces organismes de participer à l'élaboration de la Stratégie fédérale en planifiant de façon stratégique et en renforçant leurs capacités. Du financement pour de la formation horizontale a été accordé à des régions en vue de soutenir la formation des travailleurs du DPE dans les sites du PAPAR et de l'ISGPNI. Santé Canada s'emploie à élaborer une stratégie de formation axée sur les travailleurs communautaires, y compris les travailleurs du DPE, qui mènera à une formation et à une certification adaptées à la culture des fournisseurs de programmes de développement de la petite enfance dans les réserves. |
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Agence de la santé publique du Canada | Programmes destinés à l'enfance et à l'adolescence | Programme d'aide préscolaire aux Autochtones dans les communautés urbaines et nordiques (PAPACUN) |
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12,576 $ | 10,977 $ | Expansion et amélioration du programme en augmentant le nombre de travailleurs pour les services de proximité en matière de besoins spéciaux ainsi que pour les services destinés aux parents (accroître la formation en besoins spéciaux et fournir des services à 1 000 enfants de plus). | Des programmes pilotes d'approche ont été élaborés par les sites du PAPA afin que des services puissent être fournis aux familles n'ayant pas accès au programme. Une formation sur le développement de la petite enfance (DPE) et les besoins spéciaux ainsi que des tests d'évaluation de la maturité scolaire ont été fournis dans l'ensemble des 128 sites, et ce, dans le but d'améliorer le bien-être des enfants. |
Renforcement de la capacité |
Dépenses engagées en 2002. |
0,500 $ |
0,365 $ |
Capacité accrue grâce à une coordination horizontale, à un engagement et à l'élaboration d'outils et de ressources. |
Des conférences téléphoniques mensuelles et deux réunions face-à-face annuelles avec le Conseil consultatif autochtone ont donné lieu à un renforcement de la capacité et de l'engagement des intervenants, à la création d'outils d'information (trousse d'outils sur l'alphabétisme chez les jeunes enfants) et à la réalisation d'activités d'échange. | ||
Ressources humaines et du Développement des compétences | Apprentissage continu - Ressources humaines en santé (RHS) | Initiative de services de garde d'enfants pour les Premières nations et les Inuits (ISGPNI) |
Dépenses engagées en 2002 AGJE
|
9,140 $ |
Expansion et amélioration du programme. |
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Recherche et connaissances |
Dépenses engagées en 2002. Volet autochtone de De 2004-2005 à 2010-2011, 700,000 $ par exercice financier |
4,240 $
Volet autochtone de 2010-2011 181,168 $ |
Information sur le bien-être des enfants autochtones par l'intermédiaire de l'Enquête sur les enfants autochtones (EEA) et du volet autochtone de l'initiative Comprendre la petite enfance (CPE). |
Résultats du volet autochtone de l'initiative CPE en 2010-2011 : - Le projet avec le Grand conseil de Prince Albert (GCPA) dans le cadre du volet autochtone de l'initiative CPE a une capacité accrue quant à la collecte et à l'analyse des données et à la diffusion des résultats du projet; |
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Affaires autochtones et Développement du Nord Canada | Les gens - Le développement social |
Initiatives relatives à la capacité
5,050 $ (de 2002-2003 à 2006-2007) |
5,050 $ (de 2002-2003 à 2006-2007) |
1,010 $ | 0,984 $ | Appuyer les travaux horizontaux réalisés avec les partenaires de l'initiative CPE en finançant des recherches et en renforçant la capacité. | |
Total |
DPE : (de 2002-2003 à 2006-2007) : (60,000 $ en 2002-2003 et 15,300 $ en 2006-2007; 15,200 $ en 2007-2008); 14,000 $/année subséquente. |
DPE :
AGJE : 14,000 $/année |
Commentaires sur l'écart :
Volet autochtone de l'initiative Comprendre la petite enfance
Le volet autochtone de l'initiative CPE s'est vu accorder un financement de 300 000 $ en subventions et en contributions pour l'exercice 2010-2011 de même qu'un financement non salarial de 400 000 $, pour un total de 700 000 $. Le projet en Saskatchewan du Grand conseil de Prince Albert dans le cadre de l'initiative CPE, qui était le seul projet
autochtone réalisé au cours de cette initiative, a enregistré des dépenses réelles de 208 366 $ pendant l'exercice 2010-2011. L'écart (491 634 $) est attribuable à la temporisation de l'initiative CPE, qui a pris effet le 31 mars 2011.
ASPC - L'écart entre les dépenses prévues et les dépenses réelles est attribuable à diverses limitations opérationnelles en cours d'exercice, notamment les retards en matière de recrutement; les rajustements des ententes de subventions et de contributions en cours d'exercice qui ont fait en sorte que les fonds n'ont pas été pleinement utilisés; et le report d'un atelier national de
formation qui était prévu (tandis que les responsables cherchent des stratégies de formation plus efficaces et rentables).
Résultats atteints par les partenaires non fédéraux (le cas échéant) : s.o.
Personne-ressource :
Cathy Winters
Coordonnatrice principale des politiques
Division de l'enfance et de la jeunesse
Direction des programmes communautaires
Direction générale de la santé des Premières nations et des Inuits
Santé Canada
Indice de l'adresse 1919A
Pré Tunney, Ottawa
Téléphone : 613-952-5064
Courriel : Cathy_winters@hc-sc.gc.ca
1. Titre de l'initiative horizontale
Plan d'action pour assurer la sécurité des produits alimentaires et de consommation (le Plan d'action)
2. Nom des ministères responsables
La responsabilité est partagée entre Santé Canada, l'Agence canadienne d'inspection des aliments (ACIA), l'Agence de la santé publique du Canada (ASPC) et les Instituts de recherche en santé du Canada (IRSC).
3. Activité de programme des ministères responsables
4. Date de mise en œuvre de l'initiative horizontale
Exercice 2008-2009
5. Date d'échéance de l'initiative horizontale
Exercice 2012-2013 (et exercices suivants)
6. Total des fonds fédéraux affectés (de la mise en œuvre à l'échéance)
489,4 millions de dollars sur cinq ans jusqu'en 2012-2013, et 126,7 millions de dollars par la suite
7. Description de l'initiative horizontale (y compris l'accord de financement)
Le gouvernement fédéral est responsable de promouvoir la santé et la sécurité des Canadiens. À ce titre, son rôle est de s'assurer que les produits utilisés par les Canadiens sont sans danger. Les conséquences indésirables associées à des produits non sécuritaires ont des répercussions non seulement sur le public canadien, mais aussi sur l'économie canadienne. Le Plan d'action pour assurer la sécurité des produits alimentaires et de consommation (Plan d'action) est une initiative horizontale visant à moderniser et à renforcer le système de sécurité du Canada en ce qui concerne les produits alimentaires, de santé et de consommation. Un certain nombre d'incidents récents très médiatisés tels que la présence de plomb et d'aimants pouvant être ingérés dans les jouets pour enfants, des contaminants dans les produits alimentaires importés et le retrait massif de certains médicaments d'ordonnance ont mis en lumière la nécessité d'une action gouvernementale.
Le Plan d'action modernise le système réglementaire du Canada afin que celui-ci puisse mieux protéger les Canadiens contre les produits de consommation non sécuritaires en raison des réalités actuelles et des pressions futures. Le Plan d'action soutient le système réglementaire canadien en permettant de modifier les lois désuètes sur la santé et la sécurité ou de les remplacer par de nouveaux régimes législatifs correspondant aux réalités modernes, et d'améliorer les programmes de sécurité dans des secteurs où des outils législatifs modernes existent déjà. Le Plan d'action veille à ce que les Canadiens possèdent les renseignements nécessaires pour évaluer les risques et les bienfaits associés aux produits de consommation et de santé qu'ils choisissent d'utiliser et pour réduire les risques associés à la salubrité des aliments.
Le Plan d'action est un plan intégré fondé sur le risque qui comprend une série d'initiatives axées sur trois principaux piliers : prévention active, surveillance ciblée et intervention rapide. Nous nous concentrons sur la prévention active afin d'éviter le plus grand nombre d'incidents possible et nous collaborons étroitement avec l'industrie pour sensibiliser le public, fournir des directives quant aux règlements et aider à déterminer les préoccupations de sécurité tôt dans le processus. La surveillance ciblée assure la détection précoce des problèmes de sécurité et une vérification supplémentaire à l'étape appropriée du cycle de vie d'un produit. Afin d'améliorer les capacités d'intervention rapide et de veiller à ce que le gouvernement ait la capacité d'agir rapidement et efficacement, le cas échéant, nous nous efforçons d'améliorer les évaluations des risques pour la santé, de renforcer la capacité de rappel et d'accroître notre efficacité d'intervenir et de communiquer clairement avec les consommateurs et les intervenants.
8. Résultats partagé
9. Structures de gouvernance
La ministre de la Santé et le ministre d'Agriculture et Agroalimentaire Canada ont la responsabilité commune d'obtenir des résultats et de fournir de l'information sur les progrès accomplis quant au Plan d'action.
Un cadre de gouvernance a été établi et adopté par tous les ministères et organismes partenaires. Afin de faciliter la coordination horizontale, les groupes de travail de niveau des directeurs généraux (DG) et des directeurs exécutifs (DE) suivants ont été créés : groupe de travail sur les produits de santé, groupe de travail sur les produits de consommation, groupe de travail sur les aliments, groupe de travail sur les communications et groupe de travail sur les lois et les règlements. Les groupes de travail relèvent d'un comité de coordination de niveau des DG/DE. Un comité de direction de niveau des sous-ministres adjoints (SMA) et des vice-présidents (VP) fournit l'orientation au comité de coordination. Un comité de surveillance composé d'administrateurs généraux facilite la formulation de directives de haut niveau au comité directeur.
La Direction générale de la politique stratégique (DGPS) de Santé Canada assure la fonction de secrétariat pour le Plan d'action. Elle joue un rôle intégral dans l'appui des activités continues et la prise de décisions des comités de gouvernance, la surveillance et l'intégration du rendement par rapport aux engagements et la formulation de recommandations à l'intention des cadres supérieurs. La DGPS coordonne aussi la mise en œuvre des initiatives relatives aux lois et aux règlements.
La Direction générale de la santé environnementale et de la sécurité des consommateurs (DGSESC) de Santé Canada et l'Agence de réglementation de la lutte antiparasitaire (ARLA) travaillent, de concert avec l'Agence de la santé publique du Canada (ASPC), à la mise en œuvre des activités du Plan d'action associées aux produits de consommation.
Avec le soutien dispensé par la Direction générale de la politique stratégique de Santé Canada (DGPS) et les Instituts de recherche en santé du Canada (IRSC) dans le cadre d'une initiative (connaissances accrues concernant l'innocuité et l'efficacité des médicaments après leur mise en marché), la Direction générale des produits de santé et des aliments (DGPSA) de Santé Canada assume la responsabilité principale de mettre en œuvre les activités du Plan d'action associées aux produits de santé.
L'Agence canadienne d'inspection des aliments (ACIA), la Direction générale des produits de santé et des aliments (DGPSA) de Santé Canada et l'Agence de la santé publique du Canada (ASPC) travaillent de concert pour mettre en œuvre les activités du Plan d'action associées à la salubrité des aliments.
La Direction générale des affaires publiques, de la consultation et des communications (DGAPCC) fournit un soutien aux communications pour toutes les initiatives mentionnées ci-devant et coordonnera ou dirigera de nombreuses activités horizontales du Ministère menées dans le cadre de la Stratégie d'information des consommateurs.
Partenaires fédéraux | Activités de programme (AP) des partenaires fédéraux | Titre des programmes des partenaires fédéraux | Affectation totale (de la de date de mise en œuvre à la date de clôture) | 2010-2011 (en millions de dollars) | |||
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Dépenses prévues 2010-2011 |
Dépenses réelles 2010-2011 |
Résultats prévus 2010-2011 |
Résultats obtenus 2010-2011 |
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Santé Canada | Produits de santé | Prévention active | 57,6 $ | 9,7 $ | 7,0 $ | Sensibilisation et connaissances accrues de l'industrie à l'égard des exigences réglementaires |
Procédure opératoire normalisée (PON)/Documents d'orientations
Il existe des documents pertinents touchant les médicaments à usage humain et comprenant des directives fournies dans une ligne directrice externe à l'intention de l'industrie sur la façon de demander une réunion avant le dépôt d'une présentation et de soumettre un dossier d'information avant la tenue de la réunion. Une PON interne a été rédigée afin de contrôler et d'enregistrer les réunions préalables aux présentations relativement aux produits biologiques et radiopharmaceutiques. Des documents d'orientation et des produits de communication sont disponibles sur le site Web de Santé Canada, et les promoteurs y sont renvoyés pendant les réunions. Réunions Au cours de l'exercice 2010-2011, les promoteurs ont présenté 49 demandes de réunions préalables aux présentations relativement aux produits biologiques et radiopharmaceutiques, et toutes ces réunions ont eu lieu. À la suite de ces réunions, 18 présentations ont été déposées et acceptées pour examen. Des 18 présentations acceptées pour examen, 9 ont fait l'objet d'une décision favorable et les autres sont en cours d'évaluation ou d'examen préliminaire. Selon les sondages, tous les promoteurs estiment que les réunions préalables aux présentations ont ajouté de la valeur à leur demande. Nous avons tenu 97 réunions préalables aux présentations sur les médicaments. Projet pilote de présentation de produits oncologiques : Nous avons tenu 17 réunions préalables aux présentations relativement à des produits oncologiques en 2010-2011, soit une légère hausse par rapport aux 11 réunions de l'année dernière. Des 17 réunions tenues, 12 concernaient des présentations de drogue nouvelle (PDN) et 5, des Suppléments à une présentation de drogue nouvelle (SPDN). Parmi les PDN, 2 des 12 ont été déposées et sont en cours d'examen. Parmi les SPDN, 4 des 5 ont été déposés et sont en cours d'examen. Après un suivi des réunions tenues au cours de l'exercice 2009-2010 sur les médicaments à usage humain, nous n'avons pu tirer aucune conclusion précise quant à l'effet des réunions préalables aux présentations sur les décisions rendues. L'analyse se poursuit et sera terminée à la fin du projet pilote. L'information est communiquée à l'industrie et aux agents de réglementation, et les discussions portent davantage sur les enjeux scientifiques que sur les enjeux purement réglementaires qui ne sont pas explicitement abordés dans le Règlement. Les réunions permettent aux intéressés d'analyser plus tôt la portée des principaux enjeux au cours de l'examen, et à Santé Canada d'avoir l'avis de cliniciens spécialistes canadiens et de leur poser directement des questions. Il n'est pas établi si le fait de tenir des réunions renforce l'efficacité ou produit un résultat différent. |
Surveillance accrue des stratégies de gestion et d'atténuation du risque associé aux produits de santé |
La totalité des plans de gestion des risques et des plans de gestion et d'atténuation des risques (PGR et PGAR) ont été jugés satisfaisants après la réception des clarifications provenant des détenteurs d'autorisation de mise en marché (DAMM) sur tous les sujets de préoccupation.
PGAR reçus : 18; PGAR terminés : 19 Nota - Les plans de gestion des risques (PGR) sont fournis par les DAMM et le plan de gestion et d'atténuation des risques (PGAR) est le suivi assuré par le DAAM relativement au PGR initial. Les plans cumulés de l'exercice précédent expliquent le plus grand nombre de plans terminés que de plans attribués. |
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Sensibilisation et compréhension accrues des consommateurs et des professionnels de la santé à l'égard de l'utilisation sécuritaire des produits de santé |
Mobilisation des intervenants
Les relations avec les principaux intervenants, tels que le Young Consumers Network et le Groupe d'experts sur la littératie en matière de santé de l'Association canadienne de santé publique, ont été établies et améliorées par le truchement de sept réunions organisées dans le cadre du Programme de rencontres entre les intervenants et le SMA. Les opinions des intervenants, reçues par des sondages et des mesures de suivi, ont fait l'objet d'un contrôle. En janvier 2010, l'atelier de Santé Canada Projet d 'étiquetage des produits de santé en langage clair a été organisé à Ottawa pour consulter les intervenants. Santé Canada utilisera les résultats de cette consultation pour déterminer la meilleure façon d'améliorer les documents d'information sur les produits, pour l'ensemble des Canadiens. Le fait de fournir de l'information aux consommateurs en langage clair est important pour l'utilisation sécuritaire et efficace des produits thérapeutiques et aidera les consommateurs à faire des choix éclairés au sujet de leur santé. Bassin de patients et de clients Nous avons approuvé une proposition visant à créer un basin de patients et de clients à partir duquel la Direction générale pourra choisir des intervenants engagés et informés pour participer à la prise de décision. Le Plan opérationnel associé au bassin a été réalisé grâce à de vastes consultations tenues auprès d'intervenants externes et de clients des programmes. Une stratégie d'apprentissage et un plan de programme d'études ont été élaborés pour le bassin, y compris de la matière pour deux modules d'apprentissage. Élaboration de politiques Le Réseau du gestionnaire du Secrétariat de la DGPSA et le Groupe de référence de Santé Canada ont travaillé de concert afin d'apporter leur contribution à l'élaboration de la Politique sur la gestion des organismes consultatifs externes de Santé Canada qui sera publiée incessamment. Développement Web et affichage sur le Web Santé Canada a dirigé l'examen des 5 000 pages Web désuètes de la DGPSA et a influencé l'architecture de l'information afin d'améliorer l'accès à l'information pour les intervenants et le grand public. Santé Canada a également élaboré de nouvelles pages et sections Web sur les enjeux liés aux produits de santé et les a révisées au besoin pour le public de consommateurs. Médias sociaux Le projet sur les médias sociaux a permis aux consommateurs d'avoir accès à des services d'information mobiles grâce au lancement de l'application sur les Rappels et les avis de sécurité pour les téléphones intelligents BlackBerry, Android et iPhone. Cet outil permet aux acheteurs de découvrir si le produit qu'ils ont l'intention d'acheter ou qu'ils ont déjà acheté fait l'objet d'un rappel. Le projet a amélioré le widget sur les Rappels et les avis de sécurité de Santé Canada en incluant tous les rappels et les avis de communication touchant les risques pour la santé et la sécurité lancés par l'ensemble des ministères gouvernementaux, y compris l'Agence canadienne d'inspection des aliments et Transports Canada. Le projet a encouragé le réseautage social et les conversations entre les consommateurs grâce à des messages affichés sur la page Canadiens en santé lancée sur Facebook. Le projet a fait la promotion des risques ou autres faits relatifs à la consommation par le truchement du compte Twitter de Santé Canada. Les comités consultatifs scientifiques et les comités consultatifs d'experts fournissent en permanence des avis médicaux, techniques et scientifiques et des recommandations sur les questions de réglementation concernant les médicaments et les matériels médicaux afin d'aider Santé Canada à prendre des décisions en matière de réglementation. Ces renseignements sont mis à la disposition du grand public sur le site Web de Santé Canada. L'an dernier, les comptes rendus des décisions suivants ont été affichés : Comité consultatif scientifique sur les matériels médicaux utilisés pour l'appareil cardiovasculaire (01-06-2010); Comité consultatif scientifique sur les matériels médicaux utilisés pour l'appareil cardiovasculaire (10-12-2010); Comité consultatif scientifique sur les thérapies oncologiques (15-04-2010); Groupe consultatif scientifique sur les exigences en matière de bioéquivalence pour les formes pharmaceutiques à libération modifiée (11-06-2010); Groupe consultatif scientifique sur l'abus d'analgésiques opioïdes (29-03-2011). En 2010-2011, Santé Canada a préparé et publié 26 avis de décision (AD) (16 portant sur les médicaments à usage humain, 9 sur les produits biologiques, 4 sur les matériels médicaux) et 37 sommaires des motifs de décision (19 portant sur les médicaments à usage humain, 13 sur les produits biologiques et 5 sur les matériels médicaux). Les résultats de l'évaluation interne et externe de la phase I de l'initiative du Sommaire des motifs de décision (période couvrant janvier 2005 à septembre 2010) ont été publiés. Le rapport d'évaluation contient des recommandations à mettre en œuvre à court terme ainsi que des conclusions qui éclaireront l'élaboration de la phase 2 de l'initiative du Sommaire des motifs de décision. Nous avons affiché sur le Web une ébauche de lignes directrices - Hépatotoxicité des produits de santé - qui contient des recommandations issues des délibérations du Groupe consultatif scientifique sur l'hépatotoxicité. En 2010-2011, toutes les monographies de produits, soit 1 936, ont été traitées et affichées sur le site Web de Santé Canada, et ce, dans le respect des normes de service. Parmi les monographies de produits traitées, 1 641 concernaient des produits pharmaceutiques et 295, des thérapies biologiques. Parmi les documents généraux affichés sur le site Web de Santé Canada, il y a lieu de citer :
Avis et mises en garde en matière de communication des risques affichés sur le site Web de Santé Canada (MedEffet Canada) :
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Santé Canada | Produits de santé | Surveillance ciblée | 34,6 $ | 8,1 $ | 3,3 $ | Capacité accrue de Santé Canada et de l'industrie à relever les questions liées aux risques et à y répondre |
Les détenteurs d'autorisation de mise en marché fournissent à Santé Canada des Rapports périodiques de pharmacovigilance (RPPV) sur les produits de santé. Santé Canada soumet les rapports à un examen de niveau 1 (examen de base) et à un examen de niveau 2 (examen plus détaillé du même rapport). Les RPPV assortis de conditions visent les produits
présentant des preuves d'efficacité clinique prometteuses qui nécessitent le contrôle de l'innocuité et la présentation périodique de rapports innocuité afin de remplir les conditions imposées en vertu de l'Avis de conformité pour permettre la commercialisation du produit.
Rapports
RPPV 2010-2011 (AAP 2.1)
(Nota : Les présentations cumulées de l'exercice précédent expliquent le plus grand nombre de rapports terminés que de rapports attribués.)
RPPV 2009-2010 (AAP 2.1)
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Incluse dans les IRSC et le RIEM | 1,1 $ | 1,0 $ | Connaissance accrue de l'innocuité et de l'efficacité des médicaments après leur mise en marché afin de prendre des décisions éclairées Capacité accrue, au Canada, entreprendre des recherches correspondant aux priorités sur l'innocuité et l'efficacité des médicaments après leur mise en marché |
Voir aussi : Instituts de recherche en santé du Canada, Recherche correspondant aux priorités stratégiques, Surveillance ciblée
Réseau sur l'innocuité et l'efficacité des médicaments (RIEM) Les organismes partenaires (IRSC et Santé Canada [DGPS et DGPSA]) ont collaboré à la préparation du matériel nécessaire pour la première réunion du comité de direction du RIEM. L'équipe de mise en œuvre du projet du RIEM de Santé Canada (créée par la DGPSA en 2009 et composée de représentants de la DGPSA et de la DGSPNI) a continué de rassembler les questions de recherche du personnel de Santé Canada pour les examiner dans le cadre du programme de recherche national du RIEM. Cette année, 9 nouvelles demandes de recherche ont été envoyées au Bureau de coordination du RIEM des Instituts de recherche en santé du Canada (IRSC) pour qu'ils les examinent. Le cadre de mesure et d'évaluation du RIEM a été approuvé en août 2010. Les partenaires travaillent à établir des stratégies pertinentes de collecte de données pour appuyer les mesures et les rapports du rendement du RIEM en 2012-2013 et 2016-2017. Santé Canada lancera un projet pilote d'évaluation des conclusions du RIEM lorsqu'il aura reçu les résultats de la recherche en 2011-2012. En janvier 2011, les partenaires du RIEM ont tenu un forum de discussion pour permettre aux employés de Santé Canada d'obtenir des opinions sur le développement du RIEM, de ses processus et de ses domaines. En avril 2010, Santé Canada a terminé le contrat touchant l'établissement d'un organigramme provisoire des processus du RIEM qui visait à améliorer le processus et les procédures du RIEM. En novembre 2010, les partenaires ont fait une présentation sur le RIEM au Forum scientifique de Santé Canada. Santé Canada demeure un participant actif dans les activités du RIEM dirigées par les IRSC. Les partenaires du RIEM continuent de mobiliser des partenaires à l'échelle internationale qui mettent en œuvre des initiatives connexes (p. ex., EnCepp dans l'Union européenne et Sentinelle aux États-Unis) pour mettre en commun des pratiques exemplaires et exploiter des possibilités d'échanger des données. Santé Canada continue de faciliter la communication avec les provinces et les territoires dans la mesure du possible. |
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Santé Canada | Produits de santé | Intervention rapide | Ressources actuelles | Ressources actuelles | Aptitude d'intervention améliorée grâce à de meilleurs outils pour intervenir en cas d'incident | De nouveaux outils sont en suspens en raison de retards dans l'adoption de nouvelles mesures législatives. | |
Santé Canada | Produits de consommation | Prévention active | 41,0 $ | 9,3 $ | 6,75 $ | Sensibilisation et compréhension accrues de l'industrie des produits de consommation à l'égard des obligations relatives à la sécurité des produits |
Pour renforcer la sensibilisation de l'industrie à l'égard de ses obligations en matière d'innocuité des produits, un plan de sensibilisation des intervenants a été lancé en ce qui concerne la Loi canadienne sur la sécurité des produits de consommation (LCSPC). Ce plan comprend des activités de sensibilisation régionales, une campagne d'avis publics et la
création d'un site Web ciblant l'industrie.
Nous avons lancé des activités de communication, par exemple :
Dans le cadre de la préparation à l'entrée en vigueur de la LCSPC, nous avons rédigé des lignes directrices provisoires à l'intention de l'industrie sur l'obligation de déclarer les incidents et de tenir les dossiers, et nous avons tenu des consultations ciblées auprès des représentants de l'industrie afin d'obtenir leur rétroaction. De plus, des documents de consultation préliminaires ont été publiés sur la proposition d'établir un règlement sur les exemptions et un autre sur les sanctions administratives pécuniaires en vertu de la LCSPC.
De plus, nous avons mis à jour cinq publications à l'intention de l'industrie qui visent à informer les intéressés des nouvelles exigences réglementaires et des lignes directrices touchant certains produits de consommation :
Des activités constantes de promotion de la conformité auprès de l'industrie ont été menées dans l'ensemble du pays au moyen de présentations faites devant des associations de surveillance des produits de consommation, d'expositions dans des foires commerciales et de réunions avec des entreprises individuelles.
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Sensibilisation accrue de l'industrie à l'égard des normes de sécurité des produits de consommation |
Nous avons également publié l'information suivante pour renforcer la sensibilisation de l'industrie :
Pour sensibiliser davantage les consommateurs aux questions de sécurité des produits, nous avons mené des activités de sensibilisation des consommateurs dans tout le Canada par le biais d'expositions présentées au cours d'événements auxquels participent un grand nombre de consommateurs et d'intervenants. Nous avons également tenu des discussions avec les représentants régionaux de la santé publique afin de faciliter le transfert des connaissances des dispensateurs de soins de santé aux consommateurs. Le nombre de plaintes et d'incidents liés aux produits de consommation a constamment augmenté, ce qui prouve que les consommateurs sont bien au courant du mécanisme des plaintes reliées aux produits de consommation de Santé Canada (exercice 2006-2007, 567 plaintes; exercice 2007-2008, 672 plaintes; exercice 2008-2009, 944 plaintes; exercice 2009-2010, 1 102 plaintes; exercice 2010-2011, 1 359 plaintes). Les inscriptions sur le site Web au sujet des Rappels liés à la sécurité des produits de consommation ont augmenté, passant à plus de 8 000 abonnés en 2010-2011. Voici l'augmentation des inscriptions, comme le montrent les données des années antérieures :
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Sensibilisation et compréhension accrues de l'industrie des produits de consommation à l'égard des normes |
Les données indiquent que l'augmentation des déclarations par les consommateurs est liée à la hausse des inscriptions sur le site Web des rappels et témoigne d'une sensibilisation accrue des consommateurs aux risques associés aux produits de consommation.
Une recherche sur l'opinion publique a été réalisée dans le cadre du plan général de recherche sur l'opinion publique de Santé Canada. Même si la majorité des répondants déclarent comprendre les obligations de l'industrie et le rôle de surveillance après la mise en marché de Santé Canada en ce qui concerne la sécurité des produits, une forte proportion d'entre eux (83 %) déclarent qu'ils sont d'avis que Santé Canada avait déjà le pouvoir d'ordonner le rappel obligatoire de produits dangereux que lui confère actuellement la nouvelle Loi canadienne sur la sécurité des produits de consommation. Pour renforcer plus efficacement la sensibilisation des consommateurs à l'égard des questions de sécurité des produits par le truchement des médias sociaux, Santé Canada :
Les documents suivants ont été publiés et mis à jour sur le site Web de Santé Canda :
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Sensibilisation et compréhension accrues des consommateurs à l'égard des questions relatives à la sécurité des produits de consommation |
Pour renforcer la sensibilisation des consommateurs à l'égard des questions relatives à la sécurité des pesticides, Santé Canada :
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Santé Canada | Produits de consommation | Surveillance ciblée | 15,7 $ | 3,8 $ | 5,43 $ | Amélioration de l'à-propos et de la qualité de l'information relative à la sécurité des produits de consommation |
Pour améliorer l'à-propos et la qualité de l'information relative à la sécurité des produits de consommation, nous :
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Amélioration du Règlement sur les cosmétiques en vertu de la Loi sur les aliments et drogues |
Santé Canada a continué de travailler sur :
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Échange accru d'information avec les organismes de réglementation internationaux |
Pour un échange accru d'information avec les organismes de réglementation internationaux partenaires en vue d'améliorer la sécurité des produits de consommation au Canada nous :
En ce qui concerne les dispositifs émettant des radiations, nous avons collaboré avec les organismes de réglementation internationaux partenaires suivants :
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Santé Canada | Produits de consommation | Intervention rapide | 17,9 $ | 4,6 $ | 6,20 $ | Amélioration de la compétence législative et des outils de réglementation pour les produits de consommation |
Le PASPAC se fonde essentiellement sur l'amélioration de la compétence législative et des outils de réglementation pour les produits de consommation. La Loi canadienne sur la sécurité des produits de consommation (LCSPC) donne au gouvernement des pouvoirs législatifs plus rigoureux et plus modernes pour l'aider à protéger les Canadiens contre les
produits de consommation qui présentent un risque déraisonnable.
Règlement sur les revêtements; Règlement sur les vêtements de nuit pour enfants; Règlement sur les ensembles de retenue et rehausseurs de sièges d'automobile; Règlement sur les jouets; Règlement sur les bougies; Règlement sur les bijoux pour enfants; Règlement sur les protecteurs faciaux pour joueurs de hockey sur glace et de crosse en enclos; Règlement sur les casques de hockey sur glace; Règlement sur l'inflammabilité des textiles; Règlement modifiant le Règlement sur les produits en amiante; Règlement modifiant le Règlement sur les produits chimiques et contenants de consommation (2001). De plus, de nouveaux règlements relevant désormais de la LCSPC ont été publiés dans la Gazette du Canada, Partie II : Règlement modifiant le Règlement sur les revêtements; Règlement sur les produits de consommation contenant du plomb (contact avec la bouche); Règlement sur les lits d'enfant, berceaux et moïses, Règlement sur les phtalates. En appui à la modernisation de la Loi sur les dispositifs émettant des radiations (LDER), nous avons effectué de la recherche stratégique et des analyses. Nous avons conclu qu'il est préférable d'opter, pour l'instant, de ne pas poursuivre les modifications législatives même si la modernisation de la loi pouvait être utile, en ce sens qu'elle permettrait d'avoir des pouvoirs uniformes dans l'ensemble de la législation de Santé Canada pour des produits similaires (p. ex., produits de consommation et matériels médicaux). Nous chercherons essentiellement à améliorer l'administration et l'application des mesures législatives existantes. Notamment, nous mettrons à profit d'autres lois et règlements qui régissent les effets qu'ont sur la santé les dispositifs émettant des radiations (p. ex., la Loi canadienne sur la sécurité des produits de consommation, pour les produits de consommation, et le Règlement sur les instruments médicaux en vertu de la Loi sur les aliments et drogues, pour les matériels médicaux); la mise à jour des règlements existants et l'adoption de nouveaux règlements pour mieux utiliser les pouvoirs existants en vertu de la LDER; la conclusion de partenariats avec d'autres organismes de réglementation fédéraux; une meilleure utilisation des ressources existantes pour gérer les dispositifs émettant des radiations. Nous élaborons des protocoles d'entente avec d'autres ministères gouvernementaux pour effectuer les évaluations prévues par la LDER :
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Surveillance améliorée en matière de produits de consommation et cosmétiques |
Le régime de réglementation du Programme de sécurité des produits de consommation se fonde sur la surveillance et le contrôle après la mise en marché. Pour vérifier la conformité de l'industrie, nous avons sondé les exigences selon un cycle établi à l'avance (le Plan d'évaluation cyclique). Pour le cycle de 2010, nous avons ciblé 13 catégories de produits selon des risques
bien définis et des données de référence (établies au cours des cycles antérieurs).
Tapis (20 échantillons - 15 % non conformes); landaus et poussettes (9 échantillons - 100 % non conformes); isolant cellulosique (10 échantillons - 20 % non conformes); charbon de bois - étiquettes de mise en garde (55 échantillons - 42 % non conformes); vêtements de nuit pour enfant (9 échantillons - 33 % non conformes); couvre-fenêtres à cordon (aucun échantillon provenant de l'étude préliminaire); cosmétiques (97 échantillons - 4 % non conformes); lits d'enfant et berceaux (23 échantillons - 100 % non conformes); matelas (futons) (26 échantillons - 73 % non conformes); jouets-dentition (11 échantillons - 9 % non conformes); tentes (20 échantillons - 100 % non conformes); jouets (en peluche) (27 échantillons - 41 % non conformes); jouets (hochets) (29 échantillons - 10 % non conformes). Des mesures correctives ont été prises pour 100 % des cas de non-conformité. Les mesures correctives comprennent notamment : les rappels, les communications avec l'industrie, des avis d'interruption de vente, l'éducation et des engagements publics pris par l'industrie. Des activités régionales en matière de conformité et d'application de la loi ont été menées conformément à des plans de travail, notamment la mise en œuvre des projets d'application cyclique, la promotion de la conformité, les inspections de l'industrie dans les collectivités situées en dehors des grandes villes, les inspections aux douanes et la surveillance des produits rappelés. Nota : Étant donné que nous n'inspectons pas la totalité des établissements, de telles mesures ne sont pas une indication des taux de conformité observés dans l'ensemble du marché pour une catégorie de produits donnés. En outre, nous respectons l'échéance établie concernant les inspections, l'échantillonnage et les tests prévus dans le plan d'évaluation cyclique. Le plan a été révisé pour permettre de tenir compte de la mise en œuvre de la LCSPC et d'ajouter de nouveaux règlements. De plus, une étude non prévue des solutions de lissage des cheveux a été menée en réponse à l'introduction sur le marché d'un nouveau type de produit et aux plaintes formulées par les consommateurs par la suite. Vingt-deux produits ont été jugés contenir des niveaux dangereux de formaldéhyde et ont été retirés du marché. |
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Santé Canada | Réglementation des pesticides | Prévention active | 6,9 $ | 1,64 $ | 1,37 $ | Sensibilisation accrue de l'industrie (fabricants et détaillants) à l'égard des risques et des exigences réglementaires connexes |
Nous avons mené un programme de consultation auprès de l'industrie (fabricants et formulateurs) en ce qui concerne le contrôle et l'assurance de la qualité de la fabrication des pesticides (38 consultations). Nous avons évalué le degré de sensibilisation de l'industrie à l'égard des exigences réglementaires et de la communication de l'information.
Nous avons terminé la première phase d'un programme de consultation mené auprès des associations de biens locatifs (84 consultations) afin de juger leur connaissance en ce qui concerne l'utilisation sécuritaire des pesticides et les exigences réglementaires connexes. Nous avons également évalué les mécanismes mis en place par les associations pour déclarer les incidents liés aux pesticides et le degré de communication qu'ils ont avec leurs membres. Nous avons a fait 10 présentations à l'intention des exploitants d'entreprises de lutte antiparasitaire et de leurs techniciens en Alberta et au Québec, en leur fournissant un aperçu du processus de réglementation et en leur présentant des outils en ligne (p. ex., recherche d'étiquette). Au cours des inspections, nous avons donné de l'information à 135 vendeurs et importateurs ou distributeurs afin de les sensibiliser davantage à l'égard des exigences de la réglementation. Nous avons participé à l'assemblée générale annuelle FPT ainsi qu'à l'assemblée générale annuelle de l'Association of American Pesticide Control Officials (AAPCO). Nous avons rencontré des associations de consommateurs et de vendeurs chinois, ce qui a facilité l'organisation de séminaires pour des groupes d'immigrants sur l'utilisation sécuritaire des pesticides et sur les exigences réglementaires connexes. Nous avons contribué à des discussions internes continues relativement à une approche adoptée en matière de politiques et de réglementation pour les articles traités avec des pesticides. |
Santé Canada | Réglementation sur les pesticides | Intervention rapide | 8,0 $ | 2,1 $ | 1,75 $ | Surveillance accrue des produits de lutte antiparasitaire à l'aide d'une approche axée sur la gestion du risque |
Nous avons mené un programme d'inspection des établissements de vente de produits pour piscine et spa (110 inspections). Nous avons assuré le suivi dans les cas de non-conformité, notamment par des lettres aux titulaires.
Nous avons mené un programme d'inspection ciblant les personnes soupçonnées de vendre des produits antiparasitaires non homologués d'autres pays (p. ex., craie insecticide, boules à mites) et les importateurs et distributeurs (135 inspections), ce qui a donné lieu à 135 mesures coercitives. Nous avons traduit et distribué des fiches de renseignements chinoises. Nous avons élaboré et mis à l'essai des modèles et des outils pour l'évaluation des risques en matière de conformité de l'ARLA dans le but de régler des problèmes liés à la sécurité des produits de consommation. Nous avons élaboré un document d'orientation fondé sur les risques visant à faciliter la planification et la priorisation des activités en matière de conformité. Nous avons lancé un programme d'inspection cyclique afin de surveiller et de vérifier systématiquement la conformité des groupes ou communautés réglementés, notamment ceux qui sont liés aux pesticides destinés aux consommateurs. Nous avons mis en œuvre, à l'usage des agents de conformité, une base de données de suivi des résultats relatifs à la conformité, qui permettra de produire des déclarations sur Web. Nous avons modifié le Règlement sur les sanctions administratives pécuniaires (SAP) qui a été publié dans les Parties I et II de la Gazette du Canada, lequel permettra de signifier des procès-verbaux pour une plus vaste gamme de violations qui faisaient partie de la nouvelle Loi sur les produits parasitaires adoptée en 2006, notamment les violations concernant les ventes et les déclarations d'incidents et fait des travaux considérables sur la mise en œuvre de procédures relatives aux SAP. Nous avons participé à un projet pilote visant à rationaliser l'interface entre l'Agence des services frontaliers du Canada (ASFC) et Santé Canada relativement à des questions de conformité, grâce à l'utilisation de centres d'appels. Nous avons travaillé avec l'ASFC à renforcer la surveillance à la frontière, notamment en rédigeant une annexe en appui au protocole d'entente-cadre entre Santé Canada et l'ASFC. Dans le cadre de l'Initiative du guichet unique, nous avons participé au projet Pathfinder de l'ASFC qui permettra à l'ARLA de recevoir des données sur l'importation des pesticides recueillies par l'ASFC. Nous avons échangé des données sur la conformité des pesticides et l'application de la loi avec l'Environmental Protection Agency des États-Unis et discuté des questions et préoccupations communes relativement aux pesticides destinés aux consommateurs. Des activités de contrôle de la conformité ont été menées au Canada à la suite de cet échange d'information (p. ex., Santé Canada a alerté les consommateurs canadiens qui avaient acheté sur Internet un pesticide non homologué). Nous avons présidé le groupe d'experts de l'OCDE sur la conformité, qui a rédigé la version définitive du Document d'orientation sur les pratiques exemplaires en matière de conformité des pesticides et d'application de la loi, qui sera présenté au Groupe directeur sur la réduction des risques de l'OCDE. Le document comprend des lignes directrices sur la conduite d'activités de conformité relativement à la distribution, à l'entreposage, à l'utilisation des pesticides et à l'élimination et au recyclage des contenants de pesticides. |
Santé Canada | Aliments et nutrition | Prévention active | 29,6 $ | 6,7 M$ | 6,5 M$ | Détermination de l'outil ou de l'ensemble d'outils appropriés, y compris les mesures réglementaires et non réglementaires (normes, politiques, etc.) nécessaires pour s'attaquer aux problèmes immédiats |
Réglementation
Lignes directrices et politiques
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Compréhension accrue du public à l'égard des risques associés à la salubrité des aliments, de systèmes d'alerte et de systèmes de sécurité | Nous avons participé à l'évaluation des divers outils offerts pour établir le profil des risques et échangé de l'information avec nos homologues internationaux (USDA/USFDA), quant à l'utilisation de tels outils. | ||||||
Engagement accru de la population canadienne dans le système réglementaire Connaissance accrue de l'industrie à l'égard de l'étiquetage alimentaire |
Nous avons terminé, en ce qui concerne le règlement sur les allergènes, les consultations tenues sur les domaines clés recensés dans la Gazette du Canada, Partie I, et affiché le résumé sur le site Web de Santé Canada. Nous avons mené des consultations publiques sur le projet de politique proposé pour la modification des exigences d'étiquetage des produits sans
gluten au Canada. Nous avons mené des consultations sur l'utilisation des mises en garde relatives aux allergènes alimentaires sur les aliments préemballés. Nous avons terminé les consultations publiques sur la définition proposée pour les fibres alimentaires.
Nous avons évalué, au niveau du langage clair et du format, plus de 200 pages Web de Santé Canada destinées aux consommateurs, notamment les pages Web de la Direction générale des produits de santé et des aliments. Nous avons amélioré les données de suivi grâce au Centre de renseignements. Nous avons créé un centre de contacts à l'intention des consommateurs qui demandent des renseignements par téléphone et courriel sur les questions reliées à l'innocuité des aliments et des produits. Nous avons créé le Comité consultatif sur la réglementation des aliments (CCRA), dont les membres proviennent de secteurs divers, notamment des groupes de patients et de consommateurs, des associations de professionnels de la santé et des organismes de réglementation, du milieu de la recherche, du monde universitaire et de l'industrie. Nous avons consulté le CCRA sur plusieurs sujets. |
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Compréhension et participation accrues, de la part de l'industrie, relativement à l'élaboration et à la mise en œuvre des processus d'atténuation du risque associé à la salubrité des aliments Amélioration de la collaboration internationale dans l'étude des risques communs associés à l'importation |
Nous avons présenté le rapport sommaire du Canada issu de la 42e session du Comité du Codex sur les additifs alimentaires, lors de la réunion du Comité interministériel du Codex Alimentarius (CIM/Codex). En tant que responsable du Groupe de travail électronique, le Canada a préparé et présenté le document sur la teneur maximale en mélanine permise, à
la 4e session du Comité du Codex sur les contaminants dans les aliments (CCCA).
Nous avons maintenu la participation de l'industrie dans le cadre des stratégies proposées pour la gestion du risque afin de réduire l'exposition à la toxine naturelle ochratoxine A (OTA) dans les aliments. Nous avons rédigé et présenté le document de travail du Codex sur la gestion de la toxine naturelle deoxymivalénol (DON) dans la chaîne alimentaire, à la 5e session du Comité du Codex sur les contaminants dans les aliments. Nous avons eu recours aux groupes internationaux de liaison en matière de sécurité chimique des aliments pour échanger de l'information et déterminer les enjeux. Nous avons organisé des tribunes régulières avec les organismes de réglementation aux vues similaires sur les problèmes émergents. |
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Aliments et nutrition | Intervention rapide | 1,3 $ | 0,3 $ | 0,2 $ | Compréhension accrue du public à l'égard des risques associés à la salubrité des aliments, de systèmes d'alerte et de systèmes de sécurité | Campagne Soyez prudents avec les aliments : Voici comment - Nous avons fourni une expertise, de l'aide financière; avons élaboré de nouveaux matériels didactiques (p. ex., Roue de la salubrité des aliments, vidéo bilingue Soyez prudents avec les aliments/Be Food
Safe; brochure pour la famille sur la sécurité alimentaire). Nous avons lancé et maintenu des initiatives de marketing telles que : Santé et sécurité des enfants; Consommateurs en sécurité et bien informés; Halte-o-risques et d'autres de ce genre. Nous avons amélioré les données d'intégration et de suivi grâce au Centre de renseignements. Nous avons établi un centre de contact à l'intention des consommateurs qui présentent des demandes d'information par téléphone et courriel sur les questions de salubrité des aliments et des produits. Nous avons lancé des plate-formes de médias sociaux, notamment une nouvelle application mobile sur les rappels et les avis de sécurité et un widget interministériel pour les consommateurs. Nous avons mis au point une section sur les « maladies d'origine alimentaire » pour le site Web Canadiens en santé et révisé des pages Web ainsi que des articles sur la sécurité alimentaire affichés dans Votre santé et vous. |
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Agence canadienne de l'inspection des aliments (ACIA) | Salubrité des aliments et risques liés à la nutrition | Prévention active | 114,2 $ | 25,8 $ | 23,09 $ | Compréhension accrue des risques associés à la salubrité des aliments de la part de Santé Canada, de la l'ASPC et de l'ACIA |
Nous avons amélioré le processus de priorisation des risques liés à la salubrité des aliments de l'ACIA grâce à deux outils : le iRisk Tool (outil de risque) et le Cadre de travail sur le classement des priorités des risques multifactoriels. Le iRisk Tool est un outil de priorisation des
risques axé sur des données scientifiques, concernant les combinaisons aliments-danger (CAD); grâce à cet outil, nous avons réalisé un projet pilote avec 70 combinaisons aliment-danger (CAD). De la recherche menée en collaboration avec l'ASPC, Santé Canada, l'Université de l'Alberta et l'Université Massachusetts Amherst sur l'élaboration
d'un cadre de travail sur le classement des priorités des risques multifactoriels, outil qui tient compte d'autres facteurs tels que l'impact sur le marché, la sensibilité sociale et la perception des consommateurs.
Cinq (5) profils de risque ont été établis - présence de la bactérie Salmonella dans les tomates fraîches; présence de la toxine ochratoxine A dans les céréales et produits céréaliers; présence de la bactérie salmonella dans les épices; présence de mélamine dans les ingrédients laitiers importés; présence de la bactérie Escherichia coli 0157:H7 dans les jeunes épinards. Les rapports préliminaires, qui sont une compilation de l'information scientifique sur certaines combinaisons aliment-danger, ne sont pas tous au même stade de leur rédaction. Élaboration de nouvelles plates-formes pour tester et dépister des agents pathogènes tels que Listeria, Shigella et Campylobacter. Réalisation de sondages ciblés sur les risques microbiologiques et chimiques pour lesquels plus de 25 395 échantillons ont été recueillis, ce qui a donné lieu à 59 254 tests microbiologiques et chimiques différents. L'analyse des résultats de dix sondages ciblés sur les dangers chimiques est terminée : spéciation de l'arsenic dans le riz et les produits de la poire; présence d'aflatoxine dans les figues et les dattes séchées; présence non déclarée d'allergènes dans les aliments pour bébé; présence de bisphénol A dans des aliments et préparations pour nourrisson; présence de mélanine ainsi que de pesticides et de métaux dans des produits à base de lait ou à base de soya; présence de colorant alimentaire dans les aliments transformés; présence des toxines OTA/DON dans certaines denrées; présence de pesticides et de métaux dans les fruits séchés et les légumes frais; présence de pesticides et de métaux dans le thé séché; présence d'agents de collage dans le vin. L'analyse des résultats de cinq sondages ciblés sur les dangers microbiologiques est terminée : présence de bactéries pathogènes et d'organismes indicateurs de contamination fécale dans les légumes-feuilles sur le marché canadien (il s'agit de légumes importés ou cultivés au pays, traditionnels ou biologiques, préemballés ou frais coupés); présence de bactéries pathogènes et d'organismes indicateurs de contamination fécale dans les herbes feuilles fraîches sur le marché canadien (il s'agit d'herbes importées ou cultivées au pays); présence de bactéries pathogènes dans les cantaloups vendus sur le marché canadien (il s'agit de cantaloups entiers importés ou cultivés au pays, ou de cantaloups frais coupés importés); présence de bactéries pathogènes et d'organismes indicateurs de contamination fécale dans les tomates vendues sur le marché canadien (il s'agit de tomates importées ou cultivées au pays, de tomates traditionnelles ou biologiques); présence de la bactérie Salmonella dans les arachides et les produits dérivés des arachides vendus sur le marché canadien (il s'agit d'arachides importées ou cultivées au pays). |
Détermination de l'outil ou de l'ensemble d'outils appropriés, y compris les mesures réglementaires et non réglementaires (normes, politiques, etc.) nécessaires pour s'attaquer aux problèmes immédiats | Nous continuons d'élaborer des documents de présentation du projet de règlement pour le secteur des aliments importés en vertu de la Loi sur les produits agricoles au Canada. Nous continuons de travailler avec Santé Canada sur l'élaboration de modifications à apporter à la Loi sur les aliments et drogues. | ||||||
Compréhension et participation accrues, de la part de l'industrie, relativement à l'élaboration et à la mise en œuvre des processus d'atténuation du risque associé à la salubrité des aliments Amélioration de la collaboration internationale dans l'étude des risques communs associés à l'importation |
L'ACIA a publié le Guide de salubrité des aliments (GSA) afin d'offrir à l'industrie de l'alimentation des lignes directrices sur la conception, l'élaboration et la mise en œuvre de systèmes préventifs efficaces de contrôle de la salubrité des aliments.
En ce qui concerne le secteur des fruits et légumes frais (FLF), l'ACIA a mis en œuvre les changements apportés à ses programmes de surveillance de la salubrité des aliments en concentrant ses activités d'inspection sur le secteur à risque élevé de l'industrie, par exemple, les emballeurs et réemballeurs de légumes-feuilles frais, de fines herbes et d'oignons verts. Amélioration de l'engagement pris auprès des homologues travaillant dans la réglementation internationale afin de promouvoir l'échange de l'information sur la salubrité des aliments et de renseigner le public sur les approches adoptées en matière de gestion du risque. Signature d'un protocole d'entente visant à faciliter l'étude des approches à adopter pour accélérer l'échange de l'information et le traitement des situations d'urgence en matière de salubrité des aliments, avec l'Administration générale de la supervision de la qualité, de l'inspection et de la quarantaine de la République populaire de Chine (AQSIQ). |
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Engagement accru de la population canadienne dans le système réglementaire Connaissance accrue de l'industrie à l'égard de l'étiquetage alimentaire |
ACIA
Tenue de consultations publiques afin d'obtenir des rétroactions sur les exigences proposées afin d'améliorer la salubrité des aliments importés. Les rétroactions, reçues tant par des présentations en ligne qu'au cours de séances en personne tenues dans cinq villes du pays, se sont révélées constructives. Elles serviront à éclairer les projets de règlement. Vingt-sept enquêtes sur l'étiquetage relativement à l'allégation Produit du Canada ont été menées. Le gouvernement du Canada s'est engagé à examiner les lignes directrices relatives à l'allégation « Produit du Canada » afin de s'assurer qu'elles continuent de répondre aux besoins tant des consommateurs que des entreprises canadiennes. Nous avons terminé en septembre 2010 les consultations visant à déterminer s'il est nécessaire d'exempter le sucre, le sel et le vinaigre importés lorsque l'allégation « Produit du Canada » est attribuée à des aliments qui contiennent ces ingrédients et aussi s'il y a lieu d'enlever les énoncés descriptifs accompagnés de l'allégation « Fabriqué au Canada ». L'Agence analyse l'information recueillie et affichera les résultats sur son site Web. |
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Agence canadienne d'inspection des aliments | Salubrité des aliments et risques liés à la nutrition | Surveillance ciblée | 77,0 $ | 19,2 $ | 13,19 $ | Vérification accrue des mesures prises par l'industrie en matière de salubrité des aliments |
Mise en œuvre du Projet pilote d'inspection des établissements de fruits et légumes frais - pour les emballeurs et réemballeurs de légumes-feuilles frais, d'oignons verts et/ou de fines herbes au cours duquel neuf inspections ont été réalisées.
Le personnel chargé de l'inspection a bénéficié des programmes de formation suivants : échantillonnage microbiologique; introduction à la salubrité des fruits et légumes frais; comprendre les allergènes alimentaires; enquête sur la salubrité des aliments. Poursuite de la mise à jour des matériels didactiques existants et création de nouveaux en appui à la mise en œuvre des activités du PASPAC. Dans le secteur non enregistré au fédéral, 803 inspections au total ont été menées dans les quatre secteurs prioritaires jugés à risque très élevé (fruits et légumes frais, mycotoxines dans les céréales, ingrédients importés, présence non déclarée d'allergènes); 68 inspections relativement à la présence d'agents pathogènes microbiens dans les épices; 15 relativement à des agents pathogènes microbiens et à la patuline dans le jus de pomme et le cidre pasteurisés; 37 relativement à des agents pathogènes dans les légumes frais coupés prêts à manger; 39 relativement à des agents pathogènes dans les pousses; 90 relativement à des allergènes et à la Salmonella dans le chocolat fabriqué au pays et importé; 46 relativement à des agents pathogènes microbiens et à la patuline dans le jus de pomme et le cidre non pasteurisés; 36 relativement à l'alfatoxine et à la Salmonella dans les noix, les arachides et le beurre d'arachides importés; 472 relativement à des contrôles d'allergènes chez des importateurs d'aliments non enregistrés au fédéral. |
Amélioration de la capacité à surveiller et à contrôler l'importation d'aliments |
Identification accrue des produits importés entrant au Canada grâce à l'amélioration de la base de données du Système automatisé de référence à l'importation afin de contrôler les produits importés entrant au Canada par l'augmentation du nombre des codes du Système harmonisé disponibles pour classifier les produits commercialisés.
Fin de la phase I des améliorations apportées à la GI/TI, en améliorant les éléments essentiels qui appuieront des applications visant à améliorer l'identification des importateurs et le contrôle des produits importés. Cinquante-quatre inspections éclair aux frontières; 61 vérifications de produits importés après leur entrée et 367 activités de surveillance des produits importés ont été menées. |
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Agence canadienne d'inspection des aliments | Salubrité des aliments et risques liés à la nutrition | Intervention rapide | 32,2 $ | 7,4 $ | 5,73 $ | Capacité de procéder à des rappels rapides et efficaces |
Augmentation de la capacité du laboratoire de microbiologie concernant les rappels, par l'adoption d'une semaine de travail de 7 jours.
Augmentation de 10 % des employés qui travaillent au PASPAC; parmi ces renforts, 36 % sont de nouveaux venus à l'Agence. À la fin de 2010-2011, l'ACIA avait répondu, pour l'année, à plus de 200 incidents liés aux rappels d'aliments et mené 4 668 enquêtes liées à la salubrité des aliments. En 2010-2011, l'ACIA a géré efficacement 131 avertissements au public concernant des rappels de classe 1. Tous les avertissements ont été émis dans les 24 heures après la déclaration d'un problème. Elle a accru la sensibilisation à l'égard du processus de rappel en envoyant directement aux abonnés des avis par courriel concernant les rappels de classe 2 liés aux allergènes non déclarés. |
Compréhension accrue du public à l'égard des risques associés à la salubrité des aliments, de systèmes d'alerte et de systèmes de sécurité |
La publication en série Les 10 agents pathogènes alimentaires les plus recherchés au Canada est terminée. Cette série offre un cahier d'information qui comprenait une brochure, une fiche d'activité et des cartes de collection dans le but de mieux informer les consommateurs sur la nature des microorganismes qui peuvent causer des maladies d'origine alimentaire.
Un livret convivial destiné aux consommateurs « Allergies alimentaires courantes - Guide du consommateur - Comment gérer les risques » a été publié. Il contient de l'information essentielle sur les allergènes alimentaires les plus courants. Les anciens problèmes liés à la salubrité des aliments ont fait ressortir l'importance de recueillir régulièrement la rétroaction des Canadiens sur la salubrité des aliments, les rappels d'aliments et la confiance du grand public dans le système canadien de salubrité des aliments. Les résultats ont aidé à éclairer les politiques et initiatives de sensibilisation liées à la salubrité des aliments. Ces résultats permettent également à l'Agence de mieux comprendre la prise de conscience, les attitudes et les comportements des consommateurs en ce qui concerne la salubrité des aliments et lui permettent aussi de s'assurer que les documents de communication sont conformes aux besoins des Canadiens. Selon une recherche ciblée sur l'opinion publique menée en février 2011, la confiance des Canadiens dans le système de salubrité des aliments du Canada a augmenté de façon remarquable depuis 2007-2008. L'ACIA a également lancé la Table ronde des groupes de consommateurs qui permet de s'assurer que les consommateurs (population cible) ont leur mot à dire sur la question de la salubrité des aliments. Selon les conclusions de la dernière recherche sur l'opinion publique, les consommateurs consultent divers médias pour obtenir leurs renseignements. Parmi ceux qu'ils privilégient, il y a lieu de citer : les médias sociaux, la télévision et les journaux. En 2010-2011, l'ACIA a commencé à rendre l'information facilement accessible au public par des envois additionnels d'alertes électroniques (c.-à-d. des rappels de classe II et III) ainsi que par des comptes Twitter et Facebook. En ayant recours aux médias sociaux, l'ACIA a réduit le besoin de recherche ce genre d'information sur son site Web. Toutefois, les consultations du site Web de l'ACIA demeurent constantes, avec des sommets évidents dans les périodes d'éclosion (p. ex., la listériose). À la fin de l'exercice 2010-2011, l'ACIA comptait 47 500 abonnés au Service d'envoi de messages électroniques « Rappels d'aliments et alertes à l'allergie », et plus de 1 800 adeptes Twitter. Sept rapports d'enquête ciblée ont été affichés sur le site Web de l'ACIA. Ces rapports fournissent de l'information sur les conclusions des enquêtes ciblées de l'ACIA concernant la présence de contaminants dans la chaîne alimentaire. Quatre d'entre eux concernaient la microbiologie : (bactéries pathogènes et organismes indicateurs de contamination fécale dans le cidre et le jus de pomme non pasteurisés produits au Canada; bactéries pathogènes et organismes indicateurs de contamination fécale dans les légumes-feuilles verts; bactéries pathogènes et organismes indicateurs de contamination fécale dans les tomates et les cantaloups; virus de l'hépatite A dans les oignons verts et les fraises.) Trois d'entre eux concernaient la chimie : (présence d'aflatoxine dans les figues et les dattes séchées; présence de bisphénol-A dans les aliments et préparations pour bébé; présence de l'ochratoxine A et du deoxyivalénol dans certaines denrées). |
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Agence de la santé publique du Canada | Surveillance et évaluation de la santé de la population / Prévention et réduction des maladies et des blessures | Prévention active | 18,3 $ | 4,1 $ | 3,5 M$ |
Compréhension accrue des risques associés à la salubrité des aliments de la part de Santé Canada, de l'ASPC et de l'ACIA
Les maladies infectieuses émergentes et réémergentes d'origine alimentaire, environnementale et zoonotique sont prises en charge et contrôlées Les intervenants sont au courant de la recherche et des outils en ce qui concerne les maladies infectieuses d'origine alimentaire, environnementale et zoonotique |
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Agence de la santé publique du Canada | Promotion de la santé /Prévention et contrôle de maladies chroniques | Surveillance ciblée | 8,0 $ | 2,0 $ | 1,10 $ | Données de meilleure qualité et en plus grand nombre sur les accidents, les blessures, les maladies et les décès attribuables aux produits de consommation Participation des intervenants en matière d'évaluation des risques |
Création et amélioration de bases de données en fonction du plan d'action :
La base de données du Système canadien hospitalier d'information et de recherche en prévention des traumatismes (SCHIRPT) a été améliorée à chaque étape de la surveillance, de la collecte de données à l'analyse et à la diffusion. Un nouvel élément de données a été créé dans le SCHIRPT pour assurer le suivi de la proportion des blessures liées aux produits de consommation. Selon les données les plus récentes du SCHIRPT disponibles (pour tous les groupes d'âge), 48 % des cas du SCHIRPT sont des blessures liées aux produits de consommation (comparativement à 45 % pour l'exercice précédent). Pour les groupes d'âge cibles de 0 à 4 ans, de 0 à 9 ans et de 0 à 18 ans, les pourcentages sont 55 % c. 53 %, 55 % c. 52 % et 50 % c. 48 %, respectivement. La Base canadienne de données des coroners et des médecins légistes (BCDCML) a été élaborée dans le but d'obtenir plus de détails sur les décès faisant l'objet d'une enquête afin de constituer une base de données probantes à des fins de prévention. Nous avons amélioré la précision méthodologique de la BCDCML afin d'optimiser l'identification des décès liés aux produits de consommation. Évaluation de la surveillance améliorée concernant l'utilisation et la conformité des casques dans les sports d'hiver (en collaboration avec la DGSESC). L'Étude longitudinale canadienne sur le vieillissement (ELCV) a été étendue et améliorée en fonction du plan d'action. BCDCML : L'élaboration de la Base de données des médecins légistes est terminée et l'analyse préliminaire des données est en cours. Constitution d'un groupe de travail sur la BCDCML. Autres progrès Les phases initiales de la modernisation du système de surveillance sont en cours pour faciliter la collecte de données sur les blessures liées aux produits. Étude pilote sur l'utilisation des casques dans les sports d'hiver - la phase 1 de la collecte des données est terminée et l'analyse des données est en cours. Cette étude est effectuée en collaboration avec la DGSESC. Fin de l'étude pilote sur la surveillance des chutes réalisée en Colombie-Britannique. Tenue d'une réunion des intervenants en collaboration avec la DGSESC et SécuriJeunes Canada pour instaurer : un Dialogue sur la prévention des empoisonnements au Canada. Application des connaissances par des présentations faites dans des conférences nationales et régionales sur la prévention des blessures et la santé des enfants. Cinq nouveaux rapports, notes d'information et affiches sur les blessures liées aux produits. Données et rapports présentés aux principaux intervenants. Rapport de l'étude de faisabilité de l'Hôpital général Carbonear sur l'évaluation des risques de blessures liées aux produits de consommation. Examen concernant les blessures liées aux chutes. Évaluation des risques de blessures limitant les activités dans l'Enquête longitudinale sur la santé de la population réalisée au cours de la période 1994-2006. Évaluation des risques de l'incidence de blessures associées avec le statut d'immigrant et la durée de l'établissement en tant qu'immigrant au Canada. Évaluation des risques des facteurs de risque concernant les blessures non intentionnelles au Canada. Évaluation des risques de blessures liées aux véhicules tout-terrain (VTT). Étude longitudinale canadienne sur le vieillissement (ELCV) Terminé : Protocole visant à étudier les blessures liées aux produits de consommation et aux chutes dans l'Étude longitudinale canadienne sur le vieillissement. Terminée : Étude documentaire concernant les blessures liées aux chutes (étude narrative, recension des recensions et analyse systématique du contexte). Terminé : Module des blessures et des chutes liées aux produits de consommation élaboré et approuvé à des fins de mise en œuvre. Rencontre du Centre Sentinelle en vue de l'évaluation des risques de blessures liées à des produits de consommation, tenue dans le but d'obtenir un consensus sur l'adaptation d'un programme courant de surveillance dans les salles d'urgence de manière à inclure la collecte de données sur les blessures liées aux produits. Protocole d'entente conclu avec le Kingston General Hospital. Liaison de données entre le Registre national des traumatismes, le Système national d'information sur les soins ambulatoires et la Base de données sur les congés des patients, amorcée en vue d'une analyse évaluative des risques de blessures. Achèvement de l'initiative de pratiques exemplaires dans la prévention des blessures chez les personnes âgées dans des centres résidentiels, incluant les principes de pratiques efficaces. Achèvement de l'initiative des meilleures pratiques dans les interventions pour la prévention des blessures (neige, glace et autres sujets). |
Instituts de recherche en santé du Canada | Recherche sur les priorités stratégiques | Surveillance ciblée | 27,1 $ | 6,93 $ | 2,13 $ | Connaissance accrue de l'innocuité et de l'efficacité des médicaments après leur mise en marché afin de prendre des décisions éclairées Capacité accrue, Au Canada, à entreprendre des recherches correspondant aux priorités sur l'innocuité et l'efficacité des médicaments après leur mise en marché |
Voir aussi : RIEM, Santé Canada, Produits de santé, Surveillance ciblée
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18. Commentaires sur les écarts
Le déblocage tardif des allocations bloquées pour cause de « rapports obligatoires » n'a pas laissé suffisamment de temps pour effectuer d'importantes dépenses. En outre, nous avons tenu moins de réunions préalables aux présentations et doté moins de postes que prévu en 2010-2011.
Afin de se concentrer stratégiquement sur la création du réseau de chercheurs collaborateurs du RIEM, les IRSC et le RIEM ont canalisé leurs efforts sur l'établissement de l'important réseau pancanadien de centres de recherche qui fournit la capacité de recherche essentielle de l'initiative RIEM. Le temps et les efforts nécessaires pour atteindre les résultats souhaités ont donné à penser que, pour être prudent, le RIEM devrait gérer le financement entre les années de mise en œuvre afin de mieux orienter le budget des subventions du RIEM vers de la recherche qui harmonise le long terme avec le mandat et les objectifs du RIEM. Ainsi donc, le montant de 4,37 millions de dollars de l'exercice 2010-2011 et celui de 1,2 million de dollars prévu pour 2011-2012 ont été réaffectés dans le budget du RIEM en montants égaux sur la période allant de 2012 à 2016.
La Loi canadienne sur la sécurité des produits de consommation n'a pas reçu la sanction royale avant décembre 2010, soit après sa troisième présentation au Parlement. Une partie du financement du Plan d'action pour assurer la sécurité des produits alimentaires et de consommation (PASPAC) a été bloquée en attendant la sanction royale et, par conséquent, de nombreuses initiatives ont été retardées jusqu'au dernier trimestre de 2010-2011.
Dans la troisième année de mise en œuvre du Plan d'action pour assurer la sécurité des produits alimentaires et de consommation, l'ACIA a connu du retard dans l'élaboration et l'approbation de la demande d'approbation définitive du projet de GI/TI visant à appuyer les initiatives relevant à la fois de la Prévention active et de la Surveillance ciblée. L'étape de l'élaboration du programme de délivrance de permis aux importateurs a contribué davantage à la non-utilisation des fonds au titre de la Surveillance ciblée. Certains points particuliers méritent d'être peaufinés avant de pouvoir commencer la formation et l'exécution du programme. Les retards enregistrés dans les processus de dotation à l'administration centrale ont donné lieu à une sous-utilisation des fonds dans les activités inscrites au programme d'Intervention rapide. Les fonds non utilisés sont reportés.
En raison des retards liés à la dotation et au roulement du personnel, les affectations complètes des salaires et les frais de F et E connexes n'ont pas été dépensés au complet par l'ASPC.
19. Résultats à atteindre par les partenaires non fédéraux (le cas échéant) : Sans objet
20. Personne ressource
Hélène Quesnel, directrice générale
Direction des politiques législatives et réglementaires
Direction générale de la politique stratégique
Santé Canada
Téléphone : (613) 952-3484
Courriel électronique : helene.quesnel@hc-sc.gc.ca
Liens Web
Titre de l'initiative horizontale
Stratégie fédérale de lutte contre le tabagisme
Nom des ministères responsables
Santé Canada (SC)
Activité de programme des ministères responsables
Consommation et abus de substances
Date de mise en œuvre de l'initiative horizontale
Le 1 avril 2007
Date d'échéance de l'initiative horizontale
Le 31 mars 2011
Total des fonds fédéraux affectés
$363.3M
Description de l'initiative horizontale (y compris l'accord de financement)
La Stratégie fédérale de lutte contre le tabagisme (SFLT) établit un cadre d'une démarche exhaustive, pleinement intégrée et polyvalente de lutte antitabac. Elle est dictée par l'engagement de longue date du gouvernement du Canada à atténuer les effets graves et indésirables du tabac sur la santé des Canadiens. Elle est fondée sur quatre éléments qui se renforcent mutuellement : la prévention, le renoncement, la protection et la réglementation.
Résultats partagés :
Le but de la SFLT est de réduire la prévalence globale du tabagisme de 19 % (2005) à 12 % d'ici 2011.
Objectifs
Structure de gouvernance
Santé Canada est le ministère responsable de la SFLT et est chargé de sa coordination et de sa mise en œuvre, y compris l'exécution du volet de programmes de contribution et les activités liées à nos composantes et à nos objectifs. Les partenaires fédéraux continueront à surveiller et à examiner les activités de contrebande de produits du tabac. Voici les ministères et organismes partenaires
Points saillants de la planification
Mise en œuvre de la Loi restreignant la commercialisation du tabac auprès des jeunes (2009), y compris des mesures de conformité visant à garantir que les revues et les journaux ne contiennent aucune publicité sur le tabac, et que certains produits du tabac aromatisés (p. ex. cigarillos et feuilles d'enveloppe) ne sont plus utilisés au Canada.
Partenaires fédéraux | Activités de programme (AP) des partenaires fédéraux | Titre des programmes des partenaires fédéraux | Affectation totale (de la de date de mise en œuvre à la date de clôture) | 2010-2011 (en millions de dollars) | |||
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Dépenses prévues 2010-2011 |
Dépenses réelles 2010-2011 |
Résultats prévus 2010-2011 |
Résultats obtenus 2010-2011 |
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Santé Canada | Consommation et abus de substances | SFLT | $287.34 M | $42.7M | $50.4M | Réduire la prévalence globale du tabagisme de 19 % (en 2007) à 12 % d'ici 2011. |
Selon les dernières données disponibles (2010), le taux global de prévalence du tabagisme s'élève à 17 %.
Des inspections fédérales démontrent que 98 % des détaillants de produits du tabac en Alberta et en Saskatchewan respectent la réglementation sur les ventes aux mineurs. (Remarque : En 2009, le taux de conformité des détaillants de 84,3 % était fondé sur l'Évaluation du comportement des détaillants par rapport à certaines restrictions de l'accès des jeunes au tabac, qui couvrait toutes les provinces. On a mis fin à cette enquête.) 99 % des produits du tabac inspectés sont conformes aux exigences d'étiquetage. 95 % des échantillons analysés sont conformes au Règlement sur le potentiel incendiaire des cigarettes. Pour ce qui est des mesures de conformité liées à la mise en œuvre de la Loi restreignant la commercialisation du tabac auprès des jeunes, quatre lettres d'avertissement ont été envoyées à des fabricants pour des paquets de petits cigares qui contenaient moins de 20 unités, soit le minimum exigé. |
CFP | Stratégies d'application de la loi | SFLT | $3.0 M | 0.61M | 0.61M |
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Voir les résultats atteints par les partenaires non fédéraux (p. ex. le Service de police d'Akwesasne) dans la section 17 ci-dessous. À Genève, Sécurité publique dirige la délégation canadienne en ce qui concerne la participation aux négociations concernant un protocole international qui vise à réduire le commerce illicite de produits du tabac, ainsi que les activités pour s'y préparer. Le Canada a participé à deux groupes de travail intersessions en 2010-2011, pour appuyer les négociations sur le protocole. La prochaine séance de négociations est prévue pour mars 2012. |
GRC | Opérations de renseignements criminels et Opérations techniques policières | SFLT | 8,6 M$ | 1,5 M$ | 2,6 M$ |
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BDPP | BDPP | SFLT | 10,0 M$ | 2,1 M$ | 2,1 M$ |
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ARC | SFLT : Direction générale des services de cotisation et des prestations | 4,44 M$ | 0,2 M$ | 0,2 M$ |
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SFLT : Direction générale des affaires législatives et réglementaires | 0,6 M$ | 0,6 M$ | |||||
Formule d'allocation des fonds | 0,09 M$ | 0,09 M$ | |||||
ASFC | 1.1 Évaluation des risques | SFLT | 28,4 | 5,7 | 4,9 M$ |
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2.2 Frontière conventionnelle
Services internes Perte de la concession de ventes hors taxe |
21,5 | 4,3 | 4,3 M$ | ||||
Total global | 363,3 M$ | 57,8 M$ | 65,8 M$ |
16. Commentaires sur les écarts
À l'ASFC, il y a eu moins de travail que prévu lié à l'initiative, ce qui a mené à moins de dépenses que prévu, d'où un écart de 0,8 M$.
L'écart de 8,0 M$ à Santé Canada est causé par deux transferts de la Direction des substances contrôlées et de la lutte au tabagisme (DGSESC) à la Direction générale des régions et des programmes (DGRP) totalisant 4,2 M$. En outre, 3,8 M$ en coûts ministériels ont été omis des dépenses prévues de 42,7 M$ dans le RPP de 2010-2011. Les dépenses réelles totales de 50,4 M$ comprennent les transferts de la Direction des substances contrôlées et de la lutte au tabagisme (DGSESC) à la Direction générale des régions et des programmes (DGRP) et les coûts ministériels.
GRC : Le soutien fourni par les Opérations techniques à la SFLT dépasse le financement et les ressources prévus dans la Stratégie en raison d'une demande accrue pour l'aide aux enquêtes et la surveillance frontalière. Cette demande accrue, et les dépenses connexes, sont survenues à des endroits ayant reçu des ressources dans le cadre de la SFLT ainsi qu'à des endroits qui n'avaient jamais auparavant dû fournir des ressources pour ces activités. L'augmentation des ressources offertes à cette initiative a mené à une réduction de la capacité de réaliser d'autres activités prévues au mandat.
17. Résultats à atteindre par les partenaires non fédéraux (s'il y a lieu)
Le Service de police Mohawk d'Akwesasne (SPMA) a réussi à mieux surveiller et contrôler la contrebande du tabac. Le SPMA a déclaré avoir participé à des activités policières conjointes qui ont mené à des accusations et à des saisies, y compris celles relatives au tabac. Toutes les saisies de tabac effectuées par le SPMA sont remises à la GRC à des fins de poursuites et sont communiquées par le truchement du détachement de la GRC de Cornwall.
Le Service de police Mohawk d'Akwesasne a renforcé ses capacités en matière de collecte de renseignements et de techniques spécialisées d'enquête criminelle en travaillant avec des partenaires canadiens et américains d'application de la loi au sein d'une équipe intégrée d'application de la loi à la frontière dans la région de Cornwall. De plus, le SPMA a eu l'occasion de diriger des activités policières conjointes liées aux activités criminelles et aux groupes criminels organisés transfrontaliers, et de participer à de telles activités.
Une évaluation a été faite par Conseils et Vérification Canada en vertu avec Sécurité publique Canada. Des rapports annuels sont fournis par la police Mohawk d'Akwesasne. Ces rapports sont spécifiquement liés au travail de l'équipe d'enquête conjointe et exposent en détail les efforts continus de l'équipe pour lutter contre les activités illégales liées au tabac dans la communauté d'Akwesasne, notamment la ventilation des saisies importantes de produits du tabac de contrebande.
20. Coordonnées
Cathy A. Sabiston, directrice générale
Direction des substances contrôlées et de la lutte au tabagisme
Direction générale, santé environnementale et sécurité des consommateurs
Santé Canada
Téléphone : 613-941-1977
1. Le Ministère a-t-il fixé des objectifs en matière d'achats écologiques?
Oui |
2. Résumé des initiatives visant à intégrer des considérations de performance environnementale dans les processus décisionnels en matière d'approvisionnement :
Santé Canada participe à l'atteinte des objectifs de la Politique d'achats écologiques, y compris l'intégration de considérations de performance environnementale et du rapport qualité-prix dans le processus décisionnel en matière d'approvisionnement. Santé Canada favorise la formation des gestionnaires du matériel, du personnel responsable des achats et des gestionnaires de centres de coûts (qui ont le pouvoir de signature de documents contractuels) en matière d'achats écologiques en les incitant à suivre le cours en ligne donné par l'École de la fonction publique du Canada, en diffusant des messages généraux de sensibilisation et en participant à la Semaine de l'environnement. La Politique sur les cartes d'achat a été mise à jour de façon à comprendre des directives à l'intention des détenteurs de carte afin qu'ils veillent à ce que leurs pratiques d'achat résistent à l'examen du public au chapitre de la prudence, de l'honnêteté et de l'intégrité, et de la mise en œuvre de pratiques environnementales.
Le processus de planification des achats du Ministère s'inscrit dans la démarche de planification intégrée de Santé Canada, qui lui permet de réaliser des économies d'envergure grâce au regroupement des achats et, ce faisant, d'accroître la flexibilité, d'éviter les retards grâce à l'utilisation accrue des conventions d'offre à commandes et d'assurer une meilleure gestion des risques grâce à l'amélioration des délais d'approvisionnement de biens et de services très coûteux ou complexes. Ce processus offre également la possibilité d'intégrer au besoin les considérations de performance environnementale dans tout mécanisme de regroupement d'achats conçu et mis en œuvre par Santé Canada.
Le Ministère étudie actuellement les processus et mesures de contrôle ayant trait aux achats pour s'assurer qu'ils comportent des considérations environnementales lorsqu'approprié. La mise à jour de la norme de gestion du parc automobile de Santé Canada était le principal objectif de l'écologisation effectuée pendant l'exercice financier. Cette norme exige que les gestionnaires tiennent compte des facteurs environnementaux dans le cadre de l'évaluation et de la planification de différents modes de transport. En particulier, Santé Canada a mis en place une norme sur les achats de véhicules gouvernementaux qui est fondée sur les exigences opérationnelles nationales normalisées, en fonction desquelles sont évalués les modèles les plus écologiques proposés par les offres à commandes.
Santé Canada produit un rapport annuel sur le parc automobile qui fournit des renseignements sur les carburants de remplacement, les véhicules à carburant de remplacement, les émissions de gaz à effet de serre et de contaminants atmosphériques de même que divers autres indicateurs de rendement. Ce rapport sert à prendre des décisions relatives à la gestion du parc automobile et à effectuer le suivi des progrès réalisés en fonction des objectifs des stratégies de développement durable énoncés dans la Stratégie fédérale de développement durable.
Le Ministère recueille maintenant des données sur les achats écologiques à l'aide d'un champ faisant partie du système d'entreprise actuel, soit le SAP. Ce champ du SAP consacré aux achats écologiques est doublement utile :
3. Contributions afin de faciliter la mise en œuvre des achats écologiques à l'échelle du gouvernement :
Santé Canada figure dans la Stratégie fédérale de développement durable et participe activement aux initiatives fédérales de réforme des achats, comme à la mise en œuvre des offres à commandes obligatoires dirigée par Travaux publics et Services gouvernementaux Canada (TPSGC), qui intègre le rendement environnemental et l'analyse du cycle de vie. Le Ministère a également intégré des procédures de suivi des achats écologiques dans son système d'entreprise déjà en place grâce à la participation à des initiatives horizontales du SAP avec d'autres ministères utilisant le SAP.
4. Résumé des objectifs en matière d'achats écologiques :
Les achats écologiques constituent l'un des domaines clés de la Stratégie fédérale de développement durable (SFDD) 2011 2014 visant à « réduire l'empreinte environnementale » du gouvernement. L'exercice financier 2010 2011 a été consacré au développement, et chaque ministère devait établir les cibles suivantes :
5. Résultats obtenus :
Le Ministère a établi les cibles recommandées par TPSGC dans des domaines qui sont bien appuyés par des outils déjà en place et des pratiques exemplaires ainsi que par la capacité des fournisseurs et leur intérêt envers le domaine en question. Ce processus a été choisi pour favoriser l'établissement des cibles, car l'une des considérations importantes était le fait qu'aucun financement supplémentaire ne serait accordé pour des travaux supplémentaires dans le cadre de la SFDD.
Depuis le 1er avril 2011, la totalité des évaluations de rendement des employés des directeurs et des gestionnaires du groupe PG comprennent des clauses relatives à l'écologisation des opérations gouvernementales.
Santé Canada analyse actuellement les processus et mesures de contrôle ayant trait au processus décisionnel en matière d'approvisionnement afin de déterminer lesquels parmi ceux-ci devraient comprendre des considérations environnementales. La norme de gestion du parc automobile a été étudiée et mise à jour en conséquence à la suite des consultations menées auprès des régions et des responsables des programmes.
Le Ministère continuera de travailler avec TPSGC pour trouver des occasions d'effectuer des achats écologiques. Santé Canada poursuivra également ses activités de communication visant à accroître la sensibilisation aux achats écologiques et à la nécessité d'inscrire des données sur le caractère écologique de chaque transaction. L'intégration de la fonction relative aux achats écologiques dans le processus du système d'entreprise permet de rappeler régulièrement aux employés que l'approvisionnement écologique s'inscrit parmi les objectifs de Santé Canada.
La formation destinée aux détenteurs de carte d'achat comprend un rappel sur la mise en œuvre de pratiques environnementales au sein du Ministère. La formation sur les achats écologiques continue d'être obligatoire pour les agents d'approvisionnement (groupe PG), et tous les employés dont les tâches touchent l'approvisionnement sont fortement encouragés à la suivre.
L'achat de carburants de remplacement a connu une diminution (par rapport à 2009 2010) qui est partiellement attribuable à la difficulté de se procurer ces carburants dans de nombreuses régions du Canada. En 2010 2011, 43 % des nouveaux véhicules achetés pouvaient utiliser des carburants de remplacement (éthanol 85, etc.); cependant, la disponibilité limitée de ce type de carburant demeure un problème.Réponse aux comités parlementaires | |
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Le rapport « Promouvoir des solutions novatrices pour relever les défis des ressources humaines en santé » du Comité permanent de la santé a été publié le 17 juin 2010. La réponse du gouvernement a été déposée le 6 octobre 2010. Le rapport du Comité contenait vingt-neuf recommandations. Le Comité a déclaré qu'il est nécessaire de voir les choses dans l'ensemble et de faire preuve d'audace quant aux ressources humaines en santé afin d'élaborer des solutions locales et uniques qui font appel à un large éventail de professionnels de la santé, des sages-femmes aux gestionnaires de l'information sur la santé. Le Comité a conclu qu'une collaboration continue entre les différents ordres du gouvernement est requise, y compris un leadership du gouvernement fédéral quant à la prestation de mécanismes de financement sécuritaires et durables qui visent : une réforme des soins primaires, une meilleure intégration des professionnels de la santé formés à l'étranger et l'augmentation du nombre de ressources humaines en santé autochtone. Le Comité a recommandé que le gouvernement fédéral soit plus efficace dans la promotion de la planification en collaboration des ressources humaines en santé avec les administrations intéressées, soit au moyen des mécanismes existants ou par l'établissement de nouveaux mécanismes. Dans sa réponse, le gouvernement du Canada a confirmé son engagement à régler les problèmes soulevés en matière de ressources humaines en santé et souligné le travail colossal déjà accompli à cet égard. Pour obtenir de plus amples renseignements, veuillez consulter le site Comités de la Chambre des communes - HESA (40-3) - Promouvoir des solutions novatrices pour relever les défis des ressources humaines en santéLe rapport « La voie de l'avenir : Comment réagir aux taux élevés de tuberculose dans les réserves des Premières nations et les collectivités inuites » du Comité permanent de la santé a été publié le 8 juin 2010. La réponse du gouvernement a été déposée le 6 octobre 2010. Le rapport du Comité contenait quatorze recommandations selon les thèmes suivants : Programme national de lutte antituberculeuse de Santé Canada, Collaboration entre ordres du gouvernement, Participation des collectivités des Premières nations et des Inuits à la lutte antituberculeuse et Déterminants sociaux de la santé. Dans sa réponse, le gouvernement a réitéré son engagement à réduire les taux de tuberculose chez les Premières nations et les Inuits vivant dans les réserves et reconnu la complexité de la tuberculose et le besoin d'efforts coordonnés de différents partenaires afin de réduire le fardeau de cette maladie. De plus, le gouvernement a insisté sur le fait que la façon la plus efficace de prévenir les maladies, dont la tuberculose, est de se pencher sur les déterminants sociaux de la santé des Premières nations. Le gouvernement a aussi déclaré qu'il est résolu à travailler en collaboration avec les partenaires afin de réduire l'incidence de la tuberculose sur les populations autochtones du Canada. Pour obtenir de plus amples renseignements, veuillez consulter le site |
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Réponse aux rapports de la vérificatrice générale, y compris du commissaire à l'environnement et au développement durable | |
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Vérifications externes (Nota : ces vérifications désignent les autres vérifications externes effectuées par la Commission de la fonction publique du Canada et par le Commissariat aux langues officielles.) | |
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Titre de la vérification interne | Type de vérification interne | Statut | Date d'achèvement |
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Mécanismes de contrôle de la production des états financiers | Contrôles axés sur le risque | Terminé | Décembre 2010 |
Vérification de la sécurité des technologies de l'information | Programme | Terminé | Mars 2011 |
Vérification du cadre de contrôle de gestion des programmes de contribution | Contrôles axés sur le risque | Terminé | Juin 2011 |
Vérification des préparatifs d'urgence | Contrôles axés sur le risque | Terminé | Mars 2011 |
Vérification des services de santé non assurés (volet pharmaceutique) | Programme | Terminé | Juin 2011 |
Vérification des communications externes | Contrôles axés sur le risque | Terminé | Mars 2011 |
Vérification du processus de présentation au Conseil du Trésor | Initiative | Terminé | Juin 2011 |
Vérification de la paie | Programme | Terminé | Décembre 2010 |
Vérification de la gestion des ententes sur les niveaux de service de TI | Programme | Terminé | Mars 2011 |
Vérification de la planification de la continuité des opérations | Programme | Terminé | Mars 2011 |
Vérification des subventions au Partenariat canadien contre le cancer | Paiement de transfert | En cours | Septembre 2011 |
Vérification de la subvention pour appuyer la Commission de la santé mentale du Canada | Paiement de transfert | En cours | Décembre 2011 |
Vérification du processus de planification des activités | Contrôles axés sur le risque | En cours | Mars 2012 |
Vérification du plan d'investissement de Santé Canada | Contrôles axés sur le risque | En cours | Juin 2012 |
Vérification des principaux contrôles financiers | Contrôles axés sur le risque | En cours | Septembre 2011 |
Vérification des cycles des achats, des créditeurs et des décaissements | Contrôles axés sur le risque | En cours | Mars 2012 |
Vérification des services à la clientèle de la TI | Programme | En cours | Mars 2012 |
Vérification des contrôles informatiques du SAP | Contrôles axés sur le risque | En cours | Septembre 2011 |
Vérification de la gestion des sciences à Santé Canada | Contrôles axés sur le risque | En cours | Mars 2012 |
Vérification de la planification des RH | Contrôles axés sur le risque | En cours | Juin 2012 |
Lien vers le rapport de vérification interne approuvé :
http://www.hc-sc.gc.ca/ahc-asc/performance/audit-verif/index-fra.php
Titre de l'évaluation | Activité de programme | Type d'évaluation | Statut | Date d'achèvement |
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Société du Partenariat canadien contre le cancer | 1.1.3 Renouvellement du système de santé | Évaluation | Terminé | Juillet 2010 |
Fonds du projet pilote de garanties relatives aux temps d'attente pour les patients | 1.1.3 Renouvellement du système de santé | Sommative | Terminé | Mars 2011 |
Programme des produits de santé naturels | 2.1.5 Produits de santé naturels | Sommative | Terminé | Novembre 2010 |
Programme sur la résistance à la chaleur | 3.1.1 Changement climatique | Évaluation | Terminé | Mars 2011 |
Programme sur la qualité de l'air du Canada - Thème Adaptation | 3.1.1 Changement climatique | Horizontale | Terminé | Décembre 2010 |
Programme sur la qualité de l'air du Canada - Thème Qualité de l'air intérieur | 3.1.2 Qualité de l'air | Horizontale | Terminé | Octobre 2010 |
Rechercher la confiance du public dans la réglementation des pesticides et améliorer l'accès aux produits antiparasitaires - Initiative horizontale | 3.5 Réglementation des pesticides | Horizontale | Terminé | Février 2011 |
Programme de contrôle des maladies transmissibles (y compris les S et C) | 4.1.2 Protection de la santé et santé publique chez les Premières nations et les Inuits | Groupe | Terminé | Novembre 2010 |
Programme des services de santé non assurés | 4.1.2 Protection de la santé et santé publique chez les Premières nations et les Inuits | Groupe | Terminé | Novembre 2010 |
Initiative de recherche et de développement en génomique | SI 2.1 Politiques et gestion dans le domaine scientifique | Horizontale | Terminé | Mars 2011 |
Nouvelle AAP de Santé Canada en vigueur depuis le 1er avril 2011 | ||||
Investissements du gouvernement du Canada dans les Jeux olympiques et paralympiques d'hiver de 2010 (aspects n'ayant pas trait à la sécurité) | 1.2.1 Santé et sécurité au travail au sein de la fonction publique 2.3.5 Inspection de santé publique à bord des transporteurs communs [avant avril 2011 : 3.1.8 Préparation en cas d'urgence, 3.3.1 Santé dans la fonction publique, 3.3.2 Produits de consommation et 3.3.4 Service d'aide aux employés] |
Horizontale | En cours | Septembre 2011 |
Investissements du gouvernement du Canada dans les Jeux olympiques et paralympiques d'hiver de 2010 (aspects n'ayant pas trait à la sécurité) | 1.2.2 - Gestion des urgences [avant avril 2011 : 3.1.8 Préparation en cas d'urgence] |
Horizontale | En cours | Septembre 2011 |
Organisation du Sommet du G8 de 2010 à Muskoka (aspects n'ayant pas trait à la sécurité) | 1.2.2 - Gestion des urgences [avant avril 2011 : 3.1.8 Préparation en cas d'urgence] |
Horizontale | En cours | Novembre 2011 |
Augmentation des mesures de Santé Canada concernant l'encéphalopathie spongiforme bovine (ESB) - ESB I et II | 2.2.1 Salubrité des aliments 2.1.1 Produits pharmaceutiques 2.1.2 Produits biologiques et radiopharmaceutiques 2.1.4 Produits de santé naturels [avant avril 2011 : 2.2.1 Pathogènes d'origine alimentaire] |
Évaluation | En cours | Mars 2012 |
Programme de salubrité et de qualité nutritionnelle des aliments | 2.2.1 : Salubrité des aliments 2.2.2 Nutrition et saine alimentation 2.7 Innocuité des pesticides 3.1.2.2 Santé environnementale pour les Premières nations et les Inuits [avant avril 2011 : 2.2.2 Contaminant chimique d'origine alimentaire et 2.2.3 Aliments nouveaux] |
Horizontale | En cours | Septembre 2011 |
Programme de politique et de promotion de la nutrition | 2.2.2 Nutrition et saine alimentation [avant avril 2011 : 2.2.4 Nutrition] |
Évaluation | En cours | Décembre 2011 |
Plan de gestion des produits chimiques | 2.3.4 Effets des produits chimiques sur la santé 2.2 Salubrité des aliments et nutrition 2.7 Innocuité des pesticides [avant avril 2011 : 3.1.3 Gestion des produits chimiques, 3.1.5 Sites contaminés, 3.5 Réglementation des pesticides, 2.2.1 Pathogènes d'origine alimentaire et 2.2.2 Contaminants chimiques d'origine alimentaire] |
Horizontale | En cours | Août 2011 |
Stratégie fédérale de lutte contre le tabagisme | 2.5.1 Tabac [avant avril 2011 : 3.4.1 Tabac] |
Horizontale | En cours | Novembre 2011 |
Stratégie nationale antidrogue | 2.5.2 Substances contrôlées 3.1.1.2 Bien-être mental des Premières nations et des Inuits [avant avril 2011 : 3.4.3 Substances contrôlées 4.1.1 Programmes communautaires destinés aux Premières nations et aux Inuits] |
Horizontale | En cours | Décembre 2011 |
Programme de santé mentale et de lutte contre la toxicomanie | 3.1.1.2 Bien-être mental des Premières nations et des Inuits [avant avril 2011 : 4.1.1 Programmes communautaires destinés aux Premières nations et aux Inuits] |
Groupe | En cours | Janvier 2012 |
Programme de prévention des maladies chroniques et des blessures | 3.1.1.3 Modes de vie sains des Premières nations et des Inuits [avant avril 2011 : Programmes communautaires destinés aux Premières nations et aux Inuits] |
Groupe | En cours | Septembre 2011 |
Programme de santé et de recherche environnementales | 3.1.2.2 Santé environnementale pour les Premières nations et les Inuits [avant avril 2011 : 4.1.2 Protection de la santé et santé publique chez les Premières nations et les Inuits] |
Groupe | En cours | Septembre 2011 |
Programme des établissements de santé et des immobilisations | 3.3.1.3 Établissements de santé de collectivités inuites et des Premières nations [avant avril 2011 : 4.1.5 Gouvernance et soutien à l'infrastructure du système de santé des Premières nations et des Inuits] |
Groupe | En cours | Septembre 2011 |
Hyperlien des rapports :
Lien vers le site Internet de Santé Canada : http://www.hc-sc.gc.ca/ahc-asc/performance/eval/index-fra.php
Nom de l'initiative horizontale :
Sommets du G8 et du G20 de 2010
Date de mise en œuvre :
Le 1er avril 2009
Date de clôture :
Le31 mars 2011
Total des fonds ministériels affectés (de la mise en œuvre à la clôture) :
6,3 millions de dollars (comprennent le RASE et les frais d'hébergement)
Description de l'initiative horizontale (y compris de l'accord de financement)
En vertu du droit international coutumier, le gouvernement du Canada a l'obligation juridique d'assurer la sécurité, la protection et l'inviolabilité des personnes jouissant d'une protection internationale (PPI) qui participent à des événements internationaux d'envergure au Canada. Par le fait même, il a également l'obligation juridique d'assurer leur protection sanitaire. Au sein de Santé Canada, le Programme des PPI du Bureau des plans, des mesures et des interventions d'urgence relatives à la santé (BPMIURS) assume cette responsabilité en élaborant et en mettant en place des plans pour la santé, notamment des services d'urgences de santé et un programme complet de surveillance des aliments. Les actions du Programme des PPI sont mises en œuvre en étroite collaboration avec le ministère des Affaires étrangères et du Commerce international (MAECI) et la GRC.
En vertu de l'alinéa 4(2)f) de la Loi sur le ministère de la Santé et de la présentation au CT sur la sécurité publique et l'antiterrorisme, Santé Canada, par l'intermédiaire de son unité de préparation et de réponse physique en cas d'urgence (PRPU de Santé Canada), est responsable d'assurer la sécurité et le maintien de la santé des employés du gouvernement fédéral qui doivent faire face à des dangers tels que des attaques terroristes ou des épidémies et de continuer à fournir les services essentiels. L'unité de PRPU donne des conseils et des directives à ses clients fédéraux et elle assure la surveillance des services d'analyse, de l'évaluation des risques, de l'information et des avis de sécurité, des mesures de contrôle et des stratégies de décontamination visant à éliminer les agents chimiques, biologiques, radiologiques et nucléaires (CBRN). L'unité de PRPU a enrichi les ressources des intervenants d'urgence sur le terrain et a travaillé dans leur structure de commandement des interventions.
Le financement actuel de la sécurité publique et de l'antiterrorisme (SPA) permet au pays d'avoir accès à une équipe qualifiée de réponse psychosociale d'urgence (ERPSU). Ce financement permet d'assurer la formation de l'équipe, mais si une situation nécessitant le déploiement complet ou partiel de l'équipe survient, les frais encourus devront être couverts à l'aide de ressources supplémentaires. Ainsi, des fonds ont été sollicités afin de permettre à un contingent de l'ERPSU d'assurer la surveillance des sommets du G8 et du G20.
Structure de gouvernance
Peu de temps après l'annonce de la tenue du Sommet du G8 en 2010, le MAECI a mis en place le Bureau de gestion des Sommets (BGS), qui gérait la planification et l'accueil du Sommet ainsi que l'établissement de rapports sur l'événement. Plus tard, le BGS assurait aussi la gestion du Sommet du G20. Le BGS a invité des membres du Programme des PPI de Santé Canada à se joindre au Comité de gestion des Sommets (CGS), qui comptait des représentants de la GRC, de TPSGC et du MDN notamment et qui prenait toutes les décisions importantes sur la planification des deux Sommets. Les représentants qui faisaient partie du CGS devaient collaborer avec les cadres supérieurs de leur ministère respectif.
De même, le BCP a organisé une série de réunions visant à assurer la sécurité du Sommet du G8. Par la suite, la portée de son travail s'est élargie pour comprendre le Sommet du G20. Le BCP a invité des membres de l'unité de PRPU de Santé Canada à participer à ces réunions. L'unité a ainsi pu créer des liens essentiels avec des partenaires clés, dont le Commissaire des incendies de l'Ontario qu'elle aidait sur le terrain et le service des incendies et de contrôle des matières dangereuses de la ville de Toronto par l'entremise duquel elle rendait compte de ses activités pendant les sommets du G8 et du G20.
Les services de l'équipe de préparation et de réponse psychosociale d'urgence (ERPSU) étaient compris dans les plans de sécurité des événements du G8 et du G20, qui étaient coordonnés par le MAECI. En vertu de son mandat, Santé Canada comble sur demande les besoins psychosociaux de tous les employés fédéraux, y compris des employés de la GRC et du MDN.
Activités de programme ministérielle | Affectation totale (de la de date de mise en œuvre à la date de clôture) | 2010-2011 (en millions de dollars) | |||
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Dépenses prévues 2010-2011 |
Dépenses réelles 2010-2011 |
Résultats prévusr 2010-2011 |
Résultats obtenus 2010-2011 |
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AP 3.3 | 6,3 millions de dollars (comprend le RASE et les frais d'hébergement) | 5,6 millions de dollars | 5,1 millions de dollars (comprend le RASE et les frais d'hébergement) |
Santé Canada devait combler les besoins urgents et non urgents de services de santé des PPI et répondre aux demandes des organismes partenaires, fournir des services sur le terrain, participer à la coordination des services médicaux avec d'autres partenaires fédéraux en cas d'urgence ou d'évacuation, intervenir le plus rapidement possible en cas d'incident mettant en cause des matières dangereuses ou d'incident CBRNE qui pourrait avoir un impact sur les Sommets ou les collectivités avoisinantes et créer des problèmes de sécurité, s'assurer que l'ERPSU soit présente sur le terrain et qu'un membre de l'équipe soit réservé pour occuper la fonction de coordonnateur en bien-être de l'équipe, former l'ERPSU avant l'événement afin de la préparer à assurer la sécurité, à remplir ses fonctions et à passer à l'action et faire participer les membres qui seront déployés à l'exercice de préparation Trillium Guardian. |
Santé Canada a comblé les besoins urgents et non urgents de services de santé des PPI, notamment en traitant 164 patients dans les cliniques sur le terrain. Également, seulement cinq patients ont été dirigés vers les systèmes de soins de santé locaux et provinciaux afin d'obtenir un diagnostic ou un traitement plus poussé, ce qui a évité un engorgement supplémentaire de ces systèmes. Pendant les Sommets, Santé Canada et ses partenaires sont intervenus dans le cadre de trois incidents, ce qui a permis de régler facilement ces situations au moment opportun. Santé Canada a aussi donné de la formation à ses partenaires afin d'améliorer l'interopérabilité et l'efficacité des interventions. Pendant les événements, Santé Canada a envoyé un membre de l'ERPSU à Huntsville et un autre à Toronto. De plus, tout au long des événements, un troisième membre était désigné pour coordonner le bien-être des membres de l'ERPSU qui étaient en déploiement. En mai 2010, une formation d'un jour sur la sécurité, les fonctions des membres et les actions à poser a été offerte à tous les membres de l'ERPSU. Les trois membres dont il était question plus tôt ont pris part à l'exercice Trillium Guardian afin de se préparer aux événements du G8 et du G20. Santé Canada a déployé du personnel qualifié et équipé de matériel adéquat, a disposé du matériel de détection de surtension et a mis en place des ressources scientifiques et techniques près des événements, dont des laboratoires nucléaires mobiles et les véhicules d'urgence nécessaires à la surveillance de la radioprotection de l'événement. Le Ministère a aussi offert un meilleur soutien aux services de sécurité et aux premiers intervenants fédéraux, provinciaux et municipaux en matière de préparation à la gestion des conséquences locales. |
Commentaires sur l'écart :
Étant donné le risque élevé associé à l'accueil de sommets internationaux d'envergure comme le G8 et le G20, Santé Canada doit prévoir les pires éventualités. Les premières prévisions budgétaires prévoyaient par exemple l'évacuation des PPI par ambulance aérienne, ce qui engendre des coûts considérables. Grâce à la gestion efficiente des ressources, à la collaboration efficace avec les partenaires provinciaux et fédéraux, aux économies d'échelle, à la structure rigoureuse des services sur le terrain visant à réduire le nombre de ressources requises et à l'absence d'incident de sécurité touchant les PPI, le Programme des PPI a engendré beaucoup moins de coûts que prévu dans le cadre des Sommets. Cela explique l'écart entre les sommes demandées au départ dans les présentations au CT et les dépenses réelles.
Les dépenses de l'unité de PRPU pour les Sommets sont pour l'essentiel les mêmes que les affectations prévues au budget. Les dépenses sont presque équivalentes aux sommes demandées, mais des économies ont été réalisées, car deux membres de l'unité de PRPU travaillaient à la résidence de l'un des membres, située près de l'emplacement du G20. De plus, les membres se sont déplacés entre Huntsville et Toronto presque au même moment où le G8 s'est terminé à Huntsville pour faire place au G20 de Toronto. Ainsi, les deux événements n'ont pas été couverts en même temps comme il avait d'abord été prévu.
Pour ce qui est de la surveillance de la radioprotection et de la préparation d'urgence des IA, certains salaires n'ont pas été utilisés, car la demande en personnel (OT) a été moins importante que prévu. Les coûts d'exploitation ont été moins importants que prévu en raison de changements de dernière minute apportés dans de nombreuses sphères, y compris, sans s'y limiter, l'hébergement, le déplacement du matériel et le déploiement des équipes.Personne-ressource :
Anthony Sangster
DG, Direction des mesures d'urgence et de santé au travail
Direction générale des régions et des programmes
Santé Canada
Téléphone : 613-957-7669
Beth Pieterson
DG, Direction des sciences de la santé environnementale et de la radioprotection
Direction générale de la santé environnementale et de la sécurité des consommateurs
Santé Canada
Téléphone : 613-954-3859