Cette page a été archivée.
Information archivée dans le Web à des fins de consultation, de recherche ou de tenue de documents. Cette dernière n’a aucunement été modifiée ni mise à jour depuis sa date de mise en archive. Les pages archivées dans le Web ne sont pas assujetties aux normes qui s’appliquent aux sites Web du gouvernement du Canada. Conformément à la Politique de communication du gouvernement du Canada, vous pouvez demander de recevoir cette information dans tout autre format de rechange à la page « Contactez-nous ».
La version originale a été signée par
L'honorable James Moore
Ministre du Patrimoine canadien et des Langues officielles
L'honorable Helena Guergis
Ministre d’État (Condition féminine)
� titre de ministre d’�tat (Condition f�minine), j’ai le plaisir de pr�senter le Rapport minist�riel sur le rendement de 2007–2008 pour le Bureau de la coordonnatrice, Condition f�minine. Le rapport
pr�sente les principales r�alisations de l’organisme au cours du dernier exercice et explique de quelle fa�on il poursuit ses efforts pour remplir son mandat.
Je suis tr�s honor�e de remplir les fonctions de ministre d’�tat (Condition f�minine), d’autant plus que je suis la premi�re � assumer cette charge minist�rielle consacr�e exclusivement � la condition f�minine. Ma nomination d�montre bien l’importance que conserve pour le gouvernement la promotion de l’�galit� entre les sexes au Canada.
L’exercice 2007–2008 a �t� une p�riode de transformation pour Condition f�minine Canada. Le Budget de 2007 comportait 10 millions de dollars suppl�mentaires en financement pour l’organisme, portant le budget annuel total de Condition f�minine Canada � un sommet sans pr�c�dent de 29,9 millions de dollars.
Le mandat du Programme de promotion de la femme a �t� remani� et deux nouvelles composantes de financement ont vu le jour, soit le Fonds communautaire pour les femmes et le Fonds de partenariat pour les femmes. Ces changements ont permis � Condition f�minine Canada d’�largir la port�e du Programme de promotion de la femme, d’�tablir des partenariats strat�giques, d’obtenir des ressources et d’atteindre des r�sultats qui ont des incidences directes sur les femmes.
Le Fonds de partenariat pour les femmes met l’accent sur l’�limination des obstacles � la pleine participation des femmes dans tous les secteurs de la soci�t� canadienne. En 2007–2008, 14 projets initi�s en collaboration gr�ce au Fonds de partenariat pour les femmes ont servi � apporter des changements syst�miques en faveur des femmes. Ils ont b�n�fici� de nouveaux partenariats avec 7 minist�res f�d�raux, 13 minist�res provinciaux et territoriaux et 39 organismes du secteur priv� et autres, qui ont permis d’obtenir 15,7 millions de dollars en contributions en argent et en nature. Gr�ce � ces investissements strat�giques dont les femmes b�n�ficient, nous contribuons � la r�ussite du Canada.
En aidant divers organismes � tenir compte des consid�rations li�es � l’�galit� entre les sexes dans l’�laboration, l’analyse et la mise en œuvre de politiques et programmes publics, nous avons aussi progress� vers une responsabilisation accrue � l’�gard de l’�galit� entre les sexes.
Condition f�minine Canada est l’un des 15 minist�res et organismes membres de l’initiative f�d�rale de lutte contre la violence familiale. L’organisme travaille dans ce contexte � la tr�s s�rieuse question de la violence faite aux femmes et aux filles au Canada. En 2007-2008, il a continu� � repr�senter le Canada dans les forums internationaux et � collaborer avec ses partenaires provinciaux et territoriaux pour promouvoir l’�galit� des femmes.
Les r�sultats pr�sent�s dans ce rapport d�montrent notre engagement continu � l’�gard des femmes, de leur famille et de leur collectivit�. Nous investirons de fa�on strat�gique afin de cr�er les conditions de la r�ussite pour les femmes, leur permettant ainsi de participer pleinement et activement � tous les aspects de la vie canadienne. La prosp�rit� et la croissance �conomiques continues du Canada d�pendent de l’apport substantiel des femmes.
Condition f�minine Canada, qui est un organisme du portefeuille de Patrimoine canadien, a contribu� en 2007–2008 � la promotion de l’�galit� des femmes et � leur pleine participation � toutes les sph�res de la soci�t� canadienne. Il continuera au cours des prochains mois d’appuyer les priorit�s du gouvernement tout en se concentrant sur la promotion de la s�curit� et de la prosp�rit� �conomiques des femmes, sur la promotion de leur s�curit� � la maison et dans la collectivit�, notamment l’�limination de la violence � leur endroit, de m�me que sur leur autonomisation, afin qu’elles assument des r�les de chef de file au sein des institutions canadiennes.
En tant qu’organisme de Patrimoine canadien, Condition f�minine Canada a contribu� � faire du Canada une nation plus prosp�re, o� les Canadiennes et les Canadiens de tous �ges et de tous horizons peuvent participer � la vie sociale, culturelle et �conomique si riche du pays.
L’honorable Helena Guergis
Ministre d’�tat (Condition f�minine)
Je soumets, en vue de son d�p�t au Parlement, le Rapport minist�riel sur le rendement (RMR) de 2007–2008 du Bureau de la coordonnatrice de la condition f�minine (Condition f�minine Canada).
Ce document a �t� r�dig� en fonction des principes de pr�sentation �nonc�s dans le Guide pour la pr�paration de la Partie III du Budget des d�penses de 2007–2008 : Rapports sur les plans et les priorit�s et Rapports minist�riels sur le rendement.
Clare Beckton
Coordonnatrice
Le r�le du Bureau de la coordonnatrice de la condition f�minine (Condition f�minine Canada – CFC) est de promouvoir la pleine participation des femmes � la vie �conomique, sociale, culturelle et politique du Canada. Afin d’exercer ce r�le efficacement, CFC travaille de concert avec des minist�res et d’autres organismes f�d�raux, diff�rents ordres de gouvernement, des organismes non gouvernementaux (ONG) et le secteur priv�. CFC travaille aussi avec d’autres pays et des organisations internationales afin de satisfaire aux obligations internationales du Canada et de promouvoir les politiques int�rieures et �trang�res du pays concernant l’�galit� pour les femmes et les hommes.
Le mandat juridique de CFC consiste � � coordonner les politiques relatives � la situation de la femme et � g�rer les programmes qui s’y rapportent �. CFC t�che de remplir ce mandat de mani�re � procurer un avantage durable aux Canadiennes et Canadiens, soit � l’�galit� entre les sexes et la pleine participation des femmes � la vie �conomique, sociale, culturelle et politique du Canada �. L’obtention de ce r�sultat strat�gique n�cessite l’implication de parties diverses, et CFC a un r�le important � jouer � cet �gard. Pour cette raison, le cadre strat�gique de CFC indique les principaux r�sultats pr�vus qui font figure d’�tapes vers ce grand r�sultat social, car ils permettent de surveiller les progr�s.
Le pr�sent rapport fournit des renseignements sur le rendement conformes � la Structure de gestion des ressources et des r�sultats. L’architecture des activit�s de programme (AAP) pour 2007–2008 servira � pr�senter les deux activit�s de programme et les r�sultats qui en sont attendus, ainsi qu’� montrer comment ces r�sultats contribuent au r�sultat strat�gique de CFC. L’AAP de CFC a chang� en 2008–2009, et on rendra compte des activit�s modifi�es dans le rapport du prochain exercice. Les investissements humains et financiers ayant �t� effectu�s par CFC pour obtenir ces r�sultats sont aussi pr�sent�s dans le rapport, qui indique �galement comment les activit�s de programme de cet organisme cadrent avec les r�sultats attendus du gouvernement du Canada.
L’exercice 2007–2008 a �t� une p�riode de transition pour CFC en raison des modifications apport�es aux r�sultats attendus de l’organisme, � ses m�canismes de financement, � sa structure organisationnelle, � sa gouvernance et � ses ressources humaines et financi�res. Tout en poursuivant ses activit�s habituelles, CFC a mis en œuvre les quatre priorit�s de programme et de gestion suivantes afin d’accro�tre l’efficience et d’am�liorer les r�sultats :
a Le Budget de 2007 a octroy� � CFC un financement additionnel de 10 millions de dollars, portant le budget annuel total de l’organisme � 29,9 millions de dollars. Cependant, pour l’exercice 2007–2008, cette somme n’inclut pas un transfert de 200 000 dollars du minist�re du Patrimoine canadien pour le d�veloppement des communaut�s minoritaires de langue officielle (Partenariat interminist�riel avec les communaut�s de langue officielle), qui a port� � 30,1 millions de dollars les autorisations totales pour l’exercice.
Le tableau ci-dessous montre les deux activit�s de programme avec les r�sultats correspondants et leurs liens avec les priorit�s de 2007–2008. Il indique �galement les d�penses pr�vues et r�elles.
R�sultat strat�gique : �galit� entre les sexes et pleine participation des femmes � la vie �conomique, sociale, culturelle et politique du Canada
CFC analyse la conjoncture afin d’�valuer son contexte global. Il peut ainsi �laborer des strat�gies r�pondant aux tendances historiques et aux enjeux en constante �volution qui influent sur l’�galit� entre les femmes et les hommes. Ses analyses montrent qu’il remplit son mandat dans un contexte o� l’on constate des progr�s encourageants dans la situation globale des femmes. Ainsi, celles-ci ont fait des perc�es dans l’enseignement sup�rieur (p. ex. en entrant dans des domaines o� elles �taient traditionnellement sous-repr�sent�es) et elles ont hauss� leur niveau de revenu ainsi que leur repr�sentation en milieu de travail et dans d’autres domaines. (Voir le tableau ci- dessous.)
Source : Statistique Canada (Femmes au Canada, 2005)
Malgr� l’am�lioration de la situation des femmes, il subsiste des disparit�s entre les sexes dans certains domaines cl�s. Par exemple, les femmes demeurent concentr�es dans des professions traditionnelles. Selon Statistique Canada (Femmes au Canada, cinqui�me �dition), 67 p. 100 de toutes les femmes sur le march� du travail (comparativement � 30 p. 100 des hommes) travaillent dans l’enseignement, les sciences infirmi�res et les m�tiers de sant� connexes, dans les bureaux, l’administration, la vente ou les services. En outre, les femmes gagnent moins que les hommes dans presque tous les groupes d’�ges. Ces �carts sont pr�sents d’une fa�on disproportionn�e parmi certaines populations f�minines.
Source : Statistique Canada (Femmes au Canada, 2005)
1 Sources : Catalyst (Census of Women Board Directors of the Financial Post 500: Voices from the Boardroom, 2007) et Rosenzweig and Company (Report on Women at the Top Levels of Corporate Canada, 2008).
D’apr�s le Fonds de d�veloppement des Nations Unies pour la femme, � l’�chelle mondiale, au moins une femme sur trois a d�j� �t� battue ou forc�e d’accorder des faveurs sexuelles ou, encore, a subi de mauvais traitements au cours de sa vie — actes commis la plupart du temps par une personne qu’elles connaissent2.
Selon Statistique Canada (Femmes au Canada 2005; La violence familiale au Canada : un profil statistique, 2006 et 2007, Mesure de la violence faite aux femmes : tendances statistiques, 2006) :
2 Nations Unies. �tude approfondie de toutes les formes de violence � l’�gard des femmes, Rapport du Secr�taire g�n�ral, 2006, A/61/122/Add.1 (6 juillet 2006).
En 2007–2008, le changement a �t� le th�me dominant pour CFC. L’exercice sur lequel porte le pr�sent rapport a donc �t� une p�riode de transition. Pour cette raison, CFC a pris des mesures pour g�rer les changements internes et externes de fa�on � assurer la mise en œuvre efficace de ses priorit�s et de ses activit�s continues.
Dans son Rapport sur les plans et les priorit�s, CFC a indiqu� que les principaux d�fis et risques seraient cern�s durant la mise en place de la nouvelle structure organisationnelle et des nouveaux processus internes et externes. L’exercice a donc �t� une p�riode au cours de laquelle CFC a reconnu ses possibilit�s et g�r� des risques potentiels.
�tant donn� la nature et la port�e des changements effectu�s en 2006–2007, la gestion des risques a �t� une priorit� cl� durant l’exercice vis� par le rapport, � la fois du point de vue de l’orientation strat�gique et des op�rations de l’organisme. Bien que CFC dispose de m�canismes suffisants de contr�le pour g�rer les risques inh�rents, on reconna�t la n�cessit� de le doter d’une strat�gie int�gr�e de gestion des risques. On pr�voit donc �laborer un profil de risque en 2008–2009.
Afin de produire les r�sultats pr�vus, de s’approcher de son r�sultat strat�gique et d’am�liorer son rendement en tant qu’organisme, CFC a mis en œuvre quatre priorit�s de programme et de gestion en 2007–2008. L’organisme a pris diverses mesures pour assurer l’efficacit� de cette mise en œuvre : il a adopt� de nouvelles approches, rationalis� les syst�mes existants, effectu� des investissements strat�giques, am�lior� les proc�dures et renforc� les capacit�s de son effectif.
La mise en œuvre de la premi�re priorit� de programme de CFC (Renforcer la responsabilisation au gouvernement f�d�ral en ce qui a trait � l’analyse comparative entre les sexes et � la pleine participation des femmes � la soci�t� canadienne) a repos� sur des interventions strat�giques, c’est-�-dire la prestation d’aide et de conseils aux institutions et le renforcement de leurs capacit�s. On constate en cons�quence que les efforts d�ploy�s par CFC pour responsabiliser les institutions � l’�gard de la pratique de l’ACS portent plus de fruits : de plus en plus, les consid�rations de genre sont int�gr�es � l’�laboration des politiques et des programmes.
La mise en œuvre de la deuxi�me priorit� de programme de CFC (Axer le financement du Programme de promotion de la femme sur des projets dont les r�sultats am�liorent la pleine participation des femmes � la soci�t� canadienne) a repos� sur l’introduction de changements de fond touchant ses m�canismes de financement, � savoir l’instauration d’appels de propositions, des contacts prospectifs avec des b�n�ficiaires potentiels, de m�me qu’une am�lioration et une uniformisation de la proc�dure d’�valuation. Ces changements ont, entre autres, favoris� la primaut� des projets dont les r�sultats ont manifestement une incidence directe sur les femmes, c’est-�-dire les outillent en vue de leur pleine participation � la soci�t�.
En r�ponse � l’�valuation de son cadre de responsabilisation de la gestion (en 2006), CFC s’est aussi fix� deux priorit�s internes. Pour mettre en œuvre la premi�re (�laborer et mettre en œuvre un cadre de valeurs et d’�thique), le Comit� ex�cutif de CFC a approuv� un plan d’action qui pr�voit l’�laboration d’un code de conduite interne, conforme � la Loi sur la protection des fonctionnaires divulgateurs d’actes r�pr�hensibles. Au cours de l’exercice vis� par le rapport, CFC a amorc� avec son personnel une r�flexion en vue de d�finir des valeurs internes. Parall�lement, il a entrepris de discuter l’�largissement des structures de soutien existantes et des m�canismes de recours mis � la disposition de celui-ci, par l’�laboration d’un protocole d’entente avec Patrimoine canadien et, au besoin, d’autres mesures.
Pour mettre en œuvre sa deuxi�me priorit� interne (Examiner et am�liorer les autorisations de CFC et approfondir la compr�hension qu’a l’organisme de la proc�dure d’attribution des cr�dits parlementaires), CFC a adjoint des m�canismes internes de contr�le aux syst�mes financiers, de mani�re � s�parer les diff�rentes autorisations qu’il d�tient. L’organisme a aussi donn� de la formation � ses gestionnaires et nomm� aux postes cl�s des personnes poss�dant le savoir-faire requis dans le domaine. Son effectif est maintenant plus conscient de la proc�dure d’attribution des cr�dits parlementaires et des exigences qui s’y rattachent. On constate �galement une am�lioration du processus d’examen et de l’utilisation des autorisations l�gislatives lui ayant �t� conf�r�es.
L’Architecture des activit�s de programme de CFC pour 2007–2008 indique, comme r�sultat strat�gique, � l’�galit� entre les sexes et la pleine participation des femmes � la vie �conomique, sociale, culturelle et politique du Canada �. Ce r�sultat est mesur� par les progr�s accomplis dans l’accroissement de la repr�sentation et de la participation des femmes aux aspects �conomiques, sociaux, culturels et politiques de la vie canadienne. CFC contribue � ce r�sultat par l’interm�diaire de ses deux activit�s de programme et des r�sultats connexes pr�vus.
Cette activit� de programme est con�ue pour faciliter le r�le transversal de CFC dans l’administration f�d�rale, r�le qui consiste � fournir des conseils sp�cialis�s, � donner de la formation et � �laborer des outils pour renforcer la capacit� d’analyse comparative entre les sexes des minist�res et des organismes. L’ACS est le processus par lequel les diff�rences sociales et �conomiques entre les sexes sont syst�matiquement prises en compte dans le processus d’�laboration de politiques, de planification et de prise de d�cisions, de sorte que les r�sultats attendus soient �quitables pour les femmes et les hommes (http://www.cfc-swc.gc.ca).
En outre, CFC aide les organismes centraux � surveiller efficacement la mise en œuvre de l’ACS et � �valuer les progr�s accomplis par les minist�res en mati�re d’�galit� entre les sexes dans les domaines cl�s. En facilitant le r�le de surveillance des organismes centraux, CFC assure une plus grande responsabilisation des institutions f�d�rales � l’�gard de l’ACS.
En plus de ce r�le de soutien, CFC travaille de concert avec des partenaires f�d�raux, provinciaux et territoriaux et des organisations internationales dans le cadre de diff�rents forums, au sein desquels il facilite l’int�gration des consid�rations li�es � l’�galit� aux processus d�cisionnels et aux r�sultats.
Par cette activit� de programme, CFC cherche � obtenir un r�sultat � instrumental �, c’est � dire une efficacit� accrue des politiques dont ferait �tat l’int�gration des enjeux f�minins et de l’�galit� entre les sexes � l’�laboration, � l’analyse et � la mise en œuvre des politiques, des programmes et des initiatives. Elle est con�ue de sorte que, gr�ce � ce r�sultat, les minist�res et les organismes puissent � adopter une approche coh�rente pour �laborer et mettre en œuvre des politiques gouvernementales qui favorisent l’�galit� entre les sexes �.
Le rendement satisfait aux attentes
CFC a travaill� avec des minist�res f�d�raux, des provinces et des territoires, ainsi que des groupes autochtones, � l’�laboration de politiques et de programmes fond�s sur des r�sultats et tenant compte des sp�cificit�s culturelles, afin d’am�liorer la situation socio�conomique et juridique des femmes autochtones, notamment en ce qui concerne la division des biens matrimoniaux et la protection des droits fondamentaux pr�vus par la Loi canadienne sur les droits de la personne.
Les groupes utilisaient des d�finitions et des approches souvent bien diff�rentes, mais CFC a facilit� l’acceptation d’un ensemble commun de principes directeurs. Ces principes constituent la base du cadre et offrent aux femmes autochtones des moyens de reconqu�rir leurs valeurs et leurs r�les traditionnels dans leur travail quotidien. Ces principes incluent :
Sœurs d’esprit3 est une initiative quinquennale en trois volets — recherche, �ducation et politiques — con�ue pour faire mieux conna�tre et comprendre au public la violence raciste et sexualis�e faite aux femmes et aux filles autochtones, laquelle conduit souvent � leur disparition ou � leur mort. Dans le cadre de Sœurs d’esprit, CFC joue un r�le de financement, de surveillance, de liaison et de consultation, et s’attache particuli�rement � susciter et � soutenir des partenariats strat�giques avec les minist�res f�d�raux.
En 2007–2008, CFC a continu� � collaborer avec l’Association des femmes autochtones du Canada dans le cadre de l’initiative Sœurs d’esprit. Le financement fourni par CFC a soutenu les efforts d�ploy�s par l’Association de concert avec d’autres groupes autochtones et le gouvernement f�d�ral, dans le cadre d’activit�s visant � quantifier, puis � consigner dans la base de donn�es de l’Association, le nombre r�el de femmes disparues et assassin�es. Les autres activit�s soutenues par l’initiative Sœurs d’esprit comprennent des recherches visant � d�terminer l’�tendue et les causes profondes de la violence et des activit�s �ducatives afin de faire mieux conna�tre et comprendre au public le probl�me et d’�clairer l’orientation et l’�laboration des politiques.
Pour guider ses interventions futures en mati�re de politiques, l’Association a pr�par� un document intitul� Sœurs d’esprit : Cadre des priorit�s strat�giques de l’initiative. L’Association et CFC ont commenc� � planifier la tenue de r�unions avec des minist�res f�d�raux cl�s, en vue d’�laborer une strat�gie op�rationnelle connexe, laquelle indiquera les diff�rents objectifs et les activit�s correspondantes � mener pour obtenir les r�sultats d�sir�s.
En ce qui concerne la sensibilisation, il y a eu une augmentation du nombre de vigiles de Sœurs d’esprit, qui sont pass�es de 11, en 2006, � 30, en 2007, au Canada et dans deux centres internationaux. Ces activit�s ont attir� l’attention du public sur le probl�me de la violence faite aux femmes autochtones, en particulier sur la question des femmes autochtones disparues et assassin�es. On a aussi constat� une am�lioration de la couverture m�diatique, y compris de l’image que les m�dias v�hiculent des victimes.
En 2007–2008, troisi�me ann�e de l’initiative, la gestion de l’Association a �t� l’objet d’un rapport ind�pendant de v�rification. Selon ce rapport, qui portait sur les activit�s de Sœurs d’esprit men�es entre septembre et d�cembre 2006, l’initiative respecte les conditions stipul�es dans l’Accord de contribution. La question des langues officielles, consid�r�e lors de la v�rification comme un aspect � am�liorer, a �t� r�solue au cours de la p�riode sur laquelle portait la v�rification.
3 L’initiative est �galement connue sous l’appellation Sœurs par l’esprit.
Le Code criminel inclut trois nouvelles infractions li�es � la traite des personnes. Elles concernent la traite des personnes, l’avantage mat�riel tir� de la traite des personnes et la r�tention ou la destruction de pi�ces d’identit� ou de documents d’immigration. En juin 2007, le Canada a �galement accru la dur�e des permis temporaires de r�sidence pour les victimes de la traite, la portant � 180 jours.
Le rendement satisfait aux attentes
Dans le contexte des efforts f�d�raux, provinciaux et territoriaux, les ministres responsables de la condition f�minine � l’�chelle f�d�rale, provinciale et territoriale ont tenu leur 26e r�union annuelle le 11 juillet 2007. � cette r�union, les ministres ont convenu de promouvoir l’autonomie �conomique et la s�curit� des femmes et de s’efforcer d’am�liorer la situation des femmes des Premi�res nations, des Inuites et des M�tisses au Canada. Lors de cette r�union, les ministres ont �tudi� trois priorit�s d’action : la s�curit� �conomique des femmes, le soutien aux femmes autochtones qui occupent des postes de direction et le traitement des femmes autochtones au sein du syst�me judiciaire (http://www.cfc-swc.gc.ca/newsroom/news2007/0711_f.html).
Les ministres ont confirm� � l’unanimit� leur appui � la D�claration d’Iqaluit de 2007, qui �nonce ce qui suit : � En reconnaissance du besoin urgent d’am�liorer le sort des femmes et des jeunes filles autochtones au Canada, les ministres responsables de la Condition f�minine au sein des gouvernements f�d�ral, provinciaux et territoriaux s’unissent pour pr�senter une d�claration t�moignant de leur engagement � favoriser le bien-�tre social, �conomique et culturel des Inuites, des M�tisses et des femmes des Premi�res nations vivant dans les r�serves ou � l’ext�rieur de celles-ci �. Cet engagement est r�alis� gr�ce � des mesures pr�cises et cibl�es prises par ces gouvernements dans leurs domaines de comp�tence respectifs.
En 2007–2008, CFC a particip� � des forums internationaux afin d’aider � promouvoir l’�galit� pour les femmes au Canada et dans le monde :
La seconde activit� de programme (Accro�tre les connaissances et la capacit� des organisations quant � l’�galit� entre les sexes) est con�ue pour renforcer la capacit� par l’information, la formation et des outils, ainsi que par de l’aide financi�re et professionnelle aux projets, afin de faciliter le r�le des organismes canadiens dans le soutien des efforts en mati�re d’�galit� entre les sexes. Dans le cadre de cette activit� de programme, CFC vise un r�sultat qui a un effet d’� autonomisation �, c’est � dire qui fait en sorte que les organismes et la population du Canada aient la capacit� de s’engager � promouvoir la pleine participation des femmes � la vie �conomique, sociale, culturelle et politique du pays et que, de fait, ils le fassent.
Le rendement satisfait aux attentes
Au cours de la p�riode vis�e par le rapport, CFC a apport� son aide � diff�rents minist�res et organismes afin de les aider � accro�tre leur capacit� en mati�re d’ACS. Il est pr�vu que, au fil du temps, cette aide conduira � une mise en œuvre plus �tendue de l’ACS au sein des institutions f�d�rales, ce qui am�liorera les r�sultats produits par les politiques et les programmes du point de vue de l’�galit�. Ce qui suit donne un aper�u du travail de CFC aupr�s de diff�rents minist�res f�d�raux :
Dans le but de surveiller les progr�s, de cerner les lacunes et de suivre la situation des femmes et des hommes, CFC travaille de concert avec diff�rents minist�res f�d�raux dans le cadre d’un projet des indicateurs de l’�galit�. En 2007–2008, on a entrepris l’�laboration d’un cadre, qui devrait �tre achev� au cours du prochain exercice. Ce cadre porte surtout sur la s�curit� �conomique et la s�curit� personnelle des femmes, notamment le probl�me de la violence.
Le rendement satisfait aux attentes
En rationalisant la mise en œuvre du PPF, CFC a pu obtenir des r�sultats concrets, y compris une port�e �tendue, des r�percussions plus directes sur les femmes et une augmentation du nombre et de la diversit� des partenariats cr��s.
CFC a r�ussi � �largir la port�e du PPF pour ce qui est du nombre de b�n�ficiaires du financement, � accro�tre la diversit� des organismes qui font la promotion de l’�galit� entre les sexes et � �tablir des partenariats strat�giques.
La strat�gie de mesure du rendement qui accompagnait les anciennes modalit�s du PPF ne permettait pas la collecte et l’analyse de donn�es sur les r�sultats de nature � permettre une �valuation de l’incidence directe sur les femmes. Gr�ce � la nouvelle approche en vigueur, le PPF peut d�sormais montrer comment les projets financ�s ont une incidence directe sur les femmes et contribuent � leur pleine participation � la vie �conomique, sociale, culturelle et politique du Canada. Ainsi, les 181 nouveaux projets qui ont �t� financ�s au cours de l’exercice vis� par le pr�sent rapport devraient toucher plus de 100 000 femmes directement et plus d’un million de femmes indirectement.
En 2007–2008, CFC a amen� un certain nombre d’organismes canadiens des secteurs public, priv� et b�n�vole � s’impliquer pour l’avancement de la pleine participation des femmes � la vie �conomique, sociale, culturelle et politique du Canada. En outre, comme l’une des exigences du Fonds de partenariat est l’apport de fonds de contrepartie, CFC a pu mobiliser des ressources d’autres partenaires.
Dans le Budget de 2007, le gouvernement a annonc� l’attribution d’un financement additionnel de 10 millions de dollars � CFC. Par la suite, les modalit�s du PPF ont �t� modifi�es par l’introduction de deux composantes de financement :
En 2007–2008, CFC a offert un soutien financier ou autre � 292 projets. Ces projets se trouvaient � diff�rents stades de mise en œuvre : 75 �taient termin�s, 36 en cours et 181 nouveaux. En tout, c’est 14 249 916 $ qui ont �t� distribu�s. De ce montant, 13 450 000 $ provenaient du Fonds communautaire pour les femmes et 799 916 $ du Fonds de partenariat pour les femmes. En 2007–2008, CFC a engag� un total de 33 941 688 $, �tal�s sur trois ans, pour financer 181 nouveaux projets. Quant � la provenance de ce financement, 79 p. 100 provenait du Fonds communautaire pour les femmes et 21 p. 100, du Fonds de partenariat pour les femmes.
Projets termin�s (75) : Parmi les 292 projets qui ont b�n�fici� du soutien de CFC au cours de l’exercice, 75 ont �t� termin�s avec succ�s en 2007–2008. Aux fins du pr�sent rapport, les projets termin�s sont d�finis comme �tant des projets � l’�gard desquels des rapports finaux ont �t� soumis par les b�n�ficiaires du financement et dont les donn�es sur le rendement ont �t� analys�es pour d�terminer dans quelle mesure ils ont produit les r�sultats escompt�s et ont contribu� aux r�sultats pr�vus de CFC. Trois projets demeuraient inachev�s � la fin de l’exercice, c’est-�-dire qu’aucun rapport final n’avait �t� soumis � leur �gard dans le d�lai pr�vu. Le taux d’ach�vement des projets est donc de 96 p. 100.
Parmi les 75 projets termin�s avec succ�s au cours de l’exercice, 88 p. 100 ont obtenu ou d�pass� les r�sultats escompt�s. Les 12 p. 100 restants ont obtenu une partie des r�sultats escompt�s. La majorit� des projets termin�s (66) ont �t� approuv�s selon les modalit�s ant�rieures, tandis que neuf projets ont �t� financ�s en vertu des nouvelles exigences de financement du PPF. Il est donc important de noter que les r�sultats des projets pour 2007–2008 varient selon les modalit�s applicables.
Les projets termin�s qui ont �t� approuv�s selon les modalit�s ant�rieures ont contribu�, par diff�rents r�sultats,4 aux connaissances et engagements en mati�re d’�galit� entre les sexes. Cette contribution a pris diverses formes :
Les projets financ�s selon les nouvelles modalit�s ont tous produit les r�sultats escompt�s, c’est-�-dire : ils ont eu une incidence directe sur les femmes en contribuant � am�liorer leur situation �conomique, sociale et culturelle. Ceci repr�sente un taux de r�ussite de 100 p. 100 pour les projets financ�s depuis le renouvellement du PPF.
4 Dans la plupart des cas, les projets ont donn� plus d’un r�sultat.
Les projets termin�s en 2007–2008 portaient sur les enjeux suivants : la situation �conomique des femmes (37 p. 100), l’�limination de la violence � l’endroit des femmes (24 p. 100) et d’autres enjeux (40 p. 100). En outre, ils ont cibl� diff�rentes populations : les femmes en g�n�ral (57 p. 100), les immigrantes et les femmes membres d’une minorit� visible (28 p. 100), les femmes autochtones (12 p. 100) et les a�n�es (19 p. 100).
5 La plupart des projets ont donn� plus d’un r�sultat.
Exemples de projets termin�s :
Projets en cours (36) : En 2007–2008, 36 projets �taient encore en cours, dont 22 approuv�s selon les anciennes modalit�s et 14, selon les nouvelles. Ces projets, tous approuv�s au cours d’exercices financiers ant�rieurs, ont �t� �valu�s afin d’en contr�ler la progression et de d�terminer dans quelle mesure ils r�ussiront � donner les r�sultats escompt�s.
L’analyse montre que plus de 4 000 femmes b�n�ficieront des 14 projets approuv�s en vertu des nouvelles modalit�s. Les 22 projets approuv�s en vertu des anciennes modalit�s du PPF contribueront aux Connaissances et engagements en mati�re d’�galit� entre les sexes, un des r�sultats6 pr�vus de CFC, c’est-�-dire :
6 Dans la plupart des cas, les projets ont donn� plus d’un r�sultat.
7 Plus de 4 000 femmes b�n�ficieront de ces projets.
Nouveaux projets (181) : En 2007–2008, un total de 181 nouveaux projets ont �t� financ�s en vertu des nouvelles modalit�s du PPF. Parmi ces projets, 167 ont �t� soutenus par l’interm�diaire du Fonds communautaire et 14 par l’interm�diaire du Fonds de partenariat. La mesure dans laquelle ces projets ont donn� les r�sultats escompt�s ne sera d�termin�e qu’� leur ach�vement, � la suite d’une analyse des donn�es sur leur rendement.
Puisque les projets financ�s ont une incidence directe sur les femmes, il est maintenant possible de montrer comment celles-ci b�n�ficient des investissements effectu�s et des r�sultats obtenus par CFC, � savoir :
Les nouveaux projets ont cibl� diff�rentes populations9:
Les nouveaux projets ont port� sur diff�rents enjeux :
8 On pr�voit qu’un grand nombre des projets donneront plus d’un r�sultat.
9 Dans la plupart des cas, les projets ont cibl� des enjeux et populations multiples.
Exemples de nouveaux projets financ�s par le PPF :
WP Funding:
Financement interminist�riel :
Le PPF re�oit du financement par l’interm�diaire de deux programmes de financement interminist�riels : le Partenariat interminist�riel avec les communaut�s de langues officielles, pour soutenir des projets qui portent sur des enjeux touchant les femmes des communaut�s de langues officielles en situation minoritaire, et l’Initiative de lutte contre la violence familiale, pour lutter contre la violence envers les femmes (voir les exemples de projets ci- dessous).
En 2007–2008, on a pris des mesures pour rationaliser le PPF, c’est-�-dire qu’on a adopt� un mod�le de prestation plus structur�, uniformis� la proc�dure de demande et d’�valuation des projets soumis et effectu� des investissements strat�giques ax�s sur des domaines cl�s. Ces changements ont �t� importants pour respecter, entre autres, les exigences en mati�re de diligence raisonnable et de responsabilisation. En outre, CFC a pris des mesures pour respecter les engagements pris par sa direction dans sa r�ponse � l’�valuation sommative du PPF, en 2005, ainsi que dans son cadre int�gr� de gestion et de responsabilisation ax� sur les r�sultats et son cadre de v�rification ax� sur les risques, approuv�s en 2006.
Le PPF a fait appel � un savoir-faire externe pour revoir ses outils de prestation, y compris les lignes directrices en mati�re de financement, les documents d’appel de propositions, le guide et le formulaire de demande, les rapports et d’autres mod�les. En cons�quence, les outils du Fonds communautaire ont �t� rationalis�s, ce qui a simplifi� le processus de demande pour les organismes. On a aussi am�lior� ces outils afin de faciliter la collecte, l’analyse et la pr�sentation des donn�es et d’accro�tre la responsabilisation globale. Ce faisant, CFC a r�solu certains des probl�mes cern�s par l’�valuation sommative, notamment en ce qui a trait � l’efficacit� de la prestation du programme et de la mesure du rendement.
Le PPF a aussi pris des mesures pour renforcer les capacit�s de son personnel en donnant de la formation sur un certain nombre de ses aspects. Une formation initiale a �t� donn�e aux agentes sur la r�daction des accords de contribution et la mesure du rendement. Une r�union nationale du PPF, tenue � Moncton (Nouveau-Brunswick), en 2007–2008, a fourni une occasion d’approfondir la formation et de discuter des questions touchant la prestation du programme, la mesure du rendement et d’autres sujets. Un plan de formation et de renforcement des capacit�s du personnel sera mis en œuvre � partir de 2008–2009.
Comme l’indiquait son Rapport sur les plans et les priorit�s 2007–2008, CFC est d�termin� � se doter d’une base de donn�es pour la collecte et l’analyse des donn�es et pour la production de rapports sur son rendement. L’organisme examine actuellement diverses possibilit�s, car il souhaite choisir un syst�me qui r�ponde � ses besoins particuliers tout en �tant �conomique.
Le tableau ci-dessous montre les activit�s de programme de CFC et leur harmonisation avec deux des r�sultats du gouvernement du Canada :
Ce tableau compare, pour CFC, les donn�es du Budget principal des d�penses, les d�penses pr�vues, les autorisations totales et les d�penses r�elles de l’exercice 2007–2008, de m�me que les d�penses r�elles engag�es au cours des exercices 2005–2006 et 2006–2007, selon l’AAP. Les ressources indiqu�es ci-dessous peuvent recouper plusieurs activit�s de programme.
a Comparativement aux d�penses pr�vues, les autorisations totales comprennent une augmentation de 0,6 million de dollars provenant du report admissible du budget de fonctionnement de 2006–2007, des ajustements de 0,4 millions de dollars relatifs aux conventions collectives et � la liste de paie et un financement additionnel pour le fonctionnement et les subventions et contributions, soit une augmentation totale nette de 9,2 millions de dollars.
b La somme de 1,2 million de dollars pour les services re�us sans frais en 2007–2008 comprend les locaux fournis par Travaux publics et Services gouvernementaux Canada (0,7 million de dollars), les traitements et salaires et les d�penses connexes pour les services juridiques fournis par le minist�re de la Justice (0,1 million de dollars) et la part correspondant � la cotisation de CFC aux r�gimes d’assurances du personnel et aux d�penses pay�es par le Secr�tariat du Conseil du Tr�sor (0,4 million de dollars).
Le tableau ci-dessous montre les cr�dits parlementaires qui d�terminent les ressources accord�es � CFC.
[]
Pour obtenir d’autres renseignements sur les Frais d’utilisation du minist�re, veuillez visiter le site Web suivant : http://www.tbs-sct.gc.ca/dpr-rmr/st-ts-fra.asp.
Selon la Politique sur les normes de service pour les frais d’utilisation, les minist�res doivent faire rapport sur l’�tablissement de normes de service pour tous les frais d’utilisation exig�s qui ne se rattachent pas � des contrats. Cette politique s’applique aux frais exig�s pour le traitement des demandes pr�sent�es en vertu de la Loi sur l’acc�s � l’information.
Pour obtenir d’autres renseignements sur les Normes de service pour les frais d’utilisation du minist�re, veuillez visiter le site Web suivant : http://www.tbs-sct.gc.ca/dpr-rmr/st-ts-fra.asp.
Des renseignements suppl�mentaires sur ces projets se trouvent � l’adresse suivante : http://www.tbs-sct.gc.ca/ dpr-rmr/2007-2008/index-fra.asp.
Pour obtenir d’autres renseignements sur la R�ponse aux comit�s parlementaires et aux v�rifications internes, veuillez visiter le site Web suivant : http://www.tbs-sct.gc.ca/dpr-rmr/st-ts-fra.asp.
Pour obtenir d’autres renseignements sur les Politiques concernant les voyages du minist�re, veuillez visiter le site Web suivant : http://www.tbs-sct.gc.ca/dpr-rmr/st-ts-fra.asp.
La responsabilit� de l’int�grit� et de l’objectivit� des �tats financiers ci-joints pour l’exercice termin� le 31 mars 2008 et toute l’information figurant dans ces �tats incombe � la direction de Condition f�minine Canada. Ces �tats financiers ont �t� pr�par�s par la direction conform�ment aux conventions comptables du Conseil du Tr�sor, qui sont conformes aux principes comptables g�n�ralement reconnus du Canada pour le secteur public.
La direction est responsable de l’int�grit� et de l’objectivit� de l’information pr�sent�e dans les �tats financiers. Certaines informations pr�sent�es dans les �tats financiers sont fond�es sur les meilleures estimations et le jugement de la direction et tiennent compte de l’importance relative. Pour s’acquitter de ses obligations au chapitre de la comptabilit� et de la pr�sentation des rapports, la direction tient des comptes qui permettent l’enregistrement centralis� des op�rations financi�res de Condition f�minine Canada. L’information financi�re soumise pour la pr�paration des Comptes publics du Canada et incluse dans le Rapport minist�riel sur le rendement du minist�re concorde avec les �tats financiers ci-joints.
La direction poss�de un syst�me de gestion financi�re et de contr�le interne con�u pour fournir une assurance raisonnable que l’information financi�re est fiable, que les actifs sont prot�g�s et que les op�rations sont conformes � la Loi sur la gestion des finances publiques, qu’elles sont ex�cut�es en conformit� avec les r�glements, qu’elles respectent les autorisations du Parlement et qu’elles sont comptabilis�es de mani�re � rendre compte de l’utilisation des fonds du gouvernement. La direction veille �galement � l’objectivit� et � l’int�grit� des donn�es de ses �tats financiers par la s�lection appropri�e, la formation et le perfectionnement d’employ�es et d’employ�s qualifi�s, par une organisation assurant une s�paration appropri�e des responsabilit�s et par des programmes de communication visant � assurer la compr�hension des r�glements, des politiques, des normes et des responsabilit�s de gestion dans tout le minist�re.
Les �tats financiers de Condition f�minine Canada n’ont pas fait l’objet d’une v�rification.
Clare Beckton
Coordonnatrice, Condition f�minine Canada
Johanne Tremblay
Agente finance�re sup�rieure
Date: 16 juillet 2008
Les notes compl�mentaires font partie int�grante des �tats financiers.
Les notes compl�mentaires font partie int�grante des �tats financiers.
Les notes compl�mentaires font partie int�grante des �tats financiers.
Les notes compl�mentaires font partie int�grante des �tats financiers.
En 1976 le gouvernement du Canada a cr�� et charg� Condition f�minine Canada (CFC) du vaste mandat de � coordonner les politiques relatives � la situation de la femme et de g�rer les programmes qui s’y rapportent �. Le mandat de CFC est renforc� par la Charte canadienne des droits et libert�s, l’adh�sion du Canada � la Convention sur l’�limination de toutes les formes de discrimination � l’�gard des femmes et son engagement r�it�r� de mettre en œuvre le Programme d’action de Beijing (Organisation des Nations Unies, 1995 et 2005). Pour que le gouvernement du Canada parvienne � b�tir, comme il s’y est engag�, une soci�t� englobant et respectant l’ensemble des Canadiennes et des Canadiens, CFC s’efforce de promouvoir des politiques gouvernementales �quitables et d’accro�tre les connaissances et la capacit� des organisations quant � l’�galit� entre les sexes. CFC fait la promotion de l’�galit� et de la pleine participation des femmes et des filles au Canada.
R�sultat strat�gique : �galit� entre les sexes et pleine participation des femmes � la vie �conomique, sociale, culturelle et politique du Canada. CFC est fermement engag� � consulter et � agir en partenariat avec les organismes non gouvernementaux, les gouvernements provinciaux et territoriaux, le secteur priv�, les gouvernements �trangers et les organismes internationaux.
Activit�s de programme :
Les �tats financiers ont �t� pr�par�s conform�ment aux conventions comptables du Conseil du Tr�sor, qui sont conformes aux principes comptables g�n�ralement reconnus du Canada pour le secteur public.
Les principales conventions comptables sont les suivantes :
(a) Cr�dits parlementaires Le minist�re est financ� par le gouvernement du Canada au moyen de cr�dits parlementaires. Les cr�dits consentis au minist�re ne correspondent pas � la pr�sentation des rapports financiers en conformit� avec les principes comptables g�n�ralement reconnus �tant donn� que les cr�dits sont fond�s, dans une large mesure, sur les besoins de tr�sorerie. Par cons�quent, les postes comptabilis�s dans l’�tat des r�sultats et dans l’�tat de la situation financi�re ne sont pas n�cessairement les m�mes que ceux qui sont pr�vus par les cr�dits parlementaires. La note 3 pr�sente un rapprochement g�n�ral entre les deux m�thodes de rapports financiers.
(b) Encaisse nette fournie par le gouvernement Le minist�re fonctionne au moyen du Tr�sor, qui est administr� par le receveur g�n�ral du Canada. La totalit� de l’encaisse re�ue par le minist�re est d�pos�e au Tr�sor, et tous les d�caissements faits par le minist�re sont pr�lev�s sur le Tr�sor. L’encaisse nette fournie par le gouvernement est la diff�rence entre toutes les rentr�es de fonds et toutes les sorties de fonds, y compris les op�rations entre les minist�res au sein du gouvernement f�d�ral.
(c) Variation de la situation nette du Tr�sor La variation de la situation nette du Tr�sor correspond � la diff�rence entre l’encaisse nette fournie par le gouvernement et les cr�dits utilis�s au cours d’un exercice, � l’exclusion du montant des revenus non disponibles comptabilis�s par le minist�re. Il d�coule d’�carts temporaires entre le moment o� une op�ration touche un cr�dit et le moment o� elle est trait�e par le Tr�sor.
(d) Revenus Les revenus sont comptabilis�s dans l’exercice o� les op�rations ou les faits sous-jacents surviennent.
(e) D�penses Les d�penses sont comptabilis�es selon la m�thode de comptabilit� d’exercice.
(f) Avantages sociaux futurs i Prestations de retraite : Les employ�es et employ�s admissibles participent au R�gime de retraite de la fonction publique, un r�gime multi-employeurs administr� par le gouvernement du Canada. Les cotisations du minist�re au r�gime sont pass�es en charges dans l’exercice au cours duquel elles sont engag�es et elles repr�sentent l’obligation totale d�coulant du r�gime. En vertu des dispositions l�gislatives en vigueur, le minist�re n’est pas tenu de verser des cotisations au titre de l’insuffisance actuarielle du r�gime.
ii Indemnit�s de d�part : Les employ�es et employ�s ont droit � des indemnit�s de d�part, pr�vues dans leurs conventions collectives ou les conditions d’emploi. Le co�t de ces indemnit�s s’accumule � mesure que les employ�es et employ�s effectuent les services n�cessaires pour les gagner. Le co�t des avantages sociaux gagn�s par les employ�es et employ�s est calcul� � l’aide de l’information provenant des r�sultats du passif d�termin� sur une base actuarielle pour les prestations de d�part pour l’ensemble du gouvernement.
(g) Les d�biteurs Les d�biteurs sont comptabilis�s en fonction des montants que l’on pr�voit r�aliser. Des provisions sont �tablies pour les d�biteurs dont le recouvrement est incertain.
(h) Immobilisations corporelles Toutes les immobilisations corporelles et les am�liorations locatives dont le co�t initial est d’au moins 2 500 $ sont comptabilis�es � leur co�t d’achat. Le minist�re n’inscrit pas � l’actif les biens incorporels, les œuvres d’art et les tr�sors historiques ayant une valeur culturelle, esth�tique ou historique, les biens situ�s dans les r�serves indiennes et les collections dans les mus�es.
Les immobilisations corporelles sont amorties selon la m�thode lin�aire sur la dur�e de vie utile estimative de l’immobilisation, comme suit :
(i) Incertitude relative � la mesure La pr�paration de ces �tats financiers conform�ment aux conventions comptables du Conseil du Tr�sor du Canada, qui sont conformes aux principes comptables g�n�ralement reconnus du Canada pour le secteur public, exige de la direction qu’elle fasse des estimations et pose des hypoth�ses qui influent sur les montants d�clar�s des actifs, des passifs, des revenus et des charges pr�sent�s dans les �tats financiers. Au moment de la pr�paration des pr�sents �tats financiers, la direction consid�re que les estimations et les hypoth�ses sont raisonnables. Les principaux �l�ments pour lesquels des estimations sont faites sont le passif pour les indemnit�s de d�part et la dur�e de vie utile des immobilisations corporelles. Les r�sultats r�els pourraient diff�rer des estimations de mani�re significative. Les estimations de la direction sont examin�es p�riodiquement et, � mesure que les rajustements deviennent n�cessaires, ils sont constat�s dans les �tats financiers de l’exercice o� ils sont connus.
Le minist�re re�oit la plus grande partie de son financement au moyen de cr�dits parlementaires annuels. Les �l�ments comptabilis�s dans l’�tat des r�sultats et l’�tat de la situation financi�re d’un exercice peuvent �tre financ�s au moyen de cr�dits parlementaires qui ont �t� autoris�s dans des exercices pr�c�dents, pendant l’exercice en cours ou qui le seront dans des exercices futurs. En cons�quence, les r�sultats de fonctionnement nets du minist�re diff�rent selon qu’ils sont pr�sent�s selon le financement octroy� par le gouvernement ou selon la m�thode de la comptabilit� d’exercice. Les diff�rences sont rapproch�es dans les tableaux suivants :
(a) Rapprochement du co�t de fonctionnement net et des cr�dits parlementaires de l’exercice en cours :
(b) Cr�dits fournis et utilis�s :
(c) Rapprochement de l’encaisse nette fournie par le gouvernement et des cr�dits de l’exercice en cours utilis�s :
Le tableau suivant donne le d�tail des d�biteurs et des avances :
a CFC a l’approbation et l’autorit� juridique de faire des paiements de contributions et de subventions. Comme l’autorisation de d�penser s’appliquait aux contributions lors du paiement de 0,7 million de dollars, un ajustement comptable est requis. � cet effet, une allocation pour cr�ance douteuse de valeur �quivalente a �t� cr��e.
(a) Prestations de retraite : Les employ�es et employ�s du minist�re participent au R�gime de retraite de la fonction publique, qui est parrain� et administr� par le gouvernement du Canada. Les prestations de retraite s’accumulent sur une p�riode maximale de 35 ans au taux de 2 p. 100 par ann�e de services validables multipli� par la moyenne des gains des cinq meilleures ann�es cons�cutives. Les prestations sont int�gr�es aux prestations du R�gime de pensions du Canada et du R�gime de rentes du Qu�bec et sont index�es � l’inflation.
Tant les employ�s que le minist�re versent des cotisations couvrant le co�t du r�gime. En 2007–2008 les charges s’�l�vent � 689 143 $ (971 604 $ en 2006–2007), soit environ 2.1 fois (2.2 en 2006–2007) les cotisations des employ�s.
La responsabilit� du minist�re relative au r�gime de retraite se limite aux cotisations vers�es. Les exc�dents ou les d�ficits actuariels sont constat�s dans les �tats financiers du gouvernement du Canada, en sa qualit� de r�pondant du r�gime.
(b) Indemnit�s de d�part : Le minist�re verse des indemnit�s de d�part aux employ�es et employ�s en fonction de l’admissibilit�, des ann�es de service et du salaire final. Ces indemnit�s ne sont pas capitalis�es d’avance. Les prestations seront pr�lev�es sur les cr�dits futurs. Voici quelles �taient les indemnit�s de d�part au 31 mars :
En vertu du principe de propri�t� commune, le minist�re est apparent� � tous les minist�res, organismes et soci�t�s d’�tat du gouvernement du Canada. Le minist�re conclut des op�rations avec ces entit�s dans le cours normal des ses activit�s et selon des modalit�s commerciales normales. De plus, au cours de l’exercice, le minist�re re�oit gratuitement des services d’autres minist�res, comme il est indiqu� � la partie (a).
(a) Services fournis gratuitement par d’autres minist�res : Au cours de l’exercice, le minist�re re�oit gratuitement des services d’autres minist�res (installations, frais juridiques et cotisations de l’employeur au r�gime de soins de sant� et au r�gime de soins dentaires). Ces services gratuits ont �t� constat�s comme suit dans l’�tat des r�sultats du minist�re :
Le gouvernement a structur� certaines de ses activit�s administratives de mani�re � optimiser l’efficience et l’efficacit� de sorte qu’un seul minist�re m�ne sans frais certaines activit�s au nom de tous. Le co�t de ces services, qui comprennent les services de paye et d’�mission des ch�ques offerts par Travaux publics et Services gouvernementaux Canada et les services de v�rification offerts par le Bureau du v�rificateur g�n�ral, ne sont pas inclus � titre de charge dans l’�tat des r�sultats du minist�re.
(b) Soldes des cr�diteurs � la fin de l’exercice entre apparent�s :
En 2007–2008, la gestion des changements a �t� une priorit� cl� � CFC. Afin de g�rer les changements strat�giques et op�rationnels de fa�on efficace, l’organisme a pris des mesures pour rationaliser les processus existants, cr�er de nouveaux syst�mes, renforcer les capacit�s du personnel et acqu�rir le savoir-faire n�cessaire au moyen de mesures de dotation et de la formation. Pour l’exercice 2007–2008, les ressources affect�es aux �l�ments int�gr�s des deux activit�s de programme �taient r�parties comme suit, selon les estimations :
Outre la cr�ation de deux composantes de financement, CFC a instaur� une nouvelle proc�dure d’appel de propositions pour l’administration de son programme de financement. Ces changements ont n�cessit�, entre autres, l’�laboration et l’am�lioration d’outils, une strat�gie de diffusion plus proactive, un processus d’examen am�lior� et normalis� et une utilisation accrue de la technologie de l’information. Le processus rationalis� et les outils am�lior�s ont permis d’�tendre la port�e du PPF et d’accro�tre l’efficacit� de son administration.
Par son nouveau Fonds de partenariat pour les femmes, CFC effectue des investissements strat�giques dans les enjeux f�minins. Ce fonds rev�t une importance vitale, car :
CFC a adopt� des mesures de r�am�nagement des effectifs pour r�gler diff�rents probl�mes de ressources humaines. Il a recrut� de nouveaux �l�ments et a form� le personnel en poste pour assurer la continuit� des op�rations et satisfaire aux nouvelles normes de service instaur�es pendant la transition. Conform�ment � sa structure de gouvernance, CFC a aussi proc�d� � la dotation de postes cl�s au niveau de la direction et ailleurs dans l’organisation. Les effets des mesures de r�am�nagement des effectifs instaur�es en 2006–2007 et en 2007–2008 continuent de se faire sentir en 2008–2009.
Conform�ment � l’une de ses priorit�s internes, CFC a modernis� l’infrastructure de ses technologies de l’information, comme le pr�voyait son projet de modernisation de l’architecture de r�seau. Il a aussi entrepris la phase deux du projet, qui consiste � installer des serveurs VMW pour virtualiser l’infrastructure. Ceci assurera la continuit� des op�rations et r�duira les d�penses d’entretien.
Les changements apport�s en 2006–2007 et la p�riode de transition subs�quente de 2007–2008 ont suscit� un int�r�t consid�rable de la part du public et des m�dias. L’incidence de cet int�r�t a �t� une pression accrue sur les services de communication de CFC, sous la forme d’une augmentation des demandes d’acc�s � l’information et d’une multiplication des interactions avec le public.
En 2007–2008, CFC a maintenu un contact r�gulier et continu avec le public, ses partenaires, ainsi qu’avec des intervenantes et intervenants cl�s, afin de fournir des renseignements exacts et � jour au sujet de ses activit�s. Cette communication a servi non seulement � informer le public, les m�dias, les parlementaires et d’autres intervenantes et intervenants, mais aussi � r�pondre aux demandes de renseignements concernant la situation de l’organisme et les changements l’ayant touch�.
Le�ons tir�es : En 2007–2008, CFC a modifi� tant son orientation strat�gique que ses activit�s op�rationnelles. Des le�ons pr�cieuses ont �t� tir�es de la transformation, en particulier des changements li�s � l’ex�cution du mandat; en effet, CFC a adopt� � cet �gard une approche plus strat�gique et plus cibl�e, qui produit des effets plus directs sur les femmes. Par exemple :
Comme nous l’avons indiqu� dans les sections pr�c�dentes, l’exercice vis� par le pr�sent rapport a fourni � CFC des occasions d’am�liorer son rendement et d’obtenir des r�sultats concrets. Il a aussi �t� une p�riode de d�fis, lesquels ont exig� des mesures strat�giques. CFC pense maintenant � l’apr�s-transition et cherche � saisir les possibilit�s qui ont �t� cr��es par le renouvellement de son orientation. Aussi entend-il poursuivre ses efforts afin d’atteindre un niveau plus �lev� d’excellence, mettant � profit les r�ussites et les le�ons de 2007–2008.
Des initiatives stimulantes se profilent � l’horizon, et c’est avec beaucoup d’enthousiasme que CFC aborde l’exercice 2008–2009 et la suite. Voici quelques-unes de ces initiatives :
On trouvera d’autres rapports et documents d’int�r�t public sur le site Web de CFC, � l’adresse suivante : http://www.cfc-swc.gc.ca.
Pour toute question concernant l’information financi�re pr�sent�e dans le pr�sent rapport, pri�re de vous adresser � :
Cindy Paquette
Services int�gr�s
T�l�phone : 613-947-1453
T�l�copieur : 613-947-6113
Courriel : Cindy.Paquette@swc-cfc.gc.ca
Pour toute autre question :
Ainalem Tebeje
Communications et planification strat�gique
T�l�phone : 613-995-1811
T�l�copieur : 613-943-2386
Courriel : Ainalem.Tebeje@swc-cfc.gc.ca
Merci de bien vouloir prendre quelques instants pour nous faire part de votre opinion sur notre Rapport minist�riel sur le rendement (RMR). Vos commentaires et suggestions nous serviront � am�liorer nos futurs rapports sur le rendement, de m�me que les rapports portant sur nos plans et priorit�s.