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Appendices du Volume Un |
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A |
Note relative au mandat |
B | Politique sur la r�mun�ration |
Extraits pertinents sur la r�mun�ration dans la fonction publique et la comparabilit�, tir�s de la section sur la Gestion du personnel du Rapport de la Commission royale d'enqu�te sur l'organisation du gouvernement, chapitres 7 et 8 du Rapport de la Commission Glassco | |
D | Organisations par domaine, 2003 |
E | Lexique des noms et des symboles de l'ancienne structure et de la structure actuelle des groupes professionnels pour le domaine du noyau de la fonction publique |
F | Liste des avantages financiers autres que les augmentations �conomiques n�goci�s entre 1997 et 2003 |
G | Analyse de la r�partition des employ�s selon leur niveau de classification dans certains groupes de classification, 1991-2003 |
H | R�sum� des plaintes relatives � la parit� salariale r�gl�es qui se rapportent au domaine du noyau de la fonction publique jusqu'en 2003 |
I | Co�ts estim�s des r�glements de parit� salariale, 1980 � 2003 |
J | Donn�es � l'appui des chiffres illustrant les tendances d'indicateurs �conomiques cl�s |
K | R�partition des employ�s par sexe dans la fonction publique f�d�rale, certaines ann�es choisies, 1981 � 2005 |
Appendices du Volume Deux |
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L | Sommaire de l'�volution de l'effectif depuis 1991 dans divers groupes de classification comptant au moins 2 000 membres en mars 2003 |
M | Aper�u des reclassifications des groupes Commis aux �critures et r�glements (CR) et �conomie (ES), 2002 2003 |
N | Sommaire de l'utilisation des cong�s dans le domaine du noyau de la fonction publique de 1991-1992 � 2002-2003 et graphique illustrant les changements dans les droits relatifs aux cong�s annuels du groupe Commis aux �critures et r�glements (CR) |
O | D�tails de l'utilisation des cong�s de maladie et des cong�s pour raisons familiales dans les dix groupes de classification ayant l'utilisation la plus �lev�e et les trois groupes de classification ayant l'utilisation la moins �lev�e, 1990-1991 � 2002-2003 |
P | Historique des cotisations de l'employeur et de l'employ� au R�gime de pension de la fonction publique, 1924-1925 � 2002-2003 |
Q | Historique des cotisations de l'employeur et de l'employ� au R�gime de pension des Forces Canadiennes, 1946-1947 � 2002-2003 |
R | Historique des cotisations de l'employeur et de l'employ� au R�gime de pension de la Gendarmerie royale du Canada, 1949-1950 � 2002-2003 |
Le mandat de l'examen portant sur la politique de r�mun�ration du secteur public f�d�ral et sa comparabilit� est �nonc� dans le document du Secr�tariat du Conseil du Tr�sor intitul� Le Comit� d'examen des d�penses : le catalyseur de la modernisation des pratiques de gestion, qui date du 24 mars 2004. L'objectif de l'examen consiste � :
�value[r] la r�mun�ration au sein du gouvernement, ainsi que les tendances et les options pour g�rer ces co�ts � l'avenir. Des comparaisons seront effectu�es avec d'autres ordres de gouvernement, le secteur public d'autres pays, ainsi que des organisations canadiennes du secteur priv� de taille comparable.
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Les d�penses engag�es par l'administration f�d�rale au titre de la r�mun�ration d�passent nettement les 25 milliards de dollars par ann�e. La structure et les niveaux de r�mun�ration actuels sont le fruit d'une succession de conventions collectives et de d�cisions strat�giques �tal�es sur de nombreuses ann�es. Bien qu'on ait �labor� r�cemment une �bauche de cadre strat�gique en mati�re de r�mun�ration, cette question n'a fait l'objet d'aucun examen en profondeur depuis des dizaines d'ann�es. Il a donc �t� jug� � propos de consacrer l'un des examens horizontaux des d�penses de gestion � la r�mun�ration.
L'examen englobe les six � domaines � de la r�mun�ration dans le secteur public f�d�ral, c'est‑�‑dire :
L'examen portera principalement sur les quatre premiers domaines, et plus particuli�rement sur le noyau de la fonction publique et les employeurs distincts.
Les composantes de la r�mun�ration totale qui sont prises en compte sont notamment : les traitements et salaires; les heures suppl�mentaires et les indemnit�s; les indemnit�s de recrutement et de maintien en poste (dites provisoires); les assurances et les autres avantages sociaux; les prestations de pension; la parit� salariale; et diff�rentes formes de cong�s.
Voici certains des points qui seront abord�s :
1. Politique sur la r�mun�ration de l'Agence des douanes et du revenu du Canada (ADRC), mars 2001
1. Message du secr�taire
2. Raison d'�tre d'un cadre de politique sur la r�mun�ration
3. Qu'entend-on par r�mun�ration?
4. Objectifs et �valuation des r�sultats
5. Les principes d'un syst�me de r�mun�ration efficace
6. Le milieu d'�laboration de la politique : recoupement de la politique de l'employeur et de la politique gouvernementale g�n�rale
7. Approche adopt�e dans le contexte du cadre de politique sur la r�mun�ration dans la fonction publique : cr�ation d'un �quilibre dans l'int�r�t public
8. Approche de la gestion du cadre de politique
9. Prochaines �tapes : d�but des consultations
Annexe A - Description des indicateurs de rendement
Figure 1 : �quilibre � atteindre pour respecter l'int�r�t public : un sexemple
Nous sommes heureux d'annoncer que le Conseil de gestion a approuv� la Politique sur la r�mun�ration qui suit � l'intention des employ�s de l'Agence des douanes et du revenu du Canada. Nous sommes fiers de cette politique parce qu'elle est unique en son genre et repr�sente une premi�re � la fonction publique du Canada. La politique fait montre de notre leadership dans le secteur public puisqu'elle nous engage � verser � nos employ�s une r�mun�ration qui est conforme � celle vers�e sur le march� de l'emploi.
Les principes de la Politique de r�mun�ration orientent notre approche en mati�re de n�gociations collectives. � titre d'exemple, ils ont influ� sur la d�cision du Conseil de gestion concernant la convention des AU, qui pr�voit un rajustement sp�cial � l'intention des v�rificateurs de Toronto. Des �tudes du march� de Toronto ont fait ressortir un �cart entre le niveau de r�mun�ration de l'ADRC et celui fourni ailleurs dans la r�gion.
Ces principes guident en outre les d�cisions que nous prenons pour mettre en œuvre les recommandations du rapport Strong sur la r�mun�ration des groupes des cadres de direction et de la haute direction � l'ADRC. Le rapport Strong fait �tat de vastes recherches sur le march� qui viennent �tayer ses recommandations.
L'ADRC s'engage � travailler de concert avec tous ses syndicats pour savoir quelle r�mun�ration est vers�e sur le march� ext�rieur et pour traiter de ces r�alit�s.
Nous sommes r�solus � utiliser cette politique pour appuyer le versement d'une r�mun�ration juste et �quitable � tous les groupes d'employ�s.
Rob Wright |
Alain Jolicoeur |
Politique sur la r�mun�ration de l'ADRC
En sa qualit� d'organisme, l'Agence des douanes et du revenu du Canada (ADRC) fournit un niveau de service exemplaire � l'�chelle nationale et internationale. Ce niveau �lev� de service repose sur l'assise d'un bon milieu de travail et d'un effectif productif et comp�tent qui est d�termin� � am�liorer le service.
L'ADRC doit veiller � se doter d'un effectif qui cherche constamment � am�liorer le service. En versant � nos employ�s un taux de r�mun�ration juste et raisonnable, nous nous assurerons que l'ADRC soit per�ue comme un employeur attirant. Une telle r�mun�ration devient donc une �tape essentielle d'un environnement de travail meilleur. Or, la fourniture d'un milieu de travail am�lior� nous permettra de perfectionner davantage notre niveau de service, qui est d�j� �lev�.
Pour assurer un milieu de travail meilleur, et pour maintenir nos normes �lev�es de service, l'ADRC doit donner suite aux r�alit�s du march� du travail. La capacit� d'attirer et de maintenir en poste des employ�s comp�tents dans un march� du travail concurrentiel est un d�fi que l'ADRC, � l'instar de toutes les autres entreprises, doit relever.
Le Conseil de gestion et l'�quipe de gestion de l'ADRC sont d�termin�s � adopter une politique sur la r�mun�ration qui reconna�t les r�alit�s des forces du march� du travail concurrentielles et y donne suite. Si les �tudes montrent qu'un �cart appr�ciable existe entre la r�mun�ration vers�e par l'ADRC et la r�mun�ration sur le march� du travail concurrentiel, et qu'il peut �tre d�montr� que cet �cart nuit � notre capacit� d'attirer et de maintenir en poste des employ�s, l'ADRC s'engage � combler cet �cart.
La pr�sente politique sur la r�mun�ration aidera l'ADRC � maintenir en poste, � motiver et � attirer les personnes appropri�es poss�dant les habilet�s requises pour offrir les niveaux de service qui sont attendus de l'ADRC.
�BAUCHE – 14 juillet 2003
Document de travail |
La fonction publique du Canada est une institution nationale cruciale qui, depuis des g�n�rations, fournit d'excellents services aux Canadiens et Canadiennes. Quotidiennement, et dans diff�rentes collectivit�s � travers le Canada, les employ�s de la fonction publique appliquent des lois et des r�glements, veillent � la bonne gestion des ressources, conseillent les ministres et dispensent les programmes et services que les Canadiens souhaitent et dont ils ont besoin. En remplissant ces fonctions et d'autres devoirs critiques, les fonctionnaires jouent un r�le essentiel dans la pr�servation et la promotion de la qualit� de vie �lev�e que nous partageons dans ce pays qui est le n�tre.
Mais fondamentalement parlant, l'efficacit� de la fonction publique d�pend de la qualit� de ses effectifs. Il est essentiel que nous continuions d'attirer et de garder des employ�s talentueux, comp�tents et d�vou�s, c'est-�-dire des hommes et des femmes aux ant�c�dents vari�s et poss�dant diff�rentes aptitudes qui sont unis par leur engagement commun de bien servir les Canadiens et Canadiennes. Tout en gardant cela � l'esprit, nous allons de l'avant avec un programme ambitieux qui a pour but d'am�liorer la fa�on dont nous g�rons nos employ�s. La Loi sur la modernisation de la fonction publique, d�pos�e en f�vrier 2003, propose les premi�res grandes modifications � �tre apport�es en plus de 35 ans au cadre l�gislatif qui r�git les ressources humaines. Nous entamons �galement toute une gamme de r�formes non l�gislatives ayant pour objet de cr�er un milieu de travail plus positif et plus productif. La formulation d'un nouveau cadre de gestion de la r�mun�ration constitue une importante partie de ces efforts.
La r�mun�ration est une question complexe � facettes multiples, particuli�rement dans le contexte de la fonction publique. Pour bien la g�rer, il faut concilier de nombreux int�r�ts diff�rents et oppos�s afin de reconna�tre et r�compenser comme il se doit le travail bien fait, tout en veillant � bien servir les int�r�ts du public. Souvent, il s'agit d'une t�che difficile qui exige l'atteinte d'un juste �quilibre entre de multiples responsabilit�s.
Le pr�sent document de travail propose un cadre de politique qui nous permettra de g�rer la r�mun�ration avec une plus grande efficacit�. Le document donne un aper�u de nos objectifs cl�s et de l'approche g�n�rale que le gouvernement se propose de suivre dans la n�gociation ou la d�termination de la r�mun�ration. J'ai l'espoir que ces travaux agiront comme catalyseur et favoriseront un dialogue productif et continu sur le sujet.
Le gouvernement entreprend actuellement une vari�t� de mesures pour moderniser la gestion de ses ressources humaines. Ces r�formes l�gislatives et non l�gislatives ont pour objectif ultime de faire en sorte que la fonction publique puisse continuer d'�tre une institution vitale et productive, ayant les capacit�s voulues pour r�pondre aux attentes et aux besoins changeants des Canadiens et des Canadiennes.
Bien qu'aucun cadre de politique sur la r�mun�ration ne puisse nous indiquer les d�cisions � prendre dans chaque cas, un cadre solide peut nous aider � prendre de meilleures d�cisions. |
La r�mun�ration est une composante centrale d'un syst�me de gestion efficace. La capacit� de la fonction publique f�d�rale d'attirer, de maintenir en poste et de motiver les personnes talentueuses dont nous avons besoin pour conseiller les ministres et servir les Canadiens d�pend dans une large mesure de la r�mun�ration que nous pouvons leur offrir. De nombreux facteurs divers et complexes doivent �tre pris en consid�ration au moment de l'examen des questions de r�mun�ration. Les tendances sur le march� du travail dans les secteurs public et priv�, la relativit� interne, les politiques sociales, la situation financi�re du gouvernement, l'opinion publique, les conditions �conomiques et le r�le des syndicats repr�sentent quelques‑uns des plus importants �l�ments qu'il faut concilier pour adopter une approche appropri�e en mati�re de r�mun�ration. Au cours des quelques derni�res d�cennies, le gouvernement a modifi� la mani�re dont il concilie ces facteurs, dans une large mesure, pour r�pondre � l'�volution des besoins tout en s'effor�ant de se conformer � ses obligations l�gales, notamment l'application du principe du salaire �gal pour un travail �gal. Or, durant cette p�riode, aucun cadre de politique explicite et complet n'a guid� le processus d�cisionnel.
Le gouvernement a l'intention d'adopter un tel cadre, qui l'aidera � formuler et � mettre en œuvre des mandats de n�gociation. Il lui permettra en outre de clarifier sa position en ce qui concerne la r�mun�ration des employ�s, des ministres, des partenaires syndicaux et du public en g�n�ral.
Aucun cadre ne peut indiquer quelles d�cisions doivent �tre prises dans une situation donn�e, mais un cadre de politique de r�mun�ration de qualit� peut contribuer � la prise de d�cisions meilleures. Le cadre d�finira les �l�ments � prendre en consid�ration, d�crira les risques � rep�rer, � �valuer et � g�rer et fournira quelques lignes directrices qui aideront � cr�er un �quilibre entre la multitude des forces qui entrent toujours en jeu. Le poids relatif de chaque facteur changera avec le temps, ce qui se traduira par des r�sultats vari�s mais, � la longue, l'application uniforme du cadre de politique assurera une certaine coh�rence, une clart� strat�gique et une plus grande efficacit� du processus d�cisionnel li� � la r�mun�ration dans la fonction publique.
Aux fins du pr�sent document de travail, le terme � r�mun�ration � d�signe la r�mun�ration globale et inclut la r�mun�ration en esp�ces et les autres formes de r�mun�ration que re�oit un employ� en contrepartie des services rendus, notamment :
Un cadre de politique sur la r�mun�ration s'appliquera aux minist�res et aux autres composantes de la fonction publique du Canada pour lesquels le Conseil du Tr�sor agit comme employeur (LRTFP, annexe I, partie I), ainsi qu'aux Forces arm�es canadiennes et � la Gendarmerie royale du Canada. Les employeurs distincts, comme l'agence Parcs Canada (LRTFP, annexe I, partie II) pourraient �galement trouver ce cadre de politique utile.
Dans la fonction publique f�d�rale, la r�mun�ration, � l'int�rieur des politiques globales des RH, sert � attirer, � garder, � motiver et � renouveler les effectifs requis pour assurer des services de qualit� aux Canadiens et Canadiennes.
L'�laboration d'un cadre de politique sur la r�mun�ration doit se faire parall�lement � l'�tablissement d'indicateurs de rendement clairs. Une �valuation continue de la politique apr�s sa mise en œuvre sera essentielle pour �valuer l'efficacit� du cadre, pour cerner les secteurs o� des am�liorations s'imposent et pour assurer une innovation constante.
Pour mesurer le progr�s, il ne suffit toutefois pas de se concentrer simplement sur ses activit�s – il faut en outre se doter d'indicateurs de rendement qui permettent d'�valuer l'incidence que l'on tente d'obtenir gr�ce � cette politique. Nous devons accorder une attention particuli�re � la mesure dans laquelle le cadre nous permet d'atteindre ces objectifs pr�vus consistant � attirer, � garder, � motiver et � renouveler les effectifs. Nous comparerons les r�sultats obtenus pour ces indicateurs de rendement � ceux obtenus dans des groupes externes afin d'�tre en mesure de d�terminer notre position par rapport � ces derniers et d'�tablir des � zones de confort � connexes.
� titre d'exemple, voici un aper�u des indicateurs de rendement propos�s qui pourraient �tre �tablis pour chacun des objectifs d�finis.
�ventuels indicateurs de rendement Lorsque nous �laborerons le cadre de politique, il sera crucial d'�tablir des indicateurs de rendement cl�s pour chacun des objectifs d�finis qui serviraient de signal d'avertissement pointant vers les secteurs exigeant une analyse plus approfondie. Il y aurait lieu d'�tablir des donn�es de base et de r�f�rence pour ces indicateurs de rendement. Au besoin, on pourrait analyser les indicateurs de fa�on plus d�taill�e en les d�composant, notamment en fonction des groupes professionnels, du mandat, du minist�re ou des unit�s, de la dur�e de l'emploi. Les indicateurs de rendement suivants sont au nombre de ceux qui pourraient �tre �tablis pour les diff�rents objectifs. Ils sont d�crits avec plus de d�tails � l'annexe A : Recrutement
Maintien en poste
Motivation
Renouvellement
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Lorsqu'il �laborera son nouveau cadre de politique sur la r�mun�ration, le gouvernement sera guid� par quatre grands principes. Dans la fonction publique, la r�mun�ration devrait :
Plusieurs forces influencent la nature du r�gime de r�mun�ration auquel sont assujetties les entreprises, peu importe l'�poque, le secteur �conomique ou la situation g�ographique de l'employeur. Ces forces se retrouvent dans les quatre principes d�crits ci‑dessus. Quelle que soit la forme qu'a rev�tue le cadre de politique sur la r�mun�ration dans la fonction publique au cours du si�cle dernier, on a toujours �t� en pr�sence d'une quelconque variation de ces quatre principes. Un r�cent sondage du Conference Board du Canada men� aupr�s d'importants employeurs des secteurs priv� et public au Canada et � l'�tranger a r�v�l� que ces quatre principes sont largement reconnus par les autres employeurs dans leurs politiques sur la r�mun�ration. Chacun de ces principes est d�crit ci‑apr�s.
Dans la fonction publique, la r�mun�ration devrait �tre comparable, mais non sup�rieure, � celle fournie pour un travail similaire sur les march�s du travail pertinents. |
Le gouvernement veut que, dans la fonction publique, la r�mun�ration soit �quitable lorsqu'elle est compar�e au monde ext�rieur. Il s'agit d'un aspect crucial, puisque les recrues potentielles feront une telle comparaison lorsqu'elles �valueront l'attrait d'un emploi �ventuel. De plus, les employ�s en poste (et leurs agents n�gociateurs) surveilleront la situation sur les march�s externes pour s'assurer qu'ils touchent un salaire comparable � celui de leurs homologues du secteur priv� et d'autres secteurs publics. Finalement, les contribuables, en l'absence de mesures de rentabilit� ou de tests de march� pour les services gouvernementaux, v�rifieront si la r�mun�ration dans la fonction publique est comparable � celle du secteur priv� lorsque de tels tests ont �t� effectu�s.
Les d�cisions en mati�re de r�mun�ration et les autres d�cisions �conomiques que prennent les organisations du secteur priv� influent directement sur leur viabilit� � long terme. Or, de telles d�cisions sont constamment mises � l'�preuve par les r�alit�s �conomiques du march� dans lequel elles fonctionnent et doivent refl�ter �troitement la situation de l'�conomie canadienne. Cette r�alit� du march� est souvent �loign�e de la fonction publique, qui peut toutefois en tenir compte en faisant des comparaisons avec le secteur priv�. Il s'agit l� de la fa�on la plus appropri�e d'assurer un bon rapport co�t‑qualit� pour les contribuables qui financent les d�penses de la fonction publique.
Lorsque des donn�es laissent supposer qu'un groupe touche une r�mun�ration consid�rablement sup�rieure ou consid�rablement inf�rieure � celle du march�, il se peut que le taux des augmentations accord�es dans la fonction publique doive d�passer le taux en vigueur dans le secteur priv� ou accuser un retard par rapport � celui-ci jusqu'� ce que la comparabilit� soit r�tablie. Dans de telles circonstances, les ajustements pourraient �tre mal interpr�t�s, � moins que l'on fasse tous les efforts possibles pour s'assurer que le public est bien inform� des circonstances particuli�res entourant les ajustements.
5.1.1 March�s du travail pertinents
La r�mun�ration que la fonction publique offre doit �tre concurrentielle avec celle des diff�rents march�s du travail externes o� elle cherche � attirer des effectifs, sans toutefois y �tre sup�rieure. Selon l'occupation, ces march�s de comparaison peuvent inclure le secteur priv�, les employeurs d'autres secteurs publics et le secteur b�n�vole. Souvent, il est m�me difficile de d�finir les � march�s du travail pertinents �. Le gouvernement f�d�ral a structur� sa main-d'œuvre en 29 groupes professionnels et, pour la majorit� de ceux‑ci, les r�gimes de r�mun�ration sont �tablis par voie de n�gociation collective[1]. Certains de ces groupes, comme celui du Service � l'ext�rieur (FS), n'ont pas leur pendant dans le secteur priv�. Quelques groupes r�unissent des cat�gories d'emplois sp�cialis�s qui diff�rent de ceux que l'on trouve sur le march� du travail externe (par exemple, on retrouve � la fonction publique f�d�rale un seul groupe professionnel pour plusieurs cat�gories d'ing�nieurs ayant chacune son propre march� du travail dans le monde ext�rieur). Certains des nouveaux regroupements, comme le groupe Services de sant� (SH), r�unissent des professions assez diff�rentes en une seule entit� qui ne trouve pas d'�quivalent comparable � l'ext�rieur de la FP. Par cons�quent, il est compliqu� et souvent difficile de d�cider quels groupes ont des march�s du travail externes comparables, quelles organisations repr�sentent le mieux ces march�s et quels emplois dans ces organisations se comparent le mieux aux activit�s accomplies dans la fonction publique. Dans de nombreux cas, les comparaisons externes rel�vent davantage de l'art que de la science.
Apr�s avoir cern� les march�s du travail pertinents, nous s�lectionnerons les organisations qui sont les plus comparables � la n�tre. Nous examinerons d'abord les employeurs du secteur priv� vu qu'ils font constamment face aux r�alit�s �conomiques du march�, puis d'autres employeurs du secteur public en l'absence d'organisations comparables dans le secteur priv�. Pour faire ces comparaisons avec des organisations externes, nous nous baserons sur les r�sultats d'enqu�tes portant sur les emplois comparables dans ces organisations – nous nous fonderons sur les taux de r�mun�ration de leur main‑d'œuvre pour repr�senter la valeur de leurs activit�s telle qu'elle a �t� �tablie sur les march�s externes. En l'absence d'un march� du travail externe pertinent pour un groupe particulier, nous pourrions nous fonder sur les r�sultats de comparaisons internes (voir le prochain principe) ou sur l'application de m�thodes de comparaison indirecte avec des emplois dans le secteur priv� (par la cr�ation de profils combin�s, par exemple).
On peut se servir de march�s g�ographiques plus restreints pour faire les comparaisons lorsque les donn�es sur la r�mun�ration � l'externe r�v�lent un �cart consid�rable par rapport � la moyenne nationale et que les possibilit�s de recrutement et de mobilit� de la main-d'œuvre locale sont limit�es, et lorsque l'adoption d'un cadre de politique aidera � cr�er des taux de r�mun�ration concurrentiels sur le march� du travail r�gional auquel on se compare. Cependant, les agents n�gociateurs ont insist� vigoureusement par le pass� sur la r�duction des taux r�gionaux en vigueur, puisqu'ils estiment que des postes de valeur �quivalente devraient �tre r�mun�r�s au m�me taux dans tout le pays.
5.1.2 R�mun�ration concurrentielle
Le gouvernement cherche � offrir une r�mun�ration � concurrentielle �, ce qui a traditionnellement signifi� pour lui une r�mun�ration correspondant � la r�mun�ration moyenne du march�. En d'autres termes, la fonction publique f�d�rale offre des taux de r�mun�ration qui ne sont ni les plus �lev�s ni les moins �lev�s lorsqu'ils sont compar�s � ceux du secteur priv�. Cet objectif, comme tous les autres de cette nature, n'�tait pas tr�s raffin�. Les experts de la r�mun�ration sont g�n�ralement d'avis qu'une diff�rence de 10 % avec le march� est insignifiante – si vous �tes � 10 % de votre crit�re de r�f�rence, vous atteignez � votre cible �.
�ventuels indicateurs Lorsque nous �laborerons le cadre de politique, il sera crucial d'�tablir des indicateurs de rendement cl�s pour chacun des objectifs d�finis. Voici quelques indicateurs �ventuels ayant trait tout particuli�rement � l'abordabilit� (annexe A) :
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Les circonstances �conomiques et la situation des entreprises sur les march�s externes peuvent �tre assez instables (par exemple, compagnies a�riennes et industrie de la haute technologie). �tant donn� qu'il n'est pas facile pour la fonction publique de r�duire les taux de r�mun�ration lorsque la situation sur les march�s externes se d�t�riore, il est logique de faire preuve de prudence dans le cas des � march�s chauds �, �ventuellement en utilisant des suppl�ments temporaires � titre de mesures partielles en r�ponse � des pr�occupations de comparabilit� jusqu'� ce qu'il soit clair si les augmentations externes seront temporaires ou si elles dureront.
Toute comparaison externe doit se faire sur la base de donn�es. � l'heure actuelle, on retrouve plusieurs sources de donn�es publi�es et on m�ne parfois des enqu�tes con�ues sp�cialement � cette fin. Aucune de ces sources n'est suffisante et ne r�pond enti�rement aux besoins du gouvernement. Il y a lieu de d�velopper davantage les sources de donn�es, de m�me que la capacit� analytique requise. Il faut d�finir et analyser davantage les march�s du travail pertinents, d�finir les �chantillons appropri�s aux fins des enqu�tes et mettre au point des m�thodes de comparaison des taux de r�mun�ration.
La Loi sur la modernisation de la fonction publique, dont a �t� saisi le Parlement, propose l'instauration de nouveaux services d'analyse et de recherche sur la r�mun�ration qui s'inscriront dans le cadre des fonctions de la Commission des relations de travail dans la fonction publique (CRTFP). En pr�sumant de l'adoption du projet de loi, il faudra toutefois attendre plusieurs ann�es avant que la CRTFP devienne une source de donn�es fiable. Entre‑temps, la Division de la planification de la r�mun�ration du Bureau de gestion des ressources humaines (BGR) se chargera � l'interne de produire des donn�es pour la fonction publique et d'�valuer les sources de donn�es externes existantes. Cette Division continuera de collaborer avec le Comit� consultatif mixte sur la r�mun�ration du Conseil national mixte pour s'entendre sur des fa�ons de cr�er des sources de donn�es d�finies d'un commun accord.
Dans la fonction publique, la r�mun�ration devrait correspondre � la valeur relative attribu�e par l'employeur au travail accompli. |
Le principe de la � comparabilit� externe � vise � assurer l'�quit� du syst�me de r�mun�ration par rapport au monde ext�rieur. Le principe de la relativit� interne, pour sa part, vise � assurer l'�quit� du syst�me de r�mun�ration parmi les groupes et niveaux au sein de la fonction publique. L'objectif de l'�quit� ou de la relativit� interne est de clairement distinguer :
Indicateurs �ventuels Voici certains des indicateurs �ventuels ayant trait tout particuli�rement � la relativit� interne (annexe A) :
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Lorsque ces diff�rences et similarit�s ont �t� d�termin�es, elles peuvent servir de moyen d'�valuation pour assurer une r�mun�ration relative appropri�e.
La valeur relative interne des emplois dans chaque groupe et niveau professionnels est �tablie par l'application de plans d'�valuation des emplois particuliers au groupe et non sexistes qui r�pondent aux besoins op�rationnels des minist�res, permettent de mesurer le travail tel qu'il est accompli � ce moment pr�cis, traitent les hommes et les femmes �quitablement et, le cas �ch�ant, refl�tent les pratiques de structuration du travail d'employeurs comparables afin de faciliter la comparaison avec les emplois sur les march�s du travail externes.
Les plans d'�valuation des emplois sont reli�s, par l'interm�diaire de la structure des niveaux, � la structure de r�mun�ration (ou courbe salariale), qui est cens�e soutenir les activit�s de la fonction publique. Lorsque les r�formes auront permis d'�tablir une structure de r�mun�ration ad�quate en r�ponse aux besoins op�rationnels des gestionnaires, l'employeur devra maintenir l'int�grit� de cette derni�re m�me durant les rondes successives de n�gociations collectives. Il faudra toutefois reconna�tre que la relation entre les niveaux de la structure et entre ceux-ci et les op�rations pourrait changer au fil des ans. Le maintien de l'int�grit� du r�gime permet de pr�server � la fois l'utilit� op�rationnelle et l'�quit� interne obtenue initialement au moment du remaniement du r�gime de r�mun�ration et de classification.
Pour mesurer horizontalement les diff�rences et similarit�s de la valeur des emplois parmi des groupes professionnels du point de vue de l'employeur, on peut d�finir les relations entre les groupes en se fondant sur des crit�res comme les jumelages historiques accept�s, les liens cr��s en raison de cheminements de carri�re naturels et d'autres �l�ments op�rationnels.
Dans le cas des groupes professionnels sans �quivalent clair sur les march�s externes, ce processus permet d'�tablir des liens � des groupes connexes ayant un �quivalent et ainsi d'appliquer � toute la fonction publique la discipline que l'on trouve sur le march� libre.
Ces comparaisons sont �galement utiles en ce sens qu'elles nous permettent de comprendre � l'avance les cons�quences d'une augmentation de la r�mun�ration dans un groupe particulier qui a de solides liens avec d'autres groupes et dont les membres s'attendront � ce qu'il y ait une certaine parit� interne.
Dans la fonction publique, la r�mun�ration devrait r�compenser le rendement, dans la mesure o� il est appropri� et pratique de le faire, en fonction des contributions individuelles ou collectives aux r�sultats op�rationnels obtenus. |
Le gouvernement du Canada est r�solu � assurer une solide gestion du rendement de chacun de ses employ�s. Pour ce faire, il devra fixer des objectifs clairs et accept�s et �tablir des indicateurs simples afin de mesurer les progr�s r�alis�s par rapport � ces objectifs. Id�alement, la r�mun�ration peut aider � encourager la cr�ation d'une main‑d'œuvre centr�e davantage sur les r�sultats.
Il convient de noter que l'administration du syst�me de mesure et de gestion du rendement et du syst�me de r�compense est souvent on�reuse – elle n�cessite un leadership particulier, des syst�mes de gestion des RH habilitants, de solides programmes de communication et un investissement consid�rable de temps de la part des gestionnaires. Par cons�quent, la plupart des employeurs tendent � limiter ces pratiques aux segments de leurs effectifs o� elles s'av�rent vraiment rentables au plan op�rationnel – g�n�ralement aux cadres et aux professionnels qui occupent des postes sup�rieurs. De plus, les syndicats, y compris les agents n�gociateurs de la fonction publique, se sont oppos�s historiquement � cette approche de la r�mun�ration, car ils estiment qu'elle d�roge � leurs valeurs pr�voyant l'�galit� et l'�quit� dans les milieux de travail.
Dans certaines circonstances, une meilleure gestion du rendement devrait se traduire par l'octroi de r�compenses en mati�re de rendement, pour souligner des contributions � individuelles � aux r�sultats op�rationnels ou les contributions d'un ensemble de personnes, c'est-�-dire d'une � �quipe � de travail. Dans ces cas-l�, les r�compenses en mati�re de rendement :
Indicateurs �ventuels Voici certains des indicateurs �ventuels ayant trait tout particuli�rement au rendement individuel ou de groupe (annexe A) :
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�videmment, il n'est pas toujours indiqu� ou pratique d'accorder des r�compenses en mati�re de rendement et, de toute �vidence, il faut en limiter l'application. De telles r�compenses ne devraient pas �tre pr�vues lorsque le co�t additionnel de la mesure et de la gestion du rendement d�passe la valeur potentielle cr��e par l'am�lioration des r�sultats op�rationnels et le respect uniforme des valeurs.
Dans la fonction publique, la r�mun�ration devrait �tre abordable dans le contexte des engagements pris par le gouvernement de fournir des services � tous les Canadiens, et compte tenu de la situation financi�re du gouvernement et de l'�tat de l'�conomie canadienne. |
Indicateurs �ventuels Voici quelques‑uns des indicateurs �ventuels ayant trait tout particuli�rement � l'abordabilit� (annexe A) :
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La capacit� d'un employeur du secteur priv� de r�mun�rer ses effectifs d�pend de sa solvabilit� – s'il d�pense trop pour ses effectifs, son entreprise risque de ne pas faire de profits et � la longue de faire faillite. Tandis que le gouvernement doit lui aussi s'assurer que la r�mun�ration est abordable[2], la rentabilit� n'est pas toujours aussi claire pour lui qu'elle ne l'est pour des organisations similaires dans le secteur priv�. L'abordabilit� tend plut�t � �tre mesur�e par rapport � la perception qu'a le gouvernement du niveau d'imposition appropri� pour assurer la bonne marche de l'�conomie (c'est‑�‑dire les montants qu'il peut obtenir raisonnablement au moyen de l'imposition et d'autres m�thodes d'obtention de revenu) et r�pondre aux besoins des Canadiens qu'il doit servir pour assurer la bonne sant� �conomique et sociale du pays (c'est‑�‑dire la proportion de ce qu'il obtient qui doit �tre retourn�e aux Canadiens et Canadiennes sous la forme de services). La responsabilit� du gouvernement envers les Canadiens est de maximiser les r�sultats qu'il leur fournit en classant par ordre de priorit� toutes ses d�penses, y compris la r�mun�ration dans la fonction publique, dans les limites de sa capacit� de d�frayer ces co�ts.
Comme nous l'avons indiqu� au d�but, toute d�cision visant � d�finir l'� int�r�t public � sera n�cessairement influenc�e par des facteurs difficiles � cerner et changeants comme l'opinion publique. Il s'agit d'un d�fi particulier auquel font face les institutions du secteur public.
Le gouvernement a besoin d'�tre accept� par le public – il a besoin � du consentement des gouvern�s �. Il doit tenir compte des attitudes, attentes et souhaits vari�s r�pandus parmi les citoyens afin de parvenir � cr�er ce qui a �t� d�crit comme une � �galit� dans l'insatisfaction �. L'acceptation du public n'est pas caract�ris�e par cette rationalit� comparative qu'offrent les forces du march� aux entreprises en mettant � l'�preuve leurs op�rations.
Facteurs externes influant sur la formulation d'une politique Objectifs de la politique macro�conomique : toute politique doit respecter les tendances �conomiques et aider au respect de la politique financi�re du gouvernement. Lois pertinentes : toute politique doit respecter les exigences l�gislatives en vigueur. Objectifs en mati�re de politique sociale : toute politique doit respecter les objectifs des politiques nationales du gouvernement dans le domaine social. Attentes et pressions du public : le gouvernement doit tenir compte de la volont� du public. |
�tant donn� que le Conseil du Tr�sor est � la fois l'employeur du noyau de la fonction publique et partie int�grante du gouvernement �lu du Canada, les d�cisions en mati�re de r�mun�ration sont toujours prises l� o� se recoupent la politique de l'employeur et la politique gouvernementale g�n�rale. Nous devons veiller � ce que cette dualit� soit bien �quilibr�e au moment d'�laborer le cadre de politique sur la r�mun�ration.
Toutes sortes de pressions diff�rentes s'exercent sur la capacit� du gouvernement de formuler un cadre de politique sur la r�mun�ration. Ces pressions peuvent � l'occasion limiter les param�tres � l'int�rieur desquels les d�cisions sont prises. Il est important de cerner et de reconna�tre la signification de ces facteurs �conomiques, l�gislatifs et sociaux.
Objectifs des politiques macro�conomiques – La r�mun�ration peut servir � atteindre des objectifs de politiques macro�conomiques. Parfois, dans le but de g�rer l'�conomie nationale, le gouvernement fixera des niveaux de r�mun�ration qui servent d'exemples au secteur priv� et � d'autres secteurs publics pour appuyer ses objectifs en mati�re de politique �conomique. Il est important que le gouvernement s'assure � tout instant que les ententes de r�mun�ration conclues sont conformes aux tendances �conomiques et aident � atteindre les objectifs en mati�re d'inflation fix�s par la Banque du Canada.
Lois pertinentes – Souvent, le Conseil du Tr�sor et d'autres employeursf�d�raux sont tenus, par des textes l�gislatifs f�d�raux, d'appliquer certaines pratiques. Cela a pour effet de circonscrire les options des d�cideurs. Des dispositions dans la Loi canadienne sur les droits de la personne, par exemple, exigent la parit� salariale dans le cas de l'ex�cution de fonctions �quivalentes (article 11) et des �valuations d'emploi libres de toute discrimination sexuelle (article 10). Le gouvernement f�d�ral est oblig� de se conformer � ces exigences et de r�mun�rer les employ�s �quitablement, sans discrimination fond�e sur le sexe.
Objectifs en mati�re de politique sociale – Parfois, la conception du syst�me de r�mun�ration est influenc�e par le souhait du gouvernement de respecter ou de promouvoir les objectifs de son programme national en mati�re de politique sociale. Dans de tels cas, la politique sur la r�mun�ration de la fonction publique devient un instrument de la politique nationale dans le domaine social (par exemple, utilisation des r�gimes de prestations suppl�mentaires de ch�mage pour compl�ter des prestations parentales suppl�mentaires accord�es en vertu du programme d'assurance‑emploi).
Attentes et pressions du public – Le gouvernement doit tenir compte du point de vue du public lorsqu'il con�oit ses politiques et programmes. Cela ne signifie pas que le gouvernement devrait � gouverner sur la base de sondages �, mais que les d�cideurs doivent �tre conscients des attentes et des susceptibilit�s du public et en tenir compte lorsqu'ils formulent des politiques.
Les attentes et pressions du public peuvent avoir un impact profond sur les d�cisions li�es � la r�mun�ration. D'un c�t�, il y a une tendance de ne pas vouloir �tre per�u comme offrant des salaires � trop �lev�s � aux fonctionnaires, afin d'�viter une r�action n�gative du public. Depuis plus de 50 ans, par exemple, la r�mun�ration des cadres sup�rieurs est comparable � celle du secteur priv� uniquement au niveau d'entr�e. On n'a pas cherch� � assurer une comparabilit� avec la r�mun�ration sur les march�s externes pour les niveaux plus �lev�s de la direction parce qu'on �tait d'avis que le public n'accepterait pas que les fonctionnaires soient pay�s aux taux de r�mun�ration que l'on trouve couramment dans le secteur priv�.
D'un autre c�t�, le public exige souvent que les services essentiels ou ceux per�us comme essentiels soient maintenus sans interruption. Cette exigence l�gitime d'une continuit� dans la prestation des services publics, accompagn�e de l'absence d'un � seuil de rentabilit� � ou de l'impossibilit� d'�valuer ce qui constituerait une r�mun�ration appropri�e sur le march�, font qu'il est parfois difficile pour les gouvernements de s'opposer � des ententes sur la r�mun�ration qui, sinon, semblent injustifi�es du point de vue de l'employeur.
Le gouvernement reconna�t que les d�penses au chapitre de la r�mun�ration feront toujours l'objet des pressions concurrentes et oppos�es. Par exemple, il sera toujours clairement imp�rieux de maintenir les d�penses � un niveau prudent et abordable. Dans un m�me temps, nous devons prendre des mesures pour veiller � la bonne sant� de la fonction publique et � sa capacit� de fournir des r�sultats aux Canadiens et Canadiennes en ayant � sa disposition des effectifs motiv�s, qualifi�s, efficients et efficaces. Tout cadre de politique sur la r�mun�ration doit pouvoir bien tenir compte de ces priorit�s oppos�es.
Alors que nous entreprenons l'�laboration d'un cadre de r�mun�ration, nous sommes pouss�s par notre engagement de veiller � ce que les d�cisions li�es � la r�mun�ration soient �quitables et per�ues ainsi aussi bien par les employ�s que par les contribuables. Tous les principes et les pressions politiques mentionn�s jusqu'ici ont leur importance et seront pris en consid�ration syst�matiquement. Notre approche consiste � �quilibrer les quatre principes. Nous ne permettrons pas � un seul principe de dominer. Ainsi, il sera plus facile pour le gouvernement de faire preuve de souplesse et de r�agir � toutes les �ventualit�s, telles que les flamb�es d'inflation. Cette approche r�duira aussi la probabilit� que le gouvernement soit tenu de d�cider unilat�ralement de ne pas respecter un engagement pris envers ses employ�s. Finalement, les d�cisions de r�mun�ration seront toujours prises dans l'� int�r�t public � – c'est-�-dire que l'on tiendra compte de ce dont le public a besoin et de ce qu'il est pr�t � accepter.
Pour assurer cet �quilibre, l'employeur devra toujours �tre en mesure de cerner, d'�valuer et d'att�nuer le risque pour l'institution � la fois dans un avenir imm�diat et � plus long terme. Il s'agira pour lui d'�tudier soigneusement les r�percussions de tout compromis et d'utiliser des donn�es fiables dans toute la mesure du possible. Une marche � suivre en cinq �tapes permet de faire preuve de discernement � cet �gard :
La figure 1 est une repr�sentation conceptuelle de la prise en consid�ration de chacun des quatre principes, nomm�ment la comparabilit� avec les march�s externes, la relativit� interne, l'abordabilit� et le rendement individuel ou de groupe, au moment de l'�tablissement des taux de r�mun�ration. Il convient de noter que l'influence exerc�e par chacun de ces principes peut changer avec le temps. On utilisera des indicateurs pour d�terminer o� placer chacun des principes dans le continuum d'importance et pour �tablir leurs seuils de tol�rance. Comme nous l'avons mentionn�, ce processus de mise en �quilibre des principes subira les influences de pressions gouvernementales et l�gislatives. La figure 1 illustre cette approche en donnant un exemple d'un choix particulier et de la place qu'occupent les diff�rents principes sur les deux axes, ainsi que les seuils de tol�rance connexes dans le contexte des objectifs en mati�re de politique sociale, de l'opinion et des pressions publiques, des objectifs de la politique macro�conomique et des lois pertinentes.
Afficher le graphique pleine dimension
� son entr�e en vigueur, la nouvelle politique fournira un cadre g�n�ral � l'int�rieur duquel il se prendront les d�cisions de r�mun�ration et seront formul�s les r�gimes de r�mun�ration. Les param�tres devraient �tre suffisamment souples afin d'encourager l'innovation dans le contexte de la planification tout en �tablissant certains crit�res de base qui serviront � �valuer les d�cisions prises en vertu de la politique.
Par n�cessit�, la mise en œuvre du cadre de politique sur la r�mun�ration est un processus de collaboration, et le Secr�tariat du Conseil du Tr�sor est r�solu � collaborer avec tout un �ventail d'intervenants cl�s. Il est essentiel que des structures de gestion clairement d�finies et des processus appropri�s soient en place avant l'entr�e en vigueur du cadre. Ainsi, la mise en application du cadre se fera en temps opportun et avec efficacit�.
Manifestement, l'�laboration du cadre strat�gique complet propos� dans le pr�sent document tirera profit des commentaires que formuleront un vaste �ventail d'intervenants au cours des prochains mois.
Le pr�sent document suscite plusieurs questions cl�s, qui pourraient servir de point de d�part aux discussions.
Premi�rement, les objectifs fix�s et les r�sultats pr�vus que nous avons d�finis sont‑ils appropri�s?
Deuxi�mement, l'approche propos�e dans le cadre de politique (c'est‑�‑dire �tablir un �quilibre entre les quatre principes � l'endroit o� se recoupent le r�le du gouvernement en tant qu'employeur et son r�le en tant qu'agent d�fendant l'int�r�t public) peut‑elle �tre appliqu�e dans la pratique?
Finalement, avez‑vous des opinions sur la mani�re de bien g�rer le cadre de politique?
Lorsque nous entreprendrons l'�laboration du cadre de la politique, il sera crucial pour nous d'�tre en mesure de bien r�pondre � ces questions et � d'autres encore.
Indicateur |
Mesure du rendement |
Forces et faiblesses |
Source ou disponibilit� |
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Attraction |
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Nombre de candidats qualifi�s par offre d'emploi |
Nombre de candidats qualifi�s par offre d'emploi |
Faiblesses
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Non disponible |
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Pourcentage de rejet des offres faites � des candidats |
Pourcentage de rejet des offres faites � des candidats |
Faiblesses
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Non disponible |
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Nombre d'employ�s engag�s � contrat |
Pourcentage des effectifs totaux qui sont engag�s � contrat |
Faiblesses
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Non disponible |
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Efficacit� du processus de recrutement : nombre de jours qu'un poste demeure ouvert et co�ts de recrutement |
Nombre de jours qu'un poste demeure ouvert, et co�ts de recrutement |
Faiblesses
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Non disponible |
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Maintien en poste |
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Taux de roulement |
Taux de cessation d'emploi |
Forces
Faiblesses
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Dossier sur la mobilit� |
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Raisons des cessations d'emploi fournies durant les entrevues de fin d'emploi |
R�ponses qualitatives |
Faiblesses
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Non disponible |
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Motivation |
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Nombre de journ�es perdues � cause d'activit�s syndicales |
Nombre de journ�es perdues � cause d'activit�s syndicales |
Faiblesses
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SCT et DRHC |
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Taux d'absent�isme |
Nombre total de jours utilis�s pour des cong�s de maladie, des cong�s personnels, des cong�s pour obligations familiales ou autres cong�s pay�s. |
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Annuellement, du Syst�me de rapports sur les cong�s |
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Indicateurs attitudinaux |
Questions du sondage de la FP concernant la satisfaction au travail, la motivation au travail et les attitudes � l'�gard de la r�mun�ration –- R�sultats pour certaines questions du sondage de la FP |
Faiblesses
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� titre sp�cial uniquement |
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Renouvellement |
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Taux de non‑retraite volontaire |
Nombre total et pourcentage d'employ�s admissibles � la retraite qui quittent leur emploi durant la premi�re ann�e et ceux qui quittent cinq ann�es ou plus apr�s leur date d'admissibilit� � la retraite |
Forces
Faiblesses
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Peut �tre obtenu du syst�me des rapports sur la mobilit� environ un mois apr�s la fin de l'exercice. |
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Retraite avec p�nalit� |
Pourcentage d'employ�s ayant de 50 � 59 ans qui ne peuvent prendre leur retraite sans subir des p�nalit�s et qui la prennent de plein gr�. |
Forces
Faiblesses
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Peut �tre obtenu du syst�me des rapports sur la mobilit� environ un mois apr�s la fin de l'exercice. |
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Nombre de cessations d'emploi, selon le mandat et la dur�e de l'emploi |
Taux de cessation d'emploi |
Forces
Faiblesses
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Peut �tre obtenu du syst�me des rapports sur la mobilit� environ un mois apr�s la fin de l'exercice. |
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Comparaisons avec le march� de travail ext�rieur |
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Comparaisons des taux de r�mun�ration pour diff�rentes professions bas�es sur les taux de r�mun�ration |
Comparaison des taux normaux et du salaire moyen avec les taux de traitement moyen, m�dian et Q3 |
Forces
Faiblesses
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L'enqu�te annuelle effectu�e par Watson Wyatt, Morneau Sobeco, Mercer, Towers Perrin et le Economic Research Institute est g�n�ralement disponible � l'automne apr�s une enqu�te men�e au printemps. Les donn�es de l'enqu�te sur � l'appariement des emplois � de Statistique Canada ne seront disponibles que dans deux ou trois ans. |
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Indicateurs combin�s des traitements et salaires, c'est‑�‑dire donn�es sur les traitements de l'Enqu�te sur la population active |
Comparaison des salaires moyens de la FP avec ceux dans les autres secteurs Comparaison du mod�le du capital humain avec celui des autres secteurs |
Forces
Faiblesses
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Donn�es mensuelles de Statistique Canada |
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Indicateurs combin�s sur les traitements et les salaires, c'est‑�‑dire donn�es sur les traitements et salaires provenant du recensement |
Comparaison des salaires moyens de la FP avec ceux dans les autres secteurs Comparaison du mod�le du capital humain avec celui des autres secteurs |
Forces
Faiblesses
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Donn�es de Statistique Canada r�unies tous les cinq ans et disponibles environ deux ann�es plus tard |
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Comparaison de la r�mun�ration en esp�ces et de la r�mun�ration globale |
Comparaison des salaires moyens de la FP avec le syst�me Hay et la structure de r�mun�ration |
Forces
Faiblesses
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Enqu�te annuelle de Hay disponible � l'automne |
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Comparaisons des niveaux de r�mun�ration |
Comparaison de l'augmentation des salaires moyens au gouvernement f�d�ral � celle dans d'autres secteurs |
Forces
Faiblesses
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Annuellement, du Conference Board et de Mercer et Watson Wyatt |
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Relativit� interne |
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Comparaison de la r�mun�ration � des niveaux de classification similaires dans diff�rents groupes professionnels |
Comparaison des structures de r�mun�ration ou des taux normaux pour des groupes ou classifications professionnels dans la FP |
Forces
Faiblesses
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� l'interne, une fois que l'�valuation Hay sera termin�e. Mise � jour selon le besoin. |
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Comparaison de la r�mun�ration � des niveaux de classification similaires dans diff�rents groupes professionnels |
Comparaison des structures de r�mun�ration ou des taux normaux pour des groupes ou classifications professionnels dans la FP |
Forces
Faiblesses
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NGC |
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Mesures concernant la compression et l'inversion des niveaux pour mettre en lumi�re les probl�mes de dotation �ventuels dans le cas des postes de direction et de gestion |
Ratio des taux de r�mun�ration maximums au sein d'un groupe professionnel |
Forces
Faiblesses
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Dossiers internes sur la r�mun�ration |
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R�mun�ration li�e au rendement |
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R�mun�ration au rendement et r�mun�ration variable en pourcentage des d�penses salariales et de r�mun�ration |
La r�mun�ration au rendement et autres formes de r�mun�ration au m�rite en pourcentage de la r�mun�ration au taux ordinaire et des d�penses de r�mun�ration |
Forces
Faiblesses
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Peut �tre obtenu du Syst�me sur les versements et retenues � peu pr�s un mois apr�s la fin de l'exercice |
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Pourcentage d'employ�s vis�s par les mesures de prime au rendement et au m�rite et autres mesures de r�mun�ration variables |
Nombre d'employ�s touchant des primes au rendement, une r�mun�ration au m�rite et d'autres formes de r�mun�ration reposant sur le rendement, en pourcentage des effectifs de la FP |
Forces
Faiblesses
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Peut �tre obtenu du Syst�me sur les versements et retenues � peu pr�s un mois apr�s la fin de l'exercice |
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R�partition des r�compenses entre les taux de rendement �lev� et faible |
Fr�quence d'attribution de mesures de r�mun�ration bas�es sur le rendement, d'apr�s les montants attribu�s aux employ�s |
Forces
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Non disponible actuellement |
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Pourcentage d'employ�s subissant des effets n�gatifs � cause d'un rendement insatisfaisant |
Nombre d'employ�s n'ayant pas droit � une augmentation ou � une promotion en p�riode de stage de probation |
Faiblesses
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Non disponible actuellement |
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Abordabilit� |
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Dette et d�ficit du gouvernement en pourcentage du PIB |
Dette et d�ficit en pourcentage du PIB |
Forces
Faiblesses
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Minist�re des Finances Canada |
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D�penses li�es � la r�mun�ration en pourcentage du PIB, revenu du travail et d�penses li�es aux programmes du gouvernement |
D�penses li�es � la r�mun�ration en pourcentage du PIB, revenu du travail et d�penses li�es aux programmes du gouvernement |
Forces
Faiblesses
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Compte publics du Canada et Statistique Canada |
[1] � part quelques changements mineurs utiles � la fois pour l'employeur et les agents n�gociateurs, la structure actuelle des groupes professionnels sera probablement maintenue.
[2] La Loi sur la modernisation de la fonction publique, soumise � l'examen du Parlement, renferme un paragraphe 148e), qui enjoint tout conseil d'arbitrage, lorsqu'il rend une d�cision d'arbitrage, de prendre en consid�ration � l'�tat de l'�conomie canadienne et la situation fiscale du gouvernement du Canada �.
Extraits pertinents sur la r�mun�ration dans la fonction publique et la comparabilit�, tir�s de la section sur la Gestion du personnel du Rapport de la Commission royale d'enqu�te sur l'organisation du gouvernement, chapitres 7 et 8 du Rapport de la Commission Glassco, 1963
R�MUN�RATION DANS LA FONCTION PUBLIQUE:
COMPARAISONS AVEC LE SECTEUR PRIV�
COMPARAISON DES NIVEAUX DE R�MUN�RATION, R�GIME, PRATIQUES, NORMES
1 On a compar� les traitements de la fonction publique avec ceux de l'ext�rieur au moyen d'une �tude d�taill�e des niveaux des salaires et de leur structure dans la fonction publique, des donn�es relatives � l'emploi � l'ext�rieur tir�es des enqu�tes du Bureau d'�tude des traitements du minist�re du Travail et publi�es par le Bureau f�d�ral de la statistique, des enqu�tes priv�es sur les traitements, des rapports et documents in�dits, des enqu�tes de la Commission royale et des r�sultats des entrevues. La plupart des comparaisons se fondent sur les traitements pay�s en septembre 1960 et les comparaisons cit�es dans le pr�sent rapport se rapportent presque enti�rement aux traitements des emplois classifi�s en vertu de la Loi sur le service civil. Plus loin dans le rapport, on trouvera des observations au sujet des salaires aff�rents aux emplois � taux r�gnants, aux emplois dans les soci�t�s de la Couronne et � d'autres emplois exempt�s.
2 �tablir des comparaisons pertinentes n'a pas �t� t�che facile, � cause de la complexit� des m�thodes de classification de l'administration, qui compte 887 groupes et 1,827 cat�gories. Dans certains domaines, on disposait de peu d'informations statistiques pr�cises permettant d'�tablir des comparaisons ; un exemple serait les taux de traitements vers�s au personnel administratif et ex�cutif.
Emplois de bureau (commis, secr�taire et occupations connexes)
3 Les salaires offerts pour la plupart des emplois de bureau au niveau du recrutement sont pour le moins comparables � ceux de l'ext�rieur.
4 Les comparaisons relatives aux situations de bureau au niveau sup�rieur sont moins sures, principalement � cause de la plus grande difficult� rencontr�e dans l'�valuation des fonctions remplies. Cependant, les renseignements disponibles indiquent que les traitements dans l'administration sont inf�rieurs � ceux du secteur industriel pour ce qui est des emplois de bureau les plus �lev�s.
5 Une forte proportion des fonctionnaires des emplois de bureau travaille � Ottawa et dans quinze zones m�tropolitaines. Parce que les salaires de l'administration se comparent favorablement, dans l'ensemble, � ceux de l'industrie dans ces villes, les autres fonctionnaires travaillant dans des centres moins importants, sont favoris�s par rapport � la moyenne locale g�n�ralement moins �lev�e. Cette prime est compens�e en partie par la qualit�, du personnel que l'administration r�ussit � y recruter.
Emplois de service et d'entretien
6 Les salaires pay�s par l'administration aux sp�cialistes, aux hommes de m�tier, aux emplois de service et autres connexes se comparent moins favorablement � ceux de l'industrie priv�e. Le bar�me national dans la fonction publique est inf�rieur aux taux moyens de l'endroit dans les grands centres, alors que dans les petits centres il �quivaut � ceux de l'endroit ou il leur est sup�rieur. (Nota - plus de 60 p. 100 des employ�s de ces cat�gories travaillent dans des centres dont la population n'atteint pas 100,000, en comparaison de seulement un quart environ des employ�s de bureau.)
7 Bien que les salaires vers�s par l'administration pour certaines occupations de service (par exemple, le service de nettoyage) soient nettement inf�rieurs � ceux de l'industrie priv�e, ils sont conformes � ceux des organisations de service et des institutions publiques qui sont normalement les employeurs importants dans ce genre d'occupations.
Emplois aux postes, � la douane et � l'immigration
8 Un grand nombre d'emplois dans ce groupe important (plus de 20 p. 100 de tous les employ�s relevant de la Loi sur le service civil) n'ont pas d'homologues directs dans l'industrie.
9 Les comparaisons indirectes du Bureau d'�tude des traitements (par exemple, facteur compar� avec chauffeur-livreur ou releveur de compteurs d'�lectricit�; agent des douanes et de l'accise avec agent de police) portent � croire que les taux du Service civil pour les emplois modestes se rapprochent de ceux de l'ext�rieur.
10 Bien que des comparaisons indirectes de ce genre portent � croire que les traitements pour les emplois sup�rieurs de cette nature (par exemple, les cat�gories sup�rieures de douaniers) sont inf�rieurs � ceux de l'ext�rieur, plusieurs facteurs sont � l'avantage de l'administration. Par exemple, dans certains centres, la police travaille plus de 40 heures par semaine, limite normale dans la fonction publique; douaniers et fonctionnaires � l'Immigration se recrutent et travaillent souvent dans de petits centres o� le revenu moyen est relativement bas.
11 Plus de 40 p. 100 de ceux qui remplissent des fonctions particuli�res aux services de la poste, de la douane et de l'immigration habitent des centres dont la population est inf�rieure � 100,000. En cons�quence, m�me si les traitements correspondant � ces emplois nuisent quelque peu au recrutement et � la conservation du personnel dans les zones plus importantes o� les traitements sont plus �lev�s, la majorit� de ceux-ci �quivaut ou est m�me sup�rieure aux taux pratiqu�s dans les petits centres.
Emplois techniques (semi professionnels)
12 � cause du caract�re �fourre-tout� des classes et des cat�gories dans lesquelles entrent un grand nombre d'employ�s techniques, les donn�es permettant de comparer les salaires sont maigres. Par exemple, la classe des agents techniques, r�serv�e � l'origine aux occupations semi professionnelles de nature technique, englobe aujourd'hui une grande vari�t� d'occupations, y compris des emplois d'un caract�re professionnel et des emplois de bureau, dont beaucoup ne semblent pas avoir �t� class�s judicieusement. Il faudrait reclasser ces groupes de fa�on appropri�e et r�organiser comme il faut les classes techniques, parce que les besoins futurs d'agents techniques seront consid�rables.
Emplois professionnels
13 Les traitements des professionnels subissent moins de variations r�gionales que les salaires des employ�s de bureau et des pr�pos�s � (entretien ou au service. Le march� devient de plus en plus national et les traitements tendent � s'�quilibrer.
14 Quant aux ing�nieurs et, � un moindre degr�, aux g�ologues, scientifiques, �conomistes et statisticiens, la vive concurrence de (industrie tend � fixer les niveaux de traitement. Dans ces domaines, le gouvernement f�d�ral est un employeur important; il a d� voir � ce que les traitements dans la fonction publique puissent soutenir la concurrence, afin de pouvoir recruter et retenir les employ�s qu'il lui faut.
15 En dehors de l'administration, les institutions, qui ont toujours pratiqu� un niveau de r�mun�ration peu �lev�, emploient un fort groupe d'employ�s professionnels, dont les biblioth�caires, les travailleurs sociaux et les di�t�tistes. Le gouvernement tend ici � donner l'exemple au point de vue du traitement, en partie pour ne pas manquer d'un personnel dont il a besoin et, aussi, afin de maintenir (�quilibre qui s'impose entre les traitements de ces sp�cialistes et ceux des autres professionnels de la fonction publique.
16 Dans le cas d'un troisi�me groupe de professionnels, la demande ext�rieure n'existe pas ou est si faible que le march� se trouve domin� par le gouvernement f�d�ral. Certains agronomes entrent dans ce groupe. Les traitements de ces fonctionnaires sp�cialis�s ont tendance � �tre en retard sur ceux des autres emplois de la fonction publique, tendance qui se manifeste moins dans les traitements initiaux que dans la lenteur relative des augmentations de traitement en cours d'emploi.
17 PROFESSIONS EN FORTE DEMANDE.A l'�gard de ces professions, les traitements de la fonction publique aux stades du recrutement �quivalent ou sont l�g�rement sup�rieurs � ceux de l'industrie priv�e. On obtient ainsi un nombre suffisant de recrues mais, contrairement � l'industrie, il manque la souplesse de traitement qui permet d'attirer les recrues de talent exceptionnel. Dans la fonction publique, la majorit� des professionnels s'�l�vent au �niveau normal� (ordinairement la classe 3), mais beaucoup pourront y rester toute leur carri�re. C'est � ce palier que les traitements du gouvernement se comparent le moins favorablement � la moyenne de l'industrie, pr�sentant d'ordinaire un recul de 3 � 6 p. 100 par rapport au secteur priv� pour la plupart des occupations. L'avancement au niveau de surveillant et aux niveaux sup�rieurs dans les cat�gories professionnelles, o� les taux sont � peu pr�s ceux de la moyenne industrielle, n'est que pour le petit nombre. Le r�gime n'a pas la souplesse qu'il faudrait pour retenir les professionnels qui se classent au-dessus de la moyenne. Aux niveaux les plus �lev�s, les traitements du gouvernement ne permettent pas de tenir t�te � la concurrence (par exemple, ceux des ing�nieurs et des �conomistes); le Service civil �prouve ainsi de la difficult� � garder ses professionnels les plus comp�tents.
18 La concurrence provenant des autres paliers de gouvernement (la tendance dans les municipalit�s est d'accorder � ces groupes professionnels des traitements plus �lev�s), des universit�s et de (industrie priv�e, tend � restreindre le champ de recrutement pour le gouvernement f�d�ral dans le cas des meilleurs candidats. De plus, les fonctionnaires professionnels aux paliers sup�rieurs peuvent solliciter un emploi administratif afin d'obtenir un meilleur traitement, ce qui contribue encore � priver les groupes professionnels de leurs meilleurs hommes. Autre point int�ressant: dans la fonction publique, la proportion d'ing�nieurs qui acc�dent au niveau le plus �lev� (ing�nieur, classe 7) est moins forte que dans l'industrie. Vingt et un ing�nieurs seulement, soit 1.8 p. 100 du nombre total des ing�nieurs du Service civil dans les classes 1 � 7 inclusivement, se situent au palier de la classe 7, ce qui se compare � 2.4 p. 100 dans l'industrie, selon le Bureau d'�tude des traitements, ou � 3.7 p. 100, selon l'Association des ing�nieurs.
19 En r�sum�, les fonctionnaires exer�ant ces professions re�oivent, au d�but ou au niveau du recrutement, des �moluments �gaux ou l�g�rement sup�rieurs � la moyenne de l'industrie, mais � mesure qu'ils s'�l�vent dans le fonctionnarisme, ils tendent � se laisser devancer par leurs homologues de l'industrie.
20 PROFESSIONS MOINS EN DEMANDE.Au niveau du recrutement, les traitements que le Service civil attribue � ces professions sont parfois bien sup�rieurs � ceux qu'on attribue ailleurs � un grand nombre d'occupations professionnelles (par exemple, ceux des travailleurs sociaux). Par contre, lorsque ces professionnels atteignent le niveau �moyen� ou les niveaux de surveillance, leur r�mun�ration est tr�s inf�rieure � celle qui est vers�e ailleurs, m�me si la formation universitaire et les qualit�s requises sont analogues. Le gouvernement a pris quelque initiative en vue de relever les taux de ces cat�gories, mais il ne peut d�passer certaines limites sans nuire � la situation de certaines institutions publiques qui sont oblig�es de soutenir la concurrence f�d�rale dans le recrutement de leur personnel. D'autre part, les effectifs comp�tents dans cette sph�re peuvent � la longue se restreindre si la r�mun�ration et les perspectives de carri�re ne peuvent raisonnablement se comparer � celles des professions plus recherch�es.
21 PROFESSIONS PEU EN DEMANDE.Le traitement � partir du niveau d'engagement jusqu'au niveau normal est le m�me que celui des fonctions professionnelles les plus en demande.
22 Bien que les �chelles de traitements se comparent favorablement, la plupart des fonctionnaires dans ces champs d'activit� n'atteignent pas la limite correspondant � leurs capacit�s aussi rapidement que leurs coll�gues dans les professions plus en demande. Par exemple, les courbes de maturit� (traitement moyen selon le nombre d'ann�es depuis l'obtention d'un grade de bachelier) montrent que les agents forestiers et les charg�s de recherches (agriculture) gagnent moins dans la fonction publique que leurs coll�gues du g�nie.
23 II importe que le revenu moyen dans ces professions se compare favorablement avec celui des professions les plus en demande afin que le gouvernement puisse toujours recruter un personnel dont une partie importante est souvent indispensable � la productivit� de la nation.
Emplois administratifs
24 Les comparaisons dans ce domaine sont sujettes � certaines r�serves, parce que la formule actuelle de classification ne permet pas un choix facile de situations clefs pour fins de comparaison et parce que les donn�es fournies par les enqu�tes conduites � l'ext�rieur sont limit�es. Jusqu'au niveau de $12,500 par ann�e, les traitements des fonctionnaires affect�s � des emplois administratifs semblent conformes � ceux de l'industrie. La compression marqu�e des �chelles de traitements au del� de $12,500 ne permet pas de douter que la plupart des fonctions administratives sup�rieures sont beaucoup moins r�mun�r�es dans le secteur public que dans l'industrie.
25 La statistique de l'imp�t sur le revenu, pour l'ann�e fiscale 1958, permet de constater les diff�rences qui existent entre les traitements des fonctionnaires sup�rieurs et les salaires vers�s � leurs homologues dans l'industrie priv�e:
|
Groupes de salari�s en pourcentage du nombre total d'employ�s |
|
Groupe de salari�s |
Fonctionnaires f�d�raux sujets � l'imp�t |
Employ�s des entreprises commerciales sujets � l'imp�t |
($000) |
% |
% |
10-14.9 |
0.7 |
1.2 |
15-19.9 |
0.1 |
0.4 |
20-24.9 |
0.03 |
0.1 |
25+ |
0.02 |
0.2 |
Total – Plus de 10,000 $ |
0.85% |
1.9% |
Remarques d'ordre g�n�ral
26 Dans l'ensemble, les �chelles de salaires pour les postes inf�rieurs de l'administration sont �gales ou m�me sup�rieures � celles des emplois correspondants dans l'industrie priv�e. Les �chelles de salaires pour les emplois sup�rieurs � ces niveaux accusent certaines diff�rences, surtout dans les hauts postes administratifs ou professionnels o� le gouvernement est nettement d�savantag�, au point de vue financier, par rapport � l'industrie priv�e.
AVANTAGES SOCIAUX: COMPARAISONS AVEC L'EMPLOI DANS LE SECTEUR PRIV�
27 D'une fa�on g�n�rale, les r�gimes de pr�voyance en vigueur dans la fonction publique sont plus favorables aux employ�s que ceux de la plupart des industries priv�es. Toutefois, il convient de ne pas oublier deux choses. Tout d'abord, le secteur priv� de l'�conomie, au cours des deux derni�res d�cennies, a r�tr�ci l'�cart qui existait auparavant. En second lieu, certains employeurs importants offrent maintenant un r�gime de pr�voyance qui vaut presque celui du service du gouvernement, et quelques-uns offrent m�me des avantages plus attrayants que la fonction publique.
28 Le r�gime des pensions constitue le principal attrait des programmes de la fonction publique. En r�alit�, le plan de pension de retraite du service public est lib�ral au point de faire obstacle aux changements qu'il serait souhaitable d'apporter � l'ensemble des avantages pr�vus. L'importance qu'on accorde aux pensions est si exag�r�e qu'il convient de se demander si le programme global des avantages est appropri� aux besoins de certains groupes d'employ�s, les jeunes fonctionnaires ayant des personnes � charge, par exemple.
29 Les avantages que la fonction publique offre � ses employ�s sont plus int�ressants que ceux de l'industrie priv�e sous deux autres aspects importants. En g�n�ral, on jouit au service du gouvernement d'une plus grande s�curit� d'emploi. Toutefois, en ce qui concerne les techniciens, les professionnels et les autres groupes plut�t rares de main-d'oeuvre, cet avantage a de beaucoup diminu�, car l'industrie en est venue � offrir � ces groupes d'employ�s un degr� comparable de s�curit�. Dans l'ensemble, le service du gouvernement accorde aussi avec plus de lib�ralit� le droit aux divers genres de cong�s qu'on ne le fait habituellement dans le secteur priv�. En ce qui a trait aux autres avantages et aux conditions de travail, la fonction publique et l'industrie priv�e en sont � peu pr�s au m�me point.
30 Abstraction faite de certaines diff�rences entre le Service civil et les divers groupes exempt�s, les avantages offerts aux fonction�naires sont les m�mes � tous les paliers. Dans le secteur priv� de l'�conomie, on constate, la plupart du temps, des diff�rences consid�rables entre les avantages inh�rents aux postes sup�rieurs et ceux dont jouissent les autres employ�s. En cons�quence, l'ensemble des avantages accord�s aux ouvriers et aux employ�s de bureau dans la fonction publique a tendance � �tre plus lib�ral que celui dont b�n�ficient les groupes correspondants dans l'industrie. Par contre, les avantages accord�s aux fonctionnaires sup�rieurs dans les domaines professionnel et administratif n'�galent pas ceux que l'industrie offre � des employ�s de m�me niveau.
31 Si les importants programmes d'avantages offerts aux employ�s du gouvernement sont tellement sup�rieurs � ceux du secteur priv�, c'est qu'on n'a pas, semble-t-il, une id�e d'ensemble de la r�mun�ration totale (traitements, plus avantages offerts aux em�ploy�s) qui puisse orienter la mise au point d'un programme d'avantages destin� � la fonction publique. Sans doute est-ce aussi parce qu'on n'�value pas comme il le faudrait les frais occasionn�s par ces programmes, et qu'on n�glige de tenir compte d'une �valuation de ce genre quand on arr�te des lignes de conduite int�ressant les avantages accord�s aux employ�s.
32 Les programmes d'avantages offerts aux employ�s du gouvernement sont si compliqu�s que nombre de fonctionnaires et de candidats �ventuels n'en reconnaissent pas la valeur. On ne dispose d'aucun moyen efficace pour faire conna�tre aux fonctionnaires le caract�re et la valeur de ces avantages.
Le Service civil et l'industrie*
*Le passage suivant se fonde sur les r�sultats d'une enqu�te sur les avantages sociaux qu'a men�e le Bureau d'�tude des traitements, ainsi que sur d'autres donn�es, dont certaines sont in�dites. En ce qui concerne la fonction publique, les avantages d�crits tiennent compte du nouveau r�glement �dict� en vertu de la Loi sur le service civil, telle que modifi�e en 1961.
33 R�GLEMENTS R�GISSANT LES CONG�S:
34 ASSURANCE
35 PLAN DE PENSION. Le plan de pension de l'administration est bien plus avantageux que les plans que l'on retrouve dans l'industrie. Sans doute, presque tous les employ�s de la grande et moyenne industrie sont prot�g�s par des plans de pension, mais la Loi sur la pension du service civil pr�sente plusieurs avantages:
36 La cotisation de l'employ� au fonds de pension du service public (6 1/2 p. 100 du traitement pour les hommes et 5 p. 100 pour les femmes) est sensiblement plus �lev�e que la cotisation aux plans du secteur priv� o� la plus fr�quente est de 5 p. 100. Ce d�savantage est compens� du fait que les cotisations ne sont plus exigibles apr�s trente-cinq ans de participation au fonds de pension. Pour l'employeur, le gouvernement, ce plan de pension est extr�mement co�teux. Le co�t et les aspects actuariels du r�gime font l'objet d'un examen dans un autre rapport soumis par vos commissaires.
37 CONDITIONS DE TRAVAIL ET AUTRES AVANTAGES
FONCTION PUBLIQUE ET ORGANISMES EXEMPT�S – COMPARAISON DES AVANTAGES SOCIAUX.
38 Certains plans de pr�voyance du Service civil s'appliquent aussi � la plupart des soci�t�s de la Couronne et autres organismes exempt�s. D'autres programmes d'avantages de la fonction publique ne s'appliquent pas, du moins pas officiellement, aux employ�s des organismes exempt�s. La Loi sur la pension du service civil (y compris le programme de prestations en cas de d�c�s), le programme d'assurance des frais m�dicaux et chirurgicaux pour les membres de la. fonction publique et la Loi sur l'indemnisation des employ�s du gouvernement sont des programmes officiels d'avantages qui s'appliquent � un certain nombre d'organismes publics, de commissions et de soci�t�s, ainsi qu'� la fonction publique. En pratique sont exclus d'ordinaire de cette protection les employ�s de soci�t�s industrielles appartenant � l'�tat, comme 1a Polymer Corporation Limited, les chemins de fer Nationaux du Canada et Air-Canada. On trouvera ci-dessous quelques-uns des principaux organismes qui se trouvent exclus de la protection que procurent les programmes mentionn�s plus haut:
Principaux organismes exclus de l'application de la Loi sur la pension du service public
La Soci�t� centrale d'hypoth�ques et de logement
Eldorado Mining and Refning Limited
La Banque du Canada
Radio-Canada
Polymer Corporation Limited
Les chemins de fer Nationaux du Canada Air-Canada
Principaux organismes exclus du programme de prestation en cas de d�c�s
Canadian Arsenals Limited
Radio-Canada
Soci�t� canadienne des communications transmarines
Cornwall International Bridge Co., Ltd.
Corporation de disposition des biens de la Couronne
Defence Construction (1951) Limited
Eldorado Mining and Refining Limited
Eldorado Aviation Limited
Northern Transportation Company Limited
Polymer Corporation Limited
L'Administration de la voie maritime du Saint-Laurent
Principaux organismes exclus du programme d'assurance-groupe pour frais m�dicaux et chirurgicaux
La Soci�t� centrale d'hypoth�ques et de logement
Eldorado Mining and Refining Limited
L'Administration de la voie maritime du Saint-Laurent
Atomic Energy of Canada Limited
La Banque du Canada
Canadian Arsenals Limited
Radio-Canada
Polymer Corporation Limited
Les chemins de fer Nationaux du Canada
Air-Canada
Principaux organismes exclus de l'application de la Loi concernant l'indemnisation des employ�s de l'�tat
La Banque du Canada
Air-Canada
Les chemins de fer Nationaux du Canada
(Nota: La Polymer est assujettie � la loi.)
39 Plusieurs organismes mentionn�s ci-dessus, qui ne sont pas officiellement vis�s par les plans pr�cit�s, en appliquent n�anmoins les dispositions principales. Dans d'autres domaines des avantages, nombre d'organismes, de commissions et de soci�t�s de la Couronne suivent de pr�s la pratique �tablie dans le Service civil. Tout comme dans le cas des traitements, les organismes exempt�s sont surtout avantag�s parce qu'ils peuvent adapter librement avantages et conditions aux exigences du march� ou � des situations et besoins sp�ciaux.
Avantages accord�s aux employ�s � taux r�gnants
40 Les employ�s � taux r�gnants sont un peu d�favoris�s par rapport aux fonctionnaires au point de vue des avantages sociaux. Toutefois, ils sont aussi bien sinon mieux trait�s que les ouvriers du secteur priv�.
41 Les diff�rences principales entre les avantages accord�s aux fonctionnaires et ceux accord�s aux employ�s � taux r�gnants sont les suivants :
Cong�s. Les cong�s annuels accord�s aux em�ploy�s � taux r�gnants augmentent progressivement, passant de cinq jours pour ceux qui comptent moins de deux ann�es de service, � dix jours pour ceux qui comptent de deux � quatorze ans de service, et � quinze jours pour ceux qui peuvent faire �tat de quinze ans de service et plus. Les fonctionnaires ont trois semaines (15 jours ouvrables) de cong� � partir de la premi�re ann�e compl�te de service.
Neuf jours f�ri�s pay�s sont accord�s aux employ�s � taux r�gnants et dix aux fonctionnaires.
Les employ�s � taux r�gnants peuvent accumuler 7 � jours de cong� de maladie par ann�e et les fonctionnaires 15. D'apr�s le r�glement g�n�ral s'appliquant aux premiers, le premier jour de maladie n'est pas pay� alors que le plan du Service civil ne fixe pas de d�lai.
Le sous-ministre peut accorder des cong�s sp�ciaux pour des raisons d�termin�es d'ordre personnel, mais les employ�s � taux r�gnants, contrairement aux fonctionnaires, ne peuvent accumuler de cong�s sp�ciaux.
Les employ�s � taux r�gnants n'ont pas droit au cong� d'anciennet�, au cong� de retraite, ni � la gratification tenant lieu du cong� de retraite. De m�me, aucune modalit� ne pr�voit l'octroi de cong�s pay�s aux employ�s � taux r�gnants pour les accidents de travail. L'indemnit� pour perte de salaire est limit�e par les dispositions de la Loi sur l'assurance contre les accidents du travail. Le gouvernement ne couvre pas la diff�rence ni une partie de la diff�rence entre l'indemnit� pr�vue par cette loi et le salaire normal de l'employ�. Celui-ci, s'il a droit � l'indemnit� pr�vue par la Loi sur l'assurance contre les accidents du travail, n'a pas droit � un cong� de maladie.
Assurances. Les employ�s � taux r�gnants adh�rent obligatoirement au plan de prestations suppl�mentaires de d�c�s si, apr�s deux ans de service, ils sont accept�s dans le plan de pension.
Il peut �tre vers� � la veuve de l'employ� � taux r�gnants d�c�d�, apr�s deux ans de service ou plus, sans que cet employ� ait adh�r� au plan de prestations suppl�mentaires de d�c�s, une gratification repr�sentant deux mois de salaire.
Les employ�s � taux r�gnants et les personnes � leur charge peuvent adh�rer au plan d'assurance collective d'indemnit�s chirurgicales-m�dicales pour la fonction publique aux m�mes conditions que les fonctionnaires.
Plan de pension. Les employ�s � taux r�gnants participent au fonds de pension et aux autres avantages pr�vus par la Loi de la pension du service public, apr�s avoir �t� accept�s individuellement. Les fonctionnaires y participent automatiquement d�s leur nomination ou durant leur premi�re ann�e de service, mais quelle que soit leur anciennet�, les employ�s � taux r�gnants ne sont pas surs d'y �tre admis. Ils peuvent l'�tre � l'expiration de deux ans de service (ou 24 mois de travail au cours d'ann�es cons�cutives), � condition que le minist�re qui les emploie en fasse la recommandation au gouverneur en conseil apr�s avoir pris en consid�ration l'assiduit� de l'employ�, la qualit� de son travail et certains autres facteurs. Environ 55 p. 100 des employ�s � taux r�gnants ont �t� admis au fonds de pension.
Conditions de travail et autres avantages. La majorit� des employ�s;.� taux r�gnants qui sont engag�s � plein temps travaillent 40 heures ou cinq jours par semaine; les samedis et dimanches sont consid�r�s comme des jours normaux de repos non-pay�.
Les heures suppl�mentaires des employ�s � taux r�gnants peuvent �tre pay�es en esp�ces ou sous forme de cong�. Elles sont g�n�ralement r�tribu�es en esp�ces � un taux moiti� plus �lev� que le taux normal par quart d'heure complet de travail suppl�mentaire fait en sus de l'horaire quotidien normal. Lorsque le paiement prend la forme d'un cong�, ce cong� est aussi moiti� plus long que les heures suppl�mentaires qui ont �t� faites. Des modalit�s sp�ciales s'appliquent au travail fait les jours de cong� statutaire et le jour de repos normal de l'employ�.
L'octroi de p�riodes de repos pay�es (collations) n'est pas r�glement�. La situation varie d'un minist�re � l'autre et d�pend de la nature du travail. En g�n�ral, les employ�s � taux r�gnants b�n�ficient moins que les fonctionnaires de ces p�riodes de repos; cela tient en partie � ce que beaucoup d'entre eux travaillent en dehors des ateliers et des bureaux.
Les employ�s � taux r�gnants doivent verser des cotisations � la Caisse d'assurance-ch�mage, sauf s'ils comptent deux ans de service et que le minist�re qui les emploie confirme qu'il pr�voit les garder pour une p�riode ind�termin�e. Ceux qui gagnent plus de $5,460 par an sont tenus de verser des cotisations s'ils ne r�pondent pas aux conditions pr�cit�es. De fa�on g�n�rale, la proportion des cotisants � la Caisse d'assurance-ch�mage est plus forte chez les employ�s � taux r�gnants que chez les fonctionnaires.
La Loi concernant l'indemnisation des employ�s du gouvernement s'applique aussi bien aux employ�s � taux r�gnants qu'aux fonctionnaires. Toutefois, le r�glement ne contient pas de disposition g�n�rale concernant l'octroi de cong�s pour accident du travail aux employ�s � taux r�gnants. Par cons�quent, ils re�oivent seulement le pourcentage des salaires courants et les plafonds fix�s par la Loi sur l'assurance contre les accidents du travail. Des cong�s de maladie pay�s ne peuvent �tre accord�s que pour la p�riode non couverte par l'indemnit� pour perte de salaire vers�e en vertu de la Loi concernant l'indemnisation des employ�s du gouvernement. Il n'est pas vers� de salaire pour compl�ter l'indemnit� payable en vertu de la Loi sur l'assurance contre les accidents du travail lorsque le taux de cette indemnit� est inf�rieur au salaire courant de l'employ� ou lorsqu'il faut observer un certain d�lai en vertu de la loi provinciale sur l'assurance contre les accidents de travail. Les employ�s � taux r�gnants peuvent b�n�ficier de cong�s de maladie pay�s dans les cas o� ils n'ont pas droit � une indemnit�.
Des sursalaires de nuit, des sursalaires pour travail de surveillance ainsi qu'un salaire sp�cial de service sur appel sont accord�s aux employ�s � taux r�gnants, mais non aux fonctionnaires. En g�n�ral, toutefois, il n'y a pas d'�quipes de nuit chez les employ�s � taux r�gnants. Quelques employ�s aux cales s�ches et � l'imprimerie touchent un suppl�ment pour le travail de nuit. Les ouvriers d'imprimerie qui travaillent de nuit re�oivent une majoration de 15 p. 100 de leur salaire normal jusqu'� concurrence de 32 cents par heure.
Dans certaines cat�gories d'emploi, les employ�s qui sont de service sur appel peuvent toucher 21 cents par heure de service accompli les jours de cong� pay�, et 15 cents l'heure les autres jours. Lorsque l'employ� du service d'urgence est appel�, il re�oit au minimum le salaire normal de trois heures, quelle que soit la dur�e de son travail.
Les employ�s � taux r�gnants qui exercent une surveillance peuvent toucher un sursalaire calcul� en multiples de 5 cents, jusqu'� concurrence de 30 cents par heure, en sus du salaire horaire autoris� pour leur m�tier. Toute proposition en vue du versement d'un sursalaire de plus de 15 cents l'heure pour un travail de surveillance doit �tre examin�e par la Commission du service civil et approuv�e par le conseil du Tr�sor.
REMARQUES G�N�RALES
42 Pris dans leur ensemble, les r�gimes de prestations et les autres avantages qu'on trouve dans l'administration sont si complexes, si mal compris (non seulement en g�n�ral mais sur bien des points importants), et si notoirement diff�rents de ceux qui sont pratiqu�s dans le secteur priv�, que les mesures suivantes am�lioreraient incontestablement la situation :
43 La politique en mati�re d'avantages offerts aux employ�s dans la fonction publique pourrait utilement s'inspirer des principes suivants
LA R�MUN�RATION : PRINCIPES ET APPLICATION
1 Dans une institution publique tout comme dans une institution priv�e, la mise au point d'un bon r�gime de r�mun�ration est loin d'�tre facile. La fixation du salaire n'est p'as r�ductible � des m�thodes scientifiques ou m�caniques. Les sont complexes, et leur importance ne cesse de varier selon les circonstances et les pressions �manant du march�. Les prix qui ont cours sur le march� dictent les limites de la r�mun�ration, mais la fixation de telle ou telle �chelle de salaires se ressent d'influences changeantes d'ordre politique, administratif et social.
HISTORIQUE DE LA R�MUN�RATION DANS LA FONCTION PUBLICQUE
2 Pour brosser l'historique du r�gime actuel des traitements dans l'administration f�d�rale, il faut remonter au rapport d'Arthur Young and Company qui date de 1919. Ce document visait surtout au classement et � la composition des salaires; toutefois, il �non�ait les principes suivants au sujet du programme g�n�ral de paie:
3 Ce sont les cat�gories d'emplois techniques et professionnels qui ont fait l'objet de l'�nonc� de principe suivant sur le traitement. D'apr�s les constatations de la Commission royale d'enqu�te sur le personnel technique et scientifique (1930), la r�mun�ration aux paliers inf�rieurs se comparait favorablement � celle du march� de l'ext�rieur; mais le traitement pr�vu pour la plupart des cat�gories d'emplois scientifiques au gouvernement �tait nettement insuffisant.
4 Au cours de la crise �conomique, on a appliqu� de nombreuses mesures destin�es � restreindre la r�mun�ration, tant dans l'administration que dans le secteur priv� de l'�conomie. Dans la fonction publique, on a r�duit les traitements de 10 p. 100 (Loi sur la d�duction sur les traitements, 1932), restreint l'avancement, mis un terme aux rel�vements statutaires et aboli les postes permanents qui devenaient vacants (C. P. 44 / 13 67 -14 juin 1932). Comme les r�ductions de salaire pratiqu�es dans le secteur priv� avaient �t� bien plus consid�rables, comme on a r�tabli, vers les ann�es trente-cinq, la moiti� de la r�duction de 10 p. 100 qu'avaient subie les traitements des fonctionnaires, et, enfin:, comme on a proc�d� au r�tablissement du plein traitement avant la fin de la d�cennie, les traitements en vigueur dans le service du gouvernement, au d�but de la guerre, �taient tr�s avantageux, comparativement � ceux du secteur priv�.
5 Dans ses grandes lignes, le programme de r�mun�ration suivi pendant la seconde guerre mondiale tendait g�n�ralement � la restriction des augmentations, que temp�raient divers exp�dients destin�s � emp�cher l'injustice flagrante et � permettre au gouvernement de recruter, par des offres raisonnablement concurrentielles, le nombre suppl�mentaire d'employ�s dont il avait besoin en cette p�riode de crise. Le r�gime de r�mun�ration en vigueur dans la fonction publique pendant la guerre a �t� assoupli par l'indemnit� de vie ch�re, l'avancement dans les unit�s militaires, les suppl�ments inh�rents aux travaux de guerre et la dilution du r�gime de classement.
6 Dans la p�riode qui a suivi imm�diatement la guerre, c'est le traitement des �chelons sup�rieurs de la fonction publique qui a d'abord �t� mis en question. Par suite de la recommandation de la Commission royale d'enqu�te sur le classement administratif dans la fonction publique (1946), on a accord� des augmentations � certains sous-ministres et � d'autres hauts fonctionnaires. C'est aussi � cette �poque qu'on a incorpor� au r�gime des traitements de la fonction publique l'indemnit� de chert� de vie accord�e pendant la guerre.
7 En pr�sentant certains remaniements de traitement en 1948, le tr�s honorable Louis Saint-Laurent, alors premier ministre, a �nonc� de nouveau les principes dont s'inspire la politique de r�mun�ration suivie par le gouvernement. C'�tait la premi�re fois depuis 1919 qu'on �non�ait l'ensemble des principes relatifs au traitement, mais ces principes ne diff�raient gu�re de ceux qu'on avait formul�s en 1919. Les trois principaux peuvent se r�sumer comme suit :
8 En 1958, lors du congr�s de fondation de l'Association du service civil du Canada, le tr�s honorable John Diefenbaker a formul� la d�claration suivante sur la r�mun�ration au sein de la fonction publique:
Pendant de nombreuses ann�es, on a g�n�ralement reconnu que la fixation des traitements, dans la fonction publique, doit se conformer � deux grands principes. Tout d'abord, les traitements doivent �tre assez �lev�s pour r�pondre � (objectif qui leur est propre: attirer et conserver dans le service du gouvernement ceux et celles qui poss�dent les aptitudes requises. En second lieu, ils doivent �tre �quitables, et pour les fonctionnaires et pour ceux qui ne sont pas au service du gouvernement, autrement dit, les contribuables; la r�mun�ration que nous accordons pour tel ou tel genre d'emploi doit donc se comparer au salaire que versent les employeurs de l'entreprise priv�e pour un travail analogue, compte tenu des autres conditions d'emploi qui doivent entrer en ligne de compte si l'on veut �tablir une juste comparaison. A mon avis, ces principes devraient continuer � nous guider.
9 C'est l'article 10 de la nouvelle Loi sur le service civil qui constitue le plus r�cent �nonc� des principes relatifs au traitement. Cet article est ainsi libell�:
En faisant des recommandations sur la r�mun�ration, la Commission doit consid�rer les exigences du service civil et tenir compte �galement des traitements et autres modalit�s et conditions d'emploi qui r�gnent au Canada pour un travail similaire � l'ext�rieur du service civil, de m�me que du rapport qui existe entre les fonctions des diverses cat�gories dans le service civil ainsi que de toutes autres questions qu'elle estime �tre dans l'int�r�t public.
10 Ces principes relatifs � la r�mun�ration sont bien moins pr�cis que ceux qu'on avait �nonc�s en 1919 et en 1947, m�me s'ils leur ressemblent; ils peuvent donc �tre diversement interpr�t�s.
11 On n'a pas encore �tabli, jusqu'ici, l'ensemble des principes r�gissant la r�mun�ration des fonctionnaires. Les d�clarations qu'on a formul�es dans le pass�, parce qu'elles �taient trop g�n�rales, n'ont eu qu'une utilit� tr�s restreinte dans la pratique. En �non�ant des principes bien pr�cis qui r�giraient la r�mun�ration des fonctionnaires, le gouvernement r�pondrait � des besoins pressants. Cet �nonc�
12 Autre constatation importante: ce n'est que ces derni�res ann�es qu'on a accord� une grande attention aux forces du march� pour la fixation des traitements des fonctionnaires. M�me si le rapport Young, pr�sent� en 1919, y voyait un des crit�res pour l'�tablissement des salaires, on s'est surtout pr�occup�, au cours des ann�es vingt et trente, d'assurer le maintien de l'�quilibre � l'int�rieur du service m�me en se contentant de respecter de vagues normes d'�quit�. La pratique suivie au chapitre de la r�mun�ration pendant les ann�es suivantes, montre qu'on tenait les �chelles de salaires pour satisfaisantes d�s qu'elles permettaient de recruter et de conserver le personnel requis. Durant la seconde Grande Guerre et les ann�es suivantes,. on s'est surtout fond� sur les fluctuations du co�t de la vie pour les rajustements de traitements. Ce n'est qu'� la fin des ann�es quarante que l'on a commenc� � tenir vraiment compte des pressions et des taux du march� de l'ext�rieur. En �non�ant de nouveau les principes relatifs � la r�mun�ration, en 1947, M. Saint-Laurent a compris davantage l'importance du march� qu'on ne l'avait fait jusque l�. Depuis lors, on a accord� de plus en plus d'attention aux �chelles de salaires en vigueur sur le march� de l'emploi; mais ce souci ne s'est concr�tis� qu'en 1957 par l'�tablissement d'un programme et de pratiques assez bien adapt�s au march� de l'emploi; c'est alors qu'on a cr�� le Bureau d'�tude des traitements.
13 Deux facteurs ont contribu� � ce que la fixation des traitements soit davantage conforme, ces derni�res ann�es, aux taux du march�. D'abord, en raison de l'emploi � peu pr�s int�gral r�alis� depuis la seconde guerre mondiale, le march� est in�vitablement devenu un facteur plus important en ce qui concerne la fixation des traitements; en deuxi�me lieu, l'administration, qui a de plus en plus besoin d'un personnel assez rare dans les domaines technique, professionnel et administratif, a �t� contrainte de faire une concurrence plus serr�e aux employeurs de l'ext�rieur.
LA R�MUN�RATION DANS L'ADMINISTRATION F�D�RALE: CRTT�RES EXTERNES
14 L'objectif g�n�ral du programme des traitements dans la fonction publique devrait manifestement �tre le suivant: la cr�ation et le maintien d'un service efficace et d�ment r�mun�r�. Ce programme devrait tendre vers trois objectifs pr�cis: aider � remplir les cadres du service par un personnel comp�tent, en y attirant les candidats qui font l'affaire et en retenant les employ�s comp�tents; r�mun�rer �quitablement les serviteurs du gouvernement; r�aliser les deux objectifs pr�c�dents � des frais le moins �lev� possible pour le contribuable.
15 Le gouvernement fait concurrence aux employeurs sur le march� du travail. Si d'une fa�on g�n�rale les traitements offerts dans le service public sont consid�rablement moindres que les salaires offerts pour des fonctions et des conditions de travail analogues dans l'industrie, le gouvernement aura de plus en plus de difficult� � recruter des employ�s poss�dant les aptitudes requises. Par contre, si le bar�me du service public est consid�rablement plus �lev� que celui de l'entreprise priv�e, l'administration absorbera une part excessive de la main-d'œuvre la plus comp�tente de l'industrie, ce qui nuira � la productivit� dans l'�conomie nationale.
16 En outre, il est manifeste que le gouvernement, s'il ne tient pas compte des taux r�gnants, aura tr�s peu d'indications sur les principaux aspects �conomiques de la fixation des salaires. D'ordinaire, il n'existe dans la fonction publique aucun rapport direct entre la r�mun�ration et la demande dont le produit fait l'objet, car la plupart des services du gouvernement ne sont pas offerts sur un march� libre; ils le sont encore moins sur un march� concurrentiel. Les conditions qui r�gnent sur le march� du travail constituent donc le seul indicateur �conomique � la disposition du gouvernement.
17 Mais en se fondant surtout sur les taux du march� de l'ext�rieur pour �tablir les bar�mes de la r�mun�ration dans la fonction publique, on ne fait que choisir un point de d�part. Dans la pratique, bien des difficult�s surgissent. Tout d'abord, l'�chelle de traitements pr�vue pour tout poste de la fonction publique peut habituellement �tre compar�e � un �ventail de taux en vigueur sur le march�. Ensuite, nombre de fonctions du service public n'ont pas d'�quivalents dans l'industrie priv�e; il est alors difficile, voire impossible de trouver un juste terme de comparaison dans les taux du march�.
18 La premi�re difficult� signal�e ci-dessus provient de ce que l'expression �taux du march� ou �taux r�gnants� correspond � une entit� abstraite. Dans la r�alit�, il n'y a pas de taux unique sur le march�. Il existe de nombreux taux r�gnants, et il ne suffit pas, pour r�soudre le probl�me de la fixation des traitements, de relever les taux inh�rents aux divers genres de travail dans les milieux priv�s; il faut encore choisir un bon �chantillon d'entreprises et de taux afin d'orienter la fixation des traitements.
19 R�gle g�n�rale, l�s salaires vers�s dans tous les �tablissements (sauf les tr�s petits) peuvent fort bien servir de moyen de comparaison pour la r�mun�ration des postes d'employ�s de bureau et d'ouvriers, � condition qu'on tienne bien compte de la r�partition g�ographique des fonctionnaires des cat�gories en cause. Mais dans le cas des postes techniques, professionnels et sup�rieurs, le gouvernement doit faire concurrence � un groupe choisi d'employeurs. Le gouvernement, qui est un important employeur, fait alors directement concurrence aux gros employeurs du secteur priv�; il ne doit pas se laisser distancer par eux s'il veut recruter et conserver un effectif comp�tent.
20 Le Bureau d'�tude des traitements fonde ses comparaisons de salaires � partir d'un �groupe choisi d'employeurs�. Il ne faut pas entendre par l� les meilleurs employeurs, mais plut�t un groupe repr�sentatif des employeurs � qui le service public dispute des candidats. Le groupe de compagnies qui sert d'�chantillon aux relev�s du Bureau d'�tude des traitements, m�me s'il n'est pas encore fixe, semble bien convenir � l'effectif professionnel et technique; mais pour bien des cat�gories inf�rieures d'emploi, peut-�tre ne serait-il pas n�cessaire de recourir dans une m�me mesure � des entreprises choisies.
21 Le march� du travail ayant subi des transformations radicales, bien des groupes de main-d'œuvre hautement sp�cialis�e pour qui le service du gouvernement f�d�ral constituait auparavant presque le seul d�bouch�, sont maintenant tr�s recherch�s par l'industrie priv�e, les gouvernements provinciaux et municipaux, et les maisons d'enseignement. Les candidats qui, dans le pass�, auraient consid�r� la fonction publique avant toute autre possibilit� peuvent maintenant choisir entre un grand nombre de postes int�ressants et lucratifs. Pour cette raison et pour d'autres encore, le service public doit appliquer des �chelles de traitements telles qu'il soit de plus en plus � la hauteur de la concurrence. Il doit donc maintenir des normes �lev�es pour la s�lection et le rendement de ses employ�s. Il doit s'appliquer davantage � maintenir l'efficacit�, les normes de rendement, et la production en harmonie avec les niveaux de la r�mun�ration. Le co�t de la r�mun�ration ne commence qu'avec les niveaux de traitement. Ce qui compte, en d�finitive, c'est la production qu'ach�tent les traitements.
22 On a d�j� signal� que nombre de fonctions du service public trouvent difficilement des �quivalents, pour fins de comparaison, dans le secteur priv� de l'�conomie. Ainsi, peut-on utiliser les taux du march� de la concurrence pour �tablir la r�mun�ration des astronomes, des m�t�orologues, des contr�leurs de la circulation aux a�roports et d'autres pour qui le principal employeur est le gouvernement? Pour donner � ces emplois la place qui leur revient dans l� r�gime de traitements du gouvernement, on peut se servir d'emplois rep�res que l'on retrouve dans le secteur priv�, faire la comparaison des fonctions et recourir � d'autres m�thodes de ce genre.
23 II incombe au gouvernement de voir � ce que les employ�s dont la fonction n'a pas d'�quivalent sur le march� re�oivent un traitement �quitable par rapport � ceux dont le march� d�termine le salaire. On a d�j� constat� que l'augmentation de traitement des fonctionnaires qui n'ont pas d'homologues dans le secteur priv� de l'�conomie est plus lent que celui des fonctionnaires occupant des emplois comparables mais dont les services font l'objet d'une certaine concurrence. Le gouvernement doit aussi poursuivre un autre objectif: assurer une r�serve suffisante et durable d'effectifs pour occuper les emplois propres � la fonction publique. Ce besoin montre d'une fa�on plus convaincante encore que l'administration doit accorder une r�mun�ration �quitable et proportionnellement juste.
24 Le gouvernement devrait-il modifier sa politique en mati�re de r�mun�ration des fonctionnaires pour tenir compte des attraits que constituent les avantages et autres modalit�s d'emploi inh�rents � la fonction publique? Comme il est en bien meilleure posture que l'industrie priv�e pour ce qui est des avantages sociaux offerts aux employ�s de bureau et aux ouvriers, le gouvernement serait en quelque sorte justifi� de r�duire le traitement initial pr�vu pour ces cat�gories d'employ�s un peu en de�� de celui du secteur priv�. Mais, du fait que la concurrence joue sur le march� du travail, il ne serait pas sage d'en faire autant pour le personnel de direction ou pour le personnel professionnel et technique. Les dipl�m�s de ces groupes sont vraisemblablement plus attir�s par le salaire net et les possibilit�s d'avancement que par des avantages sociaux dont la valeur ne se fait sentir qu'avec le temps. Sur le march� du travail, o� les postes sup�rieurs font l'objet d'une concurrence serr�e, ils n'ont pas de peine � trouver les salaires qu'ils souhaitent et des avantages assez semblables � ceux qu'offre la fonction publique. Le r�gime de traitement du gouvernement devrait chercher � satisfaire � la longue aux conditions du march�, tant au point de vue des �chelles de traitements qu'� celui des avantages sociaux.
LA R�MUN�RATION DANS L'ADNIINISTRA TION F�D�RALE : CRIT�RES INTERNES
Le r�gime de classification
25 Les comparaisons avec l'ext�rieur fournissent de bons points de rep�re pour l'�tablissement de niveaux g�n�raux de r�mun�ration int�ressant certains genres de travail au sein de la fonction publique. Elles indiquent la marge dans laquelle devrait tomber le traitement de telle ou telle cat�gorie d'employ�s, mais elles n'apportent pas toutes les donn�es requises pour l'administration d'un r�gime de r�mun�ration bien con�u. Pareil r�gime doit faire en sorte que le traitement du fonctionnaire puisse �tre incorpor� � la structure de la r�mun�ration indiqu�e par les comparaisons avec l'ext�rieur, et qu'il le soit de fa�on � pr�voir des r�compenses et des stimulants pour le travail m�ritant. La classification des positions est essentielle � la r�alisation de ces objectifs, surtout quand il y va d'une organisation aussi vaste et aussi complexe que la fonction publique.
26 Importante dans l'administration d'un r�gime de r�mun�ration, la classification l'est aussi pour d'autres fins. Elle d�pend de la nature des fonctions que devra remplir le candidat nomm�. La nature des emplois est �videmment une condition essentielle lorsqu'il s'agit de l'affectation, de l'avancement, de la formation des employ�s et de l'�valuation de leur rendement. La classification et la nature des emplois sur laquelle elle se fonde facilitent le recrutement qui doit r�pondre aux besoins pr�sents et futurs de personnel, et orientent les d�cisions touchant les aptitudes exig�es du candidat nomm� � chaque emploi.
27 Le r�gime de classification de l'administration tire ses origines du rapport que la soci�t� Arthur Young and Company a pr�sent� au Parlement, en 1919, � la suite d'une �tude. A l'�poque, un sentiment populaire tr�s prononc� voulait qu'on mette frein au favoritisme. Pour mettre sur pied le r�gime dit �du m�rite� qui �tait destin� � rattacher les nominations et l'avancement aux aptitudes du fonctionnaire plut�t qu'� la faveur politique, il fallait d'abord �tablir un r�gime de classification comportant une d�signation pr�cise de chaque poste.
28 Le r�gime actuel de classification a �t� l�galement institu� par la Loi de 1918 sur le service civil, modifi�e en 1919. La nouvelle Loi de 1961 sur le service civil, refonte de l'ancienne, maintient le r�gime de classification. L'article 9 est ainsi con�u:
9. (1) La Commission doit r�partir le service civil en cat�gories d'emploi et classifier chaque emploi qui en rel�ve.
(2) La Commission peut subdiviser chaque cat�gorie en deux ou plusieurs classes, mais une cat�gorie non ainsi subdivis�e constitue, aux fins du pr�sent article, une classe.
(3) La Commission doit d�limiter chaque classe d'apr�s des normes relatives aux devoirs, responsabilit�s et qualit�s requises, et y donner une d�signation appropri�e.
(4) Chaque classe doit comprendre tous les emplois d'une cat�gorie qui comportent des fonctions et responsabilit�s semblables et requi�rent, de la part des personnes nomm�es � un emploi de cette classe, des qualit�s similaires.
(5) La Commission peut diviser, r�unir, changer ou abolir toute cat�gorie ou classe; toutefois, une mesure prise en vertu du pr�sent paragraphe sans (approbation du gouverneur en conseil ne modifie en rien l'effectif d'un minist�re.
(6) Dans tous les dossiers de la Commission, de l'auditeur g�n�ral et du conseil du Tr�sor, ainsi que dans toutes les pr�visions budg�taires des minist�res et les �tats et cr�dits soumis au Parlement, on doit utiliser la d�signation de chaque classe, qu'il n'est pas n�cessaire, cependant, d'employer pour d'autres objets.
29 La soci�t� Arthur Young and Company, dans son rapport pr�sent� en 1919, s'est pench�e sur la n�cessit� et l'objet de la classification. Elle a signal� que la classification des postes du service est une condition pr�alable � l'examen des candidats. La Loi de 1918 exigeait que les candidats soient examin�s et que les nominations soient faites �au moyen d'un examen de concours qui sera d'une nature propre � d�terminer les aptitudes des aspirants aux emplois particuliers auxquels ils doivent �tre nomm�s�. Voici ce que d�clare la soci�t� Arthur Young and Company � ce propos : � �videmment la Commission ne saurait d�cider des qualit�s que poss�dent les candidats pour remplir les devoirs attach�s � des positions particuli�res � moins qu'elle ne sache quels sont les devoirs de ces positions . . . Ce n'est qu'� l'aide d'un syst�me de classification d'apr�s lequel les positions comportant des devoirs essentiellement identiques et exigeant les m�mes aptitudes sont group�es, qu'il est possible de tenir des examens d'avance et de dresser et tenir � jour des listes de candidats comp�tents (listes d'�ligibles).�
30 En outre, la loi exigeait que la Commission du service civil, �apr�s avoir consult� les divers sous-chefs, pr�pare des plans pour l'organisation de chaque minist�re du service civil�. Pour que la Commission puisse s'acquitter de cette t�che et indiquer �les cat�gories d'emploi et le nombre d'employ�s de chaque cat�gorie n�cessaires au fonctionnement de chaque minist�re�, un programme de classification s'imposait. Enfin, la soci�t� Arthur Young and Company soulignait qu'un programme de ce genre constituait une condition pr�alable � �une r�mun�ration uniforme pour un m�me travail�.
31 Le r�gime de classification, mis en vigueur en 1919, a toujours �t� appliqu� par la Commission du service civil. Pour la gouverne de ceux qui sont charg�s de ce programme, la Commission a ratifi� la d�claration de principes suivante:
1. Les devoirs et les responsabilit�s attach�s � une position devraient �tre le crit�rium devant servir � d�terminer la classification de la position, parce que ces attributs constituent les caract�ristiques fondamentales qui la distinguent d'autres positions et parce que, en groupant les positions de fa�on � r�unir celles qui en substance comportent les m�mes devoirs et responsabilit�s, on remplira compl�tement le but vis� par la classification.
2. Les positions comportant en substance les m�mes devoirs et responsabilit�s exigent presque les m�mes aptitudes quant � (instruction, (exp�rience, les connaissances et l'adresse de la part des titulaires, et pour cette raison, ces qualit�s requises, subordonn�es comme elles le sont � la nature du travail � effectuer, constituent une base auxiliaire lorsqu'il s'agit de d�terminer la classification d'une position donn�e.
3. Ni le degr� d'efficacit� qu'apporte dans l'exercice des fonctions celui qui remplit cette position, ni les aptitudes que ce dernier poss�de ou qui lui manquent, ni le traitement qu'il re�oit, ni aucune autre circonstance relevant uniquement de lui-m�me, doivent �tre consid�r�s comme devant influer sur la classification de la position en question.
4. Pour le groupement des positions il faudrait adopter le proc�d� pratique le moins compliqu� qui r�pondra au but pour lequel la classification s'impose; pour se conformer au principe, l'unit� de classification devrait �tre un groupe (d�sign� sous le nom de �classe�) comprenant toutes les positions du Service, sans tenir compte des minist�res, qui comportent des devoirs et des responsabilit�s essentiellement identiques.
32 On peut comprendre sans peine la t�che que repr�sente la mise � ex�cution d'un programme de classification si l'on songe que le Service civil ne comptait que 25,000 employ�s lors de la mise � ex�cution du programme, tandis qu'il en compte aujourd'hui 130,000. Un r�gime qui devait adopter la m�thode la plus simple et la plus pratique pour le groupement des postes pouvait s'accommoder d'une certaine souplesse quand il s'appliquait � 25,000 ou m�me � 50,000 employ�s. Mais au fur et � mesure que le Service civil a pris de l'ampleur, le r�gime est devenu plus complexe, plus difficile � appliquer et moins conforme aux besoins.
33 La Commission royale d'enqu�te sur la classification 'des emplois administratifs, a fait savoir qu'il y avait, en 1946, 3,700 diff�rentes cat�gories (dont 1,500 correspondaient � des emplois provisoires cr��s en temps de guerre). Ce nombre lui a paru excessif et aux antipodes du �proc�d� pratique le moins compliqu�. Elle a donc recommand� l'adoption d'un r�gime de classification plus simple et plus facile d'application. Depuis lors, on s'est manifestement efforc� de donner suite � cette recommandation; au moment o� commen�ait l'�tude qui fait l'objet du pr�sent rapport, le nombre de cat�gories avait �t� r�duit � 887, dont 106 avaient �t� d�crites de fa�on telle qu'on les croyait adapt�es aux conditions actuelles du travail. Cependant, il n'existait pas de normes officielles pour les 781 autres cat�gories, et on estimait que l'�tablissement d'une liste compl�te de normes prendrait encore des ann�es.
34 Jusqu'au d�but des ann�es cinquante, la gestion du r�gime de classification faisait preuve d'une certaine �lasticit�. Bien qu'ils fussent des employ�s de la Commission du service civil, les agents du classement exer�aient presque toujours leurs fonctions dans les minist�res et ils �taient tenus de se familiariser avec tous les fonctionnaires. Ils finissaient par bien conna�tre les minist�res aupr�s desquels ils �taient d�tach�s, ainsi que les fonctionnaires qui y travaillaient. Les d�cisions relatives au classement �taient arr�t�es, pour ainsi dire, sur place. C'est ainsi que les choses se passaient apr�s la seconde guerre mondiale: ceux qui accomplissaient alors ce travail avaient acquis une certaine anciennet� et, en plus d'�tre rompus au classement, s'�taient occup�s d'un grand nombre de genres d'employ�s dans mille circonstances diverses. A cette �poque, on savait fort bien qui �tait � la t�te de la Commission; les �chelons hi�rarchiques entre les agents du classement et le pr�sident de la Commission �taient peu nombreux, et les agents du classement pouvaient obtenir des d�cisions rapides et compter sur l'appui du leur chef.
35 Depuis dix ans, cette souplesse a disparu. Les probl�mes touchant le classement semblent plus difficiles � r�soudre, tant pour le fonctionnaire que pour son chef. La persuasion �clair�e ne joue plus un r�1e aussi important et les rouages fonctionnent beaucoup plus lentement qu'auparavant. Cet �tat de choses semble �tre attribuable � plusieurs raisons, dont le r�organisation de la Commission elle-m�me. Les trois commissaires se partagent maintenant les responsabilit�s, avec ce r�sultat que l'�quipe pr�pos�e au classement et au traitement, et l'�quipe charg�e du fonctionnement et de la mise � ex�cution rel�vent de deux commissaires diff�rents.
36 En outre, on a pris une initiative qui para�t discutable: on a confi� le classement, le recrutement et l'affectation aux agents du Service de fonctionnement de la Commission. Dans le monde industriel, l'exp�rience montre que ces fonctions sont distinctes et qu'il vaut mieux les consid�rer s�par�ment; sinon, l'une ou l'autre aura vraisemblablement � en souffrir, selon les pressions du moment. Peu d'administrateurs du personnel peuvent exercer des fonctions aussi diverses avec une �gale comp�tence.
37 Toutefois, la d�t�rioration relative de l'application du r�gime de classification est surtout imputable aux exigences de la r�glementation financi�re. Le conseil du Tr�sor n'est pas habilit� � classer un emploi; mais en fixant le nombre de postes d'une cat�gorie donn�e dans un minist�re au cours d'une ann�e financi�re, et en d�terminant le traitement de chaque cat�gorie, il d�tient le v�ritable pouvoir malgr� le r�gime de classification. Ces responsabilit�s accrues ont in�vitablement entra�n� un d�doublement des �quipes pr�pos�es au personnel. Ainsi, le conseil du Tr�sor n'a pas mis de temps � constater que, pour prendre des d�cisions sur l'�chelle de traitements appropri�e � telle ou telle cat�gorie, il avait besoin de sp�cialistes en mati�re de personnel qui examineraient les recommandations de la Commission du service civil. D'autre part, le processus de r�vision des effectifs, dont les imperfections ont d�j� �t� examin�es plus haut, a rendu le programme de classification inerte et inop�rant.
38 La classification ne semble pas poser autant de probl�mes � l'industrie qu'� la fonction publique. C'est surtout parce que l'industrie a moins tendance � appliquer des cat�gories communes � tous les secteurs de son activit�. Dans le service du gouvernement f�d�ral, c'est d'ordinaire la classification qui sert de d�nominateur commun, tandis que dans l'industrie, c'est l'�ventail des salaires. La distinction est d'importance. On a constat�, dans l'industrie, qu'il est beaucoup plus avantageux d'�chelonner les cat�gories d'emploi d'apr�s un tableau simplifi� d'�chelles de salaires plut�t que d'appliquer un r�gime de classification englobant toute l'organisation.
39 Bien des pays d'Europe, notamment la Grande-Bretagne, la France, l'Allemagne, l'Italie, l'Autriche et la Belgique, ont adopt� des cat�gories g�n�rales communes � tous les secteurs de leur administration. Le r�gime de classification adopt� au Canada s'oriente aussi dans cette voie. Aux �tats-Unis, le service de l'�tat f�d�ral est tellement vaste qu'on ne saurait proc�der par cat�gories applicables � l'ensemble du service. C'est donc l'�ventait des traitements qui sert de d�nominateur commun et, sous l'empire du Programme de classification des emplois dans le service f�d�ral des �tats-Unis, tous les postes sont compris dans 18 classes de traitements. Chaque classe de traitements s'applique � de nombreuses cat�gories et le titre des postes n'a que peu d'importance. Ce qui compte, c'est que tel ou tel emploi d'une classe de traitements donn�e se compare � tous les autres emplois de cette classe au point de vue des difficult�s d'ex�cution qu'il comporte et des responsabilit�s assign�es au titulaire.
40 C'est g�n�ralement cette m�thode qu'on applique � l'heure actuelle dans l'industrie nord-am�ricaine. Il existe un nombre restreint d'�ventails de salaire, et la d�signation des fonctions d'une cat�gorie permet de rattacher cette cat�gorie � tel ou tel �ventail. Parce qu'elle est subjective, cette classificationne peut �tre m�ticuleusement pr�cise; les �chelles de salaires ont donc tendance � s'�tendre et � d�border les unes sur les autres. En r�alit�, sous l'empire du r�gime actuel de classification, la Commission du service civil et le conseil du Tr�sor s'efforcent d'�tablir des distinctions plus subtiles que la Commission du service civil des �tats-Unis ou que les administrateurs pr�pos�s aux relations industrielles des grandes entreprises ne s'estiment capables de faire. En cons�quence, les bureaux de la Commission du service civil � Ottawa regorgent d'une fastidieuse documentation provenant de querelles interminables sur de pr�tendues injustices ou manques de logique, cons�quence in�vitable de la complication du r�gime actuel de classification.
41 La normalisation des cat�gories qu'on tente d'�tablir montre aussi qu'on cherche � atteindre une perfection impossible. Au mois de mai 1961, seulement 106 cat�gories sur 887 avaient �t� assujetties � des normes g�n�ralement reconnues. Il y a quelques mois, un fonctionnaire de la Commission du service civil pr�disait qu'il faudrait quatorze ans pour mener le programme � terme. Cette pr�diction est sans doute juste, �tant donn� la m�thode qu'on utilise: les normes sont �nonc�es dans les d�tails les plus m�ticuleux. Cette longueur et cette complexit� d�passent les capacit�s de m�morisation de l'administrateur moyen qui ne pourra jamais esp�rer retenir avec nettet� un nombre utile de normes. En voulant �tablir une classification pouss�e jusqu'aux plus menus d�tails, on manque du sens des r�alit�s. Des d�tails minutieux, qui servent peu � d�terminer la valeur d'un emploi par rapport au march� ou � le situer au sein de l'organisation, ont surtout pour effet d'embrouiller la question et de rendre moins souple l'administration du personnel. Les d�signations minutieuses des emplois ne valent que pour un certain temps, car tout comme les organismes vivants, les emplois �voluent constamment.
42 Il est de beaucoup pr�f�rable de recourir � des d�signations succinctes comportant tous les d�tails importants dont on a besoin pour �clairer l'organisation et d�terminer la valeur d'un emploi donn�. Heureusement, la Commission du service civil s'int�resse de nouveau � cette formule depuis quelque temps, avec ce r�sultat que la pr�paration des normes s'est acc�l�r�e d'autant. On esp�re mettre au point un ensemble complet de normes en quatre ans. Peut-�tre cette pr�diction p�che-t-elle par optimisme; tout d�pendra de la rapidit� de l'�volution � l'int�rieur du r�gime de classification pendant cette p�riode. Le rythme de l'�volution de la fonction publique est tel que les administrateurs du r�gime de classification, s'ils ne veulent pas donner l'impression de pi�tiner, devront travailler de plus en plus vite.
43 Tout ceci n'est que rafistolage d'un r�gime qui devrait �tre totalement repens�. A l'heure actuelle, les agents de la classification font songer � des m�caniciens sp�cialis�s qui s'acharneraient � r�parer les pi�ces motrices d'un bateau � aubes en transformant un boulon de carrosse en pi�ce de rechange et en trouvant quelque emploi � une cha�ne de bicyclette. Ils sont trop affair�s pour se demander si le moteur qu'ils connaissent si bien et qu'ils soignent avec tant d'ing�niosit� n'est pas d�suet.
44 On a inject� une forte dose de rigidit� au r�gime de classification de la fonction publique en adoptant la m�thode qui consiste � rattacher aux postes des conditions tr�s pr�cises touchant l'instruction et l'exp�rience des aspirants. Ces exigences semblent souvent quelque peu arbitraires; il en r�sulte in�vitablement que bien des carri�res pr�vues par le r�gime de classification contiennent des obstacles que ne r�ussissent pas � surmonter nombre de candidats qui ont une grande puissance de travail et des aptitudes susceptibles de les mener loin.
45 La premi�re d�claration de principe sur la classification, formul�e par la Commission du service civil et cit�e ci-dessus, annon�ait la pratique qui consiste � d�terminer l'instruction et l'exp�rience exig�es des candidats. L'utilisation de telles normes pr�sente un avantage: il facilite le choix des candidats. L'�tablissement de normes objectives et explicites, quelque arbitraires qu'elles soient, permet, mieux que la d�signation la plus pond�r�e des emplois, de restreindre le nombre des appels pouvant �tre interjet�s contre des d�cisions relatives � l'avancement, et de r�duire dans une certaine mesure les pressions qu'on ne cesse d'exercer pour faire de l'anciennet� le principal motif de l'avancement.
46 Ceux qui soutiennent qu'il faut �tablir des normes arbitraires et bien arr�t�es touchant l'instruction des candidats ont contre eux l'exp�rience des organismes exempt�s. Ainsi, la Banque du Canada n'exige pas de ses �conomistes des titres acad�miques d�termin�s. Certains employ�s acc�dent � ce poste, mais n'ont jamais fr�quent� l'universit�, ni ne se sont perfectionn�s dans l'accomplissement de leurs fonctions � la Banque m�me.
47 Dans le pass�, les administrateurs du r�gime de classification ont t�ch� de faire dispara�tre la rigidit� en �tablissant et en utilisant des cat�gories g�n�rales plus souples. Ainsi, on peut ranger dans la cat�gorie des �chimistes� ceux qui r�pondent aux exigences requises en mati�re d'instruction, et dans la cat�gorie des �agents techniques� ceux qui n'ont pas fait d'�tudes r�guli�res en chimie mais qui poss�dent les connaissances d'un chimiste subalterne. Celui qui a fait des �tudes acad�miques sera consid�r� comme ��conomiste�; son coll�gue autodidacte, comme �agent technique�. Ainsi, pour redonner au programme un peu de la souplesse que les normes lui font perdre, on a ajout� � la liste nombre de cat�gories g�n�rales tr�s vagues : celles des �agents techniques� et des �agents d'administration � en sont les exemples les plus frappants. On peut sans peine deviner les fonctions d'un commis, d'un �conomiste, d'un surveillant de machines � calculer, ou d'un inspecteur en cargaisons; il n'en va pas de m�me pour un agent technique si l'on s'en tient uniquement au titre de son emploi. Le titre semble indiquer un travail de laboratoire; il arrive souvent que le titulaire soit un agent du personnel ou de l'information.
48 Un principe fondamental du r�gime de classification, �nonc� en 1919, �tait ainsi libell� : �Ni le degr� d'efficacit� qu'apporte dans l'exercice des fonctions celui qui remplit cette position, ni les aptitudes que ce dernier poss�de ou qui lui manquent, ni le traitement qu'il re�oit, ni aucune autre circonstance relevant uniquement de lui-m�me, doivent �tre consid�r�s comme devant influer sur la classification de la position en question. � Autrement dit, la classification ne concerne pas des particuliers comme tels, mais les fonctions inh�rentes aux emplois.
49 Toutefois, la classification du service public se pr�occupe plus du titulaire que du poste; c'est ce qui est devenu tr�s manifeste et qui ressort notamment des cat�gories d'emploi scientifique. Ainsi, un fonctionnaire peut escalader tous les �chelons qui vont de �chimiste 1 �, avec traitement annuel de $4,380, � �chimiste 5�, avec traitement de $11,200, sans jamais changer d'emploi ni cesser de s'occuper du m�me probl�me. En l'occurrence, le changement de classe correspond au changement qui se produit dans le titulaire de l'emploi, ce qui change du tout au tout le niveau du poste qu'il occupe, en raison d'�l�ments purement personnels. On reconna�t depuis longtemps que la fonction, � tous les paliers de l'administration, tend � se modeler sur celui qui l'exerce. L'exercice d'une fonction administrative ne se r�soud pas � une seule norme d'excellence: deux administrateurs peuvent accomplir leur t�che avec comp�tence, mais la meilleure fa�on de proc�der, pour l'un, peut �tre presque impossible pour l'autre.
50 M�me aux �chelons des emplois de bureau, les aptitudes et autres caract�ristiques propres d'un fonctionnaire peuvent modifier la nature d'un emploi et contraindre au reclassement. Il en r�sulte ce qu'on a appel�, dans le service public, � d'ascension par reclassification �. Il ne fait pas de doute que cette pratique est justifi�e dans une certaine mesure.
51 L'administration actuelle du r�gime de classification, voire le r�gime lui-m�me, n'est qu'un aspect du paternalisme excessif qui entoure le fonctionnaire. Il est prot�g� par le Parlement, indirectement par les d�put�s et directement par la Commission du service civil; sauf si l'on recourt � divers moyens pour Le contourner, un r�gime rigide d'administration du personnel emp�che sa personnalit� de s'�panouir. Ainsi, on affranchit la classification de toute autorit� minist�rielle pour la confier � un organisme de r�gie plus �loign�, sans doute dans le dessein d'assurer l'objectivit� et l'impartialit�: Cette initiative a pour r�sultat de d�personnaliser le r�gime tout en le rendant bien moins sensible aux r�alit�s des fonctions, qui �voluent constamment, et des responsabilit�s assign�es � chacun.
Le r�gime de r�mun�ration
52 La plupart des r�gimes modernes de r�mun�ration tentent - et ce sont des tentatives imparfaites - d'assurer que chaque employ� soit r�mun�r� �quitablement par rapport � quatre consid�rations fondamentales:
53 Comme il n'y a pas, dans la r�alit�, de r�gime parfait de r�mun�ration, on emploie diverses m�thodes pour d�terminer les rapports � l'int�rieur d'un r�gime et pour en assurer la mise � ex�cution. En Am�rique du Nord, le monde �conomique et certains gouvernements, notamment celui des �tats-Unis, semblent s'entendre dans une large mesure sur les principes qui doivent �clairer le r�gime de la r�mun�ration. Le r�gime qu'appliquent actuellement la fonction publique et la plupart des soci�t�s de la Couronne n'est pas conforme � ces crit�res.
54 Dans l'administration canadienne, le r�gime de la r�mun�ration, comme celui de la classification, s'appuie sur des principes formul�s dans le rapport de la soci�t� Arthur Young and Company, en 1919. En voici le r�sum� :
55 Avant d'analyser l'application du r�gime actuel, il serait opportun de s'arr�ter aux postulats d'o� d�coule la m�thode qui est suivie. En voici l'�num�ration :
56 Une condition fondamentale du r�gime de r�mun�ration a fait d�faut et en a paralys� l'application; il aurait fallu un ensemble complet de normes de classification. En outre, le r�gime pr�supposait l'�valuation des emplois, mais on n'a jamais adopt� de m�thode officielle d'�valuation des emplois. Il est vrai qu'on a appliqu� � l'�valuation des emplois certains facteurs d'un r�gime de comparaison, mais au fond, il s'agit d'un r�gime de gradation appliqu� d'une fa�on tr�s libre. Si, � l'occasion, on a accord� des traitements �quitables, le r�gime n'y est pour rien. La Commission du service civil conseille et le conseil du Tr�sor d�cide: double responsabilit� et d�doublement de l'effectif. Les rapports avec les salaires en vigueur dans le monde �conomique sont assur�ment mieux observ�s depuis la cr�ation du Bureau d'�tude des traitements, mais � son tour, le Bureau ne dispose pas de normes suffisantes pour �tablir des comparaisons, ce qui entrave son travail.
57 Depuis la mise en oeuvre de ce r�gime, on applique le principe que les �chelles doivent comporter un minimum absolu, un maximum absolu, et, entre ces deux extr�mes, des �chelons interm�diaires auxquels l'employ� acc�de automatiquement. Ce principe diff�re tout � fait de la pratique g�n�rale du monde �conomique, notamment en ce qui a trait aux postes de surveillance et d'administration. Certaines soci�t�s ont adopt� des programmes de progression automatique aux �chelons inf�rieurs du travail de bureau. Elles ont constat� que la progression automatique, aux plus bas �chelons et parfois jusqu'aux �chelons moyens des cat�gories d'emplois de bureau, r�duit les r�clamations, simplifie l'administration et �pargne le temps des administrateurs pr�pos�s aux services, au personnel ou aux relations industrielles.
58 On pourrait pr�tendre que cette situation tend � d�montrer la sagesse du syst�me de l'administration f�d�rale. Cependant, la plupart de ceux qui appliquent ce syst�me avoueront qu'il favorise la m�diocrit� et constitue un effort de rationalisation en faveur de la paix. Ce sont les employ�s � rendement sup�rieur qui en sont les victimes. On ne reconna�t pas leur comp�tence de peur d'attirer les griefs de leurs coll�gues, plus faibles en comp�tence mais plus forts en nombre.
59 Ce qui suit confirme la justesse de cette conclusion: les soci�t�s qui adoptent des �chelons automatiques de salaires pour les dactylographes �tablissent, pour les surveillants, de larges marges de r�mun�ration o� la comp�tence entre en ligne de compte. Elles supposent que les m�thodes d'�mulation importent davantage pour les postes sup�rieurs. Cette opinion est peut-�tre juste, car on peut fort bien supposer que les employ�s qui poss�dent les qualit�s requises pour acc�der aux postes sup�rieurs sont, selon toute vraisemblance, les plus sensibles � l'�mulation financi�re. Certes, rien ne prouve qu'il soit pr�f�rable d'�liminer les primes de rendement pour lesemploy�s de bureaux aux �chelons inf�rieurs. En mettant tous ces employ�s sur le m�me pied, on facilite peut-�tre le travail d'administration. Cela ne veut pas dire, loin de l�, qu'une entreprise accro�tra le rendement de ses employ�s de bureau subalternes en les privant de l'�mulation financi�re. M�me les soci�t�s qui ont proc�d� de cette fa�on ne se font pas d'illusions � ce propos.
60 L'application des �chelles de salaires dans la fonction publique n'a absolument rien de commun avec la recommandation de la soci�t� Arthur Young and Company. Cette recommandation, formul�e au num�ro (g) de la troisi�me partie, du rapport est ainsi libell�e :
L'augmentation du traitement au sens employ� ici signifie l'augmentation du salaire d'un employ� occupant une position d�termin�e, d'un taux � un taux plus �lev� tout en restant dans la limite de la r�mun�ration qui peut lui �tre accor�d�e, sans qu'il y ait changement de position ou de fonctions. On admettra que (augmentation de salaire est une des formes de r�compense les plus efficaces que l'on puisse offrir � l'employ� pour l'encourager � s'appliquer � son travail. II est �vident que si l'on accorde une augmentation de salaire comme r�compense pour les bons services ou comme encouragement � bien faire, qu'il faudra baser ces augmentations sur le travail efficace reconnu et sur aucune autre consid�ration.
D�j� en 1919, on pouvait �crire dans le rapport de Arthur Young and Company �que l'augmentation annuelle n'est refus�e que tr�s rarement�, ce qui est aussi vrai maintenant qu'alors. Le passage d'un �chelon � l'autre tend � se faire d'une fa�on tellement automatique que le Bureau d'�tude des traitements, la Commission du service civil et le conseil du Tr�sor emploient l'�chelon sup�rieur de l'�chelle comme norme pour �tablir leurs comparaisons avec les traitements pay�s par un �chantillon d'entreprises priv�es.
61 Le syst�me des �chelles, con�u dans l'�tude de 1919, tenait compte, pour l'�valuation d'un poste, des efforts que le titulaire d�ployait pour le remplir. Les �chelles �taient relativement courtes, de sorte que la disposition visant � reconna�tre les efforts et la diversit� des employ�s �tait peu importante; mais elle existait quand m�me, et il est re�grettable que ce stimulant dont on pouvait attendre d'excellents r�sultats ait �t� � peu pr�s neutralis�, dans la pratique, au sein de la fonction publique.
62 Depuis lors, des soci�t�s clairvoyantes du continent nord-am�ricain ont eu tendance � allonger ces �chelles, surtout aux niveaux sup�rieurs. On a cherch� � �tablir le traitement de l'employ� � l'�chelon appropri� de l'�chelle, strictement d'apr�s son rendement. Nous ne disconvenons pas par l� que dans une organisation quelconque la dur�e du service tend � faire hausser le traitement, mais on s'est toujours efforc� d'enrayer cette tendance et de minimiser son influence par rapport au rendement.
63 Cette gamme plus �tendue pr�conis�e par l'industrie n'est efficace que si le principe de l'avancement au m�rite est appliqu�. Un plus large �ventail, con�u pour reconna�tre l'in�galit� du rendement - chose in�vitable au sein de n'importe quel groupe d'hommes et de femmes - mais appliqu� de fa�on que le passage d'un �chelon � l'autre corresponde strictement dans la pratique au temps �coul�, conterait tr�s cher. Comme le syst�me actuel des �chelons se fonde sur le temps �coul� et non sur le m�rite, les directeurs, dans les minist�res, trouvent n�cessaire de se servir d'autres moyens pour reconna�tre le m�rite. Le moyen le plus commun c'est ce qu'on a d�j� appel� �l'ascension par reclassification �, pratique facilit�e par une classification g�n�rale impr�cise et par l'absence de normes pour la majorit� des classifications. Ainsi il est possible de justifier un changement de classe en invoquant le pr�texte que les fonctions ont chang�; mais la v�ritable raison sera que la valeur d'un employ� a chang�. Ses fonctions restent les m�mes mais, de l'avis de son sup�rieur, son rendement m�rite d'�tre reconnu.
64 Cette pratique a grandement sap� l'efficacit� du syst�me de classification et les �chelles ne correspondent plus � grand-chose, de sorte que seule une enqu�te de grande envergure au sein du Service civil pourrait r�v�ler les �chelles qui correspondent � des postes comportant des difficult�s et des responsabilit�s semblables. On peut dire � coup s�r que les �chelles v�ritables sont beaucoup plus longues qu'elles ne le paraissent d'apr�s les listes officielles des classes. L'exp�rience obtenue ailleurs laisse supposer qu'elles sont peut-�tre beaucoup plus �tendues que celles que pr�conise l'industrie � l'heure actuelle; mais si la chose est vraie, elles ne sont pas administr�es �quitablement car ce ne sont pas tous les employ�s comp�tents donnant un rendement sup�rieur qui b�n�ficient de cette pratique de �l'ascension par reclassification�. D'autre part, les changements v�ritables de responsabilit� peuvent ne pas �tre, et souvent ne sont pas reconnus promptement. Un employ� peut �tre mal classifi� et mal r�mun�r� pendant de longues p�riodes de temps en attendant que son cas soit �tudi� par les organismes de contr�le qui n'ont aucune responsabilit� r�elle � son �gard et qui ne s'int�ressent pas � lui, ni � la r�alisation des objectifs de son minist�re.
65 Vos commissaires se trouvent oblig�s de conclure que le r�gime actuel de r�mun�ration est essentiellement n�gatif. Il ne pr�voit pas la reconnaissance formelle du rendement sup�rieur. Les administrateurs sont enclins � consid�rer ce r�gime comme un moyen de contr�le des frais et, pour les raisons donn�es, il est apte � d�cevoir ceux qui le consid�rent comme �tant en effet un moyen efficace de contr�ler les frais. Il est trop facile de s'y soustraire et, qui pis est, ceux qui exercent le contr�le ne peuvent savoir jusqu'� quel point on s'y soustrait. C'est donc un syst�me de r�gie qui n'est pas ce qu'il para�t �tre-un syst�me qu'on tire d'un c�t� ou de l'autre selon la pression des circonstances et qu'on rapi�ce pour r�pondre � des besoins variables. II a depuis longtemps perdu l'homog�n�it� qu'il avait peut-�tre autrefois.
66 Ces graves imperfections des syst�mes de classification et de r�mun�ration sont de plus en plus �videntes � mesure que le service public emploie plus de professionnels et d'administrateurs de haut calibre. Que ce soit pour soutenir la concurrence en ce qui concerne le recrutement de ce personnel ou pour obtenir de lui un meilleur rendement, l'administration f�d�rale, tout comme les employeurs des secteurs priv�s, doit de plus en plus se laisser guider par les principes suivants:
M�THODE DE FIXATION ET DE GESTION DE LA R�MUN�RATION
67 Aux termes de la Loi sur le service civil, la fixation et la gestion des traitements incombent � la Commission du service civil et au gouverneur en conseil. La Commission doit faire une r�vision constante des niveaux de r�mun�ration et, chaque fois qu'il y a lieu, soumettre des recommandations � ce sujet au gouverneur en conseil. Avant d'�tre mises en oeuvre, les recommandations de la. Commission doivent �tre approuv�es par le gouverneur en conseil, dont les pouvoirs � cet �gard sont habituellement exerc�s par le conseil du Tr�sor.
68 Deux directions de la Commission du service civil s'occupent de la fixation des traitements. Le Bureau d'�tude des traitements est charg� de recueillir des donn�es. II doit faire des recherches comparatives sur les niveaux de traitement, les conditions d'emploi et les pratiques connexes qui r�gnent aussi bien au sein du Service civil qu'� l'ext�rieur. II doit aussi pr�senter un rapport objectif de ses conclusions � la Commission, au conseil du Tr�sor et, en fait, aux repr�sentants des principales associations de fonctionnaires. La Direction des traitements et des normes est charg�e d'aider la Commission � mettre au point les recommandations sur les traitements, compte tenu des rapports du Bureau, et d'autres consid�rations telles que la n�cessit� d'une certaine concordance des normes � l'int�rieur du Service civil ou les constatations r�centes � l'�gard du recrutement et de la r�tention d'employ�s comp�tents dans la fonction publique.
69 La Commission est conseill�e par le Comit� consultatif sur l'�tude des traitements. Cet organisme se, r�unit r�guli�rement pour recevoir les rapports du Bureau, �tudier divers probl�mes relatifs aux crit�res et aux techniques d'�tude, d�cider dumoment opportun d'effectuer les �tudes et de distribuer les rapports. Le Comit�, pr�sid� par un commissaire du Service civil, comprend six autres membres, dont trois repr�sentent le personnel et trois la direction. Un des trois d�l�gu�s dupersonnel repr�sente (Institut professionnel du service public du Canada. Parmi les membres repr�sentant l'administration, l'un doit repr�senter la direction des minist�res qui emploient un personnel professionnel.
70 Les associations de personnel s'int�ressent activement � la fixation des traitements. Leur r�le, qui a �volu� au cours des ans, a r�cemment �t� officiellement reconnu dans la nouvelle Loi sur le service civil; en effet, un article pr�voit que la Commission doit consulter en mati�re de traitements les �repr�sentants des organisations et associations appropri�es d'employ�s�.
71 Le r�le des minist�res est plus difficile � d�finir. Juridiquement, ils n'ont aucune responsabilit� dans ce domaine. Dans la pratique, cependant, il y a consultation constante entre la Commission et la direction des minist�res en vue de d�terminer si les niveaux de traitements sont suffisants et quelles seront les cons�quences probables des revisions propos�es.
72 Derni�re �tape dans la fixation des traitements, le conseil du Tr�sor examine les recommandations de la Commission. Cela n�cessite souvent de longs entretiens entre les fonctionnaires sup�rieurs des deux organis�mes. Aux termes de l'ancienne Loi sur le service civil, le gouverneur en conseil pouvait accepter ou rejeter les recommandations de la Commission, mais ne pouvait �tablir des niveaux de traitements diff�rents de ceux qui �taient recommand�s. Aux termes de la nouvelle loi, le gouverneur en conseil, bien qu'il doive tenir compte des vues de la Commission, est libre d'�tablir les niveaux qu'il juge opportuns.
73 La responsabilit� de la Commission du service civil en ce qui concerne les recommandations sur les traitements se borne � celles qui touchent les fonctionnaires. Le conseil du Tr�sor, le minist�re employeur et le minist�re du Travail se partagent la responsabilit� de d�terminer les niveaux de traitements des employ�s aux taux r�gnants, des officiers et des �quipages de navires et d'autres groupes semblables soustraits � l'application de la Loi sur le service civil. Il n'est pas �tonnant qu'il y ait dans le domaine de la fixation du niveau des traitements vers�s aux fonctionnaires un d�doublement des rouages et des efforts, de m�me qu'un manque de coordination et de principes directeurs communs. On pourrait y rem�dier si la Division du personnel du conseil du Tr�sor, dont l'�tablissement a �t� propos�, �tait charg�e de faire un relev� de la situation et de formuler des recommandations au Conseil au sujet de tous les redressements de traitements dans la fonction publique. De m�me, le Bureau d'�tude des traitements devrait �tre charg� de recueillir et de coordonner toutes les donn�es comparatives qui ont trait au travail hors du service public. Il est beaucoup plus apte � fournir ces utiles renseignements que ne le sont le minist�re du Travail ou le Bureau f�d�ral de la statistique, dont le r�le se pr�te mieux � l'assemblage et � la compilation des donn�es d'ensemble destin�es au public.
74 La responsabilit� de l'�tablissement et du rajustement des plans relatifs aux avantages offerts aux employ�s est encore plus dispers�e qu'elle ne l'est dans le cas des traitements. Par cons�quent, chaque plan de pr�voyance en est venu � �tre consid�r� isol�ment plut�t que par rapport � l'ensemble ou, ce qui est plus juste, selon la r�mun�ration globale (paiements et avantages). Pour bien remplir le r�le qui lui revient, la Division du personnel du conseil du Tr�sor doit se pr�occuper autant de l'ensemble des avantages offerts au service public que de la fixation des traitements.
75 Il y a lieu de s'arr�ter en particulier aux comparaisons qu'il convient de faire entre le secteur priv� et le service public en ce qui concerne les niveaux de traitements, les avantages et les autres conditions de travail. Quoique simple en th�orie, la chose est extr�mement difficile dans la pratique. Il s'agit essentiellement d'obtenir des donn�es mais il faut, pour d�terminer quelles sont les donn�es pertinentes, un solide bagage de connaissances techniques et-professionnelles. On ne peut faire de comparaisons justes des traitements qu'en se fondant sur une saine �valuation des fonctions et des exigences de la t�che � accomplir. Pour comparer les conditions de travail et les avantages, il faut �tudier avec soin ce qu'ils valent et ce qu'ils co�tent � l'employeur et � l'employ�.
76 Le Bureau d'�tude des traitements a �t� �tabli en 1957 pour ce difficile travail de documentation. Il a fait de grands progr�s sur la fa�on d'�valuer la comparabilit� des fonctions dans le service public et dans le secteur priv�, et sur la fa�on d'�tablir des comparaisons de traitements d'apr�s les donn�es obtenues. Il fournit des renseignements pr�cieux au sujet des march�s du travail o� la fonction publique doit soutenir la concurrence. Il s'est r�cemment mis � la t�che indispensable d'adjoindre aux comparaisons de traitements des donn�es sur les avantages et autres conditions de travail. Le Bureau, qui fonctionne comme organisme ind�pendant et impartial autrement, il ne pourrait mener � bien sa t�che professionnelle fournit des donn�es sur lesquelles l'administration centrale du gouvernement peut se fonder pour prendre des d�cisions sur la r�mun�ration. A l'heure actuelle, les renseignements qu'il recueille sont fournis � la Commission du service civil (dont le Bureau fait partie), au conseil du Tr�sor et � certains dirigeants d'importantes associations de fonctionnaires.
77 Comme on l'a d�j� constat� au Royaume-Uni (o� les �tudes sur les traitements sont men�es par un organisme dirig� et financ� conjointement par le gouvernement et les associations de personnel), la tentation de faire de trop nombreuses ou de trop fr�quentes comparaisons avec le secteur priv�, ou encore les pressions qui s'exercent en ce sens repr�sentent un des plus graves dangers. Afin que cette t�che conserve des proportions raisonnables pour une organisation aussi vas�te et vari�e que la fonction publique, il faut �tre d�termin� � restreindre les comparaisons � des t�ches rep�res appropri�es et � en limiter la fr�quence par un plan d'examen cyclique. Le gouvernement f�d�ral a fait un pas dans cette voie r�cemment en �tablissant un plan d'examen biennal, les niveaux de traitements des fonctionnaires et des membres de la Gendarmerie royale �tant divis�s en cinq groupes, et les dates suivantes ayant �t� fix�es pour les premiers examens.
78 C'est en se tenant au courant de la situation chez les employeurs qui accordent leur collaboration qu'on apprendra � limiter le nombre et la fr�quence des comparaisons exig�es par l'administration interne. Sans cette collaboration volontaire des employeurs du secteur priv�, les comparaisons de traitements sont susceptibles d'�tre fauss�es, et il sera tr�s difficile d'en obtenir m�me de m�diocres. D'autre part, la plupart des employeurs avec lesquels le gouvernement f�d�ral d�sire faire des comparaisons �prouvent les m�mes besoins et sont d�j� habitu�s � cette pratique. Ils savent que, pour eux, les comparaisons de traitements ne valent que si l'on tient compte en m�me temps des frais de main-d'œuvre et des autres frais. Ils font des comparaisons avec d'autres soci�t�s, sachant bien que pour obtenir la collaboration voulue, il faut que leurs demandes soient raisonnables et que les renseignements qu'ils re�oivent et �changent soient utiles aux deux parties. Il ne faudrait pas chercher � contraindre des employeurs du secteur priv� � accorder leur collaboration ni leur imposer des obligations astreignantes et co�teuses sans leur accorder en retour des avantages r�ciproques.
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CONSEIL NATIONAL DU RECHERCHES DU CANADA |
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OFFICE NATIONAL DE L'�NERGIE |
OFFICE NATIONAL DU FILM DU CANADA |
P�TROLE ET GAZ DES INDIENS CANADA |
TABLE RONDE NATIONALE SUR L'ENVIRONNEMENT ET L'�CONOMIE |
AUTRES ORGANISATIONS |
ADMINISTRATION DE PILOTAGE DE L'ATLANTIQUE |
ADMINISTRATION DE PILOTAGE DES LAURENTIDES |
BIBLIOTH�QUE DU PARLEMENT |
BUREAU DU PREMIER MINISTRE (EMPLOY�S) |
CENTRE CANADIEN D'HYGI�NE ET DE SANT� AU TRAVAIL |
CENTRE DE RECHERCHES POUR LE D�VELOPPEMENT INTERNATIONAL |
CENTRE INTERNATIONAL DES DROITS DE LA PERSONNE ET DU D�VELOPPEMENT D�MOCRATIQUE |
CHAMBRE DES COMMUNES (EMPLOY�S) |
COMMISSION CANADIENNE DU TOURISME |
COMMISSION DE LA CAPITALE NATIONALE |
COMMISSION DES CHAMPS DE BATAILLE NATIONAUX |
CONSEIL CANADIEN DES NORMES |
CONSTRUCTION DE D�FENSE (1951) LIMIT�E |
CORPORATION COMMERCIALE CANADIENNE |
CORPORATION PLACE DU HAVRE CANADA |
DIVERS (NOTAMMENT, LES EFFECTIFS MINIST�RIELS, LES JUGES, LES �TUDIANTS ET LES EMPLOY�S CHARG�S DES OP�RATIONS DE SONDAGES STATISTIQUES) |
MUS�E CANADIEN DE LA NATURE |
MUS�E CANADIEN DES CIVILISATIONS |
MUS�E DES BEAUX‑ARTS DU CANADA |
MUS�E NATIONAL DES SCIENCES ET DE LA TECHNOLOGIE |
PATRIMOINE CANADIEN |
S�NAT (EMPLOY�S) |
SOCI�T� D'ASSURANCE-D�P�TS DU CANADA |
SOCI�T� DE D�VELOPPEMENT DE L'INDUSTRIE CIN�MATOGRAPHIQUE CANADIENNE |
SOCI�T� DU CENTRE NATIONAL DES ARTS |
SOCI�T� RADIO‑CANADA |
ENTREPRISES PUBLIQUES F�D�RALES |
ADMINISTRATION PORTUAIRE DE BELLEDUNE |
ADMINISTRATION PORTUAIRE DE HALIFAX |
ADMINISTRATION PORTUAIRE DE MONTR�AL |
ADMINISTRATION PORTUAIRE DE NANAIMO |
ADMINISTRATION PORTUAIRE DE NORTH FRASER |
ADMINISTRATION PORTUAIRE DE PORT-ALBERNI |
ADMINISTRATION PORTUAIRE DE PRINCE‑RUPERT |
ADMINISTRATION PORTUAIRE DE QU�BEC |
ADMINISTRATION PORTUAIRE DE SAINT‑JEAN |
ADMINISTRATION PORTUAIRE DE SEPT-�LES |
ADMINISTRATION PORTUAIRE DE ST. JOHN'S |
ADMINISTRATION PORTUAIRE DE THUNDER BAY |
ADMINISTRATION PORTUAIRE DE TORONTO |
ADMINISTRATION PORTUAIRE DE TROIS‑RIVI�RES |
ADMINISTRATION PORTUAIRE DE VANCOUVER |
ADMINISTRATION PORTUAIRE DE WINDSOR |
ADMINISTRATION PORTUAIRE DU FLEUVE FRASER |
ADMINISTRATION PORTUAIRE DU SAGUENAY |
BANQUE DE D�VELOPPEMENT DU CANADA |
BANQUE DU CANADA |
COMMISSION CANADIENNE DU BL� |
COMPTE DU FONDS DES CHANGES |
�NERGIE ATOMIQUE DU CANADA, LIMIT�E |
MARINE ATLANTIC INC. |
MONNAIE ROYALE CANADIENNE |
OFFICE DE COMMERCIALISATION DU POISSON D'EAU DOUCE |
PETRO-CANADA LIMIT�E |
RIDLEY TERMINALS INC. |
SOCI�T� CANADIENNE D'HYPOTH�QUES ET DE LOGEMENT |
SOCI�T� CANADIENNE DES POSTES |
SOCI�T� DE D�VELOPPEMENT DU CAP-BRETON |
SOCI�T� DES PONTS F�D�RAUX LIMIT�E |
SOCI�T� DU CR�DIT AGRICOLE |
SOCI�T� IMMOBILI�RE DU CANADA LIMIT�E |
SOCI�T� POUR L'EXPANSION DES EXPORTATIONS |
VIA RAIL CANADA INC. |
Lexique des noms et des symboles de l'ancienne structure et de la structure actuelle des groupes professionnels pour le domaine du noyau de la fonction publique
LEXIQUE
Agents n�gociateurs et Unit�s de n�gociation
Alliance de la Fonction Publique du Canada (AFPC)
Services des programmes et de l'administration (PA)
AS |
Services administratifs |
|
IS |
Services d'information |
|
PM |
Administration des programmes |
|
WP |
Programmes de bien-�tre social |
|
CM |
Communications |
|
DA |
Traitement m�canique des donn�es |
|
CR |
Commis aux �critures et r�glement |
|
OE |
M�canographie |
|
ST |
Secr�tariat, st�nographie et dactylographie |
Services de l'exploitation (SV)
FR |
Pompiers |
|
GL |
Manoeuvres et hommes de m�tiers |
|
GS |
Services divers |
|
HP |
Chauffage, force motrice et op�ration de machines fixes |
|
HS |
Services hospitaliers |
|
LI |
Gardiens de phare |
|
SC |
�quipages de navires |
|
PR(SUP) |
Services d'imprimerie (surveillants) |
Services techniques (TC)
DD |
Dessin et illustrations |
|
EG |
Soutien technologique et scientifique |
|
GT |
Techniciens divers |
|
PY |
Photographie |
|
PI |
Inspection des produits primaires |
|
TI |
Inspection technique |
Enseignement et biblioth�conomie (EB)
ED |
Enseignement |
|
LS |
Biblioth�conomie |
|
EU |
Soutien de l'enseignement |
Institut professionnel de la fonction publique du Canada (IPFPC)
V�rification commerce et achat (AV)
AU |
V�rification |
|
CO |
Commerce |
|
PG |
Achat |
Syst�mes d'ordinateurs (CS)
Droit (LA)
Recherche (RE)
HR |
Recherche historique |
|
MA |
Math�matiques |
|
SE |
Recherche scientifique |
|
DS |
Services scientifiques de la d�fense |
Services de sant� (SH)
DE |
Art dentaire |
|
ND |
Nutrition et di�t�tique |
|
MD |
M�decine |
|
NU |
Sciences infirmi�res |
|
OP |
Ergoth�rapie et physioth�rapie |
|
PH |
Pharmacie |
|
PS |
Psychologie |
|
SW |
Service social |
|
VM |
M�decine v�t�rinaire |
Sciences appliqu�es et g�nie (AP)
AC |
Actuariat |
|
AG |
Agriculture |
|
AR |
Architecture et urbanisme |
|
BI |
Sciences biologiques |
|
CH |
Chimie |
|
EN |
G�nie et arpentage |
|
FO |
Sciences foresti�res |
|
MT |
Met�orologie |
|
PC |
Sciences physiques |
|
SG-SRE |
R�glementation scientifique |
|
SG-PAT |
Pr�pos�s au brevets |
Association canadienne des employ�s professionnels (ACEP)
Traduction (TR)
�conomie et services des sciences sociales (EC)
ES |
Economics, Sociology and Statistics / �conomie, sociologie et statistiques |
|
SI |
Social Science Support / Soutien des sciences sociales |
Syndicat des agents correctionnels du Canada - CSN
Services correctionnels (CX)
Association des gestionnaires financiers de la Fonction publique (AGFFP)
Gestion financi�re (FI)
Fraternit� Internationale des ouvriers en �lectricit�, section locale 2228 (FIOE)
�lectronique (EL)
Association professionnelle des agents du Service ext�rieur (APASE)
Service ext�rieur (FS)
Guilde de la Marine marchande du Canada (GMMC)
Officiers de navire (SO)
Conseil des m�tiers et du travail des chantiers maritimes du gouvernement f�d�ral (est) (GFCMTCM(E))
R�paration des navires (est) (SR-E)
Conseil des m�tiers et du travail des chantiers maritimes du gouvernement f�d�ral (ouest) (CMTCMGF)(O))
R�paration des navires (ouest) (SR-W)
Association des Pilotes f�d�raux du Canada (APFC)
Navigation a�rienne (AO)
TCA, Local 2182
Radiot�l�graphie (RO)
Association des professeurs des Coll�ges militaires du Canada (APCMC)
Enseignement universitaire (UT)
Association des chefs d'�quipe des chantiers maritimes du gouvernement f�d�ral (ACEGMCF)
R�paration des navires (chefs d'�quipe) (SRC)
Syndicat international des communications graphiques – local 588 M (SICG)
Services d'imprimerie (non-surveillants) (PR)
Association canadienne du contr�le du trafic a�rien (ACCTA)
Contr�le de la circulation a�rienne(AI)
Liste des avantages financiers autres que les augmentations �conomiques n�goci�s entre 1997 et 2003
AVANTAGES FINANCIERS N�GOCI�S ENTRE 1997 ET 2003
1er janvier – 31 d�cembre 2003
Groupe/Agent n�gociateur |
Effectif |
Dur�e en mois |
Date d'expiration |
% d'augmentation salariale |
AUGMENTATIONS �CONOMIQUES |
Radio- t�l�graphie (RO) |
362 |
36,00 |
2004-04-30 |
2,8, 2,5 et 2,3 |
Restructuration (1er mai 2001) |
Syst�mes d'ordinateurs (CS) |
9 330 |
31,68 |
2004-12-21 |
0,4, 3,6 et 2,5 |
Restructuration (mai 2003) |
Contr�le de la circulation a�rienne (AI) |
9 |
36,00 |
2003-06-30 |
3,2, 2,8 et 2,5 |
Restructuration (1er juin 2000) |
Navigation a�rienne (AO) |
426 |
36,00 |
2004-01-25 |
3,2, 2,8 et 2,5 |
Restructuration (26 janvier 2001, 2002 et 2003) et �limination d'un �chelon � tous les niveaux � compter
du 26 janvier 2001 |
Services d'imprimerie (non- surveillants) (PR(NS) |
48 |
36,00 |
2005-09-30 |
2,5, 2,5 et 2,5 |
|
Sciences appliqu�es et g�nie (AP) |
7 022 |
36,00 |
2005-09-30 |
2,75, 2,5 et 2,5 |
Harmonisation des groupes AG, BI et CH (1er octobre 2002) |
AC-201 |
4 |
36,00 |
2005-09-30 |
2,75, 2,5 et 2,5 |
Restructuration (1er octobre 2002) |
AG-202 |
8 |
36,00 |
2005-09-30 |
2,75, 2,5 et 2,5 |
Harmonisation (1er octobre 2002) et restructuration (1er octobre 2002) |
AR-203 |
195 |
36,00 |
2005-09-30 |
2,75, 2,5 et 2,5 |
Restructuration (1er octobre 2002) et indemnit� provisoire (1er octobre 2002) |
BI-205 |
1 455 |
36,00 |
2005-09-30 |
2,75, 2,5 et 2,5 |
Harmonisation (1er octobre 2002) et restructuration (1er octobre 2002) |
CH-206 |
409 |
36,00 |
2005-09-30 |
2,75, 2,5 et 2,5 |
Harmonisation (1er octobre 2002) et restructuration (1er octobre 2002) |
EN-210 |
2 216 |
36,00 |
2005-09-30 |
2,75, 2,5 et 2,5 |
Restructuration (1er octobre 2002) et indemnit� provisoire (1er octobre 2002) |
FO-211 |
101 |
36,00 |
2005-09-30 |
2,75, 2,5 et 2,5 |
Restructuration (1er octobre 2002) |
MT-218 |
462 |
36,00 |
2005-09-30 |
2,75, 2,5 et 2,5 |
Restructuration (1er octobre 2002) |
PC-222 |
1 695 |
36,00 |
2005-09-30 |
2,75, 2,5 et 2,5 |
Restructuration (1er octobre 2002) |
SG-224 |
303 |
36,00 |
2005-09-30 |
2,75, 2,5 et 2,5 |
Restructuration (1er octobre 2002) |
SG(PAT)-230 |
174 |
36,00 |
2005-09-30 |
2,75, 2,5 et 2,5 |
Restructuration (1er octobre 2002) et indemnit� provisoire (1er octobre 2002) |
Enseignement universitaire (UT) |
131 |
24,00 |
2004-06-30 |
2,75 et 2,50 |
Restructuration (1er juillet 2002) et ajout d'un �chelon � tous les niveaux |
AVANTAGES FINANCIERS N�GOCI�S ENTRE 1997 ET 2003
1er janvier – 31 d�cembre 2002
Groupe/Agent n�gociateur |
Effectif |
Dur�e en mois |
Date d'expiration |
% d'augmentation salariale |
AUGMENTATIONS �CONOMIQUES |
Chefs d'�quipe et superviseurs de la production de la r�paration des navires (est) (SR-C) |
68 |
36,00 |
2003-31-03 |
3,2, 2,8 et 2,5 |
Restructuration (r�duction des zones) |
R�paration des navires (est) (SR-E) |
583 |
36,00 |
12-31-2003 |
3,2, 2,8 et 2,5 |
Restructuration (r�duction des zones) |
Droit (LA) |
78 |
36,00 |
2-28-2004 |
5,14, 2,8 et 2,5 |
|
Officiers de navire (SO) |
900 |
36,00 |
3-31-2003 |
3,2, 2,8 et 2,5 |
|
�lectronique (EL) |
1 084 |
36,00 |
8-31-2004 |
2,8, 2,5 et 2,3 |
Restructuration (1er septembre 2001) |
Service ext�rieur (FS) |
1 053 |
24,00 |
6-30-2003 |
2,8, et 2,5 |
Restructuration (1er juillet 2001) |
Gestion financi�re (FI) |
2 404 |
36,00 |
6-11-2004 |
2,8, 2,5 et 2,3 |
Restructuration (7 novembre 2002) |
AVANTAGES FINANCIERS N�GOCI�S ENTRE 1997 ET 2003
1er janvier – 31 d�cembre 2001
Groupe/Agent n�gociateur |
Effectif |
Dur�e en mois |
Date d'expiration |
% d'augmentation salariale |
AUGMENTATIONS �CONOMIQUES |
Gestion financi�re (FI) |
1 919 |
24,00 |
2001-11-06 |
2,0 et 2,5 |
Montant forfaitaire de 800 $ � tous les employ�s en remplacement du remboursement des frais d'adh�sion, le 1er janvier 2001 |
Services d'imprimerie (NS) (PR) |
83 |
24,00 |
2002-09-30 |
2,5 et 2,5 |
|
Services correctionnels (S et NS) (CX) |
5 147 |
24,00 |
2002-05-31 |
2,0 et 2,5 |
Restructuration le 1er juin 2000 et le 1er juin 2001 |
�conomie et services des sciences sociales (EC) |
5 991 |
36,00 |
2003-06-21 |
2,5, 2,5 et 2,5 |
Restructuration le 22 juin 2000 et le 22 juin 2001 |
Traduction (TR) |
821 |
36,00 |
2003-04-18 |
2,5, 2,5 et 2,5 |
Restructuration le 19 avril 2000 – Rel�vement du dernier �chelon de 2,25 % pour les TR-2 et
TR-3 et de 2,00 % pour les TR-4 |
Syst�mes d'ordinateurs (CS) |
7 771 |
24,00 |
2002-04-30 |
2,5 et 2,5 |
Restructuration – ajout d'un �chelon aux niveaux CS-2 � CS-5 et �limination d'un �chelon aux niveaux
CS-2 � CS-5 le 1er mai 2000 |
Enseignement universitaire (UT) |
127 |
24,00 |
2002-06-30 |
2,5 et 2,5 |
Restructuration et ajout d'un �chelon le 1er juin 2001 |
Enseignement et biblioth�conomie (EB) |
924 |
36,00 |
2003-06-30 |
3,2, 2,8 et 2,5 |
|
Services des programmes et de l'administration (PA) |
58 813 |
36,00 |
20-juin-2003 |
3,2, 2,8 et 2,5 |
Restructuration du groupe WP le 21 juin 2000 et le 21 juin 2001 et consolidation des �chelles AS, PM et IS le 21 juin 2001 |
Services de l'exploitation (SV) |
10 752 |
36,00 |
2003-08-04 |
3,2, 2,8 et 2,5 |
R�duction � trois zones pour les GL, GS et HS |
Services techniques (TC) |
8 901 |
36,00 |
21-juin-2003 |
3,2, 2,8 et 2,5 |
Maintien de l'indemnit� provisoire pour les TI et les PI |
Recherche (RE) |
2 456 |
36,00 |
2003-09-30 |
3,2, 2,8 et 2,5 |
Indemnit� provisoire |
R�paration des navires (ouest) (SRW) |
529 |
36,00 |
30-sept-2003 |
3,2, 2,8 et 2,5 |
Montant forfaitaire � titre de prime � la signature |
V�rification, commerce et achat (AV) |
4 035 |
36,00 |
21-juin-2003 |
3,2, 2,8 et 2,5 |
|
Services de sant� (SH) |
1 465 |
36,00 |
30-sept-2003 |
3,2, 2,8 et 2,5 |
Consolidation et indemnit� provisoire |
AVANTAGES FINANCIERS N�GOCI�S ENTRE 1997 ET 2003
1er janvier – 31 d�cembre 2000
Groupe/Agent n�gociateur |
Effectif |
Dur�e en mois |
Date d'expiration |
% d'augmentation salariale |
AUGMENTATIONS �CONOMIQUES |
|
Traduction (TR ) |
747 |
12,0 |
2000-04-18 |
2,0 |
Montant forfaitaire |
|
�conomie et services des sciences sociales (EC) |
5 694 |
|
|
|
|
|
|
�conomie, sociologie et statistiques (ES) |
2 976 |
12,0 |
2000-06-21 |
2,0 |
Montant forfaitaire |
|
Soutien des sciences sociales (SI) |
2 718 |
12,0 |
2000-06-21 |
2,0 |
Montant forfaitaire |
Chefs d'�quipe et superviseurs de la production de la r�paration des navires (est) (SR-C) |
70 |
12,0 |
2000-03-31 |
2,0 |
Montant forfaitaire |
|
Services de sant� (SH) |
1 435 |
|
|
|
|
|
|
Art dentaire (DE) |
9 |
12,0 |
2000-09-30 |
2,0 |
Montant forfaitaire |
|
Nutrition et di�t�tique (ND) |
21 |
12,0 |
2000-09-30 |
2,0 |
Montant forfaitaire |
|
M�decine (MD) |
136 |
12,0 |
2000-09-30 |
2,0 |
Montant forfaitaire |
|
Sciences infirmi�res (NU) |
944 |
12,0 |
2000-09-30 |
2,0 |
Montant forfaitaire� |
|
Ergoth�rapie et physioth�rapie (OP) |
20 |
12,0 |
2000-09-30 |
2,0 |
Montant forfaitaire |
|
Pharmacie (PH) |
12 |
12,0 |
2000-09-30 |
2,0 |
Montant forfaitaire |
|
Psychologie (PS) |
235 |
12,0 |
2000-09-30 |
2,0 |
Montant forfaitaire |
|
Service social (SW) |
30 |
12,0 |
2000-09-30 |
2,0 |
Montant forfaitaire |
|
M�decine v�t�rinaire (VM) |
28 |
12,0 |
2000-09-30 |
2,0 |
Montant forfaitaire |
Enseignement et biblioth�conomie (EB) |
957 |
|
|
|
|
|
|
Enseignement (ED) |
599 |
12,0 |
2000-06-30 |
2,0 |
Montant forfaitaire |
|
Biblio- th�conomie (LS) |
356 |
12,0 |
2000-06-30 |
2,0 |
Montant forfaitaire |
|
Soutien de l'enseignement (EU) |
2 |
12,3 |
2000-06-30 |
2,0 |
Montant forfaitaire |
Services techniques (TC) |
8 654 |
|
|
|
|
|
|
Dessin et illustrations (DD) |
356 |
12,0 |
2000-06-21 |
2,0 |
Montant forfaitaire |
|
Soutien technologique et scientifique (EG) |
5 215 |
12,0 |
2000-06-21 |
2,0 |
Montant forfaitaire |
|
Techniciens divers (GT) |
1 735 |
12,0 |
2000-06-21 |
2,0 |
Montant forfaitaire |
|
Photographie (PY) |
25 |
12,0 |
2000-06-21 |
2,0 |
Montant forfaitaire |
|
Inspection des produits primaires (PI) |
245 |
12,0 |
2000-06-21 |
2,0 |
Montant forfaitaire |
|
Inspection technique (TI) |
1 078 |
12,0 |
2000-06-21 |
2,0 |
Montant forfaitaire |
Recherche (RE) |
2 430 |
|
|
|
|
|
|
Recherche historique (HR) |
126 |
12,0 |
2000-09-30 |
2,0 |
Montant forfaitaire |
|
Math�matiques (MA) |
260 |
12,0 |
2000-09-30 |
2,0 |
Montant forfaitaire |
|
Recherche scientifique (SE) |
1 644 |
12,0 |
2000-09-30 |
2,0 |
Montant forfaitaire |
|
Services scientifiques de la d�fense (DS) |
400 |
12,0 |
2000-09-30 |
2,0 |
Montant forfaitaire |
R�paration des navires (est) (SRE) |
617 |
12,0 |
2000-12-31 |
2,0 |
Montant forfaitaire |
|
Radiot�l�graphie (RO) |
355 |
12,0 |
2001-04-30 |
2,0 |
Montant forfaitaire |
|
Services des programmes et de l'administration (PA) |
84 884 |
|
|
|
|
|
|
Services administratifs (AS) |
12 554 |
12,0 |
2000-06-20 |
2,0 |
Montant forfaitaire |
|
Services d'information (IS) |
1 498 |
12,0 |
2000-06-20 |
2,0 |
Montant forfaitaire |
|
Administration des programmes (PM) |
29 455 |
12,0 |
2000-06-20 |
2,0 |
Montant forfaitaire |
|
Programmes de bien-�tre social (WP) |
2 074 |
12,0 |
2000-06-20 |
2,0 |
Montant forfaitaire |
|
Communications (CM) |
76 |
12,0 |
2000-06-20 |
2,0 |
Montant forfaitaire |
|
Traitement m�canique des donn�es (DA) |
1 194 |
12,0 |
2000-06-20 |
2,0 |
Montant forfaitaire |
|
Commis aux �critures et r�glements (CR) |
34 104 |
12,0 |
2000-06-20 |
2,0 |
Montant forfaitaire |
|
M�canographie (OE) |
28 |
12,0 |
2000-06-20 |
2,0 |
Montant forfaitaire |
|
Secr�tariat, st�nographie et dactylographie (ST) |
3 901 |
12,0 |
2000-06-20 |
2,0 |
Montant forfaitaire |
Services de l'exploitation (SV) |
11 160 |
|
|
|
|
|
|
Pompiers (S et NS) (FR) |
483 |
12,0 |
2000-08-04 |
2,0 |
Montant forfaitaire |
|
Manœuvres et hommes de m�tiers (S et NS) (GL) |
5 266 |
12,0 |
2000-08-04 |
2,0 |
Montant forfaitaire |
|
Services divers (S et NS) (GS) |
3 072 |
12,0 |
2000-08-04 |
2,0 |
Montant forfaitaire |
|
Chauffage, force motrice et op�ration de machines fixes (S et NS) (HP) |
522 |
12,0 |
2000-08-04 |
2,0 |
Montant forfaitaire |
|
Services hospitaliers (S et NS) (HS) |
453 |
12,0 |
2000-08-04 |
2,0 |
Montant forfaitaire |
|
Gardiens de phare (S et NS) (LI) |
97 |
12,0 |
2000-08-04 |
2,0 |
Montant forfaitaire |
|
�quipages de navires (S et NS) (SC) |
1 267 |
12,0 |
2000-08-04 |
2,0 |
Montant forfaitaire |
Services d'imprimerie (surveillants) |
15 |
12,0 |
2000-08-04 |
2,0 |
Montant forfaitaire |
|
Service ext�rieur (FS) |
993 |
24,0 |
2001-06-30 |
2,0 et 2,5 |
�chelle des FS-1 align�e sur le PPSE |
|
�lectronique (EL) |
1 120 |
24,0 |
2001-08-31 |
2,0 et 2,5 |
Restructuration. Ajout d'un �chelon au sommet de l'�chelle de tous les niveaux la premi�re ann�e |
|
Sciences appliqu�es et g�nie (AP) |
5 793 |
|
|
|
|
|
|
Actuariat (AC) |
8 |
36,0 |
2002-09-30 |
2,0, 2,5 et 2,5 |
Restructuration � compter du 1er octobre 2000 et ajout de deux�chelons aux niveaux AC-1 et 2 et de trois �chelon s au niveau AC-3 |
|
Agriculture (AG) |
10 |
36,0 |
2002-09-30 |
2,0, 2,5 et 2,5 |
|
|
Architecture et urbanisme (AR) |
158 |
36,0 |
2002-09-30 |
2,0, 2,5 et 2,5 |
Indemnit� provisoire � tous les employ�s les 2e et 3e ann�es |
|
Sciences biologiques (BI) |
1 120 |
36,0 |
2002-09-30 |
2,0, 2,5 et 2,5 |
|
|
Chimie (CH) |
384 |
36,0 |
2002-09-30 |
2,0, 2,5 et 2,5 |
|
|
G�nie et arpentage (EN) |
1 848 |
36,0 |
2002-09-30 |
2,0, 2,5 et 2,5 |
Indemnit� provisoire � tous les employ�s les 2e et 3e ann�es |
|
Sciences foresti�res (FO) |
92 |
36,0 |
2002-09-30 |
2,0, 2,5 et 2,5 |
|
|
M�t�orologie (MT) |
432 |
36,0 |
2002-09-30 |
2,0, 2,5 et 2,5 |
Restructuration � compter du 1er octobre 2002, ajout d'un �chelon au niveau MT-3 et de deux �chelons aux niveaux MT-4 � 7 |
|
Sciences physiques (PC) |
1 379 |
36,0 |
2002-09-30 |
2,0, 2,5 et 2,5 |
|
|
R�glementation scientifique (SG) |
231 |
36,0 |
2002-09-30 |
2,0, 2,5 et 2,5 |
|
|
Sous-groupe des Pr�pos�s aux brevets (SG-PAT) |
131 |
36,0 |
2002-09-30 |
2,0, 2,5 et 2,5 |
Restructuration � compter du 1er octobre 2000, ajout d'un �chelon au niveau SG-PAT-6 et de deux
�chelons au niveau SG-PAT-7. |
AVANTAGES FINANCIERS N�GOCI�S ENTRE 1997 ET 2003
1er janvier – 31 d�cembre 1999
Groupe/Agent n�gociateur |
Effectif |
Dur�e en mois |
Date d'expiration |
% d'augmentation salariale |
AUGMENTATIONS �CONOMIQUES |
R�paration des navires (ouest) SR(W) |
525 |
24,0 |
2000-09-30 |
2,5 et 2,0 |
Restructuration (les co�ts seront r�cup�r�s aupr�s de la de la D�fense nationale) |
Art dentaire (DE) |
9 |
24,0 |
1999-09-30 |
2,5 et 2,0 |
|
M�decine (MD) |
152 |
30,4 |
1999-09-30 |
1,08, 2,5 et 2,0 |
|
Pharmacie (PH) |
24 |
24,0 |
1999-09-30 |
2,5 et 2,0 |
|
Dessin et illustrations (DD) |
602 |
27,3 |
1999-06-21 |
0,599, 2,0 et 2,0 |
Restructuration (ajout d'un nouvel �chelon maximum) le 22 juin 1998 |
Soutien technologique et scientifique (EG) |
5 996 |
24,0 |
1999-06-21 |
2,0 et 2,0 |
Restructuration (ajout d'un nouvel �chelon maximum) le 22 juin 1998 |
Techniciens divers (GT) |
2 420 |
24,0 |
1999-06-21 |
2,0 et 2,0 |
Restructuration (ajout d'un nouvel �chelon maximum) le 22 juin 1998 |
Photographie (PY) |
33 |
27,2 |
1999-06-21 |
0,589, 2,0 et 2,0 |
Restructuration (ajout d'un nouvel �chelon maximum) le 22 juin 1998 |
Inspection des produits primaires (PI) |
463 |
25,9 |
1999-06-21 |
0,336, 2,0 et 2,0 |
Restructuration (ajout d'un nouvel �chelon maximum) le 22 juin 1998 |
Inspection technique (TI) |
1 112 |
24,0 |
1999-06-21 |
2,0 et 2,0 |
Restructuration (ajout d'un nouvel �chelon maximum) le 22 juin 1998 |
Services correctionnels (S et NS) (CX) |
4 752 |
36,0 |
2000-05-31 |
2,5, 2,0 et 2,0 |
Restructuration (ajout d'un nouvel �chelon maximum) le 1er juin 1997 |
R�paration des navires (est) SR(E) |
859 |
24,0 |
1999-12-31 |
2,5 et 2,0 |
Restructuration (le 1er janvier 1998) |
Pompiers (S et NS) (FR) |
733 |
25,1 |
1999-08-04 |
0,1918, 2,75, 2,0 et 0,271 |
|
Manœuvres et hommes de m�tiers (S et NS) (GL) |
8 416 |
27,0 |
1999-08-04 |
0,5041, 2,75 |
R�duction des zones (le 5 ao�t 1997) |
Services divers (S et NS) (GS) |
4 328 |
24,0 |
1999-08-04 |
2,75, 2,0 et 0,355 |
R�duction des zones (le 5 ao�t 1997) |
Chauffage, force motrice et op�ration de machines fixes (S et NS) (HP) |
754 |
27,9 |
1999-08-04 |
0,6575, 2,75 |
|
Services hospitaliers (S et NS) (HS) |
552 |
25,4 |
1999-08-04 |
0,2411, 2,75 |
Rajustement salarial sp�cial pour les HS-PHS (premi�re ann�e) |
Gardiens de phare (S et NS) (LI) |
116 |
25,5 |
1999-08-04 |
0,2521, 2,75 |
|
�quipages de navires(S et NS) (SC) |
1 471 |
19,1 |
1999-08-04 |
2,75, 2,0 et 0,297 |
|
V�rification (AU) |
5 163 |
12,0 |
2000-05-04 |
2,0 |
|
Radiot�l�graphie (RO) |
326 |
24,0 |
2000-04-30 |
2,5 et 2,0 |
|
Services d'imprimerie (NS) (PR) |
131 |
24,0 |
2000-09-30 |
2,5 et 2,0 |
|
Droit (LA) |
56 |
24,0 |
2001-02-01 |
2,0 et 2,0 |
Restructuration (�limination d'�chelons au bas de l'�chelle) |
Services d'imprimerie (S) (PR) |
15 |
12,0 |
1999-09-30 |
2,5 |
|
Administration des syst�mes d'ordinateurs (CS) |
9 072 |
12,0 |
2000-04-30 |
2,0 |
Restructuration (ajout d'un �chelon au sommet de l'�chelle) et rajustements de l'indemnit� provisoire |
Enseignement universitaire (UT) |
135 |
24,0 |
2000-06-30 |
2,5 et 1,17 |
Restructuration – ajout d'un �chelon aux niveaux UT-1 � 4(co�t assum� en partie par la D�fense nationale) |
Contr�le de la circulation a�rienne (AI) |
24 |
30,0 |
2000-06-30 |
1,73, 2,0 et 1,0 |
Restructuration de l'�chelle et ajout d'un �chelon au sommet |
V�rification (AU) |
5 269 |
1,6 |
2000-06-21 |
0,26 |
|
Commerce (CO) |
2 009 |
8,7 |
2000-06-21 |
1,45 |
|
Achats et approvisionnement (PG) |
1 753 |
12,0 |
2000-06-21 |
2,0 |
|
Navigation a�rienne (AO) |
429 |
27,0 |
2001-01-25 |
2,5 et 2,0 |
Recrutement et maintien en poste (y compris restructuration des niveaux CAI-4 et 5 et changement d'�chelon, indemnit� de recrutement et de maintien en poste, am�lioration de l'indemnit� de fonctions suppl�mentaires et prime de maintien en poste) |
AVANTAGES FINANCIERS N�GOCI�S ENTRE 1997 ET 2003
1er janvier – 31 d�cembre 1998
Groupe/Agent n�gociateur |
Effectif |
Dur�e en mois |
Date d'expiration |
% d'augmentation salariale |
AUGMENTATIONS �CONOMIQUES |
Enseignement universitaire (UT) |
150 |
12,0 |
1998-06-30 |
2,00 |
Prime de 350 $ � la signature |
Soutien des sciences sociales (SI) |
2 353 |
24,0 |
1999-06-21 |
1,8 et 2,00 |
Restructuration |
�lectronique (EL) |
1 256 |
24,0 |
1999-08-31 |
2,5 et 2,00 |
|
�conomie, sociologie et statistiques (ES) |
2 815 |
13,6 |
1999-06-21 |
1,95 et 0,27 (49 jours) |
Restructuration |
Service ext�rieur (FS) |
1 015 |
26,0 |
1999-06-30 |
2,5, 2,0 et 0,33 (2 mois) |
Restructuration |
R�paration des navires (chefs d'�quipe) (SRC) |
88 |
12,0 |
1999-03-31 |
2,5 |
|
Traduction (TR) |
711 |
24,0 |
1999-04-18 |
1,34 et 1,64 |
Restructuration |
V�rification (AU) |
4 801 |
24,0 |
1999-05-04 |
2,5 et 2,00 |
Restructuration - Ajout d'un �chelon au sommet de l'�chelle pour r�gler les probl�mes de maintien en poste. |
Gestion financi�re (FI) |
2 042 |
24,0 |
1999-11-06 |
2,5 et 2,00 |
Augmentation de 3,45 % refl�tant la journ�e de travail de 7,5 heures |
Actuariat (AC) |
7 |
24,0 |
1999-09-30 |
2,5 et 2,00 |
Restructuration – ajout de demi-�chelons � l'�chelle des AC-1 (le 1er octobre 1997) |
Agriculture (AG) |
209 |
24,0 |
1999-09-30 |
2,5 et 2,00 |
|
Architecture et urbanisme (AR) |
228 |
21,0 |
1999-09-30 |
1,87 et 2,00 |
|
Sciences biologiques (BI) |
1 197 |
24,0 |
1999-09-30 |
2,5 et 2,00 |
|
Chimie (CH) |
457 |
21,8 |
1999-09-30 |
1,93 et 2,00 |
|
G�nie et arpentage (EN) |
2 073 |
24,3 |
1999-09-30 |
0,049, 2,5 et 2,0 |
|
Sciences foresti�res (FO) |
108 |
24,0 |
1999-09-30 |
2,5 et 2,00 |
|
M�t�orologie (MT) |
464 |
24,0 |
1999-09-30 |
2,5 et 2,00 |
Rajustement salarial de 2 500 $ au niveau MT-3 (le 1er octobre 1997) |
Sciences physiques (PC) |
1 304 |
27,5 |
1999-09-30 |
0,586, 2,5 et 2,0 |
|
R�glementation scientifique (SG) |
372 |
24,0 |
1999-09-30 |
2,5 et 2,00 |
Restructuration – ajout d'un �chelon au sommet de l'�chelle des niveaux SRE 2 � 8 et rel�vement du traitement, de 2 % pour les niveaux SRE 1 � 3 et SRE 6 � 8 et de 4 % pour les niveaux SRE 4 et 5 (le 1er octobre 1997) |
Sous-groupe des Pr�pos�s aux brevets (SG-PAT) |
130 |
17,1 |
1999-09-30 |
1,04 et 2,00 |
Restructuration – ajout d'un �chelon au sommet de l'�chelle des niveaux PAT 3 � 7 (le 2 mai 1998) |
Officiers de navire (SO) |
885 |
24,0 |
2000-03-31 |
2,5 et 2,00 |
|
Nutrition et di�t�tique (HE/ND) |
18 |
24,0 |
1999-09-30 |
2,5 et 2,00 |
|
Sciences infirmi�res (NU) |
1 038 |
24,0 |
1999-09-30 |
2,5 et 2,00 |
|
Ergoth�rapie et physioth�rapie (OP) |
21 |
24,0 |
1999-09-30 |
2,5 et 2,00 |
|
Psychologie (PS) |
210 |
29,0 |
1999-09-30 |
0,91, 2,5 et 2,0 |
|
Service social (SW) |
48 |
24,0 |
1999-09-30 |
2,5 et 2,00 |
|
M�decine v�t�rinaire (VM) |
28 |
24,0 |
1999-09-30 |
2,5 et 2,00 |
|
Commerce (CO) |
1 865 |
24,0 |
1999-09-30 |
2,5 et 2,00 |
|
Recherche historique (HR) |
228 |
24,0 |
1999-09-30 |
2,5 et 2,00 |
|
Math�matiques (MA) |
243 |
24,0 |
1999-09-30 |
2,5 et 2,00 |
|
Recherche scientifique (SE) |
1 762 |
24,0 |
1999-09-30 |
2,5 et 2,00 |
Indemnit� provisoire � compter du 1er octobre 1999 |
Services scientifiques de la d�fense (DS) |
383 |
24,0 |
1999-09-30 |
2,5 et 2,00 |
Indemnit� provisoire � compter du 1er octobre 1999 jusqu'au 30 septembre 2000 |
Achats et approvisionnement (PG) |
1 828 |
24,0 |
1999-06-21 |
2,5 et 2,00 |
|
Enseignement (ED) |
728 |
22,0 |
1999-06-30 |
2,5 et 2,00 |
Restructuration (�limination de l'�chelon du bas de l'�chelle � tous les niveaux) (le 1er avril 1999) |
Biblioth�conomie (LS) |
383 |
27,0 |
1999-06-30 |
0,50, 2,5 et 2,0 |
Rajustement salarial sp�cial et int�gration du paiement paritaire de 1980 � l'�chelle salariale |
Services administratifs (AS) |
10 764 |
24,0 |
1999-06-20 |
2,5 et 2,00 |
Restructuration (�limination de l'�chelon au bas de l'�chelle) le 1er avril 1999 |
Services d'information (IS) |
1 328 |
23,9 |
1999-06-20 |
2,5 et 2,00 |
Restructuration (�limination de l'�chelon au bas de l'�chelle) le 1er avril 1999 |
Administration des programmes (PM) |
29 391 |
24,0 |
1999-06-20 |
2,5 et 2,00 |
Restructuration (�limination de l'�chelon au bas de l'�chelle) le 1er avril 1999 |
Programmes de bien-�tre social (WP) |
1 733 |
18,9 |
1999-06-20 |
2,5 et 2,00 |
Restructuration (�limination de l'�chelon au bas de l'�chelle) le 1er avril 1999 |
Soutien de l'enseignement (EU) |
2 |
27,7 |
1999-06-20 |
0,77, 2,5 et 2,0 |
Rajustement salarial sp�cial |
Communications (CM) |
113 |
24,0 |
1999-06-20 |
2,5 et 2,00 |
Restructuration (�limination de l'�chelon au bas de l'�chelle) le 1er avril 1999 |
Traitement m�canique des donn�es (DACON) |
424 |
21,7 |
1999-06-20 |
2,5 et 1,62 |
Rajustement salarial sp�cial |
Traitement m�canique des donn�es (DAPRO) |
703 |
21,7 |
1999-06-20 |
2,5 et 2,0 |
Restructuration (�limination de l'�chelon au bas de l'�chelle) le 1er avril 1999 |
Commis aux �critures et r�glements (CR) |
37 462 |
24,3 |
1999-06-20 |
0,055, 2,5 et 2,0 |
Rajustement salarial sp�cial |
M�canographie (OE) |
58 |
25,4 |
1999-06-20 |
0,29, 2,5 et 2,0 |
Restructuration (�limination de l'�chelon au bas de l'�chelle) le 1er avril 1999 |
Secr�tariat, st�nographie et dactylographie (ST) |
5 527 |
23,0 |
1999-06-20 |
2,5 et 1,83 |
Rajustement salarial sp�cial |
AVANTAGES FINANCIERS N�GOCI�S ENTRE 1997 ET 2003
1er janvier – 31 d�cembre 1997
Groupe/Agent n�gociateur |
Effectif |
Dur�e en mois |
Date d'expiration |
% d'augmentation salariale |
AUGMENTATIONS �CONOMIQUES |
R�paration des navires (chefs d'�quipe) (SRC) |
102 |
12,0 |
1998-03-31 |
2,0 |
Restructuration |
Droit (LA) |
39 |
24,0 |
1999-02-28 |
2,0 et 2,0 |
Restructuration pour assurer la parit� avec les avocat exclus du minist�re de la Justice |
Syst�mes d'ordinateurs (CS) |
7 540 |
24,0 |
1999-04-30 |
2,5 et 2,0 |
Restructuration – ajout d'un �chelon au sommet des �chelles de tous les niveaux (1er mai
1997) |
Analyse de la r�partition des employ�s selon leur niveau de classification dans certains groupes de classification, 1991-2003
|
1991 |
1994 |
1998 |
2001 |
2003 |
91/03 |
AS0 |
14 |
5 |
4 |
4 |
7 |
-50% |
AS1 |
2638 |
3158 |
3371 |
4279 |
5467 |
107% |
AS2 |
3638 |
4086 |
3742 |
6059 |
7379 |
103% |
AS3 |
2564 |
2549 |
2166 |
2865 |
3384 |
32% |
AS4 |
1919 |
1989 |
1510 |
1878 |
2328 |
21% |
AS5 |
1626 |
1711 |
1621 |
1822 |
2329 |
43% |
AS6 |
1323 |
1321 |
1173 |
1476 |
1750 |
32% |
AS7 |
804 |
943 |
827 |
929 |
1080 |
34% |
AS8 |
3 |
103 |
116 |
99 |
92 |
2967% |
AS20 |
0 |
0 |
0 |
11 |
1 |
- |
Total |
14529 |
15865 |
14530 |
19422 |
23817 |
64% |
Les niveaux AS0 et AS20 ne sont pas illustr�s dans les pyramides.
Afficher le graphique pleine dimension
1991 |
1994 |
1998 |
2001 |
2003 |
91/03 |
|
CR1 |
70 |
48 |
35 |
53 |
93 |
33% |
CR2 |
9248 |
5908 |
3597 |
2939 |
2472 |
-73% |
CR3 |
21009 |
17013 |
12225 |
11673 |
10546 |
-50% |
CR4 |
22228 |
23391 |
20022 |
20644 |
20150 |
-9% |
CR5 |
7275 |
7362 |
6418 |
8813 |
9974 |
37% |
CR6 |
339 |
253 |
126 |
87 |
92 |
-73% |
CR7 |
3 |
3 |
2 |
2 |
1 |
-67% |
Total |
60172 |
53978 |
42425 |
44211 |
43328 |
-28% |
Afficher le graphique pleine dimension
|
1991 |
1994 |
1998 |
2001 |
2003 |
91/03 |
CS1 |
1059 |
1435 |
2533 |
3216 |
3622 |
242% |
CS2 |
2549 |
3394 |
3902 |
5065 |
6323 |
148% |
CS3 |
1465 |
1787 |
2303 |
2967 |
3833 |
162% |
CS4 |
427 |
510 |
615 |
982 |
1057 |
148% |
CS5 |
16 |
44 |
69 |
212 |
262 |
1538% |
Total |
5516 |
7170 |
9422 |
12442 |
15097 |
174% |
Afficher le graphique pleine dimension
|
1991 |
1994 |
1998 |
2001 |
2003 |
91/03 |
CX1 |
2275 |
2083 |
2295 |
2572 |
2872 |
26% |
CX2 |
1968 |
2070 |
2219 |
2694 |
2709 |
38% |
CX3 |
307 |
293 |
388 |
489 |
555 |
81% |
CX4 |
6 |
2 |
33 |
34 |
35 |
483% |
Total |
4556 |
4448 |
4935 |
5789 |
6171 |
|
Afficher le graphique pleine dimension
|
1991 |
1994 |
1998 |
2001 |
2003 |
91/03 |
ES1 |
99 |
60 |
133 |
103 |
25 |
-75% |
ES2 |
175 |
169 |
152 |
257 |
357 |
104% |
ES3 |
392 |
466 |
375 |
474 |
737 |
88% |
ES4 |
622 |
665 |
820 |
1012 |
1199 |
93% |
ES5 |
653 |
728 |
771 |
1128 |
1454 |
123% |
ES6 |
509 |
597 |
685 |
1058 |
1470 |
189% |
ES7 |
170 |
215 |
213 |
285 |
410 |
141% |
ES8 |
1 |
0 |
1 |
0 |
1 |
0% |
Total |
2621 |
2900 |
3150 |
4317 |
5653 |
116% |
Afficher le graphique pleine dimension
|
1991 |
1994 |
1998 |
2001 |
2003 |
91/03 |
EG1 |
126 |
114 |
234 |
424 |
427 |
239% |
EG2 |
408 |
369 |
460 |
1182 |
1185 |
190% |
EG3 |
883 |
983 |
781 |
1306 |
1550 |
76% |
EG4 |
1749 |
1736 |
1468 |
2047 |
2323 |
33% |
EG5 |
2159 |
2225 |
1656 |
1934 |
2019 |
-6% |
EG6 |
1896 |
1810 |
1286 |
1328 |
1412 |
-26% |
EG7 |
228 |
253 |
165 |
168 |
164 |
-28% |
EG8 |
41 |
33 |
22 |
30 |
38 |
-7% |
EG9 |
0 |
0 |
0 |
0 |
0 |
|
EG10 |
4 |
3 |
1 |
0 |
0 |
-100% |
EG11 |
0 |
1 |
0 |
0 |
0 |
|
Total |
7494 |
7527 |
6073 |
8419 |
9118 |
22% |
Note : Les EG9, EG10 et EG11 ne sont pas illustr�s dans les figures qui suivent. Ils b�n�ficient du maintien de leur ancien niveau salarial � la suite de la conversion du groupe EG en d�cembre 1987.
Afficher le graphique pleine dimension
|
1991 |
1994 |
1998 |
2001 |
2003 |
91/03 |
EX1 |
3193 |
2330 |
1811 |
2138 |
2581 |
-19% |
EX2 |
894 |
862 |
775 |
974 |
1226 |
37% |
EX3 |
480 |
460 |
468 |
620 |
768 |
60% |
EX4 |
234 |
206 |
150 |
202 |
228 |
-3% |
EX5 |
84 |
88 |
81 |
77 |
83 |
-1% |
Total |
4885 |
3946 |
3285 |
4011 |
4886 |
|
Afficher le graphique pleine dimension
|
1991 |
1994 |
1998 |
2001 |
2003 |
91/03 |
FI1 |
928 |
930 |
706 |
911 |
996 |
7% |
FI2 |
1002 |
961 |
856 |
1037 |
1213 |
21% |
FI3 |
626 |
650 |
541 |
661 |
788 |
26% |
FI4 |
257 |
292 |
233 |
319 |
394 |
54% |
|
4804 |
4827 |
4334 |
4929 |
5394 |
109% |
Afficher le graphique pleine dimension
|
1991 |
1994 |
1998 |
2001 |
2003 |
91/03 |
PE1 |
163 |
126 |
117 |
231 |
238 |
46% |
PE2 |
617 |
567 |
352 |
449 |
503 |
-18% |
PE3 |
1356 |
1424 |
1301 |
1210 |
1233 |
-9% |
PE4 |
635 |
692 |
596 |
883 |
1166 |
84% |
PE5 |
342 |
394 |
371 |
536 |
677 |
98% |
PE6 |
119 |
142 |
159 |
311 |
391 |
229% |
PE7 |
0 |
2 |
1 |
2 |
2 |
|
|
3232 |
3347 |
2897 |
3622 |
4210 |
30% |
Afficher le graphique pleine dimension
|
1991 |
1994 |
1998 |
2001 |
2003 |
91/03 |
ST1 |
824 |
448 |
145 |
88 |
52 |
-94% |
ST2 |
6761 |
4589 |
1812 |
1102 |
709 |
-90% |
ST3 |
4466 |
4004 |
2884 |
2261 |
1262 |
-72% |
ST4 |
1043 |
957 |
803 |
537 |
268 |
-74% |
ST5 |
21 |
0 |
0 |
0 |
0 |
-100% |
ST6 |
1 |
0 |
0 |
0 |
0 |
-100% |
Total |
13116 |
9998 |
5644 |
3988 |
2291 |
-83% |
Les niveaux ST5 et ST6 ne sont pas illustr�s dans les graphiques qui suivent.
Afficher le graphique pleine dimension
|
1991 |
1994 |
1998 |
2001 |
2003 |
91/03 |
SI1 |
692 |
705 |
736 |
689 |
566 |
-18% |
SI2 |
839 |
816 |
984 |
1212 |
1475 |
76% |
SI3 |
494 |
490 |
514 |
689 |
756 |
53% |
SI4 |
291 |
317 |
305 |
425 |
435 |
49% |
SI5 |
150 |
121 |
153 |
250 |
316 |
111% |
SI6 |
65 |
73 |
54 |
87 |
95 |
46% |
SI7 |
10 |
14 |
13 |
10 |
32 |
220% |
SI8 |
7 |
29 |
36 |
45 |
55 |
686% |
Total |
2548 |
2565 |
2795 |
3407 |
3730 |
46% |
Afficher le graphique pleine dimension
|
1991 |
1994 |
1998 |
2001 |
2003 |
91/03 |
GLMAN1 |
1 |
9 |
13 |
0 |
1 |
0% |
GLMAN2 |
22 |
25 |
27 |
15 |
15 |
-32% |
GLMAN3 |
118 |
77 |
84 |
120 |
93 |
-21% |
GLMAN4 |
121 |
94 |
120 |
121 |
118 |
-2% |
GLMAN5 |
423 |
315 |
225 |
281 |
302 |
-29% |
GLMAN6 |
393 |
371 |
305 |
250 |
236 |
-40% |
GLMAN7 |
309 |
304 |
213 |
232 |
235 |
-24% |
GLMAN8 |
204 |
205 |
163 |
155 |
147 |
-28% |
GLMAN9 |
139 |
131 |
94 |
82 |
92 |
-34% |
GLMAN10 |
85 |
58 |
46 |
60 |
68 |
-20% |
GLMAN11 |
24 |
22 |
13 |
26 |
24 |
0% |
GLMAN12 |
11 |
9 |
9 |
7 |
5 |
-55% |
GLMAN13 |
2 |
2 |
2 |
2 |
3 |
50% |
Total |
1852 |
1622 |
1314 |
1351 |
1339 |
-28% |
Afficher le graphique pleine dimension
|
1991 |
1994 |
1998 |
2001 |
2003 |
91/03 |
GLMDO1 |
0 |
0 |
1 |
0 |
0 |
|
GLMDO2 |
1 |
0 |
0 |
0 |
0 |
-100% |
GLMDO3 |
82 |
48 |
3 |
3 |
7 |
-91% |
GLMDO4 |
841 |
655 |
258 |
160 |
152 |
-82% |
GLMDO5 |
539 |
460 |
269 |
184 |
208 |
-61% |
GLMDO6 |
1047 |
849 |
513 |
234 |
235 |
-78% |
GLMDO7 |
88 |
66 |
56 |
84 |
77 |
-13% |
GLMDO8 |
90 |
84 |
21 |
26 |
23 |
-74% |
GLMDO9 |
7 |
5 |
2 |
0 |
0 |
-100% |
GLMDO10 |
7 |
4 |
3 |
2 |
0 |
-100% |
GLMDO11 |
6 |
2 |
0 |
0 |
0 |
-100% |
Total |
2708 |
2173 |
1126 |
693 |
702 |
-74% |
Afficher le graphique pleine dimension
|
1991 |
1994 |
1998 |
2001 |
2003 |
91/03 |
GLEL1 |
47 |
32 |
66 |
48 |
29 |
-38% |
GLEL2 |
918 |
742 |
435 |
273 |
240 |
-74% |
GLEL3 |
1029 |
713 |
409 |
306 |
317 |
-69% |
GLEL4 |
221 |
226 |
133 |
131 |
98 |
-56% |
GLEL5 |
77 |
41 |
35 |
27 |
29 |
-62% |
GLEL6 |
20 |
26 |
17 |
21 |
15 |
-25% |
GLEL7 |
10 |
3 |
0 |
0 |
0 |
-100% |
GLEL8 |
9 |
11 |
1 |
3 |
2 |
-78% |
GLEL9 |
8 |
3 |
2 |
0 |
0 |
-100% |
GLEL10 |
1 |
5 |
2 |
0 |
0 |
-100% |
GLEL11 |
0 |
1 |
1 |
0 |
0 |
|
GLEL12 |
1 |
5 |
1 |
0 |
0 |
-100% |
Total |
2341 |
1808 |
1102 |
809 |
730 |
-69% |
Afficher le graphique pleine dimension
|
1991 |
1994 |
1998 |
2001 |
2003 |
91/03 |
PM1 |
7 982 |
9 608 |
8 425 |
7 882 |
8 271 |
4% |
PM2 |
11 475 |
11 911 |
13 400 |
14 496 |
13 984 |
22% |
PM3 |
5 140 |
5 063 |
4 580 |
4 505 |
5 814 |
13% |
PM4 |
3 459 |
4 029 |
4 103 |
5 331 |
4 870 |
41% |
PM5 |
2 279 |
2 586 |
2 498 |
3 253 |
3 492 |
53% |
PM6 |
1 451 |
1 647 |
1 684 |
1 948 |
1 853 |
28% |
PM7 |
11 |
2 |
4 |
4 |
3 |
-73% |
Total |
31 797 |
34 846 |
34 694 |
37 419 |
38 287 |
20% |
Afficher le graphique pleine dimension
R�sum� des plaintes relatives � la parit� salariale r�gl�es qui se rapportent au domaine du noyau de la fonction publique jusqu'en 2003
Depuis l'adoption de la Loi canadienne sur les droits de la personne (LCDP), en 1978, le Conseil du Tr�sor a r�gl� de nombreuses plaintes dans la fonction publique f�d�rale.
Le r�glement des plaintes prend la plupart du temps la forme d'ententes n�goci�es avec les employ�s ou les agents n�gociateurs. Les premi�res plaintes visaient des groupes uniques et portaient davantage sur le principe d'un salaire �gal pour un travail �gal ou similaire. � titre d'exemple, le groupe Biblioth�conomie s'est compar� au groupe Recherche historique. Les plaintes de ce genre se pr�taient � une comparaison relativement simple � d'un groupe � l'autre �. Les plaintes formul�es par la suite supposaient l'�tablissement de comparaisons entre plusieurs groupes � pr�dominance f�minine et masculine visant un plus vaste �ventail de t�ches et exigeaient des m�thodes plus complexes.
Plaintes d�pos�es par des groupes
En raison d'un d�saccord quant � l'existence de sexisme dans les �valuations des postes, l'ESPPS a �t� interrompue � l'automne 1989, avant que les parties n'aient pu discuter d'une m�thode d'analyse des r�sultats de l'�valuation ou s'entendre sur cette m�thode. Lorsqu'il est devenu �vident que l'initiative ne serait pas relanc�e, le SCT a commenc� � analyser les donn�es d'�valuation pour savoir dans quelle mesure les groupes � pr�dominance f�minine �taient sous‑pay�s. Ces analyses ont abouti � l'annonce, le 26 janvier 1990, du versement d'un montant forfaitaire aux employ�s des groupes CR, EU, ST et NU et de rajustements salariaux annuels permanents aux employ�s des groupes CR, EU et ST.
L'AFPC et l'IPFPC, insatisfaits de ces paiements, ont d�pos� des plaintes nouvelles ou r�vis�es, puis demand� qu'elles soient d�f�r�es � un tribunal. Le point fondamentalement dont a �t� saisi le tribunal avait trait � l'article 11 de la LCDP. Dans une premi�re d�cision en 1996, le tribunal a soutenu que les donn�es recueillies dans le cadre de l'ESPPS avaient fourni un fondement suffisant � l'�valuation du bien‑fond� de paiements suppl�mentaires. Entre‑temps, les plaintes de l'IPFPC ont �t� r�gl�es par voie de n�gociations au d�but de 1995 et ont abouti � un paiement forfaitaire et � des rajustements de p�r�quation permanents pour les employ�s des groupes HE/ND, OP et NU, qui ont �t� int�gr�s aux taux de r�mun�ration de base � compter du 1er avril 1994.
La deuxi�me d�cision du tribunal, qui avait trait � la m�thode devant servir � estimer l'existence et l'�tendue de l'�cart salarial, a �t� rendue en juillet 1998. Pour la premi�re fois dans l'histoire de la parit� salariale, le tribunal a d�cr�t� le versement d'int�r�ts simples sur le montant net des traitements dus pour chacune des ann�es de la p�riode de r�troactivit�.
La derni�re semaine de d�cembre 1998, le SCT et l'AFPC ont sign� de nouvelles conventions collectives qui comprenaient des ajustements sp�ciaux de r�mun�ration (ASR) � l'intention des employ�s des groupes vis�s par la d�cision du tribunal. Il �tait cependant entendu que ces ASR seraient pris en compte dans tous les calculs de l'�cart salarial au titre de la parit� salariale qui pourraient �tre exig�s pour r�gler en d�finitive les plaintes.
Les parties ont n�goci� une entente de mise en œuvre de la d�cision du tribunal en octobre 1999, qui pr�voyait, pour les employ�s des groupes CR, DA CON, EU, HS, LS et ST, des ajustements avec effet r�troactif au 8 mars 1985, plus les int�r�ts, de m�me que l'int�gration des ajustements dans les salaires � compter du 28 juillet 1998. � cette date, les ajustements paritaires annonc�s le 26 janvier 1990 � l'intention des employ�s des groupes CR, ST et EU ont �galement �t� int�gr�s aux salaires.
Pour ce qui est des volets de la plainte de 1984 soumise par l'AFPC visant les articles 7 et 10 et concernant les all�gations de diff�rences discriminatoires dans les normes de classification CR et PM, l'enqu�teur de la CCDP a recommand�, en d�cembre 2003, � la Commission de ne pas intervenir davantage dans cette affaire �tant donn� que l'employeur avait entrepris une r�forme des deux normes.
Plaintes d�pos�es par des employ�s particuliers
La plupart du temps, ces plaintes sont r�gl�es par voie de reclassification; elles le sont aussi parfois gr�ce � d'autres formes de r�mun�ration. Le nombre de personnes ayant d�pos� des plaintes aux termes de l'article 11 de la Loi a diminu� passablement depuis les ann�es 1990.
Au 31 mars 2003, douze (12) plaintes �taient en suspens, neuf (9) d'entre elles ayant trait � des all�gations d�coulant de la d�finition des termes � employeur � et � �tablissement �. La plupart de ces plaintes pr�tendent que le CT ou un employeur distinct a fait preuve de discrimination contre les employ�s des employeurs distincts en refusant de leur accorder des rajustements paritaires n�goci�s pour les employ�s du CT (univers des employeurs de la partie I, annexe I)[1].
Depuis le 31 mars 2003, quatre autres plaintes ont �t� d�pos�es[2].
[1] Depuis novembre 2003, la CCDP a rejet� ou refus� de traiter onze (11) plaintes, huit (8) desquelles avaient trait � des all�gations d�coulant de la d�finition des termes � employeur � et � �tablissement �. � ce jour, une d�cision a �t� d�f�r�e � la Cour f�d�rale pour contr�le judiciaire.
[2] Des cinq (5) plaintes actuellement en suspens, deux (2) traitent de la d�finition des termes � employeur � et � �tablissement �.
Co�ts estim�s des r�glements de parit� salariale, 1980 � 2003
Co�ts estim�s des r�glements de parit� salariale au 31 mars 2003
Groupe Services divers (GS) |
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Description |
Date |
Paiement forfaitaire |
Montant annuel cumul� (jusqu'au 31 mars 2003) |
Montant annuel courant apr�s le 31 mars 2003 |
|
GS-FOS, GS-LAS et GS-MPS (1) |
2 mars 82 |
|
19 421 774 $ |
0 $ |
0 $ |
(1) Harmonisation des taux de salaire |
19 421 774 $ |
0 $ |
0 $ |
Groupe Services hospitaliers (HS) |
|||||
Description |
Date |
Paiement forfaitaire |
Montant annuel cumul� (jusqu'au 31 mars 2003) |
Montant annuel courant apr�s le 31 mars 2003 |
|
Convention g�n�rale du groupe HS (2) |
9 sept 80 |
26 juil 87 |
28 303 452 $ |
0 $ |
0 $ |
Convention g�n�rale du groupe HS (2) |
27 juil 87 |
21 d�c 87 |
1 645 665 $ |
0 $ |
0 $ |
Suppl�ment visant les repr�sentants en sant� communautaire (2) |
9 sept 80 |
21 d�c 87 |
2 198 500 $ |
0 $ |
0 $ |
(2) Redressements de parit� salariale et application de la norme de classification GS |
32 147 617 $ |
0 $ |
0 $ |
Groupe Commis aux �critures et r�glements (CR) |
|||||
Description |
Date |
Paiement forfaitaire |
Montant annuel cumul� (jusqu'au 31 mars 2003) |
Montant annuel courant apr�s le 31 mars 2003 |
|
Redressements de parit� de 1990 int�gr�s aux taux de r�mun�ration de base au 29 juillet 1998 |
1 avr 85 |
31 mars 90 |
192 545 605 $ |
0 $ |
0 $ |
|
1 avr 90 |
31 mars 03 |
0 $ |
558 864 042 $ |
0 $ |
|
|
|
0 $ |
0 $ |
31 740 408 $ |
Redressement salarial sp�cial int�gr� aux taux de r�mun�ration de base au 12 juin 1997 |
12 juin 97 |
31 mars 03 |
0 $ |
509 925 159 $ |
79 036 533 $ |
Entente de 1999 int�gr�e aux taux de r�mun�ration de base au 29 juillet 1998 |
8 mars 85 |
28 juil 98 |
1 587 128 454 $ |
0 $ |
0 $ |
|
29 juil 98 |
31 mars 03 |
0 $ |
197 098 651 $ |
0 $ |
|
|
|
0 $ |
0 $ |
38 684 879 $ |
|
1 779 674 059 $ |
1 265 887 852 $ |
149 461 820 $ |
Traitement m�canique des donn�es - Conversion des donn�es (DA-CON) |
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Description |
Date |
Paiement forfaitaire |
Montant annuel cumul� (jusqu'au 31 mars 2003) |
Montant annuel courant apr�s le 31 mars 2003 |
|
Redressement salarial sp�cial int�gr� aux taux de r�mun�ration de base au 29 ao�t 1997 |
29 ao�t 97 |
31 mars 03 |
0 $ |
6 214 597 $ |
321 621 $ |
Entente de 1999 int�gr�e aux taux de r�mun�ration de base au 29 juillet 1998 |
8 mars 85 |
28 juil 98 |
38 052 875 $ |
0 $ |
0 $ |
|
29 juil 98 |
31 mars 03 |
0 $ |
76 515 $ |
0 $ |
|
|
|
0 $ |
0 $ |
10 269 $ |
|
38 052 875 $ |
6 291 112 $ |
331 890 $ |
Groupe Soutien de l'enseignement (EU) |
|||||
Description |
Date |
Paiement forfaitaire |
Montant annuel cumul� (jusqu'au 31 mars 2003) |
Montant annuel courant apr�s le 31 mars 2003 |
|
Redressements de parit� de 1990 int�gr�s aux taux de r�mun�ration de base au 29 juillet 1998 |
1 avr 85 |
31 mars 90 |
1 073 095 $ |
0 $ |
0 $ |
|
1 avr 90 |
31 mars 03 |
0 $ |
540 208 $ |
0 $ |
|
|
|
0 $ |
0 $ |
114 450 $ |
Redressement salarial sp�cial int�gr� aux taux de r�mun�ration de base au 12 juin 1997 |
12 juin 97 |
31 mars 03 |
0 $ |
109 934 $ |
111 950 $ |
Entente de 1999 int�gr�e aux taux de r�mun�ration de base au 29 juillet 1998 |
8 mars 85 |
28 juil 98 |
2 112 645 $ |
0 $ |
0 $ |
|
29 juil 98 |
31 mars 03 |
0 $ |
3 014 $ |
0 $ |
|
|
|
0 $ |
0 $ |
9 550 $ |
|
3 185 740 $ |
653 156 $ |
235 950 $ |
Groupe Biblioth�conomie (LS) |
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Description |
Date |
Paiement forfaitaire |
Montant annuel cumul� (jusqu'au 31 mars 2003) |
Montant annuel courant apr�s le 31 mars 2003 |
|
Entente de 1980 ‑ Redressements de parit� |
1 mars 78 |
31 mars 97 |
0 $ |
38 878 738 $ |
0 $ |
Redressement salarial sp�cial int�gr� aux taux de r�mun�ration de base au 1er avril 1997 |
1 avr 97 |
31 mars 03 |
0 $ |
25 850 452 $ |
4 312 651 $ |
Entente de 1999 int�gr�e aux taux de r�mun�ration de base au 29 juillet 1998 |
8 mars 85 |
28 juil 98 |
28 998 339 $ |
0 $ |
0 $ |
|
29 juil 98 |
31 mars 03 |
0 $ |
3 447 503 $ |
0 $ |
|
|
|
0 $ |
0 $ |
734 636 $ |
|
28 998 339 $ |
68 176 693 $ |
5 047 287 $ |
Services hospitaliers |
|||||
Description |
Date |
Paiement forfaitaire |
Montant annuel cumul� (jusqu'au 31 mars 2003) |
Montant annuel courant apr�s le 31 mars 2003 |
|
Redressement salarial sp�cial int�gr� aux taux de r�mun�ration de base au 22 juin 1997 |
22 juin 97 |
31 mars 03 |
0 $ |
4 816 952 $ |
815 493 $ |
Entente de 1999 int�gr�e aux taux de r�mun�ration de base au 29 juillet 1998 |
8 mars 85 |
28 juil 98 |
33 459 644 $ |
0 $ |
0 $ |
|
29 juil 98 |
31 mars 03 |
0 $ |
7 350 079 $ |
0 $ |
|
|
|
0 $ |
0 $ |
1 527 551 $ |
|
33 459 644 $ |
12 167 031 $ |
2 343 044 $ |
Groupe Secr�tariat, st�nographie et dactylographie (ST) |
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Description |
Date |
Paiement forfaitaire |
Montant annuel cumul� (jusqu'au 31 mars 2003) |
Montant annuel courant apr�s le 31 mars 2003 |
|
Redressements de parit� de 1990 int�gr�s aux taux de r�mun�ration de base au 29 juillet 1998 |
1 avr 85 |
31 mars 90 |
84 592 986 $ |
0 $ |
0 $ |
|
1 avr 90 |
31 mars 03 |
0 $ |
123 607 782 $ |
0 $ |
|
|
|
0 $ |
0 $ |
2 278 952 $ |
Redressement salarial sp�cial int�gr� aux taux de r�mun�ration de base au 12 juin 1997 |
12 juin 97 |
31 mars 03 |
0 $ |
32 827 626 $ |
2 568 771 $ |
Entente de 1999 int�gr�e aux taux de r�mun�ration de base au 29 juillet 1998 |
8 mars 85 |
28 juil 98 |
252 926 859 $ |
0 $ |
0 $ |
|
29 juil 98 |
31 mars 03 |
0 $ |
9 587 652 $ |
0 $ |
|
|
|
0 $ |
0 $ |
1 029 460 $ |
|
337 519 845 $ |
166 023 060 $ |
5 877 183 $ |
Interviewers et interviewers principaux (� Statistique Canada) |
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Description |
Date |
Paiement forfaitaire |
Montant annuel cumul� (jusqu'au 31 mars 2003) |
Montant annuel courant apr�s le 31 mars 2003 |
|
R�glement de 1991 |
1 avr 85 |
nov 87 |
1 000 000 $ |
0 $ |
0 $ |
|
1 000 000 $ |
0 $ |
0 $ |
Description |
Paiement forfaitaire |
Montant annuel cumul� (jusqu'au 31 mars 2003) |
Montant annuel courant apr�s le 31 mars 2003 |
GS-FOS, GS-LAS et GS-MPS |
19 421 774 $ |
0 $ |
0 $ |
Convention g�n�rale du groupe HS |
29 949 117 $ |
0 $ |
0 $ |
Suppl�ment visant les repr�sentants en sant� communautaire |
2 198 500 $ |
0 $ |
0 $ |
Redressements de parit� de 1990 |
278 211 686 $ |
683 012 032 $ |
34 133 810 $ |
Entente de 1980 – Redressements de parit� |
0 $ |
38 878 738 $ |
0 $ |
Redressement salarial sp�cial |
0 $ |
579 744 720 $ |
87 167 019 $ |
Entente de 1999 |
1 942 678 816 $ |
217 563 414 $ |
41 996 345 $ |
R�glement de 1991 |
1 000 000 $ |
0 $ |
0 $ |
Entente de 1999 – Int�r�ts (en f�vrier 2003) |
911 841 018 $ |
0 $ |
0 $ |
|
3 185 300 911 $ |
1 519 198 904 $ |
163 297 174 $ |
Groupe Sciences infirmi�res (NU) |
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Description |
Date |
Paiement forfaitaire |
Montant annuel cumul� (jusqu'au 31 mars 2003) |
Montant annuel courant apr�s le 31 mars 2003 |
|
Protocole d'entente de 1987 (5 500 $) |
1 oct 87 |
31 mars 94 |
0 $ |
58 588 750 $ |
0 $ |
Annonce de 1990 du CT – R�troactivit� |
1 avr 85 |
30 sept 87 |
24 441 887 $ |
0 $ |
0 $ |
Entente de 1994 int�gr�e aux taux de r�mun�ration de base au 1er avril 1994 |
1 oct 87 |
31 mars 94 |
57 341 690 $ |
0 $ |
0 $ |
|
1 avr 94 |
31 mars 03 |
0 $ |
177 705 400 $ |
0 $ |
|
|
|
0 $ |
0 $ |
21 454 951 $ |
|
81 783 577 $ |
236 294 150 $ |
21 454 951 $ |
Groupe Nutrition et di�t�tique (ND) (qui s'appelaient autrefois Sciences domestiques (HE) |
|||||
Description |
Date |
Paiement forfaitaire |
Montant annuel cumul� (jusqu'au 31 mars 2003) |
Montant annuel courant apr�s le 31 mars 2003 |
|
Comprend les paiements vers�s au groupe Ergoth�rapie et physioth�rapie (OP) |
1 mars 78 |
31 mars 85 |
2 524 775 $ |
0 $ |
0 $ |
R�glement int�rimaire |
1 avr 85 |
31 mars 94 |
0 $ |
1 430 933 $ |
0 $ |
Entente de 1994 int�gr�e aux taux de r�mun�ration de base au 1er avril 1994 |
1 avr 87 |
31 mars 94 |
1 507 786 $ |
0 $ |
0 $ |
|
1 avr 94 |
31 mars 03 |
0 $ |
2 937 454 $ |
0 $ |
|
|
|
0 $ |
0 $ |
408 317 $ |
|
4 032 561 $ |
4 368 387 $ |
408 317 $ |
Groupe Ergoth�rapie et physioth�rapie (OP) |
|||||
Description |
Date |
Paiement forfaitaire |
Montant annuel cumul� (jusqu'au 31 mars 2003) |
Montant annuel courant apr�s le 31 mars 2003 |
|
voir le Groupe ND |
1 mars 78 |
31 mars 85 |
0 $ |
0 $ |
0 $ |
R�glement int�rimaire |
1 avr 85 |
31 mars 94 |
0 $ |
2 425 465 $ |
0 $ |
Entente de 1994 int�gr�e aux taux de r�mun�ration de base au 1er avril 1994 |
1 avr 87 |
31 mars 94 |
1 296 536 $ |
0 $ |
0 $ |
|
1 avr 94 |
31 mars 03 |
0 $ |
5 295 890 $ |
0 $ |
|
|
|
0 $ |
0 $ |
775 736 $ |
|
1 296 536 $ |
7 721 355 $ |
775 736 $ |
Sous-groupe Service social (SW-SCW) |
|||||
Description |
Date |
Paiement forfaitaire |
Montant annuel cumul� (jusqu'au 31 mars 2003) |
Montant annuel courant apr�s le 31 mars 2003 |
|
R�glement de 1996 int�gr� aux taux de r�mun�ration de base au 12 juin 1996 |
12 d�c 94 |
11 juin 96 |
396 926 $ |
0 $ |
0 $ |
|
12 juin 96 |
31 mars 03 |
0 $ |
1 949 389 $ |
0 $ |
|
|
|
0 $ |
0 $ |
333 000 $ |
|
396 926 $ |
1 949 389 $ |
333 000 $ |
Description |
Paiement forfaitaire |
Montant annuel cumul� (jusqu'au 31 mars 2003) |
Montant annuel courant apr�s le 31 mars 2003 |
ND(HE) et OP (jusqu'en mars 1985) |
2 524 775 $ |
0 $ |
0 $ |
Protocole d'entente de 1987 |
0 $ |
58 588 750 $ |
0 $ |
Annonce de 1990 du CT |
24 441 887 $ |
0 $ |
0 $ |
R�glement int�rimaire |
0 $ |
3 856 398 $ |
0 $ |
Entente de 1994 |
60 146 012 $ |
185 938 744 $ |
22 639 004 $ |
Entente de 1996 |
396 926 $ |
1 949 389 $ |
333 000 $ |
|
87 509 600 $ |
250 333 281 $ |
22 972 004 $ |
Organisation nationale des repr�sentants indiens et inuit en sant� communautaire (ONRIISC) |
|||||
Description |
Date |
Paiement forfaitaire |
Montant annuel cumul� (jusqu'au 31 mars 2003) |
Montant annuel courant apr�s le 31 mars 2003 |
|
Transfert du montant du r�glement dans un compte en fiducie |
9 sept 80 |
26 avr 00 |
45 700 000 $ |
0 $ |
0 $ |
|
45 700 000 $ |
0 $ |
0 $ |
Groupe Gestion du personnel (PE) |
|||||
Description |
Date |
Paiement forfaitaire |
Montant annuel cumul� (jusqu'au 31 mars 2003) |
Montant annuel courant apr�s le 31 mars 2003 |
|
Entente de 1999 int�gr�e aux taux de r�mun�ration de base au 1er octobre 1999 |
1 oct 91 |
30 sept 99 |
60 744 550 $ |
0 $ |
0 $ |
|
1 oct 99 |
31 mars 03 |
0 $ |
57 681 250 $ |
0 $ |
|
|
|
0 $ |
0 $ |
18 012 500 $ |
|
60 744 550 $ |
57 681 250 $ |
18 012 500 $ |
Groupe Traduction (TR) |
|||||
Description |
Date |
Paiement forfaitaire |
Montant annuel cumul� (jusqu'au 31 mars 2003) |
Montant annuel courant apr�s le 31 mars 2003 |
|
Entente de 2003 int�gr�e aux taux de r�mun�ration de base au 19 avril 2003 |
1 avr 90 |
31 mars 03 |
17 279 670 $ |
0 $ |
4 479 425 $ |
|
17 279 670 $ |
0 $ |
4 479 425 $ |
Description |
Paiement forfaitaire |
Montant annuel cumul� (jusqu'au 31 mars 2003) |
Montant annuel courant apr�s le 31 mars 2003 |
AFPC |
3 185 300 911 $ |
1 519 198 904 $ |
163 297 174 $ |
IPFPC |
87 509 600 $ |
250 333 281 $ |
22 972 004 $ |
Autres groupes |
123 724 220 $ |
57 681 250 $ |
22 491 925 $ |
|
3 396 534 731 $ |
1 827 213 435 $ |
208 761 103 $ |
Donn�es � l'appui des chiffres illustrant les tendances d'indicateurs �conomiques cl�s
Figure 1018 : Indicateurs �conomiques cl�s au Canada, 1990‑1991 � 2002‑2003
INDICATEURS �CONOMIQUES CL�S AU CANADA DURANT LA P�RIODE DE 1990‑1991 � 2002‑2003
|
Exercice |
Millions de dollars |
Millions de dollars |
Nomb de personnes |
Millions de dollars |
% |
% |
Unit�s |
PIB nominal |
PIB r�el |
Population |
D�ficit f�d�ral |
Taux de ch�mage |
Taux d'inflation |
Logements mis en chantier (ann�e civile) |
||
90‑91 |
678172 |
745782 |
27 736 755 |
32 368 |
8,1 |
4,8 |
|
|
1991 |
91‑92 |
692940 |
752103 |
28 066 408 |
38 617 |
10,3 |
5,6 |
156 197 |
1992 |
92‑93 |
714776 |
765599 |
28 407 880 |
40 602 |
11,2 |
1,5 |
168 271 |
1993 |
93‑94 |
750696 |
794261 |
28 724 135 |
40 432 |
11,4 |
1,8 |
155 443 |
1994 |
94‑95 |
801904 |
832472 |
29 035 161 |
36 736 |
10,4 |
0,2 |
154 057 |
1995 |
95‑96 |
819976 |
837371 |
29 339 247 |
33 211 |
9,4 |
2,2 |
110 933 |
1996 |
96‑97 |
867828 |
867450 |
29 646 827 |
13 499 |
9,6 |
1,6 |
124 713 |
1997 |
97‑98 |
906904 |
908309 |
29 938 140 |
-4 507 |
9,1 |
1,6 |
147 040 |
1998 |
98‑99 |
949136 |
950590 |
30 183 789 |
-2 786 |
8,3 |
0,9 |
137 439 |
1999 |
99‑00 |
1042100 |
1004935 |
30 436 185 |
-6 999 |
7,6 |
1,7 |
149 968 |
2000 |
00‑01 |
1115408 |
1035414 |
30 725 451 |
-9 213 |
6,8 |
2,7 |
151 653 |
2001 |
01‑02 |
1121528 |
1060397 |
31 059 970 |
-7 351 |
7,2 |
2,6 |
162 733 |
2002 |
02‑03 |
1214880 |
1093793 |
31 385 694 |
-2 780 |
7,7 |
2,2 |
205 034 |
Figure 1019 : Comparaison du taux de variation des indicateurs cl�s du Canada, 1990‑1991 � 2002‑2003 (1990‑1991=100)
INDICATEURS �CONOMIQUES CL�S AU CANADA DURANT LA P�RIODE DE 1990‑1991 � 2002‑2003
|
Exercice |
Indice (1990‑1991=100) |
|
|||||
PIB nominal |
PIB r�el |
Population |
D�ficit f�d�ral |
Taux de ch�mage |
Taux d'inflation |
Logements mis en chantier (ann�e civile) |
||
|
90‑91 |
100,0 |
100,0 |
100,0 |
100,0 |
100,0 |
100,0 |
100,0 |
1991 |
91‑92 |
102,2 |
100,8 |
101,2 |
119,3 |
127,2 |
115,4 |
100,0 |
1992 |
92‑93 |
105,4 |
102,7 |
102,4 |
125,4 |
138,3 |
31,5 |
107,7 |
1993 |
93‑94 |
110,7 |
106,5 |
103,6 |
124,9 |
140,7 |
37,3 |
99,5 |
1994 |
94‑95 |
118,2 |
111,6 |
104,7 |
113,5 |
128,4 |
4,1 |
98,6 |
1995 |
95‑96 |
120,9 |
112,3 |
105,8 |
102,6 |
116,0 |
44,6 |
71,0 |
1996 |
96‑97 |
128,0 |
116,3 |
106,9 |
41,7 |
118,5 |
33,8 |
79,8 |
1997 |
97‑98 |
133,7 |
121,8 |
107,9 |
-13,9 |
112,3 |
33,2 |
94,1 |
1998 |
98‑99 |
140,0 |
127,5 |
108,8 |
-8,6 |
102,5 |
19,2 |
88,0 |
1999 |
99‑00 |
153,7 |
134,7 |
109,7 |
-21,6 |
93,8 |
36,2 |
96,0 |
2000 |
00‑01 |
164,5 |
138,8 |
110,8 |
-28,5 |
84,0 |
56,2 |
97,1 |
2001 |
01‑02 |
165,4 |
142,2 |
112,0 |
-22,7 |
88,9 |
52,9 |
104,2 |
2002 |
02‑03 |
179,1 |
146,7 |
113,2 |
-8,6 |
95,1 |
46,2 |
131,3 |
NOTA
(1) PIB aux prix courants, en terme de d�penses, donn�es trimestrielles d�saisonnalis�es au taux annuel pour le premier trimestre, Statistique Canada, CANSIM.
(2) PIB en dollars encha�n�s de 1997, d�saisonnalis�s au taux annuel pour le premier trimestre, Statistique Canada, CANSIM.
(3) Population moyenne �tablie d'apr�s quatre estimations d�mographiques trimestrielles, Estimations d�mographiques, Statistique Canada, CANSIM.
(4) D�ficit du gouvernement f�d�ral pour l'exercice se terminant le 31 mars. Finance publique f�d�rale ‑ Estimations et donn�es r�elles, Statistique Canada, CANSIM.
(5) Taux de ch�mage, hommes et femmes �g�s de 15 ans et plus, Estimations de l'Enqu�te sur la population active, Statistique Canada, CANSIM.
(6) Variation annuelle de l'IPC, indice d'ensemble, Statistique Canada, CANSIM.
Figure 1020 : Emploi et revenus au Canada, 1990‑1991 � 2002‑2003
EMPLOI ET REVENUS
Exercice |
Nomb de personnes |
$ |
||||||
Emploi au Canada (x1000) |
Emploi dans le secteur priv� |
Emploi dans le secteur public |
PIB nominal par habitant |
PIB r�el par habitant |
Gains hebdo- madaires moyens |
Revenu m�dian apr�s imp�t |
Gains horaires moyens |
|
1990‑1991 |
13017 |
10267 |
2749 |
24450 |
26887,86 |
s.o. |
38 300 |
s.o. |
1991‑1992 |
12833 |
10040 |
2793 |
24689 |
26797,27 |
544,68 |
36 400 |
s.o. |
1992‑1993 |
12772 |
9945 |
2828 |
25161 |
26950,23 |
562,73 |
37 200 |
s.o. |
1993‑1994 |
12886 |
10077 |
2809 |
26135 |
27651,35 |
569,59 |
35 700 |
s.o. |
1994‑1995 |
13215 |
10415 |
2800 |
27618 |
28671,17 |
579,65 |
36 600 |
s.o. |
1995‑1996 |
13377 |
10646 |
2731 |
27948 |
28540,98 |
584,50 |
36 000 |
s.o. |
1996‑1997 |
13507 |
10831 |
2676 |
29272 |
29259,45 |
598,24 |
35 900 |
15,61 |
1997‑1998 |
13870 |
11226 |
2645 |
30293 |
30339,53 |
606,85 |
36 000 |
15,75 |
1998‑1999 |
14241 |
11588 |
2654 |
31445 |
31493,40 |
615,09 |
37 000 |
16,09 |
1999‑2000 |
14640 |
11914 |
2725 |
34239 |
33017,77 |
624,63 |
38 300 |
16,56 |
2000‑2001 |
14969 |
12159 |
2810 |
36302 |
33698,90 |
638,89 |
39 100 |
17,16 |
2001‑2002 |
15116 |
12288 |
2828 |
36108 |
34140,31 |
650,83 |
40 800 |
17,69 |
2002‑2003 |
15531 |
12591 |
2939 |
38708 |
34850,05 |
662,47 |
41 300 |
18,04 |
Figure 1020 : (suite)
Exercice |
Indice (1990-1991=100) |
|||||||
Emploi au Canada (x1000) |
Emploi dans le secteur priv� |
Emploi dans le secteur public |
PIB nominal par habitant |
PIB r�el par habitant |
Gains hebdo- madaires moyens |
Revenu m�dian apr�s imp�t |
Gains horaires moyens |
|
1990‑1991 |
100,0 |
100,0 |
100,0 |
100,0 |
100,0 |
|
100,0 |
|
1991‑1992 |
98,6 |
97,8 |
101,6 |
101,0 |
99,7 |
100,0 |
95,0 |
|
1992‑1993 |
98,1 |
96,9 |
102,8 |
102,9 |
100,2 |
103,3 |
97,1 |
|
1993‑1994 |
99,0 |
98,1 |
102,2 |
106,9 |
102,8 |
104,6 |
93,2 |
|
1994‑1995 |
101,5 |
101,4 |
101,8 |
113,0 |
106,6 |
106,4 |
95,6 |
|
1995‑1996 |
102,8 |
103,7 |
99,3 |
114,3 |
106,1 |
107,3 |
94,0 |
|
1996‑1997 |
103,8 |
105,5 |
97,3 |
119,7 |
108,8 |
109,8 |
93,7 |
100,0 |
1997‑1998 |
106,6 |
109,3 |
96,2 |
123,9 |
112,8 |
111,4 |
94,0 |
100,9 |
1998‑1999 |
109,4 |
112,9 |
96,5 |
128,6 |
117,1 |
112,9 |
96,6 |
103,1 |
1999‑2000 |
112,5 |
116,0 |
99,1 |
140,0 |
122,8 |
114,7 |
100,0 |
106,1 |
2000‑2001 |
115,0 |
118,4 |
102,2 |
148,5 |
125,3 |
117,3 |
102,1 |
109,9 |
2001‑2002 |
116,1 |
119,7 |
102,8 |
147,7 |
127,0 |
119,5 |
106,5 |
113,3 |
2002‑2003 |
119,3 |
122,6 |
106,9 |
158,3 |
129,6 |
121,6 |
107,8 |
115,6 |
Source :
(1) Emploi mensuel moyen pour l'exercice se terminant en mars. Hommes et femmes �g�s de 15 ans et plus. Estimations de l'Enqu�te sur la population active, Statistique Canada, CANSIM.
(2) Moyenne mensuelle de la diff�rence entre l'emploi total dans toutes les branches d'activit�s moins le nombre d'employ�s du secteur public pour l'exercice se terminant en mars (ne comprend pas les employ�s du secteur priv� et les travailleurs autonomes). Hommes et femmes. Estimations de l'Enqu�te sur la population active, Statistique Canada, CANSIM.
(3) Moyenne mensuelle du nombre d'employ�s du secteur public pour l'exercice se terminant en mars. Hommes et femmes. Estimations de l'Enqu�te sur la population active, Statistique Canada, CANSIM.
(4) Gains hebdomadaires moyens pour l'ensemble des salari�s, heures suppl�mentaires non comprises, ensemble des industries sauf les entreprises non classifi�es. EERH, Statistique Canada, CANSIM.
(5) Revenu m�dian apr�s imp�t en dollars constants de 2002, tous les types de familles. Statistique Canada, CANSIM.
(6) Gains horaires moyens au mois de mars. Ensemble des salari�s, hommes et femmes �g�s de 12 ans et plus. Estimations de l'Enqu�te sur la population active, Statistique Canada, CANSIM.
Figure 1021 : Comparaison du taux de variation des indicateurs cl�s de l'emploi et des revenus au Canada, 1990-1991 � 2002-2003 (indice, 1990-1991 =100)
Exercice |
Indice (1990-1991=100) |
|||
|
Secteur public f�d�ral, salaire moyen |
Fonction publique et employeurs distincts, salaire moyen |
Force r�guli�re, Forces canadiennes, salaire moyen |
GRC, salaire moyen |
1990‑1991 |
100,0 |
100,0 |
100,0 |
100,0 |
1991‑1992 |
101,8 |
101,7 |
99,9 |
115,5 |
1992‑1993 |
107,0 |
106,1 |
106,0 |
130,8 |
1993‑1994 |
109,3 |
108,2 |
106,9 |
142,0 |
1994‑1995 |
110,5 |
109,3 |
107,6 |
149,1 |
1995‑1996 |
112,1 |
109,7 |
111,3 |
158,9 |
1996‑1997 |
113,9 |
109,6 |
117,2 |
167,4 |
1997‑1998 |
116,2 |
110,7 |
121,5 |
176,9 |
1998‑1999 |
120,2 |
114,7 |
124,9 |
184,7 |
1999‑2000 |
126,7 |
121,4 |
129,9 |
201,0 |
2000‑2001 |
133,3 |
125,7 |
142,8 |
223,5 |
2001‑2002 |
138,5 |
131,5 |
146,2 |
229,2 |
2002‑2003 |
147,1 |
141,0 |
151,6 |
238,5 |
Figure 1021 : (suite)
Exercice |
Indice (1990-1991=100) |
||||
|
Gains hebdomadaires moyens |
Gains horaires moyens |
Secteur priv�, gains hebdoma-daires moyens |
Secteur priv�, gains horaires moyens |
Secteur public f�d�ral, masse salariale (x millions) |
1990‑1991 |
|
|
|
|
100,0 |
1991‑1992 |
101,8 |
|
101,8 |
|
101,6 |
1992‑1993 |
105,1 |
|
105,1 |
|
105,9 |
1993‑1994 |
106,4 |
|
106,3 |
|
105,6 |
1994‑1995 |
108,3 |
|
108,4 |
|
103,2 |
1995‑1996 |
109,2 |
|
109,6 |
|
97,7 |
1996‑1997 |
111,8 |
111,8 |
112,4 |
111,8 |
93,6 |
1997‑1998 |
113,4 |
112,8 |
114,3 |
112,4 |
91,8 |
1998‑1999 |
114,9 |
115,2 |
115,9 |
115,4 |
93,5 |
1999‑2000 |
116,7 |
118,6 |
117,6 |
117,8 |
100,5 |
2000‑2001 |
119,4 |
122,9 |
120,3 |
120,2 |
109,6 |
2001‑2002 |
121,6 |
126,7 |
122,5 |
124,3 |
119,2 |
2002‑2003 |
123,8 |
129,2 |
124,4 |
126,5 |
131,4 |
NOTA
(1) Masse salariale divis�e par les effectifs pour l'administration publique centrale (LRPFP 1-1), les employeurs distincts (LRPFP 1-2), les membres de la Force r�guli�re des Forces canadiennes et les membres r�guliers de la GRC. Syst�me des titulaires du SCT, Satistique Canada et GRC.
(2) Masse salariale divis�e par les effectifs de la fonction publique (LRPFP 1-1) et des employeurs distincts (LRFPFP 1-2) pour l'exercice se terminant le 31 mars. Syst�me des titulaires du SCT.
(3) Masse salariale (y compris les indemnit�s) de de la Force r�guli�re des Forces canadiennes, divis�e par les effectifs. Statistique Canada, CANSIM.
(4) Masse salariale de la GRC divis�e par les effectifs, GRC et Statistique Canada.
(5) Gains hebdomadaires moyens pour l'ensemble des salari�s, heures suppl�mentaires non comprises, ensemble des industries sauf les entreprises non classifi�es.
(6) Gains horaires moyens au mois de mars. Ensemble des salari�s, hommes et femmes �g�s de 15 ans et plus. Estimations de l'Enqu�te sur la population active, Statistique Canada, CANSIM.
(7) Gains hebdomadaires moyens calcul�s d'apr�s l'enssemble des industries, sauf l'administration publique, pour tous les employ�s (employ�s � salaire fixe et salari�s r�mun�r�s � l'heure), EERH, Statistique Canada, CANSIM.
(8) Gains horaires moyens des personnes occupant un seul emploi � plein temps dans un �tablissement de plus de 500 employ�s, dans le secteur priv�, Enqu�te sur la population active, Statistique Canada, CAMSIN.
(9) Masse salariale totale pour l'administration publique centrale (LRPFP 1-1), les employeurs distincts (LRPFP 1-2), les membres de la Force r�gli�re des Forces canadiennes (y compris les indemnit�s) et les membres r�guliers de la GRC. Syst�me des titulaires du SCT, Statistique Canada et GRC.
Figure 1022 : Tendances de l'emploi f�d�ral et de l'emploi total au Canada, 90-1991 � 2002-2003
Emploi dans le secteur public f�d�ral et au Canada
Exercise |
# de personnes |
% |
||||
|
Emploi dans le secteur public f�d�ral |
Emploi dans la fonction publique et les employeurs distincts |
Emploi au Canada (x1000) |
Emploi dans le secteur priv� |
Emploi dans le secteur public |
Pourcentage de l'emploi au Canada repr�sent� par l'emploi dans le secteur public f�d�ral |
1990‑1991 |
350868 |
242398 |
13017 |
10267 |
2749 |
2,70% |
1991‑1992 |
350429 |
244099 |
12833 |
10040 |
2793 |
2,73% |
1992‑1993 |
347242 |
245116 |
12772 |
9945 |
2828 |
2,72% |
1993‑1994 |
339268 |
240867 |
12886 |
10077 |
2809 |
2,63% |
1994‑1995 |
327689 |
233695 |
13215 |
10415 |
2800 |
2,48% |
1995‑1996 |
305742 |
218297 |
13377 |
10646 |
2731 |
2,29% |
1996‑1997 |
288334 |
206221 |
13507 |
10831 |
2676 |
2,13% |
1997‑1998 |
277340 |
197642 |
13870 |
11226 |
2645 |
2,00% |
1998‑1999 |
273020 |
194776 |
14241 |
11588 |
2654 |
1,92% |
1999‑2000 |
278420 |
202282 |
14640 |
11914 |
2725 |
1,90% |
2000‑2001 |
288343 |
213185 |
14969 |
12159 |
2810 |
1,93% |
2001‑2002 |
301961 |
225469 |
15116 |
12288 |
2828 |
2,00% |
2002‑2003 |
313421 |
234393 |
15531 |
12591 |
2939 |
2,02% |
Figure 1023: Comparaison des tendances de l'emploi f�d�ral par rapport � l'emploi total au Canada, 1990-1991 � 2002-2003 (1990-1991 = 100)
Exercise |
Indice (1990-1991=100) |
|||||
|
Emploi dans le secteur public f�d�ral |
Emploi dans la fonction publique et les employeurs distincts |
Emploi au Canada (x1000) |
Emploi dans le secteur priv� |
Emploi dans le secteur public |
Pourcentage de l'emploi au Canada repr�sent� par l'emploi dans le secteur public f�d�ral |
1990‑1991 |
100,0 |
100,0 |
100,0 |
100,0 |
100,0 |
100.0 |
1991-1992 |
99,9 |
100,7 |
98,6 |
97,8 |
101,6 |
101,3 |
1992-1993 |
99,0 |
101,1 |
98,1 |
96,9 |
102,8 |
100,9 |
1993-1994 |
96,7 |
99,4 |
99,0 |
98,1 |
102,2 |
97,7 |
1994-1995 |
93,4 |
96,4 |
101,5 |
101,4 |
101,8 |
92,0 |
1995-1996 |
87,1 |
90,1 |
102,8 |
103,7 |
99,3 |
84,8 |
1996-1997 |
82,2 |
85,1 |
103,8 |
105,5 |
97,3 |
79,2 |
1997-1998 |
79,0 |
81,5 |
106,6 |
109,3 |
96,2 |
74,2 |
1998-1999 |
77,8 |
80,4 |
109,4 |
112,9 |
96,5 |
71,1 |
1999-2000 |
79,4 |
83,5 |
112,5 |
116,0 |
99,1 |
70,6 |
2000-2001 |
82,2 |
87,9 |
115,0 |
118,4 |
102,2 |
71,5 |
2001-2002 |
86,1 |
93,0 |
116,1 |
119,7 |
102,8 |
74,1 |
2002-2003 |
89,3 |
96,7 |
119,3 |
122,6 |
106,9 |
74,9 |
(1) Comprend l'administration publique centrale (LRTFP 1-1), les employeurs distincts (LRTFP 1-2), les membres de la Force r�guli�re des Forces canadiennes et les membres r�guliers de la GRC. Emploi moyen pour les quatre p�riodes (mars, juin, septembre, d�cembre). Syst�me des titulaires du SCT et Statistique Canada
(2) Comprend l'administration publique centrale (LRTFP 1-1) et les employeurs distincts (LRTFP 1-2), les membres de la Force r�gli�re des Forces canadiennes et les membres de la GRC. Emploi moyen pour les quatre p�riodes (mars, juin, septembre, d�cembre). Syst�me des titulaires du SCT.
(3) Emploi mensuel moyen pour l'exercice se terminant en mars,. Hommes et femmes �g�s de 15 ans et plus. Estimations de l'Enqu�te sur la population active. Statistique Canada, CANSIM.
(4) Moyenne mensuelle de la diff�rence entre l'emploi total dans toutes les branches d'activit�s moins le nombre d'employ�s du secteur public pour l'exercice se terminant en mars (ne comprend pas les employ�s du secteur priv� et les travailleurs autonomes). Hommes et femmes. Estimations de l'Enqu�te sur la population active. Statistique Canada, CANSIM.
(5) Moyenne mensuelle du nombre d'employ�s du secteur public pour l'exercice se terminant en mars. Hommes et femmes. Estimations de l'Enqu�te sur la poplation active. Satistique Canada, CANSIM.
Figure 1024 : Masses salariales des gouvernements f�d�ral, provinciaux, municipaux et pour l'ensemble du Canada, 1990-1991 � 2002-2003
MASSES SALARIALES
En valeur nominale
Exercise |
$ Millions |
|||||
|
Masse salariale - secteur public f�d�ral |
Masse salariale - fonction publique et employeurs distincts |
Masse salariale totale, Canada (y comp. Revenu suppl�mentaire du travail) |
Masse salariale - secteur priv� |
Masse salariale - secteur public |
Masse salariale - secteur public provincial et territorial |
1990‑1991 |
13095 |
9081 |
374900 |
275703 |
99197 |
46573 |
1991-1992 |
13311 |
9297 |
384244 |
280214 |
104030 |
49183 |
1992-1993 |
13,872 |
9742 |
393252 |
285770 |
107482 |
50736 |
1993-1994 |
13834 |
9764 |
397708 |
289354 |
108354 |
50989 |
1994-1995 |
13514 |
9566 |
414432 |
306872 |
107560 |
50424 |
1995-1996 |
12794 |
8972 |
422852 |
317729 |
105123 |
49693 |
1996-1997 |
12254 |
8471 |
443832 |
341297 |
102535 |
49082 |
1997-1998 |
12023 |
8200 |
468188 |
366573 |
101615 |
48936 |
1998-1999 |
12243 |
8368 |
490084 |
385789 |
104295 |
50478 |
1999-2000 |
13161 |
9197 |
528444 |
419540 |
108904 |
53282 |
2000-2001 |
14350 |
10037 |
564836 |
447438 |
117398 |
56880 |
2001-2002 |
15608 |
11110 |
582564 |
461502 |
121062 |
60066 |
2002-2003 |
17204 |
12384 |
609020 |
481602 |
127418 |
63232 |
Figure 1024 : (suite)
Exercise |
$ Millions |
% |
|
||
|
Masse salariale - secteur public municipal |
PIB nominal |
Masse salariale totale, Canada (salaires et traitements seulement) |
Pourcentage du PIB nominal repr�sent� par la masse salariale du secteur public f�d�ral |
pourcentage del� masse salariale canadienne repr�sent�e par la masse salariale du secteur public f�d�ral |
1990‑1991 |
31043 |
678172 |
|
1,9% |
3,5% |
1991-1992 |
33452 |
692940 |
|
1,9% |
3,5% |
1992-1993 |
35083 |
714776 |
|
1,9% |
3,5% |
1993-1994 |
35623 |
750696 |
|
1,8% |
3,5% |
1994-1995 |
35463 |
801904 |
|
1,7% |
3,3% |
1995-1996 |
35341 |
819976 |
|
1,6% |
3,0% |
1996-1997 |
35308 |
867828 |
|
1,4% |
2,8% |
1997-1998 |
34775 |
906904 |
403898 |
1,3% |
2,6% |
1998-1999 |
35018 |
949136 |
424586 |
1,3% |
2,5% |
1999-2000 |
36118 |
1042100 |
454204 |
1,3% |
2,5% |
2000-2001 |
37201 |
1115408 |
491980 |
1,3% |
2,5% |
2001-2002 |
38567 |
1121528 |
508128 |
1,4% |
2,7% |
2002-2003 |
40404 |
1214880 |
526696 |
1,4% |
2,8% |
Figure 1025 : Comparaison des variations des masses salariales des gouvernements f�d�ral, provinciaux, municipaux et pour l'ensemble du Canada, 1990-1991 � 2002-2003 (1990-1991 = 100)
Exercise |
Indice (1990-1991=100) |
||||
|
Masse salariale - secteur public f�d�ral |
Masse salariale - fonction publique et employeurs distincts |
Masse salariale totale, Canada (y compris revenu suppl�mentaire du travail) |
Masse salariale - secteur priv� |
Masse salariale - secteur public |
90‑91 |
100,0 |
100,0 |
100,0 |
100,0 |
100,0 |
91-92 |
101,6 |
102,4 |
102,5 |
101,6 |
104,9 |
92-93 |
105,9 |
107,3 |
104,9 |
103,7 |
108,4 |
93-94 |
105,6 |
107,5 |
106,1 |
105,0 |
109,2 |
94-95 |
103,2 |
105,3 |
110,5 |
111,3 |
108,4 |
95-96 |
97,7 |
98,8 |
112,8 |
115,2 |
106,0 |
96-97 |
93,6 |
93,3 |
118,4 |
123,8 |
103,4 |
97-98 |
91,8 |
90,3 |
124,9 |
133,0 |
102,4 |
98-99 |
93,5 |
92,1 |
130,7 |
139,9 |
105,1 |
99-00 |
100,5 |
101,3 |
141,0 |
152,2 |
109,8 |
00-01 |
109,6 |
110,5 |
150,7 |
162,3 |
118,3 |
01-02 |
119,2 |
122,3 |
155,4 |
167,4 |
122,0 |
02-03 |
131,4 |
136,4 |
162,4 |
174,7 |
128,5 |
Figure 1025 : (suite)
Exercise |
Indice (1990-1991=100) |
|||||
|
Masse salariale, secteur public provincial et territorial |
Masse salariale - secteur public municipal |
PIB nominal |
Masse salariale totale, Canada (traitements et salaires seulement) |
Pourcentage du PIB nominal repr�sent� par la masse salariale du secteur public f�d�ral |
Pourcentage de la masse salariale canadienne repr�sent�e par la masse salariale du secteur public f�d�ral |
90‑91 |
100,0 |
100,0 |
100,0 |
|
100,0 |
100,0 |
91-92 |
105,6 |
107,8 |
102,2 |
|
99,5 |
99,2 |
92-93 |
108,9 |
113,0 |
105,4 |
|
100,5 |
101,0 |
93-94 |
109,5 |
114,8 |
110,7 |
|
95,4 |
99,6 |
94-95 |
108,3 |
114,2 |
118,2 |
|
87,3 |
93,4 |
95-96 |
106,7 |
113,8 |
120,9 |
|
80,8 |
86,6 |
96-97 |
105,4 |
113,7 |
128,0 |
|
73,1 |
79,0 |
97-98 |
105,1 |
112,0 |
133,7 |
100,0 |
68,7 |
73,5 |
98-99 |
108,4 |
112,8 |
140,0 |
105,1 |
66,8 |
71,5 |
99-00 |
114,4 |
116,4 |
153,7 |
112,5 |
65,4 |
71,3 |
00-01 |
122,1 |
119,8 |
164,5 |
121,8 |
66,6 |
72,7 |
01-02 |
129,0 |
124,2 |
165,4 |
125,8 |
72,1 |
76,7 |
02-03 |
135,8 |
130,2 |
179,1 |
130,4 |
73,3 |
80,9 |
NOTA :
(1) Comprend la masse salariale totale, � l'exclusion de la parit� salariale, pour l'administration publique centrale (LRTFP 1-1), les employeurs distincts (LRTFP 1-2), les membres de la Force r�guli�re des Forces canadiennes (y compris les indemnit�s) et les membres r�guliers de la GRC. Syst�me des titulaires du SCT. Statistique Canada et GRC.
(2) Moyenne des donn�es de quatre trimestres sur les traitements et salaires, � l'exception de la parit� salariale, pour la fonction publique (LRTFP 1-1) et les employeurs distincts (LRTFP 1-2) pour l'exercice se terminant le 31 mars. Syst�me des titulaires du SCT.
(3) Salaires, traitements et revenu suppl�mentaire du travail au Canada, PIB en terme de revenus, donn�es d�saisonnalis�es au taux annuel pour le premier trimestre qu'elles correspondent � l'ann�e financi�re. Statistique Canada, CANSIM.
(4) Correspond � la diff�rence entre la masse salariale totale au Canada et la masse salariale du secteur public.
(5) Le secteur public comprend tous les ordres de gouvernement et les entreprises publiques, Emploi dans le secteur public, Statistiques Canada, CANSIM.
(6) Comprend l'administration publique g�n�rale plus les institutions de services de sant� et de services sociaux, les universit�s, les coll�ges, les instituts de formation professionnelle et les �coles de m�tiers, ainsi que les entreprises publiques provinciales et territoriales. La somme des salaires et traitements pour les 12 mois se terminant le 31 mars. Statistique Canada, CANSIM.
(7) Comprend l'administration publique g�n�rale plus les commissions scolaires locales et les entreprises publiques locales. La somme des salaires et traitements pour les 12 mois se terminant le 31 mars. Statistique Canada, CANSIM.
(8) PIB aux pris courants, en terme de d�penses, donn�es trimestrielles d�saisonnalis�es au taux annuel pour le premier trimestre, Statistique Canada, CANSIM.
(9) Cumul annuel des salaires et traitements mensuels pour l'exercice se terminant le 31 mars, Estimations du revenu du travail, Statistique Canada, CANSIM.
R�partition des employ�s par sexe dans la fonction publique f�d�rale, certaines ann�es choisies, 1981 � 2005
R�partition des groupes professionnels par sexe |
|||||
|
|
1981 |
1986 |
||
|
Les groupes � pr�dominance f�minine sont ombrag�s |
Homme |
Femme |
Homme |
Femme |
|
Groupes professionnels |
% |
% |
% |
% |
AC |
Actuariat |
100 |
0 |
91 |
9 |
AG |
Agriculture |
96 |
4 |
86 |
14 |
AI |
Contr�le de la circulation a�rienne |
98 |
2 |
96 |
4 |
AO |
Navigation a�rienne |
99 |
1 |
96 |
4 |
AR |
Architecture et urbanisme |
93 |
7 |
87 |
13 |
AS |
Services administratifs |
63 |
37 |
53 |
47 |
AT |
Stagiaire en administration |
55 |
45 |
33 |
68 |
AU |
V�rification |
95 |
5 |
91 |
9 |
BI |
Sciences biologiques |
83 |
17 |
80 |
20 |
CA |
Programme CAP |
s.o. |
s.o. |
s.o. |
s.o. |
CH |
Chimie |
81 |
19 |
76 |
24 |
CM |
Communications |
58 |
42 |
62 |
38 |
CO |
Commerce |
93 |
7 |
85 |
15 |
CR |
Commis aux �critures et r�glement |
23 |
77 |
20 |
80 |
CS |
Syst�mes d'ordinateur |
80 |
20 |
76 |
24 |
CX |
Services correctionnels |
97 |
3 |
88 |
12 |
DA |
Traitement m�canique des donn�es |
20 |
80 |
22 |
78 |
DD |
Dessin et illustrations |
87 |
13 |
84 |
16 |
DE |
Art dentaire |
100 |
0 |
92 |
8 |
DS |
Services scientifiques de la d�fense |
95 |
5 |
92 |
8 |
ED |
Enseignement |
51 |
49 |
49 |
51 |
EG |
Soutien technologique et scientifique |
84 |
16 |
83 |
17 |
EL |
�lectronique |
99 |
1 |
98 |
2 |
EN |
G�nie et arpentage |
99 |
1 |
96 |
4 |
ES |
�conomie, sociologie et statistiques |
85 |
15 |
77 |
23 |
EU |
Soutien de l'enseignement |
26 |
74 |
29 |
71 |
EX |
Groupe de la direction |
s.o. |
s.o. |
93 |
7 |
FI |
Gestion financi�re |
79 |
21 |
71 |
29 |
FO |
Sciences foresti�res |
97 |
3 |
94 |
6 |
FR |
Pompiers |
100 |
0 |
99 |
1 |
FS |
Service ext�rieur |
92 |
8 |
83 |
17 |
GL |
Manœuvres et hommes de m�tiers |
98 |
2 |
98 |
2 |
GS |
Services divers |
79 |
30 |
68 |
32 |
GT |
Technicien divers |
89 |
11 |
85 |
15 |
GX |
Groupe de la direction g�n�rale |
s.o. |
s.o. |
100 |
0 |
HE |
Sciences domestiques |
2 |
98 |
0 |
100 |
HP |
Chauffage, force motrice et op�ration de machines fixes |
100 |
0% |
99 |
1 |
HR |
Recherche historique |
72 |
28 |
68 |
32 |
HS |
Services hospitaliers |
42 |
58 |
43 |
57 |
IS |
Services d'information |
60 |
40 |
48 |
52 |
LA |
Droit |
79 |
21 |
68 |
32 |
LI |
Gardiens de phare |
98 |
2 |
97 |
3 |
LS |
Biblioth�conomie |
35 |
65 |
33 |
67 |
MA |
Math�matiques |
76 |
24 |
72 |
28 |
MD |
M�decine |
88 |
12 |
87 |
13 |
MM |
Groupe stagiaires en gestion |
s.o. |
s.o. |
s.o. |
s.o. |
MT |
Met�orologie |
96 |
4 |
92 |
8 |
ND |
Nutrition et di�t�tique |
s.o. |
s.o. |
s.o. |
s.o. |
NU |
Sciences infirmi�res |
6 |
94 |
10 |
90 |
OE |
M�canographie |
45 |
55 |
50 |
50 |
OM |
Organisation et m�thodes |
84 |
16 |
73 |
27 |
OP |
Ergoth�rapie et physioth�rapie |
8 |
92 |
3 |
97 |
PC |
Sciences physiques |
89 |
11 |
84 |
16 |
PE |
Gestion du personnel |
64 |
36 |
51 |
49 |
PG |
Achat |
82 |
18 |
73 |
27 |
PH |
Pharmacie |
79 |
21 |
72 |
28 |
PI |
Inspection des produits primaires |
95 |
5 |
92 |
8 |
PM |
Administration des programmes |
72 |
28 |
63 |
37 |
PR |
Services d'imprimerie |
64 |
36 |
64 |
36 |
PS |
Psychologie |
77 |
23 |
70 |
30 |
PY |
Photographie |
92 |
8 |
87 |
13 |
RO |
Radiot�l�graphie |
96 |
4 |
93 |
7 |
SC |
�quipages de navires |
98 |
2 |
97 |
3 |
SE |
Recherche scientifique |
97 |
3 |
95 |
5 |
SG |
Pr�pos�s au brevets |
91 |
9 |
83 |
17 |
SI |
Soutien des sciences sociales |
55 |
45 |
49 |
51 |
SM |
Gestionnaire sup�rieur |
s.o. |
s.o. |
90 |
10 |
SO |
Officiers de navire |
97 |
3 |
95 |
5 |
SR |
R�paration des navires |
100 |
0 |
100 |
0 |
ST |
Secr�tariat, st�nographie et dactylographie |
1 |
99 |
1 |
99 |
SW |
Service social |
76 |
24 |
69 |
31 |
SX |
Gestionnaire sup�rieur |
96 |
4 |
s.o. |
s.o. |
TE |
Employ�s civils temporaires |
s.o. |
s.o. |
s.o. |
s.o. |
TI |
Inspection technique |
99 |
1 |
98 |
2 |
TR |
Traduction |
51 |
49 |
49 |
51 |
UT |
Enseignement universitaire |
97 |
3 |
95 |
5 |
VS |
M�decine v�t�rinaire |
93 |
7 |
88 |
12 |
WP |
Programmes de bien-�tre social |
76 |
24 |
67 |
33 |
|
Grand total |
59 |
41 |
56 |
44 |
R�partition des groupes professionnels par sexe |
|||||
|
|
1991 |
1996 |
||
|
Les groupes � pr�dominance f�minine sont ombrag�s |
Homme |
Femme |
Homme |
Femme |
|
Groupes professionnels |
% |
% |
% |
% |
AC |
Actuariat |
100 |
0 |
75 |
25 |
AG |
Agriculture |
76 |
24 |
73 |
27 |
AI |
Contr�le de la circulation a�rienne |
95 |
5 |
93 |
7 |
AO |
Navigation a�rienne |
95 |
5 |
94 |
6 |
AR |
Architecture et urbanisme |
83 |
17 |
82 |
18 |
AS |
Services administratifs |
46 |
54 |
39 |
61 |
AT |
Stagiaire en administration |
53 |
47 |
s.o. |
s.o. |
AU |
V�rification |
81 |
19 |
76 |
24 |
BI |
Sciences biologiques |
74 |
26 |
67 |
33 |
CA |
Programme CAP |
s.o. |
s.o. |
s.o. |
s.o. |
CH |
Chimie |
72 |
28 |
68 |
32 |
CM |
Communications |
68 |
32 |
68 |
32 |
CO |
Commerce |
78 |
22 |
72 |
28 |
CR |
Commis aux �critures et r�glement |
19 |
81 |
17 |
83 |
CS |
Syst�mes d'ordinateur |
74 |
26 |
72 |
28 |
CX |
Services correctionnels |
86 |
14 |
82 |
18 |
DA |
Traitement m�canique des donn�es |
21 |
79 |
18 |
82 |
DD |
Dessin et illustrations |
81 |
19 |
74 |
26 |
DE |
Art dentaire |
96 |
4 |
100 |
0 |
DS |
Services scientifiques de la d�fense |
91 |
9 |
91 |
9 |
ED |
Enseignement |
50 |
50 |
48 |
52 |
EG |
Soutien technologique et scientifique |
81 |
19 |
77 |
23 |
EL |
�lectronique |
98 |
2 |
97 |
3 |
EN |
G�nie et arpentage |
94 |
6 |
91 |
9 |
ES |
�conomie, sociologie et statistiques |
72 |
28 |
67 |
33 |
EU |
Soutien de l'enseignement |
37 |
63 |
100 |
0 |
EX |
Groupe de la direction |
86 |
14 |
79 |
21 |
FI |
Gestion financi�re |
65 |
35 |
61 |
39 |
FO |
Sciences foresti�res |
91 |
9 |
88 |
12 |
FR |
Pompiers |
98 |
2 |
99 |
1 |
FS |
Service ext�rieur |
79 |
21 |
73 |
27 |
GL |
Manoeuvres et hommes de m�tiers |
97 |
3 |
96 |
4 |
GS |
Services divers |
66 |
34 |
68 |
32 |
GT |
Technicien divers |
80 |
20 |
75 |
25 |
GX |
Groupe de la direction g�n�rale |
100 |
0 |
100 |
0 |
HE |
Sciences domestiques |
0 |
100 |
0 |
100 |
HP |
Chauffage, force motrice et op�ration de machines fixes |
99 |
1 |
98 |
2 |
HR |
Recherche historique |
67 |
33 |
63 |
37 |
HS |
Services hospitaliers |
45 |
55 |
48 |
52 |
IS |
Services d'information |
42 |
58 |
39 |
61 |
LA |
Droit |
62 |
38 |
56 |
44 |
LI |
Gardiens de phare |
98 |
2 |
98 |
2 |
LS |
Biblioth�conomie |
30 |
70 |
27 |
73 |
MA |
Math�matiques |
67 |
33 |
64 |
36 |
MD |
M�decine |
79 |
21 |
75 |
25 |
MM |
Groupe stagiaires en gestion |
s.o. |
s.o. |
46 |
54 |
MT |
Met�orologie |
89 |
11 |
87 |
13 |
ND |
Nutrition et di�t�tique |
s.o. |
s.o. |
s.o. |
s.o. |
NU |
Sciences infirmi�res |
12 |
88 |
14 |
86 |
OE |
M�canographie |
47 |
53 |
45 |
55 |
OM |
Organisation et m�thodes |
64 |
37 |
54 |
46 |
OP |
Ergoth�rapie et physioth�rapie |
5 |
95 |
11 |
89 |
PC |
Sciences physiques |
79 |
21 |
73 |
27 |
PE |
Gestion du personnel |
40 |
60 |
34 |
66 |
PG |
Achat |
63 |
37 |
55 |
45 |
PH |
Pharmacie |
57 |
43 |
39 |
61 |
PI |
Inspection des produits primaires |
88 |
12 |
85 |
15 |
PM |
Administration des programmes |
55 |
45 |
48 |
52 |
PR |
Services d'imprimerie |
62 |
38 |
50 |
50 |
PS |
Psychologie |
65 |
35 |
62 |
38 |
PY |
Photographie |
88 |
12 |
90 |
10 |
RO |
Radiot�l�graphie |
90 |
10 |
87 |
13 |
SC |
�quipages de navires |
96 |
4 |
96 |
4 |
SE |
Recherche scientifique |
91 |
9 |
88 |
12 |
SG |
Pr�pos�s au brevets |
68 |
32 |
65 |
35 |
SI |
Soutien des sciences sociales |
45 |
55 |
43 |
57 |
SM |
Gestionnaire sup�rieur |
82 |
18 |
s.o. |
s.o. |
SO |
Officiers de navire |
96 |
4 |
96 |
4 |
SR |
R�paration des navires |
99 |
1 |
98 |
2 |
ST |
Secr�tariat, st�nographie et dactylographie |
2 |
98 |
1 |
99 |
SW |
Service social |
62 |
38 |
57 |
43 |
SX |
Gestionnaire sup�rieur |
s.o. |
s.o. |
s.o. |
s.o. |
TE |
Employ�s civils temporaires |
s.o. |
s.o. |
s.o. |
s.o. |
TI |
Inspection technique |
96 |
4 |
94 |
6 |
TR |
Traduction |
44 |
56 |
43 |
57 |
UT |
Enseignement universitaire |
97 |
3 |
95 |
5 |
VS |
M�decine v�t�rinaire |
83 |
17 |
79 |
21 |
WP |
Programmes de bien-�tre social |
59 |
41 |
55 |
45 |
|
Grand total |
53 |
47 |
52 |
48 |
R�partition des groupes professionnels par sexe |
|||||
|
|
2001 |
2002 |
||
|
Les groupes � pr�dominance f�minine sont ombrag�s |
Homme |
Femme |
Homme |
Femme |
|
Groupes professionnels |
% |
% |
% |
% |
AC |
Actuariat |
100 |
0 |
75 |
25 |
AG |
Agriculture |
89 |
11 |
88 |
13 |
AI |
Contr�le de la circulation a�rienne |
100 |
0 |
92 |
8 |
AO |
Navigation a�rienne |
92 |
8 |
92 |
8 |
AR |
Architecture et urbanisme |
75 |
25 |
73 |
27 |
AS |
Services administratifs |
29 |
71 |
27 |
73 |
AT |
Stagiaire en administration |
s.o. |
s.o. |
s.o. |
s.o. |
AU |
V�rification |
73 |
27 |
71 |
29 |
BI |
Sciences biologiques |
60 |
40 |
59 |
41 |
CA |
Programme CAP |
38 |
62 |
38 |
62 |
CH |
Chimie |
61 |
39 |
61 |
39 |
CM |
Communications |
70 |
30 |
65 |
35 |
CO |
Commerce |
62 |
38 |
60 |
40 |
CR |
Commis aux �critures et r�glement |
17 |
83 |
18 |
82 |
CS |
Syst�mes d'ordinateur |
70 |
30 |
70 |
30 |
CX |
Services correctionnels |
78 |
22 |
78 |
22 |
DA |
Traitement m�canique des donn�es |
38 |
62 |
38 |
62 |
DD |
Dessin et illustrations |
64 |
36 |
62 |
38 |
DE |
Art dentaire |
100 |
0 |
100 |
0 |
DS |
Services scientifiques de la d�fense |
85 |
15 |
86 |
14 |
ED |
Enseignement |
44 |
56 |
41 |
59 |
EG |
Soutien technologique et scientifique |
71 |
29 |
71 |
29 |
EL |
�lectronique |
97 |
3 |
97 |
3 |
EN |
G�nie et arpentage |
89 |
11 |
87 |
13 |
ES |
�conomie, sociologie et statistiques |
58 |
42 |
57 |
43 |
EU |
Soutien de l'enseignement |
100 |
0 |
100 |
0 |
EX |
Groupe de la direction |
70 |
30 |
68 |
32 |
FI |
Gestion financi�re |
52 |
48 |
51 |
49 |
FO |
Sciences foresti�res |
83 |
17 |
83 |
17 |
FR |
Pompiers |
98 |
2 |
98 |
2 |
FS |
Service ext�rieur |
67 |
33 |
65 |
35 |
GL |
Manoeuvres et hommes de m�tiers |
94 |
6 |
95 |
5 |
GS |
Services divers |
66 |
34 |
66 |
34 |
GT |
Technicien divers |
72 |
28 |
73 |
27 |
GX |
Groupe de la direction g�n�rale |
83 |
17 |
100 |
0 |
HE |
Sciences domestiques |
s.o. |
s.o. |
s.o. |
s.o. |
HP |
Chauffage, force motrice et op�ration de machines fixes |
99 |
1 |
99 |
1 |
HR |
Recherche historique |
62 |
38 |
59 |
41 |
HS |
Services hospitaliers |
42 |
58 |
41 |
59 |
IS |
Services d'information |
33 |
67 |
32 |
68 |
LA |
Droit |
50 |
50 |
50 |
50 |
LI |
Gardiens de phare |
96 |
4 |
97 |
3 |
LS |
Biblioth�conomie |
27 |
73 |
28 |
72 |
MA |
Math�matiques |
64 |
36 |
65 |
35 |
MD |
M�decine |
72 |
28 |
69 |
31 |
MM |
Groupe stagiaires en gestion |
45 |
55 |
44 |
56 |
MT |
Met�orologie |
85 |
15 |
85 |
15 |
ND |
Nutrition et di�t�tique |
0 |
100 |
0 |
100 |
NU |
Sciences infirmi�res |
16 |
84 |
16 |
84 |
OE |
M�canographie |
48 |
52 |
27 |
73 |
OM |
Organisation et m�thodes |
44 |
56 |
41 |
59 |
OP |
Ergoth�rapie et physioth�rapie |
20 |
80 |
20 |
80 |
PC |
Sciences physiques |
66 |
34 |
65 |
35 |
PE |
Gestion du personnel |
28 |
72 |
28 |
72 |
PG |
Achat |
51 |
49 |
50 |
50 |
PH |
Pharmacie |
33 |
67 |
33 |
67 |
PI |
Inspection des produits primaires |
83 |
17 |
82 |
18 |
PM |
Administration des programmes |
38 |
62 |
37 |
63 |
PR |
Services d'imprimerie |
53 |
47 |
54 |
46 |
PS |
Psychologie |
53 |
47 |
52 |
48 |
PY |
Photographie |
78 |
22 |
79 |
21 |
RO |
Radiot�l�graphie |
82 |
18 |
82 |
18 |
SC |
�quipages de navires |
95 |
5 |
95 |
5 |
SE |
Recherche scientifique |
84 |
16 |
84 |
16 |
SG |
Pr�pos�s au brevets |
57 |
43 |
56 |
44 |
SI |
Soutien des sciences sociales |
38 |
62 |
37 |
63 |
SM |
Gestionnaire sup�rieur |
s.o. |
s.o. |
s.o. |
s.o. |
SO |
Officiers de navire |
94 |
6 |
94 |
6 |
SR |
R�paration des navires |
98 |
2 |
98 |
2 |
ST |
Secr�tariat, st�nographie et dactylographie |
2 |
98 |
2 |
98 |
SW |
Service social |
34 |
66 |
27 |
73 |
SX |
Gestionnaire sup�rieur |
s.o. |
s.o. |
s.o. |
s.o. |
TE |
Employ�s civils temporaires |
47 |
53 |
49 |
51 |
TI |
Inspection technique |
91 |
9 |
91 |
9 |
TR |
Traduction |
37 |
63 |
34 |
66 |
UT |
Enseignement universitaire |
92 |
8 |
85 |
15 |
VS |
M�decine v�t�rinaire |
63 |
37 |
s.o. |
s.o. |
WP |
Programmes de bien-�tre social |
47 |
53 |
46 |
54 |
|
Grand total |
48 |
52 |
47 |
53 |
R�partition des groupes professionnels par sexe |
|||||
|
|
2003 |
2004 |
||
|
Les groupes � pr�dominance f�minine sont ombrag�s |
Homme |
Femme |
Homme |
Femme |
|
Groupes professionnels |
% |
% |
% |
% |
AC |
Actuariat |
75 |
25 |
80 |
20 |
AG |
Agriculture |
86 |
14 |
86 |
14 |
AI |
Contr�le de la circulation a�rienne |
92 |
8 |
92 |
8 |
AO |
Navigation a�rienne |
92 |
8 |
92 |
8 |
AR |
Architecture et urbanisme |
74 |
26 |
71 |
29 |
AS |
Services administratifs |
26 |
74 |
25 |
75 |
AT |
Stagiaire en administration |
s.o. |
s.o. |
s.o. |
s.o. |
AU |
V�rification |
69 |
31 |
69 |
31 |
BI |
Sciences biologiques |
58 |
42 |
57 |
43 |
CA |
Programme CAP |
44 |
56 |
46 |
54 |
CH |
Chimie |
61 |
39 |
59 |
41 |
CM |
Communications |
68 |
32 |
75 |
25 |
CO |
Commerce |
59 |
41 |
59 |
41 |
CR |
Commis aux �critures et r�glement |
18 |
82 |
18 |
82 |
CS |
Syst�mes d'ordinateur |
70 |
30 |
70 |
30 |
CX |
Services correctionnels |
77 |
23 |
76 |
24 |
DA |
Traitement m�canique des donn�es |
38 |
62 |
39 |
61 |
DD |
Dessin et illustrations |
62 |
38 |
62 |
38 |
DE |
Art dentaire |
100 |
0 |
100 |
0 |
DS |
Services scientifiques de la d�fense |
84 |
16 |
84 |
16 |
ED |
Enseignement |
40 |
60 |
38 |
62 |
EG |
Soutien technologique et scientifique |
71 |
29 |
70 |
30 |
EL |
�lectronique |
96 |
4 |
96 |
4 |
EN |
G�nie et arpentage |
86 |
14 |
86 |
14 |
ES |
�conomie, sociologie et statistiques |
55 |
45 |
54 |
46 |
EU |
Soutien de l'enseignement |
12 |
88 |
13 |
88 |
EX |
Groupe de la direction |
66 |
34 |
65 |
35 |
FI |
Gestion financi�re |
50 |
50 |
49 |
51 |
FO |
Sciences foresti�res |
80 |
20 |
84 |
16 |
FR |
Pompiers |
98 |
2 |
98 |
2 |
FS |
Service ext�rieur |
64 |
36 |
63 |
37 |
GL |
Manoeuvres et hommes de m�tiers |
95 |
5 |
95 |
5 |
GS |
Services divers |
64 |
36 |
63 |
37 |
GT |
Technicien divers |
71 |
29 |
72 |
28 |
GX |
Groupe de la direction g�n�rale |
100 |
0 |
86 |
14 |
HE |
Sciences domestiques |
s.o. |
s.o. |
s.o. |
s.o. |
HP |
Chauffage, force motrice et op�ration de machines fixes |
99 |
1 |
99 |
1 |
HR |
Recherche historique |
60 |
40 |
61 |
39 |
HS |
Services hospitaliers |
42 |
58 |
41 |
59 |
IS |
Services d'information |
32 |
68 |
32 |
68 |
LA |
Droit |
49 |
51 |
49 |
51 |
LI |
Gardiens de phare |
95 |
5 |
93 |
7 |
LS |
Biblioth�conomie |
27 |
73 |
25 |
75 |
MA |
Math�matiques |
63 |
37 |
64 |
36 |
MD |
M�decine |
67 |
33 |
65 |
35 |
MM |
Groupe stagiaires en gestion |
38 |
62 |
37 |
63 |
MT |
Met�orologie |
83 |
17 |
83 |
17 |
ND |
Nutrition et di�t�tique |
0 |
100 |
0 |
100 |
NU |
Sciences infirmi�res |
15 |
85 |
15 |
85 |
OE |
M�canographie |
42 |
58 |
31 |
69 |
OM |
Organisation et m�thodes |
39 |
61 |
40 |
60 |
OP |
Ergoth�rapie et physioth�rapie |
20 |
80 |
24 |
76 |
PC |
Sciences physiques |
63 |
37 |
62 |
38 |
PE |
Gestion du personnel |
27 |
73 |
26 |
74 |
PG |
Achat |
50 |
50 |
48 |
52 |
PH |
Pharmacie |
33 |
67 |
30 |
70 |
PI |
Inspection des produits primaires |
79 |
21 |
79 |
21 |
PM |
Administration des programmes |
36 |
64 |
35 |
65 |
PR |
Services d'imprimerie |
74 |
26 |
70 |
30 |
PS |
Psychologie |
51 |
49 |
50 |
50 |
PY |
Photographie |
79 |
21 |
82 |
18 |
RO |
Radiot�l�graphie |
82 |
18 |
81 |
19 |
SC |
�quipages de navires |
94 |
6 |
94 |
6 |
SE |
Recherche scientifique |
84 |
16 |
83 |
17 |
SG |
Pr�pos�s au brevets |
52 |
48 |
51 |
49 |
SI |
Soutien des sciences sociales |
37 |
63 |
37 |
63 |
SM |
Gestionnaire sup�rieur |
s.o. |
s.o. |
s.o. |
s.o. |
SO |
Officiers de navire |
94 |
6 |
93 |
7 |
SR |
R�paration des navires |
97 |
3 |
97 |
3 |
ST |
Secr�tariat, st�nographie et dactylographie |
2 |
98 |
2 |
98 |
SW |
Service social |
26 |
74 |
22 |
78 |
SX |
Gestionnaire sup�rieur |
s.o. |
s.o. |
s.o. |
s.o. |
TE |
Employ�s civils temporaires |
43 |
57 |
46 |
54 |
TI |
Inspection technique |
90 |
10 |
89 |
11 |
TR |
Traduction |
33 |
67 |
32 |
68 |
UT |
Enseignement universitaire |
86 |
14 |
84 |
16 |
VS |
M�decine v�t�rinaire |
49 |
51 |
46 |
54 |
WP |
Programmes de bien-�tre social |
46 |
54 |
46 |
54 |
|
Grand total |
47 |
53 |
47 |
53 |
R�partition des groupes professionnels par sexe |
|||
|
|
2005 |
|
|
Les groupes � pr�dominance f�minine sont ombrag�s |
Homme |
Femme |
|
Groupes professionnels |
% |
% |
AC |
Actuariat |
75 |
25 |
AG |
Agriculture |
89 |
11 |
AI |
Contr�le de la circulation a�rienne |
93 |
7 |
AO |
Navigation a�rienne |
91 |
9 |
AR |
Architecture et urbanisme |
71 |
29 |
AS |
Services administratifs |
24 |
76 |
AT |
Stagiaire en administration |
s.o. |
s.o. |
AU |
V�rification |
67 |
33 |
BI |
Sciences biologiques |
56 |
44 |
CA |
Programme CAP |
50 |
50 |
CH |
Chimie |
58 |
42 |
CM |
Communications |
76 |
24 |
CO |
Commerce |
59 |
41 |
CR |
Commis aux �critures et r�glement |
18 |
82 |
CS |
Syst�mes d'ordinateur |
71 |
29 |
CX |
Services correctionnels |
75 |
25 |
DA |
Traitement m�canique des donn�es |
44 |
56 |
DD |
Dessin et illustrations |
64 |
36 |
DE |
Art dentaire |
100 |
0 |
DS |
Services scientifiques de la d�fense |
83 |
17 |
ED |
Enseignement |
34 |
66 |
EG |
Soutien technologique et scientifique |
70 |
30 |
EL |
�lectronique |
96 |
4 |
EN |
G�nie et arpentage |
85 |
15 |
ES |
�conomie, sociologie et statistiques |
53 |
47 |
EU |
Soutien de l'enseignement |
13 |
88 |
EX |
Groupe de la direction |
63 |
37 |
FI |
Gestion financi�re |
48 |
52 |
FO |
Sciences foresti�res |
82 |
18 |
FR |
Pompiers |
98 |
2 |
FS |
Service ext�rieur |
62 |
38 |
GL |
Manoeuvres et hommes de m�tiers |
95 |
5 |
GS |
Services divers |
62 |
38 |
GT |
Technicien divers |
73 |
27 |
GX |
Groupe de la direction g�n�rale |
100 |
0 |
HE |
Sciences domestiques |
s.o. |
s.o. |
HP |
Chauffage, force motrice et op�ration de machines fixes |
99 |
1 |
HR |
Recherche historique |
58 |
42 |
HS |
Services hospitaliers |
42 |
58 |
IS |
Services d'information |
32 |
68 |
LA |
Droit |
48 |
52 |
LI |
Gardiens de phare |
87 |
13 |
LS |
Biblioth�conomie |
26 |
74 |
MA |
Math�matiques |
61 |
39 |
MD |
M�decine |
64 |
36 |
MM |
Groupe stagiaires en gestion |
42 |
58 |
MT |
Met�orologie |
82 |
18 |
ND |
Nutrition et di�t�tique |
2 |
98 |
NU |
Sciences infirmi�res |
15 |
85 |
OE |
M�canographie |
31 |
69 |
OM |
Organisation et m�thodes |
41 |
59 |
OP |
Ergoth�rapie et physioth�rapie |
27 |
73 |
PC |
Sciences physiques |
61 |
39 |
PE |
Gestion du personnel |
25 |
75 |
PG |
Achat |
47 |
53 |
PH |
Pharmacie |
29 |
71 |
PI |
Inspection des produits primaires |
78 |
22 |
PM |
Administration des programmes |
39 |
61 |
PR |
Services d'imprimerie |
73 |
27 |
PS |
Psychologie |
50 |
50 |
PY |
Photographie |
91 |
9 |
RO |
Radiot�l�graphie |
80 |
20 |
SC |
�quipages de navires |
93 |
7 |
SE |
Recherche scientifique |
83 |
17 |
SG |
Pr�pos�s au brevets |
49 |
51 |
SI |
Soutien des sciences sociales |
37 |
63 |
SM |
Gestionnaire sup�rieur |
s.o. |
s.o. |
SO |
Officiers de navire |
93 |
7 |
SR |
R�paration des navires |
97 |
3 |
ST |
Secr�tariat, st�nographie et dactylographie |
2 |
98 |
SW |
Service social |
24 |
76 |
SX |
Gestionnaire sup�rieur |
s.o. |
s.o. |
TE |
Employ�s civils temporaires |
47 |
53 |
TI |
Inspection technique |
89 |
11 |
TR |
Traduction |
31 |
69 |
UT |
Enseignement universitaire |
88 |
12 |
VS |
M�decine v�t�rinaire |
45 |
55 |
WP |
Programmes de bien-�tre social |
44 |
56 |
|
Grand total |
46 |
54 |
Source: Base de donn�es sur le titulaire
La d�finition "groupes � pr�dominance f�minine" est bas� sur l'Ordonnance sur la parit� salariale de la Commission Canadienne des droits de la personne
Population du groupe |
% des femmes |
> 500 |
55 % |
100 - 499 |
60 % |
< 100 |
70 % |
Sommaire de l'�volution de l'effectif depuis 1991 dans divers groupes de classification comptant au moins 2 000 membres en mars 2003
Cat�gorie Administration et Service ext�rieur
Groupes |
1991 |
1994 |
1998 |
2001 |
2003 |
Variance |
Administration des programmes |
31 767 |
34 855 |
34 698 |
37 432 |
38 297 |
+21 % |
Services administratifs |
15 049 |
16 566 |
15 206 |
20147 |
24694 |
+64 % |
Syst�mes d'ordinateurs |
5 507 |
7 153 |
9 396 |
12 436 |
15 091 |
+174 % |
Gestion du personnel |
3 214 |
3 343 |
2 890 |
3 616 |
4 204 |
+31 % |
Gestion financi�re |
2 803 |
2 828 |
2 328 |
2 921 |
3 384 |
+21 % |
Commerce |
2 252 |
2 396 |
2 183 |
2 695 |
3 328 |
+48 % |
Services d'information |
1 631 |
1 712 |
1 744 |
2 568 |
3 088 |
+89 % |
Programmes de bien‑�tre social |
1 689 |
1 760 |
2 054 |
2 340 |
2 398 |
+42 % |
Achats et approvisionnement |
2 482 |
2 526 |
1 965 |
2 297 |
2 605 |
+5 % |
Total partiel |
65 874 |
72 438 |
71 788 |
85 727 |
96 212 |
+46 % |
% de l'effectif total |
27 % |
31 % |
37 % |
41 % |
43 % |
|
Cat�gorie scientifique et professionnelle
Groupes |
1991 |
1994 |
1998 |
2001 |
2003 |
Variance |
�conomie, sociologie et statistiques |
2 622 |
2 899 |
3 147 |
4 315 |
5 644 |
+115 % |
V�rification |
4 662 |
5 354 |
5 531 |
5 618 |
5 161 |
+11 % |
G�nie et arpentage |
2 928 |
2 987 |
2 125 |
2 142 |
2 615 |
-11 % |
Droit |
1 115 |
1 402 |
1 612 |
2 148 |
2 588 |
+132 % |
Sciences biologiques |
1 253 |
1 293 |
1 345 |
1 880 |
2 320 |
+85 % |
Sciences physiques |
1 092 |
1 434 |
1 387 |
1 876 |
2 096 |
+92 % |
Total partiel |
13 672 |
15 369 |
15 147 |
17 979 |
20 424 |
+49 % |
% de l'effectif total |
6 % |
7 % |
8 % |
8 % |
9 % |
|
Cat�gorie technique
Groupes |
1991 |
1994 |
1998 |
2001 |
2003 |
Variance |
Soutien technologique et scientifique |
7 536 |
7 527 |
6 077 |
8 423 |
9 127 |
+21 % |
Soutien des sciences sociales |
2 493 |
2 561 |
2 792 |
3 407 |
3 730 |
+50 % |
Techniciens divers |
3 177 |
3 282 |
2 419 |
2 782 |
2 853 |
-10 % |
Total partiel |
13 206 |
13 370 |
11 288 |
14 612 |
15 710 |
+19 % |
% de l'effectif total |
5 % |
6 % |
6 % |
7 % |
7 % |
|
Cat�gorie du soutien administratif
Groupes |
1991 |
1994 |
1998 |
2001 |
2003 |
Variance |
Commis aux �critures et r�glements |
59 943 |
53 927 |
42 384 |
44 186 |
43 314 |
-28 % |
Traitement m�canique des donn�es |
4 470 |
3 518 |
2 369 |
2 589 |
2 412 |
-46 % |
St�nographie et dactylographie |
13 026 |
9 977 |
5 633 |
3 981 |
2 290 |
-82 % |
Total partiel |
77 439 |
67 422 |
50 386 |
50 756 |
48 016 |
-38 % |
% de l'effectif total |
32 % |
29 % |
26 % |
24 % |
21 % |
|
Cat�gorie de l'exploitation
Groupes |
1991 |
1994 |
1998 |
2001 |
2003 |
Variance |
Services correctionnels |
4 556 |
4 448 |
4 935 |
5 789 |
6 171 |
+35 % |
Manœuvres et hommes de m�tiers |
14 722 |
12 922 |
8 234 |
6 639 |
6 501 |
-56 % |
Services divers |
9 770 |
7 965 |
4 290 |
3 863 |
3 865 |
-60 % |
Total partiel |
29 048 |
25 335 |
17 459 |
16 291 |
16 537 |
-43 % |
% de l'effectif total |
12 % |
11 % |
9 % |
8 % |
7 % |
|
Aper�u des reclassifications des groupes Commis aux �critures et r�glements (CR) et �conomie (ES), 2002‑2003
Afficher le graphique pleine dimension
Afficher le graphique pleine dimension
Sommaire de l'utilisation des cong�s dans le domaine du noyau de la fonction publique de 1991-1992 � 2002-2003 et graphique illustrant les changements dans les droits relatifs aux cong�s annuels du groupe Commis aux �critures et r�glements (CR)
Cong� |
|||||
Cong�s pay�s exercice 2002–2003 |
|||||
Cong�s pay�s |
Jours (millions) |
Pourcentage |
Jours moyens par employ� |
Valeur estimative (millions $ courant) |
Valeur estimative (millions $ constant) |
Vacances |
3,25 |
42,0 |
17,3 |
677,30 |
677,30 |
Jours f�ri�s |
2,07 |
26,7 |
11,0 |
430,80 |
430,80 |
Cong�s de maladies |
1,56 |
20,2 |
8,3 |
325,28 |
325,28 |
Obligations familiales |
0,30 |
3,8 |
1,6 |
61,70 |
61,70 |
Cong�s compensatoires |
0,20 |
2,6 |
1,1 |
41,44 |
41,44 |
Raisons personnelles/ b�n�volat |
0,17 |
2,2 |
0,9 |
35,66 |
35,66 |
Autres |
0,20 |
2,6 |
1,1 |
41,26 |
41,26 |
Total |
7,74 |
100,0 |
41,2 |
1 613,44 |
1 613,44 |
Source: Tous les employ�s actifs dans le Syst�me de rapports sur les cong�s durant l'exercice 2002–2003.
Cong� |
|||||
Cong�s pay�s exercice 2001–2002 |
|||||
Cong�s pay�s |
Jours (millions) |
Pourcentage |
Jours moyens par employ� |
Valeur estimative (millions $ courant) |
Valeur estimative (millions $ constant) |
Vacances |
3,03 |
42,6 |
16,7 |
605,07 |
621,85 |
Jours f�ri�s |
1,99 |
28,0 |
11,0 |
398,51 |
409,55 |
Cong�s de maladies |
1,41 |
19,8 |
7,8 |
281,46 |
289,27 |
Obligations familiales |
0,26 |
3,6 |
1,4 |
51,43 |
52,86 |
Cong�s compensatoires |
0,19 |
2,6 |
1,0 |
37,09 |
38,12 |
Raisons personnelles/ b�n�volat |
0,05 |
0,7 |
0,3 |
10,53 |
10,82 |
Autres |
0,19 |
2,7 |
1,0 |
37,78 |
38,83 |
Total |
7,12 |
100,0 |
39,2 |
1 421,88 |
1 461,30 |
Source: Tous les employ�s actifs dans le Syst�me de rapports sur les cong�s durant l'exercice 2001–2002.
Cong� |
|||||
Cong�s pay�s exercice 2000–2001 |
|||||
Cong�s pay�s |
Jours (millions) |
Pourcentage |
Jours moyens par employ� |
Valeur estimative (millions $ courant) |
Valeur estimative (millions $ constant) |
Vacances |
2,91 |
43,3 |
17,1 |
541,51 |
568,96 |
Jours f�ri�s |
1,87 |
27,9 |
11,0 |
348,64 |
366,31 |
Cong�s de maladies |
1,33 |
19,8 |
7,8 |
247,15 |
259,69 |
Obligations familiales |
0,23 |
3,5 |
1,4 |
43,45 |
45,66 |
Cong�s compensatoires |
0,20 |
3,0 |
1,2 |
37,60 |
39,50 |
Raisons personnelles/ b�n�volat |
0 |
0,0 |
0,0 |
0,00 |
0,00 |
Autres |
0,17 |
2,5 |
1,0 |
31,43 |
33,02 |
Total |
6,71 |
100,0 |
39,4 |
1 249,77 |
1 313,14 |
Source: Tous les employ�s actifs dans le Syst�me de rapports sur les cong�s durant l'exercice 2000–2001.
Cong� |
|||||
Cong�s pay�s exercice 1999–2000 |
|||||
Cong�s pay�s |
Jours (millions) |
Pourcentage |
Jours moyens par employ� |
Valeur estimative (millions $ courant) |
Valeur estimative (millions $ constant) |
Vacances |
3,32 |
42,9 |
16,3 |
593,48 |
639,49 |
Jours f�ri�s |
2,27 |
29,3 |
11,0 |
405,14 |
436,56 |
Cong�s de maladies |
1,47 |
19,0 |
7,2 |
263,10 |
283,50 |
Obligations familiales |
0,26 |
3,3 |
1,3 |
45,77 |
49,32 |
Cong�s compensatoires |
0,21 |
2,7 |
1,0 |
36,70 |
39,55 |
Raisons personnelles/ b�n�volat |
0 |
0,0 |
0,0 |
0,00 |
0,00 |
Autres |
0,22 |
2,8 |
1,1 |
39,20 |
42,24 |
Total |
7,75 |
100,0 |
37,8 |
1 383,39 |
1 490,65 |
Source: Tous les employ�s actifs dans le Syst�me de rapports sur les cong�s durant l'exercice 1999–2000.
Cong� |
|||||
Cong�s pay�s exercice 1998–1999 |
|||||
Cong�s pay�s |
Jours (millions) |
Pourcentage |
Jours moyens par employ� |
Valeur estimative (millions $ courant) |
Valeur estimative (millions $ constant) |
Vacances |
3,38 |
41,9 |
16,4 |
570,94 |
631,88 |
Jours f�ri�s |
2,27 |
28,2 |
11,0 |
383,60 |
424,55 |
Cong�s de maladies |
1,63 |
20,2 |
7,9 |
275,42 |
304,82 |
Obligations familiales |
0,27 |
3,4 |
1,3 |
45,76 |
50,65 |
Cong�s compensatoires |
0,21 |
2,6 |
1,0 |
35,47 |
39,26 |
Raisons personnelles/ b�n�volat |
0 |
0,0 |
0,0 |
0,00 |
0,00 |
Autres |
0,30 |
3,7 |
1,4 |
50,04 |
55,39 |
Total |
8,05 |
100,0 |
39,0 |
1 361,24 |
1 506,54 |
Source: Tous les employ�s actifs dans le Syst�me de rapports sur les cong�s durant l'exercice 1998–1999.
Cong� |
|||||
Cong�s pay�s exercice 1997–1998 |
|||||
Cong�s pay�s |
Jours (millions) |
Pourcentage |
Jours moyens par employ� |
Valeur estimative (millions $ courant) |
Valeur estimative (millions $ constant) |
Vacances |
3,49 |
42,6 |
16,9 |
551,91 |
621,52 |
Jours f�ri�s |
2,27 |
27,7 |
11,0 |
358,80 |
404,06 |
Cong�s de maladies |
1,69 |
20,7 |
8,2 |
267,56 |
301,31 |
Obligations familiales |
0,27 |
3,3 |
1,3 |
42,47 |
47,83 |
Cong�s compensatoires |
0,20 |
2,5 |
1,0 |
32,29 |
36,36 |
Raisons personnelles/ b�n�volat |
0 |
0,0 |
0,0 |
0,00 |
0,00 |
Autres |
0,27 |
3,3 |
1,3 |
42,63 |
48,01 |
Total |
8,20 |
100,0 |
39,7 |
1 295,66 |
1 459,09 |
Source: Tous les employ�s actifs dans le Syst�me de rapports sur les cong�s durant l'exercice 1997–1998
Cong� |
|||||
Cong�s pay�s exercice 1996–1997 |
|||||
Cong�s pay�s |
Jours (millions) |
Pourcentage |
Jours moyens par employ� |
Valeur estimative (millions $ courant) |
Valeur estimative (millions $ constant) |
Vacances |
3,73 |
43,1 |
17,5 |
581,98 |
661,47 |
Jours f�ri�s |
2,35 |
27,1 |
11,0 |
365,97 |
415,96 |
Cong�s de maladies |
1,85 |
21,4 |
8,7 |
288,86 |
328,31 |
Obligations familiales |
0,28 |
3,2 |
1,3 |
43,31 |
49,22 |
Cong�s compensatoires |
0,19 |
2,2 |
0,9 |
29,86 |
33,94 |
Raisons personnelles/ b�n�volat |
0 |
0,0 |
0,0 |
0,00 |
0,00 |
Autres |
0,26 |
3,0 |
1,2 |
40,27 |
45,77 |
Total |
8,65 |
100,0 |
40,6 |
1 350,25 |
1 534,67 |
Source: Tous les employ�s actifs dans le Syst�me de rapports sur les cong�s durant l'exercice 1996–1997.
Cong� |
|||||
Cong�s pay�s exercice 1995–1996 |
|||||
Cong�s pay�s |
Jours (millions) |
Pourcentage |
Jours moyens par employ� |
Valeur estimative (millions $ courant) |
Valeur estimative (millions $ constant) |
Vacances |
4,08 |
42,8 |
17,2 |
636,16 |
734,69 |
Jours f�ri�s |
2,61 |
27,4 |
11,0 |
407,39 |
470,48 |
Cong�s de maladies |
2,06 |
21,6 |
8,7 |
321,28 |
371,04 |
Obligations familiales |
0,30 |
3,1 |
1,2 |
46,22 |
53,38 |
Cong�s compensatoires |
0,21 |
2,2 |
0,9 |
33,44 |
38,62 |
Raisons personnelles/ b�n�volat |
0 |
0,0 |
0,0 |
0,00 |
0,00 |
Autres |
0,28 |
2,9 |
1,2 |
43,14 |
49,83 |
Total |
9,54 |
100,0 |
40,2 |
1 487,64 |
1 718,04 |
Source: Tous les employ�s actifs dans le Syst�me de rapports sur les cong�s durant l'exercice 1995–1996.
Cong� |
|||||
Cong�s pay�s exercice 1994–1995 |
|||||
Cong�s pay�s |
Jours (millions) |
Pourcentage |
Jours moyens par employ� |
Valeur estimative (millions $ courant) |
Valeur estimative (millions $ constant) |
Vacances |
4,14 |
42,2 |
17,0 |
642,64 |
754,26 |
Jours f�ri�s |
2,68 |
27,3 |
11,0 |
415,42 |
487,57 |
Cong�s de maladies |
2,16 |
22,0 |
8,9 |
335,22 |
393,44 |
Obligations familiales |
0,30 |
3,1 |
1,2 |
46,70 |
54,81 |
Cong�s compensatoires |
0,5 |
2,5 |
1,0 |
38,64 |
45,35 |
Raisons personnelles/ b�n�volat |
0 |
0,0 |
0,0 |
0,00 |
0,00 |
Autres |
0,29 |
2,9 |
1,2 |
44,53 |
52,27 |
Total |
9,81 |
100,0 |
40,3 |
1 523,16 |
1 787,71 |
Source: Tous les employ�s actifs dans le Syst�me de rapports sur les cong�s durant l'exercice 1994–1995.
Cong� |
|||||
Cong�s pay�s exercice 1993–1994 |
|||||
Cong�s pay�s |
Jours (millions) |
Pourcentage |
Jours moyens par employ� |
Valeur estimative (millions $ courant) |
Valeur estimative (millions $ constant) |
Vacances |
4,23 |
42,1 |
17,1 |
652,40 |
782.26 |
Jours f�ri�s |
2,71 |
27,0 |
11,0 |
418,71 |
502.05 |
Cong�s de maladies |
2,12 |
21,1 |
8,6 |
327,00 |
392.09 |
Obligations familiales |
0,29 |
2,9 |
1,2 |
45,04 |
54.01 |
Cong�s compensatoires |
0,28 |
2,8 |
1,1 |
43,32 |
51.94 |
Raisons personnelles/ b�n�volat |
0 |
0,0 |
0,0 |
0,00 |
0.00 |
Autres |
0,40 |
4,0 |
1,6 |
62,26 |
74.65 |
Total |
10,03 |
100,0 |
40,7 |
1 548,74 |
1 857,00 |
Source: Tous les employ�s actifs dans le Syst�me de rapports sur les cong�s durant l'exercice 1993–1994.
Cong� |
|||||
Cong�s pay�s exercice 1992–1993 |
|||||
Cong�s pay�s |
Jours (millions) |
Pourcentage |
Jours moyenspar employ� |
Valeur estimative (millions $ courant) |
Valeur estimative (millions $ constant) |
Vacances |
4,06 |
41,9 |
16,7 |
615,71 |
739,67 |
Jours f�ri�s |
2,68 |
27,6 |
11,0 |
405,83 |
487,53 |
Cong�s de maladies |
2,09 |
21,6 |
8,6 |
317,29 |
381,17 |
Obligations familiales |
0,28 |
2,9 |
1,2 |
43,01 |
51,67 |
Cong�s compensatoires |
0,28 |
2,9 |
1,2 |
42,99 |
51,65 |
Raisons personnelles/ b�n�volat |
0,00 |
0,0 |
0,0 |
0,00 |
0,00 |
Autres |
0,31 |
3,1 |
1,3 |
46,28 |
55,0 |
Total |
9,70 |
100,0 |
39,9 |
1 471,11 |
1 767,29 |
Source: Tous les employ�s actifs dans le Syst�me de rapports sur les cong�s durant l'exercice 1992–1993.
Cong� |
|||||
Cong�s pay�s exercice 1991–1992 |
|||||
Cong�s pay�s |
Jours (millions) |
Pourcentage |
Jours moyens par employ� |
Valeur estimative (millions $ courant) |
Valeur estimative (millions $ constant) |
Vacances |
4,01 |
41,8 |
16,8 |
581,82 |
711,7 |
Jours f�ri�s |
2,63 |
27,5 |
11,0 |
381,85 |
467,00 |
Cong�s de maladies |
2,09 |
21,8 |
8,7 |
303,62 |
371,33 |
Obligations familiales |
0,26 |
2,7 |
1,1 |
37,52 |
45,88 |
Cong�s compensatoires |
0,28 |
2,9 |
1,2 |
40,82 |
49,93 |
Raisons personnelles/ b�n�volat |
0,00 |
0,0 |
0,0 |
0,00 |
0,00 |
Autres |
0,31 |
3,2 |
1,3 |
44,64 |
54,59 |
Total |
9,58 |
100,0 |
40,0 |
1 390,26 |
1 700,30 |
Source: Tous les employ�s actifs dans le Syst�me de rapports sur les cong�s durant l'exercice 1991–1992.
Droits relatifs aux CONG�S ANNUELS (ann�es de service) |
|||||||||
|
|
JOURS |
|||||||
GROUPE |
Date d'entr�e en vigueur |
15 |
20 |
22 |
23 |
25 |
27 |
28 |
30 |
|
|
Nombre d'ann�es de service |
|||||||
PA (comprend CR) |
19 nov 01 |
0 |
8 |
16 |
17 |
18 |
27 |
|
28 |
PA (comprend CR) |
16 mai 00 |
0 |
8 |
|
17 |
18 |
|
28 |
29 |
PA (comprend CR) |
01 avr 99 |
0 |
8 |
|
|
18 |
|
|
29 |
CR |
01 avr 90 |
0 |
8 |
|
|
19 |
|
|
30 |
CR |
01 avr 89 |
0 |
8 |
|
|
20 |
|
|
30 |
CR |
25 avr 86 |
0 |
9 |
|
|
20 |
|
|
|
CR |
01 avr 82 |
0 |
10 |
|
|
20 |
|
|
|
CR |
01 avr 80 |
0 |
10 |
|
|
22 |
|
|
|
CR |
13 nov 78 |
0 |
10 |
|
|
25 |
|
|
|
CR |
01 avr 78 |
0 |
12 |
|
|
26 |
|
|
|
CR |
01 jan 77 |
0 |
13 |
|
|
27 |
|
|
|
CR |
01 avr 75 |
0 |
15 |
|
|
28 |
|
|
|
CR |
01 avr 74 |
0 |
15 |
|
|
29 |
|
|
|
CR |
04 oct 71 |
0 |
15 |
|
|
30 |
|
|
|
CR |
01 oct 69 |
0 |
18 |
|
|
|
|
|
|
CR |
30 avr 69 |
0 |
20 |
|
|
|
|
|
|
D�tails de l'utilisation des cong�s de maladie et des cong�s pour raisons familiales dans les dix groupes de classification ayant l'utilisation la plus �lev�e et les trois groupes de classification ayant l'utilisation la moins �lev�e, 1990‑1991 � 2002‑2003
Exercice 1990‑1991 |
|||||
|
CONG�S DE MALADIE |
||||
Rang |
Code bud. |
Groupe |
Nbre d'employ�s |
Nbre total de jours |
Moyenne par employ� |
|
Noyau de la fonction publique |
237 592 |
2 056 180 |
8 654 |
|
10 groupes ayant fait le plus grand usage (effectif d'au moins 500) |
|||||
1 |
611 |
R�paration des navires (est) |
1 304 |
17 634 |
13,523 |
2 |
601‑51 |
Services correctionnels |
4 833 |
63 941 |
13,230 |
3 |
605‑55 |
Chauffage, force motrice et op�ration de machines fixes |
1 677 |
20 265 |
12,084 |
4 |
604‑54 |
Services divers |
9 434 |
106 872 |
11,328 |
5 |
606‑56 |
Services hospitaliers |
1 337 |
15 015 |
11,230 |
6 |
614 |
R�paration des navires (ouest) |
930 |
9 629 |
10,354 |
7 |
308 |
Administration des programmes |
32 904 |
295 380 |
8,977 |
8 |
309 |
Achats et approvisionnement |
2 595 |
23 219 |
8,948 |
9 |
412 |
Soutien des sciences sociales |
2 546 |
22 454 |
8,819 |
10 |
310 |
Programmes de bien‑�tre social |
1 732 |
12 677 |
7,319 |
3 groupes ayant fait le moins grand usage (effectif d'au moins 500) |
|||||
1 |
229 |
Services scientifiques de la d�fense |
583 |
2 231 |
3,827 |
2 |
225 |
R�glementation scientifique |
2 215 |
8 355 |
3,772 |
3 |
312 |
Service ext�rieur |
1 213 |
3 992 |
3,291 |
Exercice 1991‑1992 |
|||||
|
CONG�S DE MALADIE |
||||
Rang |
Code bud. |
Groupe |
Nbre d'employ�s |
Nbre total de jours |
Moyenne par employ� |
|
Noyau de la fonction publique |
239 156 |
2 091 774 |
8,746 |
|
10 groupes ayant fait le plus grand usage (effectif d'au moins 500) |
|||||
1 |
611 |
R�paration des navires (est) |
1 340 |
18 353 |
13,696 |
2 |
601‑51 |
Services correctionnels |
4 626 |
60 619 |
13,104 |
3 |
606‑56 |
Services hospitaliers |
1 296 |
16 544 |
12,765 |
4 |
605‑55 |
Chauffage, force motrice et op�ration de machines fixes |
1 576 |
19 280 |
12,234 |
5 |
614 |
R�paration des navires (ouest) |
951 |
11 449 |
12,039 |
6 |
604‑54 |
Services divers |
9 066 |
102 882 |
11,348 |
7 |
308 |
Administration des programmes |
34 165 |
313 145 |
9,166 |
8 |
412 |
Soutien des sciences sociales |
2 638 |
22 864 |
8,667 |
9 |
309 |
Achats et approvisionnement |
2 623 |
21 540 |
8,212 |
10 |
310 |
Programmes de bien‑�tre social |
1 768 |
14 469 |
8,184 |
3 groupes ayant fait le moins grand usage (effectif d'au moins 500) |
|||||
1 |
229 |
Services scientifiques de la d�fense |
589 |
2 277 |
3,866 |
2 |
225 |
R�glementation scientifique |
2 193 |
7 215 |
3,290 |
3 |
312 |
Service ext�rieur |
1 210 |
3 250 |
2,686 |
Exercice 1992‑1993 |
|||||
|
CONG�S DE MALADIE |
||||
Rang |
Code bud. |
Groupe |
Nbre d'employ�s |
Nbre total de jours |
Moyenne par employ� |
|
Noyau de la fonction publique |
243 295 |
2 092 408 |
8,600 |
|
10 groupes ayant fait le plus grand usage (effectif d'au moins 500) |
|||||
1 |
601‑51 |
Services correctionnels |
4 683 |
62 309 |
13,305 |
2 |
611 |
R�paration des navires (est) |
1 295 |
17 040 |
13,158 |
3 |
605‑55 |
Chauffage, force motrice et op�ration des machines fixes |
1 468 |
18 005 |
12,265 |
4 |
614 |
R�paration des navires (ouest) |
917 |
11 094 |
12,098 |
5 |
604‑54 |
Services divers |
8 823 |
96 594 |
10,948 |
6 |
606‑56 |
Services hospitaliers |
1 267 |
12 253 |
9,671 |
7 |
308 |
Administration des programmes |
35 833 |
322 676 |
9,005 |
8 |
412 |
Soutien des sciences sociales |
2 728 |
23 724 |
8,696 |
9 |
309 |
Achats et approvisionnement |
2 680 |
22 186 |
8,278 |
10 |
310 |
Programmes de bien‑�tre social |
1 839 |
14 060 |
7,645 |
3 groupes ayant fait le moins grand usage (effectif d'au moins 500) |
|||||
1 |
225 |
R�glementation scientifique |
2 256 |
7 874 |
3,490 |
2 |
312 |
Service ext�rieur |
1 204 |
2 959 |
2 458 |
3 |
229 |
Services scientifiques de la d�fense |
576 |
918 |
1,594 |
Exercice 1993‑1994 |
|||||
|
CONG�S DE MALADIE |
||||
Rang |
Code bud. |
Groupe |
Nbre d'employ�s |
Nbre total de jours |
Moyenne par employ� |
|
Noyau de la fonction publique |
246 549 |
2 118 007 |
8,591 |
|
10 groupes ayant fait le plus grand usage (effectif d'au moins 500) |
|||||
1 |
601‑51 |
Services correctionnels |
4 606 |
66 088 |
14,348 |
2 |
611 |
R�paration des navires (est) |
1 285 |
16 736 |
13,024 |
3 |
605‑55 |
Chauffage, force motrice et op�ration de machines fixes |
1 323 |
15 448 |
11,676 |
4 |
614 |
R�paration des navires (ouest) |
950 |
11 029 |
11,609 |
5 |
606‑56 |
Services hospitaliers |
1 114 |
12 923 |
11,601 |
6 |
604‑54 |
Services divers |
8 718 |
94 838 |
10,878 |
7 |
308 |
Administration des programmes |
36 958 |
337 909 |
9,143 |
8 |
412 |
Soutien des sciences sociales |
2 765 |
24 547 |
8,878 |
9 |
309 |
Achats et approvisionnement |
2 634 |
22 195 |
8,426 |
10 |
310 |
Programmes de bien‑�tre social |
1 838 |
14 015 |
7,625 |
3 groupes ayant fait le moins grand usage (effectif d'au moins 500) |
|||||
1 |
229 |
Services scientifiques de la d�fense |
2 287 |
7 552 |
3,302 |
2 |
312 |
Services ext�rieur |
1 190 |
3 049 |
2,562 |
3 |
225 |
R�glementation scientifique |
519 |
934 |
1,800 |
Exercice 1994‑1995 |
|||||
|
CONG�S DE MALADIE |
||||
Rang |
Code bud. |
Groupe |
Nbre d'employ�s |
Nbre total de jours |
Moyenne par employ� |
|
Noyau de la fonction publique |
243 208 |
2 158 812 |
8,876 |
|
10 groupes ayant fait le plus grand usage (effectif d'au moins 500) |
|||||
1 |
601‑51 |
Services correctionnels |
4 841 |
69 552 |
14,367 |
2 |
614 |
R�paration des navires (ouest) |
988 |
12 576 |
12,729 |
3 |
606‑56 |
Services hospitaliers |
1 087 |
13 558 |
12,473 |
4 |
605‑55 |
Chauffage, force motrice et op�ration de machines fixes |
1 290 |
16 066 |
12,454 |
5 |
611 |
R�paration des navires (est) |
1 262 |
15 637 |
12,391 |
6 |
604‑54 |
Services divers |
8 812 |
92 859 |
10,538 |
7 |
309 |
Achats et approvisionnement |
2 600 |
24 832 |
9,551 |
8 |
308 |
Administrtion des programmes |
37 640 |
357 720 |
9,504 |
9 |
310 |
Programmes de bien‑�tre social |
1 777 |
15 659 |
8,812 |
10 |
412 |
Soutien des sciences sociales |
2 825 |
24 124 |
8 539 |
3 groupes ayant fait le moins grand usage (effectif d'au moins 500) |
|||||
1 |
225 |
R�glementation scientifique |
2 282 |
7 654 |
3,354 |
2 |
312 |
Service ext�rieur |
1 182 |
3 058 |
2,587 |
3 |
229 |
Services scientifiques de la d�fense |
560 |
1 266 |
2,261 |
Exercice 1995‑1996 |
|||||
|
CONG�S DE MALADIE |
||||
Rang |
Code bud. |
Groupe |
Nbre d'employ�s |
Nbre total de jours |
Moyenne par employ� |
|
Noyau de la fonction publique |
237 513 |
2 060 400 |
8,675 |
|
10 groupes ayant fait le plus grand usage (effectif d'au moins 500) |
|||||
1 |
601‑51 |
Services correctionnels |
4 975 |
70 185 |
14,108 |
2 |
611 |
R�paration des navires (est) |
1 064 |
13 590 |
12,773 |
3 |
614 |
R�paration des navires (ouest) |
897 |
11 203 |
12,489 |
4 |
605‑55 |
Chauffage, force motrice et op�ration de machines fixes |
1 165 |
14 378 |
12,342 |
5 |
606‑56 |
Services hospitaliers |
1 008 |
11 821 |
11,727 |
6 |
604‑54 |
Services divers |
8 175 |
81 803 |
10,006 |
7 |
308 |
Administration des programmes |
37 750 |
363 958 |
9,641 |
8 |
309 |
Achats et approvisionnement |
2 514 |
23 017 |
9,156 |
9 |
310 |
Programmes de bien‑�tre social |
1 976 |
16 710 |
8,456 |
10 |
412 |
Soutien des sciences sociales |
2 839 |
23 482 |
8,271 |
3 groupes ayant fait le moins grand usage (effectif d'au moins 500) |
|||||
1 |
225 |
R�glementation scientifique |
2 219 |
7 135 |
3,215 |
2 |
312 |
Services ext�rieur |
1 184 |
3 585 |
3,028 |
3 |
229 |
Services scientifiques de la d�fense |
489 |
1 085 |
2,219 |
Exercice 1996‑1997 |
|||||
|
CONG�S DE MALADIE |
||||
Rang |
Code bud. |
Groupe |
Nbre d'employ�s |
Nbre total de jours |
Moyenne par employ� |
|
Noyau de la fonction publique |
213 242 |
1 851 432 |
8,682 |
|
10 groupes ayant fait le plus grand usage (effectif d'au moins 500) |
|||||
1 |
601‑51 |
Services correctionnels |
5 176 |
69 539 |
13,435 |
2 |
614 |
R�paration des navires (ouest) |
666 |
8 586 |
12,892 |
3 |
605‑55 |
Chauffage, force motrice et op�ration de machines fixes |
962 |
11 685 |
12,147 |
4 |
611 |
R�paration des navires (est) |
984 |
11 928 |
12,122 |
5 |
606‑56 |
Services hospitaliers |
861 |
10 424 |
12,107 |
6 |
308 |
Administration des programmes |
36 538 |
355 745 |
9,736 |
7 |
604‑54 |
Services divers |
6 823 |
62 361 |
9,140 |
8 |
309 |
Achats et approvisionnement |
2 166 |
19 556 |
9,029 |
9 |
310 |
Programmes de bien‑�tre social |
2 045 |
17 225 |
8,423 |
10 |
412 |
Soutien des sciences sociales |
2 833 |
23 396 |
8,258 |
3 groupes ayant fait le moins grand usage (effectif d'au moins 500) |
|||||
1 |
225 |
R�glementation scientifique |
2 067 |
7 069 |
3,420 |
2 |
312 |
Services ext�rieur |
1 182 |
3 809 |
3,223 |
3 |
229 |
Services scientifiques de la d�fense |
458 |
816 |
1,782 |
Exercice 1997‑1998 |
|||||
|
CONG�S DE MALADIE |
||||
Rang |
Code bud. |
Groupe |
Nbre d'employ�s |
Nbre total de jours |
Moyenne par employ� |
|
Noyau de la fonction publique |
206 338 |
1 692 575 |
8,203 |
|
10 groupes ayant fait le plus grand usage (effectif d'au moins 500) |
|||||
1 |
611 |
R�paration des navires (est) |
826 |
11 155 |
13,505 |
2 |
601‑51 |
Services correctionnels |
5 467 |
69 598 |
12,731 |
3 |
614 |
R�paration des navires (ouest) |
638 |
7 952 |
12,464 |
4 |
606‑56 |
Services hospitaliers |
776 |
9 311 |
11,999 |
5 |
605‑55 |
Chauffage, force motrice et op�ration de machines fixes |
750 |
8 363 |
11,151 |
6 |
309 |
Achats et approvisionnement |
2 089 |
19 642 |
9,403 |
7 |
604‑54 |
Services divers |
5 422 |
50 794 |
9,368 |
8 |
308 |
Administration des programmes |
37 766 |
349 642 |
9,258 |
9 |
310 |
Programmes de bien‑�tre social |
2 215 |
19 090 |
8,619 |
10 |
412 |
Soutien des sciences sociales |
3 016 |
25 317 |
8,394 |
3 groupes ayant fait le moins grand usage (effectif d'au moins 500) |
|||||
1 |
225 |
R�glementation scientifique |
1 925 |
5 618 |
2,918 |
2 |
312 |
Service ext�rieur |
1 164 |
2 874 |
2,469 |
3 |
229 |
Services scientifiques de la d�fense |
433 |
941 |
2,173 |
Exercice 1998‑1999 |
|||||
|
CONG�S DE MALADIE |
||||
Rang |
Code bud. |
Groupe |
Nbre d'employ�s |
Nbre total de jours |
Moyenne par employ� |
|
Noyau de la fonction publique |
206 225 |
1 628 745 |
7,898 |
|
10 groupes ayant fait le plus grand usage (effectif d'au moins 500) |
|||||
1 |
601‑51 |
Services correctionnels |
5 587 |
71 816 |
12,854 |
2 |
611 |
R�paration des navires (est) |
733 |
9 141 |
12,471 |
3 |
606‑56 |
Services hospitaliers |
801 |
8 448 |
10,547 |
4 |
614 |
R�paration des navires (ouest) |
632 |
6 540 |
10,348 |
5 |
308 |
Administration des programmes |
36 266 |
340 633 |
9,393 |
6 |
309 |
Achats et approvisionnements |
2 060 |
19 337 |
9,387 |
7 |
605‑55 |
Chauffage, force motrice et op�ration de machines fixes |
725 |
6 420 |
8,855 |
8 |
310 |
Programmes de bien‑�tre social |
2 389 |
20 321 |
8,506 |
9 |
412 |
Soutien des sciences sociales |
3 251 |
27 583 |
8,484 |
10 |
604‑54 |
Services divers |
5 557 |
44 275 |
7,967 |
3 groupes ayant fait le moins grand usage (effectif d'au moins 500) |
|||||
1 |
312 |
Services ext�rieur |
1 114 |
3 131 |
2,811 |
2 |
225 |
R�glementation scientifique |
1 851 |
4 924 |
2,660 |
3 |
229 |
Services scientifiques de la d�fense |
466 |
1 160 |
2,489 |
Exercice 1999‑2000 |
|||||
|
CONG�S DE MALADIE |
||||
Rang |
Code bud. |
Groupe |
Nbre d'employ�s |
Nbre total de jours |
Moyenne par employ� |
|
Noyau de la fonction publique |
204 186 |
1 473 940 |
7,219 |
|
10 groupes ayant fait le plus grand usage (effectif d'au moins 500) |
|||||
1 |
601‑51 |
Services correctionnels |
6 042 |
81 985 |
13,569 |
2 |
611 |
R�paration des navires (est) |
630 |
8 335 |
13,230 |
3 |
614 |
R�paration des navires (ouest) |
636 |
7 936 |
12,478 |
4 |
606‑56 |
Services hospitaliers |
781 |
8 120 |
10,397 |
5 |
605‑55 |
Chauffage, force motrice et op�ration de machines fixes |
598 |
6 058 |
10,130 |
6 |
309 |
Achats et approvisionnement |
2 156 |
19 543 |
9 064 |
7 |
604‑54 |
Services divers |
4 472 |
38 449 |
8,598 |
8 |
412 |
Soutien des sciences sociales |
3 263 |
27 906 |
8,552 |
9 |
310 |
Programmes de bien‑�tre social |
2 477 |
21 144 |
8,536 |
10 |
308 |
Administration des programmes |
36 070 |
248 878 |
6,900 |
3 groupes ayant fait le moins grand usage (effectif d'au moins 500) |
|||||
1 |
312 |
Services ext�rieur |
1 105 |
3 470 |
3,140 |
2 |
225 |
R�glementation scientifique |
1 887 |
5 771 |
3,058 |
3 |
229 |
Services scientifiques de la d�fense |
478 |
880 |
1,841 |
Exercice 2000‑2001 |
|||||
|
CONG�S DE MALADIE |
||||
Rang |
Code bud. |
Groupe |
Nbre d'employ�s |
Nbre total de jours |
Moyenne par employ� |
|
Noyau de la fonction publique |
170 234 |
1 327 500 |
7,798 |
|
10 groupes ayant fait le plus grand usage (effectif d'au moins 500) |
|||||
1 |
601‑51 |
Services correctionnels |
6 396 |
89 470 |
13,988 |
2 |
611 |
R�paration des navires (est) |
640 |
7 734 |
12,084 |
3 |
614 |
R�paration des navires (ouest) |
636 |
7 517 |
11,819 |
4 |
605‑55 |
Chauffage, force motrice et op�ration de machines fixes |
563 |
5 868 |
10,423 |
5 |
606‑56 |
Services hospitaliers |
811 |
7 965 |
9,821 |
6 |
310 |
Programmes de bien‑�tre social |
2 574 |
23 535 |
9,143 |
7 |
309 |
Achats et approvisionnement |
2 164 |
19 762 |
9,132 |
8 |
412 |
Soutien des sciences sociales |
3 531 |
30 690 |
8,692 |
9 |
604‑54 |
Services divers |
4 257 |
36 057 |
8,470 |
10 |
308 |
Administration des programmes |
17 082 |
143 816 |
8,419 |
3 groupes ayant fait le moins grand usage (effectif d'au moins 500) |
|||||
1 |
312 |
Services ext�rieur |
1 210 |
4 099 |
3,388 |
2 |
225 |
R�glementation scientifique |
1 959 |
5 593 |
2,855 |
3 |
229 |
Services scientifiques de la d�fense |
515 |
831 |
1,614 |
Exercice 2001‑2002 |
|||||
|
CONG�S DE MALADIE |
||||
Rang |
Code bud. |
Groupe |
Nbre d'employ�s |
Nbre total de jours |
Moyenne par employ� |
|
Noyau de la fonction publique |
181 320 |
1 408 719 |
7,769 |
|
10 groupes ayant fait le plus grand usage (effectif d'au moins 500) |
|||||
1 |
601‑51 |
Services correctionnels |
6 502 |
95 735 |
14,724 |
2 |
611 |
R�paration des navires (est) |
650 |
7 538 |
11,597 |
3 |
614 |
R�paration des navires (ouest) |
639 |
6 650 |
10,407 |
4 |
605‑55 |
Chauffage, force motrice et op�ration de machines fixes |
561 |
5 528 |
9,854 |
5 |
310 |
Programmes de bien‑�tre social |
2 694 |
25 463 |
9,452 |
6 |
309 |
Achats et approvisionnement |
2 414 |
22 352 |
9,259 |
7 |
606‑56 |
Services hospitaliers |
843 |
7 634 |
9,056 |
8 |
308 |
Administration des programmes |
18 568 |
161 855 |
8,717 |
9 |
412 |
Soutien des sciences sociales |
3 766 |
31 850 |
8,457 |
10 |
604‑54 |
Services divers |
4 337 |
34 168 |
7,878 |
3 groupes ayant fait le moins grand usage (effectif d'au moins 500) |
|||||
1 |
225 |
R�glementation scientifique |
1 982 |
6 006 |
3,030 |
2 |
312 |
Service ext�rieur |
1 182 |
3 382 |
2,861 |
3 |
229 |
Services scientifiques de la d�fense |
546 |
918 |
1,681 |
Exercice 2002‑2003 |
|||||
|
CONG�S DE MALADIE |
||||
Rang |
Code bud. |
Groupe |
Nbre d'employ�s |
Nbre total de jours |
Moyenne par employ� |
|
Noyau de la fonction publique |
187 781 |
1 559 671 |
8,306 |
|
10 groupes ayant fait le plus grand usage (effectif d'au moins 500) |
|||||
1 |
601‑651 |
Services correctionnels |
6 854 |
97 507 |
14,226 |
2 |
611 |
R�paration des navires (est) |
657 |
9 161 |
13,944 |
3 |
605‑55 |
Chauffage, force motrice et op�ration de machines fixes |
535 |
6 252 |
11,686 |
4 |
614 |
R�paration des navires (ouest) |
664 |
7 645 |
11,514 |
5 |
310 |
Programmes de bien‑�tre social |
2 703 |
28 682 |
10,611 |
6 |
309 |
Achats et approvisionnement |
2 511 |
25 272 |
10,065 |
7 |
606‑656 |
Services hospitaliers |
802 |
7 909 |
9,862 |
8 |
604‑54 |
Services divers |
4 290 |
42 141 |
9,823 |
9 |
308 |
Administration des programmes |
19 057 |
180 921 |
9,494 |
10 |
412 |
Soutien des sciences sociales |
3 909 |
36 439 |
9,322 |
3 groupes ayant fait le moins grand usage (effectif d'au moins 500) |
|||||
1 |
225 |
R�glementation scientifique |
1 970 |
6 508 |
3,304 |
2 |
229 |
Services scientifiques de la d�fense |
602 |
1 995 |
3,314 |
3 |
312 |
Service ext�rieur |
1 235 |
4 815 |
3,899 |
Exercice : 1991‑1992 |
|||||
|
CONG�S POUR RESPONSABILIT�S FAMILIALES |
||||
Rang |
Code bud. |
Groupe |
Nbre d'employ�s |
Nbre total de jours |
Moyenne par employ� |
|
Noyau de la fonction publique |
239 156 |
258 464 |
1,0807 |
|
10 groupes ayant fait le plus grand usage (effectif d'au moins 500) |
|||||
1 |
601‑51 |
Services correctionnels |
4 626 |
19 611 |
4,2393 |
2 |
611 |
R�paration des navires (est) |
1 340 |
5 224 |
3,8985 |
3 |
614 |
R�paration des navires (ouest) |
951 |
2 389 |
2,5121 |
4 |
606‑56 |
Services hospitaliers |
1 296 |
2 476 |
1,9105 |
5 |
310 |
Programmes de bien‑�tre social |
1 768 |
3 075 |
1,7393 |
6 |
603‑53 |
Manœuvres et hommes de m�tiers |
14 381 |
17 651 |
1,2274 |
7 |
605‑55 |
Chauffage, force motrice et op�ration de machines fixes |
1 576 |
1 919 |
1,2176 |
8 |
503 |
Commis aux �critures et r�glements |
53 506 |
64 791 |
1,2109 |
9 |
604‑54 |
Services divers |
9 066 |
10 977 |
1,2108 |
10 |
219 |
Sciences infirmi�res |
1 831 |
2 079 |
1,1354 |
3 groupes ayant fait le moins grand usage (effectif d'au moins 500) |
|||||
1 |
225 |
R�glementation scientifique |
2 193 |
699 |
0,3187 |
2 |
102 |
Groupe de la direction |
4 621 |
1 246 |
0,2696 |
3 |
312 |
Service ext�rieur |
1 210 |
215 |
0,1777 |
Exercice : 1992‑1993 |
|||||
|
CONG�S POUR RESPONSABILIT�S FAMILIALES |
||||
Rang |
Code bud. |
Groupe |
Nbre d'employ�s |
Nbre total de jours |
Moyenne par employ� |
|
|
|
|
|
|
|
Noyau de la fonction publique |
243 295 |
283 621 |
1,1657 |
|
10 groupes ayant fait le plus grand usage (effectif d'au moins 500) |
|||||
1 |
601‑51 |
Services correctionnels |
4 683 |
20 824 |
4,4467 |
2 |
611 |
R�paration des navires (est) |
1 295 |
5 178 |
3,9985 |
3 |
614 |
R�paration des navires (ouest) |
917 |
2 555 |
2,7863 |
4 |
310 |
Programmes de bien‑�tre social |
1 839 |
3 444 |
1,8728 |
5 |
606‑56 |
Services hospitaliers |
1 267 |
1 900 |
1,4996 |
6 |
605‑55 |
Chauffage, force motrice et op�ration de machines fixes |
1 468 |
2 085 |
1,4203 |
7 |
603‑53 |
Manœuvres et hommes de m�tiers |
14 270 |
19 702 |
1,3807 |
8 |
604‑54 |
Services divers |
8 823 |
12 022 |
1,3626 |
9 |
503 |
Commis aux �critures et r�glements |
54 496 |
70 880 |
1,3006 |
10 |
219 |
Sciences infirmi�res |
1 906 |
2 179 |
1,1432 |
3 groupes ayant fait le moins grand usage (effectif d'au moins 500) |
|||||
1 |
225 |
R�glementation scientifique |
2 256 |
794 |
0,3520 |
2 |
102 |
Groupe de la direction |
4 466 |
1 375 |
0,3079 |
3 |
312 |
Service ext�rieur |
1 204 |
301 |
0,2500 |
Exercice : 1993‑1994 |
|||||
|
CONG�S POUR RESPONSABILIT�S FAMILIALES |
||||
Rang |
Code bud. |
Groupe |
Nbre d'employ�s |
Nbre total de jours |
Moyenne par employ� |
|
Noyau de la fonction publique |
246 549 |
291 748 |
1,1833 |
|
10 groupes ayant fait le plus grand usage (effectif d'au moins 500) |
|||||
1 |
601‑51 |
Services correctionnels |
4 606 |
20 585 |
4,4692 |
2 |
611 |
R�paration des navires (est) |
1 285 |
5 109 |
3,9759 |
3 |
614 |
R�paration des navires (ouest) |
950 |
2 834 |
2,9832 |
4 |
606‑56 |
Services hospitaliers |
1 114 |
2 317 |
2,0799 |
5 |
310 |
Programmes de bien‑�tre social |
1 838 |
3 684 |
2,0044 |
6 |
605‑55 |
Chauffage, force motrice et op�ration de machines fixes |
1 323 |
1 983 |
1,4989 |
7 |
603‑53 |
Manœuvres et hommes de m�tiers |
14 125 |
19 479 |
1,3790 |
8 |
604‑54 |
Services divers |
8 718 |
11 846 |
1,3588 |
9 |
503 |
Commis aux �critures et r�glements |
57 082 |
74 675 |
1,3082 |
10 |
219 |
Sciences infirmi�res |
1 991 |
2 409 |
1,2099 |
3 groupes ayant fait le moins grand usage (effectif d'au moins 500) |
|||||
1 |
225 |
R�glementation scientifique |
2 287 |
866 |
0,3787 |
2 |
102 |
Groupe de la direction |
4 165 |
1 195 |
0,2869 |
3 |
312 |
Service ext�rieur |
1 190 |
230 |
0,1933 |
Exercice : 1994‑1995 |
|||||
|
CONG�S POUR RESPONSABILIT�S FAMILIALES |
||||
Rang |
Code bud. |
Groupe |
Nbre d'employ�s |
Nbre total de jours |
Moyenne par employ� |
|
Noyau de la fonction publique |
243 208 |
300 765 |
1,2367 |
|
10 groupes ayant fait le plus grand usage (effectif d'au moins 500) |
|||||
1 |
601‑51 |
Services correctionnels |
4 841 |
21 115 |
4,3617 |
2 |
611 |
R�paration des navires (est) |
1 262 |
5 084 |
4,0285 |
3 |
614 |
R�paration des navires (ouest) |
988 |
2 903 |
2,9383 |
4 |
606‑56 |
Services hospitaliers |
1 087 |
2 456 |
2,2594 |
5 |
310 |
Programmes de bien‑�tre social |
1 777 |
3 498 |
1,9685 |
6 |
605‑55 |
Chauffage, force motrice et op�ration de machines fixes |
1 290 |
2 175 |
1,6860 |
7 |
603‑53 |
Manœuvres et hommes de m�tiers |
14 196 |
20 276 |
1,4283 |
8 |
604‑54 |
Services divers |
8 812 |
12 109 |
1,3741 |
9 |
219 |
Sciences infirmi�res |
1 920 |
2 624 |
1,3667 |
10 |
503 |
Commis aux �critures et r�glements |
54 004 |
73 577 |
1,3624 |
3 groupes ayant fait le moins grand usage (effectif d'au moins 500) |
|||||
1 |
225 |
R�glementation scientifique |
2 282 |
818 |
0,3585 |
2 |
312 |
Service ext�rieur |
1 182 |
379 |
0,3206 |
3 |
102 |
Groupe de la direction |
4 022 |
1 266 |
0,3148 |
Exercice : 1995‑1996 |
|||||
|
CONG�S POUR RESPONSABILIT�S FAMILIALES |
||||
Rang |
Code bud. |
Groupe |
Nbre d'employ�s |
Nbre total de jours |
Moyenne par employ� |
|
Noyau de la fonction publique |
237 513 |
296 414 |
1,2480 |
|
10 groupes ayant fait le plus grand usage (effectif d'au moins 500) |
|||||
1 |
601‑51 |
Services correctionnels |
4 975 |
20 832 |
4,1873 |
2 |
611 |
R�paration des navires (est) |
1 064 |
4 145 |
3,8957 |
3 |
614 |
R�paration des navires (ouest) |
897 |
2 575 |
2,8707 |
4 |
606‑56 |
Services hospitaliers |
1 008 |
2 283 |
2,2649 |
5 |
310 |
Programmes de bien‑�tre social |
1 976 |
3 886 |
1,9666 |
6 |
605‑55 |
Chauffage, force motrice et op�ration de machines fixes |
1 165 |
1 990 |
1,7082 |
7 |
503 |
Commis aux �critures et r�glements |
52 826 |
73 039 |
1,3826 |
8 |
603‑53 |
Manœuvres et hommes de m�tiers |
13 563 |
18 739 |
1,3816 |
9 |
219 |
Sciences infirmi�res |
1 895 |
2 513 |
1,3261 |
10 |
604‑54 |
Services divers |
8 175 |
10 699 |
1,3087 |
3 groupes ayant fait le moins grand usage (effectif d'au moins 500) |
|||||
1 |
225 |
R�glementation scientifique |
2 219 |
831 |
0,3745 |
2 |
102 |
Groupe de la direction |
3 938 |
1 214 |
0,3083 |
3 |
312 |
Service ext�rieur |
1 184 |
352 |
0,2973 |
Exercice : 1996‑1997 |
|||||
|
CONG�S POUR RESPONSABILIT�S FAMILIALES |
||||
Rang |
Code bud. |
Groupe |
Nbre d'employ�s |
Nbre total de jours |
Moyenne par employ� |
|
Noyau de la fonction publique |
213 242 |
277 577 |
1,3017 |
|
10 groupes ayant fait le plus grand usage (effectif d'au moins 500) |
|||||
1 |
601‑51 |
Services correctionnels |
5 176 |
21 616 |
4,1762 |
2 |
611 |
R�paration des navires (est) |
984 |
3 792 |
3,8537 |
3 |
614 |
R�paration des navires (ouest) |
666 |
2 022 |
3,0360 |
4 |
606‑56 |
Services hospitaliers |
861 |
2 045 |
2,3751 |
5 |
310 |
Programmes de bien‑�tre social |
2 045 |
4 081 |
1,9956 |
6 |
605‑55 |
Chauffage, force motrice et op�ration de machines fixes |
962 |
1 613 |
1,6767 |
7 |
503 |
Commis aux �critures et r�glements |
48 123 |
68 550 |
1,4245 |
8 |
603‑53 |
Manœuvres et hommes de m�tiers |
11 216 |
15 897 |
1,4174 |
9 |
604‑54 |
Services divers |
6 823 |
9 087 |
1,3318 |
10 |
219 |
Sciences infirmi�res |
1 766 |
2 346 |
1,3284 |
3 groupes ayant fait le moins grand usage (effectif d'au moins 500) |
|||||
1 |
225 |
R�glementation scientifique |
2 067 |
793 |
0,3836 |
2 |
102 |
Groupe de la direction |
3 634 |
1 143 |
0,3145 |
3 |
312 |
Service ext�rieur |
1 182 |
368 |
0,3113 |
Exercice : 1997‑1998 |
|||||
|
CONG�S POUR RESPONSABILIT�S FAMILIALES |
||||
Rang |
Code bud. |
Groupe |
Nbre d'employ�s |
Nbre total de jours |
Moyenne par employ� |
|
Noyau de la fonction publique |
206 338 |
268 689 |
1,3022 |
|
10 groupes ayant fait le plus grand usage (effectif d'au moins 500) |
|||||
1 |
601‑51 |
Services correctionnels |
5 467 |
22 065 |
4,0360 |
2 |
611 |
R�paration des navires (est) |
826 |
3 306 |
4,0024 |
3 |
614 |
R�paration des navires (ouest) |
638 |
1 945 |
3,0486 |
4 |
606‑56 |
Services hospitaliers |
776 |
2 001 |
2,5786 |
5 |
605‑55 |
Chauffage, force motrice et op�ration de machines fixes |
750 |
1 440 |
1,9200 |
6 |
310 |
Programmes de bien‑�tre social |
2 215 |
4 080 |
1,8420 |
7 |
603‑53 |
Manœuvres et hommes de m�tiers |
10 027 |
14 581 |
1,4542 |
8 |
604‑54 |
Services divers |
5 422 |
7 872 |
1,4519 |
9 |
219 |
Sciences infirmi�res |
1 684 |
2 406 |
1,4287 |
10 |
503 |
Commis aux �critures et r�glements |
45 832 |
64 906 |
1,4162 |
3 groupes ayant fait le moins grand usage (effectif d'au moins 500) |
|||||
1 |
225 |
R�glementation scientifique |
1 925 |
717 |
0,3725 |
2 |
312 |
Service ext�rieur |
1 164 |
405 |
0,3479 |
3 |
102 |
Groupe de la direction |
3 572 |
1 160 |
0,3247 |
Exercice : 1998‑1999 |
|||||
|
CONG�S POUR RESPONSABILIT�S FAMILIALES |
||||
Rang |
Code bud. |
Groupe |
Nbre d'employ�s |
Nbre total de jours |
Moyenne par employ� |
|
Noyau de la fonction publique |
206 225 |
270 620 |
1,3123 |
|
10 groupes ayant fait le plus grand usage (effectif d'au moins 500) |
|||||
1 |
601‑51 |
Services correctionnels |
5 587 |
23 074 |
4,1299 |
2 |
611 |
R�paration des navires (est) |
733 |
2 698 |
3,6808 |
3 |
614 |
R�paration des navires (ouest) |
632 |
1 817 |
2,8750 |
4 |
606‑56 |
Services hospitaliers |
801 |
1 865 |
2,3283 |
5 |
310 |
Programmes de bien‑�tre social |
2 389 |
4 659 |
1,9502 |
6 |
605‑55 |
Chauffage, force motrice et op�ration de machines fixes |
725 |
1 243 |
1,7145 |
7 |
219 |
Sciences infirmi�res |
1 685 |
2 593 |
1,5389 |
8 |
503 |
Commis aux �critures et r�glements |
43 945 |
62 275 |
1,4171 |
9 |
604‑54 |
Services divers |
5 557 |
6 967 |
1,2537 |
10 |
603‑53 |
Manœuvres et hommes de m�tiers |
10 020 |
12 487 |
1,2462 |
3 groupes ayant fait le moins grand usage (effectif d'au moins 500) |
|||||
1 |
225 |
R�glementation scientifique |
1 851 |
764 |
0,4127 |
2 |
312 |
Service ext�rieur |
1 114 |
411 |
0,3689 |
3 |
102 |
Groupe de la direction |
3 675 |
1 321 |
0,3595 |
Exercice : 1999‑2000 |
|||||
|
CONG�S POUR RESPONSABILIT�S FAMILIALES |
||||
Rang |
Code bud. |
Groupe |
Nbre d'employ�s |
Nbre total de jours |
Moyenne par employ� |
|
Noyau de la fonction publique |
204 186 |
256 401 |
1,2557 |
|
10 groupes ayant fait le plus grand usage (effectif d'au moins 500) |
|||||
1 |
601‑51 |
Services correctionnels |
6 042 |
26 134 |
4,3254 |
2 |
611 |
R�paration des navires (est) |
630 |
2 605 |
4,1349 |
3 |
614 |
R�paration des navires (ouest) |
636 |
1 987 |
3,1242 |
4 |
606‑56 |
Services hospitaliers |
781 |
1 972 |
2,5250 |
5 |
310 |
Programmes de bien‑�tre social |
2 477 |
5 205 |
2,1013 |
6 |
605‑55 |
Chauffage, force motrice et op�ration de machines fixes |
598 |
1 231 |
2,0585 |
7 |
219 |
Sciences infirmi�res |
1 695 |
2 670 |
1,5752 |
8 |
604‑54 |
Services divers |
4 472 |
6 804 |
1,5215 |
9 |
603‑53 |
Manœuvres et hommes de m�tiers |
7 846 |
11 610 |
1,4797 |
10 |
503 |
Commis aux �critures et r�glements |
43 430 |
59 095 |
1,3607 |
3 groupes ayant fait le moins grand usage (effectif d'au moins 500) |
|||||
1 |
312 |
Service ext�rieur |
1 105 |
671 |
0,6072 |
2 |
225 |
R�glementation scientifique |
1 887 |
822 |
0,4356 |
3 |
102 |
Groupe de la direction |
3 788 |
1 489 |
0,3931 |
Exercice : 2000‑2001 |
|||||
|
CONG�S POUR RESPONSABILIT�S FAMILIALES |
||||
Rang |
Code bud. |
Groupe |
Nbre d'employ�s |
Nbre total de jours |
Moyenne par employ� |
|
Noyau de la fonction publique |
170 234 |
233 393 |
1,3710 |
|
10 groupes ayant fait le plus grand usage (effectif d'au moins 500) |
|||||
1 |
601‑51 |
Services correctionnels |
6 396 |
27 917 |
4,3648 |
2 |
611 |
R�paration des navires (est) |
640 |
2 620 |
4,0938 |
3 |
614 |
R�paration des navires (ouest) |
636 |
2 101 |
3,3035 |
4 |
606‑56 |
Services hospitaliers |
811 |
2 007 |
2,4747 |
5 |
605‑55 |
Chauffage, force motrice et op�ration de machines fixes |
563 |
1 269 |
2,2540 |
6 |
310 |
Programmes de bien‑�tre social |
2 574 |
5 580 |
2,1678 |
7 |
219 |
Sciences infirmi�res |
1 692 |
2 705 |
1,5987 |
8 |
603‑53 |
Manœuvres et hommes de m�tiers |
7 613 |
11 977 |
1,5732 |
9 |
604‑54 |
Services divers |
4 257 |
6 625 |
1,5563 |
10 |
503 |
Commis aux �critures et r�glements |
36 568 |
53 614 |
1,4661 |
3 groupes ayant fait le moins grand usage (effectif d'au moins 500) |
|||||
1 |
225 |
R�glementation scientifique |
1 959 |
972 |
0,4962 |
2 |
312 |
Service ext�rieur |
1 210 |
535 |
0,4421 |
3 |
102 |
Groupe de la direction |
3 657 |
1 615 |
0,4416 |
Exercice : 2001‑2002 |
|||||
|
CONG�S POUR RESPONSABILIT�S FAMILIALES |
||||
Rang |
Code bud. |
Groupe |
Nbre d'employ�s |
Nbre total de jours |
Moyenne par employ� |
|
Noyau de la fonction publique |
181 320 |
257 410 |
1,4196 |
|
10 groupes ayant fait le plus grand usage (effectif d'au moins 500) |
|||||
1 |
601‑51 |
Services correctionnels |
6 502 |
28 548 |
4,3906 |
2 |
611 |
R�paration des navires (est) |
650 |
2 676 |
4,1169 |
3 |
614 |
R�paration des navires (ouest) |
639 |
2 091 |
3,2723 |
4 |
606‑56 |
Services hospitaliers |
843 |
2 021 |
2,3974 |
5 |
605‑55 |
Chauffage, force motrice et op�ration de machines fixes |
561 |
1 287 |
2,2941 |
6 |
310 |
Programmes de bien‑�tre social |
2 694 |
6 042 |
2,2428 |
7 |
219 |
Sciences infirmi�res |
1 771 |
3 042 |
1,7177 |
8 |
603‑53 |
Manœuvres et hommes de m�tiers |
7 639 |
12 674 |
1,6591 |
9 |
604‑54 |
Services divers |
4 337 |
6 788 |
1,5651 |
10 |
503 |
Commis aux �critures et r�glements |
37 463 |
57 435 |
1,5331 |
3 groupes ayant fait le moins grand usage (effectif d'au moins 500) |
|||||
1 |
225 |
R�glementation scientifique |
1 982 |
1 064 |
0,5368 |
2 |
102 |
Groupe de la direction |
4 160 |
2 081 |
0,5002 |
3 |
312 |
Service ext�rieur |
1 182 |
546 |
0,4619 |
Exercice : 2002‑2003 |
|||||
|
CONG�S POUR RESPONSABILIT�S FAMILIALES |
||||
Rang |
Code bud. |
Groupe |
Nbre d'employ�s |
Nbre total de jours |
Moyenne par employ� |
|
Noyau de la fonction publique |
187 781 |
295 833 |
1,5754 |
|
10 groupes ayant fait le plus grand usage (effectif d'au moins 500) |
|||||
1 |
601/651 |
Services correctionnels |
6 854 |
30 436 |
4,4406 |
2 |
611 |
R�paration des navires (est) |
657 |
2 791 |
4,2481 |
3 |
614 |
R�paration des navires (ouest) |
664 |
2 335 |
3,5166 |
4 |
606‑56 |
Services hospitaliers |
802 |
2 077 |
2,5898 |
5 |
605‑55 |
Chauffage, force motrice et op�ration de machines fixes |
535 |
1 357 |
2,5364 |
6 |
310 |
Programmes de bien‑�tre social |
2 703 |
6 694 |
2,4765 |
7 |
604‑54 |
Services divers |
4 290 |
8 090 |
1,8858 |
8 |
219 |
Sciences infirmi�res |
1 868 |
3 484 |
1,8651 |
9 |
603‑53 |
Manœuvres et hommes de m�tiers |
7 631 |
14 009 |
1,8358 |
10 |
503 |
Commis aux �critures et r�glements |
37 107 |
64 702 |
1,7437 |
3 groupes ayant fait le moins grand usage (effectif d'au moins 500) |
|||||
1 |
312 |
Service ext�rieur |
1 235 |
570 |
0,4615 |
2 |
102 |
Groupe de la direction |
4 496 |
2 383 |
0,5300 |
3 |
225 |
R�glementation scientifique |
1 970 |
1189 |
0,6036 |
Historique des cotisations de l'employeur et de l'employ� au R�gime de pension de la fonction publique, 1924-1925 � 2002-2003
R�gime de pension de la fonction publique
Afficher le graphique pleine dimension
Historique des cotisations de l'employeur et de l'employ� au R�gime de pension des Forces canadiennes, 1946-1947 � 2002-2003
R�gime de pension des Forces canadiennes
Exercice |
Cotisations |
Cotisations |
Co�t de |
Frais imput�s |
|
1 |
2 |
3 |
4 |
|
|
|
|
|
|
$ |
$ |
$ |
$ |
1946-47 |
1 |
|
|
|
1947-48 |
6 |
7 |
|
|
1948-49 |
6 |
7 |
|
|
1949-50 |
7 |
9 |
|
|
1950-51 |
8 |
12 |
|
|
1951-52 |
12 |
31 |
|
|
1952-53 |
17 |
30 |
|
|
1953-54 |
19 |
35 |
|
|
1954-55 |
23 |
37 |
|
|
1955-56 |
24 |
40 |
|
|
1956-57 |
26 |
46 |
|
|
1957-58 |
29 |
50 |
|
|
1958-59 |
30 |
50 |
|
|
1959-60 |
30 |
52 |
|
|
1960-61 |
32 |
41 |
|
|
1961-62 |
34 |
56 |
|
|
1962-63 |
34 |
58 |
|
|
1963-64 |
36 |
60 |
601 |
|
1964-65 |
35 |
59 |
13 |
|
1965-66 |
34 |
59 |
17 |
|
1966-67 |
25 |
43 |
73 |
|
1967-68 |
33 |
58 |
73 |
|
1968-69 |
34 |
57 |
105 |
0.0 |
1969-70 |
39 |
66 |
91 |
0.0 |
1970-71 |
39 |
70 |
89 |
0.0 |
1971-72 |
42 |
74 |
66 |
0.0 |
1972-73 |
44 |
79 |
90 |
3.1 |
1973-74 |
49 |
87 |
150 |
13.0 |
1974-75 |
52 |
91 |
186 |
22.0 |
1975-76 |
56 |
99 |
219 |
33.0 |
1976-77 |
63 |
114 |
198 |
43.0 |
1977-78 |
67 |
119 |
171 |
65.0 |
1978-79 |
71 |
124 |
65 |
82.0 |
1979-80 |
74 |
133 |
0 |
99.6 |
1980-81 |
80 |
142 |
0 |
131.1 |
1981-82 |
91 |
159 |
40 |
167.3 |
1982-83 |
104 |
183 |
|
195.1 |
1983-84 |
113 |
200 |
|
219.1 |
1984-85 |
120 |
212 |
|
247.2 |
1985-86 |
125 |
223 |
|
270.8 |
1986-87 |
131 |
233 |
|
304.1 |
1987-88 |
139 |
247 |
|
327.8 |
1988-89 |
142 |
255 |
|
359.0 |
1989-90 |
152 |
270 |
|
395.8 |
1990-91 |
161 |
288 |
|
|
1991-92 |
188 |
401 |
|
|
1992-93 |
185 |
424 |
|
|
1993-94 |
176 |
435 |
|
|
1994-95 |
168 |
437 |
|
|
1995-96 |
152 |
410 |
|
|
1996-97 |
138 |
390 |
|
|
1997-98 |
139 |
403 |
|
|
1998-99 |
137 |
396 |
|
|
1999-00 |
144 |
562 |
|
|
2000-01 |
149 |
511 |
|
|
2001-02 |
154 |
529 |
|
|
2002-03 |
162 |
556 |
|
|
TOTAL |
4,381 |
9,819 |
2,247 |
2,978 |
Appendice Q (suite)
Exercice |
Total des co�ts |
Ratio des co�ts |
Ratio cumulatif |
Part des |
|
2+3+4 = 5 |
5 � 1 |
|
(5/(5�1) |
|
5 |
6 |
7 |
8 |
|
$ |
|
|
|
1946-47 |
0.0 |
0.00 |
0.00 |
0% |
1947-48 |
7.3 |
1.30 |
1.04 |
57% |
1948-49 |
7.4 |
1.21 |
1.12 |
55% |
1949-50 |
9.0 |
1.29 |
1.18 |
56% |
1950-51 |
12.0 |
1.48 |
1.26 |
60% |
1951-52 |
30.7 |
2.48 |
1.63 |
71% |
1952-53 |
30.0 |
1.78 |
1.68 |
64% |
1953-54 |
35.2 |
1.84 |
1.72 |
65% |
1954-55 |
36.7 |
1.62 |
1.70 |
62% |
1955-56 |
40.1 |
1.69 |
1.69 |
63% |
1956-57 |
46.4 |
1.77 |
1.71 |
64% |
1957-58 |
49.7 |
1.74 |
1.71 |
63% |
1958-59 |
49.5 |
1.66 |
1.70 |
62% |
1959-60 |
51.8 |
1.71 |
1.70 |
63% |
1960-61 |
40.6 |
1.27 |
1.65 |
56% |
1961-62 |
56.0 |
1.66 |
1.66 |
62% |
1962-63 |
58.1 |
1.69 |
1.66 |
63% |
1963-64 |
660.7 |
18.32 |
3.26 |
95% |
1964-65 |
72.2 |
2.05 |
3.16 |
67% |
1965-66 |
75.6 |
2.22 |
3.09 |
69% |
1966-67 |
115.2 |
4.59 |
3.17 |
82% |
1967-68 |
131.0 |
3.96 |
3.22 |
80% |
1968-69 |
161.5 |
4.77 |
3.32 |
83% |
1969-70 |
156.8 |
4.05 |
3.37 |
80% |
1970-71 |
159.8 |
4.08 |
3.41 |
80% |
1971-72 |
140.1 |
3.38 |
3.41 |
77% |
1972-73 |
172.4 |
3.91 |
3.44 |
80% |
1973-74 |
250.4 |
5.14 |
3.55 |
84% |
1974-75 |
298.9 |
5.75 |
3.70 |
85% |
1975-76 |
350.6 |
6.22 |
3.86 |
86% |
1976-77 |
355.4 |
5.64 |
3.98 |
85% |
1977-78 |
354.8 |
5.29 |
4.07 |
84% |
1978-79 |
271.2 |
3.84 |
4.06 |
79% |
1979-80 |
232.6 |
3.14 |
4.00 |
76% |
1980-81 |
273.4 |
3.41 |
3.96 |
77% |
1981-82 |
366.2 |
4.01 |
3.96 |
80% |
1982-83 |
378.3 |
3.63 |
3.94 |
78% |
1983-84 |
419.3 |
3.71 |
3.92 |
79% |
1984-85 |
459.3 |
3.83 |
3.91 |
79% |
1985-86 |
493.8 |
3.94 |
3.92 |
80% |
1986-87 |
536.9 |
4.10 |
3.93 |
80% |
1987-88 |
575.0 |
4.14 |
3.94 |
81% |
1988-89 |
614.4 |
4.32 |
3.97 |
81% |
1989-90 |
665.9 |
4.39 |
4.00 |
81% |
1990-91 |
287.9 |
1.79 |
3.85 |
64% |
1991-92 |
400.9 |
2.13 |
3.73 |
68% |
1992-93 |
423.8 |
2.29 |
3.64 |
70% |
1993-94 |
434.9 |
2.47 |
3.57 |
71% |
1994-95 |
437.2 |
2.61 |
3.52 |
72% |
1995-96 |
409.8 |
2.70 |
3.48 |
73% |
1996-97 |
389.6 |
2.83 |
3.46 |
74% |
1997-98 |
402.6 |
2.90 |
3.44 |
74% |
1998-99 |
396.0 |
2.90 |
3.42 |
74% |
1999-00 |
562.4 |
3.90 |
3.43 |
80% |
2000-01 |
511.0 |
3.43 |
3.43 |
77% |
2001-02 |
529.0 |
3.44 |
3.43 |
77% |
2002-03 |
556.0 |
3.43 |
3.43 |
77% |
TOTAL |
15,043 |
|
|
|
Appendice Q
Exercice |
Part |
Co�ts |
Co�ts |
|
9 |
|
|
|
|
$ |
$ |
1946-47 |
0% |
1 |
0 |
1947-48 |
51% |
7 |
7 |
1948-49 |
53% |
13 |
15 |
1949-50 |
54% |
20 |
24 |
1950-51 |
56% |
28 |
36 |
1951-52 |
62% |
41 |
66 |
1952-53 |
63% |
57 |
96 |
1953-54 |
63% |
77 |
132 |
1954-55 |
63% |
99 |
168 |
1955-56 |
63% |
123 |
209 |
1956-57 |
63% |
149 |
255 |
1957-58 |
63% |
178 |
305 |
1958-59 |
63% |
208 |
354 |
1959-60 |
63% |
238 |
406 |
1960-61 |
62% |
270 |
446 |
1961-62 |
62% |
304 |
502 |
1962-63 |
62% |
338 |
561 |
1963-64 |
77% |
374 |
1,221 |
1964-65 |
76% |
409 |
1,293 |
1965-66 |
76% |
443 |
1,369 |
1966-67 |
76% |
468 |
1,484 |
1967-68 |
76% |
501 |
1,615 |
1968-69 |
77% |
535 |
1,777 |
1969-70 |
77% |
574 |
1,934 |
1970-71 |
77% |
613 |
2,093 |
1971-72 |
77% |
655 |
2,233 |
1972-73 |
77% |
699 |
2,406 |
1973-74 |
78% |
748 |
2,656 |
1974-75 |
79% |
800 |
2,955 |
1975-76 |
79% |
856 |
3,306 |
1976-77 |
80% |
919 |
3,661 |
1977-78 |
80% |
986 |
4,016 |
1978-79 |
80% |
1,057 |
4,287 |
1979-80 |
80% |
1,131 |
4,520 |
1980-81 |
80% |
1,211 |
4,793 |
1981-82 |
80% |
1,302 |
5,159 |
1982-83 |
80% |
1,406 |
5,538 |
1983-84 |
80% |
1,520 |
5,957 |
1984-85 |
80% |
1,639 |
6,416 |
1985-86 |
80% |
1,765 |
6,910 |
1986-87 |
80% |
1,896 |
7,447 |
1987-88 |
80% |
2,034 |
8,022 |
1988-89 |
80% |
2,177 |
8,636 |
1989-90 |
80% |
2,328 |
9,302 |
1990-91 |
79% |
2,489 |
9,590 |
1991-92 |
79% |
2,677 |
9,991 |
1992-93 |
78% |
2,862 |
10,415 |
1993-94 |
78% |
3,039 |
10,850 |
1994-95 |
78% |
3,207 |
11,287 |
1995-96 |
78% |
3,359 |
11,697 |
1996-97 |
78% |
3,496 |
12,086 |
1997-98 |
77% |
3,635 |
12,489 |
1998-99 |
77% |
3,772 |
12,885 |
1999-00 |
77% |
3,916 |
13,447 |
2000-01 |
77% |
4,065 |
13,958 |
2001-02 |
77% |
4,219 |
14,487 |
2002-03 |
77% |
4,381 |
15,043 |
TOTAL |
|
|
|
Note: D�butant le 1er avril 1991 La LPRS et le Compte de pension de retraite furent combin�s.
Secteur des pensions et des avantages sociaux
Source: Comptes publics du Canada - Secteur des pensions et des avantages sociaux
Historique des cotisations de l'employeur et de l'employ� au R�gime de pension de la Gendarmerie royale du Canada, 1949-1950 � 2002-2003
R�gime de pension de la GRC
|
Cotisations |
Cotisations |
Co�t de |
Frais |
|
$000,000 |
$000,000 |
$000,000 |
$000,000 |
|
|
|
|
|
1 | 2 | 3 | 4 | |
|
$ |
$ |
$ |
$ |
1949-50 |
0 |
0 |
0.0 |
|
1950-51 |
0 |
0 |
0.0 |
|
1951-52 |
0 |
1 |
0.0 |
|
1952-53 |
0 |
0 |
0.0 |
|
1953-54 |
0 |
1 |
0.0 |
|
1954-55 |
1 |
1 |
0.0 |
|
1955-56 |
1 |
1 |
0.0 |
|
1956-57 |
1 |
2 |
0.0 |
|
1957-58 |
1 |
2 |
0.0 |
|
1958-59 |
1 |
2 |
0.0 |
|
1959-60 |
1 |
1 |
0.0 |
|
1960-61 |
1 |
3 |
0.0 |
|
1961-62 |
2 |
2 |
0.0 |
|
1962-63 |
2 |
3 |
0.0 |
|
1963-64 |
2 |
3 |
6.3 |
|
1964-65 |
2 |
3 |
1.0 |
|
1965-66 |
2 |
4 |
1.0 |
|
1966-67 |
2 |
5 |
3.3 |
|
1967-68 |
3 |
4 |
5.3 |
|
1968-69 |
3 |
7 |
7.8 |
|
1969-70 |
4 |
7 |
9.6 |
|
1970-71 |
6 |
10 |
11.1 |
|
1971-72 |
7 |
12 |
7.9 |
|
1972-73 |
8 |
14 |
8.2 |
|
1973-74 |
9 |
16 |
6.9 |
0 |
1974-75 |
12 |
20 |
8.2 |
1 |
1975-76 |
15 |
24 |
11.0 |
1 |
1976-77 |
17 |
28 |
13.9 |
1 |
1977-78 |
20 |
32 |
15.0 |
1 |
1978-79 |
21 |
39 |
24.0 |
2 |
1979-80 |
23 |
43 |
15.1 |
2 |
1980-81 |
26 |
48 |
7.7 |
3 |
1981-82 |
32 |
57 |
1.1 |
3 |
1982-83 |
37 |
66 |
0.0 |
4 |
1983-84 |
40 |
71 |
0.0 |
5 |
1984-85 |
40 |
74 |
0.0 |
5 |
1985-86 |
41 |
75 |
0.0 |
6 |
1986-87 |
44 |
79 |
0.0 |
7 |
1987-88 |
48 |
89 |
0.0 |
8 |
1988-89 |
49 |
106 |
0.0 |
9 |
1989-90 |
52 |
79 |
0.0 |
10 |
1990-91 |
56 |
102 |
0.0 |
12 |
1991-92 |
60 |
105 |
|
|
1992-93 |
61 |
120 |
|
|
1993-94 |
60 |
126 |
|
|
1994-95 |
60 |
126 |
|
|
1995-96 |
57 |
119 |
|
|
1996-97 |
54 |
120 |
|
|
1997-98 |
54 |
126 |
|
|
1998-99 |
53 |
140 |
|
|
1999-00 |
54 |
159 |
|
|
2000-01 |
57 |
173 |
|
|
2001-02 |
62 |
182 |
|
|
2002-03 |
66 |
192 |
|
|
Total |
1,326 |
2,821 |
164 |
78 |
Appendice R (suite)
|
Total des |
Ratio des |
Ratio |
Part des |
|
$000,000 |
|
|
|
|
2+3+4 = 5 |
5 � 1 |
|
(5/(5�1) |
5 | 6 | 7 | 8 | |
|
$ |
|
|
|
1949-50 |
0 |
0.00 |
0.00 |
0% |
1950-51 |
0 |
0.00 |
0.00 |
0% |
1951-52 |
1 |
3.51 |
2.28 |
78% |
1952-53 |
0 |
1.24 |
1.79 |
55% |
1953-54 |
1 |
1.68 |
1.76 |
63% |
1954-55 |
1 |
1.38 |
1.64 |
58% |
1955-56 |
1 |
1.57 |
1.62 |
61% |
1956-57 |
2 |
2.54 |
1.83 |
72% |
1957-58 |
2 |
1.98 |
1.86 |
66% |
1958-59 |
2 |
1.83 |
1.85 |
65% |
1959-60 |
1 |
1.54 |
1.80 |
61% |
1960-61 |
3 |
2.32 |
1.90 |
70% |
1961-62 |
2 |
1.34 |
1.78 |
57% |
1962-63 |
3 |
1.51 |
1.74 |
60% |
1963-64 |
9 |
5.26 |
2.26 |
84% |
1964-65 |
4 |
2.00 |
2.22 |
67% |
1965-66 |
5 |
2.18 |
2.22 |
69% |
1966-67 |
8 |
3.64 |
2.38 |
78% |
1967-68 |
10 |
3.52 |
2.53 |
78% |
1968-69 |
14 |
4.25 |
2.76 |
81% |
1969-70 |
17 |
4.04 |
2.95 |
80% |
1970-71 |
21 |
3.64 |
3.06 |
78% |
1971-72 |
20 |
2.84 |
3.03 |
74% |
1972-73 |
22 |
2.71 |
2.97 |
73% |
1973-74 |
23 |
2.44 |
2.89 |
71% |
1974-75 |
28 |
2.40 |
2.81 |
71% |
1975-76 |
36 |
2.48 |
2.75 |
71% |
1976-77 |
43 |
2.57 |
2.72 |
72% |
1977-78 |
49 |
2.48 |
2.68 |
71% |
1978-79 |
65 |
3.02 |
2.73 |
75% |
1979-80 |
60 |
2.59 |
2.71 |
72% |
1980-81 |
58 |
2.18 |
2.64 |
69% |
1981-82 |
61 |
1.94 |
2.54 |
66% |
1982-83 |
70 |
1.90 |
2.45 |
65% |
1983-84 |
75 |
1.89 |
2.38 |
65% |
1984-85 |
79 |
1.97 |
2.33 |
66% |
1985-86 |
81 |
1.98 |
2.29 |
66% |
1986-87 |
86 |
1.97 |
2.26 |
66% |
1987-88 |
97 |
2.03 |
2.24 |
67% |
1988-89 |
115 |
2.36 |
2.25 |
70% |
1989-90 |
89 |
1.72 |
2.20 |
63% |
1990-91 |
114 |
2.04 |
2.19 |
67% |
1991-92 |
105 |
1.77 |
2.15 |
64% |
1992-93 |
120 |
1.96 |
2.13 |
66% |
1993-94 |
126 |
2.09 |
2.13 |
68% |
1994-95 |
126 |
2.11 |
2.13 |
68% |
1995-96 |
119 |
2.09 |
2.13 |
68% |
1996-97 |
120 |
2.21 |
2.13 |
69% |
1997-98 |
126 |
2.35 |
2.14 |
70% |
1998-99 |
140 |
2.66 |
2.17 |
73% |
1999-00 |
159 |
2.96 |
2.20 |
75% |
2000-01 |
173 |
3.04 |
2.24 |
75% |
2001-02 |
182 |
2.94 |
2.28 |
75% |
2002-03 |
192 |
2.91 |
2.31 |
74% |
Total |
3,064 |
|
|
|
Appendice R (suite)
|
Part |
Cotisations |
Cotisations |
|
|
$000,000 |
$000,000 |
|
|
|
|
9 | 1 | 2 | |
|
|
$ |
$ |
1949-50 |
0% |
0 |
0 |
1950-51 |
0% |
0 |
0 |
1951-52 |
70% |
0 |
1 |
1952-53 |
64% |
1 |
1 |
1953-54 |
64% |
1 |
2 |
1954-55 |
62% |
2 |
3 |
1955-56 |
62% |
2 |
4 |
1956-57 |
65% |
3 |
5 |
1957-58 |
65% |
4 |
7 |
1958-59 |
65% |
5 |
9 |
1959-60 |
64% |
6 |
10 |
1960-61 |
65% |
7 |
13 |
1961-62 |
64% |
9 |
15 |
1962-63 |
63% |
10 |
18 |
1963-64 |
69% |
12 |
27 |
1964-65 |
69% |
14 |
31 |
1965-66 |
69% |
16 |
36 |
1966-67 |
70% |
19 |
44 |
1967-68 |
72% |
21 |
54 |
1968-69 |
73% |
25 |
68 |
1969-70 |
75% |
29 |
85 |
1970-71 |
75% |
35 |
106 |
1971-72 |
75% |
41 |
125 |
1972-73 |
75% |
50 |
147 |
1973-74 |
74% |
59 |
170 |
1974-75 |
74% |
71 |
199 |
1975-76 |
73% |
85 |
235 |
1976-77 |
73% |
102 |
278 |
1977-78 |
73% |
122 |
327 |
1978-79 |
73% |
143 |
391 |
1979-80 |
73% |
166 |
451 |
1980-81 |
73% |
193 |
509 |
1981-82 |
72% |
224 |
570 |
1982-83 |
71% |
261 |
640 |
1983-84 |
70% |
301 |
715 |
1984-85 |
70% |
341 |
794 |
1985-86 |
70% |
382 |
875 |
1986-87 |
69% |
425 |
960 |
1987-88 |
69% |
473 |
1,057 |
1988-89 |
69% |
522 |
1,173 |
1989-90 |
69% |
573 |
1,262 |
1990-91 |
69% |
629 |
1,375 |
1991-92 |
68% |
689 |
1,481 |
1992-93 |
68% |
750 |
1,600 |
1993-94 |
68% |
810 |
1,726 |
1994-95 |
68% |
870 |
1,852 |
1995-96 |
68% |
927 |
1,972 |
1996-97 |
68% |
981 |
2,092 |
1997-98 |
68% |
1,035 |
2,218 |
1998-99 |
68% |
1,088 |
2,358 |
1999-00 |
69% |
1,141 |
2,517 |
2000-01 |
69% |
1,198 |
2,690 |
2001-02 |
69% |
1,260 |
2,872 |
2002-03 |
70% |
1,326 |
3,064 |
Total |
|
|
|
Source: Comptes publics du Canada et rapports annuels sur le CPRS
Secteur des pensions et avantages sociaux
Le 27 f�vrier 2004