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Depuis ma nomination à titre de directeur général des élections du Canada par la Chambre des communes en février 2007, j’ai l’honneur de diriger une équipe de professionnels voués à l’administration efficace de tous les aspects de la Loi électorale du Canada.
Des cycles électoraux imprévisibles et une vaste réforme législative permanente posent des défis de taille. Néanmoins, notre personnel travaille sans relâche afin qu’Élections Canada puisse continuer d’exercer son mandat avec équité, transparence et efficacité.
Pour relever ces défis, nous avons récemment adopté un plan stratégique quinquennal. Ce plan comprend trois objectifs stratégiques – Confiance, Accessibilité et Engagement – sur lesquels porteront nos efforts pour conserver la confiance des Canadiens dans le processus électoral et leur offrir des possibilités accrues de participer activement aux choix de leurs représentants. Le plan énonce aussi quatre facilitants clés : les ressources humaines, les technologies de l’information, la gouvernance et les communications. Ces éléments sont essentiels à la poursuite de notre mandat et de nos objectifs stratégiques.
En 2008-2009, nous entendons maintenir notre état de préparation aux scrutins dans un contexte de gouvernement minoritaire, entreprendre des activités régulatoires, soutenir le processus de réforme législative et mettre en œuvre notre nouveau plan stratégique. Nous accorderons également une attention particulière à deux facilitants clés : les technologies de l’information et les ressources humaines.
Comme tout le personnel d’Élections Canada, je me réjouis à la perspective de travailler avec les électeurs, les parlementaires, les partis politiques et d’autres intervenants en vue de renforcer le processus électoral, d’améliorer l’accès aux services électoraux pour les Canadiens et de consolider leur confiance dans notre cadre électoral.
__________________________________
Marc Mayrand
Directeur général des élections du Canada
Je soumets, aux fins de dépôt au Parlement, le Rapport sur les plans et les priorités 2008-2009 du Bureau du directeur général des élections.
Le présent document a été préparé conformément aux principes de présentation des rapports énoncés dans le Guide de préparation de la Partie III du Budget des dépenses 2008-2009 – Rapports sur les plans et les priorités et Rapports ministériels sur le rendement :
__________________________________
Marc Mayrand
Directeur général des élections du Canada
Le Bureau du directeur général des élections, communément appelé Élections Canada, est une institution indépendante et non partisane établie par le Parlement. Son mandat consiste à :
Dans le cadre de son mandat, l’organisme veille à ce que tous les électeurs aient accès au processus électoral, informe les citoyens grâce à des programmes éducatifs sur le système électoral, tient à jour le Registre national des électeurs, veille au respect de la loi électorale et assure l’application de la législation, et se tient prêt, en tout temps, à conduire un scrutin.
Élections Canada doit aussi nommer, former et soutenir 308 directeurs du scrutin partout au Canada, de même que les fonctionnaires électoraux et le personnel électoral temporaire à Ottawa. En outre, il élabore et tient à jour l’information relative à la géographie électorale, qui sert à produire les cartes et les autres produits géographiques utilisés en période électorale.
L’organisme est également responsable de ce qui suit :
De plus, Élections Canada recommande au Parlement des modifications à la Loi électorale du Canada visant à en assurer une meilleure administration. Pour ce faire, il produit des rapports statutaires du directeur général des élections à la suite d’un scrutin et offre des conseils éclairés lorsque le Parlement se penche sur la réforme électorale.
Veiller à ce que les Canadiens puissent exercer leurs droits démocratiques de voter et de se porter candidat.
Un cadre électoral accessible que les Canadiens utilisent avec confiance.
Élections Canada est dirigé par le directeur général des élections, qui est nommé par résolution de la Chambre des communes. Relevant directement du Parlement, le directeur général des élections est indépendant du gouvernement fédéral et des partis politiques.
Le directeur général des élections est habilité par la Loi électorale du Canada à nommer :
Sous l’autorité générale du directeur général des élections, les titulaires de ces fonctions exercent leurs activités dans le cadre énoncé par la Loi. Celle-ci habilite également le directeur général des élections à donner aux directeurs du scrutin les instructions nécessaires à l’administration de la Loi.
Élections Canada a également à son service 30 agents de liaison en région. Ceux-ci soutiennent les activités des directeurs du scrutin en région à titre de leaders fonctionnels, de promoteurs de la qualité et de personnes-ressources en cas de problème.
La figure ci-dessous montre la structure hiérarchique de l’organisme.
Directeur général des élections (DGE). Élections Canada est sous la direction et la responsabilité du DGE. Celui-ci assure le leadership au plan de la gouvernance interne et externe et veille à ce que tous demeurent au fait des besoins, des préoccupations et des problèmes des intervenants.
Aujourd’hui, le mandat du directeur général des élections consiste à :
Sous-directrice générale des élections, première conseillère juridique et affaires régulatoires (SDGE). Le directeur général des élections est secondé par la sous-directrice générale des élections et première conseillère juridique. Conformément à la législation électorale, la SDGE dirige les activités, les programmes et les politiques régulatoires d’Élections Canada et rend compte de cette gestion.
Le directeur général des élections est appuyé par quatre comités supérieurs :
En sa qualité d’organisme indépendant relevant du Parlement, le Bureau du directeur général des élections est financé par un crédit annuel qui couvre les salaires des employés permanents à temps plein, et par l’autorisation législative prévue par la Loi électorale du Canada, la Loi référendaire et la Loi sur la révision des limites des circonscriptions électorales. L’autorité législative couvre toutes les autres dépenses, y compris les coûts relatifs aux scrutins, à la mise à jour du Registre national des électeurs, aux allocations trimestrielles versées aux partis politiques enregistrés qui y ont droit, au redécoupage des circonscriptions et aux programmes permanents d’éducation et d’information du public. Le salaire du directeur général des élections et les contributions aux régimes d’avantages sociaux des employés relèvent aussi de l’autorisation législative.
L’autorisation législative fait en sorte qu’Élections Canada est en mesure, en tout temps, de tenir un scrutin. Elle atteste également de l’indépendance d’Élections Canada par rapport au gouvernement et à l’ingérence des partis politiques, élément essentiel à la préservation de l’intégrité du processus démocratique au Canada.
Poste voté ou législatif |
Libellé tronqué pour le poste voté ou législatif |
2008-2009 |
Budget précédent (en milliers de dollars) |
15 |
Dépenses de programme |
22 062 |
21 766 |
(L) |
Salaire du directeur général des élections |
260 |
231 |
(L) |
Dépenses d’élection |
84 318 |
78 398 |
(L) |
Contributions aux avantages sociaux des employés |
3 861 |
4 027 |
|
Total pour l’organisme |
110 501 |
104 422 |
(en milliers de dollars) |
Prévisions des dépenses |
Dépenses prévues |
Dépenses prévues |
Dépenses prévues |
Activité de programme : Élections |
104 422 |
110 501 |
110 501 |
110 501 |
Budgétaire du Budget principal des dépenses (brut) |
104 422 |
110 501 |
110 501 |
110 501 |
|
|
|
|
|
Moins : Revenus disponibles |
– |
– |
– |
– |
Total du Budget principal des dépenses |
104 422 |
110 501 |
110 501 |
110 501 |
Rajustements |
– |
– |
– |
– |
Budget supplémentaire des dépenses |
21 125 |
– |
– |
– |
Autre |
– |
– |
– |
– |
Total des rajustements |
21 125 |
– |
– |
– |
Total des dépenses prévues |
125 547 |
110 501 |
110 501 |
110 501 |
|
|
|
|
|
Total des dépenses prévues |
125 547 |
110 501 |
110 501 |
110 501 |
Moins : Revenus non disponibles |
– |
– |
– |
– |
Plus : Coût des services reçus à titre gracieux |
6 369 |
7 077 |
7 104 |
7 132 |
Total des dépenses de l’organisme |
131 916 |
117 578 |
117 605 |
117 633 |
|
|
|
|
|
Équivalents temps plein** |
408 |
388 |
388 |
388 |
* Les dépenses prévues aux exercices postérieurs à 2008-2009 reflètent les dépenses législatives que l’organisme pourrait engager au cours de l’année en application de la Loi électorale du Canada, de la Loi référendaire et de la Loi sur la révision des limites des circonscriptions électorales. Ces fonds et les fonds
supplémentaires nécessaires à la réalisation des responsabilités conférées à l’organisme par la législation seront obtenus au besoin conformément à l’autorisation législative.
** Comprend les employés nommés pour une période déterminée et indéterminée.
Ressources financières (en milliers de dollars) |
||
2008-2009 |
2009-2010 |
2010-2011 |
110 501 |
110 501 |
110 501 |
|
||
Ressources humaines (équivalents temps plein) |
||
2008-2009 |
2009-2010 |
2010-2011 |
388 |
388 |
388 |
Élections Canada a quatre priorités liées à son mandat. Elles ont trait aux bénéfices durables que nous offrons aux Canadiens. Outre ces priorités prescrites par son mandat, l’organisme compte trois objectifs stratégiques. Énoncés dans le Plan stratégique 2008-2013, ceux-ci ont trait aux changements souhaités par l’organisme pour mieux s’acquitter de son mandat.
Priorités prescrites par le mandat d’Élections Canada |
Type |
1. Conduite des scrutins, financement politique, et conformité et application de la Loi |
Permanente |
2. Préparation aux scrutins et améliorations |
Permanente |
3. Éducation et information du public, et soutien aux intervenants |
Permanente |
4. Redécoupage des circonscriptions (requis tous les 10 ans) |
Permanente |
Objectifs stratégiques |
|
5. Confiance |
Nouveau |
6. Accessibilité |
Nouveau |
7. Engagement
|
Nouveau |
L’organisme s’appuie également sur quatre « facilitants » essentiels à la poursuite de ses priorités : les ressources humaines, les technologies de l’information, la gouvernance et les communications. Élections Canada est résolu à ce que ces fonctions aient les ressources nécessaires à l’accomplissement de leur rôle stratégique dans le cadre de nos opérations.
Le tableau ci-dessous résume les quatre programmes clés d’Élections Canada (priorités prescrites par son mandat) à l’appui du résultat stratégique visé.
Priorité prescrite par le mandat d’Élections Canada |
Résultats escomptés |
Dépenses prévues |
||
2008-2009 |
2009-2010 |
2010-2011 |
||
1. Conduite des scrutins, financement politique, et observation et application de la Loi |
|
36 245 $ |
36 245 $ |
36 245 $ |
2. Préparation aux scrutins et améliorations |
|
62 799 |
62 799 |
62 799 |
3. Éducation et information du public, et soutien aux intervenants |
|
11 457 |
11 457 |
11 457 |
4. Redécoupage des circonscriptions |
|
– |
– |
– |
La réalisation du résultat stratégique est facilitée par des activités et des initiatives précises entreprises dans chacun des domaines ci-dessus.
Pour 2008-2009, les plans et les priorités d’Élections Canada reposent sur les quatre grandes priorités prescrites par son mandat et dans le Plan stratégique 2008-2013.
Ces plans et priorités sont également motivés par les initiatives législatives du Parlement et par les impératifs de la tenue d’une élection générale ou partielle ou d’un référendum fédéral. Quoi qu’il en soit, l’organisme doit toujours viser une prestation améliorée de services de qualité qu’il offre aux Canadiens.
À l’automne 2007, Élections Canada a mis la dernière main à un plan stratégique pour guider ses activités jusqu’en 2013. Ce plan a pour raison d’être :
Le plan stratégique énonce quatre éléments facilitants qui favoriseront l’atteinte de nos objectifs stratégiques : les ressources humaines, les technologies de l’information, la gouvernance et les communications. Chacun de ces éléments sera au cœur de plans d’action à long terme, plans dont la mise en œuvre sera l’une de nos grandes priorités en 2008-2009.
À Élections Canada, nous devons en tout temps être prêts à conduire un scrutin, qu’il s’agisse d’une élection générale, d’une élection partielle ou d’un référendum. Parallèlement, nous nous efforçons d’améliorer l’administration du processus électoral. Les changements législatifs qu’étudie le Parlement influent aussi sur notre planification. Pour bon nombre des projets de loi à l’étude, le directeur général des élections est appelé à comparaître au comité concerné de la Chambre des communes ou du Sénat. Élections Canada prépare alors une analyse des changements proposés et en planifie la mise en œuvre en cas d’adoption.
Récemment, des modifications législatives importantes ont été adoptées par le Parlement ou ont été soumises à l’attention de la Chambre ou du Sénat. Ces mesures, édictées ou proposées, auront des répercussions sur le processus électoral actuel et l’administration des scrutins. Nous continuerons donc à suivre l’incidence des projets de loi édictés sur le processus électoral, à tenir informé le Comité consultatif des partis politiques, à faire rapport au Parlement et à d’autres intervenants, et à formuler les recommandations qui s’imposent pour renforcer et faciliter le processus électoral.
Lois récemment édictées ayant une incidence sur nos activités |
Projet de loi C-2, Loi fédérale sur la responsabilité (L.C. 2006, ch. 9) |
Projet de loi C-16, Loi modifiant la Loi électorale du Canada (L.C. 2007, ch. 10) |
Projet de loi C-31, Loi modifiant la Loi électorale du Canada et la Loi sur l’emploi dans la fonction publique (L.C. 2007, ch. 21) |
Projet de loi C-18, Loi modifiant la Loi électorale du Canada (vérification de résidence) (L.C. 2007, ch. 37) |
Projets de loi émanant du gouvernement à l’étude au Parlement et pouvant avoir une incidence sur nos activités |
Projet de loi C-6, Loi modifiant la Loi électorale du Canada (identification visuelle des électeurs) |
Projet de loi C-16, Loi modifiant la Loi électorale du Canada (possibilités de vote accrues) et la Loi référendaire en conséquence (modifié par le Comité permanent de la procédure et des affaires de la Chambre) |
Projet de loi C-20, Loi prévoyant la consultation des électeurs en ce qui touche leurs choix concernant la nomination des sénateurs |
Projet de loi C-22, Loi modifiant la Loi constitutionnelle de 1867 (représentation démocratique) |
Projet de loi C-29, Loi modifiant la Loi électorale du Canada (responsabilité en matière de prêts) Ce projet de loi modifierait la Loi électorale du Canada en ce qui concerne les prêts et les cautionnements consentis aux partis enregistrés, associations enregistrées, candidats, candidats à la direction et candidats à l’investiture. |
Projets de loi émanant des députés à l’étude au Parlement et pouvant avoir une incidence sur nos activités |
Projet de loi C-203, Loi modifiant la Loi électorale du Canada (service de téléphonie, de télécopie et d’Internet des bureaux de campagne électorale) |
Projet de loi C-318, Loi prévoyant l’examen, par un comité de la Chambre des communes, de la représentation proportionnelle pour les élections fédérales |
Projet de loi C-329, Loi modifiant la Loi référendaire (réforme du système électoral du Canada) |
Projet de loi C-341, Loi modifiant la Loi électorale du Canada (personnes à charge des militaires) |
Projet de loi C-353, Loi modifiant la Loi électorale du Canada (date des élections générales) |
Projet de loi C-419, Loi modifiant la Loi électorale du Canada (sous-titrage codé) |
Projet de loi C-465, Loi modifiant la Loi électorale du Canada (identité des électeurs) |
De plus, 10 projets de loi ont été déposés au Parlement pour modifier le nom de certaines circonscriptions.
Lors de la planification et de la conduite de scrutins, Élections Canada doit tenir compte de certaines décisions et poursuites judiciaires pouvant influer sur la législation électorale.
Décision récente |
Longley c. Canada (procureur général) Le 27 juin 2007, la Cour d’appel de l’Ontario a entendu la cause et rendu sa décision le 6 décembre 2007. Elle a admis l’appel du gouvernement, estimant constitutionnels les seuils fixés par la Loi. De plus, elle a conclu que les partis politiques mis en cause n’avaient pas la qualité requise pour exercer le recours. Une requête en autorisation d’appel devant la Cour suprême du Canada a été présentée le 1er février 2008. |
Poursuites judiciaires en cours |
Sa Tan c. Sa Majesté la Reine |
Rose Henry et autres c. Canada (procureur général) |
Jusqu’à récemment, dans le système parlementaire du Canada, la période entre les élections générales fédérales n’était pas préétablie¹. Le 3 mai 2007, le projet de loi C-16, Loi modifiant la Loi électorale du Canada, a reçu la sanction royale. Dorénavant, sauf dissolution anticipée du Parlement, des élections générales doivent avoir lieu le troisième lundi d’octobre, et ce, tous les quatre ans. En dépit de cette nouvelle disposition, la durée du cycle d’activités d’Élections Canada demeure variable en situation de gouvernement minoritaire. L’incertitude qui en résulte complique la planification puisque nous devons continuellement suivre les événements et les tendances parlementaires et politiques pour faire face aux impondérables qui pourraient nuire à nos préparatifs pour les scrutins.
Le maintien d’un état de préparation élevé et constant impose son lot de difficultés. En plus, l’élection successive de gouvernements minoritaires, une charge de travail plus lourde résultant de la tenue rapprochée d’élections générales, la récente et vaste réforme électorale et d’autres modifications importantes proposées au processus électoral viennent ajouter aux pressions.
Jusqu’à présent, Élections Canada a réagi à ces exigences accrues en employant du personnel temporaire et contractuel et en exigeant davantage de son personnel permanent. Pour l’heure, ces mesures constituent une solution à court terme. Elles ne seront toutefois pas viables si la situation perdure. Déjà, Élections Canada peine à attirer des employés, à les maintenir en poste et à leur accorder suffisamment de temps de formation. Le taux de roulement élevé chez les titulaires de postes clés est également préoccupant. Ces réalités limitent notre capacité d’entreprendre d’autres travaux résultant de scrutins ou des réformes électorales supplémentaires.
C’est pourquoi nous cherchons des façons d’accroître notre capacité organisationnelle, en particulier dans les domaines où nous devons compter sur des employés temporaires ou des entrepreneurs, afin de pouvoir offrir aux entités politiques des services adaptés à leurs besoins, de continuer à respecter les échéances législatives et de faire appliquer la Loi lorsqu’il le faut.
Des investissements sont désormais nécessaires pour renouveler notre infrastructure technologique, que nous avons tardé à remplacer pour maintenir notre état de préparation aux scrutins en situation de gouvernement minoritaire. Notre infrastructure de la TI actuelle a atteint sa capacité maximale et ne peut être améliorée davantage en dépit des nouveaux besoins. Cette lacune se répercute sur tous les aspects de l’environnement de la TI. Pour écarter le risque, nous avons mis à exécution un projet de renouvellement de la TI qui, d’ici quelques années, nous permettra de remplacer notre infrastructure par un système mieux adapté à nos besoins. Ce projet a pour but :
Le renouvellement rapide de l’infrastructure de la TI est également essentiel au maintien de notre capacité organisationnelle et de notre aptitude à satisfaire aux demandes de service de nos employés, de la population canadienne, du Parlement et des autres intervenants.