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Les organismes qui composent le portefeuille de Patrimoine canadien œuvrent pour que les Canadiennes et Canadiens puissent prendre part à la vie de la société et réaliser leur
plein potentiel. À titre d’organisme du portefeuille, Condition féminine Canada poursuit ces objectifs.
Conscient des rôles importants que jouent les femmes au Canada, ainsi que de la nécessité d’ouvrir à celles-ci des débouchés dans tous les secteurs où s’investit le gouvernement fédéral, le Premier ministre a créé un poste de ministre d’État distinct pour la Condition féminine. J’ai l’honneur d’avoir été choisie pour occuper ce poste clé au nom des Canadiennes et des Canadiens.
Le Canada a réalisé des progrès marqués au chapitre de la participation des femmes à la vie de notre pays. Les femmes ont fait des progrès à plusieurs niveaux, notamment dans les études supérieures, la participation au marché du travail, le revenu et la représentation politique.
De par leur présence accrue sur le marché du travail, les femmes contribuent largement à l’économie canadienne. Le secteur des affaires n’est pas en reste, puisque les femmes sont aussi bien représentées parmi les chefs de petites et moyennes entreprises. L’apport économique des femmes est crucial pour le Canada, qui doit déjà composer avec les effets du vieillissement de la population et des pénuries de main-d’œuvre, lesquels touchent particulièrement les secteurs qui emploient des gens de métier et de la main-d’œuvre intellectuelle. Les femmes ont d’ailleurs de plus en plus de poids dans ces secteurs.
Le cabinet actuel compte onze femmes, un nombre sans précédent.
Néanmoins, un fossé persiste entre les sexes dans des domaines cleacute;s. Il nous faut continuer de promouvoir la participation pleine et active des femmes à toutes les facettes de la vie canadienne.
Les familles canadiennes, qui incluent naturellement les femmes, ressentent les effets de la présente crise financière, d’envergure mondiale. Pour se sortir de cette période de turbulence, le Canada devra pouvoir compter plus que jamais sur la contribution de toute sa population et donc sur la pleine participation des femmes.
En 2009–2010, Condition féminine Canada jettera les bases d’un plan d’action fédéral pour les femmes, par lequel il concrétisera son orientation stratégique fondée sur le partenariat intersectoriel. Avec les autres ordres de gouvernement, la société civile, des têtes pensantes du secteur privé et les femmes elles-mêmes, l’organisme travaillera ainsi à créer les conditions nécessaires au succès des femmes. Son orientation stratégique repose sur trois pilers :
Je vous invite donc à lire le Rapport sur les plans et les priorités de 2009–2010 préparé par Condition féminine Canada. Ce rapport fait état de l’engagement de Condition féminine Canada à faire en sorte que progresse l’égalité entre les sexes et que s’améliore la participation des femmes à la vie économique et sociale de notre pays, afin que le Canada puisse profiter de l’apport de tous les membres de la société, les femmes comme les hommes.
L’honorable Helena Guergis
Ministre d’État (Condition féminine)
En 1976, le gouvernement du Canada a créé le Bureau de la coordonnatrice, Condition féminine, dont le mandat était « de coordonner les politiques relatives à la situation de la femme et d’administrer les programmes qui s’y rapportent » (Décret 1976-779).
Condition féminine Canada (CFC) est le principal organisme fédéral ayant le mandat d’améliorer la situation des femmes. Il remplit son mandat en collaborant avec un vaste éventail de partenaires, tels que des ministères et les organismes fédéraux, les gouvernements provinciaux et territoriaux, des organismes non gouvernementaux et le secteur privé. Ce faisant, l’organisme poursuit un résultat durable pour les Canadiennes et Canadiens, soit l’égalité pour les femmes et leur pleine participation à la vie économique, sociale et démocratique du Canada. CFC fonde la poursuite de ce résultat stratégique sur son architecture des activités de programme, qui guide l’affectation et la gestion de ses ressources, l’exécution de ses deux activités de programme et la production des résultats attendus à long terme.
La première activité de programme – l’élaboration, la planification et l’analyse des politiques stratégiques – vise la formation et la conception d’outils, l’analyse et l’élaboration de politiques et la prestation de conseils et d’aide aux ministères et aux organismes fédéraux. Elle contribue à l’un des résultats du gouvernement du Canada : les affaires gouvernementales. (http://www.tbs-sct.gc.ca/pubs_pol/dcgpubs/mrrswebsite )
La seconde activité de programme – la participation des femmes à la société canadienne – est mise en œuvre par deux sous-activités : le soutien au renforcement de l’autonomie des femmes et la création de partenariats stratégiques. Elle contribue au résultat du gouvernement du Canada : affaires économiques (sécurité du revenu et emploi pour les Canadiennes et Canadiens).
Le Comité exécutif de CFC, qui est le principal organe décisionnel de l’organisme, est composé de la coordonnatrice, de la coordonnatrice déléguée et des membres de la haute direction (c’est-à-dire les directrices générales des Politiques, du Programme de promotion de la femme et des Communications et de la planification stratégique, de la directrice des Services intégrés, de la chef des Services ministériels, de la vérification et de l’évaluation, ainsi que de la conseillère principale, Prospérité économique des femmes). Le Comité exécutif est appuyé par des comités consultatifs et des comités opérationnels qui exécutent diverses tâches.
L’administration centrale de CFC est située dans la région de la capitale nationale. CFC compte quatre bureaux régionaux : un à Montréal (qui dessert le Québec et le Nunavut), un à Moncton (qui dessert le Nouveau-Brunswick, l’Île-du-Prince-Édouard, la Nouvelle-Écosse, et Terre-Neuve-et-Labrador), un à Edmonton (qui dessert l’Alberta, le Manitoba, la Saskatchewan, la Colombie-Britannique, les Territoires du Nord-Ouest et le Yukon) et, enfin, un dans la région de la capitale nationale (qui dessert l’Ontario et les organismes nationaux).
Résultat stratégique : L’égalité pour les femmes et leur pleine participation à la vie économique, sociale et démocratique du Canada |
Le tableau ci-dessous illustre l’architecture des activités de programme (AAP) que le Conseil du Trésor a approuvée pour CFC, telle qu’elle apparaît dans le Budget principal des dépenses de 2009–2010.
L’AAP est l’instrument sur lequel CFC base l’affectation et la gestion de ses ressources, afin d’atteindre les résultats attendus; il se fonde aussi sur elle pour rendre compte des résultats dans le Budget des dépenses et les Comptes publics. L’AAP énonce le résultat stratégique de CFC : l’égalité pour les femmes et leur pleine participation à la vie économique, sociale et démocratique du Canada. Comme l’indique sa Structure de gestion des ressources et des résultats, CFC poursuit ce résultat à long terme au moyen de deux activités de programme : 1) l’élaboration, la planification et l’analyse des politiques stratégiques et 2) la participation des femmes à la société canadienne. Les résultats tirés de ces activités de programme montrent dans quelle mesure CFC parvient à influencer son résultat stratégique et servent d’indicateurs de progrès.
En 2008, le Conseil du Trésor a approuvé l’AAP révisée de CFC, laquelle entrera en vigueur en 2009–2010. La nouvelle AAP aura une incidence sur le Budget des dépenses et les Comptes publics à compter du prochain exercice et établira des niveaux de référence pour 2009–2010 et les exercices subséquents.
Le libellé des deux activités de programme a aussi été modifié afin de correspondre à la Structure de gestion des ressources et des résultats de l’organisme.
Les tableaux ci-dessous présentent un sommaire des dépenses et des ressources humaines prévues pour les trois prochains exercices.
2009–2010 | 2010–2011 | 2011–2012 |
---|---|---|
31,4 | 30,4 | 29,4 |
2009–2010 | 2010–2011 | 2011–2012 |
---|---|---|
94 | 94 | 94 |
Résultat stratégique : L’égalité pour les femmes et leur pleine participation à la vie économique, sociale et démocratique du Canada | |
Indicateurs de rendement | Cibles |
---|---|
Postes de décision supérieurs détenus par les femmes dans les secteurs public et privé | Augmentation de 1% par année |
Représentation des femmes sur le marché du travail, y compris leur accès aux programmes et aux services de soutien à l’entrepreneuriat | Augmentation de 1% par année |
Participation des femmes aux processus et aux systèmes politiques locaux, provinciaux et fédéraux | Augmentation de 1% par année |
Activité de programme | |||||
---|---|---|---|---|---|
Prévision | Dépenses prévues | Concor- | |||
de | (en millions de dollars) | dance | |||
dépenses | 2009–2010 | 2010–2011 | 2011–2012 | avec les | |
(en millions | résultats | ||||
de dollars) | du | ||||
gouver- | |||||
nement | |||||
du | |||||
Canada | |||||
1.1 Élaboration, planification et analyse des politiques stratégiques | |||||
1,7 | 1,7 | 1,7 | 1,7 | Affaires gouverne-mentales | |
1.2 Participation des femmes à la société canadienne | |||||
27,8 | 25,9 | 24,9 | 23,9 | Sécurité du revenu et de l’emploi pour les Canadiennes et Canadiens | |
1.3 Services internesa | |||||
3,5 | 3,8 | 3,8 | 3,8 | ||
Total des dépenses prévues | |||||
33,0 | 31,4 | 30,4 | 29,4 | ||
a Le Budget de 2007 prévoyait un financement additionnel de 10 millions de dollars par année pour CFC, à titre de mesure proactive, afin de permettre à l’organisme de produire des résultats concrets dans des domaines clés, tels que la lutte contre la violence envers les femmes et les filles et l’amélioration de la sécurité économique des femmes. |
Priorités en matière de gestion |
Catégorie | Liens avec le résultat stratégique |
Description |
---|---|---|---|
Élaborer un plan d’action visant à promouvoir l’égalité pour les femmes, en harmonie avec les trois objectifs stratégiques de CFC | Nouvelle | L’égalité pour les femmes et leur pleine participation à la vie économique, sociale et démocratique du Canada | Le plan d’action prévoit une gamme d’initiatives qui sont conformes aux objectifs stratégiques de CFC. |
Continuer à investir dans des projets visant la sécurité et la prospérité économiques des femmes, la sécurité personnelle des femmes (prévention de la violence envers elles) et la place des femmes dans des postes de responsabilité et de décision. | Déjà engagée | L’égalité pour les femmes et leur pleine participation à la vie économique, sociale et démocratique du Canada | Cette priorité sera mise en œuvre au moyen des approches suivantes : Investissements stratégiques : CFC établira des priorités de financement afin d’investir de manière stratégique dans les domaines où les besoins se font le plus sentir et dans lesquels on a les meilleures chances de produire des résultats. CFC nouera de nouveaux partenariats et renforcera les partenariats existants avec des organismes publics, privés ou sans but lucratif afin que ceux-ci puissent contribuer au progrès de l’égalité pour les femmes et de leur pleine participation à la vie économique et sociale du Canada. Aide technique : CFC offrira des séances d’information et de formation aux organismes requérants afin de les aider à élaborer des propositions de qualité supérieure, d’assurer l’harmonisation de ces propositions avec ses orientations et d’atteindre les résultats attendus. CFC favorisera également le réseautage des groupes ayant des objectifs communs et aidera les organismes à travailler plus efficacement. Renforcement de la gestion et de la responsabilité du programme : CFC continuera à rationaliser la gestion du Programme de promotion de la femme et de promouvoir la responsabilité par une surveillance active des projets. Afin de renforcer sa capacité dans ce domaine, l’organisme a accepté de siéger au comité que dirige le SCT concernant la réforme des programmes fédéraux de subvention et contribution et du plan d’action connexe. |
Élaborer et mettre en œuvre un profil de risque organisationnel | Nouvelle | L’égalité pour les femmes et leur pleine participation à la vie économique, sociale et démocratique du Canada | Le profil que CFC a commencé à élaborer lui permettra d’utiliser des pratiques de gestion du risque qui sont cohérentes, systématiques et intégrées. Il facilitera la gestion intégrée et continue des risques à CFC. |
Poursuivre l’élaboration du Cadre des valeurs et de l’éthique | Déjà engagée | CFC poursuivra l’élaboration de son Cadre des valeurs et de l’éthique. | |
Améliorer les aspects qui ont été signalés par l’évaluation du Cadre de responsabilisation de la gestion | Nouvelle | L’égalité pour les femmes et leur pleine participation à la vie économique, sociale et démocratique du Canada | Dans le but de promouvoir l’excellence en gestion au sein de l’organisme, la direction donnera suite à l’évaluation, c’est-à-dire qu’elle s’attachera à cerner les domaines à améliorer. |
Avant d’établir ses plans et priorités pour l’exercice 2009–2010, CFC a examiné son contexte de planification ainsi que son environnement opérationnel, afin de cerner les possibilités et les risques potentiels, puis d’élaborer des stratégies d’atténuation efficaces.
La situation des femmes s’est améliorée dans son ensemble, mais il subsiste des inégalités entre les sexes. C’est dans ce contexte que CFC remplit son mandat. Diverses enquêtes, notamment la cinquième édition de Femmes au Canada (2006), indiquent que les femmes ont fait des gains sur plusieurs fronts, dont les études1, la représentation sur le marché du travail2 et le revenu3. Le rendement économique de ces gains pourrait être considérable.
Malgré ces progrès, il subsiste des écarts, socioéconomiques et autres, entre les femmes et les hommes. Par exemple, les femmes continuent de gagner moins que les hommes, toutes les catégories d’emplois confondues. En 2007, elles ont gagné 84 ¢ pour chaque dollar gagné par les hommes à l’heure.4 Dans certains cas, l’écart est encore plus grand et plus persistant. Par exemple, un nombre disproportionné de femmes autochtones, d’immigrantes, de femmes âgées et de femmes handicapées vivent sous le seuil de la pauvreté au Canada.
De plus, les écarts persistent en ce qui concerne le pouvoir et la prise de décisions5. Les femmes représentent seulement 4,2 p. 100 des chefs d’entreprise, 7,3 p. 100 des cadres supérieurs et 12 p. 100 des membres de conseils d’administration. Dans les grandes entreprises canadiennes, 75 p. 100 des conseils d’administration sont entièrement masculins; les hommes représentent 94 p. 100 des cadres les mieux rémunérés et ils assument la direction générale de 97 des 100 premières sociétés cotées en bourse.
Dans le secteur public fédéral, les femmes n’occupent environ que 22,4 p. 100 des sièges à la Chambre des communes, 34 p. 100 des sièges au Sénat, 41 p. 100 des postes de sous-ministres et 30 p. 100 des postes de juges. Elles ont aussi obtenu 33 p. 100 des nominations par décret entre 2004 et 2007. Cette sous-représentation pose un défi considérable aux institutions canadiennes qui doivent élaborer des politiques, instaurer des programmes et fournir des services qui répondent aux besoins de l’ensemble de la population.
Un nombre disproportionné de Canadiennes doivent en outre composer avec la violence6. Les femmes et les filles comptent encore pour la majorité des victimes de violence familiale et de crimes violents, notamment les homicides conjugaux et le harcèlement criminel. Ce sont les femmes autochtones qui connaissent le plus haut taux de violence, dont la violence à caractère racial et sexuel.
En 2009–2010, après avoir achevé les principaux volets de sa transformation organisationnelle, CFC portera son regard vers l’avenir et entreprendra de consolider les acquis pour les femmes du Canada dans les domaines prioritaires. Parmi les résultats atteints grâce à la transformation, on note : une responsabilisation accrue en matière d’égalité entre les sexes; l’implantation de meilleurs outils pour satisfaire aux exigences de la Loi fédérale sur la responsabilité; un élargissement de la portée du programme; une plus grande capacité partenariale, laquelle permet de mettre à profit d’autres ressources; ainsi qu’une nouvelle orientation stratégique, pleinement en harmonie avec les priorités gouvernementales. Ces résultats ouvrent de nouvelles perspectives d’amélioration du rendement organisationnel, renforcent les résultats attendus de CFC et le rapprochent un peu plus de son résultat stratégique. Les leçons tirées de la période de transition serviront également à combler les lacunes qui ont une incidence sur la réalisation du mandat de CFC.
Dans son budget de 2008, le gouvernement a annoncé « un plan d’action visant à faire progresser l’égalité des [sic] femmes au Canada ». Il a ainsi confirmé sa volonté de faire de la pleine participation des femmes une réalité. À l’appui de ce plan, CFC a déjà noué des partenariats stratégiques qui favoriseront la sécurité et la prospérité économiques des femmes, l’élimination de la violence envers elles, ainsi que la participation des femmes et des filles au leadership dans tous les lieux de pouvoir.
La nomination d’une ministre d’État chargée exclusivement de la Condition féminine représente une occasion unique pour CFC. Grâce à ce poste, l’organisme disposera non seulement d’une visibilité accrue, mais aussi d’une voix plus forte pour faire valoir les besoins des femmes et assurer que le programme du gouvernement y fasse une juste place. Un poste entièrement consacré à la condition féminine offre de plus grandes possibilités de collaboration avec les partenaires fédéraux, provinciaux et territoriaux. Il devrait surtout assurer que les enjeux touchant les femmes reçoivent une attention accrue dans les processus décisionnels.
Le Comité permanent de la condition féminine du Parlement demeurera, pour CFC, un espace de dialogue soutenu sur l’égalité entre les sexes. Ce dialogue est important puisqu’il renseigne non seulement le gouvernement sur les enjeux de l’heure, mais il favorise aussi l’action gouvernementale à l’égard des obstacles qui entravent la pleine participation des femmes à la société canadienne.
L’évaluation des risques et la mise en œuvre de stratégies d’atténuation des risques font partie des pratiques courantes dans l’organisme, bien qu’elles ne soient pas structurées. Les cadres de CFC veillent en outre à ce que la gestion des risques fasse partie intégrante de la prise de décisions dans l’organisme. CFC a d’ailleurs entrepris l’élaboration d’un profil de risque organisationnel, suivant le processus d’évaluation par étape ci-dessous :
Le tableau ci-dessous indique les ressources approuvées par le Parlement pour le Bureau de la coordonnatrice de la situation de la femme (CFC).
Postes votés et postes législatifs figurant au Budget principal des dépenses (en millions de dollars) |
|||
---|---|---|---|
Poste | Libellé tronqué | ||
voté ou | du poste voté | Budget principal des dépenses | |
législatif | ou législatif | 2008–2009 | 2009–2010 |
85 | Dépenses de fonctionnement | 7,5 | 8,6 |
90 | Subventions et contributions | 16,3 | 19,9 |
(L) | Contributions aux régimes d’avantages sociaux des employés | 1,0 | 1,1 |
Total | 24,8 | 29,6 |
Le Budget de 2007 prévoyait un financement additionnel pour CFC, à titre de mesure proactive, pour lui permettre de produire des résultats concrets dans des domaines clés tels que la lutte contre la violence faite aux femmes et aux filles et l’amélioration de la sécurité économique des femmes. Les chiffres ci-dessus n’incluent pas les reports et les montants
additionnels, ni le budget du bureau de la ministre d’État (Condition féminine), qui devraient figurer au budget supplémentaire des dépenses.