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Renseignements supplémentaires (Tableaux)
Activité de programme |
Chiffres réels 2007-2008 |
Chiffres réels 2008-2009 |
2009-2010 | |||
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Budget principal des dépenses |
Revenus prévus |
Totales des autorisations |
Chiffres réels |
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Élaboration et surveillance de la politique de gestion |
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Revenus liés à l'application de la Loi sur la pension de la fonction publique1 | 2 681 | 3 182 | 3 980 | 3 980 | 5 853 | 3 913 |
Fonds pangouvernementaux et paiements en tant qu'employeur de la fonction publique |
||||||
Revenu lié à l'assurance de la fonction publique2 | 280 817 | 333 858 | 302 200 | 302 200 | 361 321 | 361 321 |
Total des revenus disponibles | 283 498 | 337 040 | 306 180 | 306 180 | 367 174 | 365 234 |
1. Les revenus disponibles servent à couvrir les coûts salariaux et les coûts de fonctionnement inhérents à la pension de retraite de la fonction publique en ce qui a trait aux frais associés à l'application de la Loi sur la pension de la fonction publique.
2. Les revenus disponibles servent à couvrir le coût des régimes d'assurance‑santé à même les fonds renouvelables et auprès des ministères et organismes qui acquittent le coût des régimes d'avantages sociaux des employés au moyen de crédits non législatifs. Ce compte sert aussi à consigner la part des pensionnés
aux cotisations du Régime de services dentaires pour les pensionnés.
Activité de programme |
Chiffres réels 2007-2008 |
Chiffres réels 2008-2009 |
2009-2010 | |||
---|---|---|---|---|---|---|
Budget principal des dépenses |
Revenus prévus |
Totales des autorisations |
Chiffres réels |
|||
Revenus tirés des droits de stationnement1 | 11 466 | 11 643 | 11 742 | 11 595 | 11 595 | |
Revenus externes provenant des demandes d'accès à l'information | 1 | 1 | 1 | 1 | ||
Revenus liés à l'application de la Loi sur la pension de la fonction publique2 | 596 | 854 | 899 | 860 | 860 | |
Remboursements de charges d'exercices antérieurs | 706 | 744 | 384 | 384 | ||
Mesures disciplinaires | 24 | 33 | 63 | 63 | ||
Produit de la vente de biens excédentaires de la Couronne | 9 | 7 | 1 | 1 | ||
Autres | 229 | 34 | 15 | 15 | ||
Total des revenus non disponibles | 13 031 | 13 316 | – | 12 641 | 12 919 | 12 919 |
1. Ce montant correspond aux droits de stationnement perçus auprès des fonctionnaires qui utilisent les installations détenues ou louées par le gouvernement. Ces revenus sont déposés directement au Trésor et ne peuvent être utilisés pour compenser les dépenses de fonctionnement.
2. Ces revenus non disponibles correspondent à la portion de la pension de retraite de la fonction publique inhérente aux frais associés à l'application de la Loi sur la pension de la fonction publique et couvrent les coûts liés aux régimes d'avantages sociaux des employés, aux régimes d'assurance-santé et aux locaux.
Frais d’utilisation : Frais exigés pour le traitement des demandes d'accès à l'information déposées en vertu de la Loi sur l'accès à l'information (LAI)
Type de frais : Autres biens et services (A)
Pouvoir d’établissement des frais : LAI
Date de la plus récente modification : 2005
Norme de rendement : Réponse fournie dans les 30 jours suivant la réception de la demande; ce délai peut être prorogé en vertu de l'article 9 de la LAI. Un avis de prorogation doit être transmis dans les 30 jours suivant la réception de la demande.
Résultats liés au rendement : Les échéanciers prescrits par la LAI sont respectés dans 98 % des cas.
2009-2010 | Années de planification | ||||
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Revenus prévus | Revenus réels | Coût total | Exercice | Revenus prévus | Coût total estimatif |
2,2 $ | 0,935 $ | 582,0 $ | 2010-2011 | 1,5 $ | 600,0 $ |
2011-2012 | 1,7 $ | 720,0 $ | |||
2012-2013 | 1,9 $ | 1 036,0 $ |
Autres renseignements :
Il est de pratique courante au Secrétariat de dispenser les auteurs de demandes d'acquitter les frais lorsque ceux‑ci totalisent moins de 25 $ par demande, lorsqu'il n'a pas été donné suite à la demande dans les délais impartis et que des coûts supplémentaires devraient s'appliquer ou lorsque la divulgation de l'information relève de l'intérêt public. Le nombre de dispenses en 2009-2010 était attribuable au traitement informel des demandes. Dans le but de réduire les coûts et d'accroître l'efficience, les documents sont parfois envoyés sur CD-ROM, ce qui veut dire que l'auteur de la demande n'a pas à acquitter de frais de reproduction.
Frais extrenes | Norme de service | Résultats liés au rendement | Consultations des intervenants / parties intéressées |
---|---|---|---|
Frais exigés pour le traitement des demandes d'accès à l'information présentées en vertu de la Loi sur l'accès à l'information (LAI) | Réponse fournie dans les 30 jours suivant la réception de la demande; ce délai peut être prorogé en vertu de l'article 9 de la LAI. Un avis de prorogation doit être transmis dans les 30 jours suivant la réception de la demande. | Les échéanciers prévus par la loi sont respectés dans 98 % des cas. | La norme de service est établie par la LAI et son règlement d'application. Les intervenants et les parties intéressées ont été consultés au sujet des modifications apportées en 1986, 1992 et 2005. |
Autres renseignements :
En 2009-2010, une nouvelle plainte concernant les frais a été déposée devant le Commissariat à l'information du Canada; cette plainte a été jugée non fondée.
Le ministère a-t-il intégré des considérations relatives au rendement environnemental à son processus de prise de décisions en matière d’achats?
Oui |
Résumé des initiatives visant à intégrer des considérations relatives au rendement environnemental au processus de prise de décisions en matière d’achats :
Le groupe de travail sur le développement durable du Secrétariat se réunit régulièrement pour se pencher sur la question de la gestion de l'écologisation des opérations du Secrétariat dans des domaines tels que l'approvisionnement, les installations des parcs automobiles, les biens, l'économie d'énergie, la technologie de l'information, la consommation de papier et le recyclage.
Le Secrétariat a intégré à son système de gestion financière (module de gestion du matériel) la capacité d'assurer le suivi de l'approvisionnement écologique.
Le Secrétariat procède actuellement à l'analyse de son programme de cartes d'achats en vue de maximiser les avantages sur le plan de l'approvisionnement écologique. Les résultats de l'analyse influeront directement sur ses achats écologiques. Tous les détenteurs de carte d'achats recevront du coordonnateur une trousse de formation à la réception de leur carte. Cette trousse comporte un document traitant des facteurs à prendre en considération aux fins d'achats écologiques.Résultats atteints :
Contributions facilitant la mise en œuvre des achats écologiques à l’échelle du gouvernement :
Le Secrétariat collabore avec Travaux publics et Services gouvernementaux Canada et Environnement Canada pour s'acquitter de ses responsabilités en vertu de l'article 8 de la Politique d'achats écologiques. Cela consiste notamment à élaborer des lignes directrices sur l'approvisionnement écologique, à contribuer à l'élaboration de cours de formation et à fournir des conseils en ce qui concerne la mesure du rendement et l'établissement de rapports à cet égard. Le Secrétariat compte aussi sur les compétences de Ressources naturelles Canada pour mettre la politique en œuvre.
Le ministère s’est-il fixé des objectifs en matière d’achats écologiques?
Oui |
Résumé des objectifs en matière d’achats écologiques :
(1) Instaurer une formation sur les achats écologiques à l'intention de 60 % des détenteurs de carte d'achats et veiller à ce que les nouveaux gestionnaires du matériel reçoivent cette formation
Avantages – Mieux faire connaître la Politique d'achats écologiques, en faciliter l'application et améliorer le suivi du rendement en matière d'achats écologiques
(2) Continuer de veiller à l'achat de meubles de bureau écologiques
Avantages – Favoriser l'achat de meubles de qualité supérieure, réduire les coûts à long terme et améliorer la qualité de l'air
(3) Évaluer le programme pilote de gestion de documents multifonctions
Avantages – Selon les résultats de l'évaluation, on s'attend à une amélioration de la qualité de l'air et à des économies d'énergie grâce à une diminution de la consommation de papier et d'énergie et à une utilisation plus efficiente des ressources
(4) Mettre à jour le programme de recyclage afin de porter à 75 % la proportion de déchets qui ne sont pas envoyés au dépotoir
Avantages – Meilleur taux de réacheminement pour les installations occupées par le ministère des Finances du Canada et le Secrétariat
(5) Poursuivre et même étendre le programme de compostage des serviettes en papier
Avantages – Meilleur taux de réacheminement pour les installations occupées par le ministère des Finances et le Secrétariat
(6) Veiller à ce que tous les véhicules achetés satisfassent aux exigences de la Directive sur la gestion du parc automobile : Voitures de fonction du Conseil du Trésor
Avantages – Amélioration de la consommation de carburant et réduction des émissions de gaz à effet de serre (GES)
(7) Porter à 90 % le pourcentage d'achat d'essence constituée d'un mélange d'éthanol, lorsque ce type d'essence est disponible
Avantages – Diminution de la dépendance aux combustibles fossiles et réduction des émissions de GES
(8) Instaurer un cours de conduite préventive et écologique à l'intention des nouveaux chauffeurs du parc automobile
Avantages – Amélioration du rendement du carburant et réduction des émissions de GES
(9) Acquérir des dispositifs de contrôle de l'utilisation de l'éclairage afin de réduire de 5 % les émissions de GES à L'Esplanade Laurier
Avantages – Diminution de la consommation d'énergie et réduction des émissions de GES
(10) Élaborer un système partagé de gestion environnementale
Avantages – Conformité, diligence raisonnable et réduction du risque pour l'environnement
(11) Augmenter de 25 % le nombre de membres du Réseau d'écocivisme et améliorer les possibilités de participation des employés, y compris la participation dans les programmes d'achats écologiques.
Avantages – Réduction de la consommation des ressources grâce à la sensibilisation aux programmes et à l'exécution de ceux-ciRésultats atteints :
Les objectifs d'approvisionnement écologique du Secrétariat ont été étroitement harmonisés avec ceux de l'ancienne Stratégie de développement durable du Secrétariat, qui couvrait la période de 2007 à 2009 inclusivement. La plupart de ces objectifs ont été atteints et présentés dans le tableau 3 « Stratégie de développement durable » du RMR de 2008‑2009 du Secrétariat. Le suivi continu de ces objectifs en 2009-2010 a présenté son lot de défis étant donné qu'ils ont été élaborés dans le contexte de l'ancienne structure organisationnelle dans laquelle le ministère des Finances et le Secrétariat partageaient des services ministériels, notamment des fonctions d'approvisionnement.
Au début de 2009, le Secrétariat a subi des changements organisationnels, lesquels ont eu pour conséquence l'intégration d'employés du ministère des Finances au Secrétariat dans le but de fournir des services exclusifs et de créer un nouveau secteur, soit le Secteur des services ministériels. De plus, le Bureau du dirigeant principal est né à la suite de la dissolution de l'Agence de la fonction publique du Canada et de l'intégration de certaines fonctions du Secrétariat.
Par suite de ces changements, le Secrétariat ne dispose pas de la totalité des données nécessaires à la préparation de rapports sur l'ensemble des objectifs énoncés dans le tableau de l'approvisionnement écologique pour 2009-2010. Cependant, le Secrétariat a déployé beaucoup d'efforts pour faire progresser ses achats écologiques tout au long de la période de rapport pertinente. En l'occurrence, tous les détenteurs de carte d'achats reçoivent désormais une trousse de formation qui comprend un document sur les points à prendre en considération aux fins d'achats écologiques. Il s'agit d'une mesure visant à sensibiliser davantage l'effectif à l'égard de l'approvisionnement écologique et à modifier les anciennes pratiques d'approvisionnement. Cette formation est conforme à la Politique d'achats écologiques.
De plus, le recours continu au réseau d'écocivisme permet de rehausser la sensibilisation quant à la question des opérations d'écologisation. Le Secrétariat a également atteint son objectif en matière d'approvisionnement écologique, lequel consiste à s'assurer que l'ensemble des véhicules achetés répondent aux exigences de la Directive sur la gestion du parc automobile : Voitures de fonction du Conseil du Trésor. Le recyclage au Secrétariat s'est amélioré grâce à l'instauration du recyclage des serviettes en papier à L'Esplanade Laurier. En outre, le Secrétariat a acheté des imprimantes et a installé ces dernières dans des emplacements plus centralisés afin de réduire la consommation de papier. Tous les achats de papier sont écologiques, puisque le Secrétariat n'achète que du papier recyclé.
Les travaux amorcés avant 2009‑2010 en vue de moderniser l'éclairage se sont poursuivis au long de l'exercice afin de rendre l'éclairage plus efficient à L'Esplanade Laurier, de réduire la consommation d'énergie et de diminuer les émissions de GES (de nouveaux commutateurs et détecteurs de mouvements ont été installés). Les ordinateurs de bureau sont aussi programmés pour s'éteindre automatiquement après une certaine période d'inactivité.
En prévision de la mise en œuvre de la Loi fédérale sur le développement durable, le Secrétariat centre ses efforts sur l'établissement de mécanismes permettant d'assurer le suivi et la communication efficaces des nouveaux objectifs d'approvisionnement écologique.Comité permanent des opérations gouvernementales et des prévisions budgétaires : Payer nos employé(e)s à leur juste valeur
Sommaire du rapport | Progrès accomplis dans la réalisation des recommandations | Lien avec la réponse du Secrétariat |
---|---|---|
Le Comité a examiné la question des problèmes du système de rémunération du gouvernement fédéral sous l'angle de l'intérêt public. Il a été recommandé au gouvernement de se pencher sur la classification des conseillers en rémunération, sur la mise à niveau de l'infrastructure technologique du système de rémunération et sur le taux de roulement du personnel de la fonction publique. | Le gouvernement a pris ou prendra des mesures quant à la plupart des recommandations en vue d'assurer l'équité et le caractère à propos de la rémunération pour l'ensemble des employés du secteur public fédéral. Le gouvernement a déposé la Loi sur l'équité dans la rémunération du secteur public (LERSP), laquelle s'inscrit dans la Loi d'exécution du budget de 2009. En outre, il s'est engagé à mettre au point une approche de modernisation de la technologie et des processus afin de simplifier l'administration de la rémunération au sein du gouvernement du Canada. Le Plan d'action pour le renouvellement de la fonction publique de 2009‑2010 a nettement fait ressortir l'importance d'établir un lien entre les besoins en ressources humaines et les besoins opérationnels des organisations, ce qui aurait pour résultat de stabiliser davantage les effectifs et de réduire le taux de roulement du personnel de la fonction publique. | Réponse du gouvernement au deuxième rapport du Comité permanent des opérations gouvernementales et des prévisions budgétaires (troisième rapport du Comité présenté à la Chambre
des communes au cours de la 2e session de la 39e législature) (Déposé à la Chambre des communes le 14 septembre 2009) |
Comité permanent de la condition féminine : Une analyse des effets de la Loi sur l'équité dans la rémunération du secteur public
Sommaire du rapport | Progrès accomplis dans la réalisation des recommandations | Lien avec la réponse du Secrétariat |
---|---|---|
Le Comité a recommandé que le gouvernement abroge la Loi sur l'équité dans la rémunération du secteur public et la remplace par une loi fédérale proactive sur l'équité salariale, comme l'a recommandé le Groupe de travail sur l'équité salariale (le Groupe de travail) dans son rapport de 2004 intitulé L'équité salariale : une nouvelle approche à un droit fondamental. Les membres du Parti conservateur siégeant au Comité ont formulé une opinion dissidente à l'égard du rapport. De fait, ils émettent de nombreuses réserves au sujet des recommandations et se disent préoccupés par le fait que le rapport ait été rédigé et discuté avant que le Comité ait pu entendre tous les témoins. | Dans sa réponse au Comité, le gouvernement du Canada indique qu'il respecte le principe du salaire égal pour un travail de même valeur et qu'il croît fortement que la LERSP représente la meilleure façon d'appliquer ce principe de façon proactive pour s'assurer que les employés du secteur public reçoivent une
rémunération équitable. La LERSP fait de l'équité salariale une partie intégrante des processus de négociation collective et d'établissement des salaires dans le secteur public fédéral et permet ainsi de s'assurer que toutes les parties chargées de l'établissement des salaires ont la responsabilité de respecter le principe du salaire égal pour un travail de même valeur et que les employés reçoivent une rémunération équitable dès que les salaires sont établis. |
Réponse du gouvernement au septième rapport du Comité permanent de la condition féminine intitulé Une analyse des effets de la Loi sur l'équité dans la rémunération du secteur
public (Déposé à la Chambre des communes le 7 octobre 2009) |
Comité permanent de la condition féminine : Vers une budgétisation sensible à la sexospécificité : Relever le défi de l'égalité entre les sexes
Sommaire du rapport | Progrès accomplis dans la réalisation des recommandations | Lien avec la réponse du Secrétariat |
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Le Comité a recommandé que les autres organismes centraux, en l'occurrence le Bureau du Conseil privé et le Secrétariat, créent des unités spécialisées en analyse comparative entre les sexes. Il a recommandé que les hauts fonctionnaires du gouvernement, à savoir les sous‑ministres, les sous‑ministres adjoints et les administrateurs généraux, soient tenus responsables de la mise en œuvre d'une véritable analyse comparative entre les sexes (ACS) au sein de tous les ministères et que l'évaluation de leur rendement et, par conséquent, leurs augmentations salariales et promotions, soient liées à la mise en œuvre de l'ACS dans leurs secteurs de responsabilité respectifs, cette mesure devant inclure le greffier du Conseil privé, le secrétaire du Conseil du Trésor et le sous-ministre des Finances. Le Comité a recommandé que le Secrétariat élabore d'ici janvier 2009 une politique exigeant des ministères qu'ils rendent compte de leurs progrès en matière d'ACS dans leurs rapports sur les plans et priorités et dans leurs rapports ministériels sur le rendement. |
Depuis 2005, le gouvernement du Canada s'emploie à intégrer l'analyse comparative entre les sexes (ACS) dans les instruments d'autorisation comme les présentations au Conseil du Trésor et la Structure de gestion, des ressources et des résultats. Il y a maintenant un répertoire de tous les programmes gouvernementaux; on peut consulter cet inventaire pour trouver des programmes par sujet, y compris des programmes concernant directement des dossiers d'égalité entre les sexes. Condition féminine Canada, avec le concours du Secrétariat et du Bureau du Conseil privé, s'est engagé à évaluer annuellement la réalisation d'ACS à l'échelle du gouvernement fédéral, ainsi que l'efficacité des pratiques d'ACS afin de s'assurer que les budgets et l'élaboration de politiques et de programme du gouvernement atteignent les objectifs d'égalité hommes-femmes et soient sensibles à la sexospécificité. | Réponse du gouvernement au deuxième rapport du Comité permanent de la condition féminine (recommandations incluses dans le 11e rapport du Comité présenté à la
Chambre des communes au cours de la 2e session de la 39e législature) (Déposé à la Chambre des communes le 19 août 2009) |
Comité permanent des comptes publics : Comptes publics du Canada 2008
Sommaire du rapport | Progrès accomplis dans la réalisation des recommandations | Lien avec la réponse du Secrétariat |
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Le Comité a recommandé : i) que l'Agence du revenu du Canada fournisse un plan détaillé pour indiquer comment elle compte améliorer ses méthodes de calcul de la provision pour créances fiscales douteuses; ii) que l'Agence des services frontaliers du Canada fournisse un plan détaillé pour expliquer comment elle compte améliorer ses systèmes comptables pour les revenus fiscaux. Le Comité a également recommandé que le contrôleur général du Canada veille à ce que les ministères fédéraux soient dotés de systèmes de contrôle interne suffisants pour prévenir les pertes de fonds et de biens publics, ainsi que de plans de recouvrement des pertes qui résultent d'actes criminels, et que le gouvernement du Canada se fixe des échéances fermes pour la mise en œuvre de la comptabilité d'exercice pour l'affectation de crédits. |
i) L'Agence du revenu du Canada a élaboré et mis en œuvre une nouvelle méthodologie d'estimation de la provision pour créances fiscales douteuses fondée sur l'ancienneté des comptes clients relatifs à l'impôt au cours de l'exercice 2007‑2008. ii) L'Agence des services frontaliers du Canada a élaboré un projet d'amélioration de ses systèmes comptables. La présentation au Conseil du Trésor a été soumise au Conseil en juin 2010. Plusieurs initiatives se traduiront par de meilleurs contrôles internes sur la production de rapports financiers. Par exemple, les politiques sur le contrôle interne, la gouvernance et la vérification interne ont été approuvées et donneront maintenant lieu à un renforcement des contrôles exercés sur les rapports financiers, la surveillance et la gouvernance. Des progrès considérables ont été accomplis relativement à l'élaboration d'un plan de mise en œuvre graduel de la comptabilité d'exercice pour l'établissement du budget et l'affectation des crédits. |
Réponse du gouvernement au sixième rapport du Comité permanent des comptes publics intitulé Comptes publics du Canada, 2008 (Déposé à la Chambre des communes le 19 août 2009) |
Comité permanent des comptes publics : Gouvernance des petites entités fédérales
Sommaire du rapport | Progrès accomplis dans la réalisation des recommandations | Lien avec la réponse du Secrétariat |
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Le Comité a recommandé que le Secrétariat fournisse un rapport d'étape et un plan d'action subséquent pour expliquer comment il compte mettre en œuvre les recommandations formulées dans le chapitre 2 du rapport de décembre 2008 de la vérificatrice générale, qu'il explique clairement dans son plan d'action comment il réduira le fardeau redditionnel des petites entités fédérales et qu'il précise les enjeux qui seront traités en ce qui a trait aux services administratifs partagés au sein des petites entités fédérales. | La réponse de la direction à ce chapitre comprend une description complète des mesures prises ou envisagées eu égard à chacune des recommandations, dont une liste de mesures particulières prises en vue de réduire les exigences redditionnelles des ministères, y compris celles des petites entités. | Réponse du gouvernement au quatorzième rapport du Comité permanent des comptes publics – La gouvernance des petites entités fédérales –Chapitre 2 du rapport de
décembre 2008 de la vérificatrice générale du Canada (Déposé à la Chambre des communes le 7 octobre 2009) |
Comité permanent des comptes publics : Une étude sur les paiements de transfert fédéraux aux provinces et aux territoires
Sommaire du rapport | Progrès accomplis dans la réalisation des recommandations | Lien avec la réponse du Secrétariat |
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Le Comité a recommandé que le gouvernement du Canada, lorsqu'il annonce des transferts aux provinces et aux territoires, explique clairement si l'utilisation des fonds est assortie de conditions permanentes et, si ce n'est pas le cas, qu'il explique pourquoi; et qu'il veille à établir des mécanismes de vérification des résultats lorsqu'il conclura des accords de fiducie. | Le gouvernement déploie tous les efforts possibles afin de communiquer clairement l'objet, les objectifs et les conditions afférents à chaque transfert. Le gouvernement a établi des conditions d'admissibilité claires et précises qui doivent être remplies pour que la fiducie soit établie et que les paiements de transfert
soient versés. Par exemple, dans le cas des paiements de transfert versés par des ministères fédéraux, les conditions sont clairement énoncées dans les ententes conclues entre le gouvernement fédéral et les administrations des provinces et des territoires, et elles peuvent inclure des vérifications des finances et de l'observation, des
rapports d'étape, une évaluation de programme ou une reconnaissance publique de l'aide fédérale octroyée au programme. Pour faire en sorte que les accords de fiducie soient clairs et transparents, le gouvernement a établi de nouveaux mécanismes redditionnels au moyen d'une approche axée sur l'engagement politique et sur la responsabilité à l'égard du public. Des mesures visant à améliorer la responsabilité à l'égard du public ont été adoptées dans la nouvelle Politique sur les paiements de transfert du Conseil du Trésor et dans la Directive correspondante. |
Réponse du gouvernement au 11e rapport du Comité permanent des comptes publics intitulé « Le chapitre 1 – Une étude sur les paiements de transferts fédéraux aux
provinces et aux territoires – Rapport de décembre 2008 de la vérificatrice générale du Canada » (Déposé à la Chambre des communes le 28 septembre 2009) |
Comité permanent des comptes publics : Gestion des frais imposés par certains ministères et organismes
Sommaire du rapport | Progrès accomplis dans la réalisation des recommandations | Lien avec la réponse du Secrétariat |
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Le Comité a fait les six recommandations suivantes : 1) que le Secrétariat élabore et présente au Conseil du Trésor une politique globale de gestion des frais et qu'il fasse rapport de l'avancement de cette initiative au Comité d'ici le 30 septembre 2009; 2) que le Conseil du Trésor modifie la Politique sur les normes de service pour les frais d'utilisation pour exiger des ministères et organismes qu'ils publient annuellement un rapport sur les coûts entiers, les recettes, les normes de service et les résultats à l'égard de l'ensemble des frais d'utilisation perçus et que les ministères et organismes soient tenus de mener régulièrement des consultations publiques auprès des parties touchées par ces frais et d'en faire rapport; 3) que le Secrétariat précise la méthode à utiliser pour comparer les recettes générées par les frais et les coûts s'y rapportant lorsqu'il mettra à jour ses orientations sur les facteurs dont il faut tenir compte pour déterminer le montant des frais à exiger et qu'il fasse rapport de l'avancement de cette initiative au Comité d'ici le 30 septembre 2009; 4) que, de concert avec les ministères et organismes, le contrôleur général veille à ce que le calcul des coûts associés aux frais qu'ils exigent soit exact et qu'il fasse rapport de l'avancement de cette initiative au Comité d'ici le 30 septembre 2009; 5) que, d'ici le 30 septembre 2009, le Secrétariat fournisse au Comité une liste de tous les frais qui sont établis par contrat; 6) que, d'ici le 30 septembre 2009, le Secrétariat précise les exigences applicables aux frais établis par contrat en matière d'examen de rapport. |
Conformément aux recommandations du Comité, le Secrétariat a déposé une réponse aux six recommandations le 14 septembre 2009. Voici un résumé de chacun de ces six engagements. 1) Le gouvernement a mené à bien un examen des directives et des politiques inhérentes aux pratiques de soutien de la gestion des frais d'utilisation. 2) À l'issue de cet examen, on entreprendra, en 2010‑2011, l'élaboration d'une politique exhaustive sur la gestion des frais d'utilisation. 3) En mai 2009, le Secrétariat a diffusé le Guide d'établissement du niveau des frais d'utilisation basés sur les coûts ou des redevances réglementaires basées sur les coûts, qui dote les ministères et organismes d'une méthode uniforme à suivre pour établir un niveau de frais adéquat. 4) En mars 2008, le Secrétariat a diffusé le Guide d'établissement des coûts, et il continue de collaborer avec les ministères pour en promouvoir l'utilisation dans le contexte des frais d'utilisation et d'autres modes de gestion financière. 5) Étant donné que les frais établis par contrat ne sont assujettis ni à la Loi sur les frais d'utilisation ni à la Politique sur les normes de service pour les frais d'utilisation, le gouvernement a lancé un plan pour recueillir de l'information sur les frais établis par contrat auprès de chacun des ministères et organismes. Comme il l'avait indiqué dans sa réponse, le gouvernement a produit, le 31 décembre 2009, un rapport compilant cette information à l'attention du Comité. 6) L'élaboration de la nouvelle politique couvrira les pratiques et la présentation de rapports sur les frais établis par contrat. |
Réponse du gouvernement au dixième rapport du Comité permanent des comptes publics, intitulé « Le chapitre 1, La gestion des frais imposés par certains ministères et
organismes du rapport de mai 2008 de la vérificatrice générale du Canada » (Déposé à la Chambre des communes le 14 septembre 2009) |
Comité permanent des comptes publics : Information demandée quant au progrès des mesures prises par le gouvernement pour donner suite aux 13 recommandations formulées dans les rapports suivants :
Administration des régimes de retraite et d'assurances de la GRC (Adopté par le Comité le 6 décembre 2007; déposé à la Chambre des communes le 10 décembre 2007);
Le système de gestion des dépenses au centre du gouvernement et le système de gestion des dépenses dans les ministères (Adopté par le Comité le 12 février 2008; déposé à la Chambre des communes le 25 février 2008);
La protection des fonds publics – Bureau de l'enquêteur correctionnel (Adopté par le Comité le 12 février 2008; déposé à la Chambre des communes le 25 février 2008);
Les grands projets de technologie de l'information (Adopté par le Comité le 14 février 2008; déposé à la Chambre des communes le 25 février 2008);
Les services de passeport – Passeport Canada (Adopté par le Comité le 28 février 2008; déposé à la Chambre des communes le 5 mars 2008).
Sommaire du rapport | Progrès accomplis dans la réalisation des recommandations | Lien avec la réponse du Secrétariat |
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Le Comité permanent des comptes publics a demandé de l'information sur les progrès réalisés par le gouvernement à l'égard de 13 recommandations formulées dans les 2e, 4e, 5e, 7e et 9e rapports du Comité permanent des comptes publics, lesquels ont été déposés à la Chambre des communes pendant la 2e session de la 39e législature. | Le Secrétariat a présenté une mise à jour au sujet des mesures prises quant aux engagements pris à l'égard des 13 recommandations incluses dans les réponses suivantes du gouvernement : Deuxième rapport du Comité permanent des comptes publics intitulé « Restaurer l'honneur de la GRC en réglant les problèmes que pose l'administration de ses régimes de retraite et d'assurances » (Déposé à la Chambre des communes le 7 avril 2008) Quatrième rapport du Comité permanent des comptes publics intitulé « Le système de gestion des dépenses au centre du gouvernement et le système de gestion des dépenses dans les ministères » (Déposé à la Chambre des communes le 16 juillet 2008) Cinquième rapport du Comité permanent des comptes publics intitulé « La protection des fonds publics – Bureau de l'enquêteur correctionnel » (Déposé à la Chambre des communes le 16 juillet 2008) Septième rapport du Comité permanent des comptes publics intitulé « Les grands projets de technologie de l'information » (Déposé à la Chambre des communes le 16 juillet 2008) Neuvième rapport du Comité permanent des comptes publics intitulé « Les services de passeport B – Passeport Canada » (Déposé à la Chambre des communes le 6 juin 2008) |
Rapport d'étape reçu du Secrétariat en octobre 2009 au sujet des études suivantes : Le chapitre 9, « Administration des régimes de retraite et d'assurances – Gendarmerie royale du Canada », du rapport de novembre 2006 de la vérificatrice générale du Canada (39e législature, 2e session) Le chapitre 1, « Le système de gestion des dépenses au centre du gouvernement », et le Chapitre 2, « Le système de gestion des dépenses dans les ministères », du rapport de novembre 2006 de la vérificatrice générale du Canada (39e législature, 2e session) Le chapitre 11, « La protection des fonds publics – Bureau de l'enquêteur correctionnel », du rapport de la vérificatrice générale du Canada de novembre 2006 (39e législature, 2e session) Le chapitre 3, « Les grands projets de technologie de l'information », du rapport de novembre 2006 de la vérificatrice générale du Canada (39e législature, 2e session) Le chapitre 5, « Les services de passeport – Passeport Canada », du rapport de novembre 2006 de la vérificatrice générale du Canada (39e législature, 2e session) |
Comité permanent des comptes publics : La gestion et le contrôle financiers – Défense nationale
Sommaire du rapport | Progrès accomplis dans la réalisation des recommandations | Lien avec la réponse du Secrétariat |
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Le Comité a recommandé que le Conseil du Trésor, en consultation avec le ministère des Finances, envisage de relever le plafond des crédits que le ministère de la Défense nationale peut reporter d'un exercice à l'autre. | Le gouvernement accepte cette recommandation. Le ministère des Finances et le Secrétariat examinent le plafond actuel des crédits que la Défense nationale peut reporter. Si des changements sont apportés au plafond de report de crédits actuel, le Secrétariat en informera le Comité. | Réponse du gouvernement au Rapport du Comité permanent des comptes publics – Chapitre 5, « La gestion et le contrôle financiers – Défense nationale »,
du rapport du printemps 2009 de la vérificatrice générale du Canada (20e rapport du Comité permanent des comptes publics) (Déposé à la Chambre des communes le 31 mars 2010) |
Comité permanent des comptes publics : La gestion de la prestation des services juridiques au gouvernement – Ministère de la Justice
Sommaire du rapport | Progrès accomplis dans la réalisation des recommandations | Lien avec la réponse du Secrétariat |
---|---|---|
Le Comité a recommandé que le Secrétariat étudie s'il est possible de faire rapport des frais juridiques totaux du gouvernement du Canada. | Le Secrétariat a examiné les rapports qui ont déjà été présentés au Parlement sur les frais juridiques et la possibilité de recourir à la Structure de gestion, des ressources et des résultats pour mieux consigner les coûts des services juridiques. Les Comptes publics du Canada 2007 et le Rapport ministériel sur le rendement du ministère de la Justice fournissent des détails sur la majeure partie de ces frais. | Réponse du gouvernement : Le chapitre 5, « La gestion de la prestation des services juridiques au gouvernement – ministère de la Justice », du rapport de mai 2007 de la
vérificatrice générale du Canada – Quatrième rapport du Comité permanent des comptes publics (recommandations du 17e rapport du Comité présenté à la Chambre des communes au cours de la 2e session de la 39e législature) (Déposé à la Chambre des communes le 19 juin 2009) |
Vérification pangouvernementale des nominations de cadres de direction, rapport de la Commission de la fonction publique du Canada (octobre 2008)
Cette vérification[1] a visé les nominations de cadres de direction effectuées au cours de la première année suivant la mise en œuvre de la Loi sur l'emploi dans la fonction publique, soit de janvier à décembre 2006, et a porté sur la totalité des processus de nomination visant des postes de cadre de direction des niveaux EX-4 et EX-5 (ce qui comprend les sous‑ministres adjoints) et sur la moitié des processus visant des postes de cadre des niveaux EX-1 à EX-3 (ce qui comprend les directeurs et les directeurs généraux).
Le Secrétariat n'avait pas de questions particulières à cet égard, et une réponse formelle n'était pas requise.
[1] Les résultats du Secrétariat ne tenaient pas compte du Bureau de la dirigeante principale des ressources humaines, étant donné que la vérification a été effectuée avant la réorganisation.
Intitulé de la vérification interne | Type de vérification interne | État d'avancement | Date d'achèvement |
---|---|---|---|
Vérification de la gestion du crédit 35 du Conseil du Trésor | Énoncé d'assurance | Terminée | Novembre 2009 |
Vérification du cadre de gouvernance du Secrétariat du Conseil du Trésor du Canada | Énoncé d'assurance | Terminée | Février 2010 |
Vérification des modalités de vérification des comptes | Énoncé d'assurance | Terminée | Avril 2010 |
Vérification de la gestion du Régime d'assurance‑invalidité de la fonction publique | Énoncé d'assurance | En cours | Juin 2010 |
Intitulé de l'évaluation | Activité de programme | Type d’évaluation | État d'avancement | Date d’achèvement |
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Évaluation quinquennale du Cadre de responsabilisation de gestion | Élaboration et surveillance de la politique de gestion | Sommative | Terminée | Novembre 2009 |
Évaluation du processus des présentations au Conseil du Trésor | Gestion des dépenses et surveillance financière; élaboration et surveillance de la politique de gestion | Sommative | Terminée | Mars 2010 |
Évaluation de la Directive du Cabinet sur la rationalisation de la réglementation | Gestion de la réglementation | Formative | En cours | Juillet 2010 |
Évaluation du Centre de compétences en réglementation | Gestion de la réglementation | Formative | En cours | Juillet 2010 |
Évaluation du projet pilote sur les crédits permanents pour la gestion des immobilisations | Gestion des biens immobiliers et du matériel | Formative | En cours | Juillet 2010 |
Évaluation du Cadre stratégique en matière d'investissement | Ancienne Agence de la fonction publique du Canada | Sommative | En cours | Septembre 2010 |
Évaluation de la Politique sur la vérification interne | Politique sur la vérification interne | Sommative | Prévue | Mars 2011 |
La responsabilité de l'intégrité et de l'objectivité des états financiers ci-joints pour l'exercice terminé le 31 mars 2010 et tous les renseignements figurant dans ces états incombe à la direction du Secrétariat du Conseil du Trésor du Canada. Ces états financiers ont été préparés par la direction conformément aux conventions comptables du Conseil du Trésor, qui sont conformes aux principes comptables généralement reconnus du Canada pour le secteur public.
La direction est responsable de l'intégrité et de l'objectivité de l'information présentée dans ces états financiers. Certains renseignements présentés dans les états financiers sont fondées sur les meilleures estimations et le jugement de la direction et tiennent compte de l'importance relative des postes en question. Pour s'acquitter de ses obligations au chapitre de la comptabilité et de la présentation des rapports, la direction tient des comptes qui permettent l'enregistrement centralisé des opérations financières du Secrétariat. Les renseignements financiers présentés aux fins de l'établissement des Comptes publics du Canada et figurant dans le Rapport ministériel sur le rendement du Secrétariat concordent avec les états financiers ci-joints.
Il incombe aussi à la direction de tenir un système efficace de contrôle interne en matière de rapports financiers conçu pour donner une assurance raisonnable que l'information financière est fiable, que les actifs sont protégés et que les opérations sont autorisées et enregistrées adéquatement, conformément à la Loi sur la gestion des finances publiques et à d'autres lois, règlements, autorisations et politiques applicables.
La direction veille également à assurer l'objectivité et l'intégrité des données figurant dans ces états financiers en choisissant soigneusement des employés qualifiés et en assurant leur formation et leur perfectionnement; en prenant des dispositions pour assurer une répartition appropriée des responsabilités; en établissant des programmes de communication pour faire en sorte que tous les membres du Secrétariat sont au fait des règlements, des politiques, des normes et des pouvoirs de la direction; et en effectuant une évaluation annuelle de l'efficacité du système de contrôle interne en matière de rapports financiers.
Une évaluation pour l'exercice s'étant terminé le 31 mars 2010 a été réalisée conformément à la politique sur le contrôle interne et ses résultats ainsi que les plans d'action qui en découlent sont résumés en annexe.
Le système de contrôle interne en matière de rapports financiers est conçu pour atténuer les risques à un niveau raisonnable fondé sur un processus continu qui vise à identifier les risques clés associés, évaluer l'efficacité des contrôles clés et apporter les ajustements nécessaires.
Le système de contrôle interne s'appuie sur le travail du personnel de la vérification interne qui fait des vérifications et des examens périodiques de différents secteurs des activités du Secrétariat. De plus, le dirigeant principal de la vérification a un accès illimité au comité de vérification, qui fourni des conseils quant aux responsabilités de la gestion, au maintien des systèmes de contrôles adéquats et des rapports financiers de qualité. Le comité effectue une revue des états financiers, incluant l'ensemble des estimations comptables matérielles ainsi que tout jugement s'y rattachant, et avise la secrétaire de toute préoccupation importante.
Les états financiers du Secrétariat du Conseil du Trésor du Canada n'ont pas fait l'objet d'une vérification.
2010 Dépenses prévues | 2010 | 2009 | |
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Charges (note 4) | |||
Fonds pangouvernementaux et paiements en tant qu'employeur de la fonction publique | 2 112 764 | 2 067 613 | 1 743 227 |
Élaboration de la politique sur la gestion et surveillance | 126 179 | 159 056 | 120 253 |
Gestion des dépenses et surveillance financières | 41 856 | 40 054 | 37 009 |
Services internes | 72 660 | 100 863 | 71 110 |
Total des charges | 2 353 459 | 2 367 586 | 1 971 599 |
Revenus (note 5) | |||
Fonds pangouvernementaux et paiements en tant qu'employeur de la fonction publique | 11 762 | 11 667 | 11 697 |
Élaboration de la politique sur la gestion et surveillance | 4 879 | 4 772 | 4 036 |
Gestion des dépenses et surveillance financières | - | - | - |
Services internes | - | 8 | 20 |
Total des revenus | 16 641 | 16 447 | 15 753 |
Coût de fonctionnement net | 2 336 818 | 2 351 139 | 1 955 846 |
Les notes complémentaires font partie intégrante des états financiers.
2010 | 2009 | |
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Actifs | ||
Actifs financiers | ||
Débiteurs et avances (note 6) | 659 454 | 230 049 |
Actifs non financiers | ||
Charges payées d'avance | 64 | - |
Immobilisations corporelles (note 7) | 14 722 | 13 126 |
Total actifs | 674 240 | 243 175 |
Passifs | ||
Créditeurs et charges à payer (note 8) | 566 775 | 439 214 |
Indemnités de vacances et congés compensatoires | 10 137 | 6 547 |
Indemnités de départ (note 9) | 36 126 | 28 888 |
613 038 | 474 649 | |
Avoir du Canada | 61 202 | (231 474) |
Total passifs et avoir | 674 240 | 243 175 |
Passif éventuel (note 10)
Obligations contractuelles (note 11)
Les notes complémentaires font partie intégrante des états financiers.
2010 | 2009 | |
---|---|---|
Avoir du Canada, début de l'exercice | (231 474) | (356 265) |
Coût de fonctionnement net | (2 351 139) | (1 955 846) |
Crédits de l'exercice utilisés (note 3) | 2 341 557 | 1 959 625 |
Revenus non disponibles pour dépenser | (12 534) | (12 571) |
Variation de la situation nette du Trésor (note 3) | 311 070 | 116 365 |
Services fournis gratuitement par d'autres ministères (note 12) | 23 839 | 17 218 |
Transfert de l'Agence de Gestion des Ressources Humaines de la Fonction Publique du Canada, en vigueur le 1er avril 2009 (note 13) | (20 117) | - |
Avoir du Canada, fin de l'exercice | 61 202 | (231 474) |
Les notes complémentaires font partie intégrante des états financiers.
2010 | 2009 | |
---|---|---|
Activités de fonctionnement | ||
Coût de fonctionnement net | 2 351 139 | 1 955 846 |
Éléments n'affectant pas l'encaisse : | ||
Amortissement des immobilisations corporelles | (3 341) | (1 225) |
Gain sur l'aliénation d'immobilisations corporelles | 1 | 7 |
Services fournis gratuitement par d'autres ministères | (23 839) | (17 218) |
Variations de l'état de la situation financière : | ||
Augmentation des débiteurs et avances | 429 405 | 126 865 |
(Diminution) des charges payées d'avance | 64 | (36) |
Diminution (Augmentation) des créditeurs et charges à payer | (127 561) | 2 291 |
(Augmentation) des indemnités de vacances et congés compensatoires | (3 590) | (470) |
(Augmentation) des indemnités de départ | (7 238) | (5 185) |
Transfert de l'Agence de Gestion des Ressources Humaines de la Fonction Publique du Canada, en vigueur le 1er avril 2009 (note 13) | 20 117 | - |
Encaisse utilisée par les activités de fonctionnement | 2 635 157 | 2 060 875 |
Activités d'investissement en immobilisations | ||
Acquisition d'immobilisations corporelles | 1 263 | 2 551 |
Transfert des immobilisations du Ministère des Finances et de l'Agence de gestion des ressources humaines de la fonction publique du Canada | 3 687 | - |
Produits de l'aliénation d'immobilisations corporelles | (14) | (7) |
Encaisse utilisée par les activités d'investissement en immobilisations | 4 936 | 2 544 |
Total des activités de fonctionnement et des activités d'investissement en immobilisations | 2 640 093 | 2 063 419 |
Encaisse nette fournie par le gouvernement du canada | (2 640 093) | (2 063 419) |
Les notes complémentaires font partie intégrante des états financiers
En vertu des pouvoirs généraux que lui confèrent les articles 5 à 13 de la Loi sur la gestion des finances publiques, le Secrétariat aide le Conseil du Trésor à s'acquitter de son rôle, en tant que comité de ministres, de gestionnaire général et d'employeur de la fonction publique. On trouve à sa tête la secrétaire, qui relève du président du Conseil du Trésor.
La mission du Secrétariat consiste à s'assurer que l'intendance rigoureuse des ressources publiques produit des résultats conformes aux intérêts des Canadiens.
Les activités de base du Secrétariat sont actuellement structurées selon quatre secteurs de programmes. Par conséquent, les montants de 2008-2009 présentés à l'état des résultats ont été reclassés pour fin de comparaison.
Les activités de programme sont décrites comme suit :
Représente principalement des paiements et sommes reçues pour le compte d'autres ministères du gouvernement, relativement à la part de l'employeur du régime de pension de la fonction publique et des régimes d'assurance collective.
Le Secrétariat appuie le Conseil du Trésor en qualité de conseil de gestion. Il veille à la promotion d'un rendement accru en matière de gestion et à l'élaboration de politiques qui appuient une gestion prudente et efficace des biens gouvernementaux et de ses ressources humaines, financières, technologiques et informationnelles.
Le rôle du secrétariat est de donner des conseils et de formuler des recommandations au Conseil du Trésor sur l'affectation ou la réaffectation des ressources afin de veiller à ce qu'elles correspondent aux priorités et aux responsabilités du gouvernement et à ce que les programmes fédéraux soient exécutés de manière efficace, efficiente et rentable.
L'activité de programme Services internes couvre les principales fonctions et coûts suivants qui appuient le Conseil du Trésor et la gestion interne du Secrétariat : le fonctionnement du Cabinet du ministre, la gestion des cadres supérieurs, la planification stratégique, les communications, les services juridiques, les finances, les ressources humaines, la gestion des locaux, la sécurité, le soutien en matière de GI/TI de même que certains services administrés centralement (p. ex., traduction).
Les états financiers ont été préparés conformément aux conventions comptables du Conseil du Trésor, qui sont conformes aux principes comptables généralement reconnus du Canada pour le secteur public.
Les principales conventions comptables sont les suivantes :
Le Secrétariat est financé par le gouvernement du Canada au moyen de crédits parlementaires. Les crédits consentis au Secrétariat ne correspondent pas à la présentation des rapports financiers en conformité avec les principes comptables généralement reconnus étant donné que les crédits sont fondés, dans une large mesure, sur les besoins de trésorerie. Par conséquent, les postes comptabilisés dans l'état des résultats et dans l'état de la situation financière ne sont pas nécessairement les mêmes que ceux qui sont prévus par les crédits parlementaires. La note 3 présente un rapprochement général entre les deux méthodes de rapports financiers.
Le Secrétariat fonctionne au moyen du Trésor, qui est administré par le Receveur général du Canada. La totalité de l'encaisse reçue par le Secrétariat est déposée au Trésor, et tous les décaissements faits par le Secrétariat sont prélevés sur le Trésor. L'encaisse nette fournie par le gouvernement du Canada est la différence entre toutes les rentrées de fonds et toutes les sorties de fonds, y compris les opérations entre les ministères au sein du gouvernement fédéral.
La variation de la situation nette du Trésor correspond à la différence entre l'encaisse nette fournie par le gouvernement et les crédits utilisés au cours d'un exercice, à l'exclusion du montant des revenus non disponibles comptabilisés par le Secrétariat. Il découle d'écarts temporaires entre le moment où une opération touche un crédit et le moment où elle est traitée par le Trésor.
Les revenus sont comptabilisés dans l'exercice où les opérations ou les faits sous-jacents surviennent.
Les charges sont comptabilisées selon la méthode de la comptabilité d'exercice :
Les employés admissibles participent au Régime de pension de retraite de la fonction publique, dont le répondant est le gouvernement du Canada. Les cotisations au régime de l'ensemble des ministères et organismes, y compris les versements supplémentaires en raison d'une insuffisance actuarielle, sont financées par le Secrétariat à titre de fonds gérés par l'administration centrale et sont passées en charges au cours de l'exercice où elles sont encourues. Le Secrétariat recouvre une partie de ces cotisations auprès des ministères et des organismes.
Le gouvernement du Canada est aussi le répondant de divers autres régimes d'avantages sociaux dont la gestion ou le financement incombe au Secrétariat à même les fonds gérés par l'administration centrale. Ces avantages sociaux sont constatés à titre de charges lorsqu'ils deviennent exigibles. Là encore, le Secrétariat recouvre une partie de ces coûts auprès des ministères et des organismes.
En ce qui touche les prestations de pension et les autres avantages sociaux futurs prévus aux termes de ces régimes, le passif actuariel et d'autres renseignements connexes sont présentés dans les états financiers du gouvernement du Canada, qui est le répondant ultime au regard de ces prestations et avantages. En tant qu'administrateur des fonds gérés par l'administration centrale, le Secrétariat passe ces avantages ou cotisations en charges lorsque les versements correspondants deviennent exigibles, et il ne constate pas de charges au titre des avantages sociaux futurs. Ce traitement comptable concorde avec le financement accordé aux ministères par voie de crédits parlementaires.
Prestations de retraite : Les employés admissibles du Secrétariat participent au Régime de retraite de la fonction publique. La part du coût des cotisations au titre des services rendus au cours de l'exercice qui revient au Secrétariat à l'égard de ses employés est imputée aux activités de programme Gestion des dépenses et surveillance financières, Élaboration de la politique sur la gestion et surveillance, et Services internes lors de l'exercice où les charges sont engagées.
Indemnités de départ : Les employés ont droit à des indemnités de départ, prévues dans leurs conventions collectives ou les conditions d'emploi. Le coût de ces indemnités s'accumule à mesure que les employés effectuent les services nécessaires pour les gagner. Le coût des avantages sociaux gagnés par les employés du Secrétariat est calculé à l'aide de l'information provenant des résultats du passif sur une base actuarielle pour les prestations de départ pour l'ensemble du gouvernement.
Les débiteurs et avances sont comptabilisés en fonction des montants que l'on prévoit réaliser.
Le passif éventuel représente des obligations possibles qui peuvent devenir des obligations réelles selon que certains événements futurs se produisent ou non. Dans la mesure où l'événement futur risque de se produire ou non et si l'on peut établir une estimation raisonnable de la perte, on comptabilise un passif estimatif et une charge. Si la probabilité ne peut être déterminée ou s'il est impossible de faire une estimation raisonnable du montant, l'éventualité est présentée dans les notes complémentaires aux états financiers.
Toutes les immobilisations corporelles et les améliorations locatives dont le coût initial est d'au moins 10 000 $ sont comptabilisées à leur coût d'achat. Le Secrétariat n'inscrit pas à l'actif les biens incorporels, les œuvres d'art et les trésors historiques ayant une valeur culturelle, esthétique ou historique.
Les immobilisations corporelles sont amorties selon la méthode linéaire sur la durée de vie utile estimative de l'immobilisation, comme suit :
Catégorie d'immobilisations | Période d'amortissement |
---|---|
Machines et matériel | 3 à 10 ans |
Véhicules automobiles | 3 ans |
Améliorations locatives | Le moindre du reste de la durée du bail ou de la vie utile de l'amélioration |
Actifs en construction | Une fois qu'ils sont en service, selon la catégorie d'immobilisations |
La préparation de ces états financiers conformément aux conventions comptables du Conseil du Trésor du Canada, qui sont conformes aux principes comptables généralement reconnus du Canada pour le secteur public, exige de la direction qu'elle fasse des estimations et pose des hypothèses qui influent sur les montants déclarés des actifs, des passifs, des revenus et des charges présentés dans les états financiers. Au moment de la préparation des présents états financiers, la direction considère que les estimations et les hypothèses sont raisonnables.
Les principaux éléments pour lesquels des estimations sont faites sont le passif éventuel, le passif pour les indemnités de départ et la durée de vie utile des immobilisations corporelles. Les résultats réels pourraient différer des estimations de manière significative. Les estimations de la direction sont examinées périodiquement et, à mesure que les rajustements deviennent nécessaires, ils sont constatés dans les états financiers de l'exercice où ils sont connus.
Le Secrétariat reçoit la plus grande partie de son financement au moyen de crédits parlementaires annuels. Les éléments comptabilisés dans l'état des résultats et l'état de la situation financière d'un exercice peuvent être financés au moyen de crédits parlementaires qui ont été autorisés dans des exercices précédents, pendant l'exercice en cours ou qui le seront dans des exercices futurs.
En conséquence, les résultats de fonctionnement nets du ministère diffèrent selon qu'ils sont présentés selon le financement octroyé par le gouvernement ou selon la méthode de la compatibilité d'exercice. Les différences sont rapprochées dans les tableaux suivants:
2010 | 2009 | |
---|---|---|
(milliers $) | ||
Coût de fonctionnement net | 2 351 139 | 1 955 846 |
Rajustements pour les postes ayant une incidence sur le coût de fonctionnement net, mais qui n'ont pas d'incidence sur les crédits : Ajouter (déduire) : |
||
Services fournis gratuitement par d'autres ministères | (23 839) | (17 218) |
Revenus non disponibles pour dépenser | 12 534 | 12 571 |
(Augmentation) des indemnités de vacances et congés compensatoires | (3 590) | (470) |
(Augmentation) des indemnités de départ | (7 238) | (5 185) |
Amortissement des immobilisations corporelles | (3 341) | (1 225) |
Autres | 14 038 | 13 169 |
(11 436) | 1 642 | |
Rajustements pour les postes sans incidence sur le coût de fonctionnement net, mais ayant une incidence sur les crédits : Ajouter (déduire) |
||
Acquisition d'immobilisations corporelles | 1 263 | 2 551 |
Avances | 591 | (414) |
1 854 | 2 137 | |
Crédits de l'exercice en cours utilisés | 2 341 557 | 1 959 625 |
2010 | 2009 | |
---|---|---|
(milliers $) | ||
Crédits fournis | ||
Crédit 1 – Dépenses du Programme | 263 987 | 196 337 |
Crédit 5 – Éventualités du gouvernement | 712 117 | 651 565 |
Crédit 10 – Initiatives pangouvernementales | 7 551 | 7 141 |
Crédit 15 – Rajustement à la rémunération | - | 1 |
Crédit 20 – Assurances de la fonction publique | 2 164 302 | 1 862 944 |
Crédit 25 – Report du budget de fonctionnement | 481 554 | 113 426 |
Crédit 30 – Besoins en matière de rémunération | 4 543 | - |
Crédit 35 – Initiatives d'exécution du budget | 883 489 | - |
4 517 503 | 2 831 414 | |
Montants législatifs : | ||
Contributions aux régimes d'avantages sociaux des employés | 31 286 | 20 835 |
Contributions de l'employeur non affectées et versées en vertu de la Loi sur la pension de la fonction publique, d'autres lois concernant la retraite et de la Loi sur l'assurance-emploi | 6 471 | 9 481 |
Versements liés à l'exécution de l'entente sur la parité salariale en vertu de l'article 30 de la Loi sur la responsabilité civile de l'État et le contentieux administratif |
(517) | (972) |
Président du Conseil du Trésor –Traitement et allocation pour automobile |
78 | 77 |
Autres montants législatifs | 24 | 20 |
37 342 | 29 441 | |
Moins : | ||
Montants annulés : | ||
Crédit 1 – Dépenses du Programme | (21 901) | (12 129) |
Crédit 5 – Éventualités du gouvernement | (712 117) | (651 565) |
Crédit 10 – Initiatives pangouvernementales | (7 511) | (7 141) |
Crédit 15 – Rajustement à la rémunération | - | (1) |
Crédit 20 – Assurances de la fonction publique | (102 152) | (116 951) |
Crédit 25 – Report du budget de fonctionnement | (481 554) | (113 426) |
Crédit 30 – Besoins en matière de rémunération | (4 543) | - |
Crédit 35 – Initiatives d'exécution du budget | (883 489) | - |
Dépense du produit de disposition de biens excédentaires de l'État | (21) | (17) |
(2 213 288) | (901 230) | |
Crédits de l'exercice en cours utilisés | 2 341 557 | 1 959 625 |
2010 | 2009 | |
---|---|---|
(milliers $) | ||
Encaisse nette fournie par le gouvernement | 2 640 093 | 2 063 419 |
Revenus non disponibles pour dépenser | 12 534 | 12 571 |
Variation de la situation nette du Trésor : | ||
(Augmentation) des débiteurs et des avances | (429 405) | (126 865) |
(Diminution) augmentation des charges payées d'avance | (64) | 36 |
Augmentation des créditeurs et charges à payer | 127 561 | (2 291) |
Augmentation des indemnités de vacances et congés compensatoires | 3 590 | 470 |
Transfert de l'Agence de gestion des ressources humaines de la fonction publique du Canada, en vigueur le 1er avril 2009 (note 13) | (20 117) | - |
Autres | 7 365 | 12 285 |
(311 070) | (116 365) | |
Crédits de l'exercice en cours utilisés | 2 341 557 | 1 959 625 |
2010 | 2009 | |
---|---|---|
(milliers $) | ||
Paiements de transfert | 220 | 228 |
Charges de fonctionnement : | ||
Fonds gérés par l'administration centrale (note 4b) | 2 067 613 | 1 743 227 |
Salaires et avantages sociaux ministériels | 212 981 | 160 983 |
Services professionnels et spéciaux | 47 675 | 39 519 |
Installations | 19 263 | 13 523 |
Transports et télécommunications | 5 795 | 5 064 |
Machinerie et matériel | 4 698 | 3 257 |
Services publics, fournitures et approvisionnements | 1 921 | 1 524 |
Location | 1 312 | 969 |
Information | 1 033 | 733 |
Services de réparation et d'entretien | 1 354 | 342 |
Amortissement | 3 341 | 1 225 |
Autres | 380 | 1 005 |
Total des charges de fonctionnement | 2 367 366 | 1 971 371 |
Total des charges et paiements de transfert | 2 367 586 | 1 971 599 |
Comme l'indique la note 13, l'Agence de gestion des ressources humaines de la fonction publique du Canada (Agence de la fonction publique du Canada) a été regroupé avec le Secrétariat du Conseil du Trésor le 1er avril 2009. Les dépenses du Secrétariat du Conseil du Trésor pour 2008-2009 n'ont pas été redressées pour refléter la fusion. Une partie importante de l'augmentation des dépenses du Secrétariat entre 2008-2009 et 2009-2010, sauf pour les fonds gérés par l'administration centrale, est reliée à ce regroupement.
Le gouvernement du Canada parraine des régimes de retraite à prestations déterminées auxquels participent presque tous ses employés. Le Secrétariat assure le financement des cotisations de l'employeur au Régime de pension de retraite de la fonction publique et aux régimes compensatoires, ce qui inclut les cotisations au titre d'insuffisances actuarielles.
Le Secrétariat assure aussi les paiements suivants :
De façon générale, les cotisations au Régime de pension de retraite de la fonction publique, au Compte de prestations de décès de la fonction publique, au Régime de pensions du Canada et au Régime des rentes du Québec ainsi que les cotisations d'assurance-emploi sont recouvrées auprès des ministères et des organismes, ainsi qu'à même des fonds renouvelables, en proportion des charges engagées au titre des salaires et traitements. Les cotisations aux régimes d'assurance-maladie sont recouvrées auprès de certains ministères et organismes ainsi qu'à même tous les fonds renouvelables, selon une proportion fixée à 8,5 p. 100 (8,0 p. 100 en 2009) des salaires et traitements versés.
Voici une ventilation par grandes catégories :
2010 | 2009 | |
---|---|---|
(milliers $) | ||
Charges | ||
Cotisations au Régime de pension de retraite de la fonction publique et aux régimes compensatoires (législatif) | 2 687 405 | 2 323 497 |
Régime de soins de santé de la fonction publique (crédit 20) | 909 815 | 790 469 |
Cotisations au Régime de pensions du Canada et au Régime des rentes du Québec (législatif) |
666 590 | 590 851 |
Charges sociales des provinces (crédit 20) | 524 764 | 464 549 |
Assurance-invalidité collective et assurance-vie collective (crédit 20) | 472 401 | 355 677 |
Cotisations d'assurance-emploi (législatif) | 274 641 | 248 404 |
Régime de soins dentaires de la fonction publique (crédit 20) | 269 608 | 227 128 |
Régime de services dentaires pour les pensionnés (crédit 20) | 122 031 | 110 840 |
Pension et autres avantages sociaux des employés embauchés localement par des missions canadiennes à l'étranger (crédit 20) | 50 330 | 47 384 |
Cotisations aux régimes provinciaux d'assurance-maladie (crédit 20) | 31 068 | 35 626 |
Cotisations au Régime québécois d'assurance parentale (crédit 20) | 32 333 | 27 307 |
Cotisations au Compte de prestations de décès de la fonction publique (législatif) | 11 582 | 10 430 |
Cotisations au Régime de pension de retraite de la fonction publique et régimes compensatoires, au titre des insuffisances actuarielles (législatif) | 6 200 | 9 500 |
Charges de fonctionnement (crédit 20) | 5 584 | 5 566 |
Pension et paiements similaires à d'anciens employés (crédit 20 et législatif) | 3 297 | 2 689 |
Réduction des cotisations d'assurance-emploi (crédit 20) | 1 749 | 1 341 |
Paiements spéciaux divers (législatif) | (517) | (972) |
Total des charges | 6 068 881 | 5 250 286 |
Recouvrements | ||
Cotisations de l'employeur aux régimes d'avantages sociaux des employés recouvrées auprès de ministères et d'organismes (législatif) | 3 639 946 | 3 173 201 |
Cotisations de l'employeur aux régimes d'assurance recouvrées auprès de ministères et d'organismes (crédit 20) | 177 942 | 156 180 |
Cotisations des employés au Régime de soins de santé de la fonction publique recouvrées auprès de ministères et autres organisations (crédit 20) | 132 159 | 129 256 |
Cotisations des pensionnés au Régime de services dentaires pour les pensionnés (crédit 20) |
51 221 | 48 422 |
Total des recouvrements | 4 001 268 | 3 507 059 |
Charges nettes | 2 067 613 | 1 743 227 |
Ce tableau présente des renseignements sur les revenus par catégorie :
2010 | 2009 | |
---|---|---|
(milliers $) | ||
Frais de stationnement | 11 595 | 11 643 |
Recouvrement des coûts d'administration du régime de pension | 4 772 | 4 036 |
Autres | 80 | 74 |
Total des revenus | 16 447 | 15 753 |
Ce tableau présente des renseignements sur les débiteurs et les avances :
2010 | 2009 | |
---|---|---|
(milliers $) | ||
Débiteurs des autres ministères et organismes fédéraux | 657 819 | 229 142 |
Avances à l'extérieur | 1 054 | 564 |
Débiteurs de l'extérieur | 473 | 271 |
Avances aux employés | 105 | 60 |
Dépôts en transit au receveur général | 3 | 12 |
Total des débiteurs et des avances | 659 454 | 230 049 |
Ce tableau présente des renseignements sur les immobilisations corporelles :
La charge d'amortissement pour l'exercice terminé le 31 mars 2010 s'élève à 3 341 milliers $ (1 225 milliers $ en 2009).
La colonne transfert des actifs tient compte des actifs et de l'amortissement résultant du regroupement de l'Agence de gestion des ressources humaines de la fonction publique et le transfert du ministère des Finances (note 13).
(milliers $) | Coût | ||||
---|---|---|---|---|---|
Catégorie d'immobilisations | Solde d'ouverture | Transfert des actifs (note 13) | Acquisitions | Aliénations et radiations | Solde de clôture |
Machines et matériel | 15 084 | 8 816 | 1 227 | (104) | 25 023 |
Véhicules automobiles | 102 | 59 | 36 | (72) | 125 |
Améliorations locatives | 1 952 | - | - | - | 1 952 |
Actifs en construction | - | - | - | - | - |
Total | 17 138 | 8 875 | 1 263 | (176) | 27 100 |
(milliers $) | Amortissement cumulé | ||||
---|---|---|---|---|---|
Catégorie d'immobilisations | Solde d'ouverture | Transfert des actifs (note 13) | Amortissement | Aliénations et radiations | Solde de clôture |
Machines et matériel | 2 005 | 5 158 | 3 307 | (96) | 10 374 |
Véhicules automobiles | 55 | 30 | 34 | (67) | 52 |
Améliorations locatives | 1 952 | - | - | - | 1 952 |
Actifs en construction | - | - | - | - | - |
Total | 4 012 | 5 188 | 3 341 | (163) | 12 378 |
(milliers $) | Valeur comptable nette | |
---|---|---|
Catégorie d'immobilisations | 2010 | 2009 |
Machines et matériel | 14 649 | 13 079 |
Véhicules automobiles | 73 | 47 |
Améliorations locatives | - | - |
Actifs en construction | - | - |
Total | 14 722 | 13 126 |
Ce tableau présente des renseignements sur les créditeurs et les charges à payer par catégorie :
2010 | 2009 | |
---|---|---|
(milliers $) | ||
Créditeurs des autres ministères et organismes fédéraux | 321 929 | 254 804 |
Créditeurs de l'extérieur | 244 846 | 184 410 |
Total des créditeurs et charges à payer | 566 775 | 439 214 |
Les employés du Secrétariat participent au Régime de retraite de la fonction publique, qui est parrainé et administré par le gouvernement du Canada. Les prestations de retraite s'accumulent sur une période maximale de 35 ans au taux de 2 p. 100 par année de services ouvrant droit à pension multiplié par la moyenne des gains des cinq meilleures années consécutives. Les prestations sont intégrées aux prestations du Régime de pensions du Canada et du Régime de rentes du Québec et sont indexées à l'inflation.
Le Secrétariat assure le financement des cotisations de l'employeur au Régime de pension de retraite de la fonction publique, y compris les cotisations au titre d'insuffisances actuarielles, au nom de tous les ministères et organismes, et il recouvre une partie des coûts en question.
Au cours de l'exercice, il a versé 22 589 milliers $ (comparativement à 15 043 milliers $ en 2009) au titre de ses propres employés, ce qui est environ 1,9 fois plus élevé (2,0 fois plus élevé en 2009) que les cotisations versées par les employés.
Le Secrétariat verse des indemnités de départ aux employés en fonction de l'admissibilité, des années de service et du salaire final. Ces indemnités ne sont pas capitalisées d'avance. Les prestations seront prélevées sur les crédits futurs. Le passif relié aux indemnités de départ pour l'exercice 2009-10 a été calculé à partir d'une estimation déterminée pour l'ensemble du gouvernement de 23.27% (26,92% pour 2008-09), qui a été appliquée au total des salaires reliés aux employés indéterminés du Secrétariat.
Voici quelles étaient les indemnités de départ au 31 mars :
2010 | 2009 | |
---|---|---|
(milliers $) | ||
Obligations au titre des prestations constituées - début de l'exercice | 28 888 | 23 703 |
Charges pour l'exercice | 1 070 | 7 149 |
Prestations versées pendant l'exercice | (3 935) | (1 964) |
Transfert de l'Agence de gestion des ressources humaines de la fonction publique du Canada, en vigueur le 1er avril 2009 (note 13) | 10 103 | - |
Obligations au titre des prestations constituées - fin de l'exercice | 36 126 | 28 888 |
Réclamations et litiges
Des réclamations ont été faites envers le Secrétariat dans le cours normal de ses activités. Des poursuites pour les réclamations totalisant environ 67 milliards $ (62 milliards $ en 2009) étaient toujours en instance au 31 mars 2010. Certaines obligations éventuelles pourraient devenir des obligations réelles selon que certains événements futurs se produisent ou non. Dans la mesure où l'événement futur risque de se produire ou non et si l'on peut établir une estimation raisonnable de la perte, on comptabilise un passif estimatif et une charge dans les états financiers. Aucune charge à payer n'a été inscrite aux états financiers pour ces passifs éventuels.
La plus importante de ces actions en justice est décrite au paragraphe suivant.
En septembre 1999, le Parlement a promulgué la Loi sur l'Office d'investissement des régimes de pensions du secteur public (C-78). Cette loi a permis d'améliorer la gestion financière des régimes de retraite du secteur public, y compris les régimes de retraite de la fonction publique (CPRFP), de la GRC (CPRGRC) et des Forces canadiennes (CPRFC). La nouvelle loi autorisait le président du Conseil du Trésor à débiter les comptes de manière à réduire le montant de certains soldes excessifs des comptes de pension de retraite. À la fin de 1999, les principaux syndicats de la fonction publique et associations de pensionnés ont intenté trois poursuites contre la Couronne, contestant la validité de la loi. Le 20 novembre 2007, les actions des codemandeurs ont été rejetées. En février 2008, les trois codemandeurs ont porté en appel la décision. L'appel a été entendu le 19, 20 et 21 avril, 2010. Une décision est en cours.
De par leurs natures, les activités du Secrétariat peuvent donner lieu à des contrats et des obligations en vertu desquels le Secrétariat sera tenu d'effectuer des paiements échelonnés sur plusieurs années pour l'acquisition de biens ou services.
Voici les principales obligations contractuelles pour lesquelles une estimation raisonnable peut être faite :
(milliers $) | 2011 | 2012 | 2013 | 2014 | 2015 et ultér. | Total |
---|---|---|---|---|---|---|
Régime de soins de santé et soins dentaires de la fonction publique | 33 381 | 34 134 | 24 644 | 26 494 | 28 777 | 147 430 |
Autres services professionnels | 5 491 | 1 514 | 7 005 | |||
Services de conseillers en gestion | 1 718 | 1 718 | ||||
Services de sécurité | 2 107 | 2 107 | ||||
Services informatiques | 1 160 | 1 160 | ||||
Total | 43 857 | 35 648 | 24 644 | 26 494 | 28 777 | 159 420 |
Services fournis gratuitement
En vertu du principe de propriété commune, le Secrétariat est apparenté à tous les ministères, organismes et sociétés d'État du gouvernement du Canada. Le Secrétariat conclut des opérations avec ces entités dans le cours normal de ses activités et selon des modalités commerciales normales.
De plus, au cours de l'exercice, le Secrétariat reçoit gratuitement des services d'autres ministères comme il est indiqué dans le tableau suivant :
2010 | 2009 | |
---|---|---|
(milliers $) | ||
Installations | 19 263 | 13 523 |
Services juridiques | 4 576 | 3 695 |
Total | 23 839 | 17 218 |
Le gouvernement a structuré certaines de ses activités administratives de manière à optimiser l'efficience et l'efficacité de sorte qu'un seul ministère mène sans frais certaines activités au nom de tous. Le coût de ces services, notamment les services de paye et d'émission de chèques fournis par Travaux publics et services gouvernementaux Canada ne sont pas inclus à titre de charge dans l'état des résultats du ministère.
a) Le décret du Conseil Privé P.C. 2009-0181 a approuvé le regroupement de l'Agence de gestion des ressources humaines de la fonction publique du Canada (Agence de la fonction publique du Canada) avec le Secrétariat du Conseil du Trésor du Canada, à compter du 2 mars 2009. L'impact financier de ce regroupement aux actifs, passifs et avoir du Canada a été reporté effectif le 1er avril 2009 et les actifs et passifs suivants ont été transférés de l'Agence de gestion des ressources humaines de la fonction publique du Canada au Secrétariat du Conseil du Trésor du Canada:
2010 | |
---|---|
(milliers $) | |
Actifs | |
Débiteurs et avances | 2,438 |
Immobilisations corporelles | 76 |
2,514 | |
Passifs | |
Créditeurs et charges à payer | 9,670 |
Indemnités de vacances et congés compensatoires | 2,858 |
Indemnités de départ | 10,103 |
22,631 | |
Ajustement à l'avoir du Canada | (20,117) |
b) Le décret du Conseil Privé P.C. 2009-0112 a approuvé le transfert du Ministère des Finances au Secrétariat du Conseil du Trésor du Canada de la responsabilité de certains secteurs de l'administration publique fédérale reliés aux services ministériels partagés, à compter du 1er février 2009. Des actifs à la valeur comptable nette de 3 611 $ milliers ont été transférés du ministère des Finances au Secrétariat du Conseil du Trésor en 2009-2010.
Les chiffres de l'exercice précédent ont été reclassés afin de les rendre conformes à la présentation adoptée pour l'exercice en cours.
Les dépenses prévues dans le cadre de l'activité de programme 3 ont principalement trait au crédit qui suit :
Au besoin, d'autres fonds pour éventualités sont mis à la disposition des ministères et organismes, qui préciseront leurs dépenses dans la rubrique concernant leurs activités de programme. Les crédits qui suivent sont donc exclus des dépenses prévues du Secrétariat du Conseil du Trésor (le Secrétariat).
Ce crédit donne au gouvernement le pouvoir et la souplesse nécessaires pour couvrir les dépenses imprévues ou urgentes en attendant les approbations du Parlement. La plupart des postes du présent crédit sont considérés comme des avances temporaires servant à couvrir des crédits qui seront inscrits dans le prochain budget supplémentaire des dépenses des ministères et organismes et qui seront remboursés lorsque sera adoptée la loi sur les crédits appropriée.
Ce crédit s'ajoute aux crédits des ministères et organismes qui appuient la mise en œuvre des initiatives de gestion stratégique à l'échelle de la fonction publique. On s'en sert habituellement pour soutenir des initiatives telles que le Gouvernement en direct, l'innovation et la modernisation de la fonction de contrôleur, la Stratégie d'information financière (SIF), l'équité en matière d'emploi, l'évaluation des programmes et la vérification interne.
Ce crédit permet de transférer, en temps opportun et directement, des montants aux ministères et organismes, conformément à la Politique du report du budget de fonctionnement, dès que les montants admissibles sont confirmés par le Secrétariat et approuvés par les ministres du Conseil du Trésor. Les fonds de 1, 2 milliard de dollars du présent crédit, lequel n'entraîne pas de coûts supplémentaires pour le gouvernement, correspondent au montant approximatif que les ministères et organismes auraient autrement demandé au titre de leurs besoins éventuels au moyen de plusieurs budgets supplémentaires de dépenses.
Ce crédit permet de répondre aux besoins des ministères et organismes liés au versement des prestations parentales, des prestations liées à la cessation des services ou d'autres prestations. Pour éviter la discrimination dans les pratiques de recrutement, les coûts de la rémunération sont assumés par l'administration centrale depuis le lancement du régime des budgets de fonctionnement, en 1993. Ce crédit allège le fardeau des ministères et organismes relatif à la gestion de fonds lorsqu'il s'agit de remplir ces obligations juridiques.
Ce nouveau crédit central du Conseil du Trésor est destiné à la mise en œuvre de certains programmes inclus dans le budget fédéral de 2009. Pour la période commençant le 1er avril 2009 et se terminant le 30 juin 2009, le crédit 35 permettra d'augmenter d'autres crédits et d'accorder aux organisations gouvernementales concernées des fonds qui permettront le financement d'initiatives annoncées dans le budget fédéral de 2009. Les crédits s'appliqueront à des dépenses qui s'inscrivent dans les mandats légaux des organisations et qui ne sont pas prévues autrement, notamment de nouvelles subventions et des augmentations aux montants inscrits dans les budgets des dépenses.
Les présentes définitions des cotes d'indice de rendement utilisées dans le RMR correspondent aux différents niveaux de rendement atteints relativement aux priorités et aux résultats escomptés.
Plus de 100 % du niveau de rendement attendu (selon l'indicateur et l'objectif ou les activités et les résultats prévus) inhérent au résultat escompté ou à la priorité que précise le RPP correspondant a été atteint au cours de l'exercice.
Exactement 100 % du niveau de rendement attendu (selon l'indicateur et l'objectif ou les activités et les résultats prévus) inhérent au résultat escompté ou à la priorité que précise le RPP correspondant a été atteint au cours de l'exercice.
De 80 à 99 % du niveau de rendement attendu (selon l'indicateur et l'objectif ou les activités et les résultats prévus) inhérent au résultat escompté ou à la priorité que précise le RPP correspondant a été atteint au cours de l'exercice.
De 60 à 79 % du niveau de rendement attendu (selon l'indicateur et l'objectif ou les activités et les résultats prévus) inhérent au résultat escompté ou à la priorité que précise le RPP correspondant a été atteint au cours de l'exercice.
Moins de 60 % du niveau de rendement attendu (selon l'indicateur et l'objectif ou les activités et résultats prévus) inhérent au résultat escompté ou à la priorité que précise le RPP correspondant a été atteint au cours de l'exercice.
Note au lecteur
Depuis l'entrée en vigueur, le 1er avril 2009, de la Politique sur le contrôle interne du Conseil du Trésor, les ministères sont tenus de démontrer qu'ils se sont dotés d'un système efficace de contrôle interne en matière de rapports financiers (CIRF).
Dans le cadre de cette politique, les ministères doivent évaluer annuellement leur système de CIRF, établir des plans d'action pour apporter les ajustements qui s'imposent et joindre à leur Déclaration de responsabilité de la direction un sommaire des résultats de l'évaluation et du plan d'action.
L'efficacité des systèmes de CIRF vise à obtenir des états financiers fiables et à garantir que :
Il importe de noter que le système de CIRF n'est pas conçu pour éliminer totalement les risques mais plutôt pour les atténuer à un niveau raisonnable, au moyen des contrôles proportionnels aux risques qu'ils visent à atténuer.
Le maintien d'un système efficace de CIRF constitue un processus continu dont le but est d'identifier, d'évaluer l'efficacité et d'apporter des ajustements nécessaires aux risques clés et aux contrôles clés connexes, et aussi, de surveiller son rendement pour une amélioration continue. Par conséquent, la portée, la fréquence et l'état d'avancement des évaluations relatives à l'efficacité du système peuvent varier d'une organisation à l'autre, compte tenu des risques et des situations qui sont propres à chacune.
Le présent document est annexé à la Déclaration de responsabilité de la direction englobant le contrôle interne en matière de rapports financiers de l'exercice 2009-2010 du Secrétariat du Conseil du Trésor du Canada. Comme l'exige la Politique sur le contrôle interne du Conseil du Trésor, en vigueur depuis le 1er avril 2009, le document présente des renseignements sommaires sur les mesures prises par le Secrétariat du Conseil du Trésor du Canada en vue de maintenir un système efficace de contrôle interne en matière de rapports financiers (CIRF). Plus particulièrement, il fournit de l'information sommaire sur les évaluations menées par le Secrétariat du Conseil du Trésor du Canada jusqu'au 31 mars 2010, des renseignements sur les progrès, les résultats et les plans d'action connexes ainsi que les principales données financières permettant de comprendre l'environnement de contrôle propre au Secrétariat du Conseil du Trésor.
Il importe de noter que le système de CIRF n'est pas conçu pour éliminer totalement les risques mais plutôt pour les atténuer à un niveau raisonnable au moyen des contrôles proportionnels aux risques qu'ils visent à atténuer. Le maintien d'un système efficace de CIRF constitue un processus continu dont le but est de cerner les risques clés et les contrôles clés connexes, d'en évaluer l'efficacité et d'y apporter les rajustements nécessaires, et aussi de surveiller son rendement à des fins d'amélioration continue.
Le Secrétariat du Conseil du Trésor du Canada est l'organe administratif du Conseil du Trésor. Le Conseil du Trésor est un comité de ministres du Cabinet investi de multiples responsabilités de gestion de l'excellence, d'élaboration de politiques et de surveillance du budget. Le Secrétariat du Conseil du Trésor du Canada appuie les ministres du Conseil du Trésor et renforce le mode de gestion du gouvernement afin de mieux servir les Canadiens et de veiller à l'optimisation des ressources dans le cadre des dépenses du gouvernement. Il atteint ces objectifs en :
a) s'acquittant de ses responsabilités en tant que ministère et organisme central du gouvernement fédéral;
b) effectuant des paiements centraux et en percevant des recettes à titre d'employeur aux fins des régimes de pension et d'avantages sociaux de la fonction publique.
Bien que ces deux rôles soient importants, une majorité écrasante des dépenses, dans ces états financiers, se rapportent aux paiements centraux liés aux régimes de pension et d'avantages sociaux.
Il est possible d'obtenir des renseignements détaillés sur les pouvoirs, le mandat et les activités du programme du Secrétariat du Conseil du Trésor du Canada en consultant le Rapport ministériel sur le rendement et le Rapport sur les plans et les priorités.
Les états financiers (non vérifiés) de l'exercice 2009-2010 du Secrétariat du Conseil du Trésor du Canada sont disponibles sur son site Internet. Il est également possible d'obtenir de l'information sur les Comptes publics du Canada.
Principales données financières du Secrétariat du Conseil du Trésor du Canada :
Le Secrétariat a recours à d'autres organisations pour le traitement de certaines opérations qui sont consignées dans ses états financiers. Voici une liste non exhaustive de ces ententes :
Ententes courantes
Ententes particulières
Divers ministères gouvernementaux dépendent du SCT pour le traitement de certaines opérations ou la cueillette d'information ayant une incidence sur leurs états financiers :
Ententes courantes :
Ententes particulières :
Depuis le 2 mars 2009, l'Agence de gestion des ressources humaines de la fonction publique du Canada est fusionnée au Secrétariat du Conseil du Trésor du Canada. L'impact financier de cette fusion n'apparaissait pas dans les états financiers de l'exercice 2008-2009. La fusion avec l'Agence de gestion des ressources humaines de la fonction publique du Canada s'est traduite par une augmentation des ressources budgétaires rapportées dans les états financiers du Secrétariat, qui totalisent 56 millions de dollars. En outre, depuis le 1er février 2009, une partie significative de la Direction des services ministériels du ministère des Finances a été transférée au SCT, ce qui fait que ce dernier fournit maintenant des services ministériels partagés au ministère des Finances. La dépense représentant la part du Secrétariat pour la plupart de ces services a déjà été portée aux états financiers du Secrétariat du Conseil du Trésor du Canada.
Le Secrétariat du Conseil du Trésor du Canada reconnaît l'importance du leadership de la haute direction pour s'assurer que tous les employés de tous les échelons comprennent leurs rôles respectifs en ce qui concerne le maintien de l'efficacité des systèmes de CIRF, et qu'ils ont tous les outils nécessaires pour exercer leurs responsabilités. L'objectif du Secrétariat du Conseil du Trésor du Canada est de continuellement améliorer son environnement de contrôle interne en utilisant une approche axée sur les risques et en investissant dans des ressources ciblées de façon à atteindre le niveau d'efficacité voulu à un coût raisonnable.
Ci-dessous sont énumérés les postes et les comités clés du Secrétariat qui sont chargés de maintenir et d'examiner l'efficacité de son système de CIRF.
Secrétaire – À titre d'administrateur des comptes, le secrétaire du Secrétariat du Conseil du Trésor du Canada assume globalement la responsabilité et la direction des mesures prises pour maintenir l'efficacité du système de contrôle interne. Dans ce rôle, le secrétaire préside le Comité exécutif du Secrétariat du Conseil du Trésor du Canada et est membre du Comité de vérification ministériel.
Dirigeant principal des finances (DPF) – Le dirigeant principal des finances du Secrétariat du Conseil du Trésor du Canada soutient le secrétaire, dont il relève directement, et guide la coordination, la cohérence et l'orientation de la conception et du maintien d'un système de contrôle interne efficace et intégré en matière de rapports financiers, y compris son évaluation annuelle.
Secrétaires adjoints et autres cadres supérieurs du ministère – Les cadres supérieurs du Secrétariat du Conseil du Trésor du Canada chargés de l'exécution des programmes sont responsables du maintien et de l'examen de l'efficacité du système de CIRF qui relève de leur mandat.
Dirigeant principal de la vérification (DPV) – Le dirigeant principal de la vérification du Secrétariat du Conseil du Trésor du Canada est placé sous l'autorité directe du secrétaire et fournit une assurance en effectuant périodiquement des vérifications internes qui aident à maintenir l'efficacité du système de CIRF.
Comité de vérification du gouvernement du Canada (CVGC) – Le Comité de vérification du gouvernement du Canada est un comité consultatif qui émet des opinions objectives sur les états financiers et les cadres de gestion des risques, de contrôle et de gouvernance du Secrétariat du Conseil du Trésor du Canada. Il est composé de trois membres externes, d'un sous-ministre ne provenant pas du Secrétariat et du secrétaire du SCT. Sous cette forme, il analyse le profil de risque de l'organisation du Secrétariat du Conseil du Trésor du Canada, ses rapports de vérification interne et son système de contrôle interne, y compris l'évaluation et les plans d'action relatifs au système de CIRF.
L'environnement de contrôle du Secrétariat comprend une série de mesures et d'outils qui contribuent à accroître la sensibilisation et à améliorer les connaissances et les compétences des employés sur les mécanismes de contrôle interne. Par exemple :
En 2004, le gouvernement du Canada a entrepris une initiative pour déterminer si les états financiers des ministères pouvaient être soumis à des vérifications axées sur le contrôle, se fiant ainsi à des contrôles internes qui fonctionnaient bien. Conséquemment, en 2007, le Secrétariat du Conseil du Trésor du Canada a reçu une évaluation de l'état de préparation à la vérification qui a été menée par une firme d'experts-conseils externe et indépendante. Cette évaluation a servi de base de référence au Secrétariat du Conseil du Trésor du Canada pour aller de l'avant et procéder à la révision de ses mesures de contrôles internes et à la vérification des états financiers fondés sur le contrôle.
Que ce soit pour faciliter les vérifications axées sur le contrôle ou satisfaire aux exigences de la Politique sur le contrôle interne, le Secrétariat doit être en mesure de maintenir l'efficacité de son système de CIRF dans le but de donner l'assurance raisonnable que a) les opérations sont autorisées en bonne et due forme; b) les documents financiers sont bien tenus à jour; c) les biens sont protégés; et d) les lois, les règlements et les politiques applicables sont respectés.
Au fil du temps, le processus a inclus l'évaluation de l'efficacité de la conception et du fonctionnement du système de CIRF, ce qui se traduit par la surveillance et l'amélioration continues du système ministériel de CIRF.
L'efficacité de la conception signifie qu'il faut s'assurer de déterminer les principaux points de contrôle, de les documenter, de les mettre en place et de les adapter aux risques (c.-à-d. que les contrôles sont adaptés aux risques qu'ils visent à atténuer et qu'ils sont proportionnels à ces derniers) et d'apporter des corrections, au besoin. Cela comprend la mise en correspondance des processus et des systèmes de TI cruciaux avec les principaux comptes des états financiers.
L'efficacité du fonctionnement signifie que l'application des contrôles clés a été vérifiée sur une période définie et que les corrections ont été apportées. De telles modifications couvrent tous les niveaux de contrôles ministériels, tant au niveau de l'organisation ou de l'entité, qu'au niveau des processus opérationnels et des systèmes généraux de TI.
Le Secrétariat, en tant que ministère, a évalué la conception de son système de CIRF et a mis en place un système de surveillance pour le maintenir et l'améliorer continuellement.
En vue de se préparer à la vérification fondée sur les contrôles, le Secrétariat du Conseil du Trésor du Canada, avec l'aide d'un cabinet d'expert-conseil indépendant externe, a examiné ses états financiers et a dégagé les processus opérationnels importants et les principaux contrôles. Il a par la suite cerné les lacunes potentielles à l'intérieur du cadre de contrôle interne ainsi que le niveau de risque connexe. Il a d'abord relevé les contrôles généraux au niveau de l'entité, puis les contrôles de processus opérationnels, divisés en neuf processus clés. Ces processus opérationnels étaient regroupés en deux catégories : 1) les processus du Secrétariat du Conseil du Trésor du Canada dans son rôle de ministère et 2) les processus du Secrétariat du Conseil du Trésor du Canada dans son rôle de gestionnaire des fonds pangouvernementaux et des paiements en tant qu'employeur de la fonction publique.
Processus opérationnels du Secrétariat du Conseil du Trésor du Canada dans son rôle de ministère :
Processus opérationnels du Secrétariat du Conseil du Trésor du Canada dans son rôle de gestionnaire des fonds pangouvernementaux et des paiements en tant qu'employeur de la fonction publique :
Les étapes suivantes ont été suivies pour chacun des processus opérationnels du Secrétariat dans son rôle de ministère :
Pour chacun des processus opérationnels du Secrétariat dans son rôle de gestionnaire des fonds pangouvernementaux et des paiements en tant qu'employeur de la fonction publique, les étapes suivantes ont été partiellement suivies :
Le Secrétariat a également tenu compte de renseignements tirés de vérifications et d'évaluations pertinentes. Les rapports de vérification interne suivants ont été examinés :
Dans le cadre de l'évaluation de ses contrôles clés, le Secrétariat s'est concentré sur l'efficacité de la conception et sur l'efficacité opérationnelle et a commencé à confirmer la mise en œuvre des contrôles.
Dans le cadre des essais sur l'efficacité de la conception, le Secrétariat a mis à jour la documentation sur les processus opérationnels et a validé les processus clés auprès de la gestion. Il a vérifié si les processus documentés correspondaient à la réalité et a apporté les corrections nécessaires à la documentation ou au processus, selon le cas. À la suite de ces évaluations, le Secrétariat a conclu à la nécessité d'apporter des mesures correctives aux endroits suivants :
Documents étayant les contrôles et preuve des contrôles :
Comptabilité :
Contrôle de la sécurité et de l'accès des systèmes informatiques :
Fonction d'examen
Surveillance et assurance de la qualité de la préparation des états financiers
Dépendance envers d'autres ministères du gouvernement
En 2009-2010, le Secrétariat a confirmé de nouveau que presque tous les contrôles du Secrétariat du Conseil du Trésor du Canada dans son rôle de ministère étaient efficaces. Les contrôles qui ne donnaient pas les résultats voulus ont été cernés, et des mesures correctives ont été entamées. Les contrôles du Secrétariat dans son rôle de gestionnaire des fonds pangouvernementaux et des paiements en tant qu'employeur de la fonction publique ont été mis à jour depuis l'évaluation de l'état de préparation à la vérification. Aux besoins, en 2010-2011 et 2011-2012, une évaluation de l'efficacité opérationnelle des contrôles internes sera menée.
Le Secrétariat du Conseil du Trésor du Canada a mis en place une unité responsable d'une approche bien intégrée fondée sur les risques pour l'évaluation continue des contrôles internes en matière de rapports financiers du Secrétariat. L'unité des contrôles internes du Secrétariat surveillera les mesures correctives mises en œuvre au niveau de son entité, les processus opérationnels et les contrôles informatiques généraux en fonction des leçons apprises des évaluations et vérifications annuelles. Dans le cadre de cette tâche, elle sensibilisera aux contrôles internes en matière de rapports financiers les employés du Secrétariat du Conseil du Trésor qui s'en occupent de près ou de loin et clarifiera leurs rôles et responsabilités.
Au cours de l'exercice 2009-2010, le Secrétariat a continué de réaliser des progrès importants dans l'évaluation et l'amélioration de ses contrôles. Ces progrès sont résumés ci-dessous.
Le Secrétariat, dans son rôle de ministère, a terminé les travaux liés aux modifications nécessaires suivantes :
Le Secrétariat, dans son rôle de gestionnaire des fonds pangouvernementaux et des paiements en tant qu'employeur de la fonction publique, a entrepris les travaux liés aux modifications nécessaires suivantes :
D'ici la fin de 2010-2011 :
Le Secrétariat, en général, à l'intention de :
Le Secrétariat, dans son rôle de ministère, a l'intention de :
Le Secrétariat, dans son rôle de gestionnaire des fonds pangouvernementaux et des paiements en tant qu'employeur de la fonction publique, a l'intention de :
D'ici la fin de 2011-2012 :
Le Secrétariat, en général, a l'intention de :
Le Secrétariat, dans son rôle de gestionnaire des fonds pangouvernementaux et des paiements en tant qu'employeur de la fonction publique, a l'intention de :