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THEME : Engagement de la direction (Le SCT se situe entre le niveau 3 et le niveau 4)
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L'administrateur g�n�ral et la haute direction n'ont qu'une connaissance partielle de la place importante de la fonction de contr�leur. | L'administrateur g�n�ral a une id�e g�n�rale de la fonction de contr�leur et admet la n�cessit� de changer. Il a pris des mesures pour que les donn�es sur le rendement soient group�es et int�gr�es dans un rapport incluant le rendement financier et autre que financier. L'administrateur g�n�ral a �labor� un plan de contr�le � court et � long terme et a mis en place les �l�ments n�cessaires pour que ce plan soit efficace. L'information sur le rendement, la reddition des comptes et l'administration constituent des priorit�s pour la haute direction. | L'administrateur g�n�ral et la haute direction accordent beaucoup d'importance � la fonction de contr�leur et affectent les ressources n�cessaires � la mise en application des pratiques de gestion exemplaires. La haute direction a �tabli des m�thodes de pr�paration des rapports permettant de grouper et d'int�grer les donn�es sur le rendement. L'administrateur g�n�ral est capable de mesurer le degr� de conformit� aux normes gouvernementales dans l'organisme et de pr�senter des observations p�riodiques au ministre et aux organismes centraux. | Une culture de la fonction de contr�leur impr�gne le processus d�cisionnel et l'organisme. L'administrateur g�n�ral et la haute direction ont cr�� un climat favorisant la cr�ativit� et la prise de risques calcul�s, l'�limination des barri�res entre les fonctions et la remise en question des d�cisions op�rationnelles. La haute direction discute ouvertement des risques. Elle soutient concr�tement l'adoption de nouveaux modes de prestation des services. L'administrateur g�n�ral est en mesure de pr�senter avec assurance, au ministre et au Parlement, les r�sultats atteints en mati�re de rendement. | L'organisme est reconnu parmi ses pairs comme un chef de file dans la modernisation de la fonction de contr�leur. L'administrateur g�n�ral a gagn� la confiance des organismes centraux et des membres du Parlement qui croient fermement � l'efficacit� et � l'int�grit� des syst�mes utilis�s pour administrer les programmes, � l'exactitude et � l'int�gralit� de l'information sur cette administration. L'administrateur g�n�ral et la haute direction ont �labor� une m�thode tourn�e vers l'avenir pour �valuer la capacit� de l'organisme � atteindre ses objectifs de rendement futurs. |
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THEME : R�le de l'agent financier principal (Le SCT rencontre les crit�res du niveau 3)
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Absence d'une fonction de contr�leur officielle dans l'organisme. La gestion financi�re est associ�e principalement � la tenue de livres et aux contr�les. | L'agent financier principal et le personnel collaborent avec l'�quipe de direction � l'�valuation des incidences financi�res des d�cisions importantes. | L'agent financier principal et le personnel sont membres de l'�quipe de direction et sont souvent appel�s � donner des conseils strat�giques et � soutenir le lancement des nouveaux programmes. La port�e de leur r�le ne se limite pas � la gestion financi�re, mais comprend �galement l'efficacit� et l'efficience des services offerts et des contr�les exig�s dans l'ensemble de l'organisme. | L'agent financier principal et le personnel assument un r�le directeur au sein de l'organisme en int�grant les processus et les syst�mes, afin que celui-ci soit en mesure de prendre des d�cisions op�rationnelles judicieuses, de maintenir les contr�les pertinents, de g�rer les risques � long terme et de se conformer � des normes de rendement �lev�es. | Le personnel qui exerce la fonction de contr�leur au sein de l'organisme est reconnu pour ses comp�tences techniques et ses conseils sp�cialis�s. |
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THEME : Participation des gestionnaires (Le SCT rencontre les crit�res du niveau 3)
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Les gestionnaires op�rationnels et financiers associent toujours le contr�le � la � conformit� � et croient encore qu'il constitue l'�l�ment principal de la fonction de contr�leur. Les gestionnaires op�rationnels se concentrent sur les op�rations et comptent sur l'ensemble du personnel pour que les exigences en mati�re de r�gles, de r�glements et de pr�paration des rapports soient respect�es. Ils ne connaissent pas bien les politiques relatives � la fonction de contr�leur. Les pr�occupations financi�res portent surtout sur la disponibilit� du financement pour l'ex�cution de projets. | Les pouvoirs financiers des gestionnaires et ceux de leur personnel sont bien d�limit�s. Les gestionnaires sont conscients de leurs responsabilit�s en ce qui concerne la probit�, la prudence et la protection des biens qui leur sont confi�s. Les plans et les projets ne font pas l'objet d'analyse des incidences financi�res au-del� de la question de financement. Les initiatives de programme sont �labor�es sans apport financier. Les gestionnaires financiers ne sont pas toujours inform�s sur les op�rations, et l'inverse est vrai. | Les gestionnaires consid�rent que la fonction de contr�leur fait partie int�grante de leur t�che et demandent conseil aux sp�cialistes du rendement et de l'examen, ainsi qu'aux gestionnaires financiers. Les gestionnaires sont conscients de leurs responsabilit�s, et acceptent de rendre des comptes au regard des ressources qui leur sont confi�es. Les incidences financi�res sont �valu�es dans les plans d'activit�s et les nouvelles initiatives de programme. La participation des sp�cialistes financiers � la prise de d�cision est associ�e � la valeur ajout�e. | Les gestionnaires accordent une grande importance � la fonction de contr�leur et affectent les ressources n�cessaires � l'utilisation des pratiques exemplaires. | Les gestionnaires per�oivent les contr�les comme une m�thode visant � d�tecter les risques et les possibilit�s et � r�agir aux impr�vus. Ils appliquent les principes de la fonction de contr�leur dans leurs op�rations quotidiennes. Il tiennent aussi compte de l'information financi�re et autre que financi�re dans leur processus d�cisionnel. |
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THEME : Liens avec la planification strat�gique (Le SCT rencontre les crit�res du niveau 2)
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Les plans d'activit�s sont pr�par�s ind�pendamment du plan strat�gique. Peu ou pas d'effort pour harmoniser les deux. | Les plans strat�giques et les plans d'activit�s sont pr�par�s par des groupes ind�pendants. On s'efforce n�anmoins d'assurer l'uniformit� entre les plans d'activit�s et le plan strat�gique. Les anomalies sont signal�es � la haute direction (p. ex. SMA des r�gions ou des secteurs ). | Les priorit�s strat�giques sont d�crites en ordre d'importance dans les plans d'activit�s. Les objectifs des plans sont li�s aux priorit�s strat�giques. Les plans d'activit�s et de travail refl�tent les strat�gies organisationnelles. Les r�sultats atteints dans le plan d'activit�s sont compar�s aux priorit�s strat�giques. | Les objectifs de ressources et de rendement du plan d'activit�s refl�tent les priorit�s strat�giques et les principaux facteurs de r�ussite. Les hypoth�ses sont remises en question p�riodiquement pour en assurer la pertinence. Les r�sultats atteints sont analys�s en fonction des tendances et font l'objet d'une analyse des tendances et compar�s aux priorit�s strat�giques; les ressources sont modifi�es en cons�quence | On compare r�guli�rement les tendances observ�es dans les r�sultats des programmes � celles des plans strat�giques et d'activit�s. Le plan et le processus forment un tout parfaitement int�gr�. |
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THEME : Comp�tences n�cessaires � l'application des pratiques de gestion moderne (Le SCT rencontre les crit�res du niveau 3)
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Peu ou pas d'information sur les comp�tences exig�es des sp�cialistes experts ou des gestionnaires fonctionnels. | On remarque des exigences suppl�mentaires quant aux connaissances. Des s�ances de sensibilisation ont eu lieu et les lacunes sur le plan des habilet�s ont �t� �tablies. Peu ou pas de formation donn�e. | Le personnel fonctionnel et les gestionnaires ont particip� aux s�ances de sensibilisation. On tente d'�liminer les lacunes sur le plan des habilet�s pour tous. On recrute du personnel poss�dant la formation requise. Les sp�cialistes fonctionnels et les gestionnaires hi�rarchiques �changent leurs id�es. | La fonction de contr�leur accorde la priorit� � la formation et au financement. Les sp�cialistes fonctionnels et les gestionnaires ont re�u une formation et les lacunes sur le plan des habilet�s sont �limin�es. Les comp�tences li�es � la fonction de contr�leur sont ajout�es au programme de formation permanente du minist�re. | Les comp�tences et la formation n�cessaires � l'exercice de la fonction de contr�leur font partie int�grante de l'�tablissement des objectifs et de l'�valuation du rendement. Les gestionnaires poss�dent la formation pertinente dans les disciplines li�es � la fonction de contr�leur. Les sp�cialistes fonctionnels sont bien inform�s sur les programmes et les op�rations. |
Assises |
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THEME : Mesure de la satisfaction du personnel et syst�me de suivi (Le SCT rencontre les crit�res du niveau 4)
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Aucun sondage officiel sur la satisfaction du personnel. La collecte d'information est effectu�e de mani�re non officielle et ponctuelle. | Diff�rents sondages sur la satisfaction du personnel sont men�s � l'�chelle de l'organisme. Contr�le des r�sultats et analyse des tendances limit�s. | Des sondages officiels sur la satisfaction du personnel sont men�s r�guli�rement; les r�sultats sont contr�l�s p�riodiquement et publi�s � l'�chelle de l'organisme. Des �quipes sont form�es et charg�es de pr�parer un plan d'am�lioration servant � traiter les probl�mes hautement prioritaires. | La satisfaction du personnel constitue un �l�ment important de la planification strat�gique et op�rationnelle et de l'�valuation du rendement des gestionnaires. Des efforts continuels sont faits pour r�soudre les probl�mes relatifs � la satisfaction du personnel. | Les outils d'�valuation de la satisfaction du personnel sont r�vis�s et am�lior�s r�guli�rement. De nouveaux programmes sont mis en oeuvre constamment afin d'am�liorer la satisfaction du personnel. Il y a des liens quantitatifs entre la satisfaction du personnel et le rendement organisationnel. L'organisme est reconnu comme un chef de file dans ce domaine. |
Assises |
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THEME : Valorisation de la participation du personnel (Le SCT se situe entre le niveau 3 et le niveau 4)
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L'attitude traditionnelle de � rivalit� � domine les relations entre la direction et le personnel. R�sistance importante au changement. Degr� �lev� de scepticisme au sein de l'organisme. Les messages communiqu�s au personnel sont ambivalents. Les nouveaux projets sont retard�s ou abandonn�s. Peu ou pas d'interaction entre les unit�s organisationnelles. | On consulte le personnel et on lui offre la possibilit� de participer aux principaux projets de changement. La mise en oeuvre des changements est faite avec prudence. Le personnel est peu enclin � prendre des risques. Les unit�s organisationnelles sont ind�pendantes, mais on observe une certaine interaction. | Le personnel est valoris� et respect�. Les employ�s peuvent s'exprimer et participer aux discussions sans crainte d'�tre r�primand�s. L'information est partag�e ouvertement dans l'organisme et avec les clients et intervenants externes. Solide esprit d'�quipe dans l'ensemble de l'organisme. | Le personnel est autoris� � prendre des risques et encourag� � innover. Les barri�res culturelles qui nuisent � l'efficacit� de la prestation de service sont �limin�es. L'organisme encourage l'apprentissage permanent et la participation. Dans l'ensemble de l'organisme, on encourage le partage des nouvelles id�es et m�thodes. Les principaux investissements sont faits dans la formation du personnel. | Les employ�s croient que leur travail est essentiel au succ�s de l'organisme. Degr� de fiert� �lev� dans l'ensemble de l'organisme. Excellente compatibilit� entre les aspirations individuelles et organisationnelles. Renouvellement continuel des comp�tences exig�es. La valeur du capital humain est �valu�e et contr�l�e p�riodiquement. Le comportement exemplaire des employ�s est soulign� continuellement. |
Assises |
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THEME : Appui des experts des pratiques de gestion moderne (Le SCT rencontre les crit�res du niveau 2)
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Les sp�cialistes fonctionnels effectuent l'analyse �l�mentaire de l'information exig�e par la direction pour appuyer les d�cisions prises en r�ponse � des demandes particuli�res et dans le cadre de leur mandat de contr�le. | Les comp�tences minist�rielles en techniques analytiques ont �t� mises � jour dans la fonction de contr�leur. | Le service est r�ceptif. Les avis des experts sont accessibles sur demande. Le sp�cialistes fonctionnel poss�de des comp�tences techniques et travaille avec les gestionnaires hi�rarchiques pour fournir des analyses et des conseils. Est per�u comme un partenaire � valeur ajout�e et non comme un obstacle, en ce qui concerne l'analyse. | Les sp�cialistes fonctionnels aident les gestionnaires � assumer leurs responsabilit�s en leur fournissant l'information � valeur ajout�e et l'analyse technique n�cessaires � l'utilisation efficace et � la protection des ressources. Bien qu'ils soient des sp�cialistes financiers, leur connaissance des op�rations et des techniques analytiques les rend aptes � soutenir le gestionnaire hi�rarchique | Le r�le des sp�cialistes (remise en question et prestation de conseils sp�cialis�s) est appr�ci� � tous les niveaux de gestion. Les sp�cialistes sont per�us comme les principaux artisans des changements. Les sp�cialistes fonctionnels sont appel�s fr�quemment par leurs pairs � conseiller et � soutenir d'autres organismes ou pour prendre la parole dans des conf�rences sur les nouvelles tendances du domaine de la fonction de contr�leur et les pratiques exemplaires. Sont reconnus comme chefs de file par leurs pairs. |
Assises |
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THEME : �thique et cadre des valeurs (Le SCT rencontre les crit�res du niveau 2)
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Pas de politique ou de ligne directrice en mati�re d'�thique. Les �nonc�s de politique sont publi�s sur une base ponctuelle. Pas d'�nonc� clair sur les valeurs communes ou les principes. | L'organisme poss�de un �nonc� sur l'�thique. Les politiques �crites sont diffus�es dans l'ensemble de l'organisme, mais sont appliqu�es de mani�re in�gale. | Des �valuations et des sondages sur l'�thique et les valeurs sont men�s r�guli�rement et sont publi�s dans l'ensemble de l'organisme. Les r�sultats sont analys�s pour d�couvrir les tendances; des �quipes sont form�es pour s'attaquer � un probl�me en particulier. | Les principes et les lignes directrices concernant l'�thique et les valeurs sont bien compris des employ�s et transparaissent dans la documentation et les communications de l'organisme dans son ensemble. Les comportements valoris�s sont signal�s dans l'�valuation de rendement. Un climat de confiance mutuelle existe � tous les niveaux. On observe peu d'infractions ou d'incidents. | L'organisme est reconnu, � l'ext�rieur, comme un chef de file dans l'�laboration d'un programme d'�thique et de valeurs. L'�thique et les valeurs se refl�tent constamment dans les pratiques et les r�alisations de l'organisme. Tous les niveaux de l'organisme participent � l'�laboration des r�gles d'�thique et de conformit� li�es aux politiques et aux programmes. |
Assises |
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THEME : Planification des activit�s (Le SCT rencontre les crit�res du niveau 2)
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La planification des activit�s est faite de fa�on ponctuelle au sein de l'organisme. Le plan d'activit�s est conforme aux exigences de l'organisme central, mais il est ax� principalement sur l'information financi�re. Aucun effort n'est fait pour harmoniser les plans d'activit�s des secteurs. Une fois pr�par�s, les plans servent rarement � soutenir l'ex�cution du programme. | Les secteurs pr�parent les plans d'activit�s s�par�ment. Les questions de RH, GI et autres probl�mes horizontaux sont trait�s au cas par cas et sont donc peu refl�t�s dans les plans d'activit�s. Ceux-ci sont d'abord ax�s sur la conformit� aux exigences des organismes centraux en mati�re de rapport. On s'efforce d'harmoniser les plans op�rationnels des secteurs. | Les r�sultats souhait�s, les priorit�s et les ressources sont d�crits clairement dans les plans d'activit�s. Les priorit�s sont class�es par ordre d'importance. Les plans sont complets et refl�tent les ressources de tous les secteurs fonctionnels. Les ressources sont adapt�es chaque ann�e en fonction des priorit�s. Nombreux liens entre les plans d'activit�s des secteurs. Les priorit�s du plan d'activit�s sont refl�t�es dans les plans de travail et les budgets | Les plans d'activit�s soulignent les questions et les risques les plus critiques pour le succ�s de l'organisme et leurs r�percussions sur les ressources. Les plans sont modifi�s afin de refl�ter les priorit�s et les r�actions aux �valuations et aux r�sultats de rendement. Les plans refl�tent les diff�rentes exigences des clients et des intervenants consult�s dans le cadre du processus. | Les clients participent au processus de planification des activit�s. Les plans sont utilis�s comme partie int�grante de la gestion de programme. Les plans et les ressources sont r�vis�s p�riodiquement afin de refl�ter les r�sultats de rendement. Les plans sont publi�s � l'interne et facilement accessibles dans le syst�me d'information de l'organisme. |
Assises |
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THEME : Affectation des ressources (Le SCT se situe entre le niveau 3 et le niveau 4)
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Pas de m�thode syst�matique ni officielle d'affectation des ressources. Les niveaux des ressources sont modifi�s d'ann�e en ann�e en fonction des r�sultats. L'analyse et l'information financi�re ne sont pas int�gr�es � l'�valuation des options et des priorit�s des programmes. | Les niveaux de ressources sont examin�s p�riodiquement dans les programmes et les autres examens �l�mentaires du financement. Ils sont rajust�s en fonction des nouvelles activit�s et priorit�s. Ils sont administr�s ind�pendamment par chaque unit� organisationnelle (ex., secteur ou r�gion). | Chaque secteur/direction poss�de des mod�les de planification pour �valuer ses besoins en mati�re de ressources et de m�canismes permettant de r�affecter les ressources � l'int�rieur de l'organisme selon les priorit�s. Une analyse de rentabilisation sert � l'affectation des ressources. L'agent financier principal et le personnel interrogent et conseillent les gestionnaires. | Des m�canismes permettent de faire des choix entre les priorit�s concurrentielles. Les gestionnaires de tous les niveaux participent aux d�cisions concernant l'affectation ou la r�affectation des ressources. Les d�cisions relatives � la r�affectation des budgets sont compl�tement transparentes. La culture d'affectation des ressources favorise l'ouverture et la flexibilit�. | La r�affectation des ressources entre les programmes est fond�e sur les priorit�s qui refl�tent les r�sultats atteints et l'optimisation des ressources. Tous les niveaux de gestion sont vis�s et participent activement au processus d'affectation des ressources. |
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THEME : Budgets et pr�visions (Le SCT rencontre les crit�res du niveau 3)
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Les budgets concernent essentiellement le partage des d�penses et les objectifs financiers. Aucune m�thode particuli�re de pr�paration des budgets et des pr�visions. Absence de consultation et de participation du personnel op�rationnel � la pr�paration des budgets et des pr�visions. Pas de commentaire sur le budget et les pr�visions pr�par�s, et les hypoth�ses ne sont pas accompagn�es de pi�ces justificatives. | Processus de planification budg�taire clair et officiel. Les budgets, pr�par�s par le service des finances, sont fond�s sur la compr�hension g�n�rale des plans � long terme. Le personnel op�rationnel fournit les hypoth�ses de base au service des finances charg� de pr�parer les budgets et les pr�visions. Le personnel op�rationnel participe � la pr�paration des budgets d'ouverture. Les pr�visions r�vis�es servent uniquement � la mise � jour des r�sultats financiers pr�visionnels, sont peu fr�quentes et peu d�taill�es. On ne r�vise pas les pr�visions pour v�rifier la vraisemblance des hypoth�ses. Les r�sultats r�els correspondent rarement aux pr�visions. Les commentaires sur les hypoth�ses financi�res sont peu nombreux. | Les budgets sont pr�par�s par le personnel
op�rationnel en collaboration avec le personnel financier et sont
directement li�s aux plans strat�giques et d'activit�s. Le cadre de
travail �labor� par l'agent financier principal et le personnel est
dynamique et facile � comprendre pour les gestionnaires op�rationnels.
Les objectifs et hypoth�ses sont clairement �tablis dans le budget. Les
budgets refl�tent les priorit�s strat�giques et les objectifs de
l'unit� op�rationnelle. Les �l�ments du budgets sont d�termin�s
d'apr�s la consommation pr�vue et les �carts rajust�s en cons�quence.
Les pr�visions sont examin�es pour voir si les hypoth�ses et les
mesures visant � am�liorer les r�sultats sont r�alistes.
La r�vision des pr�visions a lieu tous les trois mois, mais elle est peu d�taill�e et entra�ne peu de modifications des objectifs. Les gestionnaires analysent les �carts et les justifient. |
Le budget est en rapport �troit avec la m�thode d'�valuation des co�ts et fait le rapprochement entre les ressources et le co�t des activit�s, des programmes et des produits. Les processus de pr�paration des budgets et des pr�visions sont rationalis�s. Les donn�es sont entr�es directement dans un mode de planification financi�re (ex., analyse par simulation ou par anticipation). Les gestionnaires sont tenus responsables des �carts et r�tribu�s ou p�nalis�s en cons�quence. Les objectifs et les hypoth�ses des plans d'activit�s sont remis en question p�riodiquement; les modifications apport�es refl�tent l'environnement externe. | La m�thode de pr�paration des budgets est ax�e sur les r�sultats et les extrants. Les budgets sont en rapport �troit avec les priorit�s d'affectation des ressources et les r�sultats obtenus en mati�re de rendement. |
Assises |
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R�sultats |
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THEME : Information sur le rendement minist�riel (Le SCT rencontre les crit�res du niveau 2)
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Aucune �valuation du rendement minist�riel. | Chaque secteur �value le rendement de son niveau. On a �tabli les priorit�s en mati�re d'�valuation de rendement pour l'ensemble de l'organisme. | Les mesures hautement strat�giquesutilis�es d�coulent de la vision strat�gique et des priorit�s. Les r�sultats � examiner selon les crit�res d'�valuation de l'organisme ont �t� d�termin�s et correspondent aux mesures en vigueur dans l'ensemble de l'organisme. Les r�sultats souhait�s et les indicateurs de rendement correspondants ont �t� communiqu�s, compris et accept�s. L'�valuation couvre les aspects financiers et autres, et permet d'observer les angles historique et futur des cycles op�rationnels. | Le rendement est �valu� dans l'ensemble de l'organisme. Les r�sultats sont interpr�t�s selon un concept de pointage �quilibr� et sont compar�s aux objectifs strat�giques de l'organisme. L'information est valoris�e par la haute direction et le ministre; elle est souvent utilis�e dans la prise de d�cisions et les rapports externes. Les m�thodes d'�valuation organisationnelle sont adapt�es de mani�re continue. | Les r�sultats des �valuations g�n�rales sont contr�l�s p�riodiquement. Les plans strat�giques et d'activit�s sont modifi�s en cons�quence. Les r�sultats servent �galement � faire des compromis dans les priorit�s de l'organisme. L'information est facilement accessible au moyen des syst�mes d'information de la haute direction. Les besoins et les syst�mes d'information sont r�vis�s p�riodiquement en fonction de l'�volution des besoins de l'organisme et des �carts observ�s dans les rapports. |
Assises |
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R�sultats |
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THEME : Information op�rationnelle (Le SCT rencontre les crit�res du niveau 2)
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La collecte de donn�es et les rapports sur le fonctionnement ne sont pas syst�matiques. | Les m�thodes d'�valuation du fonctionnement sont plus ou moins utilis�es dans l'unit� organisationnelle (ex., secteur). Les r�sultats de ces �valuations sont contr�l�s de mani�re continue. | L'information de niveau sup�rieur est habituellement accessible pour les principaux indicateurs op�rationnels, mais l'acc�s en mode descendant est limit�. Des m�thodes d'�valuation du fonctionnement op�rationnel sont utilis�es dans tous les secteurs. L'information est contr�l�e de mani�re r�guli�re; les gestionnaires de programmes prennent des mesures pour am�liorer les r�sultats. Le personnel re�oit la formation n�cessaire � l'utilisation des syst�mes d'�valuation du rendement. | Les r�sultats de l'�valuation du fonctionnement sont facilement accessibles dans les syst�mes d'information de l'ensemble de l'organisme. Les �quipes de prestation de service utilisent ces r�sultats r�guli�rement pour am�liorer les processus. Des plans d'action sont �labor�s pour solutionner les probl�mes. Liens solides entre les r�sultats de fonctionnement et les plans d'activit�s. L'information est un �l�ment essentiel des d�cisions relatives � l'affectation des ressources. L'information sur le fonctionnement appartient au minist�re et est enti�rement transparente dans tout l'organisme. | Les r�sultats op�rationnels sont contr�l�s p�riodiquement. Les m�thodes d'�valuation diff�rent selon les groupes clients. Elles sont ajout�es ou supprim�es � mesure que les priorit�s changent. Elles sont distribu�es dans l'ensemble de l'organisme et sont li�es aux objectifs et aux mesures strat�giques. La majorit� des employ�s peuvent obtenir facilement et directement l'information dont ils ont besoin gr�ce � des installations d'acc�s en mode descendant ou aux guides de r�daction de rapport conviviaux. |
Assises |
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R�sultats |
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THEME : Mesure de la satisfaction de la client�le et syst�mes de suivi (Le SCT rencontre les crit�res du niveau 2)
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La collecte des donn�es sur la satisfaction de la client�le est faite de mani�re non officielle et ponctuelle. | Les m�thodes de collecte de donn�es sur la satisfaction de la client�le varient dans l'organisme et d'une ann�e � l'autre, en fonction des priorit�s de gestion. Peu de contr�le et d'analyse des r�sultats. | Des syst�mes formels install�s dans l'ensemble de l'organisation servent � �valuer le degr� de satisfaction de la client�le. Les r�sultats sont contr�l�s p�riodiquement et sont pris en compte dans la planification strat�gique et op�rationnelle. Analyse limit�e des r�sultats obtenus � l'�chelle de l'organisation. Les plaintes sont group�es et signal�es. Il y a un processus de traitement des plaintes. | Une vaste de gamme de techniques servent � colliger les donn�es sur la satisfaction de la client�le. L'information est collig�e de mani�re uniforme dans les secteurs de programme. On regroupe les r�sultats obtenus dans les diff�rents secteurs de l'organisme et on analyse les tendances g�n�rales. Les r�sultats constituent un �l�ment cl� de la planification strat�gique et op�rationnelle; ils servent �galement � �valuer les normes de service et les am�liorations. | Les r�sultats de l'�valuation sont publi�s � l'ext�rieur et sont bien connus de la client�le. La satisfaction de la client�le est un �l�ment cl� de la planification strat�gique et op�rationnelle. On en tient compte �galement dans l'�valuation du rendement et les mesures incitatives. Les techniques utilis�es pour la collecte des donn�es sur la satisfaction de la client�le font l'objet d'am�liorations constantes. |
Assises |
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R�sultats |
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THEME : Information sur l'�valuation (Le SCT rencontre les crit�res du niveau 2)
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Aucune m�thode formelle d'�valuation de programme. Les �valuations sont ponctuelles. L'information sur les r�sultats de programme est limit�e. Besoin de m�thodes pour la collecte des donn�es. | Des cadres d'�valuation existent pour certains secteurs de programme. Les �valuations ont lieu au fur et � mesure que les probl�mes surviennent. L'information sur les r�sultats est accessible seulement dans certains secteurs de programme. | Des cadres d'�valuation existent pour certains secteurs de programme. Les �valuations ont lieu au fur et � mesure que les probl�mes surviennent. L'information sur les r�sultats est accessible seulement dans certains secteurs de programme. | Les m�thodes d'�valuation des r�sultats sont r�vis�es p�riodiquement. Les gestionnaires utilisent les r�sultats d'�valuation couramment dans la prise de d�cisions et la planification strat�gique et op�rationnelle. L'�valuation est per�ue comme une partie int�grante de la gestion des programmes ou r�gionale. L'�tablissement des priorit�s en mati�re d'�valuation est �troitement li� � la planification des activit�s et � l'�valuation des risques � l'�chelle de l'organisme. | L'organisme se d�marque par les r�sultats de son programme d'�valuation et ses m�thodes de pointe. La planification strat�gique et op�rationnelle tient compte des liens entre les r�sultats de programme et l'affectation des ressources. Les r�sultats d'�valuation jouent un r�le important dans la r�orientation du programme et dans la s�lection du type d'information dont l'organisme a besoin pour �valuer son succ�s. |
Assises |
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R�sultats |
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THEME : Normes de service (Le SCT rencontre les crit�res du niveau 2)
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Aucune norme de service officielle. La qualit� du service est contr�l�e de mani�re non officielle. | Les accords et les normes de service ne sont pas uniformes dans l'ensemble de l'organisme. Les syst�mes de collecte et d'enregistrement des donn�es sur les niveaux de service ne sont pas encore au point. Les clients ont particip� � l'�laboration des normes, � diff�rents degr�s. | Des accords et les normes de service formels sont �tablis pour chaque secteur d'activit�s et les r�sultats sont contr�l�s et analys�s p�riodiquement. Les clients participent � l'�laboration des normes. Les r�sultats servent � observer les am�liorations de service. | Les normes de service sont r�vis�es p�riodiquement en collaboration avec les clients/intervenants et sont am�lior�es pour tenir compte des nouvelles priorit�s. Les normes de service sont �valu�es en fonction du co�t de la prestation. Elles traduisent les priorit�s des diff�rents groupes clients. Les r�sultats constituent une source de pression continuelle pour de nouveaux services et des projets d'am�lioration de la qualit�. | Les normes de service de l'organisme sont publi�es � l'ext�rieur et sont bien connues des clients. La conformit� aux normes de service est un des principaux �l�ments de la planification strat�gique et op�rationnelle. |
Assises |
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R�sultats |
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THEME : Information financi�re (Le SCT se situe entre le niveau 2 et le niveau 3)
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La pr�paration des volumineux rapports sur papier, dict�e par les calendriers de pr�sentation des �tats financiers mensuels, trimestriels et annuels peut prendre six semaines. Les commentaires sur les r�sultats sont r�dig�s par le service des finances seulement. La pertinence des donn�es constitue un probl�me persistant. Les rapports pr�par�s � l'aide du syst�me de comptabilit� sont uniformes, mais les lacunes de ce syst�me poussent les gestionnaires � produire leurs propres registres et rapports, dont l'uniformit� avec les autres sources d'information n'est pas v�rifi�e. | La plupart des rapports financiers sont produits sur papier selon le calendrier �tabli, avec acc�s en direct � certaines donn�es justificatives. L'information utilis�e provient de diff�rentes sources, mais il n'y a pas de r�gle de coordination et la fiabilit� des donn�es n'est pas assur�e. Les donn�es servant � justifier l'information de haut niveau sont difficilement accessibles ou ne sont pas disponibles. Les commentaires sur les r�sultats sont pr�par�s par le service des finances avec la participation limit�e du personnel op�rationnel. Les cycles de pr�sentation des rapports financiers ne correspondent pas toujours aux cycles de pr�sentation des rapports sur l'information op�rationnelle. | La fr�quence des rapports est suffisante. Les donn�es mensuelles sont disponibles de un � cinq jours apr�s la fin du mois. Tous les rapports et donn�es sont produits sur un support appropri� � leur utilisation. L'acc�s et la fiabilit� des donn�es constituent rarement un probl�me. Une seule source d'information financi�re, mais les liens avec l'information op�rationnelle exigent une intervention manuelle. | Des syst�mes en temps r�el, en direct et enti�rement int�gr�s comportant des modes flexibles de pr�paration des rapports. Int�gration g�n�ralis�e de l'information financi�re et op�rationnelle (r�sultats, dur�e des cycles, charges de travail) pour satisfaire aux exigences fonctionnelles. L'information est associ�e � l'actif de l'organisme et est enti�rement transparente. Le service des finances travaille en �troite collaboration avec les gestionnaires op�rationnels pour interpr�ter les r�sultats et r�diger les commentaires. | L'information provenant de diff�rentes sources est stock�e dans une macrobase de donn�es, ce qui assure son int�grit�. La haute direction est responsable de l'int�grit� des donn�es de sortie. Les syst�mes de traitement des rapports sont interconnect�s pour permettre l'acc�s en mode descendant aux donn�es recherch�es. |
Assises |
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R�sultats |
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THEME : Information sur la gestion des co�ts (Le SCT rencontre les crit�res du niveau 2)
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L'information sur les co�ts de gestion est bas�e sur les entr�es du grand livre traditionnel (ex., salaires, frais de d�placement, gestion et op�rations, etc.) pour chaque unit� organisationnelle | L'information sur les co�ts est accessible au niveau de gestion de l'activit� dans l'ensemble de l'organisme. Les co�ts des activit�s sont cumul�s pour �tablir les co�ts du programme. Des syst�mes sont en place pour enregistrer les donn�es relatives � ces co�ts. Une analyse suppl�mentaire permet d'obtenir les donn�es utiles � la prise de d�cisions. | Des syst�mes d'�tablissement des co�ts sont en place pour suivre de pr�s l'�volution des co�ts, des ressources (salaires, F et E) aux activit�s, et des activit�s aux produits aux services et aux programmes sp�cifiques. Les employ�s effectuent p�riodiquement la mise � jour du temps consacr� aux activit�s. Le co�t des produits et services sert � la planification. | Les syst�mes d'�tablissement des co�ts sont soutenus par des macrobases de donn�es qui groupent les donn�es provenant de nombreuses sources. Les employ�s font la mise � jour du temps utilis� sur une interface automatis�e. L'information sur les co�ts est facilement accessible au moyen d'un serveur. Elle sert � orienter les d�cisions de gestion. Les syst�mes d'�tablissement des co�ts et la m�thode de pr�paration des budgets sont �troitement li�s. | L'information sur les co�ts des activit�s, des produits et des services est un �l�ment essentiel � la prise de d�cisions en mati�re de gestion. Cette information est facilement accessible � tous les gestionnaires dans un format qui peut �tre adapt� pour l'am�lioration des processus, les d�cisions relatives � l'impartition, le recouvrement des co�ts, la planification des activit�s et l'�valuation du rendement. |
Assises |
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R�sultats |
Enjeux et possibilit�s |
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THEME : Cadre de la gestion des risques (Le SCT rencontre les crit�res du niveau 2)
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Aucune mesure de gestion des risques. La notion de gestion des risques est mal comprise. | Les politiques et lignes directrices sur la gestion des risques sont en place dans certains services fonctionnels particuliers seulement. Les probl�mes touchant l'ensemble de l'organisme sont r�gl�s au fur � mesure qu'ils surviennent. | L'organisme poss�de un cadre et une politique de gestion des risques. Les risques importants sont d�termin�s et les plans en tiennent comptent. Les cadres sup�rieurs connaissent bien les notions et les techniques de gestion des risques. L'�valuation des risques se fait principalement au niveau op�rationnel, ainsi que dans le cadre de la planification et de l'ex�cution des v�rifications et des examens. Des fonds sont r�serv�s aux impr�vus. | Les risques importants sont soulign�s dans les plans strat�giques et d'activit�s. Des syst�mes sont en place pour �valuer les risques et d�terminer les degr�s acceptables. Il y a �galement de modes de pr�vision et de gestion des fonds d'urgence. Tous les niveaux de gestion participent � la mise en oeuvre des contr�les et � l'�valuation des risques. Les gestionnaires ont appris � utiliser les outils et les techniques d'�valuation des risques. | Les risques sont contr�l�s de fa�on continuelle dans l'ensemble de l'organisme et des plans d'action sont place pour mieux g�rer les risques. La gestion des risques est parfaitement int�gr�e � la planification et � la gestion des r�gions/programmes. Les risques importants et leurs cons�quences sont signal�s aux clients et aux intervenants de mani�re continuelle. On �value p�riodiquement l'efficacit� des contr�les. |
Assises |
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R�sultats |
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THEME : Niveaux de pouvoirs (Le SCT rencontre les crit�res du niveau 4)
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Aucune structure de pouvoir n'est en place. | La structure de pouvoir existe, mais elle est per�ue essentiellement comme un instrument de contr�le. L'exercice des pouvoirs varie d'un secteur � l'autre de l'organisme. Les pouvoirs ne sont pas per�us comme un outil strat�gique. | Une structure de pouvoir existe pour la plupart des fonctions de l'organisme; elle est mise � jour p�riodiquement. Les pouvoirs sont clairs et compris de tout le personnel. Les pouvoirs correspondent aux responsabilit�s. | La structure de pouvoir est intimement li�e aux valeurs et � la culture organisationnelles. Les pouvoirs contribuent � la prestation de services adapt�s aux clients. La direction rajuste les pouvoirs p�riodiquement de fa�on proactive | La structure de pouvoir est �troitement li�e aux politiques et � la m�thode de gestion des risques de l'organisme. Les pouvoirs sont utilis�s comme outil strat�gique de gestion. |
Assises |
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R�sultats |
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THEME : Am�lioration des processus op�rationnels (Le SCT rencontre les crit�res du niveau 3)
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Il y a des diff�rences importantes dans la prestation des services entre les r�gions/programmes. Les processus ne sont pas bien �tablis. Aucune m�thode ni aucun processus n'appuie l'analyse ni l'�valuation des options de prestation des services. | Les processus sont plus ou moins �tablis selon les secteurs de service. Les projets d'am�lioration des processus sont ponctuels. Pas ou peu d'effort visant � augmenter l'efficacit� de l'organisme. Peu de changement au cours des trois derni�res ann�es. | Les principaux processus de prestation des services sont bien document�s et compris dans tous les secteurs de service. Certaines des pratiques exemplaires sont �valu�es et les processus mis � jour. Afin d'am�liorer l'ex�cution des programmes, on modifie consid�rablement les processus et on effectue des analyses d'efficacit� organisationnelle. Les processus cl�s sont contr�l�s pour assurer l'uniformit� dans l'ex�cution des programmes. | Des syst�mes et processus servent � d�terminer et � �valuer les options de prestation des services. Les processus sont am�lior�s de mani�re continuelle. Diff�rentes techniques d'analyse servent � soutenir l'am�lioration des processus, ce qui comprend l'examen des pratiques exemplaires et l'analyse comparative. Les processus sont �valu�s sur une base de comparaison entre fonctions ou entre secteurs, avec la participation des clients/intervenants. Des secteurs de l'organisme sont certifi�s ISO 9000. | Tous les services du minist�re se d�marquent dans le milieu gouvernemental par leurs modes de prestation innovateurs et excellents. L'organisme sert souvent de mod�le et est appel� fr�quemment � donner des conseils et � participer aux forums interminist�riels pour expliquer ses processus administratifs. Les principaux secteurs de l'organisme sont certifi�s ISO 9000. |
Assises |
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R�sultats |
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THEME : Outils et techniques li�s aux pratiques de gestion moderne (Le SCT rencontre les crit�res du niveau 4)
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Les gestionnaires disposent d'outils et de techniques limit�s au niveau de l'organisation pour effectuer les analyses de rentabilisation. Ils ont tendance � utiliser leur propre m�thode. | Les techniques telles que la comptabilisation du cycle de vie, l'analyse co�ts-avantages et l'analyse comparative sont essentiellement ax�es sur les finances. Les comp�tences minist�rielles en techniques analytiques ont �t� mises � jour dans la fonction de contr�leur. | Les gestionnaires ont acc�s � diff�rents mod�les et techniques analytiques ainsi qu'� des outils d'aide � la prise de d�cisions qui int�grent l'information financi�re et non financi�re. Ces outils et techniques sont accessibles aux gestionnaires de tous les niveaux et sont utilis�s en �troite collaboration avec les sp�cialistes fonctionnels. | Vaste gamme d'outils et de mod�les d'aide � la d�cision bien con�us facilitant le processus d�cisionnel. L'analyse est effectu�e � partir des renseignements int�gr�s dans une base de donn�es. Les outils et les techniques d'aide � la d�cision sont bien faits et faciles � comprendre; ils sont utilis�s par tout le personnel. Les outils sont une partie int�grante du processus d�cisionnel utilis� par les gestionnaires. | Acc�s en direct � l'information sur la gestion gr�ce aux outils et mod�les perfectionn�s facilitant la prise de d�cisions. Les outils et mod�les sont �valu�s p�riodiquement et les mises � jour sont effectu�es en tenant compte des tendances et des technologies les plus r�centes. |
Assises |
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R�sultats |
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THEME : Syst�mes de suivi des transactions (Le SCT se situe entre le niveau 2 et le niveau 3)
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Il n'y a pas de syst�me de suivi des op�rations financi�res ou des r�sultats op�rationnels, ou les syst�mes utilis�s � ces fins ne sont pas fiables. Les gestionnaires tiennent leurs propres registres. Aucune m�thode coordonn�e de gestion des donn�es. Les syst�mes d�pendent essentiellement des entr�es manuelles. | Des syst�mes formels servent au suivi des op�rations financi�res et des r�sultats op�rationnels. Les gestionnaires tiennent des fichiers s�par�s � des fins de gestion, en plus des syst�mes formels. Les notions de liens entre syst�mes et de flux de donn�es ne sont pas tr�s bien comprises. On croit g�n�ralement que la conformit� aux normes d'information financi�re fait partie des responsabilit�s du service des finances. | Les syst�mes formels de suivi des op�rations financi�res et des r�sultats op�rationnels sont rapides, pr�cis et fiables. Ces syst�mes sont cloisonn�s (c.-�-d. multiples syst�mes de traitement des revenus et des d�penses, des op�rations, des finances, des ressources humaines, des salaires, des biens immobiliers, etc.) donnant lieu � de multiples entr�es et bases de donn�es. Les liens entre les syst�mes et les flux de donn�es sont bien compris. Les gestionnaires ont un sentiment d'appartenance marqu� � l'�gard de l'information financi�re et op�rationnelle. Les rapports sont conformes aux exigences du Parlement et des organismes centraux en mati�re d'information externe. | Tous les syst�mes d'information sur les op�rations financi�res, les ressources mat�rielles et humaines et les autres op�rations sont en r�seau, ou interconnect�s/ int�gr�s. Il est rarement n�cessaire de r�introduire les donn�es ou d'intervenir manuellement pour la collecte. Les gestionnaires travaillent en �troite collaboration pour coordonner la gestion des donn�es. Installation des technologies de commerce �lectronique. | Des m�thodes permettent d'�valuer les options d'automatisation lorsque de nouvelles collectes de donn�es sont n�cessaires. Le traitement des op�rations est peu co�teux et produit des donn�es pr�cises et pertinentes. Utilisation maximale du commerce �lectronique, c'est-�-dire de l'EED et de l'EAA. |
Assises |
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R�sultats |
Enjeux et possibilit�s |
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THEME : Technologie d'acc�s � l'information (Le SCT rencontre les crit�res du niveau 3)
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Il y a peu ou pas de m�thode ou de rigueur quant au stockage des donn�es sur le rendement; elles sont transmises entre les programmes pour les syst�mes op�rationnels de base seulement. Des donn�es superflues sont stock�es dans les ordinateurs de bureau et dans les ordinateurs centraux. La plupart des syst�mes sont fond�s sur le papier. Le service des TI supervise la technologie. Acc�s limit� aux r�seaux locaux et au courrier �lectronique. | Chaque secteur poss�de des syst�mes d'information sur le rendement des programmes. Absence de vision d'ensemble quant aux syst�mes et aux donn�es. Peu ou pas de connexions entre les syst�mes d'information sur le rendement. | Les principaux programmes sont transf�r�s dans un environnement client/serveur. Connexions limit�es entre les syst�mes d'information sur le rendement des secteurs. Les principaux secteurs ont trouv� des solutions � leurs propres probl�mes et sont en train de n�gocier ou de planifier l'int�gration des syst�mes. Il existe des mod�les de processus et de donn�es de rendement pour les secteurs et �ventuellement pour l'organisation. Plans d'urgence et antisinistre. | Toute l'information sur le rendement, n�cessaire aux analyses minist�rielles, est stock�e dans une macrobase de donn�es qui est reli�e aux syst�mes de traitement des op�rations (RH, finances). Connectivit� �lev�e entre les syst�mes des secteurs. On utilise encore beaucoup de papier m�me si les documents contenant l'information sur le rendement sont num�ris�s. Les syst�mes d'information de la haute direction saisissent l'information minist�rielle r�sum�e. | Exp�riences technologiques bien planifi�es (analyse des donn�es, syst�mes experts, outils de cr�ation de contenu). L'utilisation de la technologie de gestion/recherche de documents transforme la macrobase de donn�es en r�servoir d'expertise. Une approche strat�gique est utilis�e pour les investissements dans les TI dont le rendement est contr�l� de pr�s. |
Assises |
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R�sultats |
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THEME : Uniformit� de l'information (Le SCT se situe entre le niveau 2 et le niveau 3)
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Les syst�mes de pr�paration des budgets et des pr�visions, de comptabilit� et d'information op�rationnelle ne sont pas compatibles. Ils fonctionnent ind�pendamment dans diff�rents sites et ne font partie d'aucun r�seau contr�l�. | Il n'y a pas de liens automatiques entre les diff�rents sites. Les donn�es sont transmises au moyen d'un processus physique seulement. Les rapprochements sont en grande partie faits manuellement. | Les syst�mes de pr�paration des budgets et des pr�visions, de comptabilit� et d'information op�rationnelle sont compatibles. Tous les sites sont reli�s �lectroniquement. Les rapprochements sont automatis�s et habituellement sans probl�me. Des fonctions de r�daction des rapports sont accessibles mais pas toujours faciles � utiliser. | Les syst�mes de comptabilit�, de pr�paration des budgets, de rendement op�rationnel, ainsi que l'information relative � ces syst�mes sont int�gr�s. Les fonctions de r�daction des rapports sont conviviales. | Le syst�me d'information de la haute direction est install�. Toutes les donn�es sont facilement accessibles sur ordinateur personnel. L'acc�s en mode descendant et l'analyse des tendances sont disponibles. |
Assises |
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R�sultats |
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THEME : Contr�les internes (Le SCT rencontre les crit�res du niveau 3)
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Le contr�le des op�rations se s'effectue en grande partie sur papier. L'approbation des op�rations est centralis�e. Il peut arriver que les nombreux niveaux d'approbation ajoutent de la valeur aux contr�les ou, � l'inverse, en enl�vent. Tous les comptes sont v�rifi�s, sans �gard � l'importance des contr�les ou des risques. Les contr�les sur les revenus sont faibles. Les fichiers des biens immobiliers sont incomplets et ne sont pas v�rifi�s r�guli�rement. La mise � jour des fichiers de d�l�gation n'est pas non plus faite r�guli�rement. Les contr�les sont restrictifs et per�us comme des obstacles � la prise de d�cisions et aux op�rations. Les politiques et les m�thodes ne sont pas � jour. | Des syst�mes sont en place pour contr�ler les d�penses exc�dentaires, g�rer les comptes clients et les actifs. L'int�gration des syst�mes est limit�e et les syst�mes comportent des redondances op�rationnelles. Utilisation restreinte des �chantillons statistiques fond�s sur les risques. Les niveaux d'approbation sont document�s et examin�s p�riodiquement. | Les syst�mes utilis�s sont efficaces et int�gr�s ou interconnect�s l� o� c'est n�cessaire. Compte tenu de l'importance relative, de la sensibilit� et des risques, le syst�me utilis� pour le contr�le interne de l'actif et du passif, des revenus et des d�penses est ad�quat. Tous les lois, r�glements et d�crets applicables � la gestion financi�re sont respect�s et les d�penses n'exc�dent pas les limites fix�es. La d�l�gation des pouvoirs est conforme aux responsabilit�s op�rationnelles. Tout le personnel comprend facilement et utilise les m�thodes qui sont expliqu�es clairement dans un document. | Les syst�mes de contr�le sont fonctionnels et enti�rement int�gr�s. Les contr�les sont �tablis dans le cadre des processus et non � partir de ceux-ci. Les contr�les fonctionnent tel que pr�vu et sont int�gr�s pour �viter un d�doublement inutile. Ils sont examin�s r�guli�rement quant au risque (b�n�fice �ventuel ou risque de perte). Il existe des processus pour assurer l'application de mesures correctrices. Des contr�les de remplacement sont �tablis, si n�cessaire, pour maintenir un niveau acceptable de productivit� et pr�venir les pertes dans la mesure du possible. L'utilisation de centres de service partag�s sert � regrouper les activit�s de contr�le semblables (ex., comptes clients) afin de r�aliser des �conomies d'�chelle. | Les gestionnaires effectuent les auto�valuations des contr�les exig�s. Les gestionnaires sont inform�s des faiblesses �ventuelles des contr�les. Les contr�les sont utilis�s de mani�re strat�gique pour encourager le respect de l'�thique et des valeurs au sein de l'organisme. |
Assises |
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R�sultats |
Enjeux et possibilit�s |
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THEME : Pratiques comptables (Le SCT rencontre les crit�res du niveau 3)
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Des livres comptables de base sont tenus. La structure du programme ne refl�te pas l'organisme ni ses responsabilit�s. Chaque ann�e, il faut un effort consid�rable pour produire les rapports exig�s, notamment les comptes publics, en vertu des r�gles gouvernementales �l�mentaires. L'information sur les prix de revient (si utilis�e) est bas�e sur les d�penses. Les livres sont tenus principalement pour les besoins du service des finances. Peu ou pas d'utilisation des outils technologiques de consolidation tels que les cartes de cr�dit. | Les pratiques sont conformes aux exigences des lois en mati�re de contr�le et de comptabilisation des op�rations. La structure du programme refl�te l'organisation et ses responsabilit�s concernant l'application du programme. L'�tablissement des prix de revient est fond� principalement sur les les d�penses et/ou les ETP. Les structures de codage sont �l�mentaires et ne satisfont pas aux besoins des gestionnaires quant � l'information financi�re. L'application des PCGR n'est pas envisag�e. | Le cadre d'�tablissement des prix de revient est en grande partie align� sur les activit�s de l'organisme. Le degr� de pr�cision est acceptable dans le livre d'�tablissement des prix de revient. La plupart des besoins des gestionnaires sont satisfaits. La tenue de livres est coh�rente et utile aux fins de v�rification et de pr�paration des rapports. Le plan comptable refl�te la structure organisationnelle et est r�vis� r�guli�rement. Le minist�re a entrepris les �tapes initiales en vue de la mise en oeuvre des PCGR. Les gestionnaires hi�rarchiques ont une bonne connaissance des pratiques comptables fondamentales. | Le traitement des op�rations est peu co�teux et permet des paiements rapides et exacts enti�rement int�gr�s avec les achats. Degr� �lev� de pr�cision dans le livre des prix de revient. Toutes les politiques, directives et m�thodes gouvernementales pertinentes sont respect�es. La comptabilit� est faite selon les PCGR. Les sp�cialistes financiers et les gestionnaires hi�rarchiques sont bien inform�s sur les exigences et les incidences des PCGR. | Les �tats financiers sont pr�par�s conform�ment aux PCGR. Utilisation maximale du commerce �lectronique (EED, AAE, cartes d'achat). |
Assises |
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R�sultats |
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THEME : V�rification et examen internes (Le SCT rencontre les crit�res du niveau 2)
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Absence de m�thode formelle de v�rification interne. Les v�rifications et les examens sont ponctuels. Connaissance et utilisation limit�es des techniques et des outils de v�rification modernes. Il n'y a pas de comit� de v�rification minist�rielle pour discuter des r�sultats et assurer un suivi si n�cessaire. | Un plan de v�rification annuel est en pr�paration, en collaboration avec les gestionnaires de la direction. Les v�rifications sont ax�es principalement sur la conformit�. | Les plans de v�rification et d'examen sont �troitement li�s aux plans strat�giques et d'activit�s . Le plan de v�rification s'attaque � l'ensemble des questions et des risques minist�riels ainsi qu'aux questions propres aux directions g�n�rales. Les v�rifications sont compl�tes et couvrent tous les aspects de la prestation de service. Les gestionnaires ont acc�s � des m�thodes de v�rification faciles � comprendre. Les rapports sont soumis � un comit� de v�rification/examen. Un processus formel sert � �tablir les mesures de suivi. La direction et le v�rificateur interne se respectent mutuellement. | La v�rification confirme la validit� de l'information sur le rendement financier et autre que financier utilis�e par la direction, ainsi que l'efficacit� des m�canismes de contr�le. Les gestionnaires utilisent r�guli�rement les r�sultats de v�rification et d'examen comme partie int�grante de la gestion des programmes pour la prise de d�cisions et l'apport dans les plans strat�giques et d'activit�s. Degr� �lev� de conformit� aux normes de v�rification. L'adaptation et la mise � jour des m�thodes de v�rification sont continuelles. | Les v�rifications et les examens sont ax�s sur les r�sultats. Les r�sultats de v�rification servent � d�terminer les besoins d'am�lioration de l'ex�cution des programmes et le type de rapport qui convient � l'organisation. Le poste de v�rificateur est associ� � l'avancement dans le plan de carri�re d'un gestionnaire op�rationnel sup�rieur. Les approches et les m�thodes de v�rification sont innovatrices (ex., �quipes d'auto�valuation). L'organisme est reconnu par ses pairs comme �tant un chef de file. |
Assises |
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R�sultats |
Enjeux et possibilit�s |
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THEME : V�rification et examen externes (Le SCT rencontre les crit�res du niveau 3)
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Les r�sultats de v�rification et d'examen externes sont trait�s � la pi�ce. | On coordonne les r�sultats des v�rifications et des examens externes pour en assurer la transmission aux gestionnaires et le suivi. | Les r�sultats des v�rifications et des examens externes sont utilis�s dans la pr�paration des plans strat�giques et d'activit�s. Ils servent � �laborer les plans d'action, et des �quipes de mise en oeuvre des projets sont form�es au besoin. Liens efficaces entre la v�rification interne et la v�rification et l'examen externes. Les relations de travail sont bonnes entre les v�rificateurs internes et externes. | Le suivi d�taill� permet de v�rifier l'�volution � long terme de la mise en oeuvre des d�cisions et des plans d�coulant des v�rifications et des examens; les r�sultats du suivi sont remis aux v�rificateurs externes. Le minist�re se montre pr�voyant en d�terminant les secteurs qui seront soumis en priorit� � la v�rification ou � l'�valuation externe. | Les v�rifications et examens externes sont
per�us comme des sources d'information essentielles � la gestion et sont
utilis�s pour amorcer les changements dans les processus de r�alisation
des programmes et les syst�mes d'�valuation du rendement.
Les v�rificateurs internes et externes se respectent mutuellement. |
Assises |
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R�sultats |
Enjeux et possibilit�s |
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THEME : Clart� des responsabilit�s de la haute direction et de l'organisation (Le SCT rencontre les crit�res du niveau 3)
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Les r�les et les responsabilit�s de la haute direction en ce qui concerne la fonction de contr�leur sont habituellement mal compris � l'int�rieur de l'organisme. Une certaine confusion entoure les responsabilit�s li�es � la pr�sentation des r�sultats. | Une certaine confusion entoure les responsabilit�s li�es � la fonction de contr�leur exerc�es par la haute direction. Chevauchement des r�les et des responsabilit�s chez les cadres sup�rieurs. Il n'est pas facile de d�terminer qui d�tient le pouvoir d'affecter les ressources en cas de conflit. | Les pouvoirs et les responsabilit�s sont clairement d�finis en fonction des objectifs organisationnels. La fonction de contr�leur est clairement d�crite pour chaque niveau de gestion et bien comprise dans l'ensemble de l'organisme. Peu ou pas de chevauchement des responsabilit�s. Les probl�mes li�s � la reddition de comptes sont r�solus rapidement. Les responsabilit�s quant au contr�le des ressources, � la pr�sentation de rapports et � l'atteinte de r�sultats sont clairement d�limit�es. | Les responsabilit�s en mati�re de traitement des probl�mes financiers et autres probl�mes nouveaux qui surviennent dans le minist�re sont claires. Il existe des responsabilit�s claires qui constituent un cadre de travail pour la modernisation de la fonction de contr�leur. | Les responsabilit�s de la haute direction sont constamment r�vis�es en fonction des exigences des clients et des intervenants externes ainsi que des organismes centraux. La structure et les responsabilit�s sont modifi�es de fa�on proactive. |
Assises |
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R�sultats |
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THEME : Objectifs de rendement et �valuation (Le SCT rencontre les crit�res du niveau 3)
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Aucun accord de rendement n 'est en place. | Des accords de rendement comprennent la d�finition des responsabilit�s ainsi que l'�tablissement des priorit�s et des indicateurs de rendement en fonction des responsabilit�s. Les syst�mes servant � grouper les donn�es sur le rendement et � les comparer aux objectifs financiers et op�rationnels ne sont pas encore fonctionnels. | Les accords de rendement refl�tent les plans d'activit�s et de travail, ainsi que les budgets. L'information sur le rendement sert � mesurer les r�sultats op�rationnels et financiers selon les priorit�s �tablies dans les accords de rendement. Les r�alisations selon les accords de rendement sont prises en compte dans l'�valuation de rendement des cadres sup�rieurs. | L'information sur le rendement fond�e sur les tendances sert � �valuer les r�sultats financiers et op�rationnels pr�cis�s dans les accords de rendement. Ces derniers constituent le principal �l�ment de l'�valuation des cadres sup�rieurs. Les objectifs de contr�le sont �tablis dans les accords de responsabilisation. | Les priorit�s et les objectifs de rendement des accords de responsabilisation se refl�tent sur les objectifs du personnel de l'organisme. Les accords de rendement sont r�vis�s p�riodiquement afin de refl�ter les nouvelles priorit�s organisationnelles et les changements dans les plans strat�giques et op�rationnels. Les responsabilit�s li�es � la fonction de contr�leur sont �valu�es et les d�rogations expliqu�es. |
Assises |
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R�sultats |
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THEME : Mesures incitatives (Le SCT se situe entre le niveau 3 et le niveau 4)
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La r�mun�ration et les primes d'encouragement ne sont pas associ�es au rendement. On ne tient pas compte de la fonction de contr�leur dans l'�valuation du rendement et les primes. | Le rendement sup�rieur est un des facteurs consid�r�s dans l'�tablissement de la r�mun�ration. Les programmes de reconnaissance sont en place. Le rendement li� � la fonction de contr�leur est un des facteurs consid�r�s. | La r�mun�ration et les primes d'encouragement sont �troitement li�es au rendement. La fonction de contr�leur est un des principaux facteurs consid�r�s dans l'�valuation du rendement. Les primes et autres mesures incitatives destin�es aux cadres sup�rieurs sont li�es � leur rendement. | La r�mun�ration des cadres sup�rieurs est �tablie en fonction de leur rendement, notamment l'excellence dans l'exercice de leurs responsabilit�s li�es � la fonction de contr�leur. Les primes d'encouragement offertes ont pour but de stimuler l'excellence du rendement en fonction des objectifs et des priorit�s �tablis dans les accords de rendement. | La r�mun�ration des cadres sup�rieurs refl�te le rendement atteint par rapport aux objectifs fix�s dans les accords de responsabilisation. Le rendement �lev� est reconnu et encourag�. Les programmes de primes sont am�lior�s continuellement et adapt�s aux besoins de l'organisme. Il y a des sanctions pour la non-r�alisation. |
Assises |
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R�sultats |
Enjeux et possibilit�s |
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THEME : Rapports externes (Le SCT rencontre les crit�res du niveau 2)
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Conformit� minimale aux exigences relatives � la pr�paration des rapports externes. | Le processus utilis� pour
int�grer l'information financi�re et autre que financi�re est r�vis�
r�guli�rement.
Des liens �troits sont maintenus avec les organismes centraux et les parlementaires afin de voir � ce que l'information soit conforme � leurs exigences. Les rapports externes sont adapt�s aux structures de responsabilit� et de planification de l'organisme. |
L'organisme est reconnu par les organismes centraux (ex., SCT) et les parlementaires (ex., Comit� des comptes publics) pour la production utile, coh�rente et cr�dible d'information financi�re et autre que financi�re dans un format convivial. Les rapports externes sont faciles � comprendre et ont du sens pour les utilisateurs. L'information contenue dans les rapports est fond�e sur les tendances afin que les changements soient contr�l�s p�riodiquement. | Les rapports externes sont �troitement li�s aux plans strat�giques et op�rationnels. L'information int�gr�e, fournie par les experts et les gestionnaires fonctionnels, est utilis�e dans la pr�paration des rapports externes. La haute direction participe � la pr�paration et � la publication des rapports externes. | L'organisme se d�marque par la qualit� de ses rapports externes. Ceux-ci sont innovateurs. L'organisme est souvent retenu pour la r�alisation de projets pilotes visant � modifier les processus de rapports externes dans l'ensemble du gouvernement. |
Assises |
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