ARCHIVÉ - Secrétariat du Conseil du Trésor du Canada - résultats concernant l'évaluation des méthodes de gestion moderne
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Contexte
Les modes de fonctionnement et de gestion au gouvernement subissent des
changements rapides et importants. Ils changent aussi la culture et la manière
de gérer les ressources. La modernisation de la fonction de contrôleur est un
facteur clé de cette transformation. Cela suppose de renoncer aux mécanismes
de contrôle et de conformité en faveur des résultats et des valeurs. Le
passage d'une orientation essentiellement financière à une perspective de
gestion plus vaste est au coeur de cette démarche.
En 1997, un comité d'examen indépendant a été créé pour faciliter le
renouvellement et le changement de la fonction de contrôleur du gouvernement de
demain. À la lumière des critères cernés dans le rapport de ce comité, un
outil d'autoévaluation a été mis au point par la firme KPMG Consulting L.P.
pour que les ministères puissent évaluer leurs pratiques actuelles en tenant
compte des recommandations et des constatations du comité.
La fonction de contrôleur moderne suppose de saines pratiques de gestion.
Traditionnellement au gouvernement, cette fonction misait sur les mécanismes de
contrôle financier comme le traitement des opérations, la déclaration des
totaux et le suivi des fonds. Elle a longtemps été considérée comme la
chasse gardée des spécialistes fonctionnels. Modernisée, cette fonction met
plutôt l'accent sur les résultats et les valeurs. Elle s'écarte d'une
perspective financière centralisée pour en adopter une plus vaste embrassant
toute la gestion, de sorte à l'intégrer totalement aux responsabilités de
chaque gestionnaire. Elle préconise une gestion rigoureuse des deniers publics
en insistant sur le rendement plutôt que sur le respect strict des règles.
Elle fait également le pont entre l'information financière (budgets,
dépenses, recettes, actifs, etc.) et les autres données (résultats
escomptés, rendement, extrants, etc.). Elle mise sur un processus décisionnel
efficace pour bien gérer les ressources, tant humaines, que financières et
technologiques, et les immobilisations.
Le Secrétariat du Conseil du Trésor est l'un des 12 ministères pilotes qui
dirigent la stratégie de mise en oeuvre de la modernisation de la fonction de
contrôleur. Chacun d'eux a procédé à l'autoévaluation de ses pratiques en
tenant compte des recommandations du rapport du comité et en appliquant l'outil
de vérification des capacités. Le présent rapport tient compte des résultats
des entrevues avec 40 gestionnaires du SCT.
- L'outil mis au point par KPMG pour vérifier les capacités de la fonction
de contrôleur est un outil d'autoévaluation. Dans les cas des ministères
pilotes, cette autoévaluation était « dirigée », à savoir
qu'une équipe de trois experts-conseils a mené des entrevues avec les
gestionnaires. Ils se sont servi d'un guide pour recueillir les perceptions
des gestionnaires sur chacun des six éléments.
- Les gestionnaires visés ont été choisis pour assurer une couverture
équilibrée dans tout le Secrétariat. Il s'agissait entre autres de
gestionnaires à divers niveaux des directions et secteurs et de certains
spécialistes fonctionnels.
- L'examen ne portait que sur les processus et non sur la qualité ou le
produit du processus.
- L'outil de vérification des capacités de la fonction de contrôleur est
assorti d'un barème de pointage de 1 à 5. Une cote élevée ne veut pas
nécessairement dire « bon », mais plutôt rigueur ou affermissement de la
capacité. Le classement idéal pour n'importe quel secteur dépend des
besoins et des buts de l'organisme. Les résultats de l'examen devraient
être interprétés comme étant un « minimum » à atteindre par rapport
aux critères et non une « fiche de rendement ».
- Les constatations ont été formulées le plus impartialement possible.
Comme la vérification des capacités n'est pas une vérification comme
telle, nous n'avons pas essayé de déterminer si le constat était « bon»
ou « mauvais ». Par exemple, une mention du genre « Absence de cadre
éthique officiel » n'est ni une critique ni un compliment : il s'agit
simplement d'un constat.
- On a assuré aux personnes interviewées le caractère confidentiel des
entretiens.
- Les constatations s'appliquent à tout le Secrétariat et non au niveau
d'une direction ou d'un secteur. Nous n'avons fait aucune comparaison entre
directions ou secteurs.
Résumé
Sommaire de l'autoévaluation de la vérification des
capacités de gestion
Voici un sommaire des constatations de chaque élément. Elles sont décrites
en détail à la rubrique sur les résultats qui figure plus loin dans le
rapport.
- Le SCT a, en grande partie, de saines pratiques de gestion qui sont
conformes à l'initiative de modernisation de la fonction de contrôleur au
gouvernement.
- L'engagement pris par la haute direction est solide, et bien des
initiatives sont déjà en cours. L'accent devrait porter à l'avenir sur la
généralisation de la culture dans toute l'organisation.
- Le niveau de service du soutien fonctionnel pourrait être amélioré,
situation qui, de l'avis de bien des gestionnaires, est attribuable aux
répercussions de l'Examen des programmes sur les ressources. Le soutien des
experts est perçu comme étant davantage axé sur les processus, alors que
les gestionnaires de tout le Secrétariat souhaiteraient qu'ils soient
davantage des partenaires stratégiques.
- Des progrès ont été faits en planification des activités, et le
processus continue d'évoluer.
- Il faut se doter d'un cadre de gestion des risques formel.
- Il faut mieux définir les compétences dont ont besoin les gestionnaires
au titre des pratiques de gestion moderne.
- La formation en gestion est offerte, mais la charge de travail empêche
les employés d'assister aux séances.
- Les gestionnaires ont accès à de la formation, mais leur charge de
travail les empêche de la suivre.
- L'éthique n'ayant pas été clairement énoncée, elle ne peut faire
l'objet d'un suivi permanent.
- On dispose d'une marge de manoeuvre limitée pour réaffecter les
ressources entre les directions ou les secteurs.
- Il faut mettre au point des cadres d'évaluation dans certains domaines de
programme.
- Il y a déjà en place des systèmes d'établissement des coûts limités,
mais les gestionnaires disent que l'information sur les coûts comble leurs
besoins.
- Les gestionnaires sont fiers de travailler au SCT, et ils invoquent des
valeurs solides; mais il y a d'autres gestionnaires qui disent que les
mesures prises ou les résultats obtenus ne traduisent pas toujours leurs
intentions.
Aperçu
Objectifs de la vérification des capacités des
pratiques de gestion moderne
- Évaluer les pratiques actuelles de la fonction de contrôleur de chaque
ministère à la lumière d'une norme commune. Évaluer les pratiques de
gestion actuelles à la lumière des pratiques exemplaires et des principes
dont il est question dans le rapport du comité d'examen indépendant.
- Réunir tous les éléments du cadre de gestion. La vérification des
capacités vise à intégrer toute la gamme des capacités nécessaires pour
mettre en oeuvre une fonction de contrôleur moderne, dont le leadership, la
planification des activités, la gestion des risques, la gestion du
rendement, les systèmes de contrôle et la gestion des responsabilités.
- Comparer à la lumière des pratiques exemplaires. La vérification des
capacités repose sur les pratiques exemplaires d'autres organisations de
pointe, et fournit donc l'occasion aux organisations d'évaluer leur
position par rapport à ces pratiques exemplaires.
- Donner l'assurance aux clients et intervenants externes de la fiabilité
de la fonction de contrôleur au Secrétariat. La vérification des
capacités devrait aider à préciser aux clients et intervenants externes
(comme les organismes centraux, les parlementaires) l'approche de gestion
actuellement en place, et leur donner une certaine assurance que le cadre de
gestion global est adéquat.
- Met l'accent sur le futur -- sur la mise en place des capacités pour
répondre à l'avenir aux nouvelles demandes des clients et à l'évolution
de l'environnement.
- Met l'accent sur l'élargissement ou l'amélioration des capacités
plutôt que sur la réduction des effectifs.
- Reconnaît qu'une organisation ne peut se concentrer que sur un nombre
restreint de domaines d'amélioration à un moment donné et qu'elle ne peut
« exceller » en tout.
- Se veut un outil diagnostique pour la haute direction de l'organisation.
- Met l'accent sur le ministère -- ne doit pas servir à comparer les
pratiques de gestion entre les secteurs ou les régions.
- Est un outil d'autoévaluation dirigée -- ce n'est ni un examen ni une
vérification. L'information est recueillie dans le cadre d'entrevues, puis
validée avec les gestionnaires, en groupe.
- Mise sur les changements déjà en cours dans les processus de gestion.
Pratiques de gestion moderne
- Leadership stratégique
- Gens motivés
- Valeurs et éthiques communes
- Information sur le rendement intégrée
- Gestion du risque évoluée
- Gérance rigoureuse
- Responsabilisation distincte
Leadership stratégique
- Engagement de la direction
L'administrateur général et la haute direction établissent le
contexte des pratiques de gestion moderne.
- Rôle de l'agent financier principal
Des demandes de commentaires objectifs et d'avis indépendants sont
adressées à son bureau.
- Participation des gestionnaires
Les gestionnaires sont conscients de leurs responsabilités liées aux
pratiques de gestion moderne et s'engagent à les assumer.
- Liens avec la planification stratégique
Liens entre la planification opérationnelle, l'affectation des
ressources et la planification stratégique.
Gens motivés
- Compétences nécessaires à l'application des pratiques
de gestion moderne
Les compétences exigées pour l'application des pratiques de gestion
moderne sont définies et où les gestionnaires ont accès à la
formation.
- Mesure de la satisfaction du personnel et système de
suivi
Mécanismes en place pour surveiller le moral des employés et les
relations de travail.
- Valoriser la participation du personnel
La culture organisationnelle favorise la participation des employés,
la formation d'équipes, le partage des idées, la prise de risques,
l'innovation et la formation continue.
- Appui d'experts
Excellent conseiller à la disposition des gestionnaires pour les
aider à prendre des décisions quant aux questions relatives aux
pratiques de gestion moderne.
Valeurs et éthique communes
- Éthique et cadre de valeurs
Existence de politiques et d'activités qui soutiennent visiblement la
fonction de « gardien » des ressources publiques et
donnent priorité aux « pratiques de gestion moderne ».
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Information sur le rendement
intégrée
- Planification opérationnelle
Systèmes et processus de planification opérationnelle.
- Affectation des ressources
Mécanismes pour classer les options de programme, déterminer les
ressources nécessaires et répartir les fonds limités.
- Budgets et prévisions
Systèmes, procédés et processus servant à établir les exigences
de financement et à répartir les ressources.
- Information sur le rendement général
L'organisme dispose des principaux outils d'évaluation permettant de
mesurer le rendement général.
- Information opérationnelle
Mesures et systèmes servant à évaluer la qualité des services et
l'efficacité des programmes.
- Mesure de la satisfaction de la clientèle et systèmes
de suivi
Utilisation des données provenant des enquêtes sur les niveaux de
satisfaction de la clientèle et d'importance des services.
- Information sur l'évaluation
Utilisation de l'information autre que financière liée à
l'efficacité des programmes et aux résultats.
- Normes de service
Comparaison avec les normes de service à la clientèle, maintien et
mise à jour des normes.
- Information financière
L'information financière nécessaire est disponible en temps utile.
- Information sur la gestion des coûts
Mécanismes pour saisir les coûts des activités et des produits.
Gestion du risque évoluée
- Gestion des risques
Processus et systèmes servant à repérer et à évaluer les risques
et à déterminer un degré de risque acceptable.
- Niveaux de pouvoirs
Rectitude du pouvoir des gestionnaires et du contrôle des ressources
en vue de l'accomplissement des responsabilités.
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Gérance rigoureuse
- Amélioration du processus opérationnel
Les processus sont bien compris, utilisés de manière uniforme et
améliorés continuellement en conformité avec les meilleures
pratiques.
- Outils et techniques
Gamme de techniques analytiques (coûts-avantages, sensibilité, cycle
de vie, analyse comparative, etc.) à la disposition des
gestionnaires.
- Systèmes de suivi des transactions
Évaluation des systèmes servant au suivi des transactions
financières et des résultats opérationnels.
- Technologie d'accès à l'information
L'information sur le rendement est déjà accessible aux utilisateurs
internes et externes grâce aux technologies.
- Uniformité de l'information
L'information financière et opérationnelle est colligée et
présentée de manière uniforme d'une unité à l'autre.
- Contrôles internes
Systèmes et méthodes de protection contre la fraude, la négligence
financière, la contravention aux règles ou aux principes ainsi que
la perte de biens ou de fonds publics.
- Pratiques comptables
Les relevés des transactions financières sont conservés de manière
uniforme et utile aux fins de vérification et de préparation des
rapports, conformément aux principes comptables généralement
reconnus.
- Vérification et examen internes
Processus permettant d'accorder suffisamment d'attention aux
résultats et recommandations des examens et des vérifications
internes ainsi qu'à l'évaluation des programmes.
- Vérification et examen externes
Processus permettant d'accorder suffisamment d'attention aux
résultats et recommandations des examens et des vérifications
externes des opérations ministérielles.
Responsabilisation distincte
- Clarté des responsabilités de la haute direction et de
l'organisation
Clarté des responsabilités liées aux pratiques de gestion moderne
dans l'ensemble de l'organisme.
- Objectifs de rendement et évaluation
L'atteinte des résultats financiers et opérationnels fait partie des
objectifs de rendement.
- Mesures incitatives
Des primes d'encouragement sont accordées aux gestionnaires
efficaces.
- Rapports externes
Le rapport est conforme aux exigences du Parlement et des organismes
centraux en matière de diffusion de l'information.
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Objectif
- Le projet vise à mener une évaluation complète des pratiques de gestion
au Secrétariat du Conseil du Trésor à la lumière des recommandations du
rapport du comité d'examen indépendant sur la modernisation de la fonction
de contrôleur au gouvernement du Canada. L'équipe devait recueillir et
analyser des données pour que les gestionnaires puissent cerner les points
forts et les faiblesses à cet égard.
- L'évaluation misait sur les processus et les pratiques en place et devait
aider à cerner les domaines du Secrétariat où des améliorations des
capacités s'imposaient.
- L'équipe du projet de KPMG a collaboré avec le personnel du SCT pour que
le transfert des connaissances tirées de l'utilisation de l'outil de
vérification des capacités et du processus connexe permette au
Secrétariat de mener des évaluations à l'avenir en se servant de l'outil
de vérification des capacités de la fonction de contrôleur mis au point
par KPMG.
Portée
- L'évaluation portait sur toutes les unités organisationnelles du SCT et
touchait des gestionnaires et des employés fonctionnels à divers niveaux.
Fonctionnement de la liste de contrôle de la
vérification des capacités
- Les capacités actuelles sont évaluées en fonction des principaux
éléments de la fonction de contrôleur et des critères accompagnant
chacun de ces éléments.
- Les capacités décrites dans chaque critère représentent différents
états ou paliers que l'organisme peut s'efforcer d'atteindre. Ces
descriptions sont progressives.
- Les descriptions des capacités sont fondées sur les meilleures pratiques
généralement reconnues, mais elles ont été adaptées afin de tenir
compte du rapport du groupe d'examen indépendant et du cadre d'évaluation
du SCT.
- Une méthode de pointage sur une échelle de « 1 » à « 5 » est
utilisée. Un pointage élevé ne veut pas nécessairement dire « bon »,
mais plutôt rigueur ou affermissement de la capacité. Le
classement idéal pour n'importe quel secteur dépend des besoins et des
buts de l'organisme.
THEME : Information sur le rendement général (Le SCT rencontre
les critères du niveau 2)
1
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2
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3
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4
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5
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Aucune évaluation du rendement. |
Chaque secteur évalue le
rendement de son unité.
On a déterminé les secteurs prioritaires pour l'ensemble de
l'organisme.
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Des mesures stratégiques de niveau élevé
sont en place et sont liées à la vision et aux priorités stratégiques
principales. Les résultats à mesurer selon les critères
organisationnels ont été déterminés et sont liés aux évaluations de
l'ensemble de l'organisme. |
Il y a des donnés sur le
rendement pour tout l'organisme. Ces résultats sont interprétés selon
un concept de pointage équilibré. Les résultats sont contrôlés
périodiquement Les méthodes d'évaluation de l'organisme sont adaptées
continuellement |
Les résultats des évaluations sont
contrôlés périodiquement; les plans stratégiques et opérationnels
sont modifiés en conséquence. Ces résultats amènent à faire des
compromis dans les priorités. L'information est facilement accessible
dans les systèmes d'information de la haute direction. |
Capacité actuelle
|
L'objectif
que l'organisme peut s'efforcer d'atteindre |
Capacité future |
Voici les étapes suivies dans le cadre de l'examen :
- Le personnel du SCT a donné une séance d'information aux
experts-conseils de KPMG sur les activités et la structure
organisationnelle du Secrétariat. Il a remis à l'équipe les principaux
documents qui l'aideraient à mener à bien sa tâche.
- Les experts-conseils et les membres de l'équipe du Secrétariat ont
dressé la liste des gestionnaires et des employés fonctionnels concernés
qui participeraient aux entrevues. Le protocole et le processus d'entrevue
ont été établis. Il s'agissait entre autres d'une stratégie de
communications afin de préparer les personnes reçues en entrevue.
- Un guide d'entrevue a été rédigé et adapté aux besoins du
Secrétariat.
- Les entrevues ont été menées auprès de 39 gestionnaires. À mi-chemin
environ, on a fait une analyse provisoire pour s'assurer que l'on
recueillait bien les renseignements souhaités et déterminer ceux qui
manquaient, le cas échéant. On a apporté les rajustements qui
s'imposaient. Les membres de l'équipe du SCT ont assisté comme
observateurs à bon nombre d'entrevues.
- Un atelier à l'intention de l'équipe du projet a été mené pour
intégrer toute l'information tirée des entrevues et de la documentation.
Une analyse à la lumière des critères de l'outil diagnostique a permis
d'accorder une cote provisoire à chaque élément de chaque fonction. Les
membres de l'équipe du SCT ont assisté à cet atelier qui s'inscrivait
dans le volet du transfert des connaissances.
- Trois groupes de discussion comptant de six à dix gestionnaires ou
spécialistes fonctionnels chacun ont été organisés. Le premier était
formé de membres du groupe de travail du SCT, le deuxième des personnes
ayant participé aux premières entrevues et le troisième, des
gestionnaires qui n'avaient pas encore pris part au processus. Cette
activité visait à valider les cotes d'évaluation et à déboucher sur un
consensus plus grand sur les cotes. Bien des changements ont été apportés
aux constatations et aux cotes à la suite de ces séances de validation.
- Un rapport provisoire a été rédigé et examiné par les membres de
l'équipe du Secrétariat, puis modifié en conséquence.