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Réponse aux comités parlementaires et aux vérifications externes

Réponse aux comités parlementaires

Des représentants du Bureau de la concurrence se sont présentés le 28 mai 2009 devant le Comité permanent de l’agriculture et de l’agro-alimentaire de la Chambre des communes pour discuter de son étude sur la compétitivité de l’agriculture canadienne. Le président du Comité a demandé au Bureau de formuler des recommandations sur les autorisations, les outils et les ressources dont il a besoin pour résoudre les questions soulevées par le Comité. Citons notamment les offres captives, le prix élevé des intrants, la compression de la marge bénéficiaire, l’accès au marché de l’alimentation de détail et l’abus de position dominante dans les secteurs du détail et de la transformation. Le Bureau a répondu par une lettre datée du 8 juin 2009. De plus, les membres du Comité ont demandé le texte des dispositions sur l’abus de position dominante (articles 78 et 79 de la Loi sur la concurrence) dans le secteur canadien de l’alimentation. Le texte a été envoyé à la greffière du Comité dans les deux langues officielles pour distribution aux membres.

Des représentants du Bureau de la concurrence se sont présentés le 18 novembre 2009 devant le Comité permanent de l’industrie, des sciences et de la technologie de la Chambre des communes pour discuter de son étude sur le paiement par carte de crédit, carte de débit et Interac. Les représentants ont promis au Comité de lui fournir, pour chaque secteur d’activités d’application de la loi, des statistiques sur les plaintes que le Bureau avait reçues au cours de la dernière année. Ils ont également promis de lui transmettre de l’information sur les répercussions des activités des sociétés étrangères émettrices de cartes de crédit une fois qu’elles accèdent au marché des cartes de débit. Le Bureau a répondu par une lettre datée du 7 décembre 2009.

Le sous-ministre délégué d’Industrie Canada s’est présenté devant le Comité permanent des comptes publics (CPCP) en novembre 2009 pour déposer un plan d’action de la direction, élaboré conjointement par le Ministère et le Secrétariat du Conseil du Trésor du Canada (SCT), en réponse aux questions soulevées par le Bureau du vérificateur général (BVG) concernant la propriété intellectuelle. La discussion a porté essentiellement sur l’efficacité des méthodes employées pour évaluer dans quelle mesure l’objectif de la Politique sur le titre de propriété intellectuelle découlant des marchés d’acquisition de l’État du SCT est atteint.

Réponse à la vérificatrice générale du Canada (y compris au commissaire à l’environnement et au développement durable)

Rapport de la vérificatrice générale du Canada du printemps 2009 – Chapitre 2, La propriété intellectuelle

La propriété intellectuelle comprend les droits découlant de l’activité intellectuelle dans les domaines industriel, scientifique, littéraire ou artistique. Elle englobe toute création intellectuelle qui est protégée légalement par brevet ou droit d’auteur ou par l’enregistrement d’un dessin industriel, d’une topographie de circuits intégrés ou de l’obtention d’une variété de plantes, ou qui peut être protégée par la loi, comme des secrets industriels et des renseignements confidentiels. Le gouvernement fédéral crée des éléments de propriété intellectuelle dans le cadre d’activités exercées sous le régime de marchés fédéraux pour l’acquisition de biens et de services. Il produit également de tels éléments dans le cadre de ses propres activités en science et en recherche.

La vérification portait notamment sur le rôle d’Industrie Canada et du SCT dans la surveillance de l’application de la politique fédérale en matière de propriété intellectuelle découlant des marchés d’acquisition de l’État.

Le BVG a constaté que le gouvernement fédéral n’est pas en mesure de savoir si l’objectif de la Politique sur le titre de propriété intellectuelle découlant des marchés d’acquisition de l’État, établi il y a huit ans, est atteint. Le gouvernement ne peut pas déterminer la part de propriété intellectuelle qui est produite à l’externe dans le cadre de travaux effectués sous contrat. Aucune des organisations vérifiées ne note ni ne signale adéquatement la possibilité que le travail effectué sous contrat puisse créer un élément de propriété intellectuelle. D’après les résultats de la vérification, ni Industrie Canada ni le SCT n’ont rempli adéquatement leurs obligations, qui consistent à évaluer la Politique et à en surveiller l’application, plus particulièrement dans les cas comportant des exceptions.

Le plan d’action de la direction élaboré en réponse aux recommandations découlant de cette vérification a été présenté au Comité ministériel de vérification en 2009-2010.

Recommandations et réponses d’Industrie Canada :

2.25 Recommandation : Industrie Canada et le Secrétariat du Conseil du Trésor du Canada devraient s’employer, avec les entités fédérales, à améliorer la surveillance de l’application de la Politique sur le titre de propriété intellectuelle découlant des marchés d’acquisition de l’État, en se concentrant sur les cas où des exceptions ont été invoquées. Ils devraient travailler en collaboration avec les entités fédérales pour s’assurer que les données sur la propriété intellectuelle sont interprétées avec exactitude et que les systèmes d’information indiquent correctement la propriété afin d’appuyer une future évaluation de la Politique.

Réponse d’Industrie Canada et du Secrétariat du Conseil du Trésor du Canada : Industrie Canada et le Secrétariat du Conseil du Trésor du Canada acceptent la recommandation. Ils collaboreront avec les instances fédérales pour s’assurer qu’elles conviennent de la nécessité de recueillir des données précises et complètes pour faciliter l’évaluation future de l’efficacité de la politique. Aux termes de la Politique sur le titre de propriété intellectuelle découlant des marchés d’acquisition de l’État (article 10) du Secrétariat du Conseil du Trésor du Canada, les administrateurs généraux sont responsables de la mise en œuvre de la Politique et il leur revient de garantir le respect des obligations touchant la préparation des rapports.

En 2007, Industrie Canada et le Secrétariat du Conseil du Trésor du Canada ont pris des mesures et apporté des modifications aux systèmes de préparation des rapports sur les marchés. Un Avis sur la politique des marchés a ensuite été expédié aux ministères et aux organismes les informant de ces changements. De plus, on a mené des activités pour aider les instances fédérales à comprendre ces modifications, y compris la révision du guide de mise en œuvre de la politique, la production d’une série de questions et réponses et la mise au point d’un outil d’apprentissage électronique sur la propriété intellectuelle. Ces mesures contribueront à assurer la cueillette de données plus précises qui seront revues chaque année et qui faciliteront l’évaluation de la Politique prévue en 2011.

2.33 Recommandation : Industrie Canada et le Secrétariat du Conseil du trésor du Canada devraient coordonner leurs évaluations en cours et prévues des politiques actuelles relatives à la propriété intellectuelle afin de fournir un appui meilleur et plus efficace en ce qui concerne les questions communes concernant la gestion de la propriété intellectuelle.

Réponse d’Industrie Canada et du Secrétariat du Conseil du Trésor du Canada : Industrie Canada et le Secrétariat du Conseil du Trésor acceptent la recommandation. Ils travailleront en étroite collaboration en vue de garantir la bonne coordination des évaluations des politiques actuelles sur la propriété intellectuelle et de régler les problèmes communs. Par l’entremise du Comité des sciences et de la technologie des sous-ministres adjoints, Industrie Canada partagera avec le Secrétariat du Conseil du Trésor et d’autres ministères les évaluations des politiques fédérales sur la propriété intellectuelle résultant des travaux du Groupe de travail sur l’application des connaissances et la commercialisation interministériel coprésidé par Industrie Canada et le Conseil national de recherches du Canada. Ce groupe de travail a été créé suivant l’adoption de la Stratégie des sciences et de la technologie de 2007.

Le plan d’action de la direction élaboré en réponse aux recommandations découlant de cette vérification a été présenté au Comité ministériel de vérification en 2009-2010.

Rapport de la vérificatrice générale du Canada du printemps 2009 – Chapitre 3, La santé et la sécurité dans les immeubles à bureaux fédéraux

La responsabilité d’assurer la santé et la sécurité des employés fédéraux qui travaillent dans un immeuble géré par le gouvernement fédéral incombe à divers acteurs. Travaux publics et Services gouvernementaux Canada (TPSGC) est chargé de veiller à ce que les immeubles où travaillent des fonctionnaires fédéraux, ainsi que les systèmes et l’équipement qui s’y trouvent, soient sécuritaires, conformément aux lois et aux règlements applicables. Ressources humaines et Développement des compétences Canada (RHDCC), dans le cadre de son Programme du travail, a la responsabilité d’administrer et de faire appliquer la politique et les normes relatives à la protection contre les incendies dans les immeubles où travaillent des fonctionnaires fédéraux. De leur côté, les ministères sont responsables de la santé et de la sécurité de leurs employés.

Le BVG a vérifié si les ministères avaient établi un plan d’urgence en cas d’incendie, conformément aux principales exigences prévues dans la Norme pour le plan d’évacuation d’urgence et l’organisation des secours en cas d’incendie du Conseil du Trésor, notamment s’ils effectuaient les exercices d’évacuation obligatoires. De plus, le BVG s’est penché sur les activités des Services de protection contre les incendies (autrefois le Commissaire des incendies du Canada), division du Programme du travail de RHDCC chargée de l’administration et de l’application de cette norme. La vérification portait aussi sur le rôle joué par les bureaux régionaux et les bureaux de district du Programme du travail dans l’examen des plans de sécurité en cas d’incendie visant les immeubles occupés par le gouvernement fédéral.

La vérification a permis de constater que même si les ministères sont tenus de mener des exercices annuels d’évacuation en cas d’incendie afin de familiariser les employés avec les procédures d’évacuation et de mettre ces procédures à l’essai, dans 33 % des 54 immeubles examinés, les ministères n’ont pas pu démontrer qu’ils tenaient ces exercices. De plus, ceux qui occupent la quasi-totalité des gratte-ciel examinés ne mènent pas les exercices d’évacuation supplémentaires requis. Les ministères ne respectent pas les principales exigences prévues dans la Norme pour le plan d’évacuation d’urgence et l’organisation des secours en cas d’incendie. Ainsi, les plans de sécurité en cas d’incendie établis pour la plupart des immeubles visés par la vérification n’ont pas été soumis au Programme du travail de RHDCC, responsable technique du gouvernement fédéral en matière de sécurité-incendie.

Le Programme du travail de RHDCC n’administre pas complètement la Norme pour le plan d’évacuation d’urgence et l’organisation des secours en cas d’incendie et ne l’applique pas dans sa totalité. Il n’y a aucune surveillance de la participation aux exercices d’évacuation pour l’ensemble du gouvernement. De plus, le Programme du travail ne dispose pas de systèmes efficaces de gestion lui permettant de s’assurer qu’il examine les plans de sécurité en cas d’incendie de tous les immeubles fédéraux, de façon à déterminer si ces plans permettent l’évacuation des employés en cas d’urgence. Le Programme du travail a examiné les plans de seulement 19 des 54 immeubles visés par la vérification (35 %), et seulement 10 de ces plans étaient conformes à la Norme et avaient été approuvés.

Recommandations et réponses d’Industrie Canada :

3.80 Recommandation : Les ministères et organismes devraient veiller à ce que des plans de sécurité en cas d’incendie soient établis et administrés conformément aux lois fédérales applicables ainsi qu’aux politiques et aux normes du Conseil du Trésor du Canada.

Réponse d’Industrie Canada : La recommandation est acceptée. Le 1er février 2007, Industrie Canada a assumé les responsabilités du ministère qui compte le plus grand nombre d’employés dans l’édifice Héritage. Depuis, la première priorité consiste à transformer une organisation des services d’urgence et d’incendie partiellement dotée en une unité entièrement renouvelée et formée. La deuxième priorité consiste à améliorer le plan de sécurité-incendie existant en faisant la révision de celui-ci et en le rendant conforme avec la norme du Conseil du Trésor. Les plans de sécurité en cas d’incendie concernant l’édifice C.D. Howe et Héritage ont été envoyés à Ressources humaines et Développement des compétences Canada en novembre 2008, aux fins d’approbation.

Une fois le processus de révision complété, le plan sera envoyé à l’agent principal aux fins d’approbation.

3.88 Recommandation : Les ministères et organismes devraient s’assurer que tous les exercices d’évacuation sont tenus conformément aux lois fédérales ainsi qu’aux politiques et aux normes du Conseil du Trésor du Canada.

Réponse d’Industrie Canada : La recommandation est acceptée. Les exercices du personnel désigné sont menés sous forme de formation en classe tous les deux mois dans l’édifice C.D. Howe, conformément à la norme du Conseil du Trésor. Des documents à l’appui sont offerts.

Les exercices prévus trimestriellement pour les groupes adjacents des étages n’ont pas été menés dans l’édifice C.D. Howe depuis octobre 2000, lorsque Ressources humaines et Développement des compétences Canada (RHDCC) a instauré des mesures d’urgence intérimaires dans l’édifice C.D. Howe en raison de l’absence d’un système de communication vocale entièrement fonctionnel dans l’édifice. RHDCC a demandé que les procédures d’évacuation en cas d’alarme incendie soient changées, afin de passer d’une évacuation progressive à une évacuation entière. Le système de communication vocale de l’édifice doit être entièrement fonctionnel et audible sur tous les étages pour que l’on puisse procéder à une évacuation progressive. Cela permet de transmettre les directives d’évacuation à tous les étages adjacents. On est actuellement à moderniser l’édifice C.D. Howe; le renouvellement du système de communication vocale sera complété au cours de l’exercice financier 2012-2013.

En ce qui concerne l’édifice Héritage, les exercices du personnel désigné et les exercices trimestriels concernant les étages adjacents seront mis en place en mars 2009.

3.93 Recommandation : Les ministères devraient s’assurer que des organisations des secours en cas d’incendie sont établies et administrées conformément aux lois fédérales et aux politiques et normes du Conseil du trésor du Canada.

Réponse d’Industrie Canada : Le Ministère est d’accord. Il a déjà mis en place des organisations de services d’urgence et d’incendie dans les édifices C.D. Howe et Héritage et en assure l’administration.

Rapport du commissaire à l’environnement et au développement durable de l’automne 2009 Chapitre 1, L’application de la Loi canadienne sur l’évaluation environnementale

L’évaluation environnementale est un processus qui sert à prévoir, avant qu’un projet ne débute, les effets qu’il pourrait avoir sur l’environnement et, le cas échéant, des mesures pour les atténuer. Selon la Loi canadienne sur l’évaluation environnementale, les projets de construction, d’exploitation, de modification, de démolition et de fermeture d’un ouvrage, entre autres, doivent faire l’objet d’une évaluation environnementale. C’est aussi le cas de certaines activités désignées par règlement. La Loi s’applique lorsqu’un ministère ou un organisme fédéral (alors appelé autorité responsable) doit prendre des décisions dans le cadre d’un projet, soit parce qu’il en est le promoteur, qu’il détient un pouvoir de réglementation, qu’il gère les terres touchées par le projet ou qu’il le finance en tout ou en partie.

Dans un tel cas, l’organisation fédérale visée doit effectuer une évaluation environnementale. Elle doit définir la portée du projet, consulter la population s’il y a lieu, réaliser l’évaluation environnementale, établir l’ampleur des effets sur l’environnement et, le cas échéant, faire adopter des mesures d’atténuation. L’évaluation environnementale est soit un examen préalable, soit une étude approfondie, soit une évaluation par une commission d’examen. Une centaine d’organismes fédéraux doivent appliquer la Loi; ils réalisent chaque année quelque 6 000 évaluations environnementales.

La vérification visait à déterminer si les organismes fédéraux se conforment au processus d’évaluation environnementale établi par la Loi.

La vérification des dossiers des études approfondies et des évaluations par une commission d’examen montre que les organismes fédéraux se sont conformés aux exigences de la Loi. Cependant, il n’est pas évident que ce soit toujours le cas pour le type d’évaluation le plus courant, soit l’examen préalable. Dans la moitié des dossiers vérifiés, les justifications ou l’analyse présentées étaient insuffisantes pour montrer comment les effets environnementaux avaient été déterminés, comment leur importance avait été évaluée et sur quoi se fondaient les décisions prises. Par ailleurs, l’évaluation des effets cumulatifs demeure un défi, peu importe le type d’évaluation environnementale.

En ce qui concerne les projets où plus d’une autorité responsable doit intervenir, les différends concernant la portée du projet peuvent grandement retarder le processus d’évaluation environnementale et, par conséquent, l’exécution du projet. L’Agence canadienne d’évaluation environnementale a essayé d’aider les autorités concernées à s’entendre, mais elle a connu un succès mitigé. L’Agence n’a pas le pouvoir de trancher les différends.

Aucune réponse officielle n’était exigée d’Industrie Canada.

Le Bureau du vérificateur général du Canada a demandé à Industrie Canada de lui rendre compte des progrès accomplis en vue de donner suite aux recommandations découlant de vérifications antérieures. Voici les renseignements obtenus :

  1. Mai 2008 – Chapitre 1, La gestion des frais imposés à certains ministères et organismes, recommandation 1.46 : le Ministère a appliqué intégralement la recommandation.

    Industrie Canada a élaboré un plan pluriannuel de révision des frais établis dans le Règlement sur la radiocommunication ainsi que des droits de licence de spectre prévus dans la Loi sur le ministère de l’Industrie. Toutefois, en raison du nombre élevé de frais, seule une partie sera revue chaque année. Le plan a été mis en œuvre en 2009-2010. Un des défis inhérents à cette révision est l’absence de politique du Conseil du Trésor concernant les frais associés aux droits et aux privilèges. Cependant, il semblerait qu’une politique traitant de l’analyse du niveau des frais soit prévue.
  2. Mai 2008 – Chapitre 1, La gestion des frais imposés à certains ministères et organismes, recommandation 1.73 : le Ministère a appliqué intégralement la recommandation.

    Industrie Canada a amélioré l’information présentée dans son Rapport ministériel sur le rendement de 2008-2009 et son Rapport sur les plans et les priorités de 2009-2010. Les données sur le rendement sont plus détaillées et l’information sur les frais est plus transparente.

Rapport du commissaire à l’environnement et au développement durable de l’automne 2009 Chapitre 4, Les pétitions en matière d’environnement

Le processus de pétition en matière d’environnement est un mécanisme officiel qui permet aux Canadiens de faire connaître leurs préoccupations à ce chapitre aux ministres et aux ministères fédéraux, et d’obtenir une réponse de leur part. Au nom du vérificateur général du Canada, le commissaire à l’environnement et au développement durable gère ce processus et fait un suivi des réponses. En vertu de la Loi sur le vérificateur général, le commissaire présente un rapport annuel sur le nombre et la nature des pétitions reçues, ainsi que sur leur traitement et le délai de réponse. Le rapport annuel de l’automne 2009 porte sur les pétitions et les réponses reçues entre le 1er juillet 2008 et le 30 juin 2009.

Le rapport indique que 8 des 9 réponses d’Industrie Canada ont été envoyées avec, en moyenne, 50 jours de retard. De plus, il fait état des préoccupations du commissaire concernant le fait qu’Industrie Canada n’a pas répondu à toutes les questions posées dans les pétitions no 255 et no 255B.

Activités de 2009-2010

Réponse

Pétition no 287 – Effet potentiel sur l’environnement et la santé publique d’un projet d’égout municipal financé à l’échelle fédérale, à L’Isle-Verte, au Québec

Renseignements supplémentaires fournis

Pétition no 255B – Risques potentiels pour la santé posés par le rayonnement électromagnétique provenant des tours d’antenne sur le mont Triangle, en Colombie-Britannique

Vérifications externes

Il s’agit d’autres vérifications effectuées par la Commission de la fonction publique du Canada ou par le Commissariat aux langues officielles.