Secrétariat du Conseil du Trésor du Canada
Symbole du gouvernement du Canada

ARCHIVÉ - Table ronde nationale sur l’environnement et l’économie

Avertissement Cette page a été archivée.

Information archivée dans le Web

Information archivée dans le Web à  des fins de consultation, de recherche ou de tenue de documents. Cette dernière n’a aucunement été modifiée ni mise à  jour depuis sa date de mise en archive. Les pages archivées dans le Web ne sont pas assujetties aux normes qui s’appliquent aux sites Web du gouvernement du Canada. Conformément à  la Politique de communication du gouvernement du Canada, vous pouvez demander de recevoir cette information dans tout autre format de rechange à  la page « Contactez-nous ».

Section 2 Analyse des activit�s du programme par r�sultat strat�gique

2.1 Priorit�s de l’organisme


Nom Type
Priorit� no 1 : Fournir des conseils sur des questions d’environnement et d’�conomie En cours
Priority #2: Apply sound management principles in operations, and implement federal initiatives Engagement d�j� pris / en cours


2.2 R�sultats en termes de rendement par activit� de programme

Le texte, ci� dessous, d�crit de mani�re g�n�rale les r�sultats en termes de rendement qui ont �t� atteints par la TRNEE, et il met en relief le rendement atteint pour chaque r�sultat et indicateur de rendement sp�cifi� dans le cadre de mesure du rendement (voir section 2.3,tableau 12). Tous les r�sultats s’appliquent � la seule activit� de programme de l’organisme, soit fournir des conseils sur des questions d’environnement et d’�conomie qui, � son tour, va dans le sens des priorit�s d�finies pour la p�riode.

Les r�sultats seront pr�sent�s conform�ment au r�sultat strat�gique et aux indicateurs dans le nouveau cadre de mesure du rendement de la TRNEE.

2.2.1 R�sultat escompt� : Recherches de haute qualit�

La TRNEE �value son rendement par rapport � ce r�sultat d’apr�s la qualit� de ses recherches sur les politiques.

Des recherches de haute qualit� sur les politiques de d�veloppement durable constituent le mandat essentiel de la TRNEE. Au cours de l’exercice 2006-2007, les travaux de la TRNEE portaient surtout sur l’�nergie et les changements climatiques et ils �taient r�partis dans les domaines suivants :

  • Conseils sur une strat�gie � long terme sur l’�nergie et les changements climatiques au Canada. En juin 2006, la TRNEE a publi� des conclusions et conseils destin�s au gouvernement sur une strat�gie � long terme concernant l’�nergie et les changements climatiques. Cette strat�gie �tait bas�e sur un sc�nario ( � analyse sectorielle �) pr�par� par la TRNEE qui a �tudi� comment, d’ici � 2050, le Canada pourrait r�pondre aux besoins d’�nergie d’une �conomie en croissance, r�duire sensiblement ses �missions de carbone et am�liorer la qualit� de l’air. Ce programme examinait aussi si les technologies existantes ou sur le point de na�tre suffisaient pour r�duire les �missions de gaz � effet de serre (GES) li�es � l’�nergie de 60 % d’ici � 2050 tout en continuant de r�pondre aux besoins en �nergie d’une croissance d�mographique soutenue, et de maintenir la productivit� de la main d’œuvre et le PIB par habitant. Deux questions �taient pos�es : Comment le Canada peut il prot�ger et renforcer son int�r�t national en ce qui concerne l’�nergie et les changements climatiques d’ici � 2050 ? Que doit faire le Canada dans l’imm�diat pour atteindre cet objectif � long terme ?
  • Programme sur l’�nergie et les changements climatiques : Phase II. � la suite de la publication des Conseils sur une strat�gie � long terme sur l’�nergie et les changements climatiques au Canada en juin 2006, la TRNEE a �valu� comment elle devrait d�finir la port�e de la prochaine �tape de son Programme sur l’�nergie et les changements climatiques. Elle a command� trois �tudes pour �laborer des recommandations strat�giques sur la fa�on de r�duire les �missions de GES dans l’ensemble de l’�conomie et de mettre en œuvre le sc�nario de 2050.
  • Programme sur la Loi sur la qualit� de l’air. Le ministre de l’Environnement a demand� � la TRNEE de conseiller le gouvernement f�d�ral en mati�re de polluants atmosph�riques et d’�missions de GES dans le cadre du Programme de r�glementation de la qualit� de l’air propos� par le Canada. Cinq �tudes ont �t� command�es en r�ponse � la demande de conseils formul�e par le gouvernement f�d�ral pour le projet de Loi sur la qualit� de l’air. Ces �tudes portaient sur des sc�narios, sur des questions de transition de l’�conomie, et sur les pratiques optimales concernant les objectifs importants et � long terme de r�duction des �missions de GES et de polluants atmosph�riques. La TRNEE en est � la phase de recherche de ce programme. Un rapport int�rimaire a �t� publi� en juin 2007; une version finale suivra � l’automne 2007.
  • Programme sur les politiques d’adaptation aux changements climatiques. Lanc� en juin 2006, le programme de la TRNEE a �tudi� l’influence des politiques publiques du Canada sur la fa�on dont les collectivit�s et les secteurs �conomiques se pr�parent aux effets des changements climatiques et les g�rent. Sept documents ont �t� pr�par�s sur les questions strat�giques concernant l’adaptation aux changements climatiques, notamment le r�le de l’�tat, les codes et normes, l’assurance et les m�canismes de rechange pour la r�partition des risques, la gestion des catastrophes, ainsi que le financement de projets et les march�s financiers. Les recherches portaient surtout sur la d�finition de la port�e des sujets, et sur le rep�rage de questions strat�giques � explorer plus � fond. Compte tenu de la gravit� et de la persistance des effets des changements climatiques dans le Grand Nord canadien, il a �t� d�cid� dans un premier temps d’axer le programme sur � le Nord du 60e parall�le �.
  • Programme des march�s financiers et de la durabilit�. En 2006 2007, les activit�s portaient surtout sur le lancement du rapport � la Bourse de Toronto en f�vrier 2007.

Les projets de recherche qui ont �t� men�s pour poser les jalons de programmes pr�cis sont r�sum�s, ci dessous, au tableau 3.


Tableau 3 — Recherches de la TRNEE et rapports d’analyse pour certains programmes (2006-2007)


Programme Sujet Port�e
�nergie et changements climatiques : Phase II Strat�gie � long terme sur l’�nergie et les changements climatiques : Conseils sur la d�finition de la port�e des recherches de la phase II Conseils strat�giques sur la fa�on dont la TRNEE devrait d�finir la port�e de la prochaine �tape de son Programme sur l’�nergie et les changements climatiques (post-sectorielle)
  Phase II des Conseils sur une strat�gie � long terme sur l’�nergie et les changements climatiques Signaux strat�giques n�cessaires pour atteindre des objectifs de r�duction des �missions de GES � long terme, tel qu’�nonc� dans la Note conseil sectorielle. Deux rapports ont �t� command�s sur ce sujet aux fins d’assurer l’ampleur de l’analyse.
  Signaux � long terme pour une r�duction marqu�e des gaz � effet de serre (GES)
Loi sur la qualit� de l’air Voies possibles pour r�duire les �missions de GES et de polluants atmosph�riques � long terme Sc�narios possibles pour atteindre des objectifs �lev�s (45 65 %), et � long terme (2050) de r�duction d’�mission de GES et de polluants atmosph�riques.
  Projections sur la d�mographie et la population d’ici � 2050 Analyse du PIB et r�f�rence au statu quo, n�cessaires pour �laborer des sc�narios correspondant aux objectifs de r�duction marqu�e et � long terme des �missions
  Assurer la transition d’un syst�me d’�change de droits d’�mission pour passer de quotas bas�s sur l’intensit� � un plafond ex�cutoire Analyse de l’objectif de r�duction des �missions � moyen terme (2020–2025) et, plus pr�cis�ment, du mode de transition de l’�conomie depuis un syst�me bas� sur l’intensit� vers un syst�me de plafond �tabli pendant cette p�riode
  Exp�riences internationales de d�finition d’objectifs de r�duction d’�missions � moyen et long terme Processus de d�finition des r�ductions d’�mission � moyen et � long terme aux �tats Unis, en Californie et dans d’autres territoires cl�s qui s’appliquent au Canada
  Comprendre les exigences de r�duction des �missions au Canada en fonction des objectifs de rechange pour la stabilisation du climat et des diverses m�thodes de partage du fardeau �valuation de la part que le Canada doit assumer dans la r�duction mondiale d’�mission de GES en 2050
Politique d’adaptation aux changements climatiques
Contexte pr�liminaire et d�marche sugg�r�e pour le Programme sur la politique d’adaptation aux changements climatiques de la TRNEE Enqu�te aupr�s des Canadiens et sur les efforts d�ploy�s au niveau international jusqu’� pr�sent, et points saillants des approches et aspects importants qui se rapportent aux politiques
  R�le du gouvernement dans l’adaptation aux changements climatiques : Exploration pr�liminaire Exploration pr�liminaire du r�le des gouvernements dans l’adaptation aux changements climatiques
  Document d’�tude : Politique concernant les codes et normes Questions de politiques dans le domaine de l’adaptation aux changements climatiques, des codes et des normes
  Adaptation des assureurs du Canada aux ph�nom�nes climatiques extr�mes, et encouragement des assur�s � l’adaptation Questions de politiques � explorer dans le domaine de l’adaptation aux changements climatiques, de l’assurance et des m�canismes de rechange pour la r�partition des risques
  Gestion des catastrophes et adaptation aux changements climatiques Questions de politiques en mati�re de gestion des catastrophes et d’adaptation aux changements climatiques
  Financement de projets et march�s financiers Questions de politiques en mati�re de march�s financiers, de financement de projets et d’adaptation aux changements climatiques
  Donn�es m�t�orologiques dans les codes et normes concernant l’adaptation aux changements climatiques Questions de politiques � explorer dans le domaine des codes, des normes, des donn�es m�t�orologiques et de l’adaptation aux changements climatiques

 

D’apr�s les r�sultats pr�liminaires du sondage de la TRNEE, les d�cideurs f�d�raux ont une haute opinion des recherches men�es par la TRNEE. L’analyse est consid�r�e comme �tant de qualit� sup�rieure. Selon eux, le personnel de la TRNEE est plus fort sur le plan des processus que du savoir faire technique, ce qui semble appropri� puisqu’il est possible de trouver ce savoir faire en recourant � des ressources externes.

Les participants aux sessions de diffusion des conseils sur l’�nergie et les changements climatiques de la TRNEE ont g�n�ralement appuy� fortement l’analyse entreprise pour la Note conseil de la TRNEE et pour l’analyse sectorielle en tant qu’instrument p�dagogique et outil de discussion4 .

2.2.2 R�sultat escompt� : Consultations efficaces des intervenants

Les consultations des intervenants sont un �l�ment essentiel des recherches de la TRNEE sur les politiques. Les mesures d�terminantes du succ�s sont l’ampleur de la consultation men�e, et la r�action des participants quant � l’efficacit� des consultations.

  • Ampleur des consultations. Les principales consultations men�es par la TRNEE en 2006-2007 consistaient dans des consultations nationales de vulgarisation en personne et en ligne sur la Strat�gie � long terme sur l’�nergie et les changements climatiques. La TRNEE a fait la tourn�e de neuf villes canadiennes au cours de l’automne 2006 pour sensibiliser les participants aux conseils publi�s en juin 2006 et pour recueillir leurs commentaires sur ces conseils. Quelque 470 personnes ont particip� aux sessions de vulgarisation dans le cadre de cette consultation nationale de vulgarisation (la participation se faisait surtout par voie d’invitation). Outre la consultation en personne, 235 intervenants ont particip� � une consultation en ligne. La TRNEE a �galement consult� un vaste �ventail d’intervenants dans le cadre de ses programmes de recherche en cours. Les consultations �taient entre autres men�es aupr�s des minist�res f�d�raux, des gouvernements provinciaux, de groupes autochtones, d’organisations environnementales non gouvernementales (OENG), d’associations et du milieu universitaire, ainsi qu’aupr�s de groupes d’experts aux fins de v�rifier et de valider les r�sultats des recherches (voir tableau 4).

Tableau 4 : �ventail de groupes d’intervenants consult�s par la TRNEE en 2006-2007


Programme Port�e de la consultation
Phase II, �nergie et changements climatiques
R�union d’experts pour v�rifier l’interpr�tation et les hypoth�ses de la TRNEE quant aux rapports sur la strat�gie � long terme sur l’�nergie et les changements climatiques pour la phase II, et les signaux � long terme pour les r�ductions marqu�es d’�missions de gaz � effet de serre.
Loi sur la qualit� de l’air R�union d’experts pour solliciter les commentaires d’experts sur la fa�on dont la TRNEE se propose de r�pondre � la demande de conseils sur la Loi sur la qualit� de l’air (y compris le cadre analytique et la programmation de la recherche).
R�union d’experts pour solliciter les commentaires d’experts sur les premiers sc�narios de r�duction des GES et des polluants atmosph�riques, command�s par la TRNEE, en r�ponse au projet de Loi sur la qualit� de l’air.

Politique d’adaptation aux changements climatiques R�union d’experts — a rassembl� 30 experts du gouvernement, des ONG, du secteur priv� et d’organismes autochtones pour faire un examen critique du r�le du gouvernement dans l’adaptation aux changements climatiques. Cette r�union �tait financ�e par le MAINC.
R�union d’experts — a rassembl� 30 experts dans les domaines suivants : codes et normes, gestion des catastrophes, assurance, march�s financiers, infrastructure mat�rielle, politique gouvernementale et gestion des risques. Portait sur quatre aspects des travaux strat�giques : assurance, gestion des catastrophes, codes et normes et, enfin, march�s financiers et financement de projets.
R�unions et d�bats avec des groupes d’experts — Comptait des experts d’Analyze Risk, de l’Institute for Catastrophic Loss Reduction, du UK Climate Impacts Program, de l’Institut canadien des comptables agr��s, d’OURANOS et de Northern Climate Exchange pour �tudier les m�thodes d’adaptation aux politiques bas�es sur les risques, la gestion des catastrophes et l’assurance, la responsabilit� de l’adaptation, et d’autres sujets de recherche de la TRNEE.
R�unions bilat�rales avec les minist�res f�d�raux (Ressources naturelles Canada, Environnement Canada, Industrie Canada, AINC, Infrastructure Canada, CFP, P�ches et Oc�ans) — pour discuter des domaines strat�giques de recherche de la TRNEE.
R�unions bilat�rales avec les gouvernements provinciaux (gouvernement du Yukon, gouvernement de C. B.) — pour recueillir des commentaires sur les plans des recherches.
R�unions bilat�rales avec les groupes autochtones (p.ex. ITK, Conf�rence circumpolaire inuit, Conseil des Premi�res nations du Yukon) — obtenir des commentaires sur les plans des recherches.
R�unions bilat�rales avec les associations (p.ex. Chambre de commerce du Yukon, Chambre de commerce de Whitehorse, F�d�ration canadienne des municipalit�s) — obtenir des commentaires sur les plans des recherches.
R�unions bilat�rales avec les OENG (Fonds mondial pour la nature, fondation Suzuki, fondation Sage, Pollution Probe) — obtenir des commentaires sur les plans des recherches.
R�unions bilat�rales avec les organismes universitaires (p.ex. Simon Fraser Climate Action Team, UBC Institute of Sustainability Studies)

 

  • Efficacit� des consultations de la TRNEE. La plupart des d�cideurs f�d�raux interrog�s �taient au courant des consultations de la TRNEE, qu’ils ont jug�es efficaces : elles ont fait participer les personnes voulues et le processus �tait bien con�u. Les consultations sont consid�r�es comme tr�s fructueuses. Dans le cas de l’initiative de vulgarisation des conseils sur l’�nergie et les changements climatiques, les commentaires des participants �taient g�n�ralement positifs (voir tableau 5). Pr�s de 90 % des r�pondants ont jug� que la session de vulgarisation avait � bien ou suffisamment � atteint ses objectifs, fourni de l’information pour les discussions, et veill� � ce que le point de vue des participants soit entendu. Dans le sondage de la TRNEE aupr�s des d�cideurs f�d�raux, certains ont dit craindre que les consultations sur l’�nergie et les changements climatiques soient surtout des sessions d’information, et que leur but aurait pu �tre plus clair.

Tableau 5 : Commentaires des participants de la session de diffusion des conseils sur l’�nergie et les changements climatiques Advice Outreach


Question % suffisamment ou bien % bien
Les expos�s �taient instructifs et ont bien aliment� les d�bats
89
39
La session de vulgarisation a atteint ses objectifs �nonc�s
95
61
J’ai eu l’impression d’avoir �t� �cout�
90
46

  • Commentaires des participants sur les consultations en ligne. Quelque 64 % des intervenants qui ont envoy� leurs commentaires � SES sur la consultation en ligne ont eu une impression � positive � ou � assez positive �.5 Par ailleurs, 72 % ont qualifi� leur capacit� de participer en ligne comme tr�s bonne ou bonne, tandis que 64 % ont qualifi� leur capacit� de soumettre des commentaires comme tr�s bonne ou bonne. Une proportion de 88 % des participants ont dit qu’ils participeraient � des consultations en ligne dans l’avenir, et 84 % jugent important ou assez important que la TRNEE ait un �l�ment en ligne pour ses consultations, outre les consultations en personne.

2.2.3 R�sultat escompt� : Recommandations et conseils utiles

La TRNEE re�oit du gouvernement f�d�ral des demandes de conseils sur des questions environnementales pr�cises qui concernent l’�nergie et les changements climatiques. Les r�sultats pr�liminaires du sondage des d�cideurs f�d�raux indiquent que l’analyse des politiques de la Table ronde est pertinente, opportune et utile. Elle est �galement consid�r�e comme �tant de bonne qualit�, bien dos�e et ind�pendante. La TRNEE est en mesure de rassembler les acteurs pour discuter d’enjeux, pour susciter l’adoption de pratiques optimales et pour �changer de l’information. Certains d�cideurs ont indiqu� que l’int�r�t des rapports tenait surtout au processus employ� pour les produire, et � leur contribution aux connaissances g�n�rales plut�t qu’� des recommandations pr�cises.

  • La plupart des d�cideurs interrog�s ont jug� les sujets des travaux de la TRNEE pertinents. Selon eux, il importe que la TRNEE adopte une perspective � long terme, et un grand nombre d’entre eux trouvent qu’elle r�ussit bien � se concentrer sur le long terme. Certains s’inqui�tent que les mandats gouvernementaux poussent la TRNEE � mener des d�bats � plus court terme sur divers sujets. Dans quelques cas, la diligence a suscit� des pr�occupations. Certains ont sugg�r� que la TRNEE soit en contact avec les d�cideurs pour mieux coordonner la transmission des conseils.
  • Les d�cideurs interrog�s ont accord� une grande importance � l’ind�pendance de la TRNEE et ont signal� le manque d’autres sources d’analyse et de conseils qui soient aussi ind�pendantes. Certains d�cideurs craignent que la TRNEE ne parvienne pas � tenir ses distances par rapport au gouvernement et la fonction publique f�d�rale et, par ricochet, � pr�server son ind�pendance. Toutefois, le nombre de demandes de conseils atteste de la pertinence et de l’objectivit� de la TRNEE.
  • Dans le cadre de la consultation nationale de vulgarisation sur la Strat�gie � long terme sur l’�nergie et les changements climatiques, les participants ont fourni des commentaires sur la pertinence des travaux de la TRNEE. Parmi les 230 participants qui ont r�pondu, plus de 80 % les consid�rent comme tr�s pertinents, 40 % jugent qu’ils ont un effet important sur les d�cideurs, et 34 % ont au moins un ou deux exemples o� les travaux de la TRNEE ont fortement influ� sur une intervention concr�te (voir tableau 6). De m�me, les participants au sondage en ligne ont indiqu� que les intervenants consid�rent les travaux de la TRNEE comme tr�s pertinents, mais ont un peu de difficult� � citer des cas r�els dans lesquels l’organisme a fortement influ� sur une intervention concr�te6.

Tableau 6 : Commentaires des participants � l’initiative de vulgarisation


Question % approuvent ou approuvent fortement
% ont au moins un ou deux exemples
% ont plus d’un exemple ou deux
Je crois que les travaux de la TRNEE correspondent tr�s bien aux grands enjeux qui ont des cons�quences sur la capacit� du Canada � relever les d�fis reli�s � l’environnement et l’�conomie
83
Les travaux de la TRNEE influent fortement sur la fa�on dont les d�cideurs gouvernementaux canadiens envisagent les enjeux
40
Je connais des cas o� les travaux de la TRNEE ont �t� d�terminants et ont entra�n� une intervention concr�te (p.ex. adoption d’une loi, mise en œuvre de…)
34
8

n= environ 230

Un autre indicateur de l’utilit� des recommandations et conseils de la TRNEE est dans quelle mesure les d�cideurs f�d�raux et les intervenants nationaux sollicitent ses conseils :

  • Demandes de conseils de la part du gouvernement f�d�ral. Le gouvernement du Canada a fait deux demandes importantes de conseils � la TRNEE sur l’�nergie et les changements climatiques en f�vrier 2005. En 2006-2007, le ministre de l’Environnement a demand� � la TRNEE de le conseiller sur les objectifs nationaux concernant l’air ambiant, les particules et l’ozone pour les p�riodes 2020-2025 et 2050. Le nombre croissant de demandes de conseils formul�es par le gouvernement atteste du r�le et de la r�putation de la TRNEE.
  • R�unions d’information au profit des activit�s f�d�rales. Au cours de l’exercice 2006 2007, le pr�sident de la TRNEE et /ou le pr�sident et premier dirigeant par int�rim ont organis� 20 r�unions d’information pour les hauts fonctionnaires de minist�res f�d�raux tels qu’Environnement Canada, P�ches et Oc�ans Canada, Industrie Canada, Sant� Canada, le minist�re de la Justice et le minist�re des Finances. Des r�unions ont �galement eu lieu avec le ministre de l’Environnement pour pr�senter des notes conseils; les discussions ont surtout port� sur l’�nergie et les changements climatiques. Une Note conseil sur les principaux r�sultats des consultations concernant les Conseils sur une strat�gie � long terme sur l’�nergie et les changements climatiques a �t� r�dig�e � l’intention du Ministre. Le pr�sident de la TRNEE a �galement fourni au ministre de l’Environnement les r�sultats du rapport sur Les march�s financiers et la durabilit�, et le premier dirigeant par int�rim a eu une rencontre d’information avec le sous ministre de l’Environnement sur ce m�me sujet.
  • S�ances d’information pour les intervenants nationaux. Au cours de l’exercice financier 2006 2007, le pr�sident de la TRNEE et /ou le pr�sident et premier dirigeant par int�rim de la TRNEE ont organis� plus d’une douzaine de r�unions d’information pour les principaux intervenants nationaux que l’environnement et le d�veloppement durable int�ressent. Citons � titre d’exemple la Chambre de commerce du Canada, le CD Howe Institute de Toronto, le Conseil du bassin du Fraser, Pollution Probe, le Conference Board du Canada, le Conseil canadien des chefs d’entreprise et l’Association canadienne du gaz. Les sujets trait�s avaient trait � des travaux de recherche mixtes, � des notes conseils, au mandat de la TRNEE et � des projets futurs concernant le d�veloppement durable. S’y sont ajout� cinq ou six projets d’allocutions dans le cadre de conf�rences, ainsi que des rencontres avec les porte parole d’autres gouvernements (p.ex. Grande-Bretagne, Pays Bas).
  • Commentaires sur les recommandations de la TRNEE. Les r�f�rences � la TRNEE et les commentaires sur cet organisme envoy�s par les intervenants sont �galement r�v�lateurs de la fa�on dont les recherches de la TRNEE sur les politiques sont utilis�es. Le tableau 7 pr�sente des r�actions des intervenants, ainsi que des commentaires sur l’utilit� des recommandations et conseils de la TRNEE.

Tableau 7 — Exemples de commentaires sur les recommandations de la TRNEE


Programme Exemples d’appuis ou commentaires re�us
Politique d’adaptation aux changements climatiques
  • La TRNEE a �t� invit�e par le MAINC � assumer un r�le subalterne officieux aupr�s du NC4 (Comit� de coordination sur le changement climatique dans le Nord).
  • Environnement Canada
  • Les conseils de la TRNEE en mati�re d’assurance, de politiques publiques et d’adaptation ont �t� pr�cieux pour le groupe charg� des politiques strat�giques.
  • Le r�le de la TRNEE dans le d�bat des intervenants et dans le document gouvernemental facilitera la formulation d’un MC et d’un cadre strat�gique f�d�ral sur l’adaptation.
  • Comit� sur la vuln�rabilit� de l’ing�nierie des infrastructures publiques (PIEVC) — la TRNEE a �t� invit�e � prononcer une allocution et � entretenir une relation officieuse en tant que subalterne; le pr�sident du PIEVC a �galement jou� un r�le dans le Comit� consultatif de la TRNEE sur l’adaptation.
  • Policy Options (revue), octobre 2006, volume 27: 8 — La TRNEE a �t� reconnue comme l’un des groupes les mieux plac�s au Canada pour faire progresser le dossier des politiques d’adaptation.
March�s financiers et durabilit�
  • L’Institut canadien des comptables agr��s a publi� un communiqu� de presse positif qui approuve le rapport sur Les march�s financiers et la durabilit�, et ce, le jour m�me de la parution du Rapport.
  • Dans les semaines qui ont suivi sa parution, le Rapport a �t� annonc� sur le site Web du Programme des Nations Unies pour l’environnement et sur celui des Principes pour des investissements responsables.
  • Le rapport de la TRNEE a �t� annonc� sur les sites Web du World Business Council for Sustainable Development, de la fondation Globe du Canada, d’Environnement Canada, d’Industrie Canada et de plusieurs organismes qui s’occupent des analystes financiers.
  • Le chef de l’Initiative finance du Programme des Nations Unies pour l’environnement (UNEP-FI) a remerci� la TRNEE de son soutien pour la tenue d’une r�union sp�ciale du groupe des Principes pour des investissements responsables � la Bourse de Toronto.
  • La TRNEE a re�u des lettres d’appr�ciation du ministre de l’Environnement de l’Alberta, du Premier ministre de l’Ontario et du Procureur g�n�ral de Colombie Britannique.


2.2.4 R�sultat escompt� : Communication efficace des recommandations de la TRNEE

La TRNEE �value ses communications selon le rayonnement de ses communications externes et la qualit� de ses instruments de communication.

  • Rayonnement des communications externes : La TRNEE assure le lien parmi un vaste �ventail des intervenants au niveau national.
  • Les commentaires des d�cideurs f�d�raux se r�sument ainsi : les produits de la TRNEE ne sont pas toujours diffus�s aupr�s de l’ensemble de l’auditoire vis�. Plusieurs d�cideurs f�d�raux qui ont r�pondu au sondage ont dit ne pas recevoir d’annonces de la TRNEE (ou de ne pas en avoir connaissance). M�me si la plupart d’entre eux jugent le rayonnement de la TRNEE suffisant, il y a place � l’am�lioration.
  • Base de donn�es des communications. La TRNEE compte plus de 2 600 organismes et particuliers dans ses bases de donn�es, et s’efforce de cibler tous les secteurs de l’�conomie au niveau national. Le tableau 8 indique les groupes d’intervenants et leur nombre par groupe.

Tableau 8 : Base de donn�es des communications de l’entreprise


Cat�gories
R�partition
Entreprises
442
Contacts provinciaux
361
Contacts f�d�raux
325
D�put�s
307
Associations industrielles et professionnelles
131
Soci�t�s et organismes f�d�raux
121
Ministres provinciaux
115
OENG
110
Contacts universitaires
108
F�d�rations du travail et syndicats
101
Municipalit�s
99
S�nateurs
95
500 premi�res entreprises
78
Organisations internationales
63
Cabinets de lobbying
33
Consultants
30
Comptables professionnels
22
Instituts de recherche sur le DD
19
Groupes de r�flexion
18
Conseils nationaux du DD
15
Groupes autochtones
15
Premiers ministres provinciaux
13
Particuliers
4
�coles
1
Groupes de pression
1
Total
2 627

  • Ampleur de la couverture m�diatique de la TRNEE. En 2006-2007, la TRNEE a fait l’objet d’environ 220 mentions dans les m�dias, et ce, parmi diverses sources (voir tableau 9), par rapport � 107 mentions en 2005-2006, et � 168 en 2004 2005.


Tableau 9 — Couverture m�diatique des recherches de la TRNEE sur les politiques (2006-2007)


Programme
Nombre de mentions dans les m�dias
Sources m�diatiques
�nergie et changements climatiques
88
National Post, The Globe and Mail, La Presse Canadienne, CBC Newsworld, Montreal Gazette, Hill Times
Loi sur la qualit� de l’air
32
CBC Radio, The Gallon Environment Letter, RDI, Montreal Gazette, Branch� sur l’air pur (www.ec.gc.ca), National Post, Canadian Press
Politique d’adaptation aux changements climatiques
Inclus ci dessus
 
Les march�s financiers et la durabilit�
21
The Globe and Mail, Investment Executive : journal canadien destin� aux conseillers financiers, Rob TV, A-Channel News, HazMat Magazine
Anciens programmes (For�t bor�ale, �cologisation de la fiscalit�, Terrains abandonn�s et Taxation avec remise des v�hicules)
9
National Post, Winnipeg Free Press, Edmonton Journal, The Hill Times, CBC Newsworld, The Globe and Mail
TRNEE en tant qu’organisme
69
Service des d�p�ches de la Presse canadienne, CBC Radio 1, Maclean’s, Montreal Gazette, The Ottawa Citizen, The Globe and Mail, National Post, Winnipeg Free Press, Edmonton Journal, The Hill Times, CBC Newsworld, The Chronicle Herald, Journal de Montr�al, Calgary Herald, Le Droit, Le Soleil.

 

  • Utilisation du site Web. Les statistiques concernant le site Web indiquent une hausse croissante du nombre de consultations au cours des cinq derni�res ann�es, de l’ordre de 15 % � 20 % par an (voir tableau 10).

Tableau 10 : Statistiques sur le site Web


 
2002-2003
2003-2004
2004-2005
2005-2006
2006-2007
Nombre de consultations
165 944
249 424
296 679
347 018
397 661
% augmentation par rapport � l’exercice pr�c�dent
50 %
19 %
17 %
15 %

 

  • Demandes de publications de la TRNEE. L’an dernier, 96 publications ont �t� vendues par l’interm�diaire des �ditions Renouf Lt�e. Toutefois, la vente des publications ne cesse de diminuer depuis quatre ans (voir tableau 11). Ce qui s’explique sans doute par la possibilit� offerte aux visiteurs de t�l�charger gratuitement des publications � m�me la biblioth�que virtuelle sur le site Web de la TRNEE. Cette biblioth�que donne acc�s � plus de 300 documents et publications de la TRNEE qui sont class�es en 15 cat�gories de recherche.

Voici les publications qui ont �t� le plus souvent t�l�charg�es en 2006 2007 :

  • Conseils sur une strat�gie � long terme sur l’�nergie et les changements climatiques
  • Les indicateurs d’environnement et de d�veloppement durable pour le Canada
  • R�habiliter le pass�, construire l’avenir : une strat�gie nationale des sites urbains contamin�s r�habilitables pour le Canada
  • La qualit� de l’environnement dans les villes canadiennes : Le r�le du gouvernement f�d�ral
  • Les instruments �conomiques au service de la r�duction � long terme des �missions de carbone d’origine �nerg�tique
  • Avenir bor�al : La gouvernance, la conservation et le d�veloppement dans la r�gion bor�ale du Canada
  • Les march�s financiers et la durabilit� : Investir dans un avenir durable

Tableau 11 : Ventes des publications


 
2003-2004
2004-2005
2005-2006
2006-2007
Ventes des publications
7 476 $
3 771 $
2 894 $
858
% baisse par rapport � l’exercice pr�c�dent
-50
-23
-70

  • Qualit� des instruments de communication. Selon les d�cideurs f�d�raux interrog�s, la qualit� et la combinaison de produits de communication est bonne. Toutefois, dans le cas r�cent de la consultation nationale de vulgarisation sur la Strat�gie � long terme sur l’�nergie et les changements climatiques (c. � d. le Rapport sectoriel), certains d’entre eux s’inqui�tent du fait que les communications n’�taient pas tout � fait claires quant au mandat et aux hypoth�ses des travaux.

2.2.5 R�sultat escompt� : Sensibilisation accrue des d�cideurs f�d�raux et des intervenants nationaux et meilleure compr�hension de leur part

  • Sensibilisation � la TRNEE, ainsi qu’� son mandat et � ses programmes de recherche. D’apr�s le dernier sondage, la vaste majorit� des d�cideurs f�d�raux sont � tr�s conscients � de la TRNEE et de ses programmes dans leur champ d’int�r�t. Il y a quelques cas o� ils ne sont conscients d’aucun de ces aspects. La plupart des r�pondants au sondage connaissaient surtout deux ou trois programmes de la TRNEE, et les plus connus sont l’�nergie et les changements climatiques, et les Indicateurs. Les moins connus chez les r�pondants sont les March�s financiers et la Conservation. Les programmes les moins connus (pour les parties concern�es) sont l’�cologisation de la fiscalit� et l’�cologisation du budget.
  • Compr�hension des enjeux et des solutions dont traitaient les programmes de la TRNEE. Bon nombre de d�cideurs ont dit qu’ils connaissaient d�j� les solutions et enjeux du d�veloppement durable dont traite la TRNEE, � cause de la nature de leurs travaux; toutefois, la plupart d’entre eux ont l’impression de mieux comprendre ces questions gr�ce aux recherches de la TRNEE. La plupart d’entre eux ont ajout� que le cercle �largi de d�cideurs f�d�raux en b�n�ficiait encore davantage. Certains d’entre eux ont signal� que, si la TRNEE am�liorait son rayonnement, la sensibilisation et la compr�hension des d�cideurs en b�n�ficieraient.
  • Degr� de sensibilisation des intervenants nationaux aux conseils de la TRNEE sur certains enjeux et niveau de leur compr�hension de ces enjeux. Il n’existe aucune information sur cet indicateur actuellement.

2.3 Sommaire de l’�valuation du rendement par indicateur

Le tableau 12 pr�sente une �valuation du rendement de la TRNEE par rapport � une �chelle de rendement � cinq niveaux pour chaque indicateur de rendement (� deux exceptions pr�s pour lesquelles l’information est insuffisante pour faire une �valuation). Tous les indicateurs de rendement vont dans le sens du r�sultat strat�gique : � L’�laboration de politiques f�d�rales sur des questions d’environnement et d’�conomie, ainsi que les d�cisions prises dans d’autres secteurs cl�s sont influenc�es par les conseils de la TRNEE sur certains sujets. �

Tableau 12 — Sommaire de l’�valuation du rendement par indicateur


  �chelle de rendement
Indicateur de rendement Principale lacune Objectif
non atteint
Objectif presque atteint Objectif atteint Objectif d�pass�
Qualit� des recherches sur les politiques Commentaires n�gatifs d’experts externes ou de membres de la Table ronde. Les rapports de recherche sont de pi�tre qualit�.
Information souvent incompl�te ou pas fiable.
Commentaires variables. Les produits de recherche sont de qualit� variable. Remaniement n�cessaire. Certaines craintes d’inexactitudes. Les r�sultats des recherches sont souvent per�us comme n’�tant pas pertinents ou utiles. La plupart des recherches ont fait l’objet de commentaires positifs. Les projets r�pondaient g�n�ralement aux attentes. Certaines pr�occupations quant � la qualit�, mais corrections apport�es avant la diffusion des documents aupr�s des intervenants. Peu de plaintes. La recherche est tr�s bien per�ue. Analyse de qualit� sup�rieure. La plupart des recherches sont pertinentes et applicables. Presque tous les r�sultats des recherches ont �t� utilis�s pour formuler des recommandations strat�giques. La TRNEE s’est b�tie une solide r�putation pour la qualit� de ses recherches. Les recherches ont re�u des prix et une reconnaissance particuli�re. Les recherches ont �t� source de nouvelles connaissances importantes. Tr�s novatrices. La TRNEE est consid�r�e comme un centre d’excellence important dans le domaine du d�veloppement durable.
Consultations efficaces des intervenants Consultation limit�e des intervenants. Les consultations de la TRNEE ne sont pas tr�s connues. Consultation p�riodique des intervenants. Faible niveau de participation des intervenants aux rencontres et activit�s de la TRNEE. Difficile d’attirer des participants.
L’organisation des sessions de consultation est de qualit� variable.
Consultation constante. L’auditoire augmente. Les commentaires formul�s lors des consultations des intervenants sont g�n�ralement positifs. Les rencontres et activit�s de la TRNEE sont g�n�ralement bien accueillies, et consid�r�es comme utiles et opportunes. Consultation fr�quente des intervenants. Forte participation aux rencontres et activit�s de la TRNEE, qui sont consid�r�es comme tr�s enrichissantes. La TRNEE est per�ue comme un chef de file capable de rassembler les acteurs pour discuter d’enjeux courants ou nouveaux. L’ensemble des intervenants a connaissance des activit�s de la TRNEE. La TRNEE ne peut accueillir tous les participants. La place dans les m�dias se situe au niveau national.
Conseils et recom-mandations utiles sur les politiques Peu de demandes de conseils de la part du gouverne-ment. Les conseils de la TRNEE ne sont pas consid�r�s comme r�pondant aux grandes priorit�s du d�veloppement durable. Plaintes fr�quentes sur la qualit� des r�unions d’information. Le gouvernement n’a pas beaucoup confiance dans la TRNEE. Les conseils ne sont pas jug�s opportuns. Demandes occasionnelles de conseils de la part du gouvernement. Les recommandations de la TRNEE sont souvent d�su�tes. Utilit� restreinte.
Les rapports et documents de la TRNEE sont de qualit� variable.
Nombre croissant de demandes de conseils de la part du gouvernement. Les d�cideurs demandent souvent � la TRNEE de les conseiller sur certains enjeux.
La TRNEE re�oit des commentaires positifs officieusement.
Peu de plaintes. Les conseils sont opportuns. L’information est g�n�ralement consid�r�e comme pertinente.
Demandes fr�quentes de conseils de la part du gouvernement. Beaucoup de contacts avec les d�cideurs du gouvernement � tous les niveaux. Grande satisfaction des intervenants. L’analyse des politiques est consider�e comme pertinente, opportune et utile. La TRNEE est consid�r�e comme un chef de file capable de rassembler les acteurs pour discuter de certains enjeux, et pour susciter l’adoption de pratiques optimales et l’�change d’information. Les r�unions d’information sont toujours de qualit� sup�rieure. La TRNEE est souvent sollicit�e par les hautes sph�res du gouvernement pour donner des conseils. Le gouvernement a pr�t� une attention particuli�re aux conseils et recom-mandations de la TRNEE.
Les recom-mandations de la TRNEE sont souvent cit�es. Degr� �lev� d’acceptation des recom-mandations de la TRNEE.
Communi-cation efficace des r�sultats de la TRNEE Les communi-cations externes sont limit�es. Les auditoires vis�s ne sont pas bien d�finis. Le r�le de la TRNEE n’est pas bien compris. Couverture m�diatique limit�e. Peu d’int�r�t de la part des intervenants externes. Les produits de communication sont de qualit� variable. �ventail restreint de produits de communication. Rayonnement limit�. Le r�le de la TRNEE demeure vague. Couverture m�diatique occasionnelle. Peu de demandes pour les publications. Les commentaires sur les produits de communication sont g�n�ralement positifs. Bonne combinaison de produits de communica-tion.
Les auditoires cibl�s sont bien d�finis. La taille de l’auditoire augmente. Forte utilisation du site Web. Couverture m�diatique moyenne. Nombre mod�r� de demandes de publications.
Vaste �ventail de produits de communication. Consid�r�s comme �tant de qualit� sup�rieure. Les communications sont diffus�es aupr�s d’un vaste �ventail d’auditoires cibl�s. Forte demande pour les publications. Grande notori�t� aupr�s des intervenants. Couverture m�diatique fr�quente, g�n�ralement positive. Nombre �lev� de consultations du site Web de la TRNEE. La TRNEE a �t� cit�e pour ses produits de communi-cation. Beaucoup de commentaires positifs de la part des intervenants externes. La TRNEE est consid�r�e comme le premier centre national de ressources en d�veloppement durable.
Sensibilisation accrue des d�cideurs f�d�raux aux conseils de la TRNEE sur certaines questions et meilleure compr�hension de ces questions par ces derniers. Les aspects du d�veloppement durable dont traite la TRNEE sont tr�s mal connus. La TRNEE n’est pas bien connue des d�cideurs f�d�raux. Sensibilisation restreinte des d�cideurs f�d�raux. Faible niveau de participation et d’int�r�t pour le d�veloppement durable au sein de leurs minist�res respectifs. Les conseils et le soutien de la TRNEE sont rarement sollicit�s. La sensibilisation au d�veloppement durable augmente dans les minist�res et se refl�te dans les activit�s des programmes.
R�action positive des d�cideurs aux rencontres et activit�s de la TRNEE.
Le d�veloppement durable est pris en compte dans toutes les d�cisions relatives aux programmes. Les d�cideurs connaissent tr�s bien les d�fis et les solutions possibles. La TRNEE a contribu� � faire mieux comprendre les enjeux. Les minist�res sont dot�s de programmes exhaustifs de d�veloppement durable. Les minist�res consacrent des ressources importantes au d�veloppement durable. Contribution importante aux politiques publiques.