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Le Guide pour la préparation des présentations au Conseil du Trésor de 2014 contient le formulaire de présentation révisé, les rôles et les responsabilités des intervenants, un guide d’établissement des coûts amélioré, des outils à l’intention des rédacteurs de présentations et de nouvelles normes de service pour les présentations. Les ministères et les organismes ont jusqu’au 1er avril 2014 pour mettre pleinement en œuvre la version mise à jour du Guide.
Néanmoins, conformément à la Ligne directrice sur l’attestation du dirigeant principal des finances pour les présentations au Cabinet, la lettre d’attestation du DPF doit être annexée à toutes les présentations ayant des répercussions financières, à compter du 1er janvier 2014.
Lorsque le Parlement si�ge, le Conseil se r�unit habituellement une fois par semaine. Durant l'�t�, il ne se r�unira parfois qu'une ou deux fois afin de se pencher sur des dossiers urgents. Le Secr�tariat �tablit l'ordre du jour de ces r�unions, au cours desquelles ses fonctionnaires soumettent les pr�sentations aux ministres en vue de la prise de d�cisions.
Une fois l'analyste du Secr�tariat et l'organisation f�d�rale satisfaits de la version finale de la pr�sentation, celle-ci pourra �tre inscrite � l'ordre du jour d'une r�union. L'organisation doit veiller � ce que le Centre des pr�sentations du Conseil du Tr�sor re�oive la pr�sentation avant l'�ch�ance indiqu�e afin que celle-ci demeure inscrite � l'ordre du jour. Le calendrier des r�unions du Conseil du Tr�sor et les �ch�anciers de soumission des pr�sentations sont mis � jour p�riodiquement.
Le tableau qui suit indique les d�lais minimums et les principales �ch�ances � respecter pour la pr�paration d'une pr�sentation au Conseil du Tr�sor. M�me si le d�lai le plus court pour le traitement complet d'une pr�sentation est de six semaines environ, il faut habituellement plusieurs semaines de plus avant que l'on aboutisse � la version finale et que tous les probl�mes soient r�gl�s. En moyenne, le processus dure de deux � trois mois. Certaines organisations f�d�rales pr�voient un mois de plus dans le cas de pr�sentations exigeant des autorisations ou des consultations interminist�rielles (p. ex., pr�sentations conjointes), ou encore une approbation du gouverneur en conseil. Les services minist�riels de l'organisation doivent �tre consult�s au sujet des �ch�anciers internes, notamment en ce qui touche l'approbation par le ministre.
Veuillez noter que l'analyste du Secr�tariat doit disposer de suffisamment de temps pour examiner la pr�sentation avant de faire des commentaires ou de tenir une rencontre pour discuter de la pr�sentation. Le temps requis peut �tre encore plus long lorsqu'il faut effectuer des consultations � l'int�rieur du Secr�tariat.
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Lundi |
Mardi |
Mercredi |
Jeudi |
Vendredi |
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Nota : L'examen de la version provisoire de la pr�sentation peut prendre plus de temps. |
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1 |
L'analyste du Secr�tariat re�oit de l'organisation f�d�rale la premi�re version de la pr�sentation au Conseil du Tr�sor |
L'analyste transmet des commentaires � l'organisation f�d�rale |
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2 |
Rencontre (au besoin) pour discuter des commentaires de l'analyste du Secr�tariat |
L'analyste du Secr�tariat re�oit la deuxi�me version provisoire de la pr�sentation |
L'analyste du Secr�tariat fait part de commentaires suppl�mentaires � l'organisation f�d�rale |
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3 |
Rencontre (au besoin) pour discuter des commentaires de l'analyste du Secr�tariat |
L'avant-derni�re version de la pr�sentation doit �tre soumise � l'analyste du Secr�tariat |
L'analyste du Secr�tariat r�dige une recommandation |
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4 |
La pr�sentation sign�e par le ministre doit arriver au centre de pr�sentations du conseil du tr�sor au plus tard � midi |
La recommandation de l'analyste du Secr�tariat est soumise � la haute direction du Secr�tariat |
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5 |
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6 |
Cahiers d'information transmis aux ministres du Conseil du Tr�sor |
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7 |
R�union du Conseil du Tr�sor |
L'analyste du Secr�tariat fait part de la d�cision du Conseil aux services minist�riels de l'organisation f�d�rale |
Pr�cisons que le Secr�tariat veille � fournir de la documentation aux ministres longtemps avant la tenue des r�unions du Conseil, et que l'�ch�ance du mardi midi pour la r�ception des pr�sentations sign�es est cruciale, car l'ordre du jour officiel est �tabli en cons�quence.
Si une pr�sentation est susceptible d'avoir des effets sur plusieurs organisations f�d�rales, il faudra consulter chacune des organisations concern�es. Il faut donc pr�voir dans le plan de travail un d�lai suffisant pour mener ces consultations et pour achever la pr�paration de la pr�sentation conform�ment aux �ch�anciers pr�vus. Les pr�sentations strat�giques et les pr�sentations conjointes ou globales sont � cet �gard des exemples typiques.
Dans certains cas, l'organisation f�d�rale d�cidera, ou sera requise, de pr�parer une pr�sentation strat�gique. Les pr�sentations strat�giques ne visent pas forc�ment � demander des ressources ou des autorisations suppl�mentaires, mais plut�t � fournir aux ministres du Conseil du Tr�sor des renseignements g�n�raux sur les plans ou les initiatives de l'organisation. La plupart des pr�sentations au Conseil du Tr�sor ont pour but d'obtenir diff�rentes autorisations, qu'il s'agisse de l'acc�s � des fonds, de l'approbation des modalit�s applicables � des paiements de transfert ou du pouvoir de passer un march�. Les plans d'investissement � long terme et les plans d'entreprise des soci�t�s d'�tat sont couramment soumis au moyen de pr�sentations strat�giques. Le Secr�tariat indiquera si une telle pr�sentation est requise.
Une pr�sentation conjointe est de mise lorsque les autorisations ou les ressources en jeu sont rattach�es � plus d'une organisation f�d�rale relevant de plus d'un ministre; une telle pr�sentation sera sign�e par au moins deux ministres. �tant donn� que l'une des organisations sera responsable au premier chef de la r�daction de la pr�sentation, le d�lai requis pour l'obtention de la signature de tous les ministres concern�s doit �tre clairement communiqu�. C'est � l'organisation responsable au premier chef qu'il incombe d'assurer la participation d'autres organisations � la pr�paration de la pr�sentation. Lorsqu'il y a participation directe de plus d'un ministre, des signatures conjointes sont exig�es. Le point sera supprim� de l'ordre du jour si l'une ou l'autre des signatures requises n'est pas re�ue � la date limite applicable.
Dans certains cas, l'organisation r�digera une pr�sentation au Conseil du Tr�sor dans le but d'obtenir des autorisations ou des ressources pour le compte d'autres organisations f�d�rales. Les pr�sentations globales sont utilis�es principalement par des organisations qui veulent appuyer la r�alisation d'initiatives horizontales ou pangouvernementales ou qui remplissent un r�le strictement administratif. Seul le ministre parrainant la pr�sentation globale est tenu de la signer, sauf si les ministres responsables des autres organisations participantes demandent des autorisations particuli�res ou des ressources suppl�mentaires, auquel cas ils doivent eux aussi y apposer leur signature.
Qu'il s'agisse d'une pr�sentation conjointe ou d'une pr�sentation globale, toutes les organisations participant � l'initiative doivent collaborer � la pr�paration de la pr�sentation avec l'organisation parrainant cette derni�re, et elles sont r�put�es avoir exprim� leur accord avec son contenu. L'organisation responsable, ou les organisations coresponsables, le cas �ch�ant, doivent �tre d�sign�es, que ce soit en vertu du mandat du ou des ministres, par un comit� du Cabinet ou par entente mutuelle des organisations participantes. Il faut aussi pr�ciser quelles sont ces derni�res et en quoi consistent leurs r�les et leur lien avec l'organisation responsable ou les organisations coresponsables.
� cette �tape, les organisations devraient prendre des mesures � l'interne pour pr�parer une pr�sentation en conformit� avec les commentaires du Secr�tariat et les �ch�anciers applicables, ce qui exige une collaboration avec les services minist�riels et le coordonnateur de la pr�sentation, de fa�on � s'assurer que les approbations internes requises soient obtenues en temps opportun. La plupart des bureaux des sous-ministres ont des �ch�anciers pr�cis pour fournir les renseignements requis et mener � terme le processus d'approbation.
Pour obtenir plus de renseignements, consultez le point 3 de la partie III, Touche finale.