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Le Guide pour la préparation des présentations au Conseil du Trésor de 2014 contient le formulaire de présentation révisé, les rôles et les responsabilités des intervenants, un guide d’établissement des coûts amélioré, des outils à l’intention des rédacteurs de présentations et de nouvelles normes de service pour les présentations. Les ministères et les organismes ont jusqu’au 1er avril 2014 pour mettre pleinement en œuvre la version mise à jour du Guide.
Néanmoins, conformément à la Ligne directrice sur l’attestation du dirigeant principal des finances pour les présentations au Cabinet, la lettre d’attestation du DPF doit être annexée à toutes les présentations ayant des répercussions financières, à compter du 1er janvier 2014.
Bien que chaque pr�sentation au Conseil du Tr�sor soit particuli�re, voici des questions typiques auxquelles l'analyste du Secr�tariat pourrait demander que l'on r�ponde dans la section � Remarques �.
1.1 Consid�rations g�n�rales
1.2 Conception, ex�cution et mise en oeuvre des programmes
1.3 Coordination r�gionale et gestion horizontale
1.4 �tablissement des co�ts
1.5 Approbation de projet
1.6 March�
1.7 Subventions, contribution ou programme de subventions /contributions
Les pr�sentations o� l'on demande des ressources consid�rables pour de nouvelles d�penses salariales doivent comporter des strat�gies traitant de la capacit� des divisions des RH des organisations � s'acquitter de leurs responsabilit�s en mati�re de recrutement, de d�tachement, d'�quit� en mati�re d'emploi, de formation, de relations de travail, de r�mun�ration et d'avantages sociaux, de s�curit�, de classification, de dotation et de planification des RH. Outre les co�ts du r�gime d'avantages sociaux des employ�s et les frais de locaux, qui correspondent respectivement � 20 p. 100 et � 13 p. 100 des nouvelles ressources salariales, les organisations doivent pr�voir l'affectation de ressources au titre de biens et de services, comme le mat�riel et les d�placements; si ces co�ts ne sont pas �valu�s comme il se doit, cela pourrait avoir une incidence marqu�e sur l'ex�cution du programme.
Il pourrait �tre n�cessaire de consulter l'Agence de la fonction publique du Canada au sujet des r�percussions de certaines politiques en mati�re de RH (c.‑�‑d., �quit� en mati�re d'emploi ou langues officielles) sur les propositions.
Les pr�sentations qui proposent de cr�er de nouveaux m�canismes d'ex�cution (p. ex., employeur distinct ou organisme de service sp�cial), de transf�rer des fonctions f�d�rales � un autre ordre de gouvernement ou de mettre fin � des programmes soul�vent davantage de probl�mes au chapitre de la gestion des RH. Aux fins de g�rer tout le processus de transition, il faut notamment assurer le transfert, la r�affectation, la r�installation et la mise en disponibilit� d'employ�s, et aussi acqu�rir des technologies nouvelles. Toutes ces activit�s doivent �tre men�es en conformit� avec les autorisations applicables, notamment les conventions collectives et la Directive sur le r�am�nagement des effectifs.
La Loi sur la protection des renseignements personnels et la Politique sur la protection des renseignements personnels du Conseil du Tr�sor reposent sur le principe voulant que les organisations f�d�rales assurent la protection des renseignements personnels relevant de leur contr�le.
Pour sa part, le processus �nonc� dans la Politique d'�valuation des facteurs relatifs � la vie priv�e vise � ce que les organisations f�d�rales tiennent compte de ces facteurs tout au long des �tapes de conception et de mise au point des initiatives comportant la collecte, l'utilisation ou la communication de renseignements personnels.
Aux termes de la Politique sur la gestion des projets, une organisation f�d�rale voulant obtenir du Conseil du Tr�sor une approbation pr�liminaire de projet (APP) doit incorporer � sa pr�sentation ou � l'�nonc� du projet, selon le cas, les r�sultats de l'�valuation des facteurs relatifs � la vie priv�e. L'organisation qui veut obtenir du Conseil une approbation d�finitive de projet (ADP) doit incorporer � la pr�sentation ou � l'�nonc� du projet un rapport d'�tape r�capitulant les mesures prises ou pr�vues pour �liminer ou att�nuer les risques rattach�s � la protection des renseignements personnels, en conformit� avec la Politique d'�valuation des facteurs relatifs � la vie priv�e.
Pour toute autre proposition, l'organisation doit, dans sa pr�sentation, garantir qu'elle a proc�d� � une �valuation pr�liminaire ou compl�te des facteurs relatifs � la vie priv�e, et qu'elle a identifi� et trait� comme il se doit toutes les questions pouvant se poser � cet �gard. Dans les cas exceptionnels o� l'�valuation pr�liminaire ou compl�te n'a pas encore �t� men�e � terme, l'organisation doit confirmer qu'elle a l'intention d'achever cette �valuation et indiquer une date d'ach�vement que le Secr�tariat jugera raisonnable et acceptable.
La Direction du dirigeant principal de l'information du Secr�tariat assurera un suivi � l'�gard des engagements pris par des organisations de terminer l'�valuation apr�s la r�ception de la pr�sentation.
La Politique du gouvernement sur la s�curit� �tablit que l'administrateur g�n�ral est responsable de la protection du personnel et de la sauvegarde de l'information et des actifs relevant de son contr�le. La s�curit� (c.‑�‑d., s�curit� physique et s�curit� des TI, aussi bien les logiciels que le mat�riel) peut �tre tr�s on�reuse, surtout dans le cas de mesures prises r�troactivement.
De ce fait, l'organisation f�d�rale qui pr�pare une pr�sentation doit tenir compte comme il se doit des exigences relatives � la s�curit�. Plus pr�cis�ment, elle doit, dans sa pr�sentation, fournir l'assurance qu'elle a proc�d� � une �valuation des menaces et des risques � l'�gard du projet mis de l'avant, et qu'elle a d�termin� tous les enjeux li�s � la s�curit� et pris les mesures requises. Lorsque les exigences de s�curit� recommand�es vont au‑del� des exigences minimales �nonc�es dans la Politique sur la s�curit�, le financement de ces mesures suppl�mentaires doit �tre �tay� par une �valuation des menaces et des risques. Dans le cas d'activit�s interorganisationnelles exigeant une pr�sentation relative � des syst�mes de technologie de l'information, l'organisation f�d�rale parrainant la pr�sentation sera responsable de la s�curit�, en consultation avec les autres organisations participantes.
Il est pr�cis� dans la Politique sur les paiements de transfert que les pr�sentations visant � obtenir l'approbation du Conseil du Tr�sor relativement aux conditions relatives � une cat�gorie de b�n�ficiaires d'une subvention et aux conditions d'un programme de contributions doivent comporter un CGRR et un CVFR portant respectivement sur les plans d'�valuation et de v�rification. Le CGRR permet de mesurer les r�sultats et d'en rendre compte comme il se doit, compte tenu de l'objet vis� par l'octroi de ressources sous forme de transferts.
Qu'ils soient ou non �labor�s en conformit� avec une exigence officielle de l'�tat, les CGRR et les CVFR sont requis seulement aux fins du programme des paiements de transfert et devraient �tre consid�r�s comme des outils de gestion utiles dans le cas de politiques, de programmes et d'initiatives d'envergure. Aux fins de d�cider s'il y a lieu d'�laborer ces cadres, les organisations doivent, en consultation avec l'analyste du Secr�tariat, prendre en compte l'importance de la politique, du programme ou de l'initiative ainsi que le niveau de risque per�u.
Il y a trois types d'intervenants qui doivent participer � l'�laboration et � la mise en application des CGRR : les gestionnaires, les sp�cialistes de l'�valuation et – si le CGRR doit accompagner une pr�sentation – l'analyste du Secr�tariat.
Les gestionnaires sont responsables au premier chef de l'�laboration et de la mise en application des CGRR. Il leur incombe �galement de s'assurer que le contenu des cadres est exact et correspond � la conception et � l'application ou � l'ex�cution de la politique, du programme ou de l'initiative.
Les sp�cialistes de l'�valuation peuvent fournir un soutien utile aux gestionnaires lors de l'�laboration des CGRR Ils peuvent, gr�ce � leur collaboration avec ces derniers, fournir des conseils importants et une expertise technique tout au long de l'�laboration et de la mise en application des cadres.
Si le CGRR est �labor� pour donner suite � un engagement � l'endroit du Conseil du Tr�sor, l'analyste du Secr�tariat peut conseiller les �valuateurs et les gestionnaires de l'organisation responsable au sujet des exigences de base applicables au cadre avant que celui ci soit approuv� par le ministre et soumis au Conseil. Il est donc utile de le consulter lors de l'�laboration du CGRR.
Les cadres visent les objectifs suivants dans l'optique du plan de gestion ax� sur les r�sultats :
Un cadre bien d�fini constitue :
Il est essentiel que les CGRR soient constamment adapt�s en fonction de l'�volution des besoins. La vision que l'on a des CGRR a �volu� au fil du temps, dans le contexte des exigences applicables aux programmes assortis de paiements de transfert aux termes de la Politique sur les paiements de transfert du Conseil du Tr�sor, et il en est de m�me des besoins des gestionnaires et des organisations f�d�rales. L'adoption d'une approche plus strat�gique � l'�gard des CGRR laisse aux gestionnaires plus de latitude pour pr�parer des cadres tenant d�ment compte de la nature particuli�re des politiques, des programmes et des initiatives, tout en maintenant la responsabilisation au regard de l'atteinte des r�sultats. Les ministres du Conseil du Tr�sor et le Secr�tariat peuvent �noncer des exigences visant les CGRR, mais c'est � l'organisation f�d�rale de d�terminer comment remplir ces exigences dans le contexte du CGRR.
L'approche strat�gique � pr�coniser relativement au CGRR doit �tre �tablie en consultation avec le Secr�tariat. De fa�on g�n�rale, des consultations devraient avoir lieu d�s les premi�res �tapes du processus de pr�paration de la pr�sentation, avant que l'organisation n'entame s�rieusement l'�laboration d'un cadre.
Il convient de noter que les CGRR, comme les �valuations, devraient �tre consid�r�s comme des documents publics. Les minist�res devraient partager le contenu d'un CGRR avec les gestionnaires de programmes et les intervenants concern�s afin de favoriser une meilleure compr�hension des objectifs de programme et la r�alisation des attentes en mati�re de rendement et d'�valuation.
Diff�rents outils ont �t� mis au point pour fournir une orientation et appuyer la mise en oeuvre de la Politique d'�valuation, en particulier :
La Politique sur les paiements de transfert du Conseil du Tr�sor pr�cise que les pr�sentations visant � obtenir l'approbation des conditions relatives � une cat�gorie de b�n�ficiaires d'une subvention et aux conditions d'un programme de contribution doivent comporter un CVFR et un CGRR portant respectivement sur les plans de v�rification et d'�valuation. Le CVFR sert � d�finir les modalit�s de surveillance du programme et les sources de risques, � �valuer la probabilit� que ces risques surviennent et leurs r�percussions �ventuelles, � formuler les hypoth�ses qui sous tendent cette �valuation et � pr�senter les mesures d'att�nuation des risques (y compris les contr�les de gestion) prises ou pr�vues.
Il y a trois intervenants qui doivent participer � l'�laboration et � la mise en application des CVFR : les gestionnaires de programmes, les services de v�rification interne et ‑ si le CVFR doit accompagner une pr�sentation ‑ l'analyste du Secr�tariat.
Les gestionnaires de programmes sont responsables au premier chef de l'�laboration et de la mise en application des CVFR. Leurs responsabilit�s englobent aussi le suivi des op�rations et de la situation financi�re, la v�rification de l'observation, par les b�n�ficiaires, des modalit�s pr�vues par les ententes de contribution ainsi que la fiabilit� des donn�es sur les r�sultats. Ils doivent �galement garantir que le contenu du CVFR est exact et refl�te la conception et l'application ou l'ex�cution de la politique, du programme ou de l'initiative.
Le r�le des services de v�rification interne consiste � recourir � une approche de planification fond�e sur le risque et � proc�der � des v�rifications permettant d'obtenir des assurances au sujet de l'� propos des pratiques de gestion int�gr�e du risque, des cadres de contr�le de gestion et de l'information utilis�e aux fins de prise de d�cisions et de reddition de comptes sur l'atteinte des grands objectifs du programme.
Diff�rents facteurs d�terminent le contenu du CVFR, notamment les demandes de la direction, les obligations juridiques, les cycles pr��tablis, les exigences �nonc�es dans les politiques ainsi que les besoins et les attentes des organismes centraux et d'autres collaborateurs. Afin d'utiliser les ressources des programmes et les ressources de v�rification l� o� elles seront les plus utiles, le risque doit �tre l'�l�ment central du CVFR; ce cadre constitue une m�thode coh�rente et rigoureuse servant � cerner, � �valuer et � traiter le risque, sans compter qu'il s'agit d'un moyen efficace de s'assurer que les ressources des programmes et les ressources de v�rification sont utilis�es � bon escient.
Dans le cas de programmes de transfert, les v�rificateurs internes prennent en consid�ration les proc�dures et les contr�les en place pour d�finir et �valuer les risques, et ils peuvent inclure le programme dans le plan annuel de v�rification interne ou r�viser ce plan s'il a �t� approuv� avant que le programme ait �t� mis en oeuvre ou modifi�.
Le r�le principal de la fonction de v�rification interne � l'�gard des programmes de transfert ou de tout autre programme est de fournir � l'administrateur g�n�ral et au contr�leur g�n�ral une assurance compl�mentaire, de source ind�pendante de la gestion axiale, concernant les processus de gestion du risque, de contr�le et de gouvernance. La Politique sur la v�rification interne donne des renseignements additionnels sur le r�le des services de v�rification interne.
Dans certaines circonstances, la v�rification interne peut porter sur des ententes de contribution particuli�res. Ce sera g�n�ralement le cas lorsque le gestionnaire de programme soup�onne l'existence d'un probl�me et que les contr�les internes du programme, comme la surveillance financi�re et op�rationnelle, ont �chou� ou que les agents de programmes n'ont pas la capacit� ni l'expertise requises pour r�gler la situation.
Le plan de v�rification accompagnant une pr�sentation doit donc �tablir d'abord de quelle mani�re et � quel moment la v�rification �tablira si un programme de paiements de transfert est bien g�r�. Le plan peut aussi indiquer quand et comment se fera la surveillance � l'�gard d'une entente de contribution s'il est jug� n�cessaire d'accro�tre la surveillance du programme ou d'en �valuer l'efficacit�.
M�me s'il y a v�rification interne de la gestion d'ententes de contribution, le gestionnaire de programme doit encore assurer un suivi efficace des ententes relevant de sa responsabilit�.
Diff�rents outils ont �t� mis au point pour fournir une orientation et appuyer la mise en oeuvre de la Politique sur la v�rification interne, en particulier :
Il pourrait �galement �tre n�cessaire de joindre � la pr�sentation un plan de communication comportant des renseignements budg�taires. Un plan faisant �tat des ressources consacr�es � l'atteinte d'objectifs de communications est requis si la pr�sentation :
Toutefois, aucun plan de communication n'est requis lorsque la pr�sentation vise le d�blocage de fonds de publicit� par le Conseil du Tr�sor en vertu d'instructions strat�giques �mises par le Cabinet ou par un comit� du Cabinet.
Le plan de communication qui accompagne les pr�sentations est similaire � celui qui est joint aux m�moires au Cabinet (MC). Les organisations f�d�rales doivent donc suivre le m�me mod�le pour l'un ou l'autre plan.
Le plan accompagnant la pr�sentation doit comprendre les neuf sections pr�vues dans le mod�le de plan de communication des MC : objectifs des communications; liens avec les messages et les campagnes du gouvernement; analyse de l'opinion publique; messages cl�s; publics cibles et r�actions; probl�mes touchant les r�gions et les provinces; consid�rations li�es aux parlementaires; strat�gie et tactiques de communication; budget.
Le chef des communications de l'organisation doit �tre consult� et doit examiner le plan de communication. Les commentaires d'un sp�cialiste des communications contribueront � faire en sorte que des mesures et des ressources ad�quates soient recommand�es dans le plan.
Joindre un plan de communication aux pr�sentations et soumettre le plan � l'examen du chef des communications constituent des exigences de la Politique de communication du gouvernement du Canada.
Une organisation f�d�rale peut �tre requise de donner l'assurance aux ministres du Conseil du Tr�sor que sa proposition est parfaitement conforme aux exigences du Programme de coordination de l'image de marque (PCIM). Un tel sujet sera comment� dans la section Remarques de la pr�sentation.
Les points qui int�ressent les ministres du Conseil du Tr�sor comprennent la garantie d'une reconnaissance publique � l'�gard des contributions du gouvernement du Canada et le renforcement de la pr�sence et de la visibilit� f�d�rales gr�ce � l'identification uniforme des investissements, des biens et des activit�s du gouvernement. Les points suivants doivent �tre pris en compte, et l'information pertinente doit �tre fournie dans la pr�sentation :
Le cas �ch�ant, il faut tenir compte des r�percussions des initiatives pr�sent�es au Conseil du Tr�sor sous l'angle du d�veloppement durable.
Le d�veloppement durable (DD) s'entend du d�veloppement qui permet de r�pondre aux besoins de la g�n�ration actuelle sans compromettre la capacit� de satisfaire ceux des g�n�rations futures. En pratique, il faut envisager l'int�gration des consid�rations socio�conomiques et environnementales pour appuyer les d�cideurs.
Lorsqu'appropri�, la pr�sentation doit indiquer si la proposition a un effet positif ou n�gatif sur le DD. Tel qu'indiqu� ci‑dessous, un certain nombre d'initiatives f�d�rales touchant les lois, les politiques et les programmes ont fix� de exigences pour promouvoir et appuyer le DD. Pour plus de renseignements au sujet du DD, consulter D�veloppement durable.
La Loi sur le v�rificateur g�n�ral exige que, tous les trois ans, les minist�res responsables d�posent � la Chambre des communes leurs engagements afin de promouvoir le d�veloppement durable dans le cadre des mises � jour de leurs strat�gies minist�rielles de d�veloppement durable (SDD).
Le cas �ch�ant, la pr�sentation au CT doit indiquer si le minist�re s'est dot� d'une SDD, et si le sujet faisant l'objet de la pr�sentation au CT tient compte des engagements pr�cis �nonc�s dans la SDD. Il faut pr�ciser les engagements respect�s par rapport � la SDD.
En outre, dans le cadre de l'engagement du gouvernement f�d�ral en mati�re de d�veloppement durable, la Directive du Cabinet sur l'�valuation environnementale des projets de politiques, de plans et de programmes comporte les exigences suivantes :
Les ministres s'attendent � ce que l'on proc�de � une �valuation environnementale strat�gique d'une proposition de politique, de plan et de programme lorsque les deux conditions suivantes sont satisfaites :
Une telle �valuation n'est pas requise dans les cas suivant :
Il incombe � chaque institution f�d�rale de se conformer � cette directive.
Lorsqu'une EES est requise, les solutions et les recommandations soumises aux ministres du Conseil du Tr�sor devraient rendre compte de l'analyse des �l�ments suivants :
Il n'existe pas de m�thode qui soit id�ale dans tous les cas pour effectuer une EES. L'institution f�d�rale doit recourir aux cadres et aux techniques appropri�s, et d�finir des approches adapt�es � ses besoins et � sa situation propres.
Le site Web de l'Agence canadienne d'�valuation environnementale contient la Directive du Cabinet et des lignes directrices concernant son application.
La Politique d'achats �cologiques est un outil important �tabli pour promouvoir l'�cologisation des activit�s du gouvernement. Dans le contexte de l'optimisation des ressources, cette politique exige que les facteurs relatifs aux r�sultats sur le plan environnemental soient int�gr�s au processus d'acquisition (planification; achat; utilisation et ali�nation). Dans ce contexte, l'optimisation des ressources pass par plusieurs �l�mnets, dont le co�t, le rendement, la disponibilit�, la qualit� et les r�sultats sur le plan environnemental. Il faut � cette fin avoir une connaissance ad�quate des aspects environnementaux en jeu et des co�ts et effets �ventuels rattach�s au cycle de vie des biens et services acquis. L'�nonc� de l'�valuation peut indiquer la fa�on dont les exigences de cette politique sont respect�es.
Le gouvernement f�d�ral appuie aussi le DD au moyen de nombreuses initiatives pour �cologiser ses activit�s. Pour plus de renseignements, consulter le site du Bureau de l'�cologisation des op�rations gouvernementales.
(� la fois � l'�tape de l'approbation pr�liminaire de projet [APP] et de l'approbation d�finitive de projet [ADP])
Quand une strat�gie d'acquisition s'impose :
Indiquez les mesures prises dans le cadre du processus d'approvisionnement, comme les clauses des march�s et/ou les normes relatives � l'environnement (p. ex., clause de reprise, norme EnergyStar, recours � des transporteurs autoris�s), pour contribuer � la r�alisation des objectifs du gouvernement du Canada en mati�re d'environnement.
Pr�cisez si le march� propos� a permis d'acqu�rir un bien et/ou un service qui s'av�re meilleur d'un point de vue �cologique et compte tenu des r�sultats environnementaux connexes (p. ex., r�duction des �missions de gaz � effet de serre, contenu recycl�, possibilit� de d�montage du produit, durabilit�, possibilit� de r�utilisation, produit reconditionn� ou transform�, produit biologique, efficacit� �nerg�tique et �conomie des ressources hydriques, efficience des ressources).