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Acronyme | D�finition |
---|---|
CE | Centre d'expertise |
COEX | Comit� ex�cutif |
CRG | Cadre de responsabilisation de gestion |
DC | D�cret en conseil |
DPF | Dirigeant principal des finances |
DPI | Dirigeant principal de l'information |
ES-0 | �conomique et statistique (cat�gorie d'employ�s) |
ETP | �quivalent temps plein |
EX-0 | Direction (cat�gorie d'employ�s) |
GDP | Groupe des directeurs de programmes |
LGFP | Loi sur la gestion des finances publiques |
MC | M�moire au Cabinet |
MJANR | Mise � jour annuelle des niveaux de r�f�rence |
RH | Ressources humaines |
RSSB | Renouvellement des syst�mes du Service du budget |
Secr�tariat | Secr�tariat du Conseil du Tr�sor du Canada |
SGD | Secteur de la gestion des d�penses |
SGDDI | Syst�me de gestion des dossiers, des documents et de l'information |
SIGD | Syst�me d'information sur la gestion des d�penses |
SM | Sous-ministre |
SMA | Sous-ministre adjoint |
SOG | Secteur des op�rations gouvernementales |
SSP | Syst�me de suivi des pr�sentations |
Le Bureau de la v�rification interne et de l'�valuation (BVIE) du Secr�tariat du Conseil du Tr�sor du Canada tient � remercier toutes les personnes qui ont contribu� � cette �valuation, � savoir les personnes interview�es, les participants au sondage et les participants � la s�ance de travail ainsi que le Comit� d'�valuation du Secr�tariat pour leurs pr�cieux commentaires et leur soutien. Le travail des repr�sentants du Secr�tariat ayant pris part � la validation des constatations, notamment les membres du Groupe des directeurs de programmes et les secr�taires adjoints des secteurs de programme, a �galement �t� appr�ci�. Enfin, le BVIE souhaite remercier les experts-conseils, les Services de consultation du gouvernement (Travaux publics et Services gouvernementaux Canada), qui ont proc�d� � l'�valuation, et Mark Schacter, qui a collabor� � la r�daction du rapport.
Le Secr�tariat du Conseil du Tr�sor du Canada (le Secr�tariat) est l'organe administratif du Conseil du Tr�sor, un comit� du Cabinet dont les ministres prennent des d�cisions concernant la gestion et les d�penses du gouvernement. Le Secr�tariat appuie les ministres du Conseil du Tr�sor dans cette fonction et assume ses responsabilit�s l�gales en tant qu'organisme central f�d�ral. Lorsqu'une organisation f�d�rale demande l'approbation ou l'autorisation du Conseil du Tr�sor pour mener une initiative qu'elle ne serait pas en mesure de r�aliser dans des circonstances normales ou qui d�passe les pouvoirs qui lui sont conf�r�s1 , elle pr�pare une pr�sentation au Conseil du Tr�sor en collaboration avec le Secr�tariat.
La pr�sente �valuation a permis d'�valuer la pertinence, l'efficacit� et l'�conomie du processus des pr�sentations au Conseil du Tr�sor. �tant donn� que le Secr�tariat est responsable du processus des pr�sentations au Conseil du Tr�sor, une attention particuli�re a �t� accord�e, dans le cadre de l'�valuation, au r�le qu'il joue pour contribuer au succ�s du processus. Il convient de noter que la port�e de cette �valuation �tait limit�e au processus actuel utilis� pour appuyer les ministres du Conseil du Tr�sor, et n'�valuait pas ce processus par rapport � d'autres m�canismes de soutien. Un examen limit� des pratiques internationales a �t� effectu� dans le cadre de l'�valuation. Toutefois, il n'�tait pas assez approfondi pour proposer d'autres m�canismes qui pourraient �tre examin�s par le Secr�tariat.
Le cadre d'�valuation comportait une multitude de sources de donn�es et des m�thodes de recherche compl�mentaires afin d'assurer la fiabilit� et la validit� des donn�es. Les m�thodes de recherche suivantes ont �t� utilis�es : i) examen de documents; ii) des entrevues avec des intervenants et des experts; iii) une s�ance de travail avec les secr�taires adjoints du Secr�tariat et les sous-ministres adjoints de certaines organisations f�d�rales; iv) examen des donn�es administratives, financi�res et statistiques et v) un sondage aupr�s d'analystes du Secr�tariat et d'organisations f�d�rales. La m�thodologie comportait une limite puisque les ministres du Conseil du Tr�sor n'ont pu �tre interview�s, la collecte de donn�es ayant eu lieu pendant la tenue d'une �lection.
L'�valuation a port� sur toutes les �tapes du processus actuel des pr�sentations qui touchent le Secr�tariat :
L'�valuation n'a pas port� sur les processus internes utilis�s par les organisations f�d�rales pour pr�parer une pr�sentation au Conseil du Tr�sor. De plus, l'�valuation vise uniquement les pr�sentations2de la � partie A �
Il s'agit de la premi�re �valuation officielle du processus des pr�sentations au Conseil du Tr�sor. Il �tait donc impossible de pr�voir, d�s le d�but, tous les enjeux de l'�valuation et les champs d'enqu�te � explorer. Comme l'exercice de collecte de donn�es a permis de relever des enjeux de l'�valuation qui n'�taient pas apparents au d�part, il a fallu inclure de nouvelles sources de donn�es probantes, telles que d'autres examens de document, d'autres entrevues et des s�ances de validation avec les cadres sup�rieurs du Secr�tariat.
La recherche effectu�e pour l'�valuation a �t� men�e entre novembre 2008 et mars 2009.
Le processus actuel des pr�sentations au Conseil du Tr�sor est pertinent, semble �tre efficace et comporte des �l�ments positifs cl�s. Toutefois, il est possible d'am�liorer son efficacit� et son efficience, gr�ce � une combinaison de mesures et d'enqu�tes plus pouss�es.
Les points � am�liorer dans le processus des pr�sentations au Conseil du Tr�sor se rangent dans trois domaines :
1. Le Secr�tariat devrait finaliser le mod�le logique du processus des pr�sentations au Conseil, afin d'appuyer la mesure du rendement, la clart� de ses communications sur son r�sultat final et la tenue d'�tudes compl�mentaires.
2. Le Secr�tariat devrait �tudier de mani�re exhaustive les r�sultats du sondage sur les conseils donn�s par ses analystes aux organisations f�d�rales pendant le processus des pr�sentations, et y donner suite au besoin.
3. Le Secr�tariat devrait examiner de quelle fa�on les enjeux li�s aux ressources humaines, plus particuli�rement le roulement chez les analystes de programme, affectent le processus des pr�sentations au Conseil du Tr�sor et la gestion du savoir.
4. Le Secr�tariat devrait rendre compte des co�ts de la gestion du processus des pr�sentations - au moins pour le minist�re, sinon pour l'ensemble de l'administration publique.
5. Le Secr�tariat devrait examiner et am�liorer au besoin ses activit�s de perfectionnement professionnel, de formation et de sensibilisation li�es au processus des pr�sentations au Conseil du Tr�sor.
6. Le Secr�tariat devrait explorer des options en vue d'une approche plus syst�matique � l'�gard de la gestion de l'information et des connaissances dans le cadre du processus des pr�sentations au Conseil du Tr�sor.
Le Conseil du Tr�sor est un comit� du Cabinet du Conseil priv� de la Reine pour le Canada. Il a �t� �tabli en 1867, et des pouvoirs lui sont conf�r�s en vertu de la loi depuis 1869. La Loi sur la gestion des finances publiques (LGFP) conf�re au Conseil du Tr�sor le pouvoir d'exercer des responsabilit�s dans des domaines li�s � la politique administrative g�n�rale de l'administration publique f�d�rale, � l'organisation de l'administration publique f�d�rale, � la gestion financi�re, � l'examen des plans et des programmes annuels et � plus long terme en mati�re de d�penses des organisations f�d�rales, � la gestion et � l'am�nagement des terrains par les organisations f�d�rales, � la gestion des ressources humaines dans l'administration publique f�d�rale, aux modalit�s d'emploi, � la v�rification interne et � d'autres questions dont d�cide le gouverneur en conseil.
Le Conseil du Tr�sor est dirig� par un pr�sident, dont le r�le officiel consiste � pr�sider le Conseil du Tr�sor. Il s'acquitte de sa responsabilit� de gestion de l'administration publique en mettant en œuvre les politiques et les programmes approuv�s par le Cabinet et en fournissant aux organisations f�d�rales les ressources et l'appui administratif dont elles ont besoin pour effectuer leur travail.
Le Secr�tariat du Conseil du Tr�sor du Canada (le Secr�tariat) est l'organe administratif du Conseil du Tr�sor et doit exercer un double mandat : appuyer le Conseil du Tr�sor lui-m�me, qui est un comit� de ministres, dans la prise de d�cisions sur la gestion et les d�penses gouvernementales; et assumer les responsabilit�s l�gislatives d'un organisme f�d�ral central. En ce qui concerne le processus des pr�sentations au Conseil du Tr�sor, le Secr�tariat fournit aux ministres du Conseil du Tr�sor des conseils et un soutien qui leur permettent d'exercer leurs responsabilit�s telles qu'elles sont expos�es dans la LGFP et d'assumer leur r�le, celui d'assurer l'optimisation des ressources et la surveillance des fonctions de gestion financi�re dans les organisations f�d�rales. Le Secr�tariat pr�sente des recommandations et des conseils au Conseil du Tr�sor sur les politiques, les orientations, les r�glements et les propositions en mati�re de d�penses de programmes touchant la gestion des ressources du gouvernement. Les responsabilit�s du Conseil du Tr�sor ayant trait � la gestion g�n�rale de l'administration publique ont une incidence sur les initiatives, les questions et les activit�s qui recoupent tous les secteurs de politiques g�r�s par les organisations f�d�rales et les entit�s organisationnelles.
Lorsqu'une organisation f�d�rale demande l'approbation ou l'autorisation du Conseil du Tr�sor pour mener une initiative qu'elle ne serait pas en mesure de r�aliser dans des circonstances normales ou qui d�passe les pouvoirs qui lui sont conf�r�s, elle doit pr�parer une pr�sentation au Conseil du Tr�sor. Les pr�sentations au Conseil du Tr�sor peuvent �tre li�es � une ou plusieurs des responsabilit�s du Conseil du Tr�sor telles qu'elles sont expos�es dans la LGFP.
Le processus des pr�sentations au Conseil du Tr�sor n'a jamais �t� �valu� et il �tait important de le faire puisqu'il s'agit d'un secteur d'activit�s cl� du Secr�tariat. Cette �valuation a permis d'�valuer la pertinence, l'efficacit� et l'�conomie du processus des pr�sentations au Conseil du Tr�sor. �tant donn� que le Secr�tariat est responsable du processus des pr�sentations au Conseil du Tr�sor, une attention particuli�re a �t� accord�e, dans le cadre de l'�valuation, au r�le qu'il joue de contribution au succ�s du processus. Il convient de noter que la port�e de cette �valuation �tait limit�e au processus qui est actuellement utilis� pour appuyer les ministres du Conseil du Tr�sor, et qu'elle ne comprenait pas une �valuation de ce processus en regard d'autres m�canismes �ventuels qui auraient permis d'offrir un tel soutien. Un examen limit� des pratiques internationales a �t� effectu� dans le cadre de l'�valuation. Toutefois, il n'�tait pas assez approfondi pour proposer d'autres m�canismes qui pourraient �tre examin�s par le Secr�tariat.
L'�tude avait pour objectif d'�valuer la pertinence, l'efficacit� et l'�conomie du processus des pr�sentations au Conseil du Tr�sor. Autrement dit, l'�valuation a port� sur les trois questions suivantes :4
La recherche effectu�e pour r�aliser cette �valuation a �t� men�e entre novembre 2008 et mars 2009.
Le � programme de changement �, une initiative lanc�e en 2007, est un projet du Secr�tariat qui vise � renforcer l'excellence en gestion � l'�chelle du gouvernement f�d�ral en recentrant ses rapports et sa fa�on d'exercer des activit�s avec d'autres organisations f�d�rales. Le programme de changement devrait permettre au Secr�tariat de faire preuve de leadership en mati�re d'excellence en gestion, tout en adoptant une approche plus strat�gique et moins op�rationnelle � l'�gard des organisations f�d�rales. Les gains d'efficience r�alis�s gr�ce � cette approche permettront de mettre davantage l'accent sur des activit�s ayant une plus grande valeur ajout�e et d'am�liorer les relations avec les organisations f�d�rales, ce qui se traduira par la prestation de meilleurs conseils aux ministres du Conseil du Tr�sor. Bien que le programme de changement ne fasse pas l'objet de cette �valuation, il fait partie int�grante du processus des pr�sentations au Conseil du Tr�sor puisqu'il traite de la fa�on dont les activit�s du Secr�tariat sont men�es.
Les pr�sentations au Conseil du Tr�sor constituent l'un des trois principaux documents, � part les m�moires au Cabinet (MC) et les pr�sentations au gouverneur en conseil, qui appuient le processus d�cisionnel officiel au gouvernement.
Habituellement, les exigences � remplir pour obtenir l'approbation du Conseil sont d�finies dans la loi, les politiques du Conseil du Tr�sor ou d'autres d�cisions du Cabinet5. Bien que les pr�sentations au Conseil du Tr�sor puissent �tre rattach�es � l'une ou l'autre des responsabilit�s du Conseil du Tr�sor telles qu'elles sont expos�es dans la LGFP, voici en quoi consistent g�n�ralement les demandes formul�es dans les pr�sentations :
Il convient de noter que le processus des pr�sentations au Conseil du Tr�sor est li� � de nombreux �gards aux processus gouvernementaux du budget, du budget des d�penses et d'octroi des cr�dits. Par exemple :
Les pr�sentations au Conseil du Tr�sor sont r�parties en pr�sentations de la � partie A � et de la � partie B �. Toutes les pr�sentations au Conseil du Tr�sor (y compris les examens strat�giques) sont consid�r�es comme des pr�sentations de la � partie A �, � l'exception des d�crets en conseil qui n�cessitent la recommandation du Conseil du Tr�sor. Les pr�sentations de la � partie B � sont donc accompagn�es d'un d�cret en conseil. Par cons�quent, le processus, les proc�dures et les intervenants concern�s des pr�sentations de la � partie A � et de la � partie B � diff�rent. Bien que les d�crets en conseil soient des instruments l�gislatifs, les pr�sentations au Conseil du Tr�sor constituent un m�canisme utilis� par une entit� juridique, le Conseil du Tr�sor.
Le processus qu'on appelle habituellement � processus des pr�sentations au Conseil du Tr�sor � comprend en fait trois �tapes : l'�tape pr�c�dant la pr�sentation, l'�tape de la pr�sentation et l'�tape apr�s l'approbation (repr�sent�es dans la figure 1).
L'�tape pr�c�dant la pr�sentation commence lorsqu'une organisation f�d�rale communique avec le Secr�tariat pour demander des conseils � savoir si une pr�sentation est n�cessaire ou pour lui donner avis de son intention de soumettre une pr�sentation. M�me lorsqu'une organisation f�d�rale donne simplement avis de son intention de soumettre une pr�sentation, le Secr�tariat peut indiquer si, dans les faits, une pr�sentation est n�cessaire. Strictement parlant, aucune pr�sentation au Conseil du Tr�sor n'est soumise � cette �tape-ci. Cependant, l'�valuation - qui refl�te la pratique g�n�rale au sein du gouvernement - traite les activit�s connexes comme faisant partie du processus des pr�sentations.
L'�tape de la pr�sentation vise la p�riode entre le moment o� une d�cision est prise par l'organisation f�d�rale de pr�parer une pr�sentation et le moment o� la pr�sentation est analys�e lors d'une r�union du Conseil du Tr�sor. Cette �tape inclut celle de l'�bauche de la pr�sentation dans le cadre de laquelle les analystes de programme, ainsi que leurs gestionnaires, tiennent lieu de guichet unique de prestation de conseils aux repr�sentants des organisations f�d�rales, y compris les conseils donn�s par les analystes des Centres d'expertise (CE). Elle inclut, en outre, l'�tape de la pr�sentation finale dans laquelle un pr�cis est pr�par� et discut� au Comit� de la strat�gie, qui est un organisme de gouvernance sup�rieure pr�sid� par le secr�taire du Conseil du Tr�sor. Le Comit� de la strat�gie, qui fait partie du processus de diligence raisonnable et de surveillance appliqu� � l'�chelle du Secr�tariat, favorise la prestation de conseils m�rement r�fl�chis, coh�rents et globaux aux ministres du Conseil du Tr�sor. Les membres du Comit� se rencontrent souvent et passent en revue toutes les pr�sentations et les �valuations et les conseils portant sur les risques connexes.
La pr�sentation est ensuite soumise au Conseil du Tr�sor pour examen et approbation. � cette �tape-ci, le Secr�tariat pr�sente �galement aux ministres des conseils sur les risques et les facteurs � consid�rer.
L'�tape apr�s l'approbation englobe les mesures prises par le Secr�tariat par suite de l'approbation d'une pr�sentation comme la communication de la d�cision � l'organisation f�d�rale, la communication des conditions (le cas �ch�ant) jointes � la pr�sentation et le suivi de ces conditions.
Figure 1: Processus des pr�sentations au Conseil du Tr�sor
Tel qu'il a �t� susmentionn�, le programme de changement fait partie int�grante du processus des pr�sentations au Conseil du Tr�sor. De fait, le Secr�tariat assume plusieurs des r�les d�crits dans le programme de changement tout au long du processus des pr�sentations. Pendant l'�tape pr�c�dant la pr�sentation, le Secr�tariat assume son r�le de catalyseur lorsqu'il offre des directives et des conseils � l'organisation f�d�rale. Pendant l'�tape de la pr�sentation, le Secr�tariat remet en question la pr�sentation. Toutefois, lorsque la pr�sentation peut �tre soumise au Conseil du Tr�sor, le Secr�tariat commence � assumer son r�le de soutien du Conseil du Tr�sor pour donner les meilleurs conseils et les meilleures recommandations aux ministres du Conseil du Tr�sor. Ce changement dans les r�les du Secr�tariat est n�cessaire dans le mod�le canadien de gouvernement f�d�ral6 parce que le Secr�tariat aide le minist�re client � r�diger la pr�sentation et s'assure que le secr�taire adjoint est bien outill� pour pr�senter les meilleurs conseils possible afin d'appuyer la recommandation.
Le processus des pr�sentations au Conseil du Tr�sor est un processus d�lib�r� et it�ratif, qui s'accompagne parfois de discussions et de n�gociations intensives entre le Secr�tariat et les organisations f�d�rales et d'une discussion au sein du Secr�tariat comme tel. Compte tenu de l'approche � guichet unique du Secr�tariat, la majeure partie du processus est coordonn�e par le secteur des programmes du Secr�tariat qui est charg� du portefeuille de l'organisation f�d�rale7 et demeure le principal point de contact.
Bien que l'analyste de programme joue le r�le principal en ce qui touche le minist�re client, de nombreux secteurs du Secr�tariat, en plus du secteur des programmes concern� (p.ex., le Secteur de la gestion des d�penses (SGD), le Bureau du contr�leur g�n�ral (BCG) et divers centres de d�cisions), participent habituellement � l'examen des �bauches de pr�sentation et � la formulation de conseils aux ministres du Conseil du Tr�sor. Les analystes de ces secteurs et ceux des CE jouent un r�le tr�s diff�rent de celui des analystes de programme puisqu'ils examinent la pr�sentation et formulent des commentaires sur des parties de la pr�sentation qui ont trait uniquement � leur champ d'expertise et au mandat strat�gique.
Apr�s l'examen des pr�sentations, l'analyste de programme r�dige un pr�cis qui est essentiellement l'opinion et les conseils du Secr�tariat � l'intention des ministres du Conseil du Tr�sor. Le pr�cis renferme un sommaire de la demande de l'organisation f�d�rale, le profil des risques par rapport aux crit�res de risque �tablis � l'avance (qui sont d�crits dans le Guide8), et une recommandation au Conseil du Tr�sor d'approuver, de ne pas approuver ou d'approuver sous r�serve de conditions les propositions faites dans la pr�sentation.
Apr�s examen de la pr�sentation au Conseil du Tr�sor et compte tenu des conseils du Secr�tariat, les ministres du Conseil du Tr�sor peuvent ajouter d'autres conditions � une pr�sentation en plus de celles qui sont propos�es par le Secr�tariat ou demander un suivi aupr�s de l'organisation f�d�rale ou du Secr�tariat sur une question en particulier. Par exemple, une condition peut avoir trait � la tenue d'une �valuation formelle d'un programme dans un d�lai pr�cis.
Traitement des risques dans le processus des pr�sentations au Conseil du Tr�sor
Le Guide indique que les organisations f�d�rales doivent � fournir des pr�cisions sur les risques � g�rer, les mesures d'att�nuation envisag�es et les risques r�siduels, le cas �ch�ant �. Au-del� de cette information, les analystes du Secr�tariat9 sont charg�s d'�valuer les pr�sentations en fonction d'un cadre de risque uniformis� qui comprend les cat�gories g�n�rales suivantes de risque :
Avant la r�daction du pr�cis, le Secr�tariat attribue aux pr�sentations une cote de risque - soit faible, moyen, �lev� ou tr�s �lev� - � chacune de ces cat�gories ainsi qu'un profil de risque global. Les cadres sup�rieurs du Secr�tariat discutent de la cote de risque � la r�union de strat�gie et proc�dent � un ajustement au besoin. Cette mesure permet de fixer des balises pour les recommandations du Secr�tariat et les conseils donn�s aux ministres du Conseil du Tr�sor.
Le processus des pr�sentations au Conseil du Tr�sor fait partie d'un processus plus vaste qui concerne les organisations f�d�rales qui obtiennent l'autorisation d'entreprendre de nouvelles initiatives ou de poursuivre des initiatives qui existent d�j�. La description suivante de ce vaste processus est simplifi�e et ne pr�tend pas englober tous les cas. Toutefois, elle est ad�quate pour pr�senter le processus des pr�sentations au Conseil du Tr�sor dans un contexte plus large.
Les organisations f�d�rales lancent leur propre processus d'�laboration de politiques par l'entremise de recherches et de consultations, tant � l'interne qu'� l'�chelle interminist�rielle, et s'assurent que toute initiative propos�e appuie un ou plusieurs objectifs strat�giques importants de l'organisation et est conforme � son mandat. � la fin de ce processus pr�liminaire, le ministre responsable demande l'approbation de l'initiative propos�e. Le principal document utilis� � cette fin est le m�moire au Cabinet (MC). Le MC est le moyen utilis� par le ministre pour proposer et expliquer la nouvelle initiative de l'organisation et des options et �l�ments connexes au Cabinet et pour obtenir son approbation.
Le MC pr�sente au Cabinet un aper�u des objectifs de la nouvelle initiative propos�e, ses r�percussions financi�res et les liens entre le plan d'action recommand� et les politiques et objectifs du gouvernement. Il renferme un plan de communication. Les organismes centraux tels que le Bureau du Conseil priv� (BCP), le minist�re des Finances Canada et le Secr�tariat ont tous un r�le � jouer dans le processus de pr�sentation des MC.
Le BCP est responsable du processus de pr�sentation des MC, et il conseille notamment l'organisation f�d�rale sur la coh�rence entre les objectifs de l'initiative figurant dans le MC et les priorit�s du gouvernement. Le minist�re des Finances Canada appuie le BCP en donnant des conseils et des directives concernant les donn�es financi�res pr�sent�es dans le MC, afin de s'assurer qu'elles concordent avec les priorit�s du gouvernement en mati�re financi�re. Le Secr�tariat, dans son r�le de soutien, contribue � s'assurer que les exigences de mise en œuvre sont �nonc�es avec justesse, que le MC renferme des dispositions appropri�es sur la responsabilisation et la transparence, qu'il est conforme � la politique du Conseil du Tr�sor et qu'il �tablit des liens appropri�s entre la proposition et d'autres programmes existants et organisations f�d�rales.
Un comit� sur les politiques du Cabinet se penche sur le MC et recommande si la proposition devrait �tre renvoy�e au Cabinet � des fins de ratification. Le MC peut �tre enti�rement approuv�, approuv� en principe, report� en attendant des pr�cisions ou approuv� apr�s avoir subi des changements. Apr�s l'approbation du MC par le Cabinet, l'organisation f�d�rale responsable qui l'a soumis r�dige une pr�sentation au Conseil du Tr�sor pour obtenir les pouvoirs particuliers10 dont elle a besoin pour mettre en œuvre la d�cision du Cabinet.
La distinction fondamentale entre un MC et une pr�sentation au Conseil du Tr�sor r�side dans le fait que le MC met l'accent principalement sur les fondements strat�giques et le financement global d'une nouvelle politique ou d'un nouveau programme alors qu'une pr�sentation au Conseil du Tr�sor �nonce de mani�re d�taill�e la conception du programme, les co�ts pr�cis, les r�sultats escompt�s et l'ex�cution et la mise en œuvre du programme. La pr�sentation au Conseil du Tr�sor traduit les fondements strat�giques et les objectifs en un programme qui permettra l'atteinte de ces objectifs. La pr�sentation donne des pr�cisions sur la mani�re dont l'organisation f�d�rale m�nera � bien l'initiative strat�gique, sur les raisons pour lesquelles la m�thode de mise en œuvre propos�e est la meilleure dans les circonstances, sur la mani�re dont la proposition assure la responsabilisation et la transparence, sur les r�sultats attendus et les produits pr�vus, en conformit� avec la Structure de gestion, des ressources et des r�sultats (SGRR) de l'organisation; et sur la fa�on dont l'organisation f�d�rale effectuera un suivi, la mesure du rendement et l'�valuation afin que le programme r�ponde � ses objectifs strat�giques, ce qui comprend des rapports d'�tape sur les r�sultats et les gains d'efficience pr�vus ainsi que sur les �ch�anciers et les co�ts anticip�s. Une pr�sentation au Conseil du Tr�sor peut �galement demander des autorisations de d�penser, de passer des march�s ou de proc�der � des paiements de transfert.
La port�e de cette �valuation �tait limit�e au processus actuel des pr�sentations et ne comprenait pas une �valuation de ce processus par rapport aux autres m�canismes possibles de prestation de soutien. Un examen limit� des pratiques internationales a �t� effectu� dans le cadre de l'�valuation. Toutefois, cet examen n'�tait pas assez approfondi pour proposer d'autres m�canismes qui pourraient �tre �tudi�s par le Secr�tariat.
L'�valuation couvrait toutes les �tapes du processus des pr�sentations auxquelles prend part le Secr�tariat :
L'�valuation n'a pas port� sur les processus internes utilis�s par les organisations f�d�rales pour pr�parer des pr�sentations au Conseil du Tr�sor. De plus, l'�valuation ne vise que les pr�sentations de la � partie A �. Les MC, les pr�sentations au gouverneur en conseil et le budget f�d�ral, bien qu'ils ne soient pas vis�s par l'�valuation, ont �t� pris en consid�ration dans la mesure o� ils offraient de l'information sur le contexte.
L'annonce du Plan d'action �conomique du Canada � la fin de janvier 2009 est survenue alors que les �tapes de planification de l'�valuation et de collecte de donn�es avaient d�j� �t� termin�es. Par cons�quent, la mise en œuvre de ces mesures de stimulation ne pouvait �tre comprise dans la port�e de l'�valuation.
Entre 2004 et 2009 (calendrier de septembre � ao�t), une moyenne de 804 pr�sentations par ann�e ont �t� soumises au Conseil du Tr�sor. Il convient de noter que le Secr�tariat lui-m�me pr�sente g�n�ralement le plus grand nombre de pr�sentations au Conseil du Tr�sor parmi tous les organisations f�d�rales, �tant donn� qu'il agit � la fois comme minist�re et comme conseil de gestion de la fonction publique f�d�rale. Ainsi, certaines des pr�sentations du Secr�tariat visent � obtenir une approbation ou apporter des modifications � des politiques du Conseil du Tr�sor ou ont trait au r�le du Secr�tariat � titre d'employeur.
Comme le montre le tableau 1, les secteurs des programmes du Secr�tariat, sauf le Secteur des affaires internationales, de la s�curit� et de la justice, ont indiqu� une incidence plus �lev�e de pr�sentations � courantes � que de pr�sentations � complexes �12. Bien qu'elles soient minoritaires, les pr�sentations complexes affichent des chiffres qui sont n�anmoins significatifs.
Secteur des programmes | Courantes % | Complexes % |
---|---|---|
Secteur des programmes sociaux et culturels | 54,9 | 34,3 |
Secteur des programmes �conomiques | 48,7 | 38,1 |
Secteur des affaires internationales, de la s�curit� et de la justice | 41,7 | 53,2 |
Secteur des op�rations gouvernementales (volet des programmes) | 66,0 | 29,9 |
Moyenne g�n�rale | 54,2 | 38,4 |
Les participants � l'�valuation ont d�crit les pr�sentations courantes comme suit :
Les pr�sentations complexes ont �t� d�crites comme comportant un ou plusieurs des �l�ments suivants :
Aucun mod�le logique n'avait �t� �labor� auparavant pour le processus des pr�sentations au Conseil du Tr�sor. Un mod�le logique est essentiel pour cette �valuation (ou toute autre �valuation) puisqu'il d�crit le consensus entre les principaux intervenants concernant les r�sultats souhait�s du processus des pr�sentations au Conseil du Tr�sor. Un consensus quant aux r�sultats � atteindre constitue la pierre angulaire de l'�valuation qui doit �tre men�e. La pertinence, l'efficacit� et l'�conomie ne peuvent �tre �valu�es en vase clos; ces termes n'ont un sens que s'ils sont �valu�s par rapport au r�sultat final du processus des pr�sentations.
Par cons�quent, l'�quipe charg�e de l'�valuation a d� �laborer un mod�le logique qui �tablirait les fondements n�cessaires � l'�valuation. Des consultations ont eu lieu pour recueillir des commentaires au sujet des r�sultats escompt�s du processus des pr�sentations au Conseil du Tr�sor. L'�quipe charg�e de l'�valuation a interview� 19 personnes, notamment des analystes, des analystes principaux, des directeurs et un secr�taire adjoint travaillant dans des secteurs au Secr�tariat qui traitent les pr�sentations au Conseil du Tr�sor. En outre, il y a eu deux s�ances de travail avec des analystes du Secr�tariat pour �laborer et valider le mod�le logique et la matrice d'�valuation ayant �t� �labor�s par l'�quipe charg�e de l'�valuation. Un consensus s'est d�gag� au sein du groupe, soit que le r�sultat final du processus des pr�sentations �tait d'aider le Conseil du Tr�sor � prendre des d�cisions qui permettent de s'assurer que les programmes et les d�penses correspondent aux priorit�s du gouvernement.
Les consultations aupr�s des cadres sup�rieurs ont offert une perspective diff�rente. Les participants � la s�ance de travail r�unissant des sous-ministres adjoints (SMA) ont soulign� que l'harmonisation des nouvelles initiatives avec les priorit�s du gouvernement constitue le r�sultat escompt� du processus des MC plut�t que celui du processus des pr�sentations au Conseil du Tr�sor. Ils ont soutenu que le processus des pr�sentations au Conseil du Tr�sor avait pour objectif d'offrir aux organisations f�d�rales les ressources et les pouvoirs n�cessaires pour atteindre les r�sultats socio-�conomiques souhait�s par le Cabinet et d'assurer que les programmes �taient offerts de mani�re � assurer l'optimisation des ressources. Ce r�sultat final qui est propos� semble �tre coh�rent avec les documents et les communications du Secr�tariat au sujet de ses r�sultats attendus. L'�nonc� est conforme au r�sultat strat�gique du Secr�tariat, � Le gouvernement est bien g�r� et responsable, et des ressources sont attribu�es pour atteindre des r�sultats. � Ce r�sultat final est �galement conforme aux r�sultats attendus du Secr�tariat expos�s dans le Rapport minist�riel sur le rendement (RMR) 2008-2009, par exemple : � des ressources sont attribu�es pour obtenir des r�sultats �, et � faire en sorte que les programmes f�d�raux soient efficaces et qu'ils optimisent les ressources �. Un lien avec les r�sultats plus g�n�raux (p. ex., de nature sociale et �conomique) fait �galement l'objet de la r�f�rence du RMR � � l'harmonisation des priorit�s et des responsabilit�s gouvernementales �.
�tant donn� que le processus des pr�sentations au Conseil du Tr�sor n'est pas limit� � une organisation ou une seule sous-activit� au sein du Secr�tariat, mais touche un certain nombre d'organisations, dont les secteurs des programmes, le SGD, et de nombreux centres d'excellence strat�giques, il �tait peut-�tre possible de pr�voir qu'il n'existait pas de mod�le logique avant l'�valuation et donc que le r�sultat final du processus n'�tait pas d�fini. Cela �tant dit, l'�valuation a permis de constater que l'expos� du r�sultat repose sur une base solide, en particulier sur le r�sultat strat�gique et les attentes �nonc�es dans le RMR du Secr�tariat. La conclusion du pr�sent rapport traite de la n�cessit� d'un mod�le logique final, et en particulier du r�sultat final.
Aux fins de la pr�sente �valuation, les r�sultats du processus des pr�sentations au Conseil du Tr�sor reposaient sur une analyse de l'information recueillie � partir des s�ances de consultation et sur l'information trouv�e dans le processus de documentation sur le processus des pr�sentations. Le Guide a �t� �tudi� et, bien qu'il soit tr�s d�taill� sur la mani�re de pr�parer des pr�sentations au Conseil du Tr�sor, il est moins explicite au sujet des raisons de les pr�parer. N�anmoins, il a �t� possible d'�tablir des inf�rences au sujet du r�sultat final � partir d'autres �nonc�s se trouvant dans le Guide. L'�nonc� le plus clair dans le Guide au sujet du r�sultat final du processus des pr�sentations �tait le suivant :
La pr�sentation au Conseil du Tr�sor traduit les fondements strat�giques et les objectifs en un programme qui permettra l'atteinte de ces objectifs. La pr�sentation donne des pr�cisions sur la mani�re dont l'organisation f�d�rale m�nera � bien l'initiative strat�gique, sur les raisons pour lesquelles la m�thode de mise en œuvre propos�e est la meilleure dans les circonstances, sur la mani�re dont le projet contribuera � des objectifs pangouvernementaux comme la responsabilisation, la transparence et l'interop�rabilit� de l'information, sur les r�sultats attendus et les produits pr�vus, en conformit� avec la Structure de gestion, des ressources et des r�sultats (SGRR)13 de l'organisation, de m�me que sur les modalit�s de surveillance et d'�valuation au moyen desquelles cette derni�re s'assurera que le programme permet d'atteindre les objectifs strat�giques vis�s, ce qui comprend des rapports d'�tape sur les r�sultats et les gains d'efficience pr�vus ainsi que sur les �ch�anciers et les co�ts anticip�s.
Bien que la pr�sentation puisse faire mention du MC et des d�cisions du Cabinet, il est g�n�ralement superflu d'y exposer de nouveau les fondements strat�giques. Cela dit, la pr�sentation doit �tre conforme aux d�cisions du Cabinet14.
Autrement dit, les questions relatives aux fondements strat�giques et aux r�sultats socio-�conomiques souhait�s (ou � objectifs �) sont trait�es dans un MC (comme l'avaient sugg�r� les participants � la s�ance de travail des SMA). La pr�sentation au Conseil du Tr�sor porte sur des questions plus d�taill�es li�es � la conception et � la mise en œuvre du programme. Il est donc raisonnable de conclure que la valeur finale ou le r�sultat final du processus de la pr�sentation est de s'assurer que l'initiative en question est bien con�ue par rapport aux fondements strat�giques d�crits dans le MC et pour ce qui est des ententes de mise en œuvre et de ses rapports, responsabilit�s et m�canismes de contr�le. Par cons�quent, l'�quipe charg�e de l'�valuation a propos� ce qui suit comme r�sultat final du processus des pr�sentations au Conseil du Tr�sor :
La mise en œuvre du programme permet d'atteindre les objectifs strat�giques d�finis par le Cabinet de la fa�on la plus �conomique possible et de remplir les obligations du gouvernement en mati�re de transparence, de responsabilisation et de prudence.
Il n'a pas �t� possible de valider ce r�sultat final propos� aupr�s d'un �chantillon repr�sentatif d'intervenants. L'�quipe charg�e de l'�valuation reconna�t donc qu'il s'agit simplement d'un param�tre fictif aux fins de l'�valuation.
Par contre, les autres �l�ments du mod�le logique propos� par l'�quipe charg�e de l'�valuation, soit les r�sultats imm�diats et interm�diaires et les extrants, refl�tent le consensus obtenu au sein du Secr�tariat.
La participation du Secr�tariat au processus des pr�sentations comporte six �l�ments principaux, tels qu'ils sont pr�sent�s dans le mod�le logique �labor� par l'�quipe charg�e de l'�valuation aux fins de l'�valuation (annexe A,; voir �galement la figure 1) :
Les activit�s figurant dans la ligne m�diane de la figure 1 devraient mener aux r�sultats indiqu�s dans le mod�le logique �labor� par l'�quipe charg�e de l'�valuation :
Les r�sultats susmentionn�s devraient donner lieu � des pr�sentations au Conseil du Tr�sor de haute qualit�. Celles-ci devraient quant � elles contribuer, en d�finitive, � la mise en œuvre efficace des programmes par les organisations f�d�rales qui permettent d'atteindre les r�sultats des politiques souhait�s par le gouvernement de la mani�re la plus efficace tout en respectant les obligations du gouvernement en mati�re de transparence, de responsabilisation et de prudence.
Le tableau 2 pr�sente les enjeux de l'�valuation et les questions d�coulant du mod�le logique �labor� par l'�quipe charg�e de l'�valuation. La matrice d'�valuation d�taill�e qui pr�cise les indicateurs et les sources de donn�es utilis�es pour r�pondre aux questions d'�valuation se trouvent � l'annexe B.
Enjeu de l'�valuation | Questions de l'�valuation |
---|---|
Pertinence |
|
Efficacit� |
� court terme
|
�conomie |
|
Le cadre d'�valuation utilise une multitude de sources de donn�es probantes et de m�thodes de recherche compl�mentaires afin d'assurer la fiabilit� et la validit� des donn�es. Les m�thodes de recherche suivantes ont �t� utilis�es :
Chacune de ces m�thodes est d�crite ci-apr�s de mani�re plus d�taill�e.
Examen des documents. Trois principaux types de documents ont �t� examin�s pendant l'�valuation :
Pour la liste compl�te des documents, veuillez consulter l'annexe C. Il est important de noter que l'�valuation n'a pas examin� ni �valu� les pr�sentations au Conseil du Tr�sor et les pr�cis du point de vue de la qualit�.
Entrevues. Vingt-six entrevues ont �t� men�es (tableau 3 et annexe D). Les personnes interview�es �taient notamment :
Toutes les entrevues ont �t� men�es par t�l�phone. Les personnes interview�es ont re�u un guide d'entrevue (voir l'annexe E) avant la tenue des entrevues.
Sondage. Un sondage sur Internet a �t� fait aupr�s des analystes de programme et des analystes des CE et aupr�s de repr�sentants d'organisations f�d�rales qui avaient soumis une pr�sentation au Conseil du Tr�sor au cours des cinq derni�res ann�es. En tout, 547 personnes ont �t� invit�es � remplir le questionnaire; nous avons re�u 220 questionnaires utilisables, soit un taux global de r�ponse de 40 % (voir le Tableau 4). 19
Groupe participant au sondage | Nombre total de questionnaires transmis | Questionnaires re�us | Questionnaires �limin�s | Nombre total de questionnaires conserv�s | Taux de r�ponse | Intervalle de confiance |
---|---|---|---|---|---|---|
Total | 547 | 225 | 5 | 220 | 40,2% | |
Analystes de programme | 135 | 60 | 0 | 60 | 44,4% | 95% � 9,5% |
Analystes de CE | 181 | 66 | 0 | 66 | 36,5% | 95% � 9,6% |
Organisations f�d�rales | 231 | 99 | 5 20 | 94 | 40,7% | 95% � 7,8% |
Tous les analystes de programme du Secr�tariat ont �t� invit�s � participer au sondage. On leur a �galement demand� de fournir les coordonn�es des personnes-ressources pour tous les analystes des CE qu'ils avaient consult�s afin d'obtenir des conseils au sujet des pr�sentations au Conseil du Tr�sor au cours des cinq derni�res ann�es. En outre, on a demand� aux analystes de programme de fournir les coordonn�es des personnes-ressources dans les organisations f�d�rales (y compris le Secr�tariat) qui ont soumis une pr�sentation au cours de la derni�re ann�e. Les organisations f�d�rales ont �t� invit�es � transmettre le sondage aux autres employ�s au sein de leur organisation qui avaient particip� au processus d'examen des pr�sentations au Conseil du Tr�sor.
Les r�sultats du sondage sont pr�sent�s � l'annexe G.
S�ance de travail avec les SMA. Une s�ance d'information de deux heures a �t� men�e afin de recueillir des donn�es qualitatives sur la pertinence, l'efficacit� et l'�conomie du processus des pr�sentations au Conseil du Tr�sor. Les secr�taires adjoints du Secr�tariat et certains SMA responsables de la planification minist�rielle et/ou strat�gique de m�me que des dirigeants principaux des finances (DPF) des organisations f�d�rales ont �t� invit�s � prendre part. Les sujets devant �tre discut�s pendant la s�ance (voir l'annexe F) ont �t� transmis � l'avance aux participants.
Donn�es administratives, financi�res et statistiques. Des donn�es administratives, financi�res et statistiques ont �t� recueillies afin d'�valuer l'efficacit� et l'efficience du processus des pr�sentations. L'�quipe charg�e de l'�valuation a travaill� en collaboration avec le Centre des pr�sentations au Conseil du Tr�sor en vue d'examiner les donn�es concernant les pr�sentations au Conseil du Tr�sor et de mieux comprendre le syst�me de suivi des pr�sentations (SSP). L'�quipe a �galement examin� les donn�es provenant de la base de donn�es du Cadre de responsabilisation en gestion (CRG).
�tablissement des co�ts. L'�valuation du volet �conomie n�cessite une analyse des co�ts engag�s au cours du processus des pr�sentations. L'�tablissement des co�ts a �t� entrepris; toutefois, �tant donn� que les co�ts directs li�s aux pr�sentations au Conseil du Tr�sor ne font pas l'objet d'un suivi distinct, seule une approximation des efforts d�ploy�s par certains participants au processus des pr�sentations �tait disponible. Par cons�quent, l'alin�a 6(c)(i), dans la rubrique Ressources affect�es au processus des pr�sentations, n'�tablit pas le co�t estimatif du processus.
Pratique connexe � l'�chelle internationale : L'�quipe charg�e de l'�valuation a men� un examen limit� des mod�les de processus des pr�sentations utilis�s dans d'autres administrations internationales21 . Compte tenu de la nature superficielle de cet examen, l'�quipe charg�e de l'�valuation ne pouvait pas tirer de conclusions sur le caract�re appropri� des autres mod�les en comparaison avec le contexte canadien. Les conclusions qui reposent sur cet examen ne sont donc pas pr�sent�es dans le pr�sent rapport. Cet examen a n�anmoins permis de faire ressortir des renseignements int�ressants. Par exemple, l'examen a r�v�l� que le r�le jou� par les secr�taires adjoints du Secr�tariat, � savoir soumettre une pr�sentation d'une organisation f�d�rale au Conseil du Tr�sor, peut �tre unique � l'�chelle internationale. Comme c'est le cas dans le mod�le f�d�ral canadien, les �quivalents du Secr�tariat dans d'autres administrations sont responsables des fonctions logistiques et techniques pour les sessions du Cabinet, de la planification strat�gique et de la planification du travail, de la prestation de conseils strat�giques, des fonctions juridiques, de certaines fonctions de surveillance et de leurs propres fonctions de gestion interne22 . Ils examinent soigneusement les documents pr�sent�s au Cabinet et s'assurent que les consid�rations juridiques et strat�giques ont �t� prises en compte dans les pr�sentations structur�es. Dans six des dix pays de l'Organisation de coop�ration et de d�veloppement �conomiques (OCDE)23 qui ont particip� au sondage, l'�quivalent du Secr�tariat pr�pare une recommandation sur la fa�on dont la pr�sentation devrait �tre �tudi�e dans une r�union du Cabinet. Dans ces administrations, toutefois, c'est le sous-ministre de l'organisation soumettant la pr�sentation, plut�t que l'�quivalent d'un secr�taire adjoint du Secr�tariat, qui soumet la pr�sentation lors d'une r�union du Cabinet. Les �quivalents des secr�taires adjoints peuvent donc porter leur attention sur les pr�sentations qui sont plus strat�giques ou de nature d�licate et pour lesquelles leur recommandation va � l'encontre de celle de l'organisation qui soumet la pr�sentation.
Renseignements suppl�mentaires. Une fois que les donn�es ont �t� recueillies et analys�es, nous avons relev� des lacunes au niveau de l'information dans quelques domaines cl�s. Pour combler ces lacunes, les m�thodologies suivantes ont �t� utilis�es :
�ch�ancier. Une �lection f�d�rale a �t� d�clench�e peu apr�s le lancement de l'�valuation. Peu de temps apr�s l'�lection, le Parlement a �t� prorog�. Ces �v�nements ont retard� l'approbation de la tenue d'une recherche sur l'opinion publique pour l'�valuation, limitant ainsi le temps disponible pour effectuer la recherche. Une autre cons�quence de l'�lection et de la prorogation subs�quente a �t� que l'�quipe charg�e de l'�valuation n'a pu rencontrer en entrevue les ministres du Conseil du Tr�sor concernant l'appui qu'ils ont obtenu dans le cadre du processus des pr�sentations au Conseil du Tr�sor.
Mod�le logique. Bien que l'�quipe charg�e de l'�valuation estime que le r�sultat final propos� du mod�le logique qu'elle a �labor� aux fins de l'�valuation est une description valide de l'objet du processus des pr�sentations au Conseil du Tr�sor et, par cons�quent, un fondement valide pour l'�valuation, il a �t� impossible de valider le r�sultat final aupr�s d'un �ventail repr�sentatif d'intervenants.
Examen de donn�es sur la mesure du rendement. Des donn�es sur le rendement n'ont pas �t� recueillies sur tous les aspects du processus des pr�sentations au Conseil du Tr�sor. Par exemple, des donn�es ne sont pas recueillies sur la mesure dans laquelle les pr�sentations au Conseil du Tr�sor soumises officiellement par les organisations f�d�rales sont effectivement n�cessaires, ou sont conformes aux politiques et aux processus, et sur la mesure dans laquelle les d�cisions refl�tent les recommandations contenues dans le pr�cis. En l'absence de ces renseignements, l'�quipe charg�e de l'�valuation n'a pas �t� en mesure d'�valuer la qualit� des pr�sentations et des pr�cis. L'�valuation reposait donc plus massivement sur les donn�es du sondage et des entrevues pour �tablir l'efficacit� du processus.
Donn�es administratives. Des donn�es administratives restreintes existaient au sujet du processus des pr�sentations et de ses r�sultats. De plus, tel qu'il est indiqu� dans la V�rification des cong�s et des heures suppl�mentaires du Secr�tariat du Conseil du Tr�sor du Canada (2008)24 , certaines donn�es sur les heures suppl�mentaires ne sont pas fiables, ce qui limite la mesure dans laquelle l'�quipe charg�e de l'�valuation pouvait utiliser ces donn�es pour �valuer le nombre (et les co�ts connexes) d'heures suppl�mentaires indiqu�es par les analystes de programme relativement aux pr�sentations au Conseil du Tr�sor. De plus, d'autres donn�es administratives comme le nombre de jours entre la d�cision du Conseil du Tr�sor et la transmission de la lettre de d�cision ont fournis d'autres �l�ments probants.
Sondages et entrevues. �tant donn� la nature tr�s variable des pr�sentations au Conseil du Tr�sor, il va de soi que l'exp�rience du processus des pr�sentations diff�rerait consid�rablement d'une pr�sentation � une autre. Un plus grand nombre d'entrevues auraient fourni de meilleures donn�es sur l'incidence des variations dans la longueur, la port�e, la valeur et la complexit� d'une pr�sentation. La m�thodologie d'�valuation visait � combler cette limitation en invitant les employ�s de toutes les organisations f�d�rales � participer � un sondage sur le Web. Les r�sultats du sondage ont �t� contre-valid�s avec les r�ponses aux entrevues.
M�thode d'�tablissement des co�ts. Les donn�es sur les co�ts de soutien � l'�tablissement complet et exact des co�ts de la participation du Secr�tariat au processus des pr�sentations au Conseil du Tr�sor n'�taient pas disponibles.
Approche � guichet unique de la prestation de services. Comme le Secr�tariat a recours � une approche � guichet unique dans laquelle les analystes de programme et leurs directeurs ou directeurs ex�cutifs constituent le point de liaison avec les repr�sentants des organisations f�d�rales en ce qui concerne les pr�sentations, l'interaction entre les analystes des CE et les repr�sentants des organisations f�d�rales est extr�mement limit�e. Par cons�quent, malgr� le fait que les analystes des CE apportent une contribution et jouent un r�le clair au cours du processus des pr�sentations aux �tapes pr�c�dant la pr�sentation et de l'�bauche, les repr�sentants des organisations f�d�rales ne sont peut-�tre pas tout � fait conscients de la port�e de ce r�le. Cette situation a pu faire en sorte que l'�valuation soit centr�e dans une plus grande mesure sur les analystes de programme.
Bien que la m�thodologie d'�valuation comporte certaines limitations, de nombreux �l�ments probants ont �t� utilis�s pour tirer des conclusions au sujet du processus des pr�sentations au Conseil du Tr�sor, ce qui renforce la fiabilit� et la validit� des r�sultats de l'�valuation. Malgr� les limitations, la m�thodologie satisfait aux exigences de la Politique sur l'�valuation du Conseil du Tr�sor et des normes connexes.
Est-ce que le processus des pr�sentations au Conseil du Tr�sor r�pond � un besoin manifeste et convient au gouvernement f�d�ral?
Le processus des pr�sentations au Conseil du Tr�sor s'harmonise bien avec le r�sultat strat�gique du Secr�tariat, c'est-�-dire que � le gouvernement est bien g�r� et responsable, et des ressources sont attribu�es pour atteindre des r�sultats �25 . Ce r�sultat strat�gique est coh�rent avec les responsabilit�s des ministres du Conseil du Tr�sor telles qu'elles sont �nonc�es dans la LGFP, et exprime par cons�quent le r�le du Secr�tariat dans la prestation de conseils et de recommandations aux ministres du Conseil du Tr�sor, par l'entremise du processus des pr�sentations au Conseil du Tr�sor. La n�cessit� d'un processus des pr�sentations au Conseil du Tr�sor pour appuyer les ministres est particuli�rement pertinente, compte tenu de l'objectif r�cent vers les d�penses responsables et le renouvellement du syst�me de gestion des d�penses qui inclut l'examen strat�gique des d�penses de programmes directes de tous les minist�res et organismes du gouvernement du Canada en vue de r�affecter les fonds de programmes peu prioritaires et peu performants � de plus grandes priorit�s.
Selon le Guide :
L'am�lioration de la qualit� des renseignements et la responsabilit� � l'�gard des r�sultats constituent les �l�ments cl�s de la nouvelle approche de gestion pangouvernementale des d�penses. Cette approche soutient la gestion des r�sultats en �tablissant clairement les responsabilit�s des minist�res afin que soient mieux d�finis les r�sultats pr�vus des programmes existants et des nouveaux programmes. Elle appuie le processus d�cisionnel ax� sur les r�sultats en veillant � ce que tous les nouveaux programmes soient bien et enti�rement int�gr�s aux programmes existants, gr�ce � un examen de l'ensemble des d�penses, afin d'assurer une utilisation efficiente, efficace et optimale des fonds. Finalement, elle soutient les rapports � l'�gard de r�sultats en am�liorant la qualit� des rapports soumis au Parlement par les minist�res et pour l'ensemble du gouvernement26.
Cette citation d�crit le � besoin manifeste � que le processus des pr�sentations au Conseil du Tr�sor vise � combler. Essentiellement, pour assurer la saine gestion des programmes publics, le gouvernement doit avoir des r�gles, des pratiques et des processus qui :
Dans le cadre de l'�valuation de la pertinence, la principale question de l'�valuation est de savoir si le processus des pr�sentations au Conseil du Tr�sor peut satisfaire ou non � ces exigences. La question � savoir si le processus satisfait r�ellement � ces exigences est trait�e dans l'�valuation de l'efficacit�. La question de savoir si et dans quelle mesure les autres processus ou m�canismes permettraient de satisfaire � ces exigences ne rel�ve pas de cette �valuation.
L'examen des documents effectu� dans le cadre de la pr�sente �valuation ainsi que les entrevues effectu�es m�nent � la conclusion que le processus des pr�sentations au Conseil du Tr�sor r�pond aux � besoins manifestes � du gouvernement relativement � la saine gestion publique. Tel qu'il a �t� susmentionn�, le processus des pr�sentations vise � s'assurer que les normes minimales sont respect�es sur :
[…] la mani�re dont l'organisation f�d�rale m�nera � bien l'initiative strat�gique, sur les raisons pour lesquelles la m�thode de mise en œuvre propos�e est la meilleure dans les circonstances, sur la mani�re dont le projet contribuera � des objectifs pangouvernementaux comme la responsabilisation, la transparence et l'interop�rabilit� de l'information, sur les r�sultats attendus et les produits pr�vus, en conformit� avec la Structure de gestion, des ressources et des r�sultats (SGRR) de l'organisation, de m�me que sur les modalit�s de surveillance et d'�valuation au moyen desquelles cette derni�re s'assurera que le programme permet d'atteindre les objectifs strat�giques vis�s, ce qui comprend des rapports d'�tape sur les r�sultats et les gains d'efficience pr�vus ainsi que sur les �ch�anciers et les co�ts anticip�s27.
D'apr�s les r�sultats des entrevues, les perceptions g�n�rales au sujet de l'objectif du processus des pr�sentations �taient habituellement en accord avec cette description officielle tir�e du Guide.
La description officielle du processus des pr�sentations au Conseil du Tr�sor est bien harmonis�e avec les besoins du gouvernement en vue d'une saine gestion publique.
Dans quelle mesure le processus des pr�sentations au Conseil du Tr�sor a-t-il produit les r�sultats escompt�s?
Id�alement, la pr�sente �valuation permettrait d'analyser l'efficacit� du processus des pr�sentations au Conseil du Tr�sor par rapport � son incidence sur le r�sultat final du mod�le logique �labor� par l'�quipe charg�e de l'�valuation � des fins d'�valuation, c'est-�-dire, � la mise en œuvre du programme permet d'atteindre les objectifs strat�giques d�finis par le Cabinet de la fa�on la plus �conomique possible et de remplir les obligations du gouvernement en mati�re de transparence, de responsabilisation et de prudence �. Toutefois, il y aurait des probl�mes de m�thodologie et de collecte de donn�es lorsqu'on essaierait de lier directement le processus des pr�sentations au Conseil du Tr�sor � ce r�sultat final, et ces probl�mes ne pourraient �tre r�gl�s en respectant les contraintes de cette �valuation au chapitre de la port�e, de l'�ch�ancier et des ressources. La pr�sente �valuation porte sur l'efficacit� du processus des pr�sentations au Conseil du Tr�sor relativement aux r�sultats imm�diats et interm�diaires pr�cis�s dans le mod�le logique �labor� par l'�quipe charg�e de l'�valuation. Si l'�valuation conclut que le processus des pr�sentations au Conseil du Tr�sor contribue efficacement et grandement � l'atteinte de ces objectifs, il serait raisonnable de conclure que le processus des pr�sentations apporte �galement une contribution importante au r�sultat final.
Par cons�quent, l'�valuation a port� sur les questions suivantes :
La majorit� des participants au sondage dans les trois cat�gories (83,3 % des analystes de programme, 76,9 % des analystes des CE et 83,0 % des repr�sentants d'organisations f�d�rales) croyaient qu'ils comprenaient tr�s bien le processus des pr�sentations au Conseil du Tr�sor. Il n'y avait aucune corr�lation entre la dur�e de la p�riode en poste d'un r�pondant et sa perception de sa compr�hension du processus.
Les r�pondants au sondage ont �valu� la compr�hension par leurs coll�gues du processus des pr�sentations au Conseil du Tr�sor moins favorablement qu'ils ont �valu� la leur (tableau 5). Par exemple, 83,0 % des repr�sentants des organisations f�d�rales croyaient qu'ils comprenaient tr�s bien le processus, tandis que moins de 50,0 % des analystes de programme croyaient que c'�tait vrai. Il y avait une divergence semblable d'opinions entre les analystes de programme et des CE au sein du Secr�tariat. Chaque groupe de personnes interview�es a indiqu� qu'il fallait plus de formation pour l'autre groupe.
En accord - % | Analystes de programme | Analystes de CE | R�pondants d'organisations f�d�rales |
---|---|---|---|
Je comprends tr�s bien le processus des pr�sentations au Conseil du Tr�sor. | 83,3 n=60 |
s.o. | s.o. |
Je comprends tr�s bien les �l�ments des pr�sentations au Conseil du Tr�sor, les politiques et le processus connexes. | s.o. | 76,9 n=65 |
83,0 n=94 |
Les repr�sentants des organisations f�d�rales avec lesquels je travaille ont d�montr�, au fil des ans, qu'ils comprennent mieux les �l�ments des pr�sentations au Conseil du Tr�sor, les politiques et le processus connexes. | 48,3 n=58 |
s.o. | s.o. |
Les analystes de programme avec lesquels je travaille ont d�montr�, au fil des ans, qu'ils comprennent mieux les �l�ments des pr�sentations au Conseil du Tr�sor, les politiques et le processus connexes. | s.o. | 50,0 n=62 |
s.o. |
Nonobstant ce qui pr�c�de, il convient de noter que parmi les 12 entrevues men�es avec des organisations f�d�rales, les 4 organisations f�d�rales pr�sentant un taux de r�ponse �lev� croyaient que leurs analystes comprenaient tr�s bien le processus des pr�sentations au Conseil du Tr�sor. Les r�sultats �taient mitig�s chez les organisations f�d�rales pr�sentant un taux de r�ponse mod�r� et faible qui ont �t� interview�s. Elles ont indiqu� que le degr� de compr�hension pouvait varier selon l'analyste qui leur �tait affect�.
Les donn�es sur les RH et les r�sultats du sondage ont montr� qu'environ les deux tiers des analystes de programme �taient en poste depuis deux ans ou moins, ce qui peut expliquer, du moins en partie, les perceptions externes de la connaissance relativement faible du processus des pr�sentations par les analystes de programme.
Formation. Pour �valuer les outils, le soutien et les services offerts par le Secr�tariat, l'�quipe charg�e de l'�valuation a examin� les documents sur les � camps de formation � � l'intention des analystes de programme et ses directives sur les pr�sentations au Conseil du Tr�sor, soit le Guide pour la pr�paration des pr�sentations au Conseil du Tr�sor. De plus, l'�quipe charg�e de l'�valuation a demand� si les cours sur le processus des pr�sentations au Conseil du Tr�sor provenaient de l'�cole de la fonction publique du Canada.
Le Secr�tariat offre des camps de formation aux secteurs des programmes et ces camps ont obtenu des notes positives dans l'ensemble. Ils sont jug�s utiles puisqu'ils offrent un aper�u g�n�ral de ce que les analystes des programmes devraient savoir. Toutefois, dans les formulaires de commentaires remplis apr�s les camps de formation28 et lors des entrevues, les analystes du Secr�tariat ont indiqu� que les camps de formation ne sont pas offerts assez souvent et que leur dur�e (deux jours) ne permet pas une analyse suffisante du processus des pr�sentations au Conseil du Tr�sor. Comme l'a indiqu� un participant � un camp de formation, � nous pourrions avoir davantage de formation pratique �.
Les participants � l'�valuation ont �galement indiqu� que :
Relations entre les analystes du Secr�tariat et les organisations f�d�rales. Les r�sultats du sondage ont montr� que des efforts sont d�ploy�s en vue de favoriser de bonnes relations de travail entre les analystes de programme et les organisations f�d�rales. Presque tous les analystes de programme qui ont r�pondu au sondage (91,6 %) ont d�clar� qu'ils communiquent r�guli�rement avec les organisations f�d�rales peu importe si une pr�sentation est actuellement en voie d'�laboration ou de traitement. Tous les analystes de programme interview�s ont mentionn� qu'ils ont des relations productives et positives avec les organisations f�d�rales. Toutefois, il est important de souligner que lorsqu'on leur demande comment ils caract�riseraient leurs rapports avec des employ�s dans les organisations f�d�rales, les analystes du Secr�tariat n'ont pas mentionn� les trois r�les d�finis dans le programme de changement : catalyseur, agent de remise en question et champion.
Pour leur part, les organisations f�d�rales ont indiqu� que leurs rapports avec les analystes de programme sont g�n�ralement bons ou qu'ils se sont am�lior�s. Presque toutes les organisations f�d�rales ayant r�pondu ont indiqu� qu'ils savent qui consulter au sein du Secr�tariat au sujet de leurs pr�sentations.
Pertinence29 des pr�sentations au Conseil du Tr�sor mises de l'avant. Les analystes du Secr�tariat ont un r�le � jouer � l'�tape pr�c�dant la pr�sentation, lorsque les organisations f�d�rales examinent la possibilit� de soumettre une pr�sentation. D'entr�e de jeu, les organisations f�d�rales voudront peut-�tre obtenir des commentaires rapidement pour confirmer l'orientation de leur pr�sentation �ventuelle ou pour confirmer qu'une pr�sentation est effectivement n�cessaire. D'apr�s les entrevues, 58,0 % des organisations f�d�rales cherchent � obtenir de l'aide pr�c�dant la pr�sentation, en particulier lorsque la pr�sentation est complexe ou per�ue comme pr�sentant un risque �lev�30 . Les conseils offerts par le Secr�tariat � l'�tape pr�c�dant la pr�sentation visent notamment � aider les organisations f�d�rales � prendre des d�cisions �clair�es, � savoir s'il faut soumettre ou non une pr�sentation. On suppose qu'en l'absence de tels conseils, les organisations f�d�rales soumettraient un plus grand nombre de pr�sentations inutiles qui repr�senteraient un fardeau pour le Secr�tariat et le Conseil du Tr�sor, r�duisant ainsi l'efficacit� du processus des pr�sentations. Par cons�quent, la pertinence des pr�sentations a �t� jug�e comme un indicateur de l'�-propos et de la qualit� des services du Secr�tariat � l'�tape pr�c�dant la pr�sentation31.
On a demand� aux analystes du Secr�tariat qui ont r�pondu au sondage de se prononcer sur la pertinence des pr�sentations (tableau 6 32)33. Environ 40 % des analystes de programme ayant r�pondu au sondage ont indiqu� qu'ils ont re�u des �bauches de pr�sentation � l'�tape pr�c�dant la pr�sentation (� titre d'indication pr�liminaire) pour des initiatives qui, dans les faits, ne n�cessitaient pas de pr�sentation. Le point de vue des analystes des CE �tait semblable.
Le Secr�tariat a t il �t� consult� au pr�alable? | Analystes des CE | Analystes de programme |
---|---|---|
n= taille de l'�chantillon | n=29 | n=24 |
Oui | 44,8 | 62,5 |
Non | 10.3 | 25.0 |
Ne sais pas | 44,8 | 12,5 |
Des �bauches ont-elles �t� soumises? | Analystes des CE | Analystes de programme |
---|---|---|
n= taille de l'�chantillon | n=65 | n=58 |
Oui | 10,8 | 19,0 |
Non | 36.9 | 55.2 |
Ne sais pas | 52,3 | 25,9 |
On a �galement demand� aux analystes du Secr�tariat la fr�quence � laquelle les organisations f�d�rales soumettent des �bauches de pr�sentation aux fins d'analyse formelle (et non pas simplement pour demander des commentaires informels au sujet d'une version pr�liminaire). � cette �tape-ci, un nombre beaucoup moins �lev� d'analystes (19,0 % des analystes de programme et 10,8 % des analystes des CE) croyaient que des �bauches inappropri�es �taient soumises. La diminution du nombre de pr�sentations inutiles entre l'�tape � laquelle le Secr�tariat offre des directives pr�liminaires et l'�tape � laquelle une pr�sentation est officiellement soumise sugg�re que le Secr�tariat a une incidence positive sur la r�duction du nombre de pr�sentations non pertinentes.
Pertinence, uniformit�, utilit� et temps opportun des conseils du Secr�tariat. Les personnes interview�es ont indiqu� des facteurs qui, selon elles, avaient une influence positive ou n�gative sur l'uniformit�, la pertinence et le temps opportun des conseils offerts par le Secr�tariat aux organisations f�d�rales pendant le processus des pr�sentations.
Les facteurs ayant, de l'avis des personnes interview�es, une influence positive �taient les suivants :
Les facteurs ayant, de l'avis des personnes interview�es, une influence n�gative �taient les suivants :
On a demand� aux r�pondants au sondage si le processus d'examen des pr�sentations permet de s'assurer que les pr�sentations au Conseil du Tr�sor sont conformes aux autorisations et aux politiques du gouvernement. Une grande majorit� de r�pondants de chaque groupe ont convenu que c'�tait le cas (tableau 7).
Toutefois, lorsqu'on a demand� aux r�pondants au sondage si les services fournis par les analystes permettent aux organisations f�d�rales de pr�parer des �bauches de pr�sentations qui se conforment aux autorisations, aux politiques et aux orientations du Conseil du Tr�sor, des points de vue divergents ont �t� exprim�s. Tandis que les repr�sentants des organisations f�d�rales et les analystes de programme qui ont r�pondu pr�sentaient un pourcentage d'accord tr�s similaire comme l'indique leur r�ponse � la question mentionn�e pr�c�demment et illustr�e dans le tableau 7, seulement 49,2 % des analystes des CE �taient d'accord. Cette divergence d�coule peut-�tre du fait que les analystes de programme agissent comme point de contact unique des organisations f�d�rales, ce qui fait que les analystes des CE ne sont pas toujours consult�s � l'�tape pr�c�dant la pr�sentation.
Conseils et directives du Secr�tariat aux organisations f�d�rales. Les r�sultats du sondage (tableau 8) r�v�lent que la majorit� des r�pondants des organisations f�d�rales convenaient que les analystes du Secr�tariat fournissaient des conseils coh�rents, pr�cis, utiles et en temps opportuns. En ce qui concerne ceux qui �taient en d�saccord, ce sont les �l�ments de coh�rence et le caract�re opportun des conseils qui pr�sentaient les niveaux d'accord les moins �lev�s tant chez les repr�sentants des organisations f�d�rales que chez les analystes de programme. Plus pr�cis�ment :
Il importe de noter que les enjeux relatifs au caract�re opportun et � la coh�rence des conseils sont reconnus � l'interne par le Secr�tariat, et non seulement par les organisations f�d�rales.
Les consultations tenues avec les cadres sup�rieurs ont soulign� l'utilit� du travail effectu� par le Secr�tariat avec les organisations f�d�rales � l'�tape pr�c�dant la pr�sentation. Toutefois, on a relev� les aspects suivants � am�liorer :
D�lai suffisant pour transmettre des commentaires au sujet des pr�sentations. Le temps requis pour terminer le processus d'examen des pr�sentations peut varier consid�rablement selon les caract�ristiques des pr�sentations. Le Guide conseille aux organisations f�d�rales de pr�voir au moins six semaines34 pour le processus des pr�sentations, et il indique qu'il n'est pas inhabituel que le processus dure plus de six semaines. Les r�sultats du sondage (tableau 9) indiquent que le processus prend habituellement entre huit et dix semaines, ce qui semble indiquer que le Guide �tablit des attentes irr�alistes qui pourraient causer la frustration pour un employ� qui utilise pour la premi�re fois le processus35.
On a demand� aux analystes du Secr�tariat s'ils avaient suffisamment de temps pour examiner les �bauches de pr�sentations de mani�re ad�quate. Un nombre important - qui ne repr�sentait toutefois pas la majorit� - d'analystes de programme et d'analystes des CE (42,5 % et 49,2 % respectivement) ont indiqu� qu'ils n'avaient pas suffisamment de temps.
Les participants � la s�ance de travail des SMA ont affirm� que le syst�me acc�l�r� utilis� par le Secr�tariat pour traiter de mani�re prioritaire certaines pr�sentations est un autre facteur ayant une incidence sur le temps dont disposent les analystes du Secr�tariat pour examiner les pr�sentations36 . Selon eux, ce facteur cause des retards incontr�lables pour les pr�sentations qui ne font pas l'objet d'un traitement acc�l�r�. Cependant, dans les discussions avec les cadres sup�rieurs du Secr�tariat, on a fait remarquer qu'il n'y a pas de syst�me officiel pour le traitement acc�l�r� des pr�sentations. N�anmoins, il est vrai que certaines pr�sentations peuvent �tre trait�es en priorit� en raison de situations urgentes qui exigent qu'elles � passent devant les autres �. Il est � la discr�tion du pr�sident du Conseil du Tr�sor de d�terminer si une pr�sentation doit �tre trait�e en priorit�; la d�cision est habituellement prise � la suite de n�gociations avec le ministre responsable de la pr�sentation. Des consultations entre les repr�sentants du Secr�tariat et les organisations f�d�rales responsables sur l'importance du facteur temps dans leurs propositions sont tenues r�guli�rement. Habituellement, les d�cisions concernant le traitement prioritaire ne sont pas transmises aux organisations f�d�rales dont les pr�sentations peuvent �tre d�plac�es.
Mesure selon laquelle les commentaires des analystes du Secr�tariat sont pris en compte dans les pr�sentations finales au Conseil du Tr�sor. La plupart des analystes du Secr�tariat ont indiqu� que leurs conseils sont pris en compte dans les pr�sentations finales qui sont soumises au Conseil du Tr�sor. Quelques-uns ont soulign� que si leurs conseils n'�taient pas pris en compte, ils peuvent recommander que des conditions soient impos�es dans la pr�sentation ou qu'une remarque soit ajout�e dans le pr�cis. Les r�sultats du sondage ont �t� semblables, soit 86,6 % des analystes de programme et 71,2 % des analystes des CE ayant r�pondu ont indiqu� que, selon eux, leurs conseils �taient pris en compte dans la pr�sentation finale.
Cette affirmation a �t� confirm�e par les repr�sentants des organisations f�d�rales qui ont indiqu� qu'ils int�grent tous ou presque tous les commentaires transmis par les analystes du Secr�tariat. Certains ont soulign� que s'ils ne sont pas d'accord avec des conseils, ils consultent davantage afin de r�soudre la question. Toutefois, une petite minorit� (18,0 %) des repr�sentants des organisations f�d�rales ont affirm� qu'ils int�grent les commentaires du Secr�tariat en raison des contraintes de temps et du pouvoir qu'ils per�oivent du Secr�tariat et non pas parce qu'ils �taient d'accord avec eux.
Mesure selon laquelle les d�cisions finales du Conseil du Tr�sor refl�tent les recommandations du Secr�tariat. Lorsque l'analyste de programme est d'avis que la pr�sentation est termin�e, il r�dige un pr�cis qui renferme des recommandations au Conseil du Tr�sor. Les recommandations font l'objet de discussions et d'une entente au Comit� de la strat�gie du Secr�tariat, qui est pr�sid� par le secr�taire avec la participation de secr�taires adjoints du Secr�tariat. Le secr�taire adjoint concern� pr�sente alors au Conseil du Tr�sor un expos� au sujet du pr�cis. Bien que le Secr�tariat n'ait aucun pouvoir sur les d�cisions du Conseil du Tr�sor, celles-ci refl�tent habituellement ses recommandations. Les donn�es du sondage effectu� aupr�s des analystes de programme semblent indiquer que les d�cisions du Conseil du Tr�sor sont conformes aux recommandations du Secr�tariat 82,2 % du temps.
Gestion de l'information. Lorsque le Conseil du Tr�sor prend une d�cision, le Secr�tariat enregistre la d�cision et la communique officiellement au sous-ministre de l'organisation responsable dans les 15 jours civils qui suivent. Bien que les analystes de programme ne soient pas tenus officiellement de le faire, ils informeront habituellement, par courtoisie, l'organisation f�d�rale de la d�cision du Conseil du Tr�sor et ce, de vive voix. Cette information est transmise d�s que possible, g�n�ralement le jour suivant la d�cision du Conseil du Tr�sor37 . Bien que la plupart des organisations f�d�rales n'aient pas relev� de probl�me du point de vue du moment choisi pour communiquer les d�cisions du Conseil du Tr�sor, il convient de noter que le tiers des repr�sentants des organisations f�d�rales ne croyaient pas que les d�cisions du Conseil du Tr�sor leur �taient communiqu�es en temps opportun.
Parmi les analystes de programme et les analystes des CE interview�s, bon nombre ont indiqu� qu'ils utilisent leur propre syst�me de classement pour les pr�sentations au Conseil du Tr�sor. La plupart d'entre eux conservent une copie papier de la d�cision pendant un certain temps. Par la suite, les documents sont archiv�s ou envoy�s au Centre des pr�sentations au Conseil du Tr�sor. Certains analystes ont mentionn� qu'ils utilisent le Syst�me de gestion des dossiers, des documents et de l'information (SGDDI)38 , mais la plupart des analystes de programme ont d�clar� que le syst�me est difficile � utiliser. Les cadres sup�rieurs ont fait observer qu'un d�p�t central pour l'information concernant les pr�sentations faciliterait �norm�ment leur travail.
Les entrevues et les r�sultats du sondage ont r�v�l� qu'il n'y a aucun syst�me officiel au Secr�tariat pour faire le suivi des conditions rattach�es aux pr�sentations au Conseil du Tr�sor.
Il faut souligner que le syst�me de suivi des pr�sentations (SSP) tenu par le Centre des pr�sentations au Conseil du Tr�sor produit l'ordre du jour des r�unions du Conseil du Tr�sor et indique si des conditions sont jointes ou non � une pr�sentation. Une personne interview�e a fait remarquer que chaque semaine, les analystes de programme demandent au Centre des pr�sentations au Conseil du Tr�sor des renseignements g�n�raux au sujet des pr�sentations au Conseil du Tr�sor, ce qui indique l'utilit� �ventuelle d'un d�p�t central d'information sur les pr�sentations au Conseil du Tr�sor. En outre, le syst�me pourrait servir � suivre la mise en œuvre des conditions.
Le Secr�tariat avait mis au point le Syst�me d'information sur la gestion des d�penses (SIGD) en partie pour produire en temps opportun une seule s�rie de donn�es financi�res et non financi�res compl�tes, uniformes et exactes et un processus de gestion des d�penses de bout en bout normalis� et automatis�. Cela devait permettre d'accro�tre la surveillance, le rep�rage et le suivi de l'information, ce qui permettrait d'appuyer l'am�lioration de l'analyse et de la prise de d�cisions. Il devait en r�sulter une gestion plus efficace du processus des cr�dits et des budgets du gouvernement39.
Lorsque le projet de renouvellement des syst�mes du Service du budget (RSSB) a �t� lanc� (deuxi�me �tape du SIGD), des fonctions ont �t� mises au point pour r�pondre aux besoins des secteurs des programmes concernant les pr�sentations au Conseil du Tr�sor, y compris le suivi des conditions. Toutefois, ces fonctions n'ont pas encore �t� mises en œuvre. Les secteurs des programmes maintiennent que ces fonctions ne r�pondaient pas � leurs besoins op�rationnels. Des entrevues subs�quentes ont laiss� supposer que cela peut �tre attribuable, en partie, au fait que les secteurs des programmes du Secr�tariat n'ont pas enti�rement analys� et mis en correspondance leurs propres processus op�rationnels.
Tel qu'il est indiqu� dans le mod�le logique �labor� par l'�quipe charg�e de l'�valuation, l'hypoth�se qui suit sous-tend la participation du Secr�tariat au processus des pr�sentations tel qu'il existe en ce moment : les outils de sensibilisation et de formation combin�s � la prestation de conseils judicieux aux organisations f�d�rales devraient contribuer � la qualit� des pr�sentations au Conseil du Tr�sor et leur qualit� devrait s'am�liorer de fa�on constante au fil du temps.
Changements globaux dans la qualit� des pr�sentations. On a demand� aux analystes de programme si la qualit� g�n�rale des pr�sentations au Conseil du Tr�sor avait chang� pendant qu'ils �taient en poste au Secr�tariat (tableau 10). Bien que la moiti� des r�pondants aient indiqu� que la qualit� n'avait pas chang�, un peu plus du tiers des analystes de programme (37,3 %) ont indiqu� que la qualit� des pr�sentations s'�tait am�lior�e, alors qu'environ un sur dix (11,9 %) a fait observer que leur qualit� s'�tait d�t�rior�e. Environ la moiti� des analystes de programme n'ont soulign� aucun changement important. Cependant, l'utilit� de ces donn�es est limit�e puisque la plupart des analystes du Secr�tariat qui ont pris part au sondage �taient en poste depuis tout au plus deux ans. De plus, il convient de noter que l'�valuation ne couvrait pas les pr�sentations au Conseil du Tr�sor ni les pr�cis connexes du point de vue de la qualit�.
Cote du Cadre de responsabilisation de gestion. Le Cadre de responsabilisation de gestion (CRG) s'articule autour de dix �l�ments cl�s qui �noncent les attentes du Conseil du Tr�sor envers les cadres sup�rieurs de la fonction publique en mati�re de saine gestion de la fonction publique40 . Dans le cadre de l'un de ces �l�ments cl�s, Politiques et programmes, le Secr�tariat �value la � qualit� de l'analyse dans les pr�sentations au Conseil du Tr�sor � en fonction des crit�res suivants :
Les cotes du CRG des organisations f�d�rales ont �t� analys�es pour les rondes IV et V du CRG. Les �valuations du CRG indiquent que la qualit� g�n�rale de l'analyse dans les pr�sentations au Conseil du Tr�sor s'est am�lior�e entre la ronde IV et la ronde V. Bien que le rendement se soit am�lior� par rapport aux �l�ments 1, 2 et 4 mentionn�s pr�c�demment, le rendement par rapport aux consultations en temps opportun avec le Secr�tariat a en fait diminu�, ce qui appuie les premi�res constatations � l'�gard de la pertinence du temps disponible pour la participation. Encore une fois, l'utilit� de ces donn�es est limit�e puisque seuls les r�sultats sur une p�riode de deux ans �taient disponibles au moment de la collecte de donn�es et que les crit�res d'�valuation ont �t� modifi�s l�g�rement pour la ronde V41.
Opinions des analystes du Secr�tariat au sujet de la qualit� des pr�sentations. Aux fins de la pr�sente �valuation, les analystes du Secr�tariat ont indiqu� les principaux crit�res, selon eux, d'une pr�sentation au Conseil du Tr�sor de haute qualit�. Ils ont mentionn� les crit�res suivants :
Comme le d�montre le tableau 11, bien que le point de vue exprim� ne soit pas celui de la majorit�, un nombre important d'analystes du Secr�tariat ont indiqu� que les pr�sentations ne respectaient pas ces crit�res. Cette constatation appuie des constatations ant�rieures concernant la divergence d'opinions relatives � la solide compr�hension qu'ont les analystes du Secr�tariat et les organisations f�d�rales du processus des pr�sentations (voir le sous-alin�a 6(b)(i)).
Cote moyenne (%) | Analystes de programme | Analystes des CE | R�pondants des organisations f�d�rales |
---|---|---|---|
n=taille de l'�chantillon | n=59 | n=56 | n=85 |
Il semble que les responsables ont termin� leurs consultations internes42. | 57,3 | 55,1 | 83,1 |
Les pr�sentations ont �t� soumises suffisamment � l'avance pour que les analystes du Secr�tariat puissent les examiner. | 57,5 | 50,8 | 83,0 |
Les responsables ont suivi le Guide pour la pr�paration de pr�sentations au Conseil du Tr�sor. | 56,7 | 62,7 | 83,7 |
Les risques et les strat�gies d'att�nuation des risques ont �t� d�termin�s. | 59,5 | 52,5 | 76,4 |
Les autorisations ad�quates ont �t� demand�es. | 60,2 | 61,9 | 90,3 |
Le niveau de justification �tait appropri�. | 54,7 | 55,9 | 89,8 |
La pr�sentation renfermait des renseignements exacts (p. ex., des tableaux financiers exacts). | 54,2 | 54,3 | 90,8 |
Les pr�sentations ont �t� r�dig�es de fa�on claire. | 51,4 | 60,6 | 88,3 |
Est-ce que le processus des pr�sentations au Conseil du Tr�sor utilise la quantit� minimale de ressources requises pour obtenir les r�sultats escompt�s?
Tel qu'il est mentionn� dans la section sur la port�e, cette �valuation �tait limit�e au processus actuel des pr�sentations utilis� pour soutenir les ministres du Conseil du Tr�sor, et ne couvrait pas ce processus en regard d'autres m�canismes permettant d'offrir ce soutien. Un examen limit� des pratiques internationales a �t� effectu� dans le cadre de l'�valuation. Toutefois, cet examen n'�tait pas assez approfondi pour proposer d'autres m�canismes que le Secr�tariat pourrait �tudier. La question de l'�conomie couvrait donc uniquement les ressources requises pour atteindre les r�sultats escompt�s dans le contexte du processus actuel. Une comparaison d'autres m�canismes ou processus et du co�t estimatif de ces processus n'a pas �t� faite.
Tel qu'il est indiqu� pr�c�demment dans le rapport, le co�t du processus des pr�sentations au Conseil du Tr�sor au sein du Secr�tariat n'a pu �tre calcul�. Cependant, le niveau r�pandu d'efforts et d'int�r�t � l'�gard des activit�s li�es aux pr�sentations �tablit clairement que le processus repr�sente l'une des fonctions cl�s du Secr�tariat. L'�valuation peut �tablir au moyen des donn�es probantes tir�es des entrevues que le processus des pr�sentations au Conseil du Tr�sor est consid�r� comme une fonction essentielle par les cadres sup�rieurs du Secr�tariat. Conform�ment � cette constatation, le niveau d'efforts consacr�s � cette fonction dans les secteurs des programmes et les centres d'expertise est important. Il y a environ 135 analystes de programme au sein du Secr�tariat qui agissent comme guichets uniques de prestation de conseils aupr�s des organisations f�d�rales et qui aident les ministres du Conseil du Tr�sor � prendre des d�cisions concernant les pr�sentations. Selon leurs r�ponses au sondage (60 r�ponses), les analystes de programmes consacrent en moyenne 73,0 % de leur temps � des activit�s li�es aux pr�sentations au Conseil du Tr�sor. Les analystes de programme, qui agissent comme guichet unique, consultent � leur tour des analystes des CE du Secr�tariat pour donner des conseils coordonn�s aux organisations f�d�rales et soutenir les conseils donn�s aux ministres du Conseil du Tr�sor. Quelque 181 analystes des CE du Secr�tariat ont �t� consult�s par des analystes de programme au cours des 5 derni�res ann�es; selon leurs r�ponses au sondage (66 r�ponses), les analystes des CE estiment qu'en moyenne 60,0 % de leur temps est consacr� � des pr�sentations au Conseil du Tr�sor43 . Une �tude distincte permettant d'�tablir le co�t total du processus des pr�sentations s'impose peut-�tre.
Le nombre d'analystes des �chelons sup�rieurs participant au processus des pr�sentations au Conseil du Tr�sor a diminu� au cours des derni�res ann�es. En 2004, 60,0 % des ES travaillant dans les secteurs des programmes occupaient des postes de ES-06 ou ES-07, comparativement � environ 50,0 % en 2008. Bien que la proportion de ES-01, ES-02 et ES-03 participant au processus est demeur�e relativement constante, la proportion de ES-04 et ES-05 a augment�, passant d'environ 32,0 % � environ 43,0 % pendant la m�me p�riode (figure 2). Il convient de noter que ces statistiques ne tiennent pas compte des efforts des cadres sup�rieurs tout au long du processus.
Figure 2 : Changement dans le nombre d'employ�s subalternes comparativement au nombre de cadres sup�rieurs
Temps consacr� par les analystes. Les analystes de programme indiquent qu'ils consacrent en moyenne 72,6 % de leur temps � des activit�s ayant trait aux pr�sentations au Conseil du Tr�sor. Comme l'indique le tableau 12 44 , ils consacrent relativement peu de temps aux conseils et aux consultations pr�c�dant les pr�sentations, ce qui corrobore les commentaires des cadres sup�rieurs indiquant que les communications interminist�rielles et au sein des minist�res ne sont pas ad�quates au d�but du processus des pr�sentations.
Selon les analystes des CE, ils consacrent en moyenne 60,3 % de leur temps � des activit�s ayant trait aux pr�sentations au Conseil du Tr�sor. Et une majorit� de ce temps est consacr�e � l'examen et aux consultations au sujet des pr�sentations. Toutefois, il est important de souligner que m�me si les analystes de programme sont charg�s d'examiner toute la pr�sentation, les analystes des CE examinent habituellement certaines sections seulement.
Un nombre important de r�pondants au sondage croient que le processus des pr�sentations est � inefficace � (tableau 1345).
Les facteurs suivants sont express�ment r�put�s avoir une incidence sur l'efficacit� du processus :
D'autres recherches sur les surcharges de travail seraient profitables, notamment parce qu'elles semblent survenir sur une base r�guli�re et cyclique qui s'harmonise avec le cycle des d�penses gouvernementales et le cycle de pr�sentation de rapports. En outre, il s'agit d'un probl�me sur lequel le Secr�tariat, en tant qu'organe administratif du Conseil du Tr�sor, peut exercer une certaine influence.
Les organisations f�d�rales fournissent des documents avec leurs pr�sentations au Conseil du Tr�sor qui permettent au Secr�tariat de mener des �valuations des risques. Les risques font l'objet de discussions pendant l'�laboration de la pr�sentation au Conseil du Tr�sor, mais les cotes sont �tablies une fois que les pr�sentations sont r�dig�es. Les cotes de risque sont pr�sent�es dans le pr�cis et peuvent avoir une incidence sur le temps accord� � la pr�sentation lors de la r�union du Conseil du Tr�sor.
Des analystes du Secr�tariat et des employ�s d'organisations f�d�rales ont souvent sugg�r� que le fait de traiter diff�remment les pr�sentations � faible risque r�duirait le niveau de ressources utilis�es par le processus des pr�sentations (tableau 14). En g�n�ral, ils font valoir que la cote de risque doit �tre �tablie plus t�t pendant le processus d'examen des pr�sentations et que le temps allou� � une pr�sentation et l'examen doivent correspondre au niveau de risque associ� � la pr�sentation. Actuellement, on accorde le m�me degr� d'attention � la plupart des pr�sentations pendant le processus d'examen des pr�sentations peu importe leur niveau de risque ou l'importance relative.
Les cadres sup�rieurs du Secr�tariat �taient sceptiques sur ce point, soutenant que les pr�sentations qui semblent pr�senter un risque faible au d�but du processus d'examen des pr�sentations sont parfois jug�es � risque �lev� � la fin du processus. Il peut en outre y avoir des risques qui inqui�tent les ministres du Conseil du Tr�sor et que le Secr�tariat peut conna�tre ou non. Ces risques peuvent se manifester seulement lorsqu'une pr�sentation en particulier est analys�e dans le contexte d'autres pr�sentations figurant � l'ordre du jour d'une r�union du Conseil du Tr�sor.
Une proportion �lev�e d'analystes (tant au Secr�tariat que dans les organisations f�d�rales) ont sugg�r� que l'�valuation des risques sert � r�duire l'utilisation des ressources (voir le tableau 14). Par ailleurs, les cadres sup�rieurs du Secr�tariat ont pr�cis� que l'�valuation des risques est utilis�e en vue de permettre aux ministres du Conseil du Tr�sor de consacrer plus de temps aux propositions pr�sentant un risque �lev� et non pour r�duire la charge de travail. R�sultat, il serait possible d'examiner davantage la fa�on dont l'�valuation des risques peut �tre utilis�e pour am�liorer l'efficacit� du processus.
Parmi les autres mesures propos�es en vue d'am�liorer l'efficacit� du processus actuel des pr�sentations lors des s�ances de travail et des entrevues men�es pour l'�valuation, mentionnons les suivantes :
En outre, les participants � l'�valuation proposent de relever le niveau des pouvoirs d�l�gu�s aux organisations f�d�rales comme moyen d'accro�tre l'efficacit� du processus. �tant donn� que cette suggestion exige des changements en profondeur du m�canisme utilis� pour soutenir les ministres du Conseil du Tr�sor, elle d�passe la port�e de la pr�sente �valuation. Il faut cependant souligner que le Secr�tariat, dans un cadre autre que celui de la pr�sente �valuation, m�ne un projet sur la � d�l�gation m�rit�e et fond�e sur les risques �, qui examinera les diverses approches et options pour relever le plafond des pouvoirs d�l�gu�s aux organisations f�d�rales.
Le processus actuel des pr�sentations au Conseil du Tr�sor est pertinent, semble �tre efficace et comporte des �l�ments positifs cl�s. Toutefois, il est possible d'am�liorer son efficacit� et son efficience, gr�ce � une combinaison de mesures et d'enqu�tes plus pouss�es.
�l�ments positifs
Points � am�liorer
Tel qu'il a �t� mentionn� ant�rieurement dans le rapport, l'�quipe charg�e de l'�valuation a �labor� un r�sultat final propos� aux fins de l'�valuation. Le fait de finaliser et de valider un mod�le logique comportant un r�sultat final clair constituerait une base solide � l'�gard des activit�s de mesure du rendement am�lior�es ainsi que d'�tudes et de recherches compl�mentaires.
Bien que les pr�sentations finales soumises au Conseil du Tr�sor soient jug�es de haute qualit�, les �l�ments probants sont mitig�s concernant la qualit� des pr�sentations soumises par les organisations f�d�rales au d�but du processus. Les cotes du CRG attribu�es aux pr�sentations au Conseil du Tr�sor se sont am�lior�es pendant la ronde V du CRG (� l'exception de la tenue de consultations en temps opportun avec le Secr�tariat). Toutefois, moins de 40,0 % des analystes de programme qui ont r�pondu au sondage �taient d'avis que la qualit� g�n�rale des �bauches de pr�sentation s'�tait am�lior�e. Un nombre important des analystes du Secr�tariat ayant particip� au sondage (plus de 40,0 % pour la plupart des facteurs47) ne croyaient pas que les �bauches des pr�sentations respectaient les normes minimales de qualit�.
Cette �valuation ne permettait pas de tirer des conclusions sur l'efficacit� du processus des pr�sentations compte tenu de l'absence de donn�es sur l'�tablissement des co�ts. Toutefois, les donn�es r�v�lent qu'environ 40,0 % des analystes du Secr�tariat croient que le processus est assez ou tr�s efficace. Parmi les repr�sentants des organisations f�d�rales, les r�sultats �taient tr�s similaires.
Une proportion de 48,3 % des analystes de programme qui ont r�pondu au sondage convenaient que les organisations f�d�rales comprenaient davantage, au fil des ans, les politiques et les processus relatifs aux pr�sentations au Conseil du Tr�sor. Pour ce qui est des outils de formation offerts par le Secr�tariat, les organisations f�d�rales croient que le Guide est utile. L'information relev�e lors des entrevues effectu�es et l'examen des documents sur les camps de formation pour les secteurs des programmes indiquent que ces camps de formation ne sont pas offerts assez souvent et que leur dur�e (deux jours) ne permet pas une analyse suffisante du processus des pr�sentations au Conseil du Tr�sor. La moiti� des analystes des CE qui ont r�pondu au sondage ont mentionn� que les analystes de programme en sont venus � bien comprendre le processus des pr�sentations au fil des ans.
Cette pratique, amplifi�e par le taux de roulement des analystes du Secr�tariat, repr�sente une lacune en ce qui a trait � la gestion des pr�sentations au Conseil du Tr�sor. Plus particuli�rement, la capacit� du Secr�tariat de faire le suivi de mani�re efficace et efficiente des changements dans la charge de travail, de mener une analyse th�matique de haut niveau, de pr�voir la demande future et d'avoir acc�s, au besoin, � de l'information archiv�e est entrav�e. Il y a �galement un risque accru de perte d'information. Bien que la protection de l'information repr�sente des d�fis en soi, l'am�lioration de la gestion de l'information concernant les pr�sentations au Conseil du Tr�sor permettrait d'am�liorer la surveillance et le suivi ainsi que le service offert aux minist�res clients.
Les points � am�liorer dans le processus des pr�sentations au Conseil du Tr�sor se rangent dans trois domaines :
Le Secr�tariat devrait finaliser le mod�le logique du processus des pr�sentations au Conseil du Tr�sor afin d'appuyer la mesure du rendement, la clart� de ses communications sur son r�sultat final et la tenue de nouvelles �tudes.
Comme le r�sultat final ne devrait pas exister de fa�on isol�e, le Secr�tariat devrait diriger, de concert avec des repr�sentants des organisations f�d�rales, l'am�lioration de son mod�le logique du processus des pr�sentations. Ce mod�le logique servirait de base :
Le Secr�tariat devrait �tudier de mani�re exhaustive les r�sultats du sondage sur les conseils donn�s par ses analystes aux organisations f�d�rales pendant le processus des pr�sentations, et y donner suite au besoin.
La majorit� des r�pondants des organisations f�d�rales convenaient que les conseils re�us des analystes du Secr�tariat sont coh�rents et donn�s en temps opportun. Toutefois, le nombre de r�pondants qui n'�taient pas d'accord est suffisant pour justifier d'autres travaux de la part du Secr�tariat afin de comprendre les facteurs qui g�nent la prestation opportune et coh�rente de conseils.
Le Secr�tariat devrait examiner de quelle fa�on les enjeux en ressources humaines, plus particuli�rement le taux de roulement chez les analystes de programme, affectent le processus des pr�sentations au Conseil du Tr�sor et la gestion du savoir.
Le taux de roulement des analystes de programme est vraisemblablement un facteur important qui sous-tend de nombreux probl�mes relev�s dans la pr�sente �valuation. Ainsi, il est raisonnable de pr�sumer que le taux de roulement contribue au degr� d'insatisfaction d�clar�e des organisations f�d�rales � l'�gard des services offerts par les analystes de programme48.
Au cours de l'�valuation, le Secr�tariat a men� des travaux afin de mieux comprendre les facteurs contribuant au taux de roulement; une recommandation � cet �gard n'est donc pas formul�e.
Outre les mesures que le Secr�tariat peut prendre pour faire face au taux de roulement des analystes de programme, il est n�anmoins raisonnable de s'attendre � ce qu'un important roulement des analystes de programme persiste dans un avenir pr�visible. Par cons�quent, en plus de chercher simplement � r�duire le taux de roulement, le Secr�tariat devrait explorer des fa�ons de r�duire son incidence n�gative sur le processus des pr�sentations au Conseil du Tr�sor. Tel qu'il est indiqu� ci-apr�s (recommandation 6), la mise en œuvre d'un syst�me efficace de gestion des connaissances et de l'information est un exemple d�montrant comment le Secr�tariat pourrait r�duire l'incidence n�gative du taux de roulement �lev�.
Le Secr�tariat devrait rendre compte des co�ts de la gestion du processus des pr�sentations - au moins pour le minist�re, sinon pour l'ensemble de l'administration publique.
En l'absence de donn�es compl�tes et fiables sur les co�ts, le Secr�tariat ne peut �valuer enti�rement la mesure dans laquelle ses propres ressources sont consacr�es ad�quatement et efficacement � g�rer le processus des pr�sentations.
Le Secr�tariat devrait r�viser et am�liorer au besoin ses activit�s de perfectionnement professionnel, de formation et de sensibilisation li�es au processus des pr�sentations au Conseil du Tr�sor.
Les pr�occupations des analystes de programme concernant la capacit� des organisations f�d�rales de produire des pr�sentations de haute qualit� ainsi que l'insatisfaction indiqu�e d'une minorit� d'organisations f�d�rales � l'�gard des conseils fournis d�montrent la n�cessit� pour le Secr�tariat d'examiner le perfectionnement professionnel qu'il offre � ses employ�s ainsi que les activit�s de formation et de sensibilisation sur le processus des pr�sentations qu'il offre aux organisations f�d�rales.
En cherchant � am�liorer ses activit�s de perfectionnement professionnel, de formation et de sensibilisation, le Secr�tariat devrait s'appuyer sur les trois premi�res recommandations susmentionn�es et sur les r�sultats pr�vus de leur mise en œuvre. Il est probable que le fait de finaliser un mod�le logique pour le processus des pr�sentations au Conseil du Tr�sor (recommandation 1), de mieux comprendre l'insatisfaction des organisations f�d�rales � l'�gard des services offerts par le Secr�tariat (recommandation 2) et de comprendre comment les enjeux relatifs aux ressources humaines ont une incidence sur le processus des pr�sentations au Conseil du Tr�sor (recommandation 3) aidera le Secr�tariat � comprendre comment am�liorer ses communications avec son propre personnel et avec les organisations f�d�rales au sujet du processus des pr�sentations.
Le Secr�tariat devrait explorer des options en vue d'une approche plus syst�matique � l'�gard de la gestion de l'information et des connaissances dans le cadre du processus des pr�sentations au Conseil du Tr�sor.
�tant donn� que le processus des pr�sentations a une structure conventionnelle et qu'il existe des similarit�s importantes entre certaines pr�sentations, la mise en œuvre d'un syst�me efficace de gestion des connaissances peut se traduire par d'importantes am�liorations en ce qui a trait � l'�conomie du processus des pr�sentations. Une approche syst�matique � l'�gard de la gestion des connaissances permettrait de cr�er une archive de la m�moire institutionnelle relativement aux pr�sentations au Conseil du Tr�sor. Cette mesure permettrait aux analystes du Secr�tariat d'avoir acc�s facilement aux le�ons apprises et aux pratiques exemplaires r�sultant du traitement des pr�sentations ant�rieures et de les utiliser.
La cr�ation d'une banque de m�moire institutionnelle facilement accessible au sujet du processus des pr�sentations aiderait �galement � contrer quelques-unes des r�percussions n�gatives du taux de roulement �lev� des analystes au Secr�tariat. La mise en place d'un syst�me efficace de gestion des connaissances et de l'information permettrait de r�duire la courbe d'apprentissage des nouveaux analystes et d'att�nuer les causes des plaintes des organisations f�d�rales � l'�gard des conseils � incoh�rents � du Secr�tariat.
Enfin, une approche syst�matique pour consigner et extraire l'information sur l'avancement des pr�sentations actuelles et propos�es faciliterait la gestion de la charge de travail relativement au processus des pr�sentations, contribuant ainsi � r�duire les � surcharges � de travail qui se produisent pendant les p�riodes de pointe pour la production de pr�sentations.
Le Secr�tariat devrait se rappeler de deux points s'il d�cide d'explorer des options en vue d'une approche syst�matique � l'�gard de la gestion des connaissances et de l'information.
Annexe A: Mod�le logique - version textuelle
Question d'�valuation | Noº ind. | Indicateurs | Groupe de r�flexion : Secr�taires adjoints | Entrevues : Analystes du SCT / Personnes-ressources internes (n=10) | Enrevues : Organisations f�d�rales (n=12) | Emtrevues : Intervenants externes ( n=5) | Sondange en ligne : Organisations f�d�rales | Sondage en ligne : Analystes du SCT | Sondage en ligne : Personnes-ressources du SCT | Analyse des donn�es | Examen des documents |
---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|
1.0 Quel besoin le processus des pr�sentations au CT comble-t-il? | 1.1 | Raison d'�tre du processus des pr�sentations au CT (articles 7-11 LGFP, RPP du SCT, Guide pour la pr�paration des pr�sentations au Conseil du Tr�sor) | Juridiques seulement | 1 | 1 | ||||||
1.2 | Harmonisation avec les exigences l�gislatives pertinentes | 1 | |||||||||
1.3 | Commentaires et justification des changements dans les documents devant �tre soumis au CT (p. ex., changements dans la d�l�gation des pouvoirs, changements dans le nombre de pr�sentations) | 1 | 1 | 1 | 1 | ||||||
1.4 | Pertinence de ce qui doit �tre pr�sent� (le SCT a atteint un �quilibre optimal, p. ex., concernant les diff�rents types de pr�sentation, les diff�rentes transactions) | 1 | 1 | 1 |
Question d'�valuation | Noº ind. | Indicateurs | Groupe de r�flexion : Secr�taires adjoints | Entrevues : Analystes du SCT / Personnes-ressources internes (n=10) | Enrevues : Organisations f�d�rales (n=12) | Emtrevues : Intervenants externes ( n=5) | Sondange en ligne : Organisations f�d�rales | Sondage en ligne : Analystes du SCT | Sondage en ligne : Personnes-ressources du SCT | Analyse des donn�es | Examen des documents |
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2.0 Les organisations f�d�rales ont-elles une meilleure compr�hension des �l�ments des pr�sentations au CT, des politiques et du processus? | 2.1 | Utilit� des guides, des outils et des m�canismes de sensibilisation fournis par le SCT | 1 | 1 | 1 | ||||||
3.0 Les employ�s du SCT ont-ils une meilleure compr�hension des �l�ments des pr�sentations au CT et des politiques du CT? | 3.1 | Utilit� des guides, des outils et des cours internes | 1 | 1 | 1 | 1 | |||||
4.0 Le SCT offre-t-il des services qui permettent aux organisations f�d�rales de faire en sorte que les �bauches des pr�sentations soient conformes aux autorisations, aux politiques et aux orientations du CT? | 4.1 | Exactitude / coh�rence des orientations du SCT pr�c�dant les pr�sentations au CT | 1 | 1 | 1 | 1 | |||||
4.2 | Pertinence des pr�sentations au CT soumises | 1 | 1 | 1 | |||||||
4.3 | Comparaison de la compr�hension du temps requis pour que le SCT examine une pr�sentation | 1 | 1 | 1 | |||||||
4.4 | Moment opportun - Nombre de pr�sentations en retard | 1 | |||||||||
4.5 | Rapports des analystes du SCT avec les organisations f�d�rales (programme de changement - partenaire strat�gique et conseiller de confiance, gestionnaires proactifs des risques, superviseur ou facilitateur, remise en question ou facilitation) | 1 | 1 | 1 | 1 | 1 | |||||
5.0 Le processus d'examen des pr�sentations au CT permet-il de s'assurer que les pr�sentations au CT sont conformes aux autorisations et aux politiques du gouvernement? | 5.1 | Exactitude, coh�rence, utilit�, caract�re opportun des conseils et des consultations du SCT pendant le processus des pr�sentations | 1 | 1 | 1 | 1 | |||||
5.2 | Suffisance du temps fourni pour la contribution aux pr�sentations au CT | 1 | 1 | ||||||||
5.3 | Confiance que la contribution faisant suite aux consultations du SCT est int�gr�e aux pr�sentations au CT finales | 1 | 1 | 1 | 1 | 1 | |||||
5.4 | Contestation juridique limit�e de la pr�sentation | 1 | Juridiques seulement | 1 | |||||||
6.0 Le processus des pr�sentations au CT est-il fond� sur les risques? | 6.1 | �tendue des connaissances quant � l'existence des crit�res de risque | 1 | 1 | 1 | 1 | 1 | ||||
6.2 | Pertinence des crit�res de risque (perspective de l'ensemble du gouvernement, traduit les pr�occupations des ministres et les risques financiers et non financiers) | 1 | 1 | 1 | |||||||
6.3 | Port�e / uniformit� de l'utilisation des crit�res | 1 | |||||||||
6.4 | Influence de l'�valuation des risques sur le processus des pr�sentations au CT, la diligence raisonnable, les pr�cis et les d�cisions | 1 | 1 | ||||||||
6.5 | Pertinence du niveau de participation aux �valuations des risques (SCT par rapport aux organisations f�d�rales) | 1 | 1 | ||||||||
7. 0 Les d�cisions du CT sont-elles �clair�es et conformes aux conseils, aux directives et aux recommandations fournis par les analystes du SCT? | 7.1 | Conformit� des d�cisions aux recommandations; nombre et fr�quence des conditions additionnelles impos�es par le CT; nombre et fr�quence des difficult�s soulev�es | 1 | 1 | 1 | ||||||
7.2 | Nombre de reports et demandes de renseignements suppl�mentairess | 1 | |||||||||
7.3 | Confiance dans les recommandations formul�es (p. ex., au sujet des risques, des r�percussions des co�ts pour le gouvernement) | 1 | |||||||||
8. 0 Des m�canismes sont-ils en place pour veiller � ce que les d�cisions du CT soient ex�cut�es? | 8.1 | Existence / suffisance des processus de suivi des conditions - dans les organisations f�d�rales - au SCT | 1 | 1 | 1 | 1 | |||||
8.2 | Caract�re opportun / int�gralit� de la communication des d�cisions | 1 | 1 | 1 | |||||||
8.3 | Int�gralit� / caract�re utilisable du syst�me de classement des pr�sentations au CT | 1 | 1 | 1 |
Question d'�valuation | Noº ind. | Indicateurs | Groupe de r�flexion : Secr�taires adjoints | Entrevues : Analystes du SCT / Personnes-ressources internes (n=10) | Enrevues : Organisations f�d�rales (n=12) | Emtrevues : Intervenants externes ( n=5) | Sondange en ligne : Organisations f�d�rales | Sondage en ligne : Analystes du SCT | Sondage en ligne : Personnes-ressources du SCT | Analyse des donn�es | Examen des documents |
---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|
9.0 Quel est le niveau de qualit� des pr�sentations au CT? | 9.1 | �l�ment 5 du pointage selon le CRG | 1 | ||||||||
9.2 |
Int�gralit� des pr�sentations au CT :
|
1 | 1 | 1 | 1 | 1 | 1 | ||||
10.0 Le processus des pr�sentations au CT contribue-t-il � faire en sorte que les programmes, les d�penses et les m�canismes de gestion du minist�re ou du gouvernement soient harmonis�s avec les priorit�s du GC? | 10.1 | Comptes rendus document�s de la contribution du processus des pr�sentations au CT � l'harmonisation (p. ex., rapports du VG, CRG, Des r�sultats pour les Canadiens et les Canadiennes, RPP du SCT) | 1 | 1 | |||||||
10.2 | Explications � savoir si le processus des pr�sentations au CT contribue ou non � l'harmonisation | 1 | 1 | ||||||||
11.0 Existe-t-il d'autres facteurs qui font obstacle � l'obtention de r�sultats? | 11.1 | Description des facteurs qui font obstacle � l'obtention de r�sultats | 1 | 1 | |||||||
12.0 Y a-t-il eu des r�sultats inattendus? | 12.1 | Description des r�sultats inattendus | 1 | 1 |
Question d'�valuation | Noº ind. | Indicateurs | Groupe de r�flexion : Secr�taires adjoints | Entrevues : Analystes du SCT / Personnes-ressources internes (n=10) | Enrevues : Organisations f�d�rales (n=12) | Emtrevues : Intervenants externes ( n=5) | Sondange en ligne : Organisations f�d�rales | Sondage en ligne : Analystes du SCT | Sondage en ligne : Personnes-ressources du SCT | Analyse des donn�es | Examen des documents |
---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|
13.0 Quel est le niveau des ressources qui sont attribu�es au processus des pr�sentations? | 13.1 | Changements dans le niveau de l'effort consacr� aux pr�sentations au CT il y a cinq ans par rapport � aujourd'hui | 1 | 1 | 1 | ||||||
13.2 | Analyse des tendances quant au nombre de pr�sentations | 1 | |||||||||
13.3 |
Estimation du temps consacr� aux �tapes suivantes :
|
1 | 1 | ||||||||
13.4 | D�termination du rythme des �tapes et des �tapes o� une augmentation des ressources aurait la plus grande incidence sur le d�roulement du processus | 1 | 1 | 1 | 1 | 1 | 1 | ||||
13.5 | Facteurs faisant obstacle � la capacit� qu'ont les analystes de contribuer au processus des pr�sentations | 1 | 1 | ||||||||
14.0 Le processus est-il efficace? Que peut-on faire pour rendre le processus plus efficace? | 14.1 | Utilit� des mesures prises par suite de la v�rification en 2003 et de la journ�e de r�flexion du COEX en 2007 (feuille de route pour faciliter le changement) | 1 | 1 | 1 | 1 | 1 | 1 | |||
14.2 | Indication des mesures prises par le SCT pour g�rer la charge de travail (p. ex., approche fond�e sur le risque pour l'examen des pr�sentations, d�l�gation des pouvoirs) | 1 | 1 | 1 | 1 | 1 | |||||
14.3 | D�termination des aspects o� l'efficacit� peut �tre accrue | 1 | 1 | 1 | 1 | 1 | 1 | 1 | |||
15.0 Les contribuables canadiens en ont-ils pour leur argent? | 15.1 | Analyse de l'efficacit�, de l'efficience et des indicateurs |
Titre | Auteur | Date |
---|---|---|
Approches ax�es sur les risques aux pr�sentations au CT | SCT | 2008 |
Feuille de route pour le changement : Nouvelles approches fond�es sur les risques concernant les activit�s minist�rielles et les pr�sentations au Conseil du Tr�sor | SCT | 2007 |
R�le de l'analyste de programme | SCT | |
Guide de survie des analystes | SCT | |
Liste de v�rification des outils des analystes de programme | SCT | |
Liste des personnes-ressources minist�rielles - Mod�le | SCT | |
Syst�me de comptabilit� pour les nouveaux analystes de programme | SCT | |
Transport et transmission des renseignements prot�g�s et classifi�s | GRC | 2006 |
Pr�sentations : Processus d'examen propos� | SCT | |
Pr�sentations : Guide pour la pr�paration de pr�sentations au Conseil du Tr�sor | SCT | 2007 |
Pr�sentations : Processus des pr�sentations au Conseil du Tr�sor - Diagramme | SCT | 2005 |
Pr�sentations : Libell� privil�gi� pour le SSP | SCT | |
Pr�sentations : �ch�ancier des pr�sentations minist�rielles sign�es | SCT | 2008 |
Pr�sentations : Graphique de cheminement - Dates importantes pour les pr�sentations et les pr�cis | SCT | 2008 |
Pr�sentations : Exigences du Centre des pr�sentations et des documents du Cabinet et du Conseil du Tr�sor | SCT | |
M�moires au Cabinet : Guide de r�f�rence du processus des m�moires au Cabinet | SCT | |
M�moires au Cabinet : Documents de r�f�rence pour les notes d'information | SCT | 2006 |
M�moires au Cabinet : Ce que le Conseil du Tr�sor souhaite obtenir dans un m�moire au Cabinet | SCT | |
Gestion des d�penses : Tableau du cycle de la gestion des d�penses | SCT | |
Gestion des d�penses : Architecture des activit�s des programmes (AAP) | SCT | 2008 |
Gestion des d�penses : Mise � jour annuelle des niveaux de r�f�rence (MJANR) | SCT | 2008 |
Cadre de responsabilisation de gestion | SCT | 2008 |
Plans d'investissement, projets et acquisitions - Politiques et publications | SCT | 2002 |
March�s - Politiques et publications | SCT | 2003 |
Budget des d�penses du gouvernement du Canada et autres documents � l'appui | SCT | 2007 |
Guide sur les subventions, contributions et autres paiements de transfert | SCT | 2000 |
Approbation de projet | SCT | 2005 |
Gestion de projet | SCT | 1994 |
Biens immobiliers - Politiques et proc�dures | SCT | |
Guide des fonds renouvelables | SCT | |
Politique sur les paiements de transfert | SCT | 2008 |
Politiques et lignes directrices sur les soci�t�s d'�tat | SCT | |
Outil de v�rification des pr�sentations | SCT | |
Pr�paration de pr�sentations au Conseil du Tr�sor et de documents � l'intention du Cabinet : Manuel du participant | �cole de la fonction publique du Canada | 2008 |
Mod�le d'�valuation du SCT | SCT | 2008 |
Triangle de l'orientation strat�gique | SCT | 2007 |
Renouvellement des syst�mes du Bureau des services, chapitre 1 : Plan directeur op�rationnel | SCT | 2007 |
Renouvellement des syst�mes du Bureau des services,, chapitre 3 : Plan de r�alisation; Annexe A : �nonc�s des risques | SCT | 2007 |
Renouvellement des syst�mes du Bureau des services, chapitre 3 : Plan de r�alisation; Annexe D : Gestion du changement | SCT | 2007 |
Projet de gestion des r�sultats du RSSB - SGD | Fujitsu | 2006 |
Loi sur la gestion des finances publiques | Gouvernement du Canada | 1985 |
Rapport sur les plans et les priorit�s 2007-2008, Secr�tariat du Conseil du Tr�sor du Canada | SCT | 2008 |
Aassembler tous les �l�ments, camp de formation sur le processus des pr�sentations au Conseil du Tr�sor | SCT | 2005 |
Analyse pr�liminaire des d�l�gations pour les subventions et les contributions | SCT | 2007 |
R�forme du secteur public : D�l�gation des pouvoirs en Australie et au Royaume-Uni | SCT | |
2007 Comprehensive Spending Review: Guidance for Departmental Submissions | R.-U. | 2007 |
Fr�quence �lev�e de pr�sentations (plus de deux pr�sentations par mois en moyenne au cours des dix derni�res ann�es)
Fr�quence mod�r�e de pr�sentations (entre une et deux pr�sentations par mois en moyenne au cours des dix derni�res ann�es)
Fr�quence occasionnelle de pr�sentations (moins d'une pr�sentation par mois en moyenne au cours des dix derni�res ann�es)
Secteurs de programme
Personnes-ressources du minist�re
� nota: Ceci est un exemple du guide d'entrevue � l'intention des analystes du SCT �
Services conseils du gouvernement (SCG) a �t� mandat� par le Secr�tariat du Conseil du Tr�sor du Canada (SCT) pour mener une �valuation du processus des pr�sentations au Conseil du Tr�sor (CT). Cette �valuation vise � v�rifier si le processus continue d'�tre pertinent, si les r�sultats escompt�s du processus ont �t� atteints, s'il est rentable et si des am�liorations peuvent �tre apport�es.
Dans le cadre de cette �valuation, SCG proc�de � des entrevues avec les principaux intervenants dans le processus. Le but de ces entrevues est d'examiner la fa�on dont le processus est mis en œuvre, de rassembler les renseignements permettant d'�valuer sa r�ussite et de rep�rer des am�liorations �ventuelles.
Les questions suivantes serviront de guide pour notre entrevue. Certaines d'entre elles ne s'appliquent pas � votre situation. Les interviewers mettront l'accent sur celles qui vous concernent. Veuillez prendre note qu'il n'y aura aucune r�f�rence directe � vos r�ponses dans le rapport d'�valuation (seuls les r�sultats compil�s seront publi�s) ou dans toute documentation fournie au minist�re responsable. Si vous avez des questions concernant le pr�sent document, n'h�sitez pas � communiquer avec la gestionnaire de projet de SCG, Susan Cole, au 613 943 3401.
Aux fins de la pr�sente �valuation, le processus des pr�sentations au CT au sein du SCT comprend les cinq �tapes suivantes :
La port�e de l'�valuation se restreint aux pr�sentations de la � partie A �, et exclut les pr�sentations de la � partie B �.
1. Quel est votre r�le dans le processus des pr�sentations au CT et en quoi consiste votre participation?
2. Selon votre compr�hension, � quelles fins les pr�sentations au CT sont-elles utilis�es?
3. Les analystes du SCT comprennent-ils bien les �l�ments d'une pr�sentation au CT, les politiques et les directives qui s'y rapportent, ainsi que le processus des pr�sentations au CT? Sinon, de quelle fa�on pourrait-on am�liorer leur degr� de compr�hension?
4. Au cours de la derni�re ann�e, avez-vous eu recours aux outils suivants en ce qui a trait au processus des pr�sentations au CT? Ces outils vous ont-ils permis de mieux comprendre les �l�ments d'une pr�sentation au CT, les politiques qui s'y rapportent, ainsi que le processus des pr�sentations au CT?
5. Les analystes du CT fournissent-ils des interpr�tations et conseils strat�giques exacts, uniformes, utiles et en temps opportun en ce qui a trait aux pr�sentations au CT :
6. En g�n�ral, les analystes du CT ont-ils la formation et le soutien appropri�s pour leur permettre d'offrir des conseils exacts, uniformes, utiles et en temps opportun aux organisations f�d�rales, en ce qui a trait au processus des pr�sentations au CT? Sinon, de quoi auraient-ils besoin?
7.
8. Au cours de la derni�re ann�e, � combien de reprises des organisations f�d�rales ont-elles demand� des exemptions et des exclusions concernant leurs pr�sentations au CT? Veuillez expliquer.
9. Comment qualifieriez-vous votre relation avec les personnes des organisations f�d�rales avec lesquelles vous faites affaire au sujet du processus des pr�sentations au CT?
10. Votre secteur des programmes est-il dot� d'un processus d'examen visant � valider les conseils offerts par ses analystes? Si oui, d�crivez-le bri�vement.
11. Croyez-vous que les conseils et les consultations que vous offrez se refl�tent dans les documents d�finitifs d'une pr�sentation au CT? Veuillez expliquer
12. Connaissez-vous les crit�res de risques qui s'appliquent aux pr�sentations au CT?
13. Quel est le r�le de chaque intervenant (organisations f�d�rales et SCT) dans le processus d'�valuation des risques?
14. Les crit�res de risques d�finissent-ils convenablement les risques li�s aux pr�sentations au CT?
15. Les crit�res de risques sont-ils appliqu�s uniform�ment pour l'ensemble des pr�sentations au CT? Veuillez expliquer.
16. � votre avis, au cours de la derni�re ann�e, dans quelle mesure la cote de risque associ�e � une pr�sentation a-t-elle influenc� la r�ponse de votre secteur des programmes ou des politiques, pour ce qui est du processus, de la diligence raisonnable, de la r�daction de pr�cis, etc.?
17. La qualit� des documents de pr�sentation soumis au Conseil du Tr�sor a-t-elle chang� au cours des cinq derni�res ann�es? Si oui, qu'est-ce qui a contribu� � ces changements?
18. Existe-t-il des m�canismes pour s'assurer qu'on donne suite aux d�cisions du CT?
19. Quel est le processus qui assure le suivi des conditions impos�es aux pr�sentations approuv�es?
20. Comment les approbations de pr�sentations sont-elles class�es pour consultation future?
21. Y a-t-il eu des difficult�s ou des avantages inattendus li�s au processus? Veuillez expliquer.
22. Le processus des pr�sentations est-il efficace?
23. �tes-vous au courant des mesures propos�es par les �tudes internes, comme la v�rification interne du processus des pr�sentations au CT de 2003 et la journ�e de r�flexion du COEX de 2007? Estimez-vous qu'elles ont aid� � am�liorer l'efficience ou l'efficacit� du programme?
Voici quelques-unes des mesures prises � la suite de la v�rification de 2003 :
Voici quelques-unes des mesures prises � la suite de la journ�e de r�flexion du COEX en 2007 :
24. Avez-vous quelque chose � ajouter?
25. Le nombre de contestations l�gales des pr�sentations au CT a-t-il chang� au cours des derni�res ann�es? Si oui, dans quelle mesure?
� nota: Ceci est un exemple du guide d'entrevue � l'intention des organisations f�d�rales �
Services conseils du gouvernement (SCG) a �t� mandat� par le Secr�tariat du Conseil du Tr�sor (SCT) pour mener une �valuation du processus des pr�sentations au Conseil du Tr�sor (CT). Cette �valuation vise � v�rifier si le processus continue d'�tre pertinent, si les r�sultats escompt�s du processus ont �t� atteints, s'il est rentable et si des am�liorations peuvent �tre apport�es.
Dans le cadre de cette �valuation, SCG proc�de � des entrevues avec les principaux intervenants dans le processus. Le but de ces entrevues est d'examiner la fa�on dont le processus est mis en œuvre, de rassembler les renseignements permettant d'�valuer sa r�ussite et de rep�rer des am�liorations �ventuelles.
Les questions suivantes serviront de guide pour notre entrevue. Certaines d'entre elles ne s'appliquent pas � votre situation. Les interviewers mettront l'accent sur celles qui vous concernent. Veuillez prendre note qu'il n'y aura aucune r�f�rence directe � vos r�ponses dans le rapport d'�valuation (seuls les r�sultats compil�s seront publi�s) ou dans toute documentation fournie au minist�re responsable. Si vous avez des questions concernant le pr�sent document, n'h�sitez pas � communiquer avec la gestionnaire de projet de SCG, Susan Cole, au 613 943 3401.
Aux fins de la pr�sente �valuation, le processus des pr�sentations au CT au sein du SCT comprend les cinq �tapes suivantes :
La port�e de l'�valuation se restreint aux pr�sentations de la � partie A �, et exclut les pr�sentations de la � partie B �.
1. Quel est votre r�le dans le processus des pr�sentations au CT et en quoi consiste votre participation?
2. Selon votre compr�hension, � quelles fins le processus des pr�sentations au CT est-il utilis�? D'autres m�canismes seraient-ils plus appropri�s pour ces activit�s?
3. Au cours de la derni�re ann�e, avez-vous eu recours aux outils suivants en ce qui a trait au processus des pr�sentations? Ces outils vous ont-ils permis de mieux comprendre les �l�ments d'une pr�sentation au CT, les politiques et les directives qui s'y rapportent, ainsi que le processus des pr�sentations au CT?
4. Les analystes du CT avec qui vous avez fait affaire comprennent-ils bien les �l�ments d'une pr�sentation au CT, les politiques et les directives qui s'y rapportent, ainsi que le processus des pr�sentations au CT? Sinon, de quelle fa�on pourrait-on am�liorer leur degr� de compr�hension?
5. Lorsque vous devez d�cider si une pr�sentation au CT est n�cessaire, consultez-vous un analyste du SCT? Pourquoi?
6. Au cours de la derni�re ann�e, � combien de reprises votre organisation a-t-elle demand� des exemptions et des exclusions concernant ses pr�sentations au CT?
7. Comment qualifieriez-vous votre relation avec le SCT et les analystes avec lesquels vous faites affaire au SCT?
8. Une fois que vous avez soumis votre �bauche au SCT, dans quelle mesure les conseils et les consultations qu'il vous fournit sont-ils pr�cis, coh�rents et appropri�s?
9. Les conseils qu'offrent les Services juridiques du SCT concordent-ils avec ceux du conseiller juridique de votre propre organisation?
10. Dans quelle mesure int�grez-vous les suggestions du SCT dans la version d�finitive de votre pr�sentation?
11. Connaissez-vous les crit�res de risques qui s'appliquent aux pr�sentations au CT?
12. Quel est le r�le de chaque intervenant (organisations f�d�rales et SCT) dans le processus d'�valuation des risques?
13. Les crit�res de risques d�finissent-ils convenablement les risques li�s aux pr�sentations au CT?
14. La qualit� des pr�sentations que votre organisation soumet au CT a-t-elle chang� au cours des cinq derni�res ann�es?
15. Y a-t-il eu des difficult�s ou des avantages inattendus li�s au processus? Veuillez expliquer.
16. Le processus des pr�sentations est-il efficace?
17. Avez-vous quelque chose � ajouter?
� nota: Ceci est un exemple du guide d'entrevue � l'intention des intervenants externes �
Services conseils du gouvernement (SCG) a �t� mandat� par le Secr�tariat du Conseil du Tr�sor (Secr�tariat) pour mener une �valuation du processus des pr�sentations au Conseil du Tr�sor (CT). Cette �valuation vise � v�rifier si le processus continue d'�tre pertinent, si les r�sultats escompt�s du processus ont �t� atteints, s'il est rentable et si des am�liorations peuvent �tre apport�es.
Dans le cadre de cette �valuation, SCG proc�de � des entrevues avec les principaux intervenants dans le processus. Le but de ces entrevues est d'examiner la fa�on dont le processus est mis en œuvre, de rassembler les renseignements permettant d'�valuer sa r�ussite et de rep�rer des am�liorations �ventuelles.
Les questions suivantes serviront de guide pour notre entrevue. Certaines d'entre elles ne s'appliquent pas � votre situation. Les interviewers mettront l'accent sur celles qui vous concernent. Veuillez prendre note qu'il n'y aura aucune r�f�rence directe � vos r�ponses dans le rapport d'�valuation (seuls les r�sultats compil�s seront publi�s) ou dans toute documentation fournie au minist�re responsable. Si vous avez des questions concernant le pr�sent document, n'h�sitez pas � communiquer avec la gestionnaire de projet de SCG, Susan Cole, au 613-943-3401.
Aux fins de la pr�sente �valuation, le processus des pr�sentations au CT au sein du SCT comprend les cinq �tapes suivantes :
La port�e de l'�valuation se restreint aux pr�sentations de la � partie A �, et exclut les pr�sentations de la � partie B �.
1. Dans quelle mesure connaissez-vous le processus des pr�sentations au Conseil du Tr�sor?
2. Selon votre compr�hension, � quelles fins le processus des pr�sentations au CT est-il utilis�? D'autres m�canismes seraient-ils plus appropri�s pour ces activit�s?
3. Le processus des pr�sentations au Conseil du Tr�sor contribue-t-il � s'assurer que la gestion, les programmes et les d�penses des minist�res ou du gouvernement sont harmonis�s avec les priorit�s du gouvernement du Canada? Veuillez expliquer.
4. Y a-t-il eu des difficult�s ou des avantages particuliers li�s au processus?
5. Le processus des pr�sentations est-il efficace?
6. Avez-vous quelque chose � ajouter?
(note : Ceci est un exemple du questionnaire utilis� pour la s�ance de travail aves les SMA)
�valuation du processus des pr�sentations au Conseil du Tr�sor
Le Secr�tariat du Conseil du Tr�sor a retenu les services de Services conseils du gouvernement (SCG) pour mener une �valuation du processus des pr�sentations au Conseil du Tr�sor (CT). Cette �valuation vise � examiner si le processus continue d'�tre pertinent, si les r�sultats escompt�s du processus ont �t� atteints, s'il est rentable et si des am�liorations peuvent �tre apport�es.
Aux fins de la pr�sente �valuation, le processus des pr�sentations au CT du SCT est d�fini par les cinq �tapes suivantes :
Veuillez noter que l'�valuation ne met l'accent que sur les pr�sentations de la � partie A � et qu'elle exclut les pr�sentations de la � partie B �.
Objet du pr�sent questionnaire
Dans le cadre de la pr�sente �valuation, SCG organise une s�ance de travail � l'intention des sous-ministres adjoints (SMA) du SCT et de certaines organisations f�d�rales qui ont soumis une pr�sentation au CT au cours de la derni�re ann�e.
Dans le but de pouvoir consacrer un maximum de temps aux discussions, nous avons pr�par� un court questionnaire-sondage afin de nous assurer que les principaux enjeux dont nous voulons traiter seront abord�s.
Nous vous remercions de bien vouloir prendre le temps de r�pondre � ce court questionnaire et de nous le remettre � la fin de la s�ance.
Le questionnaire ne vous prendra que quelques minutes � remplir. Veuillez noter que vos r�ponses demeureront enti�rement confidentielles et que les r�sultats du questionnaire seront pr�sent�s de fa�on globale seulement.
1. Veuillez pr�ciser � quel groupe vous appartenez :
2. Veuillez indiquer dans quelle mesure vous �tre d'accord ou en d�saccord avec les �nonc�s suivants en ce qui concerne les pr�sentations au CT que vous avez vues au cours des derni�res ann�es :
Pr�sentations au CT… | En d�saccord | Plut�t en d�saccord | Ni d'accord ni en d�saccord | Plut�t d'accord | D'accord | Ne sais pas / Sans objet |
---|---|---|---|---|---|---|
Elles sont r�dig�es conform�ment au Guide pour la pr�paration de pr�sentations au Conseil du Tr�sor | • | • | • | • | • | • |
Elles cernent les risques et les strat�gies d'att�nuation | • | • | • | • | • | • |
Les autorisations ad�quates ont �t� demand�es | • | • | • | • | • | • |
Le niveau de justification est appropri� | • | • | • | • | • | • |
Elles renferment des renseignements exacts | • | • | • | • | • | • |
Elles sont r�dig�es de fa�on claire | • | • | • | • | • | • |
Elles tiennent syst�matiquement compte des crit�res de risque | • | • | • | • | • | • |
Elles �valuent correctement les risques | • | • | • | • | • | • |
Elles ont une cote de risque qui correspond � l'interpr�tation du risque qu'a le CT | • | • | • | • | • | • |
3. Veuillez pr�ciser si les �l�ments suivants ont connu une am�lioration, sont demeur�s inchang�s ou ont empir� au cours des ann�es :
�l�ments | Empir� | Passablement empir� | Inchang� | Passablement am�lior� | Am�lior� | Ne sais pas / Pas de r�ponse |
---|---|---|---|---|---|---|
L'exhaustivit� des pr�sentations | • | • | • | • | • | • |
Votre niveau de confiance � l'�gard des conseils et des recommandations formul�s par les analystes du SCT | • | • | • | • | • | • |
Le respect des �ch�anciers relatifs aux pr�sentations | • | • | • | • | • | • |
La qualit� g�n�rale des pr�sentations | • | • | • | • | • | • |
4. Veuillez indiquer quelle serait, selon vous, l'incidence des mesures suivantes sur l'efficacit� du processus des pr�sentations au CT :
L'incidence de mesures | Consid�rablement moins efficace | Quelque peu moins efficace | Inchang� | Quelque peu plus efficace | Consid�rablement plus efficace | Ne sais pas / Pas de r�ponse |
---|---|---|---|---|---|---|
Renouvellement des modalit�s par les ministres - Autoriser les ministres � prolonger les modalit�s qui arrivent � terme pour un maximum de trois ans selon certains param�tres qui renferment un examen strat�gique, une �valuation et des v�rifications | • | • | • | • | • | • |
D�l�gation de pouvoirs accrus aux minist�res - Les secteurs des programmes examinent les d�l�gations de pouvoirs aux minist�res afin de d�terminer si des rajustements sont n�cessaires | • | • | • | • | • | • |
Approbation du dirigeant principal des finances (DPF) - Le DPF ou son d�l�gu� doit approuver toutes les �bauches des pr�sentations au CT avant que le SCT ne les examine pour d�terminer si la qualit� est appropri�e et si elles sont exhaustives | • | • | • | • | • | • |
Changement de proc�dures pour les pr�sentations � faible risque - Signaler et traiter les pr�sentations au CT en fonction de la cote de risque combin�e | • | • | • | • | • | • |
Changement du calendrier des pr�sentations - Insister sur la pr�rogative du SCT en ce qui concerne le calendrier | • | • | • | • | • | • |
Rationalisation du processus d'octroi de cr�dits - Examiner les processus budg�taires, en �valuant chaque activit� dans une optique de responsabilisation, d'�limination des redondances et de valeur ajout�e, y compris des options visant � r�duire le fardeau g�n�ral du travail pr�paratoire pour les s�ances d'information au S�nat | • | • | • | • | • | • |
Nombre des ann�es | % |
---|---|
n=taille de l'�chantillon | n=60 |
Moins d'un an | 33,3 |
1 � 2 ans | 35,0 |
2 � 3 ans | 15,0 |
3 � 4 ans | 8,3 |
4 � 5 ans | 3,3 |
Plus de 5 ans | 5,0 |
Secteur | % |
---|---|
n=taille de l'�chantillon | n=59 |
Secteur des programmes sociaux et culturels | 22,0 |
Secteur des programmes �conomiques | 18,6 |
Secteur des affaires internationales, de la s�curit� et de la justice | 23,7 |
Secteur des op�rations gouvernementales (volet des programmes) | 35,6 |
Classification et niveau | % |
---|---|
n=taille de l'�chantillon | n=60 |
ES-02 ou l'�quivalent | 5,0 |
ES-03 ou l'�quivalent | 6,7 |
ES-04 ou l'�quivalent | 20,0 |
ES-05 ou l'�quivalent | 18,3 |
ES-06 ou l'�quivalent | 40,0 |
ES-07 ou l'�quivalent | 6,7 |
EX-03 ou l'�quivalent | 3,3 |
Nombre des minist�res | % |
---|---|
n=taille de l'�chantillon | n=59 |
Moyenne | 3,9 |
1 | 22,0 |
2 | 18,6 |
3 | 16,9 |
4 | 8,5 |
5 | 15,3 |
6 | 3,4 |
8 | 3,4 |
9 | 5,1 |
10 | 6,8 |
Organisations f�d�rales | n= | % |
---|---|---|
Nota : �tant donn� qu'il est possible de s�lectionner plusieurs r�ponses pour cette question, le pourcentage total ne sera pas �gal � 100. | ||
Affaires �trang�res et Commerce international Canada | 8 | 13,3 |
Affaires indiennes et du Nord Canada | 8 | 13,3 |
Agence canadienne de d�veloppement international | 5 | 8,3 |
Agriculture et Agroalimentaire Canada | 2 | 3,3 |
Bureau du Conseil priv� | 10 | 16,7 |
Commission de la capitale nationale | 1 | 1,7 |
D�fense nationale et Forces canadiennes | 7 | 11,7 |
Gendarmerie royale du Canada | 6 | 10,0 |
Industrie Canada | 6 | 10,0 |
Infrastructure Canada | 2 | 3,3 |
Patrimoine canadien | 6 | 10,0 |
P�ches et Oc�ans Canada | 3 | 5,0 |
Portefeuille des transports, de l'infrastructure et des collectivit�s | 7 | 11,7 |
Ressources humaines et D�veloppement des comp�tences Canada | 7 | 11,7 |
Ressources naturelles Canada | 5 | 8,3 |
Sant� Canada | 5 | 8,3 |
Secr�tariat du Conseil du Tr�sor du Canada | 16 | 26,7 |
Travaux publics et Services gouvernementaux Canada | 12 | 20,0 |
**Autres | 19 | 31,7 |
**Autres | n= | % |
---|---|---|
Nota : �tant donn� qu'il est possible de s�lectionner plusieurs r�ponses pour cette question, le pourcentage total ne sera pas �gal � 100. | ||
Agence canadienne d'inspection des aliments | 1 | 1,4 |
Agence de la fonction publique du Canada (maintenant le Bureau du dirigeant principal des ressources humaines) | 2 | 2,9 |
Agence de la sant� publique du Canada | 2 | 2,9 |
Agence de promotion �conomique du Canada atlantique | 2 | 2,9 |
Agence des services frontaliers du Canada | 1 | 1,4 |
Agence du revenu du Canada | 1 | 1,4 |
Agence spatiale canadienne | 1 | 1,4 |
Anciens Combattants Canada | 4 | 5,7 |
Biblioth�que du Parlement | 1 | 1,4 |
Centre canadien d'hygi�ne et de s�curit� au travail | 1 | 1,4 |
Citoyennet� et Immigration Canada | 1 | 1,4 |
Commissariat � l'information | 1 | 1,4 |
Commissariat � la protection de la vie priv�e | 1 | 1,4 |
Commissariat aux langues officielles | 1 | 1,4 |
Commission canadienne des grains | 1 | 1,4 |
Commission canadienne du tourisme | 1 | 1,4 |
Commission de v�rit� et de r�conciliation relative aux pensionnats indiens | 1 | 1,4 |
Conseil canadien des arts | 1 | 1,4 |
Conseil canadien des normes | 1 | 1,4 |
Conseil canadien des relations industrielles | 1 | 1,4 |
Conseil de la radiodiffusion et des t�l�communications canadiennes | 1 | 1,4 |
Conseil de recherches en sciences humaines du Canada | 1 | 1,4 |
�cole de la fonction publique du Canada | 1 | 1,4 |
Environnement Canada | 1 | 1,4 |
Financement agricole Canada | 1 | 1,4 |
Greffe du Tribunal des revendications particuli�res du Canada | 2 | 2,9 |
Institut de la statistique des Premi�res nations | 1 | 1,4 |
Instituts de recherche en sant� du Canada | 2 | 2,9 |
Minist�re des Finances Canada | 8 | 11,4 |
Mus�e canadien de la nature | 2 | 2,9 |
Mus�e canadien des civilisations | 2 | 2,9 |
Mus�e canadien des droits de la personne | 1 | 1,4 |
Mus�e des beaux-arts du Canada | 1 | 1,4 |
Mus�e des sciences et de la technologie du Canada | 2 | 2,9 |
Parcs Canada | 2 | 2,9 |
Procr�ation assist�e Canada | 1 | 1,4 |
Recherches en sciences et en g�nie Canada | 1 | 1,4 |
R�solution des questions des pensionnats indiens Canada | 2 | 2,9 |
S�curit� publique Canada | 2 | 2,9 |
Service canadien du renseignement de s�curit� | 2 | 2,9 |
Service correctionnel Canada | 1 | 1,4 |
Soci�t� canadienne d'hypoth�ques et de logement | 1 | 1,4 |
Soci�t� immobili�re du Canada | 1 | 1,4 |
Statistique Canada | 1 | 1,4 |
Tribunal canadien des relations professionnelles artistes-producteurs | 1 | 1,4 |
Tribunal canadien du commerce ext�rieur | 1 | 1,4 |
Nombre de pr�sentations | % |
---|---|
n= taille d'�chantillon | n=59 |
Moyenne | 12,5 |
1 | 1,7 |
2 | 1,7 |
3 | 10,0 |
5 | 15,0 |
6 | 11,7 |
7 | 1,7 |
8 | 10,0 |
9 | 6,7 |
10 | 11,7 |
12 | 8,3 |
15 | 5,0 |
17 | 1,7 |
20 | 3,3 |
25 | 3,3 |
40 | 3,3 |
42 | 1,7 |
50 | 1,7 |
100 | 1,7 |
% de pr�sentations termin�es qui �taient : | Courantes % | Complexes % | N�cessitant un examen strat�gique % |
---|---|---|---|
n= taille d'�chantillon | n=57 | n=54 | n=38 |
R�partition globale des pr�sentations | 54,2% | 38,4% | 7,5 |
0 | 1,8 | 3,7 | 36,8 |
1 | 7,9 | ||
5 | 1,9 | 5,3 | |
9 | 1,8 | ||
10 | 5,3 | 5,6 | 21,1 |
11 | 2,6 | ||
15 | 1,9 | ||
20 | 7,0 | 11,1 | 13,2 |
25 | 1,8 | 7,4 | 5,3 |
30 | 1,8 | 11,1 | |
33 | 1,8 | ||
34 | 1,9 | 2,6 | |
35 | 1,8 | 1,9 | |
40 | 3,5 | 9,3 | |
45 | 1,8 | 1,9 | |
50 | 14,0 | 14,8 | |
55 | 1,8 | 1,9 | |
60 | 10,5 | 5,6 | |
65 | 1,8 | ||
66 | 3,5 | ||
67 | 1,9 | ||
70 | 8,8 | 1,9 | 2,6 |
75 | 7,0 | 1,9 | |
79 | 1,8 | ||
80 | 10,5 | 7,4 | |
89 | 1,8 | ||
90 | 3,5 | 5,6 | 2,6 |
94 | 1,8 | ||
100 | 5,3 | 1,9 |
% | % |
---|---|
n= taille d'�chantillon | n=59 |
Moyenne | 14,5 |
0 | 49,2 |
10 | 16,9 |
20 | 11,9 |
25 | 3,4 |
30 | 8,5 |
40 | 1,7 |
50 | 3,4 |
75 | 1,7 |
100 | 3,4 |
% | Totalement en d�saccord | En d�saccord | Neutre | En accord | Tout � fait en accord | Ne sais pas | n= |
---|---|---|---|---|---|---|---|
Je comprends tr�s bien le processus des pr�sentations au CT. | 5,0 | 10,0 | 36,7 | 46,7 | 1,7 | n=60 | |
Le Guide pour la pr�paration de pr�sentations au Conseil du Tr�sor m'aide � mieux comprendre les �l�ments des pr�sentations au CT, les politiques et le processus. | 5,0 | 13,3 | 51,7 | 30,0 | n=60 | ||
Les outils �labor�s par le SCT m'aident � mieux comprendre les �l�ments des pr�sentations au CT, les politiques et le processus. | 8,3 | 40,0 | 31,7 | 16,7 | 3,3 | n=60 | |
Le � camp de formation � pour les analystes du SCT m'a aid� � mieux comprendre les �l�ments des pr�sentations au CT, les politiques et le processus. | 2,5 | 17,5 | 32,5 | 27,5 | 15,0 | 5,0 | n=40 |
La formation offerte par l'�cole de la fonction publique du Canada (EFPC) au sujet des pr�sentations au CT m'a aid� � mieux comprendre les �l�ments des pr�sentations au CT, les politiques et le processus. | 11,1 | 11,1 | 27,8 | 5,6 | 44,4 | n=18 | |
Je sais tr�s bien quelles personnes je dois consulter au sein des diff�rents secteurs du SCT. | 3,3 | 5,0 | 10,0 | 35,0 | 46,7 | n=60 | |
En tant qu'analyste de programme, je b�n�ficie d'un soutien continu, de mentorat et de formation. | 5,4 | 10,7 | 14,3 | 39,3 | 30,4 | n=56 | |
J'ai assez de temps pour contribuer aux pr�sentations au CT. | 3,3 | 10,0 | 58,3 | 28,3 | n=60 | ||
J'ai bon espoir que les conseils que je donne sont pris en consid�ration dans les versions finales des pr�sentations au CT. | 3,3 | 10,0 | 58,3 | 28,3 | n=60 | ||
Les fonctionnaires des organisations f�d�rales avec lesquels je travaille ont d�montr�, au fil des ans, qu'ils comprenaient de mieux en mieux les �l�ments des pr�sentations au CT, les politiques et le processus. | 3,4 | 15,5 | 22,4 | 44,8 | 3,4 | 10,3 | n=58 |
Je maintiens constamment le contact avec les minist�res clients peu importe le processus des pr�sentations. | 1,7 | 6,7 | 38,3 | 53,3 | n=60 | ||
C'est facile pour moi d'obtenir des commentaires d'autres secteurs du SCT, au besoin, lorsque je travaille � la pr�paration des pr�sentations au CT. | 5,0 | 8,3 | 23,3 | 41,7 | 21,7 | n=60 |
% | Totalement en d�saccord | En d�saccord | Neutre | En accord | Tout � fait en accord | Ne sais pas | n= |
---|---|---|---|---|---|---|---|
En r�gle g�n�rale, les analystes de programme offrent des services qui permettent aux organisations f�d�rales de soumettre des �bauches de pr�sentations conformes aux autorisations, aux politiques et aux orientations du CT. | 3,3 | 46,7 | 48,3 | 1,7 | n=60 | ||
En r�gle g�n�rale, les analystes de programme offrent des conseils strat�giques ou une interpr�tation uniformes au sujet des pr�sentations au CT � l'�tape pr�d�dant la pr�sentation (lorsque les organisations f�d�rales essaient de d�terminer si une pr�sentation au CT est n�cessaire). | 5,0 | 20,0 | 56,7 | 5,0 | 13,3 | n=60 | |
En r�gle g�n�rale, les analystes de programme offrent des conseils strat�giques et une interpr�tation exacte au sujet des pr�sentations au CT � l'�tape pr�c�dant la pr�sentation (lorsque les organisations f�d�rales essaient de d�terminer si une pr�sentation au CT est n�cessaire). | 1,7 | 15,0 | 68,3 | 6,7 | 8,3 | n=60 | |
En r�gle g�n�rale le processus d'examen des pr�sentations au SCT permet de s'assurer que les pr�sentations au CT sont conformes aux autorisations et aux politiques du gouvernement. | 6,8 | 55,9 | 35,6 | 1,7 | n=59 | ||
En r�gle g�n�rale, les analystes du SCT (secteurs de programmes, de politiques et d'appui) offrent des conseils uniformes au sujet des pr�sentations au CT au cours de l''examen de la pr�sentation au CT. | 1,7 | 15,3 | 16,9 | 57,6 | 5,1 | 3,4 | n=59 |
En r�gle g�n�rale, les analystes du SCT (secteurs de programmes, de politiques et d'appui) offrent des conseils judicieux au sujet des pr�sentations au CT au cours de l'examen de la pr�sentation au CT. | 1,7 | 16,9 | 71,2 | 8,5 | 1,7 | n=59 | |
En r�gle g�n�rale, les analystes du SCT (secteurs de programmes, de politiques et d'appui) offrent des conseils utiles au sujet des pr�sentations au CT au cours de l'examen de la pr�sentation au CT. | 3,4 | 10,2 | 72,9 | 13,6 | n=59 | ||
En r�gle g�n�rale, les analystes du SCT (secteurs de programmes, de politiques et d'appui) offrent des conseils au moment opportun au sujet des pr�sentations au CT au cours de l'examen de la pr�sentation au CT. | 1,7 | 10,0 | 28,3 | 40,0 | 20,0 | n=60 |
% | Totalement en d�saccord | En d�saccord | Neutre | En accord | Tout � fait en accord | Ne sais pas | n= |
---|---|---|---|---|---|---|---|
Le SCT est dot� de m�canismes ad�quats pour assurer le suivi des conditions impos�es aux pr�sentations au CT. | 23,3 | 45,0 | 18,3 | 1,7 | 1,7 | 10,0 | n=60 |
Le SCT transmet la d�cision du CT au moment opportun aux personnes concern�es. | 3,3 | 11,7 | 51,7 | 30,0 | 3,3 | n=60 | |
Le SCT transmet la d�cision � toutes les parties exig�es (soit l'organisation f�d�rale, le Secteur de gestion des d�penses, les analystes de programmes, d'autres analystes du SCT, etc.). | 1,7 | 13,3 | 11,7 | 45,0 | 13,3 | 15,0 | n=60 |
Le syst�me de classement des d�cisions du SCT est complet. | 10,2 | 10,2 | 13,6 | 23,7 | 0,0 | 40,7 | n=59 |
Le syst�me de classement des d�cisions du SCT est utilisable. | 8,3 | 11,7 | 13,3 | 25,0 | 0,0 | 40,0 | n=60 |
12. Au cours de la derni�re ann�e, des organisations f�d�rales ont-elles partag� des �bauches aux fins d'analyse ou d'examen et qui ne n�cessitaient pas une pr�sentation au CT?
Des �bauches ont-elles �t� partag�es? | Les auteurs ont-ils consult� le SCT avant de partager ces documents? | Des �bauches ont-elles �t� soumises? | Les auteurs ont-ils consult� le SCT avant de soumettre ces documents? | |
---|---|---|---|---|
n= taille d'�chantillon | n=59 | n=24 | n=58 | n=11 |
Oui | 40,7 | 62,5 | 19,0 | 81,8 |
Non | 40,7 | 25,0 | 55,2 | 9,1 |
Ne sais pas | 18,6 | 12,5 | 25,9 | 9,1 |
% | Partag�es | Soumises |
---|---|---|
n= taille d'�chantillon | n=24 | n=11 |
Moyenne | 17,5 | 9,1 |
0 | 16,7 | 36,4 |
10 | 58,3 | 45,5 |
20 | 12,5 | 9,1 |
30 | 4,2 | 9,1 |
90 | 4,2 | |
100 | 4,2 |
Partag�es | Soumises | |
---|---|---|
n= taille d'�chantillon | n=24 | n=11 |
Augmente | 4,2 | |
Diminue | 8,3 | |
Demeure le m�me | 29,2 | 36,4 |
Ne sais pas | 58,3 | 63,6 |
Semaines | % |
---|---|
n= taille d'�chantillon | n=53 |
Moyenne | 8,5 |
4 | 1,9 |
5 | 3,8 |
6 | 22,6 |
7 | 5,7 |
8 | 32,1 |
9 | 5,7 |
10 | 5,7 |
11 | 1,9 |
12 | 15,1 |
14 | 3,8 |
20 | 1,9 |
% | Semblaient avoir fait l'objet de consultations internes? | Ont �t� soumises suffisamment � l'avance pour que les analystes du SCT puissent les examiner? | Suivaient le Guide pour la pr�paration de pr�sentations au Conseil du Tr�sor? | Comprennaient des risques et des strat�gies d'att�nuation des risques? | Demandaient des autorisations ad�quates? | Comprennaient un niveau de justification appropri�? | Comprennaient des renseignements exacts? | Ont �t� r�dig�es de fa�on claire? |
---|---|---|---|---|---|---|---|---|
n= taille d'�chantillon | n=58 | n=59 | n=59 | n=59 | n=58 | n=59 | n=59 | n=59 |
Ind. (9,2) | Ind. (5,1) | Ind. (9,2) | Ind. (9,2) | Ind. (9,2) | Ind. (9,2) | Ind. (9,2) | Ind. (9,2) | |
Moyenne | 57,3 | 57,5 | 56,7 | 59,5 | 60,2 | 54,7 | 54,2 | 51,4 |
0 | 3,4 | 1,7 | 3,4 | 1,7 | 3,4 | 6,8 | 1,7 | |
10 | 5,2 | 3,4 | 6,8 | 10,2 | 3,4 | 1,7 | 3,4 | 5,1 |
20 | 1,7 | 6,8 | 3,4 | 3,4 | 3,4 | 6,8 | 1,7 | 5,1 |
25 | 5,2 | 6,8 | 3,4 | 1,7 | 6,9 | 8,5 | 6,8 | 5,1 |
30 | 3,4 | 1,7 | 1,7 | 10,2 | 6,9 | 8,5 | 1,7 | 10,2 |
40 | 5,2 | 1,7 | 3,4 | 1,7 | 1,7 | 3,4 | 3,4 | 5,1 |
50 | 25,9 | 23,7 | 25,4 | 15,3 | 12,1 | 16,9 | 25,4 | 20,3 |
60 | 6,9 | 11,9 | 6,8 | 5,1 | 17,2 | 8,5 | 16,9 | 18,6 |
70 | 6,9 | 16,9 | 18,6 | 10,2 | 8,6 | 13,6 | 11,9 | 10,2 |
75 | 8,6 | 5,1 | 8,5 | 8,5 | 20,7 | 10,2 | 8,5 | 10,2 |
80 | 10,3 | 6,8 | 8,5 | 8,5 | 6,9 | 8,5 | 3,4 | 3,4 |
90 | 8,6 | 6,8 | 5,1 | 10,2 | 8,6 | 5,1 | 5,1 | 3,4 |
100 | 8,6 | 6,8 | 5,1 | 13,6 | 3,4 | 5,1 | 5,1 | 1,7 |
% | Une d�cision du CT conforme aux recommandations que vous avez formul�es? | Une d�cision du CT qui renferme d'autres conditions que celles que vous avez propos�es? | Des remises en question de la pr�sentation et/ou des recommandations? | Des contestations au plan juridique? |
---|---|---|---|---|
n= taille d'�chantillon | n=58 | n=58 | n=58 | n=58 |
Moyenne | 82,2 | 5,6 | 8,4 | 3,5 |
0 | 5,2 | 63,8 | 55,2 | 74,1 |
10 | 1,7 | 22,4 | 13,8 | 3,4 |
20 | 3,4 | 5,2 | 5,2 | |
25 | 5,2 | 3,4 | ||
30 | 1,7 | 1,7 | ||
50 | 3,4 | 1,7 | ||
70 | 5,2 | |||
75 | 1,7 | |||
80 | 1,7 | |||
90 | 22,4 | |||
100 | 56,9 | 1,7 | ||
Ne sais pas | 6,9 | 6,9 | 13,8 | 12,1 |
% | |
---|---|
n= taille d'�chantillon | n=58 |
Oui, je les connais, mais je ne les applique pas lorsque j'analyse la pr�sentation et que j'offre des conseils | 3,4 |
Oui, je les connais, et je les applique lorsque j'analyse la pr�sentation et que j'offre des conseils | 91,4 |
Non, je ne les connais pas | 5,2 |
% | |
---|---|
n=58 | 100,0 |
Oui | 43,1 |
Non | 25,9 |
Ne sais pas | 31,0 |
% | |
---|---|
n= taille d'�chantillon | n=59 |
Consid�rablement moins bonne | 3,4 |
Un peu moins bonne | 8,5 |
Aucun changement (ni meilleure ni pire) | 50,8 |
Un peu am�lior�e | 32,2 |
Consid�rablement am�lior�e | 5,1 |
% | Qualit� de la premi�re �bauche | Pas suffi-samment de temps pour l'examen par le SCT, les consul-tations, la diligence raisonnable | Manque de connais-sances du minist�re par les analystes de programmes/ besoin de coordination avec le minist�re | Conseils des centres strat�giques non judicieux, uniformes, coordonn�s | Mauvais suivi par les organisations f�d�rales des commen-taires ou des besoins du SCT | Mauvais suivi des conditions impos�es par le SCT | Tenue des dossiers | Exigences du SCT impr�cises, peu adapt�es aux besoins des organisations f�d�rales, difficiles pour les organisations f�d�rales | Pressions politiques | n= |
---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|
1ere | 32,8 | 43,1 | 3,4 | 10,3 | 1,7 | 1,7 | 0,0 | 3,4 | 1,7 | n=57 |
2e | 15,5 | 31,0 | 3,4 | 8,6 | 19,0 | 0,0 | 3,4 | 10,3 | 3,4 | n=55 |
3e | 8,6 | 20,7 | 5,2 | 12,1 | 27,6 | 5,2 | 0,0 | 8,6 | 0,0 | n=51 |
% | Outils du SCT | Fournit des conseils et des connais-sances des op�rations minist�rielles | Tient les ministres inform�s | Processus rigoureux | Soutien des employ�s du SCT; bon processus de consultation | Changements r�cents avantageux | Am�liore les op�rations des organisations f�d�rales | n= |
---|---|---|---|---|---|---|---|---|
1er point fort | 5,5 | 3,6 | 3,6 | 38,2 | 40,0 | 1,8 | 10,9 | n=55 |
2e point fort | 9,6 | 6,8 | 6,8 | 40,9 | 29,5 | 0,0 | 6,8 | n=45 |
3e point fort | 7,9 | 10,5 | 7,9 | 39,5 | 26,3 | 2,6 | 5,3 | n=38 |
% | Conseils et consultation pr�c�dant les pr�sentations? | Examen et consultation au sujet des pr�sentations? | S�ances d'information / pr�paration des documents d'information (p. ex., pr�cis)? | Autres activit�s ayant trait aux pr�sentations au CT? | Autres activit�s non li�es aux pr�sentations au CT? |
---|---|---|---|---|---|
n= taille d'�chantillon | n=59 | n=59 | n=59 | n=37 | n=55 |
Temps moyen pour chaque activit� | 15,8% | 28,5% | 21,6% | 6,8% | 27,4% |
0 | 3,4 | 0,00 | 3,4 | 18,9 | |
5 | 20,3 | 3,4 | 3,4 | 29,7 | 3,6 |
10 | 32,2 | 8,5 | 13,6 | 18,9 | 16,4 |
15 | 8,5 | 13,6 | 13,6 | 5,4 | 5,5 |
20 | 15,3 | 16,9 | 27,1 | 18,9 | 7,3 |
25 | 3,4 | 8,5 | 10,2 | 2,7 | 10,9 |
30 | 6,8 | 18,6 | 15,3 | 0,0 | 18,2 |
35 | 0 | 3,4 | 5,1 | 2,7 | 3,6 |
40 | 6,8 | 11,9 | 5,1 | 0,0 | 18,2 |
45 | 1,7 | 1,7 | 0,0 | 2,7 | 3,6 |
50 | 1,7 | 5,1 | 3,4 | 7,3 | |
55 | 3,4 | 1,8 | |||
60 | 3,4 | 1,8 | |||
65 | 1,8 | ||||
70 | 1,7 |
% | Pr�paration de documents (adminis-tratifs) | Relatives au CRG | Prestation de conseils | Examens strat�giques | Surveillance | Activit�s apr�s l'appro-bation | Exercices financiers | MJANR et budgets supp. des d�penses, MC | Conseils strat�giques |
---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|
n=65 | 4,6 | 16,9 | 15,4 | 3,1 | 3,1 | 12,3 | 15,4 | 21,5 | 7,7 |
Fr�quence | % |
---|---|
n= taille d'�chantillon | n=60 |
Jamais | 1,7 |
Rarement | 10,0 |
Parfois | 50,0 |
Souvent | 23,3 |
Toujours | 13,3 |
Ne sais pas | 1,7 |
Niveau du travail | % |
---|---|
n= taille d'�chantillon | n=59 |
A diminu� | 8,5 |
Est demeur�e la m�me | 45,8 |
A augment� | 45,8 |
Pourcentage de votre charge de travail | % |
---|---|
n= taille d'�chantillon | n=59 |
Moyenne | 49,6 |
0 | 1,7 |
20 | 1,7 |
25 | 3,4 |
30 | 5,1 |
40 | 35,6 |
50 | 22,0 |
60 | 6,8 |
70 | 10,2 |
75 | 8,5 |
80 | 5,1 |
Tr�s inefficace | 3,4 |
---|---|
Un peu inefficace | 30,5 |
Ni inefficace ni efficace | 27,1 |
Un peu efficace | 37,3 |
Tr�s efficace | 1,7 |
n= taille d'�chantillon | n=59 |
Mesures pris? | % |
---|---|
n= taille d'�chantillon | n=58 |
Oui | 50,0 |
Non | 50,0 |
Mesures pris? | % |
---|---|
n= taille d'�chantillon | n=56 |
Oui | 51,8 |
Non | 48,2 |
% | Consid�rablement moins efficace | Quelque peu moins efficace | Aucun changement | Quelque peu plus efficace | Consid�rablement plus efficace | Ne sais pas | n= |
---|---|---|---|---|---|---|---|
Renouvellement de modalit�s par les ministres | 1,7 | 3,4 | 13,8 | 51,7 | 12,1 | 17,2 | n=58 |
Augmentation des pouvoirs d�l�gu�s du minist�re | 1,7 | 5,1 | 20,3 | 50,8 | 16,9 | 5,1 | n=59 |
Approbation du dirigeant principal des finances (DPF) | 6,8 | 5,1 | 25,4 | 42,4 | 20,3 | 0,0 | n=59 |
Changement de proc�dure pour les pr�sentations � faible risque | 0,0 | 0,0 | 6,9 | 51,7 | 37,9 | 3,4 | n=58 |
Changement du calendrier des pr�sentations | 1,7 | 0,0 | 29,3 | 31,0 | 22,4 | 15,5 | n=58 |
Rationalisation du processus d'octroi des cr�dits | 0,0 | 1,7 | 13,6 | 40,7 | 18,6 | 25,4 | n=59 |
R�duire le taux de roulement des analystes / meilleure stabilit� | Modifier le calendrier interne et externe | Disposer d'un plus grand nombre d'outils | Transmettre un message uniforme aux clients et � l'interne | Participation plus r�guli�re des agents financiers; meilleures communications internes | Am�liorer les connaissances des organisations f�d�rales, les comp�tences, le contr�le de la qualit� | Plus de soutien de la part des analystes de programmes (augmenter les outils, la formation; redistribuer la charge de travail) | n= | |
---|---|---|---|---|---|---|---|---|
% | 6,3 | 31,3 | 15,6 | 9,4 | 9,4 | 43,8 | 9,4 | n=32 |
Taux de roulement des analystes (remise � niveau de l'�ducation) | Acceptation des pr�sentations en retard; �tapes du cycle d'attribution des cr�dits | �tape de l'examen par l'analyste principal et l'administrateur | Approbation par le SGD pendant la p�riode du budget des d�penses | Retards par les organisations f�d�rales apr�s la premi�re �bauche | Commentaires des centres strat�giques | Planification inefficace de la charge de travail | n= | |
---|---|---|---|---|---|---|---|---|
% | 2,9 | 11,4 | 11,4 | 2,9 | 28,6 | 31,4 | 25,7 | n=35 |
Organisations f�d�rales pr�parant de mauvaises pr�sentations | N�cessit� d'un meilleur partage de l'information, acc�s aux connaissances; meilleure gestion de la s�quence du travail | Besoin de plus de temps pour assurer une diligence raisonnable | Besoin de plus de formation pour les organisations f�d�rales | n= | |
---|---|---|---|---|---|
% | 12,5 | 50 | 31,3 | 6,25 | n=16 |
Nombres des ann�es | % |
---|---|
n= taille d'�chantillon | n=66 |
Moins d'un an | 15,2 |
1 � 2 ans | 33,3 |
2 � 3 ans | 19,7 |
3 � 4 ans | 10,6 |
4 � 5 ans | 4,5 |
Plus de 5 ans | 16,7 |
Secteur | % |
---|---|
n= taille d'�chantillon | n=66 |
Secteurs des politiques : Dirigeant principal de l'information | 19,7 |
Secteurs des politiques : Op�rations gouvernementales (volet des politiques) | 12,1 |
Secteurs des politiques : Relations de travail et op�rations de r�mun�ration | 1,5 |
Secteurs des politiques : Bureau du contr�leur g�n�ral | 16,7 |
Secteurs des politiques : Pensions et avantages sociaux | 9,1 |
Secteurs des politiques : Gestion des d�penses | 21,2 |
Secteurs des politiques : Service | 1,5 |
Secteurs d'appui : Priorit�s et planification | 1,5 |
Secteurs d'appui : Services minist�riels | 3,0 |
Secteurs d'appui : Services juridiques | 7,6 |
Secteurs d'appui : Affaires r�glementaires | 4,5 |
Autres | 1,5 |
Nombre de pr�sentations | % |
---|---|
n= taille d'�chantillon | n=63 |
Moyenne | 38,7 |
0 | 1,6 |
1 | 1,6 |
2 | 9,5 |
3 | 1,6 |
3 | 4,8 |
4 | 1,6 |
5 | 1,6 |
6 | 6,3 |
7 | 1,6 |
8 | 1,6 |
10 | 9,5 |
12 | 1,6 |
15 | 1,6 |
20 | 3,2 |
22 | 1,6 |
25 | 4,8 |
27 | 1,6 |
30 | 4,8 |
31 | 3,2 |
35 | 1,6 |
40 | 4,8 |
45 | 1,6 |
50 | 3,2 |
60 | 6,3 |
65 | 1,6 |
75 | 3,2 |
80 | 1,6 |
100 | 6,3 |
115 | 1,6 |
135 | 1,6 |
200 | 1,6 |
275 | 1,6 |
% de pr�sentations termin�es qui �taient : | Courantes % | Complexes % | Examen strat�gique % |
---|---|---|---|
0 | 21,2 | ||
1 | 18,2 | ||
2 | 1,8 | 3,0 | |
3 | 3,0 | ||
4 | 1,8 | 3,0 | |
5 | 18,2 | ||
6 | 3,0 | ||
8 | 3,0 | ||
10 | 1,7 | 5,3 | 3,0 |
13 | 3,0 | ||
14 | 3,0 | ||
15 | 8,8 | ||
19 | 1,7 | 1,8 | |
20 | 5,0 | 5,3 | 9,1 |
22 | 1,7 | ||
23 | 1,7 | ||
25 | 1,7 | 19,3 | 6,1 |
26 | 1,8 | ||
30 | 5,3 | ||
33 | 8,8 | ||
35 | 1,8 | ||
37 | 1,8 | ||
40 | 5,0 | 1,8 | |
45 | 1,8 | ||
50 | 15,0 | 14,0 | |
53 | 1,7 | ||
55 | 1,7 | ||
58 | 1,7 | ||
60 | 5,0 | 5,3 | |
65 | 1,7 | 1,8 | |
67 | 5,0 | ||
70 | 6,7 | ||
74 | 1,7 | ||
75 | 11,7 | 3,5 | |
77 | 3,0 | ||
79 | 1,7 | ||
80 | 8,3 | 3,5 | |
84 | 1,7 | ||
85 | 1,7 | ||
90 | 5,0 | 1,8 | |
92 | 1,7 | ||
95 | 1,7 | ||
98 | 1,7 | ||
100 | 6,7 | 3,5 | |
n= taille d'�chantillon | n=60 | n=57 | n=33 |
R�partition globale des pr�sentations | 61,1 % | 34,3 % | 4,5 % |
% | Totalement en d�saccord | En d�saccord | Neutre | En accord | Tout � fait en accord | Ne sais pas | n= |
---|---|---|---|---|---|---|---|
Je comprends tr�s bien les �l�ments des pr�sentations au CT, les politiques et le processus. | 9,2 | 12,3 | 33,8 | 43,1 | 1,5 | n=65 | |
Le Guide pour la pr�paration de pr�sentations au Conseil du Tr�sor m'aide � mieux comprendre les �l�ments des pr�sentations au CT, les politiques et le processus. | 6,6 | 11,5 | 57,4 | 21,3 | 3,3 | n=61 | |
Les outils �labor�s par le SCT m'aident � mieux comprendre les �l�ments des pr�sentations au CT, les politiques et le processus. | 1,7 | 6,9 | 22,4 | 41,4 | 15,5 | 12,1 | n=58 |
Le � camp de formation � pour les analystes du SCT m'a aid� � mieux comprendre les �l�ments des pr�sentations au CT, les politiques et le processus. | 12,0 | 16,0 | 28,0 | 28,0 | 16,0 | n=25 | |
La formation offerte par l'�cole de la fonction publique du Canada (EFPC) au sujet des pr�sentations au CT m'a aid� � mieux comprendre les �l�ments des pr�sentations au CT, les politiques et le processus. | 14,3 | 21,4 | 64,3 | n=14 | |||
J'ai assez de temps pour contribuer aux pr�sentations au CT. | 10,8 | 33,8 | 13,8 | 35,4 | 6,2 | n=65 | |
J'ai bon espoir que les conseils que je donne sont pris en consid�ration dans les versions finales des pr�sentations au CT. | 4,5 | 18,2 | 50,0 | 21,2 | 6,1 | n=66 |
% | Totalement en d�saccord | En d�saccord | Neutre | En accord | Tout � fait en accord | Ne sais pas | n= |
---|---|---|---|---|---|---|---|
Les analystes de programme avec lesquels je travaille ont d�montr�, au fil des ans, qu'ils comprenaient de mieux en mieux les �l�ments des pr�sentations au CT, les politiques et le processus. | 3,2 | 17,7 | 19,4 | 33,9 | 16,1 | 9,7 | n=62 |
Les analystes de programme comprennent tr�s bien les �l�ments des pr�sentations au CT, les politiques et le processus � la suite des activit�s d'�ducation et de sensibilisation offertes par le SCT. | 10,3 | 22,4 | 15,5 | 8,6 | 43,1 | n=58 | |
Les analystes de programme consultent notre �quipe au moment opportun au sujet des pr�sentations. | 32,8 | 23,4 | 32,8 | 9,4 | 1,6 | n=64 | |
Les analystes de programme me transmettent assez d'information pour r�pondre de mani�re appropri�e et offrir des conseils au sujet des pr�sentations. | 3,1 | 18,5 | 13,8 | 49,2 | 15,4 | n=65 | |
Le SCT offre des services qui permettent aux organisations f�d�rales de soumettre des �bauches de pr�sentations conformes aux autorisations, aux politiques et aux orientations du CT. | 1,7 | 15,3 | 37,3 | 11,9 | 33,9 | n=59 | |
Le processus d'examen des pr�sentations au SCT permet de s'assurer que les pr�sentations au CT sont conformes aux autorisations et aux politiques du gouvernement. | 1,6 | 1,6 | 9,7 | 54,8 | 24,2 | 8,1 | n=62 |
% | Totalement en d�saccord | En d�saccord | Neutre | En accord | Tout � fait en accord | Ne sais pas | n= |
---|---|---|---|---|---|---|---|
Le SCT est dot� de m�canismes ad�quats pour assurer le suivi des conditions impos�es aux pr�sentations au CT. | 14,1 | 25,0 | 7,8 | 17,2 | 1,6 | 34,4 | n=64 |
Le SCT transmet la d�cision du CT au moment opportun aux personnes concern�es. | 9,8 | 6,6 | 9,8 | 27,9 | 6,6 | 39,3 | n=61 |
Le SCT transmet la d�cision du CT � toutes les parties exig�es. | 9,8 | 26,2 | 16,4 | 14,8 | 3,3 | 29,5 | n=61 |
Le syst�me de classement des d�cisions du SCT est complet. | 6,5 | 11,3 | 12,9 | 8,1 | 3,2 | 58,1 | n=62 |
Le syst�me de classement des d�cisions du SCT est utilisable. | 4,8 | 9,7 | 16,1 | 11,3 | 1,6 | 56,5 | n=62 |
8. Au cours de la derni�re ann�e, des organisations f�d�rales ont-elles partag� des �bauches aux fins d'analyse ou d'examen et qui ne n�cessitaient pas une pr�sentation au CT?
% | Des �bauches ont-elles �t� partag�es? | Les auteurs ont-ils consult� le SCT avant de partager ces documents? | Des �bauches ont-elles �t� soumises? | Les auteurs ont-ils consult� le SCT avant de soumettre ces documents? |
---|---|---|---|---|
n= taille d'�chantillon | n=64 | n=29 | n=65 | n=7 |
Oui | 45,3 | 44,8 | 10,8 | 42,9 |
Non | 20,3 | 10,3 | 36,9 | |
Ne sais pas | 34,4 | 44,8 | 52,3 | 57,1 |
% | Partag�es | Soumises |
---|---|---|
n= taille d'�chantillon | n=29 | n=7 |
Moyenne | 15,3 | 8,6 |
0 | 17,2 | 28,6 |
10 | 69,0 | 57,1 |
20 | 14,3 | |
40 | 3,4 | |
50 | 3,4 | |
75 | 3,4 | |
80 | 3,4 |
% | Partag�es | Soumises |
---|---|---|
n= taille d'�chantillon | n=28 | n=7 |
Augmente | 21,4 | |
Diminue | 7,1 | |
Demeure le m�me | 32,1 | 14,3 |
Ne sais pas | 39,3 | 85,7 |
Semaines | % |
---|---|
n=taille de l'�chantillon | n=49 |
Moyenne | 10,3 |
6 | 6,1 |
3 | 4,1 |
4 | 4,1 |
5 | 2,0 |
6 | 10,2 |
7 | 2,0 |
8 | 24,5 |
9 | 4,1 |
10 | 8,2 |
12 | 14,3 |
14 | 4,1 |
15 | 4,1 |
16 | 6,1 |
18 | 2,0 |
26 | 2,0 |
56 | 2,0 |
% | Semblaient avoir fait l'objet de consultations internes? | Ont �t� soumises suffisamment � l'avance pour que votre �quipe puisse les examiner ad�quatement? | Suivaient le Guide pour la pr�paration de pr�sentations au Conseil du Tr�sor?? | Comprennaient des risques et des strat�gies d'att�nuation des risques pour votre secteur? | Demandaient les autorisations ad�quates pour votre secteur? | Comprennaient un niveau de justification appropri� et pertinent pour votre secteur? | Compren-naient des renseigne-ments exacts pour votre secteur? | �taient r�dig�es de fa�on claire? |
---|---|---|---|---|---|---|---|---|
n=taille de l'�chantillon | n=58 | n=60 | n=53 | n=50 | n=55 | n=55 | n=59 | n=61 |
Ind. (9,2) | Ind. (5,1) | Ind. (9,2) | Ind. (9,2) | Ind. (9,2) | Ind. (9,2) | Ind. (9,2) | Ind. (9,2) | |
Moyenne | 55,1 | 50,8 | 62,7 | 52,5 | 61,9 | 55,9 | 54,3 | 60,6 |
0 | 13,8 | 8,3 | 5,7 | 12,0 | 7,3 | 10,9 | 8,5 | 3,3 |
10 | 1,7 | 5,0 | 4,0 | 3,4 | 1,6 | |||
20 | 3,4 | 1,7 | 3,8 | 6,0 | 3,6 | 3,6 | 1,7 | 1,6 |
25 | 6,9 | 15,0 | 1,9 | 4,0 | 3,6 | 5,1 | ||
30 | 5,2 | 3,3 | 5,7 | 6,0 | 5,5 | 1,8 | 5,1 | 3,3 |
40 | 5,0 | 1,9 | 2,0 | 7,3 | 10,9 | 8,5 | 9,8 | |
50 | 22,4 | 18,3 | 18,9 | 16,0 | 14,5 | 16,4 | 16,9 | 24,6 |
60 | 3,4 | 5,0 | 7,5 | 12,0 | 9,1 | 7,3 | 13,6 | 4,9 |
70 | 5,2 | 5,0 | 3,8 | 2,0 | 5,5 | 12,7 | 3,4 | 16,4 |
75 | 8,6 | 15,0 | 22,6 | 14,0 | 9,1 | 9,1 | 10,2 | 11,5 |
80 | 5,2 | 6,7 | 7,5 | 8,0 | 21,8 | 7,3 | 10,2 | 11,5 |
90 | 12,1 | 6,7 | 13,2 | 2,0 | 5,5 | 10,9 | 8,5 | 8,2 |
100 | 12,1 | 5,0 | 7,5 | 12,0 | 10,9 | 5,5 | 5,1 | 3,3 |
Connaissance des crit�res de risque | % |
---|---|
n=taille de l'�chantillon | n=66 |
Oui, je les connais, mais je ne les applique pas lorsque j'analyse la pr�sentation et que j'offre des conseils | 33,3 |
Oui, je les connais, et je les applique lorsque j'analyse la pr�sentation et que j'offre des conseils | 41,3 |
Non, je ne les connais pas | 25,4 |
Appliqu�s uniform�ment? | % |
---|---|
n=taille de l'�chantillon | n=61 |
Oui | 14,8 |
Non | 21,3 |
Ne sais pas | 63,9 |
Niveau de compr�hension g�n�rale | % |
---|---|
n=sample size | n=62 |
Consid�rablement moins bonne | 3,2 |
Un peu moins bonne | 19,4 |
Aucun changement (ni meilleure ni pire) | 43,5 |
Un peu am�lior�e | 27,4 |
Consid�rablement am�lior�e | 6,5 |
% | Qualit� des pr�sen-tations | Calendrier | Processus de gestion des documents utilis�s dans l'ensemble du SCT | R�tro-action insuffi-sante par suite des d�cisions du CT; mauvais suivi des conditions impos�es par le SCT | S�paration des deux r�les du SCT en tant qu'organis-me central et minist�re, et l'incidence sur ses r�les et responsa-bilit�s | Compr�-hension limit�e du r�le strat�gique par les analystes de programme, de leur charge de travail et du taux de roulement | Manque d'unifor-mit� des conseils; absence d'une approche coor-donn�e | Processus laborieux | D�sorga-nisation du minist�re; ne comprend pas les outils | Probl�mes � l'�gard de l'infor-mation financi�re | n= |
---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|
1er | 29,1 | 40,0 | 3,6 | 0,0 | 0,0 | 10,9 | 5,5 | 5,5 | 3,6 | 1,8 | n=55 |
2e | 21,6 | 19,6 | 13,7 | 0,0 | 2,0 | 7,8 | 3,9 | 13,7 | 11,8 | 5,9 | n=51 |
3e | 7,0 | 11,6 | 20,9 | 11,6 | 2,3 | 9,3 | 2,3 | 16,3 | 11,6 | 7,0 | n=43 |
% | Outils du SCT | Processus rigoureux–exhaustif, r�sultats clairs, �valuation des risques, ax� sur les priorit�s | Soutien des employ�s du SCT; bon processus de consultation | Changements r�cents avantageux | Communication efficace qui favorise les relations externes | Registre du SEP; suivi des pr�sentations | n= |
---|---|---|---|---|---|---|---|
1er Strength | 6,5 | 50,0 | 32,6 | 0,0 | 6,5 | 4,3 | n=46 |
2e Strength | 11,8 | 41,2 | 20,6 | 5,9 | 17,6 | 2,9 | n=34 |
3e Strength | 13,0 | 43,5 | 21,7 | 17,4 | 0,0 | 4,3 | n=23 |
% | Conseils et consultation pr�c�dant les pr�sentations? | Examen et consultation au sujet des pr�sentations? | S�ances d'information; pr�paration des documents d'information (p. ex., pr�cis)? | Autres activit�s ayant trait aux pr�sentations au CT? | Autres activit�s non li�es aux pr�sentations au CT? |
---|---|---|---|---|---|
Temps moyen pour chaque activit� | 15,5% | 29,2% | 6,6% | 9,0% | 39,7% |
% | �laboration de politiques, activit�s de gestion | Pr�sen-tations de la partie B | Activit�s li�es au CRG | Prestation de conseils | Examens strat�giques | Surveillance de la TI | Activit�s apr�s l'appro-bation | Exercices financiers | MJANR et budgets suppl�-mentaires des d�penses |
---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|
n=38 | 18,4 | 5,3 | 15,8 | 21,1 | 5,3 | 7,9 | 7,9 | 10,5 | 7,9 |
Avez eu suffisamment de temps malgr� votre charge de travail pour offrir des conseils | % |
---|---|
n=taille de l'�chantillon | n=66 |
Jamais | 1,5 |
Rarement | 15,2 |
Parfois | 34,8 |
Souvent | 36,4 |
Toujours | 6,1 |
Ne sais pas | 6,1 |
Niveau de votre charge de travail | % |
---|---|
n=taille de l'�chantillon | n=64 |
A diminu� | 7,8 |
Est demeur�e la m�me | 37,5 |
A augment� | 48,4 |
Ne sais pas | 6,3 |
% | |
---|---|
n=taille de l'�chantillon | n=52 |
Tr�s inefficace | 7,9 |
Un peu inefficace | 34,9 |
Ni inefficace ni efficace | 19,0 |
Un peu efficace | 34,9 |
Tr�s efficace | 3,2 |
Mesures pris? | % |
---|---|
n=taille de l'�chantillon | n=63 |
Oui | 38,5 |
Non | 61,5 |
% | Pouvoirs d�l�gu�s | Nouveaux outils | Accent mis sur les pr�sentations � risque �lev� et � valeur ajout�e | Aucune mesure prise / ne suis pas au courant | Plus de personnel | �liminer la n�cessit� d'approuver la pr�sentation apr�s la date de la r�union du Conseil du Tr�sor | Modification apport�e au SIGD |
---|---|---|---|---|---|---|---|
Au courant de certaines mesures | 5 | 5 | 4 | 5 | 2 | 2 | 1 |
Croit que les mesures sont meilleures | 0 | 1 | 0 | 0 | 0 | 0 | 0 |
Croit que les mesures ne sont pas meilleures | 0 | 1 | 0 | 0 | 0 | 0 | 1 |
n=24 |
% | Consid�rablement moins efficace | Quelque peu moins efficace | Aucun changement | Quelque peu plus efficace | Consid�rablement plus efficace | Ne sais pas | n= |
---|---|---|---|---|---|---|---|
Renouvellement de modalit�s par les ministres | 1,5 | 7,6 | 36,4 | 13,6 | 40,9 | n=66 | |
Augmentation des pouvoirs d�l�gu�s du minist�re | 1,5 | 4,5 | 4,5 | 37,9 | 18,2 | 33,3 | n=66 |
Approbation du dirigeant principal des finances (DPF) | 4,5 | 9,1 | 28,8 | 28,8 | 28,8 | n=66 | |
Changement de proc�dure pour les pr�sentations � faible risque | 1,5 | 3,0 | 6,1 | 39,4 | 33,3 | 16,7 | n=66 |
Changement du calendrier des pr�sentations | 1,6 | 6,3 | 27,0 | 27,0 | 38,1 | n=63 | |
Rationalisation du processus d'octroi des cr�dits | 1,5 | 1,5 | 1,5 | 30,3 | 12,1 | 53,0 | n=66 |
% | Rendre le processus plus objectif et moins subjectif; meilleure harmonisation et rationalisation | Analystes mieux form�s; plus grand nombre d'analystes renseign�s sur le processus interne | Meilleure mobilisation des organisations f�d�rales et du SCT; tenue de consultations plus t�t et soutien des organisations f�d�rales | Meilleur �ch�ancier | Meilleur syst�me de suivi interne et de document | Harmonisation des pr�sentations de la partie A avec celles de la partie B | R�union r�guli�re des groupes de travail du SCT pour �valuer les am�liorations et les modifications en cours |
---|---|---|---|---|---|---|---|
n=29 | 20,7 | 27,6 | 44,8 | 6,9 | 27,6 | 3,4 | 6,9 |
% | Retards des organisations f�d�rales; l'organisation f�d�rale attend au dernier jour de s�ance; mauvaises �bauches pr�sent�es par l'organisation f�d�rale | Manque de connaissances internes des processus internes et des communications internes | Approbations et contraintes de temps en raison de pressions politiques et de s�rie de pr�sentations | Aucune |
---|---|---|---|---|
n=22 | 31,8 | 22,7 | 22,7 | 9,1 |
% | N�cessit� d'avoir plus de temps pour faire un meilleur travail (DDPI) | R�sister aux attentes irr�alistes des organisations f�d�rales � l'�gard des d�lais; sensibiliser les organisations f�d�rales � cet �gard | Davantage de conditions et de suivi, par cons�quent | Plus de partage de l'information interne, plus d'information pr�cise disponible et r�duction de l'information contradictoire | Plus de formation intensive offerte aux analystes de programme | Adoption d'un plus grand nombre de mesures du rendement, d'�l�ments probants de la v�rification et de l'�valuation � l'�tape des MC | Augmentation du temps consacr� � l'examen des pr�sentations � risque �lev� | N�cessit� de solutions � l'�chelle du GC / d'investissements plut�t que de solutions ponctuelles co�teuses par les organisations f�d�rales |
---|---|---|---|---|---|---|---|---|
n=18 | 11,1 | 11,1 | 5,6 | 33,3 | 22,2 | 5,6 | 5,6 | 5,6 |
Nombres des ann�es | % |
---|---|
n=taille de l'�chantillon | n=94 |
Moins d'un an | 18,1 |
1 � 2 ans | 28,7 |
2 � 3 ans | 25,5 |
3 � 4 ans | 10,6 |
4 � 5 ans | 3,2 |
Plus de cinq ans | 13,8 |
Organisation f�d�rale | % |
---|---|
n=taille de l'�chantillon | n=92 |
Affaires �trang�res et Commerce international Canada | 7,6 |
Affaires indiennes et du Nord Canada | 1,1 |
Bureau du Conseil priv� | 1,1 |
D�fense nationale et Forces canadiennes | 4,3 |
Gedarmerie royale du Canada | 1,1 |
Industrie Canada | 1,1 |
Infrastructure Canada | 1,1 |
Patrimoine canadien | 4,3 |
P�ches et Oc�ans Canada | 1,1 |
Portefeuille des transports, de l'infrastructure et des collectivit�s | 6,5 |
Ressources humaines et D�veloppement des comp�tences Canada | 17,4 |
Ressources naturelles Canada | 1,1 |
Sant� Canada | 1,1 |
Secr�tariat du Conseil du Tr�sor du Canada | 7,6 |
Travaux publics et Services gouvernementaux Canada | 8,7 |
Autres | 34,8 |
Autres | % |
---|---|
n=taille de l'�chantillon | n=30 |
Agence canadienne d'�valuation environnementale | 3,3 |
Agence canadienne d'inspection des aliments | 6,7 |
Agence de la fonction publique du Canada | 13,3 |
Agence de promotion �conomique du Canada Atlantique | 3,3 |
Agence des services frontaliers du Canada | 3,3 |
Anciens Combattants Canada | 3,3 |
Bureau du Commissaire � la magistrature f�d�rale | 3,3 |
Commissariat au lobbying | 3,3 |
Commission canadienne de s�ret� nucl�aire | 3,3 |
Commission de la fonction publique du Canada | 10,0 |
Commission des relations de travail dans la fonction publique | 3,3 |
Condition f�minine Canada | 3,3 |
Conseil de recherches en sciences humaines | 3,3 |
�nergie atomique du Canada | 3,3 |
Environnement Canada | 3,3 |
Exportation et d�veloppement Canada | 3,3 |
Minist�re des Finances du Canada | 3,3 |
Mus�e canadien de la nature | 3,3 |
Mus�e canadien des civilisations | 3,3 |
Office national du film du Canada | 3,3 |
S�curit� publique Canada | 0,0 |
Service administratif des tribunaux judiciaires | 3,3 |
Service correctionnel Canada | 3,3 |
Soci�t� canadienne des postesa | 3,3 |
Nombres d'analystes | % |
---|---|
n=taille de l'�chantillon | n=89 |
Moyenne | 3,2 |
1 | 29,2 |
2 | 18,0 |
3 | 21,3 |
4 | 11,2 |
5 | 5,6 |
6 | 2,2 |
7 | 4,5 |
8 | 1,1 |
9 | 1,1 |
10 | 4,5 |
11 | 1,1 |
Quelles personnes consulter? | % |
---|---|
n=taille de l'�chantillon | n=94 |
Oui | 95,7 |
Non | 4,3 |
Nombres des pr�sentations | % |
---|---|
n=taille de l'�chantillon | n=91 |
Moyenne | 11,1 |
0 | 3,3 |
1 | 17,6 |
2 | 16,5 |
3 | 17,6 |
4 | 6,6 |
5 | 7,7 |
6 | 2,2 |
8 | 2,2 |
9 | 1,1 |
10 | 2,2 |
12 | 1,1 |
16 | 1,1 |
17 | 1,1 |
20 | 3,3 |
25 | 2,2 |
27 | 1,1 |
30 | 3,3 |
35 | 2,2 |
40 | 2,2 |
50 | 1,1 |
51 | 1,1 |
75 | 1,1 |
100 | 2,2 |
% de pr�sentations termin�es qui �taient : | Courantes % | Complexes % | Examen strat�gique % |
---|---|---|---|
n=taille de l'�chantillon | n=80 | n=71 | n=41 |
Examen strat�gique % | 56,6% | 39,3% | 4,1% |
0 | 2,5 | 5,6 | 53,7 |
2 | 2,4 | ||
3 | 2,4 | ||
6 | 2,4 | ||
10 | 1,4 | 12,2 | |
17 | 1,4 | 2,4 | |
20 | 5,6 | 4,9 | |
23 | 2,4 | ||
25 | 5,0 | 8,5 | 9,8 |
28 | 1,4 | ||
30 | 6,3 | 4,2 | 2,4 |
33 | 1,3 | 5,6 | |
34 | 4,2 | ||
37 | 1,3 | ||
40 | 8,8 | 5,6 | 2,4 |
44 | 1,3 | ||
45 | 1,3 | ||
47 | 1,3 | 1,4 | |
50 | 20,0 | 23,9 | 2,4 |
60 | 3,8 | 5,6 | |
66 | 5,0 | ||
67 | 3,8 | 1,4 | |
70 | 2,5 | 7,0 | |
75 | 5,0 | 1,4 | |
80 | 5,0 | ||
100 | 26,3 | 15,5 |
Nombres des pr�sentations visait � obtenir des exemptions ou des exclusions | % |
---|---|
n=taille de l'�chantillon | n=87 |
Moyenne | 10,5 |
0 | 57,5 |
10 | 19,5 |
20 | 5,7 |
25 | 4,6 |
30 | 4,6 |
50 | 5,7 |
70 | 1,1 |
100 | 1,1 |
Avez eu la possibilit� d'assister aux s�ances de formation et d'apprentissage | % |
---|---|
n=taille de l'�chantillon | n=94 |
Oui | 34,0 |
Non | 66,0 |
% | Totalement en d�saccord | En d�saccord | Neutre | En accord | Tout � fait en accord | Ne sais pas | n= |
---|---|---|---|---|---|---|---|
Je comprends tr�s bien les �l�ments des pr�sentations au CT, les politiques et le processus. | 5,3 | 10,6 | 39,4 | 43,6 | 1,1 | n=94 | |
Le Guide pour la pr�paration de pr�sentations au Conseil du Tr�sor m'aide � mieux comprendre les �l�ments des pr�sentations au CT, les politiques et le processus. | 1,1 | 7,4 | 11,7 | 50,0 | 23,4 | 6,4 | n=94 |
Les outils �labor�s par le SCT m'aident � mieux comprendre les �l�ments des pr�sentations au CT, les politiques et le processus. | 13,0 | 20,7 | 40,2 | 9,8 | 16,3 | n=94 | |
Les activit�s de sensibilisation du SCT m'ont aid� � mieux comprendre les �l�ments des pr�sentations au CT, les politiques et le processus. | 2,2 | 22,6 | 22,6 | 23,7 | 10,8 | 18,3 | n=94 |
En r�gle g�n�rale, les analystes du SCT offrent des services qui nous permettent de soumettre des �bauches de pr�sentations conformes aux autorisations, aux politiques et aux orientations du CT. | 4,3 | 10,6 | 50,0 | 28,7 | 6,4 | n=94 | |
En r�gle g�n�rale, les analystes du SCT offrent des conseils strat�giques et une interpr�tation uniformes au sujet des pr�sentations au CT � l'�tape pr�c�dant la pr�sentation. | 1,1 | 22,6 | 18,3 | 34,4 | 15,1 | 8,6 | n=94 |
En r�gle g�n�rale, le processus d'examen des pr�sentations au sein du SCT permet de s'assurer que les pr�sentations au CT sont conformes aux autorisations et aux politiques du gouvernement. | 1,1 | 2,2 | 9,9 | 47,3 | 31,9 | 7,7 | n=94 |
En r�gle g�n�rale, les analystes du SCT offrent des conseils uniformes au sujet des pr�sentations au CT au cours de l'examen de la pr�sentation au CT. | 6,4 | 21,3 | 11,7 | 41,5 | 13,8 | 5,3 | n=94 |
En r�gle g�n�rale, les analystes du SCT offrent des conseils judicieux au sujet des pr�sentations au CT au cours de l'examen de la pr�sentation au CT. | 1,1 | 8,5 | 21,3 | 43,6 | 18,1 | 7,4 | n=94 |
En r�gle g�n�rale, les analystes du SCT offrent des conseils utiles au sujet des pr�sentations au CT au cours de l'examen de la pr�sentation au CT. | 2,1 | 10,6 | 19,1 | 45,7 | 17,0 | 5,3 | n=94 |
En r�gle g�n�rale, les analystes du SCT offrent des conseils en temps opportun au sujet des pr�sentations au CT au cours de l'examen de la pr�sentation au CT. | 5,3 | 17,0 | 19,1 | 35,1 | 19,1 | 4,3 | n=93 |
Le SCT transmet au moment opportun la d�cision du CT au sujet de nos pr�sentations. | 2,2 | 6,5 | 17,2 | 30,1 | 35,5 | 8,6 | n=94 |
Notre organisation f�d�rale est dot�e de m�canismes ad�quats pour assurer le suivi des conditions impos�es aux pr�sentations au CT. | 4,3 | 14,9 | 12,8 | 30,9 | 24,5 | 12,8 | n=94 |
Semaines | Pourcen-tage valide |
---|---|
n=taille de l'�chantillon | n=85 |
Moyenne | 8,9 |
2 | 2,4 |
3 | 3,5 |
4 | 7,1 |
5 | 4,7 |
6 | 18,8 |
7 | 3,5 |
8 | 18,8 |
9 | 8,2 |
10 | 8,2 |
11 | 2,4 |
12 | 9,4 |
13 | 1,2 |
14 | 3,5 |
16 | 3,5 |
22 | 1,2 |
26 | 3,5 |
% | Avaient fait l'objet des consultations internes exig�es avant d'�tre soumises au SCT? | Ont �t� soumises, selon vous, suffisamment � l'avance pour que le SCT puisse les examiner ad�quatement? | Suivaient le Guide pour la pr�paration de pr�sentations au Conseil du Tr�sor?? | Comprennaient des risques et des strat�gies d'att�nuation des risques? | Demandaient les autorisations appropri�es? | Comprennaient un niveau de justification appropri�? | Comprennaient des renseignements exacts (p. ex. tableaux financiers exacts)? | �taient r�dig�es clairement? |
---|---|---|---|---|---|---|---|---|
n=taille de l'�chantillon | n=85 | n=87 | n=83 | n=85 | n=85 | n=85 | n=85 | n=84 |
Ind. (9,2) | Ind. (5,2) | Ind. (9,2) | Ind. (9,2) | Ind. (9,2) | Ind. (9,2) | Ind. (9,2) | Ind. (9,2) | |
Moy. | 83,1 | 83,0 | 83,7 | 76,4 | 90,3 | 89,8 | 90,8 | 88,3 |
0 | 6,0 | 7,1 | 1,2 | |||||
10 | 2,3 | |||||||
20 | 1,1 | 2,4 | 1,2 | 1,2 | ||||
25 | 2,4 | 1,1 | 2,4 | 1,2 | ||||
30 | 4,7 | 1,1 | 1,2 | 1,2 | ||||
40 | 1,2 | 1,2 | ||||||
50 | 9,4 | 5,7 | 2,4 | 15,3 | 1,2 | 2,4 | 3,5 | 6,0 |
60 | 3,5 | 2,3 | 2,4 | 7,1 | 2,4 | 2,4 | 1,2 | 1,2 |
70 | 3,5 | 5,7 | 3,6 | 4,7 | 2,4 | 4,7 | 2,4 | 1,2 |
75 | 4,7 | 8,0 | 1,2 | 5,9 | 5,9 | 5,9 | 3,5 | 8,3 |
80 | 12,9 | 18,4 | 15,7 | 4,7 | 4,7 | 9,4 | 11,8 | 10,7 |
90 | 9,4 | 11,5 | 16,9 | 12,9 | 14,1 | 16,5 | 21,2 | 21,4 |
100 | 49,4 | 42,5 | 49,4 | 41,2 | 64,7 | 56,5 | 55,3 | 48,8 |
Niveau de sensibilisation | % |
---|---|
n=taille de l'�chantillon | n=94 |
Oui, nous les connaissons, mais nous ne les appliquons pas lorsque nous analysons la pr�sentation et que nous offrons des conseils | 7,8 |
Oui, nous les connaissons, et nous les appliquons lorsque nous analysons la pr�sentation et que nous offrons des conseils | 50,0 |
Non, je ne les connais pas | 42,2 |
Propres crit�res de risque | % |
---|---|
n=taille de l'�chantillon | n=94 |
Oui, nous les connaissons, mais nous ne les appliquons pas lorsque nous pr�parons nos pr�sentations au CT | 3,3 |
Oui, nous les connaissons, et nous les appliquons lorsque nous pr�parons nos pr�sentations au CT | 52,7 |
Non, nous ne les connaissons pas | 44,0 |
Les crit�res de risque sont appliqu�s de mani�re uniforme? | % |
---|---|
n=taille de l'�chantillon | n=94 |
Oui | 23,1 |
Non | 19,8 |
Ne sais pas | 57,1 |
% | Conseils divergents ou inad�quats des analystes du SCT; taux de roulement des analystes | Complexit� de l'information demand�e; trop d'information dans les pr�sentations | Guide et outils insuffisants | Probl�mes de temps | Probl�mes li�s au processus (y compris les pressions politiques) et exigences changeant constamment | Questions minist�rielles internes | R�ception des messages du SCT; capacit� du SCT | n= |
---|---|---|---|---|---|---|---|---|
1re difficult� | 20,5 | 9,6 | 2,4 | 36,1 | 21,7 | 7,2 | 2,4 | n=83 |
2e difficult� | 26,3 | 13,8 | 1,3 | 18,8 | 21,3 | 13,8 | 5,0 | n=80 |
3e difficult� | 19,2 | 20,5 | 5,5 | 21,9 | 17,8 | 6,8 | 8,2 | n=74 |
% | Outils utiles (en g�n�ral) | Soutien offert par des analystes serviables | Assure une analyse de cas solide, diligence, responsabilisation, remise en question et normes | Calendrier bien compris | Assure une rigueur future pour les organisations f�d�rales et le GC | Le SCT est ouvert aux suggestions, coop�ratif; processus de collaboration comprenant une fonction de r�troaction | Favorise les points forts du minist�re | n= |
---|---|---|---|---|---|---|---|---|
1er point fort | 18,3 | 29,6 | 36,6 | 0,0 | 4,2 | 8,5 | 2,8 | n=71 |
2e point fort | 6,7 | 31,7 | 28,3 | 5,0 | 8,3 | 15,0 | 5,0 | n=60 |
3e point fort | 2,7 | 16,2 | 29,7 | 8,1 | 13,5 | 24,3 | 5,4 | n=37 |
Niveau de votre charge de travail | % |
---|---|
N= taille de l'�chantillon | n=89 |
A diminu� | 4,5 |
Est demeur�e la m�me | 28,1 |
A augment� | 67,4 |
Niveau d'efficace | % |
---|---|
n=taille de l'�chantillon | n=91 |
Tr�s inefficace | 8,8 |
Un peu inefficace | 33,0 |
Ni inefficace ni efficace | 17,6 |
Un peu efficace | 38,5 |
Tr�s efficace | 2,2 |
Mesures pour am�liorer? | % |
---|---|
n=taille de l'�chantillon | n=81 |
Oui | 45,7 |
Non | 54,3 |
% | Guide | Sensibili-sation | R�le d�s les premiers jours de l'analyste en tant que conseiller de confiance | R�duction du nombre de pr�sen-tations | Nouveaux mod�les et protocoles | Calendrier clair | Pas au courant des nouvelles mesures | Faire participer les finances pour des tableaux financiers | Meilleure commu-nication |
---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|
Au courant de certaines mesures | 26,7 | 8,9 | 13,3 | 2,2 | 17,8 | 8,9 | 4,4 | 8,9 | 8,9 |
Croit que les mesures sont meilleures | 8,9 | 4,4 | 4,4 | 0,0 | 4,4 | 0,0 | 0,0 | 0,0 | 0,0 |
Croit que les mesures ne sont pas meilleures | 2,2 | 0,0 | 2,2 | 0,0 | 2,2 | 2,2 | 0,0 | 4,4 | 0,0 |
n=45 |
% | Consid�rablement moins efficace | Un peu moins efficace | Aucun changement | Un peu plus efficace | Consid�rablement plus efficace | Ne sais pas | n= |
---|---|---|---|---|---|---|---|
Renouvellement de modalit�s par les ministres | 1,1 | 2,2 | 9,0 | 30,3 | 38,2 | 19,1 | n=89 |
Augmentation des pouvoirs d�l�gu�s du minist�re | 1,1 | 3,3 | 11,1 | 22,2 | 43,3 | 18,9 | n=90 |
Approbation du dirigeant principal des finances (DPF) | 13,3 | 24,4 | 23,3 | 13,3 | 22,2 | 3,3 | n=90 |
Changement de proc�dure pour les pr�sentations � faible risque | 1,1 | 2,2 | 6,6 | 29,7 | 47,3 | 13,2 | n=91 |
Changement du calendrier des pr�sentations | 6,7 | 15,6 | 20,0 | 18,9 | 11,1 | 27,8 | n=90 |
Rationalisation des processus d'octroi des cr�dits | 2,2 | 12,2 | 32,2 | 21,1 | 32,2 | n=90 |
Meilleurs outils; mod�les pr�cis adapt�s pour les pr�sen-tations r�currentes, mise � jour du Guide | Tenue de r�unions d'infor-mation plus r�guli�re-ment avec le personnel du SCT, dis-cussions proactives et non r�actives tenues plus t�t | Plus de formation qui inclut le contexte et les besoins du SCT | D�lais plus stricts entre les soci�t�s d'�tat et les minist�res, les soci�t�s d'�tat travaillent directement avec le SCT | Analystes du SCT ayant des connais-sances du minist�re; stabilit� des analystes | Examen limit� de l'�bauche et r�troaction exhaustive et uniforme en temps opportun | Ombuds-man ou arbitre pour l'examen; contourner les modifica-tions mineures ou les personnes difficilles | Explica-tions, justifications et d�cisions claires pour la prochaine fois | D�l�gation au sein du SCT pour les pr�sen-tations dont les d�penses ont �t� approuv�es � l'avance | Meilleur calendrier | Rationali-sation du processus; �limination du r�le minist�riel pour le budget supp. des d�penses et la MJANR | n= | |
---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|
% | 6,8 | 13,6 | 4,5 | 6,8 | 13,6 | 18,2 | 4,5 | 4,5 | 4,5 | 4,5 | 18,2 | 44 |
Les bons analystes ont fait en sorte que le processus se d�roule bien | Discr�tion, commentaires contradictoires et instabilit� des analystes, normes non uniformes et r�le parfois impr�cis, ce qui cr�e des difficult�s [non souhait�es] | Les consid�rations strat�giques compromettent le processus | Il faut rationaliser certaines pr�sentations pour devenir plus efficace | Il faut un processus ax� sur la coop�ration et les consultations | Il est essentiel de prendre le temps de produire une premi�re �bauche de qualit� pour assurer l'efficacit� du processus | n= | |
---|---|---|---|---|---|---|---|
% | 16,7 | 26,7 | 10,0 | 13,3 | 30,0 | 3,3 | n=30 |
Voici des observations plus pr�cises pour chacun des outils :
Afin de rationaliser le processus des pr�sentations, le SCT a analys� et adopt� plusieurs mesures en vue d'�liminer la n�cessit� d'une pr�sentation. Ainsi, pendant la journ�e de r�flexion du Comit� ex�cutif du SCT (COEX) � l'automne 2007, on a soulign� que les pouvoirs d�l�gu�s n'ont pas suivi l'inflation ni l'augmentation de la capacit� des minist�res; il y a donc beaucoup de pr�sentations au CT transactionnelles pr�sentant un faible risque2. Bien que l'augmentation des pouvoirs d�l�gu�s tenant compte de l'inflation n'ait pas �limin� la n�cessit� d'un grand nombre de pr�sentations, pour quelques petits organismes qui soumettent fr�quemment un grand nombre de pr�sentations � faible risque, il est possible d'�liminer chaque ann�e la n�cessit� de pr�senter plus de 30 pr�sentations3 . Il y aura ainsi plus de temps au SCT pour les pr�sentations � haut risque et les initiatives strat�giques4.
Le renouvellement des modalit�s des programmes repr�sente une part importante des activit�s du Conseil du Tr�sor (plus de 700 pr�sentations re�ues entre juin 2000 et septembre 2007). Pendant la journ�e de r�flexion du COEX, on a propos� que les ministres soient autoris�s � reconduire les modalit�s pour un maximum de trois ans. Le Conseil du Tr�sor aura ainsi plus de temps pour discuter des activit�s pr�sentant une valeur strat�gique ou un risque �lev�. Les ministres assumeront la responsabilit� des modalit�s des programmes et leurs minist�res auront le temps d'adapter les modalit�s en fonction des nouvelles politiques et du r�sultat des examens strat�giques5.
Pour �tre admissibles � des pouvoirs d�l�gu�s accrus, les minist�res devront faire preuve de pratiques rigoureuses en mati�re de gestion. Parmi les 39 organisations qui ont fait l'objet de l'examen, 8 d'entre elles ont �t� recommand�es � titre de candidats possibles pour l'augmentation des pouvoirs d�l�gu�s. Les raisons justifiant l'absence de recommandations sont, entre autres, les suivantes : absence ou insuffisance des exp�riences ant�rieures, probl�me li� � la capacit� de g�rer des subventions et des contributions, faible volume de pr�sentations ayant peu de r�percussions sur la charge de travail, seuils actuels ou examens individuels jug�s appropri�s6. Par cons�quent, pour avoir des pouvoirs d�l�gu�s accrus, une organisation f�d�rale doit montrer que le premier et le deuxi�me objectif du processus des pr�sentations (surveillance et gestion) peuvent �tre atteints � l'interne. Autrement dit, l'organisation peut assurer la gestion avec succ�s et la surveillance n'est pas n�cessaire.
On a �galement soulign� pendant la journ�e de r�flexion du COEX que les analystes du Conseil du Tr�sor perdent beaucoup de temps � revoir les pr�sentations de mauvaise qualit� soumises par les organisations f�d�rales � l'�tat d'�bauche. On propose qu'avant leur examen par le SCT, les �bauches soient sign�es par le dirigeant principal des finances (DPF) ou son d�l�gataire pour confirmer qu'elles sont compl�tent et que l'information est de qualit� satisfaisante7. Cela aiderait les analystes � assumer leur r�le de facilitateur et celui en mati�re de qualit� puisqu'ils pourraient consacrer plus de temps � l'analyse plut�t qu'au contr�le de la qualit�. De plus, des conditions seraient impos�es uniquement pour des pr�sentations pr�sentant un risque �lev�.
Sujet | D�finition |
---|---|
Conseil du Tr�sor | Comit� l�gislatif du Cabinet cr�� en vertu de la Loi sur la gestion des finances publiques. Il se compose de six ministres, y compris le pr�sident du Conseil du Tr�sor et le ministre des Finances qui se r�unissent p�riodiquement pour �tudier les pr�sentations des organisations f�d�rales. |
Cabinet | Le Cabinet �tablit les priorit�s et les politiques du gouvernement, d�termine les mesures l�gislatives qui seront soumises au Parlement et autorise les d�penses des minist�res et l'affectation de fonds. Le Cabinet est compos� des ministres nomm�s sur la recommandation du premier ministre. |
Bureau du Conseil priv� | L'organe consultatif officiel de la Couronne dont les membres sont nomm�s par le gouverneur g�n�ral sur la recommandation du premier ministre. Le greffier du Conseil priv� est le plus haut fonctionnaire apolitique du gouvernement du Canada et il offre un appui impartial et professionnel au premier ministre. |
Pr�cis | Document pr�par� par le Secr�tariat du Conseil du Tr�sor � l'intention du Conseil du Tr�sor. Il pr�sente les recommandations du Secr�tariat par rapport aux pr�sentations au Conseil du Tr�sor. |
Syst�me d'information sur la gestion des d�penses | Syst�me s�curis� et int�gr� du service du budget que le Secr�tariat du Conseil du Tr�sor du Canada utilise dans le cadre de son r�le de gestion des d�penses. |
Programme de changement | D�fini selon le contexte |
Secteurs de programme du SCT | Les secteurs qui appuient le Conseil du Tr�sor dans son r�le de conseil de gestion et de service du budget du gouvernement comme le Secteur des programmes �conomiques, le Secteur des affaires internationales, de la s�curit� et de la justice, le Secteur des programmes sociaux et culturels et le Secteur des op�rations gouvernementales. Ce sont des points de contact uniques au moyen desquels les minist�res communiquent avec le SCT � propos de divers sujets, comme les pr�sentations au Conseil du Tr�sor et les �valuations du cadre de responsabilisation de gestion (CRG) |
Centre des pr�sentations du Conseil du Tr�sor | Le Centre des pr�sentations du Conseil du Tr�sor fait partie de la Division de communications strat�giques et affaires minist�rielles. Il offre des services de soutien et des conseils �clair�s au Secr�tariat, au Conseil du Tr�sor et aux autres organisations f�d�rales par rapport aux processus et aux proc�dures des pr�sentations (y compris le suivi et l'imposition des �ch�ances). |
Camps de formation du SCT | Ce sont des s�ances d'orientation de deux jours qui pr�sentent une vue d'ensemble des responsabilit�s, des projets et des activit�s du SCT. En ce moment, le SCT offre des camps formation portant sur 12 th�mes distincts parmi lesquels figurent � les travaux des subsides et le processus d'examen des pr�visions budg�taires � et les � Soci�t�s d'�tat �. |
Structure de la gestion, des ressources et des r�sultats | La Politique sur la structure de la gestion, des ressources et des r�sultats favorise l'�laboration d'une approche pangouvernementale � la prise en compte et � la gestion du rapport entre l'utilisation des ressources et les r�sultats qui en d�coulent. De plus, elle repr�sente une base coh�rente et durable pour la collecte, la gestion et la pr�sentation au Parlement des donn�es financi�res et non financi�res. |
Examens strat�giques | Les examens strat�giques sont les �valuations, men�es par les minist�res, de toutes les d�penses de programmes directes en vue de garantir une gestion efficace et efficiente des programmes. Ces examens favorisent une approche rigoureuse, et ax�e sur les r�sultats, � la gestion responsable de l'argent des contribuables et facilitent la prestation des programmes efficaces et efficients qui correspondent aux priorit�s des Canadiens. |
1. Source : Guide pour la pr�paration des pr�sentations au Conseil du Tr�sor
2. Renvoie � toutes les pr�sentations au Conseil du Tr�sor � l'exception des d�crets en conseil exigeant une recommandation du Conseil du Tr�sor.
3. L'�tude n'�valuait pas la qualit� des pr�sentations au Conseil du Tr�sor et des documents connexes de type pr�cis. Les conclusions reposent sur des donn�es qualitatives recueillies � m�me un sondage et des entrevues r�alis�es avec des intervenants.
4. Ces questions sont tir�es des d�finitions des termes � pertinence �, � efficacit� � et � �conomie � pr�sent�es � l'annexe A de la Politique sur l'�valuation du Conseil du Tr�sor.
5. Guide pour la pr�paration des pr�sentations au Conseil du Tr�sor.
6. Un examen limit� des mod�les de processus des pr�sentations utilis�s dans d'autres administrations (voir la section sur la m�thodologie) r�v�le que le r�le jou� par les secr�taires adjoints du Secr�tariat, lorsqu'ils soumettent au Conseil du Tr�sor une pr�sentation d'une organisation f�d�rale, peut �tre consid�r� unique.
7. Les secteurs des programmes du Secr�tariat sont charg�s d'examiner la gestion des ressources financi�res des organisations f�d�rales et d'offrir des conseils � cet �gard.
8. Guide pour la pr�paration des pr�sentations au Conseil du Tr�sor.
9. Le terme � analystes du Secr�tariat � d�signe les analystes de programme et les analystes des CE.
10. Autre que le Conseil du Tr�sor, il comprend g�n�ralement un comit� charg� des politiques.
11. Il est � noter que lorsque le Secr�tariat pr�pare une pr�sentation au Conseil du Tr�sor en son propre nom, il est consid�r� en tant qu'une organisation f�d�rale comme tout autre.
12. Il n'y a aucune d�finition officielle du terme � complexit� �. Par cons�quent, l'�valuation a utilis� les crit�res des r�pondants, soit � complexe � et � courante �. Il est � noter que les examens strat�giques (qui peuvent �tre � courants � ou � complexes �) ne figurent pas dans le tableau.
13. La Politique sur la SGRRappuie l'�laboration d'une approche commune pangouvernementale en mati�re de planification et de gestion des liens entre les d�penses en ressources et les r�sultats. La politique sert �galement de base coh�rente et solide pour la collecte et la gestion de l'information financi�re et non financi�re ainsi que la production de rapports au Parlement � ce sujet. (http://www.tbs-sct.gc.ca/rma/mrrs-sgrr_f.asp)
14. Guide pour la pr�paration des pr�sentations au Conseil du Tr�sor, p. 6-7
15. La pr�sentation au Conseil du Tr�sor et le pr�cis sont alors soumis aux ministres du Conseil du Tr�sor � des fins d'examen et d'approbation.
16. M�me si cette question faisait partie de la matrice d'�valuation, elle n'a pas �t� trait�e dans le pr�sent rapport puisque, comme il en a �t� discut�, il a �t� �tabli que ce point n'�tait pas un objectif du processus des pr�sentations au Conseil du Tr�sor.
17. Cette question n'est pas trait�e dans les constatations du rapport puisque l'�valuation n'a pas r�v�l� de r�sultats inattendus.
18. Nota : Lorsque le rapport mentionne les � analystes du Secr�tariat �, il inclut les analystes de programme et les analystes des CE dans le contexte du Secr�tariat, mais seulement les analystes de programme dans le contexte des organisations f�d�rales (�tant donn� que les analystes de programme sont les principales personnes-ressources des organisations f�d�rales). Cette diff�rence est indiqu�e, s'il y a lieu, dans le rapport.
19. Le questionnaire a �t� accessible sur Internet pendant trois semaines. Des rappels ont �t� transmis par courriel aux r�pondants � deux reprises pendant cette p�riode de trois semaines.
20. Les r�ponses et les commentaires recueillis indiquaient que ces r�pondants avaient rempli le mauvais sondage. Par cons�quent, leurs r�ponses ont �t� �limin�es afin de s'assurer que les donn�es n'�taient pas contamin�es.
21. L'examen ne comprenait pas un examen des mod�les utilis�s dans les provinces.
22. Co-ordination at the Centre of Government: The Functions and Organization of the Government Office Comparative Analysis of OECD Countries, CEECs and Western Balkan Countries. Michael Ben-Gera. 2004.
23. Idem. Les dix pays sont les suivants : l'Australie, l'Autriche, la France, l'Allemagne, l'Islande, l'Irlande, les Pays-Bas, la Norv�ge, l'Espagne et la Suisse.
24. � La v�rification a permis de constater… qu'il serait avantageux d'adopter une approche plus coh�rente et plus inclusive concernant les co�ts des heures suppl�mentaires et les pr�visions de celles-ci, d'am�liorer la gestion et l'autorisation des cong�s et des heures suppl�mentaires… et d'�laborer des lignes directrices officielles et approuv�es sur l'administration des cong�s et des heures suppl�mentaires �.
25. L'architecture des activit�s des programmes du Secr�tariat.
26. Guide pour la pr�paration des pr�sentations au Conseil du Tr�sor, p. 1
27. Idem., p. 6-7
28. Les commentaires recueillis lors des camps de formation pour les secteurs des programmes en f�vrier 2009, en janvier 2008, en ao�t 2007, en septembre 2004, en mars 2001 et en septembre 2000 ont �t� examin�s.
29. La � pertinence � d�termine si une pr�sentation soumise par une organisation f�d�rale est n�cessaire (c'est-�-dire, requise).
30. Les personnes interview�es ont �galement fait des commentaires au sujet des inconv�nients r�sultant du fait qu'il n'est pas n�cessaire que les MC fassent l'objet d'un processus initial d'approbation au Secr�tariat. Une personne a soulign� que le fait que le Secr�tariat ne participe pas au processus peut causer des probl�mes lorsque les MC renferment des �l�ments qui peuvent �tre contraires aux politiques du Conseil du Tr�sor.
31. Certaines organisations f�d�rales ont toutefois indiqu� qu'elles peuvent d�cider de soumettre une pr�sentation m�me lorsque l'analyste de programme croit que la pr�sentation n'est pas n�cessaire.
32. Les chiffres ayant �t� arrondis, leur somme peut ne pas correspondre au total indiqu�.
33. La m�me question n'a pas �t� pos�e aux organisations f�d�rales et, par cons�quent, l'opinion sur la question de savoir si les pr�sentations �taient n�cessaires n'est attribuable qu'aux analystes du Secr�tariat.
34. � partir du moment o� l'analyste de programme re�oit la premi�re �bauche de la pr�sentation au Conseil du Tr�sor d'une organisation f�d�rale.
35. Il importe de noter que certaines pr�sentations peuvent demander consid�rablement moins de temps, p. ex., si la pr�sentation correspond � un ajout � un programme existant ou si la pr�sentation est r�put�e pr�senter peu de risque ou �tre peu complexe.
36. Certains pourraient toutefois faire valoir que la souplesse qui caract�rise le processus des pr�sentations au Conseil du Tr�sor constitue un avantage en ce sens qu'il permet � certaines pr�sentations, comme celles ayant trait au Plan d'action �conomique du Canada, d'�tre trait�es en priorit� lorsque des circonstances sp�ciales le justifient.
37. Conform�ment aux lignes directrices pr�sent�es dans le Guide pour la pr�paration des pr�sentations au Conseil du Tr�sor.
38. Le SGDDI est une initiative du gouvernement f�d�ral canadien en vue de g�rer le cycle de vie complet de tout type de documents �lectroniques (courriels, correspondance, rapports, etc.).
39. Renouvellement des syst�mes du Service du budget (RSSB), Secr�tariat du Conseil du Tr�sor du Canada, 2007
40. http://www.tbs-sct.gc.ca/maf-crg/indicators-indicateurs/2008/policies-politiques/policies-politiques-fra.asp
41. De plus, les cotes entre les rondes IV et V du CRG ne sont pas enti�rement comparables. Les cotes moyennes du CRG analys�es pour l'�valuation visent les grandes organisations f�d�rales.
42. Consultations internes aupr�s des organisations f�d�rales.
43. Il convient de noter que ce pourcentage peut ne pas repr�senter le niveau d'efforts de tous les analystes des CE, car seulement une partie des fonctions des analystes des CE inclut l'examen des pr�sentations au Conseil du Tr�sor. Les analystes des CE qui ont d'importantes fonctions li�es aux pr�sentations au Conseil du Tr�sor auraient peut-�tre �t� plus susceptibles de mieux r�pondre au sondage.
44. Les chiffres ayant �t� arrondis, leur somme peut ne pas correspondre au total indiqu�.
45. Les chiffres ayant �t� arrondis, leur somme peut ne pas correspondre au total indiqu�.
46. Les donn�es sur le calendrier des pr�sentations au Conseil du Tr�sor au cours des dix derni�res ann�es montrent qu'il y a des p�riodes de pointe d�termin�es en juin, en octobre, en d�cembre et en mars.
47. Facteurs contribuant � la qualit� des pr�sentations au Conseil du Tr�sor (d'apr�s le sondage) : Il semble que les consultations internes n'ont pas �t� achev�es pour les pr�sentations au Conseil du Tr�sor (analystes de programme : 42,7 %, analystes des CE : 44,9 %); pas suffisamment de temps pour permettre l'examen par les analystes du Secr�tariat (analystes de programme : 42,5, analystes des CE : 49,2 %); n'a pas respect� le Guide (analystes de programme : 43,3 %, analystes des CE : 37,3 %); les risques et les strat�gies d'att�nuation des risques n'ont pas �t� indiqu�s (analystes de programme : 40,5 %, analystes des CE : 47,5 %); les autorisations appropri�es n'ont pas �t� demand�es (analystes de programme : 39,8 %, analystes des CE : 38,1 %); le niveau de justification n'�tait pas ad�quat (analystes de programme : 45,3 %, analystes des CE : 44,1 %); la pr�sentation ne renfermait pas de renseignements exacts (analystes de programme : 45,8 %, analystes des CE : 45,7 %); la pr�sentation n'a pas �t� r�dig�e de fa�on claire (analystes de programme : 48,6 %, analystes des CE : 39,4 %).
48. Bien que l'�quipe charg�e de l'�valuation reconnaisse que les taux de roulement dans les organisations f�d�rales peuvent �galement contribuer aux probl�mes de qualit� des pr�sentations au Conseil du Tr�sor et d'efficacit� du processus des pr�sentations, cette question d�passe le cadre de l'�valuation et n'est donc pas trait�e dans la recommandation.
1. Les donn�es tir�es de cette entrevue n'ont pas �t� utilis�es puisque les Services minist�riels n'ont pas �t� consid�r�s comme une organisation soumettant des pr�sentations � interviewer
2. Feuille de route pour le changement: Nouvelles approaches found�es sure les risques au tirtre des activities minist�rielles et des pr�senations au CT. SCT 2007
3. Pouvoir d�l�gu� accru pour les contributions. SCT 2007
4. Feuille de route pour le changement: Nouvelles approaches fond�es sur les risques au titre des activit�s minist�rielles et des presentations au CT. SCT 2007
5. Idem
6. Pouvoir d�l�gu� accru pour les contributions. SCT 2007
7. Feuille de route pour le changement: Nouvelles approaches fond�es sur les risques au titre des activit�s minist�rielles et des presentations au CT. SCT 2007